Abnousse Shalmani, présidente du jury des Prix de la Laïcité 2023 : "Laïcité, ce mot qu’on doit dorénavant défendre alors qu’il nous défendait" (Prix de la Laïcité, 8 nov. 23)
Quelle place pour le droit dans la transition écologique ? Comment garantir que les enjeux environnementaux ne restent pas lettre morte face aux intérêts économiques et politiques ?
À travers cet entretien pour "Energie à la Une", je reviens sur plus de 40 ans de combats juridiques, depuis la création du cabinet Huglo Lepage Avocats jusqu’aux grandes affaires qui ont marqué l’évolution du droit de l’environnement en hashtag#France et en hashtag#Europe.
Dès 1978, avec Christian Huglo, nous avons fait du droit un moyen d’action pour défendre l’environnement et contraindre les acteurs économiques à respecter leurs obligations. Pollution maritime, contentieux contre des industriels, reconnaissance du préjudice écologique… Autant de décisions qui ont contribué à structurer le droit public et environnemental.
Comme ministre de l’Environnement, j’ai porté des réformes ambitieuses, mais aussi mesuré l’ampleur des résistances. Aujourd’hui encore, le combat continue : la transition énergétique et l’économie circulaire doivent être accélérées par des outils juridiques adaptés.
Le droit n’est pas une contrainte, c’est un moteur de la transition. Le coût de l’inaction est trop élevé, et il est urgent d’agir avec une approche humaniste et pragmatique, qui place l’écologie au cœur de la justice sociale.
L'État de droit est-il en danger ? Malheureusement, la réponse est positive.
Dans une double page publiée dans Le Monde du 8 mars, les plus hauts magistrats français, tant des juridictions judiciaires qu'administratives, lançaient une alerte sur les attaques répétées contre les principes juridiques et les juges. Le procureur général près la Cour de cassation soulignait ainsi : « Il ne faudrait pas découvrir la valeur de l'État de droit une fois perdu. »
Il ne se passe en effet pas une semaine sans que l'institution judiciaire soit remise en cause, au motif qu'un jugement ne convient pas au politique et qu'il serait inadmissible qu'un juge puisse sanctionner une décision administrative. Or, c'est précisément son rôle.
Sur quoi repose l'État de droit ?
L'État de droit repose avant tout sur une organisation des pouvoirs garantissant au juge son rôle de contre-pouvoir, indispensable pour éviter l'arbitraire et contraindre les autres pouvoirs à respecter les principes fondamentaux.
L’exemple américain illustre aujourd’hui cruellement les conséquences de l'absence de contre-pouvoirs efficaces, notamment avec la possibilité pour un président de licencier des milliers de fonctionnaires fédéraux par simple décision politique.
Cependant, si les principes constitutionnels et les droits fondamentaux sont immuables – ou du moins difficilement modifiables –, il n’en va pas de même des lois, qui peuvent être changées par le législateur. Ainsi, la raison impérative d’intérêt public majeur, qui défraie la chronique après le jugement du tribunal de Toulouse sur l’A69, a récemment fait l’objet de modifications législatives pour accorder à certaines infrastructures jugées vitales une présomption d'intérêt public majeur.
Pourquoi cette remise en cause est-elle grave ?
L'État de droit garantit un ordre et un cadre juridique permettant d’assurer la stabilité de la société. À l’inverse, l'État de non-droit, c'est l'arbitraire total, la loi du plus fort, le mépris des principes fondamentaux qui fondent la démocratie et la liberté.
Sans règles partagées et sanctionnées, c'est l'insécurité généralisée, tant pour les individus que pour les entreprises.
Dans la période particulièrement troublée que nous traversons, où la violence s’accroît et où l’angoisse se propage sous toutes ses formes, nous avons besoin de points d’ancrage solides. Cette colonne vertébrale, bâtie pour être résistante et légitime parce qu’acceptée par tous, porte un nom : l'État de droit.
Bientôt les applications vitales pour la survie de la nation : “Tous Anti Poutine”, et “Vite Ma Guerre” pour trouver le champ de bataille le plus près de chez vous ! �� pic.twitter.com/UhWlXvtUn4
Bientôt les applications vitales pour la survie de la nation : “Tous Anti Poutine”, et “Vite Ma Guerre” pour trouver le champ de bataille le plus près de chez vous !
Macron, dans un fauteuil beaucoup trop grand pour lui.
Trois ans de guerre en Ukraine, des millions de morts et de blessés, des milliers de beaux discours et de belles promesses, la destruction de notre compétitivité énergétique, le suicide de notre économie, de nos finances et de notre industrie, des milliers de faillites, une explosion de la pauvreté et de la précarité, pour en arriver à ce dramatique et honteux résultat.
Les États-Unis triomphent et s'octroient, par la force et sans vergogne, des terres européennes en s'arrangeant avec la Russie de Poutine devant des dirigeants européens qui, Macron en tête, sont de traîtresses petites poupées ridicules.
Aujourd'hui, il ne manquait à Macron qu'une laisse autour du cou pour parachever le dramatique tableau d'une France humiliée, à l'instar de toute l'Union européenne, par une indigne accumulation de faiblesses et de soumissions.
Nous allons payer très cher et fort longtemps les conséquences des décisions prises par les larbins corrompus des États-Unis que sont Macron, Von der Leyen, Scholz et tous les autres.
L'UE ne sert qu'à une seule chose : faire souffrir et soumettre les peuples qu'elle est supposée défendre en tuant les nations qui assuraient leur indépendance, leur liberté et leur prospérité. Après trois années de masquarades et de discours inflexibles, la girouette Macron n'arrête plus de tourner dans tous les sens pour satisfaire Donald qui gère les dirigeants de l'UE comme un élevage de Yorkshires.
Dans un fauteuil beaucoup trop grand pour lui, Macron a, comme d'habitude, pris des poses grotesques pour tenter de masquer le vide avant de déclarer piteusement : "...je pense que ce que vient de dire à l'instant le président Trump est très important c'est à dire qu'il va rencontrer rapidement le président Zelinsky pour signer cet accord sur les minerais critiques et les terres rares et que c'est aussi un moyen d'avoir une implication américaine forte, les Européens sont prêts à prendre leur charge... " L'UE est un espace digne de la quatrième dimension, une société dégénéré, indigne, sans honneur qui telle une prostituée offre ses charmes à son proxénète américain. Ainsi, quand Poutine intervient en Ukraine pour prendre des terres il est comparé à Hitler mais quand Trump intervient en Ukraine pour prendre des minerais critiques et des terres rares il faudrait se réjouir car c'est "un moyen d'avoir une implication américaine" !
Dans ce paradis pour corrompus qui s'appelle l'UE, le personnel politique et médiatique européen met en garde 24/7 les opinions publiques sur les menaces militaires que ferait peser la Russie sur nos capitales mais trouve normal que les États-Unis puissent possèder 37 bases militaires et 100.000 soldats sur le sol européen et contrôlent, via l'OTAN, toutes nos forces armées placées entièrement sous leurs commandements !
J'aime profondément la France et je suis sincèrement européen. Voilà pourquoi je souhaite de tout mon cœur le Frexit et la destruction de l'UE.
L'UE est une organisation mafieuse, un élevage de traîtres et de corrompus à la solde des intérêts américains.
J'invite mes lecteurs à ne pas être dupes, les liens qui nous unissent aux États-Unis sont réels et forts. Ils sont comparables à ceux qui, dans le meilleur des cas, lient la laisse au cou du chien ou à ceux qui, par temps pluvieux, relient la corde au cou du pendu. #Trump#Macron#Ukraine#UkraineWar
J’ai commencé dans ce métier de fous en Janvier 1971 et bien des choses ont changé depuis, en particulier ma capacité à toucher mes doigts de pied sans plier les genoux.
Mais, une seule chose n’a jamais bougé, la certitude que certains ont que dans 10 ans nous serons tous morts.
Je vous raconte.
· En 1969, je lis un livre de Paul Ehrlich, éminent professeur à l’Université de Stanford aux USA, qui m’explique que la croissance démographique dans le monde mais surtout en Inde va surpasser les capacités de notre planète à nous nourrir. A son avis d’expert, il est trop tard pour faire quoique ce soit, la moitié de la population du sous-continent va disparaître très rapidement. Il prévoit donc le retour des grandes famines et nous assure que nous en avons au maximum pour…10 ans avant de mourir… de faim. J’achète des boites de sardines et du sucre a tout hasard. Et quarante ans plus tard, la population indienne a plus que doublé et les signes de famine en Inde ne sont guère visibles, ce qui ne gêne en rien la carrière du professeur qui a le record absolu d’interventions auprès du Congrès des USA où il explique à chaque fois que les marchés libres ne fonctionnent pas. Mais il a fait beaucoup d’argent avec ses livres annonçant que nous allions tous mourir dans 10 ans, l’un en 1968 et l’autre en 1979, ce qui montre une fois encore que le capitalisme n’est pas mauvais pour tout le monde surtout d'ailleurs pour ceux qui en disent du mal.
· De 1973 à 1978, grave crise du pétrole qui passe de $ 3.50 /bb en 1971 à $ 35 bb. Nous entrons dans une monstrueuse récession inflationniste, les marchés des actions baissent entre 70 % et 90 %, le pessimisme règne en maître. Le Club de Rome domine le discours et nous dit de nous attendre au pire. Cela ne fait que commencer renchérissent les Malthusiens de service. Nous n’avons de réserves de pétrole que pour 10 ans et donc, dans 10 ans, nous allons tous mourir de froid. Le baril, alors à $ 33 va certainement passer à $ 100 par barils' En 1983, les valeurs pétrolières représentaient 30% de la capitalisation à New- York, la pénurie était certaine. La consommation mondiale était à l’époque de 50 millions de barils par jour et donc les réserves de 50*365 millions de barils. Hélas (pour eux), en 1985, le prix du pétrole s’écroule et passe de $ 33 /bb à moins de $ 10/BB en quelques mois, les marchés des actions s’envolent et connaissent leur plus forte hausse de l’histoire de 1985 à 2000. Pour ceux que les chiffres intéressent, la consommation mondiale est aujourd’hui de 100 millions de barils par jour et les réserves estimées à …10 ans de consommation. Et la capitalisation boursière des valeurs pétrolières représente 3 % de la capitalisation du marché de New-York (ce qui est aussi idiot que ce qui existait quand les valeurs pétrolières étaient à 30 %)
· A peu près au même moment, apparaît un trou dans la couche d’ozone, et les spécialistes sont formels : les aérosols que nous utilisons à la place de prendre des douches en sont la cause et il est à peu près certain que sous dix ans nous allons tous mourir de cancers de la peau. Bon citoyen, je me remets à la douche et jette mes déodorants et heureusement, puisque ce faisant j’ai certainement sauvé la planète.
· Au milieu des années 90, apparaît un autre danger : le monde se désertifie car l’on abat les arbres partout pour installer des hommes à la place des forêts. Le poumon du monde, l’Amazonie, est en danger et dans les 10 ans à venir, l’oxygène va venir à manquer, et nous allons tous mourir asphyxiées cette fois- ci. Et je ne mentionne pas les pluies acides qui elles aussi allaient détruire nos forêts…dans les 10 années qui suivaient et dont plus personne ne parle. Que le lecteur soit rassuré, la surface couverte par la forêt mondiale est en hausse de 17 % depuis 2000 et les arbres se portent fort bien grâce aux excès de CO2 dans l’atmosphère qui, bien entendu, vont nous amener à une mort certaine …dans 10 ans, depuis trente ans au moins, mais cette fois ci nous allons mourir de chaud ou noyés. On doit remarquer l’extraordinaire diversité dans les façons dont nous allons trépasser mais il me faut signaler que le délai entre l’extinction certaine de la race humaine et aujourd’hui est toujours de 10 ans, ce qui ne me semble pas très sérieux Hélas, toutes ces âneries ne sont rien par rapport à la dernière grande peur qui va finir de nous tuer, je veux parler bien sûr du fameux réchauffement atmosphérique. Comme d’habitude, cela n’a guère de fondement scientifique comme le montre fort bien le livre de Steve Koonin, « the science Is not settled », dont le titre en Français est « La part d’incertitude », ce qui est une trahison intellectuelle. Expliquer que nous ne savons pas tout n’est pas du tout la même chose qu’expliquer que nous ne savons rien. On sent que l’éditeur français a voulu se protéger de l’accusation de climato scepticisme, dont chacun sait qu’en France qu’elle est mortelle si l’on veut passer à la Télévision Publique. Koonin était le responsable scientifique pour tout ce qui touchait à l’écologie dans l’administration Obama. Il est surtout l’un des meilleurs spécialistes mondiaux de la construction de « modèles » mathématiques supposés expliquer la réalité. Il enseigne ces matières au Caltech et au MIT, sans doute les meilleures universités au monde dans le domaine scientifique. Et dans son livre il explique tranquillement:
1. Qu’aucun des modèles prévisionnels sur le climat ne vaut tripette.
2. Que les modèles économiques prévisionnels que l’on branche ensuite sur ces modèles climatiques sont encore bien pires
3. Et que la conjonction des deux va nous amener à un désastre économique sans précédent, comme on commence à le voir en Europe. Une question se pose à ce point du raisonnement : mais pourquoi nos « élites « nous ont-elles embarquées dans cette folie ? La réponse est simple : aucun d’entre eux ne croit en la Démocratie, et tous se perçoivent comme des technocrates omniscients. Et donc la société qu’ils aiment est une société qu’ils contrôlent. Et des gens qui ont peur sont plus faciles à contrôler que des gens qui n’ont pas peur. Et pour contrôler l’économie, la dernière chose qu’ils ne contrôlent pas, il leur faut contrôler l’énergie. Comme je l’ai souvent expliqué dans ces lignes, l’économie n’est que de l’énergie transformée. Et donc, bien évidemment, si nos élites réussissaient à prendre le contrôle de l’énergie, elles contrôleraient ipso facto l’économie et donc la vie quotidienne de chacun d’entre nous. Après tout, ils ont déjà pris le contrôle de bien des choses. Que le lecteur veuille bien réfléchir avec moi.
Qu’avons-nous constaté depuis une trentaine d’années, surtout en Europe ?
1. Une prise de contrôle par des élites hors sol, « mes hommes des bateaux » de nos monnaies nationales avec la création de l’Euro.
2. Une perte de contrôle totale de notre indépendance judiciaire avec l’émergence de « tribunaux » internationaux (CEDH, CEJ) qui n’ont aucune légitimité démocratique.
3. Une atteinte sans précédent à nos libertés fondamentales pendant le COVID
4. Un contrôle quasiment total sur la Presse et les journalistes, qui dire à l'un de mes amis en France : « Il y a deux sortes de journalistes en France, Ceux qui sont honnêtes, et ceux qui ont un boulot »
5. Des tentatives constantes de créer une censure sur les réseaux, seul espace de liberté qui nous reste (Loi Breton)
6. Un rabaissement ironique des fronts bas et une mise à l’écart politique de tous ceux qui aiment leur pays.
7. Le remplacement d’une population par une autre
8. Etc…
Il est donc tout à fait évident que depuis trente ans, les hommes des bateaux se sont attelés à la tâche de détruire nos Nations suivant en cela les conseils de Jean Monnet. Imaginez qu’après avoir pris le contrôle de la monnaie, des tribunaux, de la vie politique, de la presse, des media… ils arrivent également à prendre le contrôle de l’énergie ? Eh bien, nous serions faits comme des rats.
Heureusement, ils viennent de connaître une défaite retentissante avec l’élection de Trump, qui sera en train d’être intronisé le 47ème Président des Etats Unis au moment où vous lirez ces lignes. Monsieur Trump est celui qui a été choisi par les hommes des arbres américains pour les représenter.
‘’ILS ‘’ ont TOUT essayé pour le faire battre, y compris l’assassinat, mais ils ont piteusement échoué. Le peuple américain ne s’est pas laissé avoir cette fois-ci. Le but officiel du Donald est de détruire les centres de pouvoir des hommes des bateaux aux USA et partout dans le monde. S’il y arrive, nous pourrons nous libérer.
Bonne chance à monsieur Trump, il en aura besoin et nous encore plus.
L’année 2025 n’est pas vieille mais elle donne déjà des gages de changements rapides dans différents domaines, et pas des moindres. En l’espace de quelques jours, les médias grands publics semblent pris d’une danse de Saint Guy, alternant entre leurs sujets de prédilection traités avec leur habituelle médiocrité et leur obligation d’aborder certains sujets nouveaux, résolument hors du champ du politiquement correct...
Certes, on pourrait arguer à raison que ce mouvement ne date pas tout à fait des premiers jours de janvier : certains noteront que la tendance devenait claire depuis l’élection officielle de Trump à la Maison Blanche, en novembre dernier. Néanmoins, l’accélération du déplacement de la fenêtre d’Overton semble visible pour un nombre croissant d’observateurs.
Pour rappel,
la fenêtre d’Overton
est ce concept qui permet de désigner les idées, opinions ou pratiques considérées comme acceptables par une société. Un déplacement de cette fenêtre revient à dire que quelque chose qui était préalablement du domaine de l’impensable passe doucement au radical, puis éventuellement à acceptable, raisonnable voire suffisamment populaire pour devenir appliqué effectivement.
En autorisant ou non certaines opinions dans la sphère publique, en ouvrant le débat sur certains sujets, on peut parvenir à déplacer cette fenêtre et ce pour n’importe quel sujet, à condition que les étapes ne soient pas brûlées et que l’opinion publique soit correctement « travaillée » par les événements, les informations disponibles.
Ce mécanisme n’est ni bon ni mauvais en lui-même, mais il participe de la formation des tendances sociétales et, une fois compris, est évidemment utilisé par les « faiseurs d’opinions », influenceurs et autres politiciens plus ou moins habiles avec leurs discours. En théorie, bien mené, un déplacement de cette fenêtre d’Overton permettrait par exemple de
Ces dernières semaines, on a ainsi pu observer un intéressant glissement de cette fenêtre (et pas vers le cannibalisme, hein, suivez un peu !) : le politiquement correct semble ne plus répondre à la même définition en ce début d’année 2025 que jusqu’à présent.
Ainsi, il apparaît que louanger le formidable travail des « fact checkeurs » et autres « décodeurs » de l’information ne soit plus tout à fait à la mode.
Il faut dire qu’au fur et à mesure que les complots et les théories labellisées « bidon » par ces derniers se révélaient exacts, leur superbe en avait pris un coup ces dernières années. Cependant, avec l’abandon récent et officiel de ces derniers sur les réseaux de Zuckerberg (Méta à savoir Facebook et Instagram essentiellement), la panique est palpable et visible chez nos « pourfendeurs de l’intox ». Leur essentialité et leur pertinence étant ici clairement ramenée à zéro (ils vont être remplacés par des notes de communauté et, assez probablement, par l’un ou l’autre moteur d’intelligence artificielle), les voilà qui
pour tenter d’expliquer à quel point leur disparition signifie essentiellement une nouvelle apocalypse et la fin de la civilisation.
L’attaque de Zuckerberg sur le politiquement correct ne s’arrête pas là, ce qui donne une bonne mesure du changement sociétal qui s’opère outre-Atlantique avec l’arrivée prochaine de la seconde administration Trump : dans une annonce récente, le patron de Méta a ainsi expliqué
(diversité, équité et inclusion) pour la gestion des ressources humaines de ses entreprises, rejoignant en cela de nombreuses autres compagnies – aussi bien américaines qu’européennes, du reste – qui avaient fait les frais de ces méthodes catastrophiques de gestion des ressources humaines avec notamment une baisse de niveau assez dramatique dans certains secteurs (l’aéronautique en étant un exemple particulièrement saignant).
La mue de Zuckerberg, qui doit bien plus à un minimum d’auto-préservation personnelle qu’un changement fondamental de vision du monde, ne s’arrête pas là puisque lors d’un entretien accordé il y a quelques jours à Joe Rogan, il a clairement admis avoir été forcé de saboter la liberté d’expression sur Facebook au profit de l’administration Biden, en parfaite violation du Premier amendement à la Constitution américaine, ce qui pourrait d’ailleurs lui valoir de féroces poursuites de l’administration suivante.
Peut-être sa pratique du MMA lui aura déclenché un salvateur retour de testostérone dans son flux sanguin ?
En tout cas, il marque ici un brusque déplacement de la fenêtre d’Overton puisqu’il permet de déplacer favorablement le curseur sur les sujets de DEI, de censure et de liberté d’expression.
Parallèlement, en Europe, les récents échanges entre Thierry Breton (qui n’est plus qu’un citoyen lambda) et Elon Musk (qui devient prochainement chargé d’un ministère au sein de l’administration Trump) illustrent une fois encore un déplacement palpable de la fenêtre d’Overton sur la quantité de bobards que les citoyens sont capables d’encaisser : il apparaît en effet de plus en plus clair que Breton outrepasse largement ses attributions (il n’en a plus aucune) et ses opinions, loin de renforcer l’état de droit en Europe, minent durablement la confiance des citoyens européens dans la capacité de leurs institutions à rester neutre et offrir un espace réellement démocratique.
Il suffira, pour se convaincre de ce dernier point, de lire les commentaires – tant sous les publications médiatiques relatives aux sorties de Breton – que
pour comprendre que l’ex-commissaire européen enchaîne les âneries et les faux-pas très contre-productifs : s’il y a quelques mois, on pouvait encore croire naïvement à la relative neutralité des institutions européennes en matière d’ingérences politiques étrangères, il n’en va plus du tout de même ces derniers jours et ce changement doit en grande partie aux saillies de Breton.
Ce déplacement de la fenêtre d’Overton n’est même pas limité à ces espaces de débats et ces sujets.
Plus proche de nous, en France, on peut ainsi constater que le débat sur la façon dont sont gérés les retraites, les fonds qui y sont alloués, les éventuels privilèges des retraités, bref, ces différents paramètres déboulent effectivement dans la sphère publique où ils avaient été tenus soigneusement à l’écart.
Là encore, un petit exemple illustre bien la tendance : s’interroger sur la pertinence de l’abattement fiscal de 10% dont bénéficient les retraités sur leurs impôts au motif de « frais professionnels » est maintenant possible.
ne refuse plus d’imaginer que remettre en cause cet abattement n’est pas exactement synonyme du pire des fascisme : on est passé d’impensable à sinon acceptable, au moins radical.
De la même façon, le récent aplatissement diplomatique devant l’Algérie (qui refuse de reprendre ses ressortissants toxiques et dont le discours vis-à-vis de la France ne laisse qu’assez peu de marge d’interprétation sur son aspect peu amène) fut si humiliant que certains s’en sont suffisamment ému pour que quelques politiciens en vue s’emparent enfin du sujet,
notamment. Bien évidemment, vu le calibre de ces tromblons, on peut très raisonnablement douter que ces gesticulations se traduiront d’une quelconque façon, mais là encore, on note le passage d’un discours général de fermeté d’impensable à radical.
Non vraiment, la fenêtre d’Overton se déplace assez clairement et, à l’analyse, on se rend compte que ce déplacement doit essentiellement à la disparition rapide des barrières de la censure (voire de l’auto-censure), la perte complète de crédibilité (puis de financement) des fact-checkeurs, la chute manifeste des audiences et des fréquentations des médias traditionnels et la possibilité grandissante d’exprimer les opinions alternatives sur les réseaux sociaux.
Il apparaît à la suite de ces éléments qu’en réalité, l’hégémonie de la gauche dans le discours public tenait surtout à leur mainmise des médias et des réseaux sociaux. Une fois cette emprise même légèrement moins forte, la gauche actuelle apparaît pour ce qu’elle est : complètement déconnectée et fondamentalement vicieuse.
L’année 2025 est jeune, mais si elle continue sur cette tendance, elle promet d’être fructueuse.
H16
Publié le 15 janvier 2025
Jacques Le Bris's insight:
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Les Américains pourraient-ils perdre le contrôle de leur propre monnaie ? Donald Trump et son équipe hors norme vont-ils casser Washington et la manière de gouverner ailleurs en Occident ? Le chaos est-il à nos portes ? « L’histoire de l’humanité depuis le début du capitalisme, c’est à peu près 70 ans de stabilité, 30 ans de merdier. On est bien rentré dans les 30 ans de chaos. Et c’est là où on se marre le plus, pour les gens qui aiment la liberté. Il est simplement l’expression de gens qui trouvent que l’État s’est imposé d’une façon tellement insupportable qu’ils préfèrent le voir disparaître et retrouver leur liberté que de rester avec les contraintes précédentes. » Charles Gave, fondateur de l’Institut des libertés, auteur et investisseur est de retour à Contact pour jeter un coup d'œil rétrospectif sur l’année 2024.
00:00 - Intro 01:00 - La souveraineté pour un citoyen, c’est l’argent. 12:45 - Retour sur l’année financière de 2024. 18:35 - Le dollar contrôlé par la Chine. 23:05 - La criminalisation de la parole. 39:43 - « 70 ans de stabilité, 30 ans de merdier. » 47:00 - Le nouveau gouvernement Trump : tout changer en 100 jours. 58:35 - Y a-t-il encore des principes en politique ? 1:03:01 - « Une société où tout le monde est toujours d’accord, c’est une société qui crève »
Le "J'accuse" de Xavier Azalbert, publié à l'occasion de 80 ans de France-Soir (Défense de la France sous l'Occupation), fait le bilan du désastre provoqué intentionnellement et des crimes d’État commis par le gouvernement français sous Macron. Il nous appartient de dire cette… pic.twitter.com/OOPIIANTqR
J'accuse les représentants de la Nation de trahir la confiance et le mandat du peuple français en votant des lois qu’ils ne s’appliquent pas à eux-mêmes (passe sanitaire) ; d’avoir voté des lois sur l’obligation vaccinale des soignants et d’autres professions, en ne respectant pas les données de la science ou se rangeant à des accords de groupe. Je les accuse aussi de ne pas s’être élevés contre l’envoi massif d’armes et de fonds en Ukraine sans contrôle du Parlement, et de ne pas s'être élevés non plus contre la mise en place d’un Conseil de défense, une entité qui a consacré l’obscurantisme de décisions sanitaires qui auraient dû faire l’objet d’une totale transparence. En outre, je les accuse de ne pas avoir exercé en temps et en heure le contrôle parlementaire, exigé par leurs fonctions, sur les dépenses et les engagements inconsidérés des gouvernements Macron, contraires à l’intérêt de la Nation et grévant l'avenir de nos enfants.
J'accuse le ministre de la Santé d'avoir mené la plus grande escroquerie sanitaire, économique et sociale de l'Histoire moderne, permettant ainsi la perte de chance de nombreux patients, en n’ayant pas suivi les données de la science et les travaux de l’IHU méditerranée (financé par les impôts des Français) sur l’efficacité des traitements précoces. Et, j'accuse également le ministère de la Santé d'avoir promu une thérapie génique expérimentale sans avoir la totalité des études. « Tous vaccinés, tous protégés ! » était un slogan mensonger. Toute affirmation sur l'efficacité et la non-dangerosité de cette thérapie expérimentale aurait dû être accompagnée de réserves, et sa validité aurait dû être vérifiée, comme l’exige la déontologie des journalistes.
J'accuse en cela le Conseil d'État de manquement à ses devoirs en n'ayant pas censuré d'initiative ce slogan. Et, j'accuse le Conseil d'État de protéger l'État, plutôt que de protéger les citoyens contre les décisions de l'État qui sont manifestement contraires à la loi, et celles qui donnent la part belle à des données contraires à celles de la science.
J'accuse le directeur général de la santé et le Conseil scientifique d'avoir hautement participé aux mensonges et à cette escroquerie en ne contribuant pas à éclairer les Français sur les réels choix scientifiques. Ceci a d’autant plus été montré dans les RKI files en Allemagne.
J'accuse le conseil de l'ordre des médecins d'avoir coopéré à cette escroquerie, en faisant régner la peur et la terreur parmi les médecins qui soignaient.
J'accuse l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé d'avoir contribué à la perte de chance des patients, en ne donnant pas une autorisation temporaire d’utilisation de l’hydroxychloroquine telle que cela lui fut demandé par l’IHU méditerranée, ou une autorisation sur l’ivermectine, et d’avoir à l'inverse fourni une autorisation temporaire sur les thérapies géniques, en absence d’études fondamentales sur la toxicité de ces produits (absence des données sur la bio distribution, la génotoxicité et l’immunotoxicité). Et, j'accuse également l'ANSM d’avoir minimisé l’importance des effets secondaires et de ne pas avoir tout mis en œuvre pour obtenir (rétention d’information) les informations sur les données de mortalité des décès, toutes causes, avec statut vaccinal et par classe d’âge, ce qui aurait permis de démontrer sans faille les assertions des politiques.
J’accuse ceux qui ont privé les français des médicaments peu onéreux, non toxiques et efficaces en phase précoce de la maladie (comme l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et l’ivermectine), ce qui les a empêchés de recevoir des soins très bon marché, indispensables, et faciles à mettre en place, et ce qui, par conséquence, a provoqué indirectement la mort de bon nombre de nos concitoyens. Une quantité qu’il s’agira d’estimer de façon fiable dans une troisième mi-temps, qui elle, devra être judiciaire, puisque certains médecins ont été jusqu’à faussement estimer une mortalité associée à l’hydroxychloroquine (étude rétractée).
J’accuse beaucoup de leaders d’opinion, souvent professeurs de CHU, d’avoir tenté de discréditer, caricaturer un des scientifiques les plus reconnus dans le monde en matière de maladies infectieuses : le Professeur Raoult et ses collègues de l’IHU méditerranée, alors que leurs détracteurs qui n’ont en rien contribué à la science lors de l’épidémie de COVID-19, péroraient sur les plateaux de télévision sans contradicteur. En outre, souvent, ces mêmes médecins, leaders d’opinion, ont essayé par tous les moyens de promouvoir le « Remdesivir », très cher et toxique, absolument non utilisable même en phase précoce, seule phase où le traitement antiviral présente un intérêt.
J’accuse nombre de médecins d’avoir failli à leur mission, en premier lieu dans l’esprit et le respect du serment d’Hippocrate : celle de soigner.
J’accuse une partie de la communauté scientifique, d’avoir voulu discréditer l’hydroxychloroquine et autres traitements précoces ; très certainement en raison de conflits d’intérêt avec le lobby pharmaceutique en concevant des études scientifiques biaisées évaluant l’hydroxychloroquine chez des patients déjà hospitalisés, donc à un stade de prise en charge souvent trop tardif ; des études administrant des doses toxiques (étude anglaise Recovery), et n’associant pas (pour la plupart d’entre elles) l’azithromycine et un timing approprié de soins accompagnés de comédications, comme les anti-coagulants et la dexaméthasone.
J’accuse les promoteurs des études «DISCOVERY » et «HYCOVID » d’avoir voulu effacer l’efficacité de ce médicament et de s’être empressés d’arrêter ou de suspendre le bras hydroxychloroquine. En effet, au 30 juin 2020, le bras hydroxychloroquine a été arrêté, alors que le ratio de risque donnait une évaluation positive en faveur de l’hydroxychloroquine, pas encore statistiquement significative, certes, mais si l’essai avait été poursuivi pour atteindre les 620 patients par bras comme initialement prévu, on aurait pu obtenir un résultat significatif consacrant l'efficacité du traitement.
J’accuse nombre de journaux scientifiques de publier l’impubliable. La meilleure preuve de malhonnêteté est l’immense scandale des articles publiés, puis rétractés (art.1, art.2, art 3), en particulier dans « The Lancet et autres revues. Car il faut savoir qu'un éditeur a tout pouvoir pour accepter ou rejeter un article indépendamment, de le faire passer par le système de revue par les pairs, voire éventuellement sans tenir compte de leur avis.
J’accuse une association française bien connue d'avoir propagé cette rumeur totalement fausse de la toxicité de l’hydroxychloroquine en instrumentalisant un rapport de pharmacovigilance sans regarder le fait qu’il n’y avait pas de signaux de toxicité dans d’autres pays.
J’accuse ceux qui ont menti et proféré tout et son contraire, tout au long de l’épidémie, d’avoir engendré des pertes de chance de patients et le désarroi dans de nombreuses familles. Lisons à cet effet les édifiants livres du professeur Perronne « Quelles erreurs n’ont-ils pas commises ? » et « Décidément, ils n’ont toujours rien compris ! » Rappelons simplement les recommandations sur les tests et les masques, qui furent successivement inutiles, puis utiles, au fur et à mesure qu’ils devenaient disponibles. Notons la tromperie sur les indicateurs évaluant la saturation du nombre de lits de réanimation, autour d’une confusion entre lits de réanimation, lits de réanimation et de soins intensifs, et peut-être lits de soins continus, sans que la différence ait été clairement stipulée (Nouvelle incohérence de Santé Publique France et du ministre de la Santé ou bien erreur volontaire).
J'accuse le Garde de Sceaux de sévérité indue envers les faibles, et de laxisme coupable devant les puissants, notamment en ce qui concerne les ministres et membres de la représentation nationale, pour leurs affaires de mœurs ou de stupéfiants.
J'accuse l'ordre des avocats de s'être montré un auxiliaire de cette justice partisane.
J'accuse les magistrats d’avoir contribué à violer l’indépendance de la justice, en ayant une approche protectrice, voire partisane ou politique, des décisions qu'ils ont prises en ce sens. Une application du droit à géométrie variable et à ajustements constants.
J'accuse le ministre de l'Économie d'avoir creusé la dette de façon abyssale, qui plus est non pas pour aider au destin de la France, mais pour lui nuire au plus haut point, en offrant une dette de plus en plus importante, sans limitation, sur les vivants et sur les enfants à naître.
J'accuse la Cour des comptes de toujours tirer la sonnette d'alarme trop tard, et pour les milliards d'euros qu'elle coûte aux Français chaque année... pour rien.
J'accuse le ministre de l'Intérieur de violences létales totalement injustifiées contre les Gilets Jaunes, les pompiers, les infirmières, les retraités, etc., qui manifestaient pacifiquement pour leurs droits, et je l'accuse aussi pour son défaut de réponse aux questions qui lui ont été posées par l'O.N.U. à ce sujet.
J'accuse le ministre des Affaires sociales de masquer les affaires de mœurs et de pédophilie qui gangrènent ses services de terrain.
J'accuse le ministre de l'Éducation nationale de contribuer à affaiblir le niveau d'éducation des enfants, en utilisant le plus petit commun dénominateur pour établir le niveau mettant au rebut la méritocratie prônée pendant si longtemps par l’institution qu’est l’Éducation nationale. Et, je l'accuse également d'inciter les enfants à la débauche au travers de programmes ciblant notamment l’éducation sexuelle et des sujets dépravants, totalement inappropriés pour leur très jeune âge.
J'accuse le ministre de la Recherche et de l'enseignement supérieur de dérives sectaires entrainant la perte de chance de patients et la prise de risque à d’autres personnes qui ne sont pas à risque (notamment les jeunes qui n’avaient pas de risque avec la Covid). Je l’accuse aussi de ne pas avoir pris la défense des scientifiques de l’IHU devant le harcèlement incessant subi durant les quatre dernières années avec de nombreuses inversions accusatoires et une instrumentalisation de la science.
J'accuse les partis politiques de pactes avec le gouvernement, pour servir leurs intérêts personnels, au préjudice de la France et des Français.
J'accuse le ministre de la Culture de détournement coupable et d'affaiblissement, à la fois drastique et méthodique, de la culture française, et surtout de partialité dans les attributions des certificats de médias ainsi que les aides aux médias. À ce titre d'ailleurs , « j'accuse » (avec humour) France-Soir d'avoir pris le temps de publier et de prendre des risques sur tous ces sujets, en essayant de défendre l'éthique et la déontologie du journalisme « quoiqu'il en coûte », conformément au devoir premier du journaliste.
J'accuse les médias asservis à l'oligarchie financière internationale et les médias subventionnés à milliards, de mentir aux Français et essayer d’exercer une emprise totalitaire sur le peuple, en tentant d’annihiler le débat contradictoire, qualifiant notamment toute pensée différente de « complotisme », usant de sarcasmes tout en évitant soigneusement les arguments rationnels et référencés. (3)
J’accuse les commissaires européens de détournement de pouvoir dans le cadre de l’approbation des inoculâts covid-19, sur des informations incomplètes, mettant ainsi en danger les populations des États membres. Et, par là même, j'accuse la Cour de justice de l'Union européenne de protéger ces décisions en ne rendant pas transparents ces contrats.
J’accuse le ministère des Armées d’avoir contribué à mettre en danger la défense nationale en imposant la vaccination obligatoire des militaires alors que de trop nombreux effets secondaires étaient déplorés au sein même des Armées et qu’ils n’étaient pas à risque de par l’âge des soldats.
J’accuse le médecin de l’Élysée d’avoir trahi la promesse de transparence du président Macron sur son état de santé, en ne produisant pas de bulletin de santé de celui-ci, tel que le président en avait pris l’engagement.
J’accuse le gouvernement de trahison envers la Nation et le Peuple français, en contribuant à faire rétrograder la liberté d’expression et les libertés fondamentales en France, et en pactisant avec une ou des puissances étrangères, pour entraîner la France dans une crise économique, sanitaire et d’identité sans pareille dans toute son Histoire dans un non-respect du préambule de la Constitution qu’est la Déclaration des Droits de l’Homme.
J’accuse le président de la République de vouloir enfreindre la loi de 1905 sur la séparation de l’église et de l’Etat en voulant délivrer un discours politique à l’intérieur de la cathédrale Notre-Dame lors de sa réouverture. Ce qu’aucun roi de France n’a fait, et qui est proscrit par l’article 35-1 de la loi de 1905.
Et, enfin, j'accuse le président de la République d'être le chef d'orchestre de ce requiem et de ne pas agir dans le sens de l'intérêt général de la France et des Français. D'avoir mis la République en Marche, délibérément dans le sens totalement opposé à l’intérêt national.
Je suis Henda Ayari, la première femme à avoir déposé plainte contre Tariq Ramadan en octobre 2017. Je m’adresse à vous aujourd’hui pour dénoncer une hypocrisie qui gangrène le mouvement auquel vous appartenez. Mon expérience m’a ouvert les yeux sur une réalité troublante : le traitement différencié réservé aux victimes en fonction de l’identité de leurs agresseurs.
Depuis l’affaire Weinstein et le mouvement de libération de la parole des femmes en 2017, mon histoire a été l’une des plus médiatisées en France. Pourtant, j’ai constaté que certaines voix féministes, si promptes à intervenir lorsque l’agresseur est une figure du monde artistique comme Gérard Depardieu, sont restées étrangement silencieuses lorsque le nom de Ramadan a été évoqué. Cette indifférence est d’autant plus choquante que plusieurs femmes, dont moi, ont déposé plainte pour viol. Rappelons que Tariq Ramadan a été récemment condamné en appel en Suisse pour viol. Il est donc officiellement un violeur.
Je soutiens la démarche des victimes courageuses qui ont dénoncé les agissements de Gérard Depardieu, les accusations portées contre lui reposent sur des faits d’attouchements, d’agressions sexuelles et de viols. Bien que ces comportements soient graves et méritent sanctions, il est essentiel de souligner que Gérard Depardieu n’a pas été condamné pour viol contrairement à Tariq Ramadan. La différence de traitement entre ces deux affaires est frappante. Alors que Depardieu subit une véritable chasse à l’homme médiatique, Ramadan, lui, bénéficie clairement depuis 7 ans, d’une forme de clémence. Les féministes étaient bien silencieuses au moment où nous avions besoin de leur soutien.
Il existe un deux poids, deux mesures dans la façon dont certaines féministes choisissent leurs combats. Le fait que mon agresseur soit musulman semble justifier une prudence, un désir d’éviter de « taper dessus ». Pourquoi ? Parce qu’il est associé à une identité qui rend certains réticents à parler de violence ou d’abus, par peur d’être accusés de racisme ou de stigmatisation. Cela est profondément injuste et révoltant !
De la même manière, les femmes afghanes et les femmes juives, qui ont également été victimes de violences atroces, n’ont pas reçu le soutien qu’elles méritent de la part des organisations féministes françaises. Ces dernières, principalement dirigées par des gauchistes, semblent avoir pris en otage la cause des femmes, choisissant de privilégier certaines luttes en fonction de leur confort idéologique. Pourquoi ce silence sur le sort de ces femmes qui souffrent ? Qui sont les vrais racistes ici ? Ceux qui ignorent la souffrance d’un groupe en raison de leur origine ou de leur religion, ou ceux qui défendent réellement les droits de toutes les femmes, sans distinction ?
Cette inégalité de traitement est inacceptable. Mon vécu mérite le même respect et la même attention que n’importe quelle autre victime. Pourquoi devrais-je accepter que ma souffrance soit minimisée parce qu’elle ne cadre pas avec le discours « convenable » de certains ? Ce silence est inacceptable et doit cesser. Le féminisme doit être un combat pour toutes les victimes, sans exception ni réserve !
Je me sens trahie par un mouvement qui, sous couvert de défendre les femmes, semble choisir ses luttes en fonction de la popularité ou du confort qu’elles peuvent offrir. Nous ne devons pas être soutenues à moitié ou en fonction de l’identité de notre agresseur. Je refuse d’être une victime de « second rang » et je ne veux pas d’un soutien sélectif qui ne défend pas réellement la cause des femmes.
Aujourd’hui, je tire la sonnette d’alarme. Les voix de celles qui ont souffert doivent être entendues, peu importe l’identité de leurs agresseurs. Arrêtons de privilégier certaines victimes au détriment d’autres.
C’est un principe fondamental : toutes les femmes doivent être soutenues, peu importe l’identité de leurs bourreaux.
Je vous demande de réfléchir profondément à votre posture et à vos actions. Si vous souhaitez vraiment défendre les droits des femmes, il est temps d’agir avec cohérence et équité. Les injustices que vous perpétuez, sous couvert de lutte féministe, sont inacceptables et nuisent à notre cause. Le vrai féminisme ne doit pas se contenter de dénoncer certaines violences tout en en occultant d’autres. Si vous ne pouvez pas défendre toutes les victimes avec la même ferveur, alors il est temps de reconsidérer votre engagement.
Pour ma part, je me considère comme féministe et je n’ai aucune limite lorsque je soutiens des femmes. Je ne regarde pas leur culture, leur religion ou leur choix politique. C’est cela, le vrai féminisme. Le féminisme que vous prônez doit être authentique et inclusif, et non sélectif ou opportuniste. Sinon, il ne mérite pas d’être appelé féminisme.
Henda Ayari Première femme à avoir porté plainte pour viol contre Tariq Ramadan
✅ Les députés s’augmentent ✅ Les sénateurs s’augmentent ✅ L’Élysée s’augmente ✅ Les présidents de Régions vivent comme des nababs et certains font des repas de gala à 1200 €/tête à nos frais ✅ Les finances publiques sont plantées ✅ Les communes… pic.twitter.com/NvSwQ2CS21
#TRUMP Les droits de douane sont une conséquence naturelle du modèle de l'entreprise plateforme par Charles Gave le 2 Avril 2025
Les « anciens » lecteurs se souviendront peut-être qu'au début de Gavekal, nous avons consacré beaucoup de temps à nos recherches sur une nouvelle forme de production apparue d'abord aux États-Unis, que nous avons appelée le modèle de l'entreprise « plate-forme ». Nous avons même écrit un livre à ce sujet. (voir notre meilleur des mondes...) Voici le résumé de ce concept.
La R&D a lieu aux États-Unis, la production en Chine, les ventes dans le monde entier et les impôts payés en Irlande.
Nous avons écrit à l'époque que cela rendrait la collecte des impôts beaucoup plus difficile. Et c'est ce qui s'est passé, de sorte que les déficits s'envolent et que les impôts devront être collectés d'une manière différente. Nous n'en sommes qu'au début de la révolte du fisc.
A ce stade, permettez-moi de présenter un exemple caricatural de la raison pour laquelle ces difficultés ont dû conduire à une réintroduction des droits de douane dans le monde entier et en particulier aux Etats-Unis. Je fais l'hypothèse qu'une entreprise américaine a développé un nouveau produit de consommation, tel qu'un téléphone, et que le coût de production de ce gadget est de 100 dollars par téléphone en Chine. Supposons en outre que le prix pour le consommateur américain soit de 1 000 dollars par téléphone, que le coût de distribution aux États-Unis soit de 50 dollars et que le coût de la recherche et du développement soit de 50 dollars supplémentaires, ce qui donne un bénéfice net de 800 dollars. Dans le monde ricardien, si le taux d'imposition sur les bénéfices des entreprises est de 30 % aux États-Unis, le gouvernement américain recevrait 240 $ par téléphone et le PIB américain augmenterait de 800 $ moins la valeur de l'importation de 100 $ pour chaque téléphone vendu, et tout serait parfait dans le meilleur des mondes possibles. Permettez-moi d'introduire l'Irlande dans le tableau, avec une taxe de 4 % sur les bénéfices des sociétés enregistrées dans le pays.
Voici ce qui va se passer.
L'entreprise américaine créera une société d'importation et d'exportation basée en Irlande qui importera le téléphone à 100 dollars et le revendra aux États-Unis à 900 dollars, laissant 100 dollars aux États-Unis pour couvrir les coûts de R&D et de distribution.
Le gouvernement américain ne reçoit rien.
L'Irlande reçoit 32 dollars pour ne rien faire et les actionnaires de l'entreprise reçoivent 900-32 dollars, soit 868 dollars. Le cours de l'action s'envole et les dirigeants reçoivent d'énormes stock-options qui garantissent que leurs petits-enfants n'auront jamais besoin de travailler.
La valeur qu'ils ont créée pour les États-Unis reste un mystère et n'a pas grand-chose à voir avec Riccardo.
Et tout cela est parfaitement légal puisqu'il existe un traité visant à éviter la double imposition entre l'Irlande et les États-Unis, rendu nécessaire par le grand nombre d'Irlandais qui ont émigré aux États-Unis, dont certains siègent aujourd'hui au Sénat ou à la Chambre des représentants. S'il existe un traité qui ne peut être renégocié, c'est bien celui-là.
Le résultat net est qu'aucune valeur ne revient au gouvernement américain, les bénéfices étant partagés entre les actionnaires de la société américaine, le gouvernement irlandais et les travailleurs chinois.
Que pouvez-vous faire ? si vous êtes le gouvernement américain... ?
Pas grand-chose, si ce n'est imposer des droits de douane de 25 ou 30 % sur le prix auquel le produit entre aux États-Unis et récupérer ainsi l'appel « habituel » du gouvernement à sa livre de chair, qui servira à payer le parapluie antifragile que les gouvernements de notre monde doivent offrir à la population locale s'ils veulent rester au pouvoir. Ce sera la première étape, et la suivante consistera à convaincre la direction de l'entreprise américaine que l'intention est de récupérer la majeure partie de la valeur ajoutée créée par la différence de prix entre la Chine et les États-Unis, en augmentant lentement et sûrement les droits de douane sur ladite valeur ajoutée, et qu'une meilleure solution serait pour l'entreprise de trouver quelqu'un aux États-Unis qui fabriquerait le téléphone à un prix compétitif après les droits de douane, aux États-Unis...
Et que peut faire l'entreprise américaine ? Pas grand-chose, si ce n'est absorber les droits de douane en réduisant sa marge bénéficiaire, ce qui sera une mauvaise nouvelle pour le percepteur irlandais... et pour les bénéfices de l'entreprise. Ainsi, dans ce cas particulier, le consommateur ne paiera pas plus cher son téléphone et paiera probablement moins d'impôts, ce qui le placera dans une meilleure situation financière qu'auparavant.
Et que peuvent faire les actionnaires des entreprises ?
Pas grand-chose, si ce n'est vendre leurs actions et acheter des terrains industriels dans la ceinture de rouille. La gratuité est terminée. Il n'y a pas de repas gratuit.
Et qu'en est-il de l'entreprise chinoise ? À qui va-t-elle vendre les téléphones ? Facile, elle vendra des téléphones très similaires directement au reste du monde au prix de 120 dollars, sans passer par l'entreprise américaine.
Mon propos, dans cet article peu sérieux, était de montrer que le mouvement de mondialisation, qui était une très bonne idée, a conduit à un exercice massif d'optimisation fiscale au profit exclusif des « hommes du bateau », au détriment de ce que je pourrais appeler un pacte national sain. Et ce processus d'optimisation fiscale n'a pas créé beaucoup de richesse mais a transféré des quantités massives de richesse des moins riches vers les très riches, réalisant exactement l'inverse de ce que Ricardo avait prévu.
Comme d'habitude, les hommes des arbres ont dû se révolter pour attirer l'attention des hommes des bateaux, et je peux dire aux lecteurs que la révolte vient de commencer et qu'elle est loin d'être terminée.
La prochaine étape sera de s'attaquer aux entreprises qui ne vendent que du zéro et du un dans les ordinateurs. Elles ne seront pas taxées sur les « bénéfices » qu'elles font localement (elles n'en font pas) mais sur les ventes qu'elles font en France, au Royaume-Uni, aux États-Unis puisque la plupart de ces entreprises, de façon très surprenante, ne font de l'argent qu'en Irlande.
Une taxe de 5 à 10 % sur leurs ventes semblerait tout à fait raisonnable.
La conclusion en matière d'investissement est simple : Si j'étais encore gestionnaire de portefeuille, je regarderais le taux d'imposition que les entreprises de mon portefeuille paient réellement. J'éviterais toutes les entreprises qui paient moins de 25 % et je vendrais toutes celles qui sont à zéro. Elles ont l'air d'être des cibles faciles
mais pour Nicolas, 35 ans, marié et père de deux enfants (de 5 et 8 ans), le planning des vacances estivales ne s’arrête pas là : il faut à présent déterminer l’hébergement sur place.
C’est pour cela que ce dimanche, Nicolas occupe une (bonne) partie de son après-midi pour plonger dans les délices des locations d’été. Le budget est limité, et pour les 25 nuits de cette période, il va falloir jouer serré. L’esprit rêveur, le père de famille se laisse cliquer sur un site internet de réservation d’hôtel et le voilà qui passe en revue les photos d’hôtels cinq étoiles de la région marseillaise.
Poussant un soupir, il revient bien vite à la réalité : au contraire d’un Michael américain ou d’un Kevin suisse de la classe moyenne qui pourraient se permettre ce genre d’extras, notre Nicolas de la classe moyenne française doit calmement se rabattre sur les hôtels moins chers. Cliquant dans les propositions progressivement plus abordables, il en dégote un qui semble correspondre à peu près à ses standards.
Sa vision se trouble un peu lorsque le total s’affiche avant de passer au paiement : si le prix par nuit (autour de 135 euros pour 4 personnes dans une grande chambre) est très correct, le total – 3390 euros – pique un peu. En outre, avec les 10% de TVA (à 288,54€) et la taxe de séjour (dont le total s’établit à 216€), cela fait tout de même 14% de taxes. Ceci, sans compter les 16€ par jour de parking privé disponible. 400 euros de plus mais à Marseille, dans la région française
, il vaut mieux faire attention où on gare son véhicule.
Allons bon ! Peut-être un AirBnB permettra d’alléger un peu la facture finale ?
Une rapide recherche permet de trouver quelques propositions dont les prix s’étalent de 120€ la nuit à plus de 200. Nicolas, qui continue de penser budget avant tout, se contente donc de prendre le tarif le plus économique, le coût du trajet Nantes-Marseille l’ayant déjà vacciné.
Dans ce cas, les taxes représentent 300€ de TVA, 400€ de taxe de séjour départementale ou régionale selon le cas, 90€ de taxe de séjour municipale et dans le cas de Marseille, 30€ supplémentaires (collectée au profit de la
) pour un montant autour de 800€ soit plus d’un quart du prix total composé par les taxes. À ces taxes directes, le propriétaire aura aussi incorporé dans le prix les taxes indirectes que sont la taxe d’habitation sur les meublés de tourisme, la taxe foncière et les potentielles
(s’il fait au moins une fois des recettes de plus de 23.000€).
Ainsi, de taxes en cotisations, ce qui pourrait coûter 2000€ et satisfaire locataire et propriétaire, explose largement les 3000€… Et le budget de Nicolas.
Décidément, le budget pour se loger une fois sur place est vraiment trop important. Quelques cheveux arrachés plus tard, la tête encore dans les mains, Nicolas réfléchit. Pour relancer sa motivation, il décide de chercher quelques informations sur sa destination de prédilection. Quelques belles images du sud lui mettront à coup sûr du baume au cœur !
Sapristi ! À lire cette litanie de faits divers, Nicolas en oublie presque qu’il paie des impôts et des taxes pour assurer sécurité et salubrité des villes de France : Marseille ressemble davantage à une ville du tiers-monde qu’à la troisième ville majeure d’un pays civilisé !
Peut-être trouvera-t-il une autre solution moins coûteuse… Le camping peut-être ?
Quelques recherches sur les campings aux alentours de Marseille lui permettent de découvrir différentes options d’hébergement, plus loin de la ville, et pourquoi pas, plus accueillantes pour les enfants. Néanmoins, encore une fois, les tarifs tendent à souvent se rapprocher de ceux des hôtels. Il y a bien quelques avantages en plus, tels que la proximité de la mer et le parking gratuit, mais plusieurs inconvénients également, comme la proximité des voisins et l’ambiance colonie de vacances. Une seule constante persiste, indéboulonnable : les taxes, qui renchérissent franchement le coût total.
En ne comptant que le coût du trajet et de l’hébergement, Nicolas fait un premier décompte. C’est plus de 4000€ en tout, et cela sans compter les attractions et potentielles visites, les repas, ou encore le coût des transports en commun si, dans un moment de folie, ils souhaitaient s’engouffrer dans un bus ou un métro urbain local.
Et à chaque fois, que ce soit pour une location AirBnB, un camping ou pour un hôtel et comme pour le budget du trajet, l’État s’incruste partout et joue le rôle d’une cinquième personne à charge. Et plus ça va, plus cette personne additionnelle est gourmande…
Nicolas de la classe moyenne doit se resoudre à l’évidence : sauf à renoncer à ses vacances en famille, il va falloir casser la tirelire. Entre le tabassage fiscal permanent dont il est victime, et la taxation délirante de tous les biens et services qu’il veut consommer pour lui et sa famille, partir en vacances à 4 relève de nos jours de la gageure très coûteuse et Nicolas se rend compte qu’il s’appauvrit d’année en année.
Devant les coûts induits, il comprend d’ailleurs nombre de ses amis, restés sans enfants. À ce rythme, non seulement les retraites ne seront pas payés, mais le secteur du tourisme va se limiter aux étrangers dont le pouvoir d’achat, lui, ne se rétrécit pas de mois en mois.
Nicolas, 35 ans, commence à comprendre que le système social actuel ressemble de plus en plus à une arnaque et que si l’on continue ainsi, ce pays est foutu.
Vrai coup de gueule après avoir engueulé des amis écolos : comment ont-ils pu être assez bêtes pour en faire - avec les #ZFE COMME DANS TANT D’AUTRES LOGIQUES PUNITIVES - pour faire de l’écologie un repoussoir, un projet de ségrégation sociale, au lieu d’imaginer une écologie… pic.twitter.com/GCOL9zOmUq
Vrai coup de gueule après avoir engueulé des amis écolos : comment ont-ils pu être assez bêtes pour en faire - avec les #ZFE COMME DANS TANT D’AUTRES LOGIQUES PUNITIVES - pour faire de l’écologie un repoussoir, un projet de ségrégation sociale, au lieu d’imaginer une écologie RESPECTUEUSE, estimable, D’ACTION ET NON D’INTERDICTION ? Humaine, républicaine, morale. C’est hallucinant de connerie, d’aberration, d’irresponsabilité.
Beaucoup soutiennent que Macron est vide, dépourvu d’intelligence, instable, et qu’il n’est rien d’autre qu’un pion vite oublié.
Je partage l’avis sur son instabilité et son vide en tant que pion, mais je ne crois pas qu’on oubliera cet homme, ni après son mandat, ni dans le siècle à venir.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, Emmanuel Macron est entré dans l’histoire.
En effet, s’il ne fait aucun doute qu’il est l’un des pires présidents de la Ve République, une question plus vaste demeure : Emmanuel Macron est-il le pire dirigeant de l’histoire de France ?
Même en remontant jusqu’à Clovis, il n’est pas si évident de trouver pire. Cette interrogation, loin d’être anodine, sera sans doute reprise par les historiens des décennies et des siècles à venir. Je ne tiens pas ces propos dans une optique populiste. Non, vraiment, la personne dont je parle ne se contente pas de détruire la France ou de révéler un fond exécrable ; l’affaire est bien pire : même sur la forme, elle provoque de l’urticaire.
Ce que je tente d’expliquer, c’est que non seulement cet homme mène une politique dévastatrice à tous les niveaux, non seulement son mandat a été synonyme d’une période de totalitarisme assumé, dangereux et extraordinairement liberticide, non seulement il joue avec le feu au point de risquer une troisième guerre mondiale, mais en plus, même lorsqu’il tente de se montrer bienveillant devant les caméras, cela sonne faux. On y décèle alors une personnalité narcissique, arrogante et méprisante. Ce qui, il faut le reconnaître, relève d’une sacrée performance.
Ainsi, conscient qu’il ne sera jamais un grand homme politique, Macron a peut-être obtenu ce qu’il cherchait : entrer dans l’histoire de France, et par extension dans l’Histoire tout court. Car oui, ce pion de l’oligarchie, aussi vide intérieurement, instable et médiocre communicant soit-il, ne sera jamais oublié.
Le nom de celui qui a déclaré vouloir « emmerder les non-vaccinés » restera gravé dans les mémoires, tout comme celui des grands despotes. Deux choses sont certaines : d’une part, cet individu est extrêmement dangereux ; d’autre part, il y aura un avant et un après Macron.
Nous avons été mal formés intellectuellement et cela depuis les bancs du collège jusqu'aux bancs de l'université. Nous sommes nés dans les années 70. Il m'a fallu des années, deux décennies exactement, beaucoup de travail, pour comprendre que l'humanisme abstrait était le marche pied de la globalisation qui détruit tout : la langue, la culture, l'idée de nation, notre pays, nos vies.
J'ai pensé, entre autres étapes de cette lente prise de conscience, que la réaction à la globalisation pouvait être intellectuelle, qu'elle pouvait procéder d'une critique individualiste. Je crois encore évidemment à cette force de l'individu héritée des Lumières, une force que j'ai toujours défendue et à laquelle je crois encore. Sapere aude, ose te servir (seul) de ta jugeote. Seul, là est le problème. Cela ne suffit pas, cela ne suffit plus.
Nous sommes engagés dans un naufrage globalisé qui ne nous permet plus de surnager seuls. J'ai compris, à force d'études et de mises en perspectives, en observant le monde qui s'éclate sous nos yeux, que la petite phrase de Macron "Sky is the limit", la phrase d'un délirant drogué célibataire, en 2017, était en réalité le programme politique et culturel de notre disparition. Avec le néant pour horizon.
Macron est un con. L'affaire est entendue. Mais il y a des cons qui portent l'esprit du temps quand le temps n'est plus à la pensée. Macron est ce con-là. Un con décivilisationnel qui vous parle de "décivilisation". Un con qui ose tout.
Un faux pour le dire de façon synthétique en condensant le tout. Mais il dit et énonce le temps. Un con qui est multiple. Un idéal type de la connerie globalisée.
Notre menace fatale c'est la disparition par dilution, par exténuation. Une extermination soft.
J'ai longtemps pensé - nous avons été formé pour penser dans ce cadre-là - que la langue, la culture, l'idée de nation, notre pays et nos vies n'avaient pas tellement d'importance. Ce qui comptait c'était surtout de ne pas déranger la mise en bouillie globale de notre sensibilité et de notre raison. Il fallait être mondialiste, européen, penser global. Sans savoir pourquoi. Simplement pour ne pas déranger le nouvel ordre qui se mettait en place. Disparaître en somme sans faire de bruit.
Je suis convaincu aujourd'hui que ces slogans n'ont aucune réalité, ce sont les drogues générationnelles qu'il fallait avaler pour accepter sans broncher, comme des zombies, notre propre disparition. Le gros problème, c'est qu'il ne suffit pas de dire que l'on défend la langue, la culture, l'idée de nation, notre pays, nos vies pour échapper à la zombification générale.
C'est plus compliqué que ça. Beaucoup plus compliqué. Progressistes contre réactionnaires ? Non, vivants contre morts et il n'y a pas de vie globale, de vie européenne ou de vie mondiale, ça c'est la mort. La vie est toujours située, fragile, limitée, cultivée, finie et collective.
Pourquoi sommes-nous en train de nous parler ? Ici, sur ces réseaux, dans ces médias d'interstices, fragiles, menacés ? Pourquoi ? Posons-nous avec sincérité la question ? Que cherchons-nous au juste ? Des politiques honnêtes ? Une nouvelle éthique ? Une nouvelle sensibilité ?
Non, nous cherchons à ne pas disparaître dans leur bouillie globale. La bouillie des déjà morts, des drogués, des cokés, des faux. Nous cherchons à retrouver notre langue qui se perd, notre culture qui s'efface, l'idée d'une nation qui a eu une histoire, un pays que l'on aime, une vie que les zombies globalistes veulent nous prendre par vengeance, par ressentiment, par faiblesse.
"Il faut défendre les forts contre les faibles". Ce n'est pas de moi et cela se décline au pluriel.
ZUCKERBERG BALANCE ! Le point commun entre lui, Breton, Biden, Pain, Brigitte, Ursula, Klaus, Gates, Google, la "presse", l'état profond, Big Pharma ?!? Ils ne vous veulent pas du bien. Et ils n'aiment pas la vérité. Mais ils se démasquent, jour après jour, crapulerie après… pic.twitter.com/MIqttd7rV4
Le 7 novembre, je publiais dans un édito une lettre aux Français sous forme d'un J'Accuse version moderne envers tous ceux qui ont œuvré à ce que la France devienne terre d'incendies (sanitaires, sociaux, financiers, etc.) allumés par ceux-là même qui ensuite prétendent les éteindre. Ayant échangé avec de nombreuses personnes au sujet de son contenu, en voici la version augmentée de l'intelligence collective si chère au journalisme participatif et collaboratif décrit dans le Manifeste de France-Soir.
J’Accuse augmenté, lettre aux Français
J'accuse les représentants de la Nation de trahir la confiance et le mandat du peuple français en votant des lois qu’ils ne s’appliquent pas à eux-mêmes (passe sanitaire) ; d’avoir voté des lois sur l’obligation vaccinale des soignants et d’autres professions, en ne respectant pas les données de la science ou se rangeant à des accords de groupe. Je les accuse aussi de ne pas s’être élevés contre l’envoi massif d’armes et de fonds en Ukraine sans contrôle du Parlement, et de ne pas s'être élevés non plus contre la mise en place d’un Conseil de défense, une entité qui a consacré l’obscurantisme de décisions sanitaires qui auraient dû faire l’objet d’une totale transparence. En outre, je les accuse de ne pas avoir exercé en temps et en heure le contrôle parlementaire, exigé par leurs fonctions, sur les dépenses et les engagements inconsidérés des gouvernements Macron, contraires à l’intérêt de la Nation et grévant l'avenir de nos enfants.
J’accuse le ministère de la Santé et l’État de privilégier une économie de la maladie profitant aux grandes industries déjà globalisées au détriment de la santé de la population. Les prescriptions abusives de médicaments représentent ainsi aujourd’hui la principale cause de mortalité en Occident. Pas plus en France qu’aux États-Unis n’avons-nous de politique de santé digne de ce nom qui fasse de la bonne santé des Français une priorité.
Ensuite, j'accuse le ministre de la Santé d'avoir mené la plus grande escroquerie sanitaire, économique et sociale de l'Histoire moderne, permettant ainsi la perte de chance de nombreux patients, en n’ayant pas suivi les données de la science et les travaux de l’IHU méditerranée (financé par les impôts des Français) sur l’efficacité des traitements précoces. Enfin, j'accuse également le ministère de la Santé d'avoir promu une thérapie génique expérimentale sans avoir la totalité des études. « Tous vaccinés, tous protégés ! » était un slogan mensonger. Toute affirmation sur l'efficacité et la non-dangerosité de cette thérapie expérimentale aurait dû être accompagnée de réserves, et sa validité aurait dû être vérifiée, comme l’exige la déontologie des journalistes.
J'accuse en cela le Conseil d'État de manquement à ses devoirs en n'ayant pas censuré d'initiative ce slogan. Et, j'accuse le Conseil d'État de protéger l'État, plutôt que de protéger les citoyens contre les décisions de l'État qui sont manifestement contraires à la loi, et celles qui donnent la part belle à des données contraires à celles de la science.
J'accuse le directeur général de la santé et le Conseil scientifique d'avoir hautement participé aux mensonges et à cette escroquerie en ne contribuant pas à éclairer les Français sur les réels choix scientifiques. Ceci ayant d’autant plus été démontré dans les RKI files en Allemagne.
J'accuse le conseil de l'ordre des médecins d'avoir coopéré à cette escroquerie, en faisant régner la peur et la terreur parmi les médecins qui soignaient. J'accuse le Conseil de l'ordre des Médecins et celui des pharmaciens d'avoir contraint les médecins et pharmaciens à violer leurs serments, leur éthique, leur déontologie en faisant usage de méthodes coercitives pour les empêcher de prodiguer les soins nécessaires à leurs patients, en les empêchant de recevoir leurs patients et de les opérer s'ils n'étaient pas vaccinés, avec un produit en phase expérimentale. D'avoir contribué à bannir de leur rang tous médecins et pharmaciens, qui fidèles à leurs engagements et vocations, ont soigné ou informé les patients en vertu des serments et des conventions internationales.
J'accuse l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé d'avoir contribué à la perte de chance des patients, en ne donnant pas une autorisation temporaire d’utilisation de l’hydroxychloroquine telle que cela lui fut demandé par l’IHU méditerranée, ou une autorisation sur l’ivermectine, et d’avoir à l'inverse fourni une autorisation temporaire sur les thérapies géniques, en absence d’études fondamentales sur la toxicité de ces produits (absence des données sur la bio distribution, la génotoxicité et l’immunotoxicité). Et, j'accuse également l'ANSM d’avoir minimisé l’importance des effets secondaires et de ne pas avoir tout mis en œuvre pour obtenir (rétention d’information) les informations sur les données de mortalité des décès, toutes causes, avec statut vaccinal et par classe d’âge, ce qui aurait permis de démontrer sans faille les assertions des politiques.
J’accuse ceux qui ont privé les français des médicaments peu onéreux, non toxiques et efficaces en phase précoce de la maladie (comme l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et l’ivermectine), ce qui les a empêchés de recevoir des soins très bon marché, indispensables, et faciles à mettre en place, et ce qui, par conséquence, a provoqué indirectement la mort de bon nombre de nos concitoyens. Une quantité qu’il s’agira d’estimer de façon fiable dans une troisième mi-temps, qui elle, devra être judiciaire, puisque certains médecins ont été jusqu’à faussement estimer une mortalité associée à l’hydroxychloroquine (étude rétractée).
J’accuse de nombreux leaders d’opinion, souvent professeurs de CHU, d’avoir tenté de discréditer, caricaturer un des scientifiques les plus reconnus dans le monde en matière de maladies infectieuses : le Professeur Raoult et ses collègues de l’IHU méditerranée, alors que leurs détracteurs qui n’ont en rien contribué à la science lors de l’épidémie de COVID-19, péroraient sur les plateaux de télévision sans contradicteur. En outre, souvent, ces mêmes médecins, leaders d’opinion, ont essayé par tous les moyens de promouvoir le « Remdesivir », très cher et toxique, absolument non utilisable même en phase précoce, seule phase où le traitement antiviral présente un intérêt.
J’accuse nombre de médecins d’avoir failli à leur mission, en premier lieu, dans l’esprit et le respect du serment d’Hippocrate : celle de soigner.
J’accuse une partie de la communauté scientifique, d’avoir voulu discréditer l’hydroxychloroquine et autres traitements précoces ; très certainement en raison de conflits d’intérêt avec le lobby pharmaceutique en concevant des études scientifiques biaisées évaluant l’hydroxychloroquine chez des patients déjà hospitalisés, donc à un stade de prise en charge souvent trop tardif ; des études administrant des doses toxiques (étude anglaise Recovery), et n’associant pas (pour la plupart d’entre elles) l’azithromycine et un timing approprié de soins accompagnés de comédications, comme les anti-coagulants et la dexaméthasone.
J’accuse les promoteurs des études «DISCOVERY » et «HYCOVID » d’avoir voulu effacer l’efficacité de ce médicament et de s’être empressés d’arrêter ou de suspendre le bras hydroxychloroquine. En effet, au 30 juin 2020, le bras hydroxychloroquine a été arrêté, alors que le ratio de risque donnait une évaluation positive en faveur de l’hydroxychloroquine, pas encore statistiquement significative, certes, mais si l’essai avait été poursuivi pour atteindre les 620 patients par bras comme initialement prévu, on aurait pu obtenir un résultat significatif consacrant l'efficacité du traitement.
J’accuse nombre de journaux scientifiques de publier l’impubliable. La meilleure preuve de malhonnêteté est l’immense scandale des articles publiés, puis rétractés (art.1, art.2, art 3), en particulier dans « The Lancet et autres revues. Car il faut savoir qu'un éditeur a tout pouvoir pour accepter ou rejeter un article indépendamment, de le faire passer par le système de revue par les pairs, voire éventuellement sans tenir compte de leur avis.
J’accuse une association française bien connue d'avoir propagé cette rumeur totalement fausse de la toxicité de l’hydroxychloroquine en instrumentalisant un rapport de pharmacovigilance sans regarder le fait qu’il n’y avait pas de signaux de toxicité dans d’autres pays.
J’accuse ceux qui ont menti et proféré tout et son contraire, tout au long de l’épidémie, d’avoir engendré des pertes de chance de patients et le désarroi dans de nombreuses familles. Lisons à cet effet les édifiants livres du professeur Perronne « Quelles erreurs n’ont-ils pas commises ? » et « Décidément, ils n’ont toujours rien compris ! » Rappelons simplement les recommandations sur les tests et les masques, qui furent successivement inutiles, puis utiles, au fur et à mesure qu’ils devenaient disponibles. Notons la tromperie sur les indicateurs évaluant la saturation du nombre de lits de réanimation, autour d’une confusion entre lits de réanimation, lits de réanimation et de soins intensifs, et peut-être lits de soins continus, sans que la différence ait été clairement stipulée (Nouvelle incohérence de Santé Publique France et du ministre de la Santé ou bien erreur volontaire).
J'accuse le Garde de Sceaux de sévérité indue envers les faibles, et de laxisme coupable devant les puissants, notamment en ce qui concerne les ministres et membres de la représentation nationale, pour leurs affaires de mœurs ou de stupéfiants.
J'accuse l'ordre des avocats de s'être montré un auxiliaire de cette justice partisane.
J'accuse les magistrats d’avoir contribué à violer l’indépendance de la justice, en ayant une approche protectrice, voire partisane ou politique, des décisions qu'ils ont prises en ce sens. Une application du droit à géométrie variable et à ajustements constants.
J'accuse le ministre de l'Économie d'avoir creusé la dette de façon abyssale, qui plus est non pas pour aider au destin de la France, mais pour lui nuire au plus haut point, en offrant une dette de plus en plus importante, sans limitation, sur les vivants et sur les enfants à naître.
J'accuse la Cour des comptes de toujours tirer la sonnette d'alarme trop tard, et pour les milliards d'euros qu'elle coûte aux Français chaque année... pour rien.
J'accuse le ministre de l'Intérieur de violences létales totalement injustifiées contre les Gilets Jaunes, les pompiers, les infirmières, les retraités, etc., qui manifestaient pacifiquement pour leurs droits, et je l'accuse aussi pour son défaut de réponse aux questions qui lui ont été posées par l'O.N.U. à ce sujet.
J'accuse le ministre des Affaires sociales de masquer les affaires de mœurs et de pédophilie qui gangrènent ses services de terrain.
J'accuse le ministre de l'Éducation nationale de contribuer à affaiblir le niveau d'éducation des enfants, en utilisant le plus petit commun dénominateur pour établir le niveau mettant au rebut la méritocratie prônée pendant si longtemps par l’institution qu’est l’Éducation nationale. Et, je l'accuse également d'inciter les enfants à la débauche au travers de programmes ciblant notamment l’éducation sexuelle et des sujets dépravants, totalement inappropriés pour leur très jeune âge. Ceci entraine un appauvrissement intellectuel et du rayonnement du modèle français, l'éducation étant un traitement précoce contre la pauvreté et foyer de découvertes, de progrès et de croissance.
J'accuse le ministre de la Recherche et de l'enseignement supérieur de dérives sectaires entrainant la perte de chance de patients et la prise de risque à d’autres personnes qui ne sont pas à risque (notamment les jeunes qui n’avaient pas de risque avec la Covid). Je l’accuse aussi de ne pas avoir pris la défense des scientifiques de l’IHU devant le harcèlement incessant subi durant les quatre dernières années avec de nombreuses inversions accusatoires et une instrumentalisation de la science.
J’accuse le ministre de l’Agriculture de rendre la vie impossible à nos agriculteurs, de les précipiter dans la précarité ou la faillite en sacrifiant les priorités que sont l'intérêt des Français et la sécurité de la Nation au profit d'une idéologie mondialiste qui nous éloigne des valeurs de la France et du préambule de la Constitution qu'est la Déclaration des droits de l'Homme. Cela entrainant des risques majeurs par la perte de notre autosuffisance alimentaire et de la destruction de l’économie agricole, de la culture et de la socialité rurales. Cela fait aussi prendre des risques de santé publique aux Français avec une nourriture moins saine ou ayant des standards de qualité inférieurs ainsi que par la pollution de la nourriture, des sols, de l’air et de l’eau.
J'accuse les partis politiques de pactes avec le gouvernement, pour servir leurs intérêts personnels, au préjudice de la France et des Français.
J'accuse le ministre de la Culture de détournement coupable et d'affaiblissement, à la fois drastique et méthodique, de la culture française, et surtout de partialité dans les attributions des certificats de médias ainsi que les aides aux médias. À ce titre d'ailleurs , « j'accuse » (avec humour) France-Soir d'avoir pris le temps de publier et de prendre des risques sur tous ces sujets, en essayant de défendre l'éthique et la déontologie du journalisme « quoiqu'il en coûte », conformément au devoir premier du journaliste.
J'accuse les médias asservis à l'oligarchie financière internationale et les médias subventionnés à milliards, de mentir aux Français et d'essayer d’exercer une emprise totalitaire sur le peuple, en tentant d’annihiler le débat contradictoire, qualifiant notamment toute pensée différente de « complotisme », usant de sarcasmes tout en évitant soigneusement les arguments rationnels et référencés. (3)
J’accuse les commissaires européens de détournement de pouvoir dans le cadre de l’approbation des inoculâts covid-19, sur des informations incomplètes, mettant ainsi en danger les populations des États membres. Et, par là même, j'accuse la Cour de justice de l'Union européenne de protéger ces décisions en ne rendant pas transparents ces contrats.
J’accuse le ministère des Armées d’avoir contribué à mettre en danger la défense nationale en imposant la vaccination obligatoire des militaires alors que de trop nombreux effets secondaires étaient déplorés au sein même des Armées et qu’ils n’étaient pas à risque de par l’âge des soldats.
J’accuse le médecin de l’Élysée d’avoir trahi la promesse de transparence du président Macron sur son état de santé, en ne produisant pas de bulletin de santé de celui-ci, tel que le président en avait pris l’engagement.
J’accuse le gouvernement de trahison envers la Nation et le Peuple français, en contribuant à faire rétrograder la liberté d’expression et les libertés fondamentales en France, et en pactisant avec une ou des puissances étrangères, pour entraîner la France dans une crise économique, sanitaire et d’identité sans pareille dans toute son Histoire dans un non-respect du préambule de la Constitution qu’est la Déclaration des Droits de l’Homme.
J’accuse le président de la République de vouloir enfreindre la loi de 1905 sur la séparation de l’église et de l’État en voulant délivrer un discours politique à l’intérieur de la cathédrale Notre-Dame lors de sa réouverture. Ce qu’aucun roi de France n’a jamais fait, et qui est proscrit par l’article 35-1 de la loi de 1905.
Et, enfin, j'accuse le président de la République d'être le chef d'orchestre de ce requiem et de ne pas agir dans le sens de l'intérêt général de la France et des Français. D'avoir mis la République en Marche, délibérément dans le sens totalement opposé à l’intérêt national.
NOTA : cette version augmentée est publiée suite à de nombreux échanges avec des lecteurs afin d'apporter quelques éléments qui avaient échappé à la version publiée le 7 novembre 2024. L'intelligence collective permet toujours de s'améliorer, tel que France-Soir en a fait le pari dans son manifeste publié le 1ᵉʳ mai 2020 (pour télécharger le manifeste)
le 14 novembre à 19 heures FACE A L'INFO video supprimée de la chaîne @CNEWS
Dans le monde réel, il est invraisemblable qu'un média censure une personnalité, qu'elle soit aimée ou détestée, sans que cette action soit délibérée de la part de la chaîne. La censure est toujours le résultat d'une décision consciente, motivée par des considérations politiques, économiques, ou éthiques, mais jamais accidentelle ou involontaire.
Pr. Didier #raoult : Francis Fukuyama a écrit : « Finalement, les hommes politiques sont de plus en plus bêtes, de plus en plus médiocres. » Il a formulé cette observation en 1990. Cela fait écho à ce que Philip K. Dick évoque dans son roman de science-fiction Simulacres (1964), où il parle de marionnettes.
Avec @EmmanuelMacron, on a parfois l'impression qu'il s'agit de plus que de simples marionnettes.
C. Kelly : Si l'on regarde les sondages, beaucoup de Français pensent cela.
Pr. Didier #raoult : Il écrit aussi : "On ne verra jamais un type comme Trump prendre le pouvoir aux États-Unis." Et là, vous avez pour la première fois deux milliardaires qui se mouillent les manches. Ce ne sont pas des gens qui font cela pour trouver un travail ou pour gagner de l'argent ; ils n'ont pas besoin d'argent.
Ce sont donc des personnes qui ont connu une réussite personnelle exceptionnelle et qui prennent le bateau parce qu'ils pensent que le bateau coule.
���� DISCOURS DE JAVIER MILEI À LA SESSION II DU SOMMET DES DIRIGEANTS DU G20
Chers membres de cette assemblée,
Les organismes et forums internationaux qui forment aujourd'hui la communauté internationale ont été créés avec l'esprit que toutes les nations impliquées pourraient… pic.twitter.com/Ult2Cw8PcG
— Javier Milei FR (compte non affilié) (@actujaviermilei) November 18, 2024
Les organismes et forums internationaux qui forment aujourd'hui la communauté internationale ont été créés avec l'esprit que toutes les nations impliquées pourraient se réunir pour coopérer de manière volontaire, en tant qu'égales et autonomes, pour, entre autres, protéger les droits fondamentaux des individus. Cela est gravé dans le marbre à l'article premier de la Déclaration universelle des droits de l'homme, qui stipule que "tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits". Cependant, aujourd'hui, près de 70 ans après l'inauguration de ce système de coopération internationale auquel nous, les présents, ainsi que le reste des nations du monde participons, il est temps de reconnaître que ce modèle est en crise, car depuis longtemps, il a manqué à son objectif initial. Premièrement, parce que nous avons échoué à remplir le mandat de coopération internationale volontaire entre égaux. Aujourd'hui, ce qui régit la communauté internationale est un système d'imposition, et non de coopération symétrique et autonome.
Deuxièmement, et plus important encore, parce que bon nombre des politiques promues avec insistance par la communauté internationale violent les droits les plus fondamentaux des citoyens du monde, à savoir le droit à la vie, à la liberté et à la propriété privée. En pensant au thème de cette exposition, je crois que le concept de "gouvernance mondiale" est devenu l'étiquette de cet échec. Car aujourd'hui, bien que certains n'osent pas le dire à voix haute, nous sommes nombreux au sein de la communauté internationale à considérer que "gouvernance mondiale" est synonyme d'impositions de toutes sortes à nos nations et à nos citoyens. Cela va des barrières à la production et au commerce, aux mandats de censure de la libre expression, en passant par des impositions culturelles et des conditionnements à l'accès au marché du crédit. Le problème, c'est que ces décisions ne sont pas des accords entre parties, mais des exigences, car ceux qui osent avoir un point de vue différent sont réprimandés.
Pour nous, le consensus repose toujours sur un désaccord sain et un débat vigoureux. Mais aujourd'hui, le désaccord scandalise, et le débat n'est ni vigoureux ni sain. Il n'y a pas d'égalité souveraine qui le permette, et, en conséquence, le régime international devient un corset qui nous étouffe. La preuve en est que, dans divers domaines, nous avons été accusés de promouvoir des discours de haine, d'être antidémocratiques ou de constituer un danger pour les droits de l'homme, simplement pour avoir une opinion dissidente.
Cela signifie que les mécanismes de gouvernance mondiale n'offrent pas un canal de dialogue entre semblables. Ils offrent seulement deux choix :
soumission ou rébellion.
Eh bien, plutôt que d'être esclaves, nous préférons la rébellion.
C'est pourquoi je vais profiter de cette occasion pour clarifier la position de cette administration sur certaines revendications de la soi-disant "gouvernance mondiale".
S'il s'agit de restreindre la liberté d'opinion, ne comptez pas sur nous. S'il s'agit de transgresser le droit de propriété des individus par des impôts et des réglementations, ne comptez pas sur nous.
S'il s'agit de limiter le droit des pays à exploiter librement leurs ressources naturelles, ne comptez pas sur nous.
S'il s'agit d'inventer des privilèges de sexe, de race, de classe ou de toute minorité et de nier le principe d'égalité devant la loi, ne comptez pas sur nous.
S'il s'agit d'imposer une intervention étatique accrue dans l'économie, ne comptez pas sur nous.
Nous croyons que la coopération internationale peut être bénéfique pour tous, oui, mais pour cela, il est indispensable de respecter la souveraineté des nations et les droits individuels de leurs citoyens.
Jour pour jour, 35 ans après la chute du mur de Berlin et 54 ans après la mort du grand Charles, Elon Musk rappelle par ce post sur X que Donald Trump va faire tomber le mur de la désinformation...
Traduction proposée par Jean-Dominique Michel de l'allocution prononcée par Donald Trump en décembre 2022
"Si nous n'avons pas la liberté d'expression, alors nous n'avons tout simplement pas un pays libre. C'est aussi simple que cela. Si l'on permet à ce droit le plus fondamental de disparaître, alors le reste de nos droits et de nos libertés tomberont. Comme des dominos. L'un après l'autre, ils tomberont.
C'est pourquoi j'annonce aujourd'hui mon plan pour briser le régime de censure de la gauche et récupérer le droit à la liberté d'expression pour tous les Américains. Et récupérer est un mot très important dans ce cas, parce qu'ils l'ont enlevé.
Au cours de ces dernières semaines, des rapports sensationnels ont confirmé qu'un groupe sinistre de bureaucrates de l'État profond, de tyrans de la Silicon Valley, d'activistes de gauche et de médias corporatifs dépravés ont conspiré pour manipuler et réduire au silence le peuple américain.
Ils ont collaboré pour supprimer des informations vitales sur des sujets aussi variés que les élections ou la santé publique. Le cartel de la censure doit être démantelé et détruit, et ce immédiatement. Voici mon plan
.
Premièrement : dans les heures qui suivront mon investiture, je signerai un décret interdisant à tout ministère ou organisme fédéral de s'associer à une organisation, une entreprise ou une personne pour censurer, limiter, catégoriser ou empêcher les citoyens américains de s'exprimer légalement.
J'interdirai ensuite l'utilisation de fonds fédéraux pour qualifier des discours nationaux de fausses informations ou de désinformation, et j'entamerai le processus d'identification et de licenciement de tous les fonctionnaires fédéraux qui se sont livrés à la censure nationale, directement ou indirectement, qu'il s'agisse du ministère de la sécurité intérieure, du ministère de la santé et des services sociaux, du FBI ou du ministère de la justice. Peu importe qui ils sont.
Deuxièmement : j'ordonnerai au ministère de la Justice d'enquêter sur toutes les parties impliquées dans le nouveau régime de censure en ligne, qui est absolument destructeur et terrible, et de poursuivre de manière agressive tous les délits identifiés. Il s'agit notamment d'éventuelles violations de la loi fédérale sur les droits civils, des lois sur le financement des campagnes électorales, de la loi fédérale sur les élections, de la loi sur les valeurs mobilières et des lois antitrust, du Hatch Act, et d'une multitude d'autres infractions pénales, civiles, réglementaires et constitutionnelles potentielles.
Pour contribuer à ces efforts, j'invite les républicains de la Chambre à envoyer immédiatement des lettres de préservation, et nous devons le faire dès maintenant, à l'administration Biden, à la campagne Biden et à tous les géants technologiques de la Silicon Valley pour leur ordonner de ne pas détruire les preuves de la censure.
Troisièmement : dès mon investiture en tant que président, je demanderai au Congrès de m'envoyer un projet de loi révisant l'article 230 afin que les grandes plateformes en ligne ne se mêlent plus de censure. Dorénavant, les plateformes numériques ne pourront bénéficier de l'immunité prévue à l'article 230 que si elles respectent des normes strictes en matière de neutralité, de transparence, d'équité et de non-discrimination. Nous devrions exiger de ces plateformes qu'elles redoublent d'efforts pour supprimer les contenus illicites, tels que l'exploitation des enfants et la promotion du terrorisme, tout en réduisant considérablement leur pouvoir de restreindre arbitrairement les discours licites.
Quatrièmement : nous devons démanteler toute l'industrie de la censure toxique qui a vu le jour sous le faux prétexte de s'attaquer à ce qu'on appelle la désinformation. Le gouvernement fédéral doit immédiatement cesser de financer toutes les organisations à but non lucratif et tous les programmes universitaires qui soutiennent ce projet autoritaire.
Si l'on découvre qu'une université américaine s'est engagée dans des activités de censure ou d'ingérence électorale par le passé, par exemple en signalant des contenus de médias sociaux en vue de leur suppression ou de leur mise sur liste noire, ces universités devraient perdre les fonds fédéraux alloués à la recherche et les prêts étudiants fédéraux pour une période de cinq ans, voire plus. Nous devrions également adopter de nouvelles lois prévoyant des sanctions pénales claires pour les bureaucrates fédéraux qui s'associent à des entités privées pour contourner la Constitution et priver les Américains de leurs droits garantis par le premier, le quatrième et le cinquième amendement. En d'autres termes, les priver de leur vote.
Et une fois que vous avez perdu ces élections, et une fois que vous avez perdu vos frontières comme nous l'avons fait, vous n'avez plus de pays. En outre, pour résoudre le problème de l'infiltration des grandes plateformes par des légions d'anciens membres de l'État profond et de fonctionnaires des services de renseignement, il faudrait instaurer une période de réflexion de sept ans avant qu'un employé du FBI, de la CIA, de la NSA, du DNI, du DHS ou du DoD ne soit autorisé à prendre un emploi dans une entreprise possédant de grandes quantités de données d'utilisateurs américains.
Cinquièmement : le temps est enfin venu pour le Congrès d'adopter une charte des droits numériques. Celle-ci devrait inclure le droit à une procédure régulière en matière numérique. En d'autres termes, les fonctionnaires devraient avoir besoin d'une décision de justice pour supprimer des contenus en ligne, et non pas envoyer des demandes d'information comme celles que le FBI a adressées à Twitter. En outre, lorsque des utilisateurs de grandes plateformes en ligne voient leur contenu ou leur compte supprimé, bloqué, interdit ou soumis à d'autres restrictions, quel que soit le nom qu'ils utilisent, ils devraient avoir le droit d'être informés de ce qui se passe, d'obtenir une explication précise des raisons de cette décision et de faire appel dans les délais impartis. En outre, tous les utilisateurs âgés de plus de 18 ans devraient avoir le droit de se soustraire entièrement à la modération et à la curation des contenus et de recevoir un flux d'informations non manipulé s'ils le souhaitent.
La lutte pour la liberté d'expression est une question de victoire ou de mort pour l'Amérique et pour la survie de la civilisation occidentale elle-même. Lorsque je serai président, tout ce système pourri de censure et de contrôle de l'information sera arraché au système dans son ensemble. Il ne restera plus rien. En rétablissant la liberté d'expression, nous commencerons à récupérer notre démocratie et à sauver notre nation.
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