Avec la généralisation de l’Open Access, deux modèles économiques concurrents se sont imposés : le modèle diamant (gratuit pour l’auteur et le lecteur) et le modèle des APC (frais de publication payés par l’auteur ou son institution). Ce dernier a malheureusement entraîné la multiplication des éditeurs dits “prédateurs”. Peu scrupuleux sur la qualité scientifique des articles publiés, ils représentent un piège à éviter absolument pour les chercheurs.
Cette présentation sera consacrée aux éditeurs considérés comme prédateurs ou en “zone grise”, au phénomène des conférences prédatrices et enfin, à celui, plus émergeant des paper mills, favorisés par l’intelligence artificielle.
Ce webinaire sera l’occasion de vous présenter les outils et réflexes à avoir pour vous en prémunir. ---
Dans le cadre de la politique Science ouverte de l’UM, l’équipe d’appui à la recherche de l’UM lance un cycle de webinaires à destination de la communauté scientifique.
D’un format court (20 à 40 min de présentation puis temps d’échange), ces ateliers alterneront entre apports théoriques et démonstrations pratiques autour de la Science ouverte, des publications scientifiques et des données de la recherche.
Une veille scientifique et technique sur les thématiques : politique(s) de la science ouverte ; évaluation de la recherche ; Données de la recherche ; Engagements dans les établissements de l’ESR. Ressources scientifiques et techniques sélectionnées par les documentalistes du Service Documentation L@Doc : Ressources - Formation - Appui à la recherche - Institut Agro Rennes-Angers
Quelles conséquences ont sur la probité de la littérature scientifique les quelque 10 000 articles rétractés sur un total de 3 millions de nouvelles publications annuelles ? Plus qu’on ne pourrait le croire !
Comment sensibiliser et former son équipe à la science ouverte avec des newsletters ? Le paysage de la science ouverte est en constante évolution et il n’est pas toujours évident de se tenir au courant des dernières nouveautés. Les newsletters constituent alors un bon moyen de rester informé.
Un billet publié le 13 mai dernier sur le blog Upstream (blog consacré à la science ouverte) s’interroge sur la capacité de celle-ci à tenir bon en période de crise et suggère des pistes pour la renforcer. Dans le contexte géopolitique actuel, cette réflexion arrive à point nommé.
Les auteurs recensent les attaques récemment portées contre la recherche, et plus particulièrement contre la science ouverte. Ils les classent en cinq grandes menaces :
Le financement, Les infrastructures de recherche (bases de données, plateformes, serveurs, etc.), La liberté académique, La sécurité des chercheurs et de leur communauté, La désinformation et la défiance envers la science.
Au début des années 2010, j’étais une étudiante mexicaine qui venait tout juste d’entrer à l’université. À l’époque, je faisais souvent des recherches sur internet pour mes devoirs, de préférence en espagnol, car les trouver en anglais demandait un effort supplémentaire. Sans le savoir, je tombais alors régulièrement sur les plateformes Redalyc et Scielo, qui étaient en réalité les pionnières des revues en libre accès en Amérique latine.
De nombreuses années universitaires plus tard, encore une fois grâce à l’opportunité d’écrire sur ce blog, je prends conscience de la chance que nous avons, en tant que Latinoaméricains, d’avoir accès à l’information scientifique en espagnol via le modèle diamant, qui représente 95 % des revues de la région, principalement grâce à ces deux plateformes financées par des fonds publics.
Dans un article récent du Journal of Librarianship and Scholarly Communication, Kira Hopkins et Kevin Sanders analysent le développement de la voie diamant pour les livres.
L’article part du constat de l’échec du modèle actuellement dominant dans la publication scientifique : la voie dorée. Les excès du modèle sont soulignés (revues prédatrices, échec des accords transformants, accords read-and-publish…), ainsi que leurs conséquences, notamment la barrière financière des APC qui empêche les scientifiques les moins bien dotés de publier.....
Ce cours permet aux chercheurs, ingénieurs, doctorants et professionnels de l’information scientifique d’appréhender tous les aspects de la rédaction et de la publication d’un Data Paper.
La formation aborde de façon progressive et structurée :
Les spécificités d’une publication de jeu de données ; La structure et les composants d’un Data Paper ; L’écosystème d’outils dédiés à la publication de données de recherche ; Les critères de choix d’une revue et d’un entrepôt de données ; Les standards de métadonnées et leur importance ; Les particularités du processus de soumission et d’évaluation.
« Avec la sélection de 13 premiers nœuds, la fédération de l’European Open Science Cloud (EOSC) ouvre la voie vers son futur portail européen d’accès et de mise à disposition de données et de logiciels pour l’ensemble des communautés scientifiques. Parmi ces nœuds, Data Terra, une infrastructure de recherche dédiée au système Terre et à l’environnement, dont la candidature était portée par le CNRS. (…) » Partager
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Pendant mes quatre années de doctorat, on m’a répété mille fois que publier dans une revue scientifique constituait la preuve de la réussite de mon travail de recherche. Que plus le facteur d’impact de la revue était élevé, mieux c’était, car cela témoignait de ma qualité en tant que chercheuse. C’était aussi, m’a-t-on dit, la clé pour décrocher un postdoctorat si je souhaitais poursuivre une carrière dans la recherche.
Durant cette période, j’ai été surprise par les coûts exorbitants pour publier dans les fameuses revues censées déterminer si mon travail « valait le coup » ou non — on parlait déjà de montants à quatre chiffres pour les « meilleures revues ». J’ai été indignée d’apprendre que les articles devaient être relus et validés par des reviewers qui n’étaient pas rémunérés pour ce travail. Et j’ai été scandalisée de découvrir que, si je ne payais pas ces frais de publication, d’autres chercheurs souhaitant accéder à mes résultats de recherche devraient eux aussi payer. Finalement, tout semblait se résumer à l’argent.
Ce n’est que deux ans après avoir soutenu ma thèse que j’ai entendu parler de la science ouverte, grâce à l’opportunité d’écrire sur ce blog. En commençant à m’informer et à suivre les formations sur le sujet proposées par l’Institut Pasteur, ainsi que sur des plateformes comme FUN, avec le MOOC proposé par Sorbonne Université, j’ai été rassurée de constater qu’un véritable mouvement cherche à renverser ce paradigme : celui de la science ouverte......"
Ce guide a été conçu pour répondre aux défis récents de la gestion des données de recherche dans le contexte de la science ouverte. Il s’appuie sur les réflexions interdisciplinaires menées au sein de réseaux et de groupes de travail de la MITI (GeDeM, RTmfm et DOREMITI) et d’instituts du CNRS, mettant en avant des pratiques FAIR (Faciles à trouver, Accessibles, Interopérables et Réutilisables). En prenant pour exemple la gestion des données en microscopie photonique, ce document propose un cas d’usage concret tout en exposant les notions fondamentales de la gestion FAIR. Le guide suit les étapes du cycle de vie des données, enrichi d’une phase initiale dédiée à la planification et à la préparation des projets. Cette approche met en lumière l’importance de chaque étape, depuis l’acquisition jusqu’à la publication, afin d’assurer la pérennité, la diffusion et la réutilisation des données au-delà de leur contexte initial. Non exhaustif, ce guide s’inscrit dans les efforts nationaux pour la science ouverte, offrant un accompagnement aux ingénieurs et aux chercheurs dans la gestion des données”.
Pour citer le guide : Alexis Lebon, Julio Mateos Langerak, Faisal Bekkouche, Guillaume Gay, Mathieu Vigneau, et al.. Guide des bonnes pratiques pour la gestion des données de la recherche en BioImagerie. RTmfm, MITI du CNRS, IFSeM. 2025. hal-05023064
"Jisc has been a longstanding participant in both the OA2020 and the Berlin conferences, sharing the UK’s strategies and learning from international peers....."
Since its inception in 2003, the Open Access conference (OA2020) has played a key role in shaping the open access movement, offering a unique space for consortia and libraries to engage directly with senior leaders from the academic publishing industry. It’s a place to celebrate progress, confront ongoing challenges, and find collaborative solutions.
The Berlin meetings have helped define pivotal milestones for open access. Berlin 13, for example, reinforced the idea that subscription funds should be redirected to support sustainable OA business models. Berlin 16 highlighted that removing paywalls must not lead to new barriers in open science participation.
These conversations have led to real progress, including clearer, more aligned publishing licenses that better serve the needs of researchers....."
Méthodologie, intégrité, éthique, reproductibilité, science ouverte, techniques rédactionnelles, démarche qualité, découvrez les outils, les ressources et les questions à se poser pour évoluer avec aisance dans l’écosystème de la recherche.
Rédaction d’articles, lectures scientifiques, expérimentations, réflexion, conférences, voyages et enseignement … le quotidien d’un chercheur est souvent bien rempli ! Si vous êtes déjà engagé-e dans cette aventure ou si vous songez à le faire, c’est que vous avez la curiosité intellectuelle, la polyvalence, la rigueur et la résilience nécessaires pour ce métier. La recherche est passionnante, variée et utile à la société, pour peu qu’on en maîtrise les règles et les bonnes pratiques. Cette sélection de MOOC vous donnera les outils pour naviguer dans le milieu de la recherche comme un poisson dans l’eau.
Le MOOC Reproducible Research II: Practices and tools for managing computations and data proposé par Inria intéressera toute personne souhaitant maîtriser la gestion des données massives et des calculs complexes dans un contexte de recherche scientifique. Dispensé en anglais, ce MOOC vous apprendra à organiser, versionner et archiver efficacement vos données et votre code à l’aide d’outils reconnus comme Git Annex, Software Heritage ou Zenodo, et à adopter des formats structurés tels que FITS ou HDF5. Vous découvrirez également comment déployer des environnements logiciels contrôlés grâce à des outils comme Docker ou Guix, essentiels pour garantir la reproductibilité de vos travaux. Enfin, il vous guidera dans l’automatisation des analyses longues ou distribuées à l’aide de workflows (make, snakemake), tout en assurant un contrôle total de l’environnement logiciel utilisé. Que vous soyez chercheur, ingénieur ou data scientist, ce MOOC vous permettra de franchir un cap dans la gestion rigoureuse de vos projets scientifiques. Inscrivez-vous dès maintenant pour professionnaliser vos pratiques ! Ce cours est en anglais. Début du cours : 5 mai 2025
Qu’ils soient universités, grandes écoles ou organismes de recherche, 152 établissements de l’Enseignement supérieur et Recherche disposent d’un portail HAL pour valoriser l’ensemble des publications qui leur sont affiliées.
Depuis quelques années, le peer-reviewing ouvert post-publication se développe grâce à des plateformes comme PubPeer. Cette pratique est devenue essentielle pour signaler les publications suspectes et ainsi lutter contre la fausse science. Cependant, évaluer la fiabilité des publications requiert souvent des connaissances spécifiques que tout le monde ne possède pas.
Pour pallier à cette difficulté, un collectif de « détectives scientifiques » (ou « scientific sleuths ») vient de mettre à disposition une collection de guides pratiques afin de partager leurs connaissances avec le plus grand nombre : The Collection of Open Science Integrity Guides (COSIG). La collection compte actuellement 27 guides sous licence CC BY-NC-SA et est appelée à s’enrichir.
L’ambition est claire : démocratiser la révision post-publication en partant du principe que chaque scientifique, quel que soit son niveau d’expérience, peut y contribuer. Ces guides permettent à tout lecteur d’articles scientifiques de développer un regard critique et de détecter les articles présentant des problèmes d’intégrité.
L’intégration de Loterre à l’infrastructure Istex, opérée par l’Inist, marque une nouvelle avancée dans l’accès aux ressources terminologiques scientifiques.
Cette arrivée s’inscrit dans le mouvement de science ouverte, en facilitant l’accès à des vocabulaires scientifiques normalisés, multilingues et multidisciplinaires, et vise à rapprocher les textes scientifiques, des terminologies qui en découlent. Qu’est-ce que Loterre ?
Loterre (Linked Open Terminology Resources) est un service qui met à disposition des terminologies scientifiques — thésaurus, taxonomies, vocabulaires contrôlés — dans un format conforme aux standards du web des données ouvertes et liées (Linked Open Data – LOD). L’objectif : favoriser leur réutilisation dans des contextes variés comme la fouille de texte, l’annotation sémantique, la recherche d’information et la traduction spécialisée.
The increasingly hostile attitude of the new U.S. government towards science and academia leaves many of us deeply concerned— if not outright alarmed. In an effort to better understand the unfolding situation and navigate its potential impacts, we provide an overview of five types of threats, each supported by
L’Open peer review (OPR) est un mode d’évaluation des travaux scientifiques par les pairs apparu avec le mouvement de la science ouverte. Les définitions de l’OPR étant très diverses, Tony Ross-Hellauer, chercheur à l’université de Göttingen, propose, dans une revue systématique publiée en 2017, une synthèse des sept formes que peut prendre l’OPR.
Avec la généralisation de l’Open Access, deux modèles économiques concurrents se sont imposés : le modèle diamant (gratuit pour l’auteur et le lecteur) et le modèle des APC (frais de publication payés par l’auteur ou son institution). Ce dernier a malheureusement entraîné la multiplication des éditeurs dits “prédateurs”. Peu scrupuleux sur la qualité scientifique des articles publiés, ils représentent un piège à éviter absolument pour les chercheurs.
Cette présentation sera consacrée aux éditeurs considérés comme prédateurs ou en “zone grise”, au phénomène des conférences prédatrices et enfin, à celui, plus émergeant des paper mills, favorisés par l’intelligence artificielle.
Ce webinaire sera l’occasion de vous présenter les outils et réflexes à avoir pour vous en prémunir. ---
Dans le cadre de la politique Science ouverte de l’UM, l’équipe d’appui à la recherche de l’UM lance un cycle de webinaires à destination de la communauté scientifique.
D’un format court (20 à 40 min de présentation puis temps d’échange), ces ateliers alterneront entre apports théoriques et démonstrations pratiques autour de la Science ouverte, des publications scientifiques et des données de la recherche.
Organisée par le chargé de mission Science ouverte, le groupe de travail SO et la Direction de la recherche et de la valorisation, cette matinée d’étude abordera la réforme en cours de l’évaluation de la recherche, en écho aux travaux de la coalition CoARA, à laquelle l’URCA a adhéré en 2022.
Au cours de cette matinée, il s’agira de comprendre les enjeux, les difficultés et les conditions de réalisation d’une approche plus qualitative de l’évaluation de la recherche et des chercheurs. En lien avec le rapport du Comité Évaluation et science ouverte de l’Académie des sciences du 13 mars 2025, « Évaluation des enseignants-chercheurs, des chercheurs, de leurs équipes et de leurs projets scientifiques dans le contexte de la science ouverte », nous chercherons aussi à vérifier comment une meilleure prise en compte des activités liées à la science ouverte peut constituer un levier pour changer les pratiques.
Le ministère chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche (MESR) et le Comité pour la science ouverte (CoSO) annoncent l'ouverture des prix science ouverte 2025 du logiciel libre, des données de la recherche et de la thèse. L'objectif est de promouvoir les pratiques de science ouverte.
Les candidatures pour les prix science ouverte du logiciel libre, des données de la recherche et de la thèse sont ouvertes jusqu’en juin 2025. Cette initiative s’inscrit dans la lignée du deuxième Plan national pour la science ouverte et a pour ambition de soutenir les projets, les équipes et les jeunes scientifiques engagés dans une démarche exemplaire de science ouverte.
Une épirevue (en anglais : overlay journal) est une revue électronique en accès ouvert, alimentée par les articles déposés dans les archives ouvertes et non publiés par ailleurs (glossaire de la science ouverte du CNRS).
La condition préalable pour qu’un article soit publié dans une épirevue consiste donc à déposer son préprint dans une archive ouverte (HAL, arXiv, Zenodo…). Les auteurs soumettent ensuite leur manuscrit à une épirevue, laquelle organise son évaluation par les pairs. La version acceptée de l’article est ensuite déposée dans l’archive ouverte.
L’épirevue peut donc être considérée comme une « surcouche » (overlay) aux archives ouvertes. La revue prend en charge le workflow éditorial ainsi que la publication des articles sur son site web : présentation des articles compilés en volumes et numéros, attribution d’un DOI et lien vers l’article sur l’archive ouverte.
Indonesian open access journals serve both academic audiences and broader communities. Ikhwan Arief, DOAJ Ambassador for Indonesia, discusses the rapid growth of open access journals in Indonesia and their inclusion in DOAJ
As of March 2025, Indonesia has become the leading contributor to the Directory of Open Access Journals (DOAJ), with 2,473 journals indexed, surpassing all other countries, including the United Kingdom (2,176), Brazil (1,578) and the United States (1,223). Representing approximately 11.5% of the 21,457 journals currently listed in DOAJ, Indonesia’s position reflects the country’s significant investment in open access publishing and its sustained commitment to equitable knowledge dissemination. Among the total indexed journals, 2,441 have unique titles, while a small number share the same title. This is permitted under the ISSN system, which allows for identical journal names as long as each carries a distinct ISSN.
There are a growing number of AI bots crawling repositories. These bots are sufficiently aggressive that they can cause service disruptions and outages in repositories. As a result, some repositories have started to block machine access to their collections, which is also inadvertently blocking other desired network services such as scholarly aggregators, indexing services, and directories.
To get a better understanding about the impact of bots and crawlers on repositories, a short survey was distributed to COAR members in April 2025. There were 66 responses from different countries around the world (22 from Canada/US, 22 from Europe, 9 from Latin America, 6 from Asia, 4 from Australasia, 2 from Africa, and 1 unknown).
En épistémologie des sciences, les concepts autour de la reproducibilité commencent à être acceptés comme faisant partie de la méthode scientifique et des standards de qualités à l'état de l'art.
L'idée implique notamment de se mettre d'accord sur le vocabulaire utilisé, qui va nécessairement plus loin que le seul mot « reproductible ».
Le diagramme suivant synthétise une proposition de vocabulaire que j'aime bien, tirée d'un article scientifique :
López-Ibáñez, M., Branke, J., & Paquete, L. (2021). Reproducibility in evolutionary computation. ACM Transactions on Evolutionary Learning and Optimization, 1(4), 1-21.
Un preprint est disponible sur arXiv: cs.AI:2102.03380
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