 Your new post is loading...
 Your new post is loading...
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 17, 2014 3:09 AM
|
Les insectes sont les seuls invertébrés à voler, cet article vous présente l'origine, l'évolution et l'anatomie d'une aile d'insecte, un organe complexe Par Benoît Gilles, 11.12.2014 Anatomie "Les ailes des insectes « modernes » sont insérées sur le 2ème et le 3ème segments thoraciques (appelé Ptérothorax). Les deux paires d’ailes s’articulent avec le sclérite (plaque de l’exosquelette sclérifiée) dorsal (tergite) et latéral (pleurite) du thorax via une série de petits éléments sclérifiés appelés Pteralia (ou structure axillaire). L’organisation et le nombre de Pteralia varient fortement entre les espèces, mais un plan général peut être défini. Il composé de 3 sclérites axillaires (1ax, 2ax et 3ax), d’une plaque médiane distale (dmp), d’une plaque humérale (hp) et d’une plaque médiane proximale (pmp) (voir illustration ci-dessus). L’aile est une membrane cuticulaire (exosquelette) formée par la juxtaposition de deux couches épidermiques (une dorsale et une ventrale). Les muscles, à l’origine des mouvements, sont situés à la base de l’aile et reliés au thorax par des structures de l’exosquelette : les Pteralia (voir paragraphe précédent). Le fonctionnement est ainsi totalement différent des ailes des mammifères et des oiseaux où la musculature se trouve à l’intérieur du membre. Ces veines (aussi nommées nervures), tubulaires, sont des voies de passage de l’hémolymphe (liquide physiologique : « sang » des insectes), des systèmes trachéaux (transport de l’air et de l’oxygène) et nerveux (neurones des organes sensorielles : rôle dans la détection des distorsions de la cuticule). Les veines parcourent longitudinalement la surface de l’aile, se subdivisent et se connectent entres elles pour former des cellules soit fermées (entièrement bordée de nervures), soit ouvertes (partiellement bordée de nervures). La disposition et le dessin de ces cellules sont spécifiques de chaque lignée évolutive : la classification des familles et des genres repose ainsi fortement sur l’utilisation de ces caractères morphologiques. Leur étude apporte également de nombreuses informations sur l’histoire évolutive de la formation des ailes et de l’adaptation du vol d’un point de vue biomécanique et aérodynamique, d’autant plus que les structures de l’aile possèdent un pouvoir de fossilisation supérieure aux autres éléments de l’insecte." (...) Scoop réédité le 05.12.2020
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 15, 2014 3:32 AM
|
Avec le réchauffement du climat, il est possible que certains vecteurs de transmission d’un virus, les moustiques par exemple, puissent voyager et ainsi survivre sous nos latitudes. Dans cette interview, Jean-François Saluzzo, virologiste auprès de l’OMS, nous dresse un tableau des risques engendrés par l'association de ces deux fléaux.
|
Rescooped by
Bernadette Cassel
from SEED-DREAM Lab info
December 13, 2014 11:52 AM
|
Académie d'Agriculture de France. « Séance interacadémique Académie d'agriculture - Académie des Sciences : Détermination du sexe »
« La plupart des organismes sexués ont deux sexes. Chez de nombreuses espèces, la détermination du sexe est génétique : les mâles et les femelles ont des allèles différents ou même des gènes différents qui spécifient leur morphologie sexuelle. La différenciation sexuelle est généralement déclenchée par un gène principal (un «locus de sexe»), avec une multitude d'autres gènes suivants dans un effet domino. Dans d'autres cas, le sexe est déterminé par les variables environnementales (par exemple la température) ou des variables sociales (par exemple la taille la population). Les mécanismes moléculaires de la détermination du sexe font l’objet de nombreuses recherches. Le but de cette séance est de préciser ces mécanismes chez l’homme, les animaux et les plantes. »
→ interacad_210115.pdf http://www.academie-sciences.fr/activite/conf/interacad_210115.pdf
[Image via Twitter https://twitter.com/LoicLepiniec/status/540806306106736640]
Via Loïc Lepiniec
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 12, 2014 5:19 PM
|
Workshop organisé par Morgan Meyer (Agro ParisTech), Perig Pitrou (CNRS) et Thomas Landrain (La Paillasse). Avec le soutien de la Pépinière Interdisciplinaire CNRS-PSL “Domestication et fabrication du vivant”. https://domesticationetfabricationduvivant.wordpress.com
« Depuis plusieurs années se multiplient dans le monde des espaces tels que La Paillasse dans lesquels il est possible, sans être nécessairement un scientifique professionnel, de découvrir et de pratiquer la biologie. Un public varié s’ouvre ainsi à une réflexion sur les implications sociales et politiques de l’accroissement du pouvoir des humains sur le vivant. Le rôle central conféré à l’expérimentation dans les processus d’apprentissage explique qu’en anglais ce champ de pratiques soit désigné par le terme « do-it-yourself biology » [...] »
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 12, 2014 3:24 AM
|
Par Taupo. Strange Stuff And Funky Things. « Quand on parle de galle, on pense rarement qu'il s'agit d'un terme consacré de botanique. C'est certainement parce que la galle botanique est un homophone de l'horrible gale, le parasite acarien spécifique à l'homme. La galle est inoffensive pour l’homme et pourtant, si les plantes pouvaient frémir, elles le feraient certainement en entendant parler des galles, ou cécidies (d'où le jeu de mot pourri du titre de cet article...). »
[...]
[Image] Galles du Tilleul infecté par Eriophyes tiliae
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 11, 2014 2:34 PM
|
Genes that leap from one species to another are more common than we thought. Does this shake up the tree of life?
Par Ferris Jabr. Aeon. « [...] One of the most clear-cut instances of horizontal gene transfer is the story of the fungus and the pea aphid. Some fungi, plants and bacteria have genes encoding carotenoids, a diverse class of colourful molecules involved in everything from photosynthesis and vision to camouflage and sexual attraction. No one had ever found such genes in animals, though. In all known cases, animals acquired carotenoids from their diet (for instance, flamingoes become red and pink from eating plankton). In late 2009, Nancy Moran, an evolutionary biologist then at the University of Arizona, stumbled onto the fact that pea aphids have a carotenoid gene. »
[Image] 'More than 270 million years ago, a lone aphid likely attained a carotenoid gene from a fungus'. Photo courtesy Wikipedia 'More than 270 million years ago, a lone aphid likely attained a carotenoid gene from a fungus'. Photo courtesy Wikipedia
« Scientists already knew that pea aphids appear green or red depending on the carotenoids in their bodies, and that aphid populations shift their colours in response to certain threats: green aphids are more susceptible to parasitic wasps; red aphids are more vulnerable to ladybirds. But the origin of the pigments had always been something of a mystery. Aphids primarily feast on sap, which does not contain many carotenoids. And pea aphids were often found with very different carotenoids than the ones inside the plants they were eating. When Moran compared the aphid’s pigment genes with those in many different creatures, the closest match was in a family of fungus. More than 270 million years ago, a lone aphid likely attained a carotenoid gene from a fungus – perhaps one that was infecting it, or one it was munching. Other scientists have since discovered that spider mites and gall midges have also acquired carotenoid genes from fungi and bacteria. » [...]
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 10, 2014 10:01 AM
|
Savoureux, nutritifs, abondants, les insectes sont au menu de 2 milliards de personnes sur la planète.
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 9, 2014 2:41 AM
|
Les infos sur la journée : - à Paris - à Toulouse
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 7, 2014 4:12 AM
|
Par Gabriel Markov. ENS Lyon. « Ils constituent de loin le plus important groupe de métazoaires, avec près de 1 000 000 espèces décrites, dont 300 000 coléoptères, 150 000 diptères (mouches, moustiques), 125 000 hyménoptères (guêpes, abeilles, fourmis), 120 000 lépidoptères (papillons), 74 000 arachnides (araignées, acariens, scorpions), 12 000 myriapodes, autant de décapodes (crabes, crevettes) et de péracarides (cloportes, gammares). Présents dans tous les milieux, du fond des mers au sommet des arbres, ils sont caractérisés par la présence d'un squelette externe (ou exosquelette), subdivisé en pièces articulées entre elles. Tous possèdent également des appendices articulés (pattes, antennes, pinces....). »
[Image] « Un coléoptère: Trichius fasciatus »
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 5, 2014 11:19 AM
|
FAO - Global Soil Partnership « Pour en savoir plus sur les fonctions du sol et les dangers auxquels doit faire face notre planète. »
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 4, 2014 10:22 AM
|
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 4, 2014 4:12 AM
|
La pourriture est belle, délicieuse et indispensable à la vie ! Les images spectaculaires de ce premier épisode de la websérie La Nuit du Vivant : voyage au coeur de la pourriture le prouvent et incitent le spectateur à changer son regard sur un aspect souterrain de la vie : les microorganismes qui recyclent la matière.
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 2, 2014 9:56 AM
|
Astérix, Thor et Hermès ont des casques ailés ! Certains insectes aussi : ils auraient transformé une troisième paire d’ailes en des casques exubérants
Par Loïc Mangin. Best of bestioles.« [...] Les casques des membracides évoquent, selon les espèces, des feuilles mortes, des épines, des déjections d’oiseaux, des fourmis en posture d’attaque, des guêpes... À cette diversité morphologique correspondent autant de rôles possibles : intimidation des prédateurs, camouflage, etc. Mais quelle est l’origine évolutive de cette structure ? »
[...]
[Image] « Au cours de l’évolution, la répression du développement des ailes par le gène Src a été modifiée. Inexistante au départ (1 et 2, tous les segments sont dotés d’appendices), elle a ensuite conduit aux insectes actuels chez qui elle s’exerce partout sauf dans les deuxième (T2) et troisième (T3) segments du thorax (3), qui portent chacun une paire d’aile. Cette inhibition a disparu du premier segment (T1) chez les membracides (4). © N. Gompel et al. »
« Pour en savoir plus :
- I. Mikó et al., On dorsal prothoracic appendages in treehoppers (Hemiptera : Membracidae) and the nature of morphological evidence, in PLoS ONE, vol. 7(1) : e30137, 2012.
- B. Prud’homme et al., Body plan innovation in treehoppers through the evolution of an extra wing-like appendage, in Nature, vol. 473, pp. 83-86, 2011.
- Ch. Maniquet, Les casques de Tintignac, in Dossier Pour la Science, n° 61, 2008.
- Un extrait de 20 minutes d’un documentaire sur les membracides diffusé par Arte. »
[Lien de l'extrait] Membracidae 1 Treehopper Membracides amazon 20 36 mn beginning reproduction 512x288p - YouTube http://youtu.be/5xVtDYHkKzo
|
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 16, 2014 2:40 AM
|
GuruMeditation. « [...] Le puceron vert du pois (Acyrthosiphon pisum) est déjà une créature étrange. Les pucerons se reproduisent par parthénogenèse et [les femelles] peuvent naitre déjà enceintes, alors que les mâles naissent quand le climat est froid. Ils sont également les seuls insectes qui ont été identifiés comme pouvant synthétiser les caroténoïdes, des pigments qui apparaissent dans les chloroplastes et les chromoplastes qui exploitent l’énergie solaire pour être utilisée par les cellules. » « Est-ce à dire que le puceron du pois pratique la photosynthèse ? » « C’est la question explorée dans une étude récente, “transfert d’électrons induit par la lumière et la synthèse d’ATP dans un insecte synthétisant les caroténoïdes," [...] » [...]
« L’étude publiée sur Nature : Light- induced electron transfer and ATP synthesis in a carotene synthesizing insect, »
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 14, 2014 4:07 AM
|
Des scientifiques ont découvert au Brésil l'existence d'un petit insecte ailé, dont les femelles possèdent un pénis avec lequel elles pénètrent les mâles lors de l'accouplement.
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 13, 2014 5:11 AM
|
Science publique par Michel Alberganti. France Culture.
Invité(s) : Narendra Jussien, directeur de Télécom Lille Alain Vas, doyen honoraire de la Louvain School of Management en Belgique, professeur de stratégie et gestion du changement et actuellement président du comité de pilotage des MOOCS au sein de l'Université catholique d Louvain. Pierre-Henri Gouyon, professeur au Muséum National d'Histoire Naturelle, à l'Agro Paris-Tech et à Sciences Po Jacques Treiner, physicien, professeur à Sciences-Po Paris.
[Vidéo] MOOC's, ces cours en ligne ouverts à tous - YouTube https://www.youtube.com/watch?v=jVsMRmh9Fs8
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 12, 2014 3:25 AM
|
Par Taupo. Strange Stuff And Funky Things. « [...] Parmi les arthropodes (les animaux aux pattes articulées, avec notamment les crustacés, les insectes et les chélicérates) de très nombreux acariens (donc arachnides) se sont adaptés à la sape des végétaux et forment des galles soit pour y vivre en colonie, soit à la suite de piqûres pour se nourrir. En voici quelques exemples: »
[Image] Eriophyes tiliae
[Voir image du scoop précédent : Galles du Tilleul infecté par l'acarien Eriophyes tiliae]
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 11, 2014 3:07 PM
|
Pour la Science. « Les flamants roses tirent leur couleur de leur alimentation, notamment des artémias, des petits crustacés riches en pigments, les carotènes. Découverts en 1881, ces terpènes, essentiels notamment à la vision et à diverses fonctions de la peau, sont fabriqués à partir de molécules, par exemple la vitamine A, que tous les animaux puisent dans leur nourriture. Tous ? Non, Nancy Moran et Tyler Jarvik, de l'Université d'Arizona, à Tucson, ont mis en évidence une exception, des pucerons. »
« Les biologistes sont partis de l'observation qu'il existe deux types de pucerons, les verts, la proie préférée des guêpes parasitoïdes, et les rouges, le plus souvent victimes des coccinelles. Une étude génétique a montré que ces différences de couleurs sont dues à des gènes codant la machinerie moléculaire nécessaire à la synthèse de carotènes. Ces gènes auraient été acquis par les ancêtres de pucerons auprès de champignons lors d'un phénomène, plutôt rare, de transfert latéral de gènes. Les pucerons jaunes sont des mutants dérivés de congénères rouges. »
« Pour en savoir plus : N. Moran et T. Jarvik, Lateral transfer of genes from fungi underlies carotenoid production in Aphids, Science, vol. 328, pp. 624-627, 2010. » ___________________________________________________________________
presentation_pucerons.pdf :
→ [PDF] Lateral Transfer of Genes from Fungi Underlies Carotenoid ...
Un transfert latéral de gènes de «champignon » à l'origine de la production de caroténoïdes chez les Aphidoidae (pucerons). Nancy A. Moran and Tyler Jarvik.
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 11, 2014 4:07 AM
|
Par Etienne. Sors ta science ! « Ç’aurait pu être le titre d’une fable. Mais qui n’a pas le souvenir de Jurassic Park et de son moustique piégé dans l’ambre ? Le sang qu’il contenait permettait de cloner les dinosaures pour leur redonner vie. Vingt ans après le film de Steven Spielberg sorti en 1993 (et a fortiori le roman éponyme de Michael Crichton dont il est inspiré), l’insecte gorgé de sang a été découvert fossilisé dans du schiste. D’autres avaient jusque là été mis au jour, mais c’est le premier à témoigner de ce mode d’alimentation. »
[...]
« Si nous tenons à faire revivre une espèce disparue il nous faudrait de l’ADN intact, mais surtout une espèce actuelle qui n’en serait pas trop éloignée génétiquement. Car l’obtention d’un clone nécessite la gestation de l’embryon dans un utérus compatible. Les deux espèces doivent être suffisamment proches : comme le mammouth et l’éléphant. [...] »
___________________________________________________________________
ET AUSSI :
• Que les animaux disparus le restent | Slate.fr http://www.slate.fr/story/95507/especes-disparues
Par Ben A. Minteer, traduit par Peggy Sastre. « [...] Le concept s'appelle la «désextinction». Il puise dans une large gamme de technologies, des plus courantes aux plus émergentes (clonage, ingénierie génétique) et part du principe qu'en prélevant de l'ADN sur les tissus d'espèces disparues, tels que les conservent les musées d'histoire naturelle, et en le séquençant, des scientifiques seront capables de créer des approximations de ces animaux en «éditant» les génomes d'espèces (existantes) proches. [...] »
• Des chercheurs veulent « ressusciter » des espèces disparues : pieuvre.ca http://www.pieuvre.ca/2013/03/25/science-especes-disparues/
Par @PieuvrePointca. « Des chercheurs veulent tenter le quasi-impossible : "ramener" à la vie certaines espèces disparues. L’idée, décrite lors d’une conférence TEDx à Washington commanditée par la publication National Geographic, a suscité des discussions sur le nom des espèces qui pourraient être "ressuscitées", ainsi que sur l’éthique de la chose. Le nom "officiel" de cette procédure ? La "dé-extinction". »
• Stewart Brand : L'aube de la désextinction. Etes-vous prêts ? http://www.itec-sde.info/fr/lectures/stewart-brand-the-dawn-of-de-extinction-are-you-ready
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 10, 2014 3:58 AM
|
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 8, 2014 4:06 AM
|
Chez une espèce d'insecte, les femelles se reproduisent de plus en plus sans les mâles. Ces derniers, devenus superflus, sont condamnés à disparaître.
Par Loïc Mangin. Best of bestioles. « L’humanité vivrait un drame selon certains déclinistes pour qui le monde part à vau-l’eau : dans nos sociétés, le mâle serait victime d’une féminisation et sa virilité serait en faillite ! Jean Jacques Courtine, coordinateur d’une Histoire de la virilité, met à mal cette hypothèse : cette complainte est éternelle et son refrain a été entendu au XVIe siècle quand on abandonna les tournois de chevaliers, à la fin de la Rome antique quand on regretta les temps de la première République, à l’avènement de la démocratie après la Révolution française… »
« Et bien soit ! Qu’on se débarrasse des mâles ! C’est du moins ce qui se passe chez la bestiole du jour dont les mâles sont devenus superflus. L’animal en question est une cochenille, un insecte hémiptère, à l’instar des cigales, des pucerons, des punaises… Plus précisément, nous nous intéresserons à la cochenille australienne Icerya purchasi. »
[...]
[Image] « Une cochenille australienne Icerya purchasi. »
« Pour en savor plus :
A. Gardner et L. Ross, The evolution of hermaphroditism by an infectious male-derived cell lineage: an inclusive-fitness analysis, in American Naturalist, vol. 178, pp. 191-201, 2011. »
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 6, 2014 4:12 AM
|
Par Gabriel Markov. ENS Lyon. « Ce document constitue un aperçu de la diversité des métazoaires, non exhaustif mais suffisamment riche pour mettre en évidence l'utilité de la classification phylogénétique pour comprendre la structure de la biodiversité et aborder des questions relatives aux modalités de l'évolution. » « Seuls les groupes « majeurs », c'est à dire importants en termes de nombre d'espèces décrites seront présentés en détail. D'autres groupes numériquement moins importants, parfois limités à quelques espèces, seront toutefois évoqués, lorsque certains caractères observables chez eux fournissent des éléments utiles à la discussion. »
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 5, 2014 3:28 AM
|
Dans les milieux d'altitude des zones tempérées, les abeilles laissent la place aux diptères en tant que principaux visiteurs de fleurs.
[Image] Deux espèces d’Empidinae (diptères) partiellement couvertes de pollen dans le parc du Mercantour – © Vincent Lefebvre
→ Voir le communiqué du CNRS en entier : cp_mnhn_daugeron_empidinae20112014 « Pollinisation des plantes d'altitude : les mouches prennent le relais des abeilles »
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 4, 2014 4:26 AM
|
Musée canadien de la nature. « Les nécrophores comptent parmi les rares insectes qui prennent soin de leurs petits. Et ils les nourrissent… avec de la viande de souris ! C'est en effet le menu courant du Nicrophorus sayi, une des 14 espèces de nécrophores qu'on trouve au Canada. »
« En attendant la naissance de ses rejetons, le couple trouve un petit animal mort, habituellement une souris, et l'enterre en creusant le sol tout autour du cadavre. Puis le mâle et la femelle débitent la carcasse et la transforment en boule qu'ils enduisent de sécrétions servant, aux dires des scientifiques, à ralentir la décomposition. »
[...]
« Les comportements parentaux, comme nourrir et garder les petits, sont très inhabituels dans le monde des insectes. On ne les voit que chez des insectes possédant un comportement social hautement développé, comme les guêpes, les termites, et les abeilles sociables. »
[Nicrophorus sayi, Coleoptera Silphidae]
|
Scooped by
Bernadette Cassel
December 3, 2014 5:39 AM
|
Par André Lequet. OPIE-Insectes. "Les sésies ne sont pas ce qu’elles ont l’air d’être. Ces papillons « de nuit » qui volent le jour miment d’autres insectes, souvent des Hyménoptères. Déguisée en frelon, la Sésie apiforme est la plus grosse espèce européenne de la curieuse famille des Sésiidés." Insectes156.indd - i156lequet.pdf http://www7.inra.fr/opie-insectes/pdf/i156lequet.pdf
|