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Bernadette Cassel
July 5, 2023 12:34 PM
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C'est un communiqué de presse du 19 juin 2023 qui provient de la CDD (Conférence des doyens de médecine) et du CNU santé (Conseil national des universités). Que dit ce communiqué : "L’avènement des publications en libre accès a fait émerger des pratiques douteuses voire frauduleuses de la part d’éditeurs… Publié le 23/06/2023 Liste blanche de 3400 revues, domaine biomédical Le site de la conférence des doyens donne accès à la liste de Sorbonne Université qui contient environ 3 400 revues présumées non prédatrices. Ce sont 100 pages comme la page 1 dans l’image [ci-dessus, ndé]. Un nettoyage a été fait, et n’y a aucune revue de Frontiers ou MDPI. Cela me paraît très bien BRAVO. Le message est clair, mais beaucoup de collègues n’ont pas compris… Cette liste est utile… ------ NDÉ Le pdf La Conférence des doyens de médecine (CDD) et le Conseil national des universités pour les disciplines de santé (CNU Santé) ont publié, lundi 19 juin, une liste de 3 400 revues non prédatrices, donc « recommandables ». (Mise à Jour du 2 avril 2025)
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Bernadette Cassel
May 29, 1:16 PM
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"Une stratégie de prédation hors-du-commun qui n’a jamais été vue chez d’autres insectes. Les scientifiques pensent que les mouches étaient piégées et que la guêpe y incubait ses œufs." Publication 29 mai 2025, 11:46 CEST "... Une structure ressemblant à une dionée attrape-mouches présente sur l’abdomen de la guêpe retenait ses proies captives alors que la guêpe déposait ses œufs dans sa victime, la forçant à incuber sa descendance. C’est ce qu’une nouvelle étude publiée dans la revue scientifique BMC Biology révèle." Image : Le fossile de 99 millions d’années était préservé dans de l’ambre et a été découvert au Myanmar. PHOTOGRAPHIE DE Qiong Wu, Département des Sciences de la vie à l'université Capital Normal, Pékin
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Bernadette Cassel
May 27, 1:28 PM
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"On connait les opales, ces pierres précieuses aux reflets fascinants, mais ces gemmes nous racontent aussi l'histoire de notre planète. Un jeune scientifique grenoblois a rassemblé une équipe internationale pour étudier le premier fossile animal contenu dans une opale gemme provenant d'Indonésie." Écrit par France 3 Alpes Publié le 30/06/2020 à 18h46 Mis à jour le 01/07/2020 à 19h04
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Bernadette Cassel
May 25, 2:44 PM
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Carole Dalin est chercheuse CNRS au laboratoire de Géologie au département de Géosciences de l’ENS-PSL. Elle a un parcours multidisciplinaire qui l'a amenée à se spécialiser dans l’étude des systèmes alimentaires et de leur impact sur l’eau, le climat et la biodiversité. Avant de rejoindre l’ENS en 2022, elle prépare sa thèse en hydrologie à l’Université de Princeton aux États-Unis, puis part travailler pendant huit ans au Royaume-Uni comme chercheuse en sciences de la durabilité à la London School of Economics et à l'University College London.
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Bernadette Cassel
May 23, 1:11 PM
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À Bernay dans l'Eure, Marion Arbona et Guillaume Viel mêlent les techniques de taxidermie et de bijouterie. Leur travail de création aboutit à de véritables œuvres d’art. Ouest-France Jean-Christophe LALAY Publié le 20/05/2025 à 10h59 (abonnés) ------ NDÉ Complément La rigueur d’une présentation scientifique se mêle à des techniques de bijouterie traditionnelle pour créer des sortes de taxidermie joaillière et mettre en valeur la beauté de ces espèces. Nous sommes un duo d’artistes Marion et Guillaume. Plutôt polyvalents, chacun de nous dissèque, soude, et remonte dans le même souci de minutie et de perfection. Nous essayons de repousser les limites de ce qui est faisable avec cette technique en travaillant des spécimens très petits ou au contraire très gros. Nous varions aussi les espèces : scarabées, phasmes, criquets, crustacés et arachnides pour donner à voir une grande diversité du monde animal.
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Bernadette Cassel
May 21, 12:15 PM
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Ces virus, endémiques en zones tropicales et subtropicales, arrivent avec les voyageurs qui en reviennent (on parle de cas "importés"). En les piquant, les moustiques tigres se contaminent et contaminent ensuite les habitants de la métropole (on parle alors de cas "autochtones"). Par Véronique Julia 17 mai 2025 à 11h48 "D'après une étude publiée en mai 2025 par The Lancet Planetary Health, une revue britannique spécialisée dans les questions d'environnement et de santé, la présence croissante du moustique pourrait faire de la dengue et du chikungunya des maladies courantes en Europe, à l'horizon 2060.
"Nous étions un peu inquiets lors des Jeux olympiques de 2024, qui ont brassé beaucoup de voyageurs, venus d'un peu partout, en plein été, reconnaît Anna-Bella Failloux, responsable de l'Unité Arbovirus et insectes vecteurs à l'Institut Pasteur. Finalement, on est passé à travers les gouttes". La même chance se représentera-t-elle cet été ? L'épidémie de chikungunya à la Réunion fait en effet craindre, compte tenu des nombreux échanges avec l'ile, la présence de cas importés en métropole et donc de possibles contaminations à venir. "Je ne suis pas catastrophée, explique l'entomologiste, mais c'est une éventualité." " (...)
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Bernadette Cassel
May 19, 1:48 PM
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Plusieurs textes en débat au Parlement sont l’occasion d’une offensive antiécologie menée par la droite et l’extrême droite. En partie responsable de cette situation, l’exécutif est traversé par de profonds désaccords. Par Matthieu Goar Publié le 12 mai 2025 à 06h30, modifié le 12 mai 2025 à 08h03 "... Les discussions dans l’Hémicycle, à partir du lundi 26 mai, et le futur compromis en commission mixte paritaire s’annoncent compliqués. Des amendements de repli ont déjà été prévus, par exemple en ciblant l’usage des néonicotinoïdes seulement sur quelques cultures."
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Bernadette Cassel
May 17, 1:08 PM
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Dans un rapport présenté ce mardi 13 mai lors d’un comité de suivi sur la réduction des pesticides, l‘Institut national de la recherche agronomique torpille l’indicateur européen choisi par le gouvernement. par Pauline Moullot et Anaïs Moran publié le 13 mai 2025 à 19h57 "De cette séquence, les agriculteurs en colère étaient sortis grands gagnants. Début 2024, fébrile face au ras-le-bol des champs, Matignon avait annoncé la refonte du plan Ecophyto. Serpent de mer de la transition écologique, celui-ci prévoit depuis 2008 une réduction de 50 % des pesticides sous dix ans : un objectif jamais atteint. Lors de la crise, la FNSEA réclamait son «rejet» pur et simple. Le Premier ministre Gabriel Attal avait répondu au syndicat en promettant un «changement de méthode», puis, en offrant en mai 2024 une nouvelle version, rebaptisée «stratégie Ecophyto 2030» et modifiée en profondeur. La principale victoire du syndicat agricole et de ses sympathisants fut d’obtenir la peau du «thermomètre» d’Ecophyto. Car dans la nouvelle mouture de la stratégie (qui prévoit toujours de diviser par deux l’utilisation des pesticides), l’indicateur de référence pour mesurer la baisse n’est plus le Nodu, outil de mesure historique critiqué par la FNSEA et les agricultures productivistes mais plébiscité par les scientifiques et ONG environnementales. Désormais, c’est le HRI1, un indicateur européen. Le seul moyen, selon le gouvernement, de suivre une méthode «harmonisée» au niveau des Vingt-sept. Technique, il pondère l’utilisation des pesticides en fonction de quatre catégories de risques auxquelles sont appliqués des coefficients arbitraires. A l’époque de ce changement officiel d’instrument, nombreuses parties prenantes du comité d’orientation stratégique (COS) du plan Ecophyto, notamment associatives, avaient décidé de claquer la porte des discussions. Ce mardi 13 mai, après plus d’un an de mise en sommeil et de dialogue figé, un COS d’Ecophyto 2030 a réuni les représentants des collectivités, des syndicats et des professionnels agricoles et des associations environnementales pour leur présenter un premier bilan de la toute récente stratégie. Ces dernières restent campées sur leurs positions. «Le HRI1 est un indicateur trompeur pour mesurer l’objectif de réduction des pesticides, il n’incite que trop peu la profession à des changements de pratique, c’est ce que nous avons encore répété ce matin», relate François Veillerette, porte-parole de l’ONG Générations Futures. En novembre, son association et trois autres ONG (Notre Affaire à Tous, Biodiversité sous nos pieds et l’Association pour la protection des animaux sauvages) ont déposé un recours devant le Conseil d’État contre le plan Ecophyto 2030. Sévère état des lieux L’exécutif, de son côté, assume ses positions. Le gouvernement se targue ainsi d’une baisse de 36 % de l’utilisation des pesticides en 2022 par rapport à la période de référence 2011-2013 selon l’indicateur HRI1… Même si en parallèle, le Nodu, lui, continue d’afficher une hausse de l’utilisation des pesticides depuis 2011-2013 – malgré une légère baisse en 2023 par rapport à 2022. Surtout, les ONG ne sont pas les seules à avoir émis des critiques à l’encontre du HRI1 ce mardi : le comité d’orientation stratégique a aussi été l’occasion pour l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae) de présenter un rapport mettant en lumière les failles de cet indicateur. Saisi par les ministères de l’Agriculture, de la Transition écologique, de la Santé et de la Recherche le 27 juin 2024, l’Institut a été chargé durant six mois d’établir un «bilan des avantages et limites» du HRI1. Or les conclusions de son rapport, rendu dans sa version définitive en janvier 2025 et publié ce mardi, dressent un constat sévère sur l’indicateur choisi par le gouvernement. «Les catégories de risque sont jugées peu discriminantes et discutables […] ; les poids retenus pour le calcul de l’indicateur ne sont pas étayés sur des données scientifiques ; aucun paramètre toxicologique ou écotoxicologique spécifique de chaque substance active n’est pris en compte ; enfin, il y a eu peu de transparence et de concertation dans son processus d’élaboration», énumèrent les experts de l’Inrae dans le document. ------ NDÉ Le rapport - Vers un indicateur harmonisé pour quantifier l'utilisation des produits phytopharmaceutiques et les risques associés. Rapport de saisine INRAE - Maud Blanck, Maxime Garnault, Véronique Gouy-Boussada, Laura Humbert, Tanguy Landrieu, Christian Lannou, Xavier Reboud - Janvier 2025 https://agriculture.gouv.fr/telecharger/149077
Image : Schéma de construction de l’indicateur Aggregated Total Applied Toxicity (ATAT). Les couleurs diffèrent selon la fonction d’utilisation des substances actives. A) : Quantité de Substances Actives (QSA) vendues en France entre 2009 et 2023. B1-3) : Total Applied Toxicity (TAT) calculé pour le rat, les poissons et les abeilles (de gauche à droite). C) : Aggregated Total Applied Toxicity (ATAT) combinant le risque calculé pour les trois taxons.
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Bernadette Cassel
May 14, 11:42 AM
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This week the presenter turns 99. To celebrate, we asked 99 nature lovers – including Margaret Atwood, Jane Fonda, Bono, Kate Winslet and Michael Palin – how he has helped us see the world with fresh eyes ------ NDÉ Traduction Joyeux anniversaire, David Attenborough ! 99 façons dont il nous a inspirés, par Barack Obama, Billie Eilish, Morgan Freeman - et bien d'autres Cette semaine, le présentateur fête ses 99 ans. Pour célébrer l'événement, nous avons demandé à 99 amoureux de la nature - dont Margaret Atwood, Jane Fonda, Bono, Kate Winslet et Michael Palin - comment il nous a aidés à voir le monde d'un œil nouveau.
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Bernadette Cassel
May 12, 6:50 AM
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Thomas Legrand vous propose une émission particulière consacrée au systémisme ou plutôt la systémique qui est une manière d’expliquer tout type de phénomène en le considérant comme un ensemble d’interactions dans une approche globale, macroscopique, holistique ou synthétique. Avec - Arthur Keller, spécialiste des risques systémiques et des stratégies de résilience collective et professeur à Centrale Supélec
Publié le dimanche 11 mai 2025 "... Systémisme, résilience : des mots auxquels Arthur Keller d’aujourd’hui donne un sens bien particulier. Il n’est pas question d’employer dans cette émission les termes de « collapsionisme » ou de « collapsologie » parce qu’Arthur Keller a un positionnement qui ne s'inscrit pas dans cette mouvance de pensée bien qu'il en partage certains éléments. Il s’agit plutôt d’envisager les mécanismes de possibles points de bascule ou d’effondrements systémiques et les stratégies de résilience qu’il est encore possible de déployer, si l’on s’y attelle, pour y faire face." (...)
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Bernadette Cassel
May 10, 12:37 PM
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Les microstructures situées sur les ailes du papillon morpho devraient offrir une nouvelle façon de voir les tissus biologiques, si l'on en croit les membres d'une équipe de recherche de l'université de Californie à San Diego (UCSD). On leur doit une méthode consistant à placer une aile de papillon morpho sur une lame de microscope, puis un fin morceau de tissu humain sur une seconde lame. Après avoir superposé les deux, les chercheur·euses actionnent une lumière polarisée traversant l'aile et le tissu situé en dessous; celle-ci est alors réfléchie afin de revenir traverser les deux couches. Comment les ailes bleues d'un papillon tropical pourraient aider à détecter certains cancers
Thomas Messias – 9 mai 2025 à 7h55 "... C'est dans le laboratoire où elle étudie l'interaction de la lumière avec les matériaux que la scientifique [Lisa Poulilakos, spécialiste des matériaux à l'UCSD] a rencontré Paula Kirya, étudiante diplômée venant d'arriver à l'UCSD. Entendant un membre du labo évoquer des difficultés récurrentes à réfléchir la lumière bleue, cette dernière a aussitôt réagi. Au cours de ses deux dernières années d'études, elle avait étudié le papillon morpho, dont elle a rapidement évoqué les caractéristiques auprès de Lisa Poulilakos. Toutes deux ont alors acheté une aile bleue dans une boutique spécialisée afin de faire quelques tests, pour la modique somme de 8 dollars, soit environ 7 euros. « Ils nous ont fait une réduction. La plupart des collectionneurs veulent des insectes intacts. Nous, nous voulions juste l'aile.» L'avenir nous dira si ce sont là les huit billets verts les mieux investis de l'histoire de la médecine." ------ NDÉ Illustration By Stephen Ornes April 30, 2025 at 6:30 am Image : Paula Kirya at the University of California, San Diego holds a morpho butterfly wing. She used what she learned about how it gets its blue hue to pioneer a new way to study cancer and other diseases. David Baillot/UC San Diego Jacobs School of Engineering
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Bernadette Cassel
May 6, 1:57 PM
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À compter du mois de juillet, l'Institut de recherche et de développement (IRD) de Saint-Denis prévoit de relâcher 60.000 moustiques mâles stériles et imprégnés - qui ne piquent pas les humains - sur la commune de Saint-Joseph. Publié le 6 mai 2025 à 10:04 "... C'est à l'insectarium de l'Institut de recherche et de développement (IRD) du Cyclotron Réunion Océan indien (Cyroi), que les équipes du programme Optis élèvent les futurs moustiques stériles. Dans ce laboratoire où règnent chaleur et humidité, "les souches sont élevées en masse. On met en eau les larves. On sépare ensuite les nymphes (correspond au stade de développement entre la larve et l'adulte) mâles et femelles", explique Cécile Brengues. "Les mâles seront stérilisés, certaines femelles serviront à renouveler l'élevage", dit-elle. Des insectes stérilisés par un irradiateur à rayons X." (...)
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Bernadette Cassel
May 5, 9:20 AM
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Le texte de loi examiné cette semaine à l’Assemblée nationale remet aussi en cause le rôle de l’Anses, l'agence chargée de la sécurité sanitaire. Publié le 05/05/2025 06:05 Mis à jour le 05/05/2025 06:18 ------ NDÉ Sur le même sujet
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Bernadette Cassel
Today, 1:09 PM
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Elles ont des yeux rouges, des ailes orange et sortent de terre par millions, tous les 13 ou 17 ans. Le retour imminent des cigales "zombies" aux États-Unis Le billet sciences Anne Le Gall Radio France Publié le 16/05/2025 09:29 [...] Une question de survie Ce cycle de vie des cigales périodiques est une stratégie collective de survie. Elles sont en effet appréciées par de nombreux prédateurs comme les oiseaux, souris, écureuils ou encore lézards. Et le fait de sortir groupées, tous les 13 ou 17 ans, semble être l’assurance qu’une partie d’entre elles, au moins, survivra aux attaques pour engendrer la génération suivante. Ce cycle de vie particulier ne concerne qu’une dizaine d'espèces de cigales sur les 3 000 recensées sur terre. Il n’existe aucune espèce de cigale périodique en France. Elles ne sont recensées qu’en Amérique du Nord et en Australie. En France, nous avons une vingtaine d’espèces de cigales, qui elles, ont un cycle de vie annuel. Elles sont évidemment majoritairement répertoriées dans le Sud mais il est quand même possible d’entendre certaines espèces de cigales en région parisienne, dans les pays de Loire et dans l’Est, notamment des cigales rouges (...)
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Bernadette Cassel
May 28, 2:18 PM
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À Rennes, la start-up Agriodor invente des parfums pour protéger les cultures, une solution de biocontrôle innovante face aux ravageurs et aux enjeux environnementaux. Par CharenteLibre.fr avec AFP, publié le 26 mai 2025 à 15h31. L’équipe, qui regroupe éthologues, entomologistes, agronomes et chimistes, a élaboré une « stratégie olfactive » : étudier le comportement du puceron vert pour déterminer les odeurs qu’il n’aime pas, avant de fabriquer le cocktail qui le fera fuir.
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Bernadette Cassel
May 26, 1:16 PM
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Dès l’origine, les promoteurs de cette filière ont souhaité se doter d’un centre technique, conscients que, par sa petite taille, elle ne serait pas une priorité pour les fournisseurs, notamment de produits phytosanitaires. Aujourd’hui, elle emploie 10 salariés dont trois chercheurs qui travaillent sur des approches de biocontrôle. Par Laurence Girard Publié aujourd’hui à 14h00 Extraits : Balanin et punaise diabolique "Ils se sont penchés sur le sujet sensible du balanin, un petit charançon qui pond et se nourrit de l’amandon. « Nous avons repris en 2015 un programme de recherche avec l’Inrae sur ce sujet, commencé en 1995 puis abandonné », souligne Maud Thomas, directrice de l’Association nationale des producteurs de noisettes." "... Depuis quelques années, un autre ravageur a fait son apparition : la punaise diabolique. Ce parasite venu d’Asie pique le fruit encore vert et lui laisse un goût amer. Il oblige à un tri complexe après la récolte. La filière noisettes a lancé un programme de recherche autour d’un parasitoïde, une microguêpe qui pond dans les œufs de la punaise. « Nous avons fait des lâchers de ces microguêpes dans trois vergers en 2023, puis dans huit vergers en 2024 », explique Mme Thomas. Elle précise que la Turquie en est déjà au stade de lâchers massifs." (...)
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Bernadette Cassel
May 24, 1:59 PM
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En France comme partout ailleurs, les abeilles disparaissent. Or, sans abeilles, ce n'est pas seulement le miel qui risque de manquer, mais aussi les fruits et les légumes. C'est pas sorcier 20 mai 2025 "Pour tenter de percer le mystère de la disparition des abeilles, Fred et Jamy se sont rendus dans le Vaucluse. Fred est parti à la rencontre d'apiculteurs et d'agriculteurs. Jamy, quant à lui, a installé son mini laboratoire à l'INRA (Institut national de la Recherche agronomique) d'Avignon, au beau milieu des ruches destinées à la recherche."
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Bernadette Cassel
May 22, 12:44 PM
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Fanny Mondet, chercheuse en pathologie de l'abeille domestique, était l'invitée de France Inter ce mardi, à l'occasion de la Journée mondiale des abeilles. Des insectes menacés par le retour d'un néonicotinoïde. Publié le mardi 20 mai 2025
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Bernadette Cassel
May 20, 2:05 PM
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Cette boîte à outils permet aux ONG d’arracher des victoires dans les tribunaux. Mais les élus la contestent de plus en plus, comme en témoigne ce jeudi 15 mai le vote par le Sénat de la reprise du chantier de l’autoroute Toulouse-Castres. par Eléonore Disdero et Coralie Schaub publié le 15 mai 2025 à 16h22 [...] Un angle d’attaque : les espèces protégées "«Depuis une dizaine d’années, le droit de l’environnement a permis de remporter une série de victoires sur la pollution de l’air, de l’eau, sur les espèces protégées ou les installations industrielles, car il y a plus de contentieux puisque l’environnement se dégrade et que davantage d’associations et de collectifs s’emparent du droit pour le protéger», constate Dorian Guinard, maître de conférences en droit public à l’université de Grenoble. Ce qui peut expliquer, selon lui, qu’une partie des acteurs industriels et agricoles mais aussi des parlementaires, «du centre jusqu’à l’extrême droite, tentent de faire passer ces derniers mois un ensemble de lois s’en prenant au droit de l’environnement, avec un angle d’attaque privilégié : les espèces protégées, car ils ont compris que le droit des espèces protégées allait pouvoir empêcher de faire beaucoup de choses». Le droit européen interdit en effet la destruction des espèces animales ou végétales protégées… mais il est possible de demander une dérogation, laquelle peut être accordée sous trois conditions, notamment en cas de… «raison impérative d’intérêt public majeur». Cette même RIIPM que brandissent les partisans de l’A69 et bien d’autres. «Le législateur a ouvert une brèche sur ce point avec la loi du 10 mars 2023 qui prévoit une présomption de RIIPM pour les projets d’énergies renouvelables, alors forcément, depuis, chaque lobby demande la même chose, cela a été le cas des agriculteurs pour leurs installations (notamment de stockage de l’eau), puis des industriels et désormais pour les grandes infrastructures, observe l’avocat en droit de l’environnement Sébastien Le Briéro. En créant ainsi une présomption de RIIPM, il s’agit en fait de tordre le bras du juge administratif, lequel examinait soigneusement au cas par cas tel ou tel projet.»" (...)
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Bernadette Cassel
May 18, 1:00 PM
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Etiquettes: Accommodation phénotypique, Bob, Conséquence physiologique, Environnements, Expression génétique, Facteurs environnementaux, Génotype, Jumelle monozygote, Phénotype étendu, Phénotype macroscopique, Plasticité phénotypique Par Anisha REGULARASA, Trinity BERTHAUD et Manelle SAADA Mots clés : Billets de Blog, Bionum, BioTV Image : En pondant dans la coccinelle, la guêpe va parasiter celle-ci via un virus spécifique qui, en diminuant le fonctionnement du système immunitaire et nerveux de la coccinelle, permet à l’œuf puis à la larve de se développer à l’abri grâce à la coccinelle !
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May 15, 11:51 AM
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Lorsqu’il s’agit d’illustrer ou d’incarner la lutte contre les pesticides, médias et militants choisissent souvent l’abeille. Alors pourquoi cette focalisation sur un insecte en particulier ? Nataly Botero Enseignante-chercheure en sciences de l'information et de la communication, Université Paris-Panthéon-Assas Publié: 13 mai 2025, 15:47 CEST "... si c’est l’ensemble de la faune des insectes (qu’on appelle l’entomofaune) qui est menacée, c’est bien sur l’abeille que l’attention se focalise souvent. Sans doute parce qu’évoquer le sort des insectes et l’importance de leur préservation comporte une part importante de risque, notamment à cause du verrou social dont ils font l’objet : craintes réelles ou fantasmées de leur proximité avec les humains, petitesse, liminalité et métamorphoses ; autant d’éléments qui font d’eux la catégorie la plus excentrée des animaux non humains." (...)
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May 13, 3:25 PM
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As a medical entomologist, Associate Research Professor Lee R. Haines studies how insects spread diseases. Her research at the University of Notre Dame focuses specifically on the complex relationships between insects, the microorganisms living in their bodies, and the disease-causing agents they transmit to humans and animals May 05, 2025 Brandi Wampler ------ NDÉ Traduction En tant qu'entomologiste médicale, Lee R. Haines, professeure associée de recherche, étudie la manière dont les insectes propagent les maladies. Les recherches qu'elle mène à l'université de Notre-Dame se concentrent en particulier sur les relations complexes entre les insectes, les micro-organismes qui vivent dans leur corps et les agents pathogènes qu'ils transmettent aux humains et aux animaux. En cinq questions, Lee R. Haines explique les risques que les moustiques et les tiques font peser sur le Midwest et explique comment le public peut se protéger au mieux, lui et les membres de sa famille, contre ces nuisibles assoiffés de sang.
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May 11, 1:08 PM
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Plusieurs journaux américains ont reçu un courrier inquisiteur du procureur fédéral du district de Columbia, leur reprochant d’être partisans dans le débat scientifique. Deux revues financées par des fonds fédéraux ont, elles, suspendu la réception des manuscrits. Par Stéphane Foucart Publié le 06 mai 2025 à 06h0
Agone - Mai 2025 Paru en 1974, cet essai est devenu un classique aussi bien de la philosophie que de la psychologie et des neurosciences
Via dm
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Bernadette Cassel
May 5, 2:14 PM
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L’écologue Philippe Grandcolas revient sur l’effondrement des populations d’insectes enregistré en Europe. Des « chiffres terrifiants » qui se traduisent, entre autres effets, par une chute de la productivité agricole. Propos recueillis par Stéphane Foucart Publié le 30 avril 2025 à 05h45, modifié le 30 avril 2025 à 17h10
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May 4, 1:05 PM
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Philippe Grandcolas, directeur de recherche au CNRS, directeur adjoint scientifique national de CNRS Ecologie et Environnement est l'auteur de "Biodiversité" dans la collection Fake or not chez Tana Editions (novembre 2024). Publié le samedi 3 mai 2025
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