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Life Sciences UPSaclay
October 19, 5:07 PM
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Découvrez la technologie QuickPlex® SQ 120 sur la plateforme CYM : Sensibilité, polyvalence et performance. Depuis 2020 et grâce aux financements obtenus dans le cadre des dispositifs ERM – Équipements de recherche mutualisés (Université Paris-Saclay, 2019) et DIM – Domaines d’Intérêt Majeur (Région Île-de-France, 2020), la plateforme CYM a enrichi son offre technologique avec un équipement de pointe : le QuickPlex® SQ 120 (Meso Scale Discovery, MSD). Installé dans les locaux de l’UMS-IPSIT (bâtiment Henri Moissan - UFR Pharmacie, Orsay), cet appareil de haute technologie permet des analyses multiplexées sur échantillons biologiques, avec la capacité de quantifier simultanément jusqu’à 10 biomarqueurs (Hassler et al., PLOS Medicine 2020). Fondée sur le principe de l’ELISA, la détection repose sur une technologie brevetée par MSD : l’éléctrochimioluminescence™ ou ECLIA™ offrant : i) Une sensibilité exceptionnelle (jusqu’à l’ordre du fg/mL) ; ii) Une large gamme dynamique de 4-5 logs, et iii) Un large choix de biomarqueurs avec une flexibilité de créer son propre panel (custom). Cette technologie permet des dosages fiables dans des matrices variées, allant des plus classiques (sérum, plasma, surnageants de culture) aux plus complexes (sang total, homogénats cellulaires, liquide broncho-alvéolaire), en passant par des matrices plus rares (urines, larmes, LCR, Dry Spot ou buvard microvésicules). Le faible volume d’échantillon requis (entre 10 et 25 µL) est aussi un autre avantage non négligeable. C’est une technologie adaptée à des domaines de recherche de pointe. Rapide, flexible et générant peu de bruit de fond, le Meso QuickPlex® SQ 120 trouve des applications dans des champs variés tels que l’oncologie, l’inflammation, la neurodégénérescence, la toxicologie, le cardiovasculaire, l’immunogénécité. Notamment, cette technologie a été utilisée par deux équipes de l’UMR-S996 – Inflammation, Microbiome et Immunosurveillance, pour étudier les réponses immunitaires dans le cadre de projets innovants (Gallego et al., 2021; Nabhan et al., Eur J Pharm Sci, 2024). Il existe bien d’autres domaines d'applications. Par exemple, elle est recommandée par la FDA pour la détection des anticorps anti-médicaments (ADA) lors d’essais cliniques. Elle permet de limiter les interférences médicamenteuses, contrairement à d’autres approches (Morgan et al., Front. Immunol. 2019). L’UMR-S 996 a développé une expertise spécifique dans le dosage sur mesure des ADA. Ce lecteur est utilisable avec un large choix de kits proposés par la société MSD, chez l’animal ou chez l’homme. En savoir plus ?. La plateforme CYM vous propose, après discussion de votre projet, d’accéder à cette technologie à travers deux offres de service : i) Une prestation autonome : après conseils et formation, vous pouvez accéder en autonomie au lecteur pour analyser vos plaques, ou ii) Une prestation accompagnée : une ingénieure d’étude, Sophie Viel (IE Inserm), peut réaliser l’ensemble du processus (mise au point du test, lecture, analyse des résultats) à travers des projets collaboratifs ou des prestations de service. L’ensemble des prestations de la plateforme CYM s’inscrit dans une démarche qualité structurée (charte, fiches projet, suivi encadré). Vous avez des projets ? Venez les concrétiser avec l'aide de la plateforme CYM ! -> Contact : Sophie Viel (sophie.viel@universite-paris-saclay.fr) Plug In Labs Université Paris-Saclay : cliquer ICI CYM contribue régulièrement à des FOCUS PLATEFORME, n’hésitez-pas à les relire … IPSIT / Plateforme de Cytométrie H.Moissan (CYM). La plateforme de cytométrie en flux (CYM) de l'Unité Mixte de Service, Ingénierie et Plateformes au Service de l'Innovation Thérapeutique (UMS-IPSIT), située au rez-de-chaussée du bâtiment Recherche Henri Moissan (HM1) offre régulièrement ses services aux équipes de recherche académiques du territoire Paris-Saclay ainsi qu'aux industriels. Le personnel de la plateforme est à votre disposition pour vous aider à la réalisation de projets de recherche fondamentale, préclinique sur des modèles expérimentaux ainsi que pour des protocoles de recherche clinique. Son personnel est aussi à votre service pour la mise au point de nouvelles techniques utilisant la cytométrie en flux. Les équipements de cytométrie en flux de la plateforme permettent le phénotypage des cellules par la détection de molécules membranaires et intracellulaires (biomarqueurs) mais aussi des études fonctionnelles telles que la détection de phosphorylation des protéines, la prolifération cellulaire, la quantification de cytokines ou chimiokines excrétées ou la détection d'ARN. Enfin, des tris cellulaires à haut débit sont aussi proposés par la plateforme (contact cytométrie : marie-laure.aknin@universite-paris-saclay.fr). Et en parallèle, elle étend maintenant son offre de service en mettant à votre disposition un nouvel appareil de mesure de haute technologie, le QuickPlex® SQ 120 (Meso Scale Discovery, MSD) permettant l’analyse en multiplex de biomarqueurs par électrochemiluminescence (contact MSD : sophie.viel@universite-paris-saclay.fr). Nos activités qui peuvent être en relation avec celles d'autres plateformes permettent l'identification de nouveaux biomarqueurs pouvant être des cibles thérapeutiques. A propos de l’IPSIT. L’UMS IPSIT (Ingénierie et Plateformes au Service de l’Innovation Thérapeutique) est une Unité Mixte de Service placée sous les tutelles conjointes de l’UPSaclay (UMS-IPSIT), l’Inserm (US31) et le CNRS (UAR3679). L’IPSIT regroupe 10 plateformes technologiques, organisées en deux pôles (IMCELLF et OMICS) et quatre plateformes. L’IPSIT se veut résolument à l’interface de la chimie, de la biologie et de la clinique en établissant le lien entre la cible pathologique et le médicament. L’IPSIT est adossée à une Structure Fédérative de Recherche (SFR) qui rassemble l’UMS et 25 équipes de recherche. Enfin, l’IPSIT participe à l’animation scientifique et à la formation des étudiants et des personnels tout en contribuant au rapprochement d’équipes d’horizons différents et à la transdisciplinarité des collaborations. Voir aussi leur FOCUS PLATEFORME décrivant toutes leurs expertises !
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Life Sciences UPSaclay
October 14, 6:17 AM
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Les protéines Microrchidia (MORC) sont des ATPases de type GHKL conservées chez les eucaryotes, qui interviennent dans la compaction de la chromatine, mais leur mode d’action dans le contrôle de la structure de la chromatine reste obscure. Des études préalables ont montré que des protéines « MORCs» peuvent faciliter la méthylation d'ADN dirigée par l'ARN (aux séquences CHH) chez Arabidopsis et pourraient également délimiter des domaines de chromatine. Des études récentes menées par des chercheurs à l’Institut des Sciences des Plantes de Paris-Saclay - IPS2 (CNRS/INRAE/UEVE/UPSaclay, Gif-sur-Yvette) en collaboration avec l’Université d’Agriculture à Wuhan, publiées dans Nature Plants, ont révélé que les protéines MORCs fonctionnent préférentiellement aux domaines chromatiniens dits « bivalents », c’est-à-dire des domaines portant, en même temps, des marques d’histone H3K4me3 et H3K27me3, qui ont des fonctions opposées. Les auteurs ont montré qu’aux domaines bivalents, l’état chromatinien dans lequel se trouvent beaucoup de gènes de réponse/tolérance au stress, les MORCs stabilisent le complexe enzymatique « PRC2 » qui dépose le marque H3K27me3, et par conséquent, maintiennent le rapport H3K27me3/H3K4me3 élevé, permettant la formation des boucles chromatiniennes, conduisant à la répression des gènes de stress en condition normale. Afin d'explorer plus en détail la fonction de MORCs dans l'architecture chromatinienne tridimensionnelle dépendante de H3K27me3, les auteurs ont réalisé un séquençage Hi-ChIP (une méthode combinant capture de conformation de chromatine à haut débit et immunoprécipitation de chromatine) pour H3K27me3 et MORC6b chez les sauvages et les mutants morc, générant ainsi une carte des interactions chromatiniennes à l'échelle du génome. Les résultats ont montré que la perte de MORC affaiblissait significativement les interactions chromatiniennes tridimensionnelles associées à H3K27me3, se manifestant principalement par une diminution des interactions intra-TAD (domaine chromatinien topologique) et une augmentation des interactions ectopiques inter-TAD. Les MORCs sont fortement enrichies dans les régions d'ancrage d'interaction, favorisant la formation de la conformation spatiale de H3K27me3, participant ainsi au maintien de la stabilité du génome et au silencing des gènes sensibles au stress. Les scientifiques ont remarqué que les gènes ciblés par les MORCs sont similaires à ceux activés par l'ADN 6mA déméthylase « ALKBH1 » en réponse au stress. En fait, leurs travaux préalables ont montré qu’en dépit de sa fonction de DNA-6mA-déméthylasse, ALKBH1 joue un rôle de bloquer le complexe PRC2 sur une partie de ses cibles génomiques. Afin de confirmer cette relation régulatrice, ils ont utilisé des anticorps dirigés contre MORC6b et ALKBH1 pour réaliser un séquençage par immunoprécipitation de chromatine à haut débit sur du matériel génétique avec perte fonctionnelle de chacun. Les résultats ont finalement confirmé l'existence d'un mécanisme de régulation concurrent pour cibler la chromatine entre les 2 protéines. Des expériences génétiques et physiologiques ont également confirmé les fonctions régulatrices antagonistes de MORC et ALKBH1 dans divers processus biologiques, notamment dans la régulation des réponses au stress (stress salin et infection bactérienne). En résumé, cette étude explique comment la structure spatiale des domaines « bivalents » de chromatine est contrôlée par des mécanismes synergétiques/antagonistes, régulant ainsi l'expression des gènes de stress en répondant aux conditions changeantes de l’environnement de la plante. -> Contact : dao-xiu.zhou@universite-paris-saclay.fr
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October 14, 8:57 AM
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Dans un article de revue publié dans Drug Delivery and Translational Research, des chercheurs de l’équipe INPACT de l’Institut Galien Paris-Saclay (IGPS, CNRS/UPSaclay, Orsay) font le point sur l’utilisation de nanoparticules dans les stratégies de reprogrammation des macrophages par interférence ARN dans le cadre de l'immunothérapie du cancer. Les macrophages associés aux tumeurs (TAM) constituent le sous-type le plus abondant de cellules immunitaires présentes dans les tumeurs solides. Ils adoptent principalement un phénotype immunosuppresseur, contribuant ainsi à la progression tumorale. Une stratégie thérapeutique envisageable consiste à reprogrammer les TAM d’un état immunosuppresseur vers un état immunostimulateur en inhibant l’expression de protéines critiques au moyen d’ARN interférents (siRNA, miRNA et antagomirs). Cependant l’efficacité de cette approche reste limitée par la dégradation des ARN par les nucléases et par une pénétration cellulaire insuffisante. Ainsi cette revue décrit comment les nanoparticules lipidiques s’avérent très efficaces pour la vectorisation des ARN, notamment pour inhiber des médiateurs comme STAT6 et CSF-1R. Malgré les résultats prometteurs des études précliniques, les auteurs analysent les différents obstacles qui doivent être surmontés pour permettre la transposition de cette approche à la pratique clinique. Il s'agit notamment de cibler efficacement les macrophages du microenvironnement tumoral, d'optimiser la pénétration intracellulaire des acides nucléiques et de minimiser les effets indésirables. Enfin, si l’injection intratumorale, utilisée dans la majorité des études, présente un intérêt certain, elle n’est pas adaptée à de nombreuses tumeurs. Dans ces cas, les auteurs soulignent l’importance de développer des stratégies de ciblage, notamment par l’utilisation de ligands spécifiques. -> Contact : elias.fattal@universite-paris-saclay.fr / francois.fay@universite-paris-saclay.fr / juliette.vergnaud@universite-paris-saclay.fr
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October 14, 9:06 AM
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Un article d’Eléonore Charvolin du laboratoire Génétique Animale et Biologie Intégrative – GABI (INRAE/AgroParisTech/UPSaclay, Jouy-en-Josas) et de ses collègues du réseau européen pour les ressources génétiques animales (ERFP), publié dans Genetic Resources, étudie la situation des races animales transfrontalières en Europe et les défis liés à leur gestion. En utilisant les données du système DAD-IS (Domestic Animal Diversity Information System), les auteurs indiquent que sur 6 460 populations nationales recensées en Europe, 42% sont des races transfrontalières. Parmi elles, un quart n’existe qu’en Europe dont 85% sont classées « à risque » ou présentent un statut « inconnu », ce qui met en évidence un manque important de suivi et de protection. L’étude relève plusieurs problèmes majeurs. Les concepts diffèrent selon les pays, entraînant des incohérences de classification. L’absence d’harmonisation des systèmes nationaux et le manque d’informations démographiques et génétiques limitent une évaluation fiable. Pour y remédier, les auteurs recommandent d’harmoniser la terminologie, d’intensifier les échanges d’informations, de suivre régulièrement les indicateurs démographiques et de développer des stratégies communes à l’échelle européenne. Enfin, l’article insiste sur l’importance d’une coopération transnationale. La mise en place de plans de gestion in situ et ex situ, le partage de matériel génétique et la création de réseaux de conservation sont proposés afin d’assurer la viabilité des races à faibles effectifs, préserver la diversité génétique et garantir une gestion durable des ressources animales transfrontalières. -> Contact : eleonore.charvolin-lemaire@inrae.fr
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October 14, 9:13 AM
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Dans une revue publiée dans Trends in Plant Science, Mathilde Fagard de l’Institut Jean-Pierre Bourgin - Sciences du Végétal - IJPB (INRAE/AgroParisTech/UPSaclay, Versailles) et Marco Zarattini de l’U. libre de Bruxelles, font le point sur l’impact des stress associés au changement climatique sur l’immunité des plantes. En effet, les changements climatiques mondiaux prévus exposeront les plantes à des conditions environnementales difficiles, ce qui augmente les risques d’épidémies et menace les écosystèmes ainsi que la sécurité alimentaire. Contrairement aux animaux qui disposent d’une immunité acquise, l’immunité innée est le seul mécanisme de défense dont disposent les plantes. Ce système repose sur des récepteurs extra- et intracellulaires qui médient d’une part l’immunité de type PTI/DTI déclenchée par des motifs microbiens conservés, appelés PAMPS, ou des molécules issues de la dégradation des tissus végétaux, appelés DAMPS, et d’autre part l’immunité déclenchée par des effecteurs (ETI). Dans cette revue, les chercheurs discutent de la manière dont les changements environnementaux modifient la dynamique d’expression des récepteurs extracellulaires, compromettant l’activation de l’immunité végétale de type PTI/DTI, et ainsi la protection des cultures. Les connaissances concernant les interactions entre une sélection de stress abiotiques (sécheresse, chaleur, froid) et la signalisation immunitaire sont décrites. L’article décrit également le rôle de deux grandes familles de facteurs de transcription liés aux stress abiotiques, les facteurs de réponse au stress thermique et à la déshydratation (DREB/CBF), qui interagissent avec la signalisation immunitaire lors des réponses d’acclimatation aux stress. -> Contact : mathilde.fagard@inrae.fr
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October 19, 3:37 PM
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Des chercheurs de BioMaps (SHFJ, UMR CEA/CNRS/Inserm/UPSaclay, Orsay) ont étudié l'activité hépatique des peptides transporteurs d'anions organiques (OATPs), essentiels dans l'élimination de certains médicaments, par une approche d'imagerie TEP au 11C-glyburide, qui a permis d'observer des différences dans la pharmacocinétique du traceur entre les hommes et les femmes, non détectées par les mesures conventionnelles de pharmacocinétique sanguine. Lire la suite de l’Actu CEA-Joliot et la publication parue dans Acta Pharmaceutica Sinica B -> Contact : nicolas.tournier1@universite-paris-saclay.fr
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October 14, 6:09 AM
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Portrait Jeune Chercheur – Jorge Eduardo Torres Paz, chercheur en biologie du développement et évolution
Pendant ses premières études en biochimie à Valdivia (Chili), Jorge Eduardo Torres Paz a développé un vif intérêt pour l’évolution. Pour son mémoire de licence, il a choisi d’étudier l’évolution du caryotype d’un rongeur sud-américain, Tympanoctomys barrerae, qui possède le plus grand nombre de chromosomes connu chez les mammifères (2n = 102). Ses recherches ont soutenu l’hypothèse selon laquelle ces espèces sont apparues à la suite d’événements de polyploïdisation résultant d’hybridations interspécifiques. Pour sa thèse de doctorat, Jorge s’est orienté vers le développement embryonnaire. Il a rejoint le laboratoire de la Dr. Kate Whitlock à l’Université de Valparaiso (Chili) pour étudier le développement du système olfactif du poisson-zèbre. Les épithéliums olfactifs, organes sensoriels périphériques, détectent les signaux chimiques de l’environnement et transmettent ces informations au bulbe olfactif du cerveau. Au cours de sa thèse, il a analysé les mouvements cellulaires et l’expression de gènes impliqués dans la morphogenèse du système olfactif. Ses travaux ont montré que l’organe sensoriel olfactif et le bulbe olfactif se développent de manière coordonnée à partir d’un domaine morphogénétique initialement continu, qui se sépare morphologiquement par la formation d’une lamina basale et la migration des cellules de la crête neurale. Après son doctorat, désireux de combiner ses intérêts pour l’évolution et la biologie du développement, il a poursuivi une carrière dans le domaine de l’evo-devo en rejoignant le laboratoire de la Dr. Sylvie Rétaux à l’institut des Neurosciences Paris-Saclay - NeuroPSI (CNRS/UPSaclay, Gif-sur-Yvette). Dans ce labo il a travaillé sur le poisson Astyanax mexicanus, un modèle unique pour étudier le développement embryonnaire dans un contexte évolutif. Cette espèce comprend deux écomorphotypes : les poissons de surface vivant en rivière et les populations cavernicoles adaptés à l’obscurité permanente. L’adaptation à la vie en caverne a conduit à des modifications anatomiques et comportementales, dont la perte complète des yeux. Ses recherches postdoctorales ont mis en évidence des mécanismes du développement précoce responsables de ces traits évolutifs. Pour approfondir ses travaux sur la biologie du développement et l’évolution, Jorge a ensuite rejoint l’équipe de Shahragim Tajbakhsh et Glenda Comai à l’Institut Pasteur (Paris, France). Dans ce projet, il a étudié les mécanismes développementaux conduisant à l’établissement du muscle strié œsophagien (d’origine crâniale) chez la souris. L’œsophage embryonnaire est initialement entouré de couches de muscle lisse, progressivement remplacées par du muscle strié pendant les stades postnataux. Dans ses travaux, il a montré que la différenciation du muscle strié est nécessaire à la disparition du muscle lisse. En 2024, Jorge a obtenu un poste de chargé de recherche au CNRS et a rejoint de nouveau l’équipe de Sylvie Rétaux. Ses recherches actuelles visent à comprendre l’établissement de l’anatomie de l’œil pendant l’embryogenèse en utilisant le poisson cavernicole comme modèle de mutant naturel. « Evolution of form is very much a matter of teaching very old genes new tricks! » - Sean B. Carroll -> Contact : jorge.torres-paz@cnrs.fr
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October 15, 12:14 PM
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Selon l’étude Mentalo (Réalisée par l’Inserm et l’université Paris-Cité, sur 15 000 jeunes de 11 à 24 ans), dont les résultats ont été rendus publics ce 10 octobre, la santé mentale des jeunes Français continue de se dégrader. Comment l’expliquer ? Le point de vue du Pr Olivier Bonnot, pédopsychiatre, chef de service à l’hôpital Barthélémy-Durand (Essonne), professeur à l’université Paris-Saclay, et auteur du « Manuel du pédopsy à l’usage des parents désorientés » (Marabout, 2025). Lire l’entretien dans le Figaro -> Contact : olivier.bonnot@universite-paris-saclay.fr
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October 18, 5:09 PM
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Explorez le thème de la mécanistique en radiothérapie, en compagnie d'intervenants passionnants. Programme et invités à venir. - Mardi 2 décembre 2025, de 9h à 12h
- LIDYL - CEA Saclay, l'Orme des merisiers, Bât. 701, salle "Anne L'huilier et Pierre Agostini"
- Inscription et informations
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October 18, 11:09 AM
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Ne manquez pas le prochain Petit Déjeuner de l'Ecosytème PSCC sur le thème : EU vs. US regulatory pathways: key differences every biotech should know Avec Claire Dziengelewski et Jonathan Kearsey Leads to development Mardi 21 octobre 2025, 08:45 – 10:00 PSCC, 3 mail du Dr Nicole Girard Mangin, 94800 Villejuif Inscription
Les Lundis de l'IPSIT - Lundi 17 novembre 2025 : « Les nouveautés technologiques à l’UMS IPSIT » - CHANGEMENT DE LIEU !
Lundi 17 novembre 2025 de 9h15 à 12h30 Université Paris-Saclay - Lumen, Auditorium 8 avenue des Sciences, 91190, Gif-sur-Yvette INSCRIPTION GRATUITE MAIS OBLIGATOIRE par mail : nadine.belzic@inserm.fr (Limitation des places disponibles)
Le réseau de Cytométrie Paris-Saclay (CyPSay) organise sa 3ème journée scientifique le mardi 4 novembre 2025 à l’Institut de Chimie Physique – ICP, Orsay. Programme : - 9h00-9h30 : Accueil des participants
- 9h30-10h00 : Présentation du réseau (Marie-Laure Aknin)
- 10h00-10h30 : Cytométrie conventionnelle (Peggy Sanatine)
- 10h30-11h00: Pause café
- 11h00-11h30 : Cytométrie spectrale (Sony Biotechnology)
- 11h30-12h00: COPAS (Union Biometrica)
- 12h00-14h00 : Buffet
- 14h00-14h30: Détection des microvésicules (Cytek Biosciences)
- 14h30-15h00 : Mesure de la taille de génome par cytométrie en flux (Mickael Bourge)
- 15h00-15h30 : Pause
- 15h30-16h00 : Tri pour l’analyse en cellule unique (Claudia Bevilacqua)
- 16h00-16h30 : Cytométrie de Masse (Matthieu Van Tilbeurgh)
- 16h30-16h45 : Conclusion de la journée
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October 19, 4:38 PM
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Mieux diagnostiquer les maladies respiratoires grâce à la spirométrie 3D par résonance magnétique
À travers le projet V|LF-Spiro3D, les scientifiques développent la spirométrie 3D par résonance magnétique pour l’imagerie pulmonaire. Cette technique pourrait permettre un meilleur diagnostic et un meilleur suivi des maladies respiratoires. Le tout avec un examen d’IRM réalisé en seulement dix minutes. Celui-ci est non-invasif, sûr et d’autant plus facile et confortable pour le patient qu’il est envisagé à plus bas champ que ceux d’usage aujourd’hui en routine clinique. Plusieurs méthodes d’imagerie médicale permettent d’explorer l’intérieur du corps des patients afin de comprendre le fonctionnement de l’organisme, mais aussi d’établir des diagnostics ou encore de vérifier l’efficacité de traitements. Pour étudier les maladies respiratoires, l’imagerie par résonance magnétique (IRM) reste encore peu utilisée, bien qu’elle présente l’avantage de ne pas être invasive, car elle ne permet pas une bonne visualisation du poumon. Toutefois, grâce à de nouvelles méthodes, cette réalité est en train de changer. En particulier, le projet V|LF-Spiro3D1 vise à démocratiser, en Europe, la spirométrie 3D par résonance magnétique développée sur des approches d’IRM haute performance et peu coûteuses2. « En imagerie pulmonaire, l’IRM a longtemps été le parent pauvre parce qu’elle ne permet pas de voir grand-chose dans le poumon, résume Xavier Maître, chercheur CNRS au Laboratoire d'imagerie biomédicale multimodale Paris-Saclay BioMaps (CNRS UMR9011 – Inserm UMR1281 – Université Paris-Saclay – CEA, Orsay) et responsable scientifique du projet V|LF-Spiro3D. En effet, l’IRM repose sur la résonance magnétique des spins nucléaires des atomes d’hydrogène des molécules d’eau. Sauf qu’un poumon est composé essentiellement de gaz ; donc nous disposons de peu d’atomes d’hydrogène et, de ce fait, de peu de signal pour la résonance magnétique. De plus, le gaz et le tissu ayant une susceptibilité différente au champ magnétique, cela raccourcit la durée de vie du signal restant. » Lire la suite de l’Actu CNRS -> Contact : xavier.maitre@universite-paris-saclay.fr
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October 14, 6:13 AM
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Des scientifiques du laboratoire Génétique Animale et Biologie Intégrative – GABI (INRAE/AgroParisTech/UPSaclay, Jouy-en-Josas), de l’AP-HP, du synchrotron SOLEIL et du CNRS ont détecté des particules de dioxyde de titane (TiO2) dans des laits humains, animaux et infantiles, notamment sous forme de nanoparticules, des résultats publiés dans Science of the Total Environment. Le dioxyde de titane est un composé particulaire classé cancérigène potentiel chez l’être humain en 2006 par le Centre International de Recherche sur le Cancer. Utilisé comme additif dans l’alimentation (E171) jusqu’à son interdiction par mesure de précaution en France dès 2020 et dans l’Union européenne en 2022, il reste massivement employé dans une multitude de produits du quotidien (dentifrices, crèmes solaires, médicaments, plastiques, maquillage, papier, peintures, etc.). Des études récentes ont démontré sa présence dans les eaux de surface (lacs, rivières, mers), dont celles utilisées pour produire l’eau potable, dans les sols et dans l’air, rejoignant celles relarguées par l’activité industrielle, l’érosion des peintures des bâtiments ou du trafic routier. Pour mieux évaluer l’exposition réelle des animaux et humains, les scientifiques ont étudié le lait, reflet de l’exposition maternelle et du nouveau-né. Les techniques d’analyse en spectrométrie effectuées au synchrotron SOLEIL et à l’hôpital Lariboisière à Paris, non destructives, ont permis de caractériser le TiO2, de doser le titane total, de détecter les particules individuelles de titane et de déterminer leur taille à l’échelle du nanomètre. Des nanoparticules de titane ont été détectées dans tous les laits animaux et la majorité des laits de formule. La présence de particules de TiO2 dans le lait maternel de femmes vivant à Paris ou en proche banlieue, constitue une preuve que le TiO2 peut passer la barrière de la glande mammaire. Cet état des lieux reflète le niveau d’exposition des nouveau-nés et des mères, mais également des consommateurs adultes de lait. La caractérisation des particules dans le lait telle que réalisée dans cette étude devrait servir de base aux futures études pour comprendre l’origine des particules, les mécanismes de sécrétion dans le lait, ainsi que l’impact des cocktails de particules qui ont été identifiées sur la santé du nouveau-né. -> Contact : anne.burtey@inrae.fr / camille.rivard@synchrotron-soleil.fr
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October 14, 8:53 AM
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En cas de déséquilibre glycémique persistant chez le sujet atteint de diabète de type 1 il convient d’évoquer une détresse émotionnelle sous-jacente qui pourrait alors bénéficier d'une prise en charge
Dans une revue publiée dans Diabetes, Obesity and Metabolism, les auteurs Sylvia Franc et Guillaume Charpentier du Laboratoire de biologie de l’exercice pour la performance et la santé - LBEPS (Univ. Évry/IRBA/ CERITD), s’intéressent à l’impact de la détresse psychosociale sur l’équilibre glycémique de sujets vivant avec un diabète de type 1 (svDT1). Chez les svDT1, le fardeau de la gestion au quotidien du traitement et la peur des hypoglycémies notamment, sont responsables d’une « détresse liée au diabète », souvent associée à un mauvais contrôle glycémique. Cependant, certaines situations de la vie (chômage, difficultés financières/personnelles/professionnelles) désignées par le terme de « détresse psycho-sociale » pourraient impacter la glycémie de la même façon. Pour le confirmer, les auteurs ont sélectionné dans 7 bases bibliographiques (PubMed, Google Scholar, Science Direct, PsycNet APA, ERIC, EMBASE et Cochrane), les articles traitant de l’impact glycémique de la détresse psychosociale. Sur les 108 articles identifiés, 24 ont été analysés. De cette revue systématique, il ressort que la détresse psychosociale occasionne un état de « détresse émotionnelle » similaire à celui de la détresse liée au diabète, et qui peut aussi être source de déséquilibre glycémique. La résilience psychologique et les éléments positifs de la vie diminuent l’impact négatif de cette détresse émotionnelle. L’essais EMBARK a montré l’efficacité d’une démarche centrée sur les émotions pour améliorer la glycémie à long terme. Une situation de détresse émotionnelle est donc à évoquer devant tout déséquilibre glycémique persistant et pourrait ainsi constituer une nouvelle cible thérapeutique. Cette hypothèse sera à tester dans un essai d’intervention visant à étudier l’impact de la détresse émotionnelle puis de sa réduction sur la glycémie. Légende Figure : Proposition de modèle intégrateur, visant à expliquer le déséquilibre glycémique persistant par le biais de la détresse émotionnelle. -> Contact : sylvia.franc@ceritd.com
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October 14, 9:01 AM
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Modéliser les nanovecteurs à base de polymères pour optimiser l’encapsulation et la délivrance contrôlée de médicaments
Dans une revue publiée dans Advanced Healthcare Materials, une équipe de chercheurs de l’Université de Fuzhou, de l’Institut Galien Paris-Saclay (IGPS, CNRS/UPSaclay, Orsay) et du laboratoire BioCIS – Biomolécules : Conception, Isolement, Synthèse (CNRS/UPSaclay, Orsay) fait le point sur les avancées permises par les études de modélisation moléculaire dans la compréhension des propriétés physico-chimiques et structurales des nanovecteurs de médicaments à base de polymères. Les nanovecteurs de polymères permettent d’encapsuler les principes actifs dans des nanoparticules, permettant de les protéger d’une dégradation trop précoce, et de les délivrer de façon contrôlée dans les cellules visées, réduisant leurs effets secondaires. Une large majorité de ces nanovecteurs est développée par essais-erreurs, nécessitant beaucoup de temps et de ressources. Dans ce contexte, les approches assistées par ordinateur permettent de rationaliser et d’accélérer leurs développements à moindre coût. Après une présentation (accessible aux non-experts du domaine) des techniques computationnelles couramment utilisées, cette revue met en valeur les éclairages que ces approches apportent à l’échelle moléculaire sur 1) l’auto-assemblage et l’organisation supramoléculaire des polymères dans les nanovecteurs (micelles, polymères prodrogues, dendrimères), 2) leurs interactions avec les membranes cellulaires et leur internalisation, et 3) la libération des principes actifs par des stimuli physiques (température), chimiques (pH) ou biologiques (enzymes). -> Contact : tap.ha-duong@universite-paris-saclay.fr
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October 14, 9:10 AM
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Le SARS-CoV-2 est un coronavirus à ARN simple brin positif responsable de la pandémie de COVID-19. L’apparition de nouveaux variants et l’efficacité limitée des antiviraux actuels soulignent le besoin de stratégies thérapeutiques innovantes. Dans une étude parue dans Molecular Therapy, des scientifiques du laboratoire Génétique Animale et Biologie Intégrative – GABI (INRAE/AgroParisTech/UPSaclay, Jouy-en-Josas) et de l’unité Virologie et Immunologie Moléculaires – VIM (INRAE/UVSQ/UPSaclay, Jouy-en-Josas) ont conçu des oligonucléotides antisens (ASO) ciblant l’ARN du SARS-CoV-2, les ont testés in vitro puis le meilleur ASO a été testé in vivo sur un modèle d'infection chez le hamster. Chez les hamsters infectés, un traitement intranasal initial suivi d’une administration systémique quotidienne a montré une amélioration clinique significative : consommation alimentaire augmentée et perte de poids réduite. L’ASO-N1 a induit une réduction durable de l’ARN viral et de l’expression des cytokines inflammatoires dans la muqueuse nasale, et a diminué efficacement les titres viraux infectieux dans les écouvillons nasaux à 3 jours post-infection. Le site cible d’ASO-N1 est resté totalement conservé dans tous les principaux variants de SARS-CoV-2 au cours des quatre dernières années, démontrant le potentiel des ASO ciblant l’ARN de la nucléocapside comme stratégie antivirale robuste contre le SARS-CoV-2. Légende Figure : Mesure de la titration virale des prélèvements nasaux chez les hamsters après 3 jours et 4 jours de traitement par l'ASO-N1 par voie intranasale puis intra-péritonéale. -> Contact : eric.barrey@inrae.fr
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October 14, 9:17 AM
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L'altération de l’épissage, processus d’assemblage des exons codants de l’ARNm afin d’obtenir une protéine fonctionnelle, permet de générer une grande variété d’isoformes à partir d’un même gène, par exemple pour répondre à un stimulus. Cependant, la régulation dynamique et durable de ce phénomène est encore mal comprise. Dans une revue publiée dans Cell Reports, des chercheurs de l’UMR 3348 (CNRS/UPSaclay/Institut Curie, Orsay, équipe « Chromatin and RNA Splicing ») ont dressé l’état de l’art des recherches récentes sur la modification des profils d’épissage en réponse à l’environnement, et mettent en avant un nouvel élément crucial de cette régulation : la chromatine. A travers différents exemples rencontrés dans la nature et chez tout type d’organismes vivant (humains, souris, tortues, chauve-souris, levures, plantes...), les auteurs montrent que la position des histones par rapport aux exons, la modification chimique des histones ou de l’ADN (marques épigénétiques), les protéines régulatrices attirées par ces modifications, mais aussi l’organisation 3D de cette chromatine dans le noyau sont essentielles pour contrôler l’épissage. Ceci permet une réponse rapide et coordonnée face à un stress environnemental : changement de température, lumière, infection virale, stress mécanique, consommation de drogues, ou pathologies. Ce type de réponse via la chromatine assure une réponse cellulaire dynamique, mais aussi adaptable dans le temps en créant une mémoire épigénétique de l’épissage. Les auteurs concluent sur l’importance de continuer à étudier l’impact fonctionnel de la chromatine dans la régulation de l’épissage, pour mieux appréhender le rôle majeur de ces mécanismes dans le bon fonctionnement de la cellule. -> Contact : kevin.moreau@curie.fr / thibaud.pivron@curie.fr
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October 19, 4:04 PM
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October 18, 5:23 PM
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October 13, 3:42 PM
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Le terme “biodiversité” a été forgé en 1985 seulement. En quelques décennies il est devenu omniprésent médiatiquement, mais son sens scientifique s’est-il perdu dans cette popularisation ? Avec - Philippe Grandcolas, directeur de recherche au CNRS, directeur adjoint scientifique national pour l'écologie et l'environnement au CNRS
- Marine Fauché, professeure junior en philosophie et épistémologie de la nature au Laboratoire Ecologie Société Evolution - ESE (CNRS/UPSaclay/AgroParisTech, Gif-sur-Yvette) à l’Université Paris-Saclay
Le concept de biodiversité fait aujourd’hui partie du langage courant pourtant il n’a pas toujours existé. Il a fallu attendre 1985 pour qu’il soit forgé sous la plume d’un biologiste américain. A quels besoins répondait la fabrication de ce néologisme ? Pourquoi ce concept a-t-il connu un succès aussi important dans les médias et les discours politiques ? Et ce faisant, sa dimension scientifique s’est-elle diluée ? “Sciences Chrono” se demande aujourd’hui ce que la biodiversité a changé ou pas dans nos représentations du monde vivant et dans les pratiques de protection de la nature. Ecouter ou réécouter le podcast -> Contact : marine.fauche@universite-paris-saclay.fr
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October 18, 4:26 PM
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Nous avons le plaisir de vous inviter à une journée dédiée à l’Entrepreneuriat et à l’Innovation en santé qui se tiendra Mercredi 19 novembre 2025 – Accueil à partir de 8h30, début des interventions à 9h00 - Matin : Digitéo Moulon Bâtiment 660 – Amphithéâtre Shannon, avenue des sciences, 91160 Gif
- Après-midi : Bâtiment Vauban, 47 boulevard Vauban, 78280 Guyancourt
🚍 Navette assurée pour le trajet entre les deux sites Programme : - Matinée : « Créer son entreprise, pourquoi pas vous ? »
- Accueil et ouverture par Xavier Apolinarski
- Table ronde sur l’accompagnement au transfert de technologies et à la création d’entreprise
- Atelier et table ronde sur l’innovation et la création de start-up, avec témoignages de doctorants et entrepreneurs
- Après-midi : Rendez-vous Innovation Santé
- Panorama de l’innovation en santé
- Témoignages sur les partenariats recherche-public/entreprises
- Villages thématiques : biothérapie, maladies rares, oncologie, santé numérique…
- Cocktail et networking
Programme complet ci-dessus L’inscription est obligatoire via le formulaire en ligne Doctorantes et doctorants : Double inscription obligatoire avant le 12 novembre 2025 : Sur ADUM via ce lien Le point de formation sera attribué uniquement aux participants présents toute la journée, dans le cadre du parcours « Carrières de docteurs : Entrepreneuriat Deeptech ». NB : Cette journée est co-organisée par les Graduate Schools Chimie, Health and Drug Sciences (HeaDS) et Life Sciences and Health (LSH) de l’Université Paris-Saclay, la Maison du Doctorat de l’Université Paris-Saclay en partenariat avec le Pôle universitaire d’innovation (PUI) – Innovation Alliance Université Paris-Saclay.
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October 18, 10:39 AM
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Valérie Pécresse Présidente de la Région Île-de-France Nelly Garnier Déléguée spéciale à la Recherche et à l’Enseignement supérieur ont le plaisir de vous convier à l’évènement IMPULSE Les rencontres de l’innovation en santé Le 12 novembre 2025 de 9h à 18h Au siège de la Région Île-de-France 8 boulevard Victor Hugo, 93400 Saint-Ouen-sur-Seine Métro : lignes 13 et 14 - Mairie de Saint-Ouen Lieux d’excellence dédiés à la santé, les Instituts Hospitalo-Universitaires (IHU) regroupent des équipes de chercheurs, des soignants et des entreprises autour d’une thématique clinique pour inventer la médecine de demain. Avec 10 IHU sur son territoire et la plus grande concentration d’entreprises du secteur de la santé en Europe, l'Île-de-France rassemble un potentiel exceptionnel en matière de recherche médicale. La Région Île-de-France en partenariat avec Medicen Paris Region, et la participation des bioclusters Paris Saclay Cancer Cluster, Genother et Brain&Mind, organisent un évènement inédit visant à favoriser les collaborations entre IHU et entreprises pour accélérer les innovations. AU PROGRAMME - Tables-rondes
- Rendez-vous BtoB
- Pitch & showroom des IHU et bioclusters
- Ateliers de co-constructuration
INSCRIVEZ-VOUS À IMPULSE
Le 4ème séminaire commun entre les GS Informatique, Sciences du Numérique (GS ISN) et Santé Publique (GS SP) et l’OI Hub PASREL de Paris-Saclay portera sur « L'imagerie en santé : méthodes et problèmes ouverts ». L'objectif de ce 4ème séminaire vise à donner un aperçu des méthodes d'apprentissage automatique en imagerie en santé. Les problèmes ouverts et les perspectives seront discutés à partir de divers exemples de leur utilisation en clinique. Comme les précédents, ce séminaire vise à stimuler l’émergence de projets collaboratifs entre les deux GS dans le domaine de l'IA et de la santé numérique. Date: mardi 25 novembre 2025 de 9h30 à 16h Lieu: en distanciel ou en présentiel (Hôpital Paul Brousse, Villejuif) Thématiques abordées et orateurs : - Sylvain Chatillon- CEA-list, sur l'imagerie ultrasonore transcrânienne autoadaptative
- Emilie Chouzenoux - Inria-CVN, sur l'approche de dépliage profond pour les problèmes inverses en imagerie
- Myriam Edjali-Goujon- CEA-BIOMAPS, sur l’enjeu de l’utilisation de l’IA en clinique
- Thomas Rodet - ENS Saclay-SATIE, sur l'imagerie ultra sonore appliquée au cancer du sein
- Vincent Zossou - CESP, sur l'analyse automatique de scanners abdominaux.
Inscription obligatoire
Le Transdisciplinary Immunology Journal Club (TIJC) rassemble chaque mois médecins, chercheurs et étudiants pour échanger autour des avancées en immunologie, oncologie, auto-immunité et médecine translationnelle. Pendant une heure, nous discutons d’un article de pointe et ouvrons le débat dans un cadre interdisciplinaire, le club est ouvert à toutes et à tous. Il est animé par Samuel Bitoun et François-Xavier Danlos. Prochaine date : TIJC#11 – High endothelial venules (HEVs): specialized blood vessels for lymphocyte entry in tumors during cancer immunotherapy Présenté par Lucas Blanchard, The Rockefeller University Jeudi 20 novembre 2025, 16h00–17h00 Plus d’info Retrouvez l’ensemble des TIJC en replay sur la chaîne YouTube FHU CARE. Et si vous souhaitez présenter un papier à TIJC, contactez-nous : myriam.morcel@aphp.fr
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