Your new post is loading...
|
Scooped by
Life Sciences UPSaclay
November 9, 6:26 PM
|
L’UMS IPSIT (Ingénierie et Plateformes au Service de l’Innovation Thérapeutique) compte à ce jour 11 plateformes dont CYM (Responsable : Marie-Laure Aknin, IE, Inserm). Que vous soyez une équipe de recherche académique ou industrielle, le personnel de la plateforme est à votre disposition pour vos analyses et pour développer de nouvelles techniques en lien avec la cytométrie en flux nécessaires à vos projets. Par exemple, la cytométrie en flux est un outil performant et pertinent pour répondre aux exigences des projets de recherche académique et industrielle visant la caractérisation physiologique ou antigénique de populations bactériennes. Dans le cadre d’un projet collaboratif sur le rôle du microbiote dans les pathologies du métabolisme hépatique, Vanessa Liévin-Le Moal de l’unité «Inflammation, Microbiome and Immunosurveillance» (UMR-S 996 Inserm/UPSaclay) a sollicité la plateforme CYM en 2020 pour la caractérisation par cytométrie en flux des bactéries dans son modèle et l’étude du suivi de la viabilité bactérienne. CYM en a profité pour relever un défi : mettre au point un protocole d’analyse plus sûr et pratique pour les expérimentateurs qui minimise l’utilisation de réactifs de type Cancérogène, Mutagène et Reprotoxique (CMR) et qui prévient/prémuni du risque de contamination notamment des équipements et du personnel par des bactéries vivantes. Une solution : un protocole d’étude de viabilité compatible avec une fixation des échantillons. C’est dans ce contexte que Sophie Servain Viel (IE, Inserm, CYM) a conduit le développement et la validation d'un protocole permettant le marquage de la viabilité en utilisant, avant la fixation des bactéries, les colorants non CMR : les « Fixable Viability Dye eFluor™ » qui sont généralement utilisés sur les cellules eucaryotes. Cela a permis d’éliminer le risque d'exposition biologique, et d’éviter l'utilisation de réactifs tels que l’iodure de propidium, dangereux pour la santé (classé CMR). Étant donné que les bactéries ont des caractéristiques de taille et de granularité très similaires à celles des évènements considérés comme bruit de fond dans les analyses classiques de cytométrie en flux, une étape de marquage de l'ADN bactérien avec SYTOTM ou DRAQ5TM a été ajoutée, permettant de détecter de façon fiable ces cellules procaryotes. Ce protocole permet le suivi de l’altération de populations bactériennes en culture au cours du temps et il est compatible avec des étapes de perméabilisation. En partenariat avec la plateforme MIPSIT (Responsable : Séverine Domenichini, IE CNRS), un protocole compatible avec des acquisitions en microscopie (e.g. microscopie confocale) a été mis au point. Cette approche complémentaire illustre et renforce la fiabilité et la complémentarité des résultats obtenus. Ce travail collaboratif entre CYM, la plateforme MIPSIT et l’UMR-996 a fait l’objet d’une Technical Note (Servain-Viel et al., Cytometry Part A, 2023) et permet d’offrir de nouvelles perspectives d’étude et analyse. Notre expertise est maintenant à votre disposition pour vous accompagner dans vos projets de cytométrie en flux appliquée à la microbiologie ! -> Contact : Sophie Viel (sophie.viel@universite-paris-saclay.fr) Plug In Labs Université Paris-Saclay : cliquer ICI La plateforme a déjà publié quatre FOCUS PLATEFORME, n’hésitez-pas à les relire ! IPSIT / Plateforme de Cytométrie H. Moissan (CYM). La plateforme de cytométrie en flux (CYM) de l'Unité Mixte de Service, Ingénierie et Plateformes au Service de l'Innovation Thérapeutique (UMS-IPSIT), située au rez-de-chaussée du bâtiment Recherche Henri Moissan (HM1) offre régulièrement ses services aux équipes de recherche académiques du territoire Paris-Saclay ainsi qu'aux industriels. Le personnel de la plateforme est à votre disposition pour vous aider à la réalisation de projets de recherche fondamentale, préclinique sur des modèles expérimentaux ainsi que pour des protocoles de recherche clinique. Son personnel est aussi à votre service pour la mise au point de nouvelles techniques utilisant la cytométrie en flux. Les équipements de cytométrie en flux de la plateforme permettent le phénotypage des cellules par la détection de molécules membranaires et intracellulaires (biomarqueurs) mais aussi des études fonctionnelles telles que la détection de phosphorylation des protéines, la prolifération cellulaire, la quantification de cytokines ou chimiokines excrétées ou la détection d'ARN. Enfin, des tris cellulaires à haut débit sont aussi proposés par la plateforme. Et en parallèle, elle étend maintenant son offre de service en mettant à votre disposition un nouvel appareil de mesure de haute technologie, le QuickPlex® SQ 120 (Meso Scale Discovery, MSD) permettant l’analyse en multiplex de biomarqueurs par electrochemiluminescence. Nos activités qui peuvent être en relations avec celle d'autres plateformes, permettent l'identification de nouveaux biomarqueurs pouvant être des cibles thérapeutiques. A propos d’IPSIT. IPSIT (Ingénierie et Plateformes au Service de l’Innovation Thérapeutique) est une Unité Mixte de Service placée sous les tutelles conjointes de l’UPSaclay (UMS-IPSIT), l’Inserm (US31) et le CNRS (UAR3679). L’IPSIT regroupe 11 plateformes techniques, organisées en trois pôles technologiques (IMCELLF, OMICS et INTERACTIONS) et trois plateformes transverses. L’IPSIT se veut résolument à l’interface de la chimie, de la biologie et de la clinique en établissant le lien entre la cible pathologique et le médicament. L’IPSIT est adossée à une Structure Fédérative de Recherche (SFR) qui rassemble l’UMS et 25 équipes de recherche. Enfin, IPSIT participe à l’animation scientifique et à la formation des étudiants et des personnels tout en contribuant au rapprochement d’équipes d’horizons différents et à la transdisciplinarité des collaborations. Voir aussi leur FOCUS PLATEFORME décrivant toutes leurs expertises !
|
Scooped by
Life Sciences UPSaclay
November 7, 9:43 AM
|
Les chercheuses de l’équipe des Nouvelles Approches en Radiothérapie du Laboratoire signalisation, radiobiologie et cancer (UMR 3347 CNRS/UMR-S 1021 INSERM/Institut Curie/UPSaclay, Orsay) ouvrent la porte pour la radiothérapie en mini-faisceaux de proton (pMBRT) pour les irradiations thoraciques, dans une étude publiée dans International Journal of Radiation, Oncology, Biology, Physics. La radiothérapie est un des piliers du traitement des cancers bronchopulmonaires, cependant, elle est encore associée à des toxicités pulmonaires importantes. Le cancer du poumon étant une cause majeure de décès dans le monde, il est crucial de trouver de nouvelles approches pour réduire les toxicités radio-induites. La pMBRT est une approche innovante de radiothérapie qui module fortement la dimension spatiale de la délivrance de dose en utilisant des mini-faisceaux de protons étroits, parallèles et submillimétriques. La pMBRT a déjà démontré sa remarquable capacité à préserver les tissus sains au niveau du cerveau et de la peau. C’est la première fois qu’une étude explore la capacité de la pMBRT à préserver les tissus sains dans le cadre d’irradiation thoraciques. La pMBRT a démontré sa supériorité en termes de survie, de toxicités cardiaques et de fibrose pulmonaire chez la souris, comparée à la protonthérapie conventionnelle (CPT). Les modifications pulmonaires induites par la pMBRT étaient plus localisée et moins sévères que celles induites par la CPT. La pMBRT permet également de préserver la capacité de réparation des tissus pulmonaires. Ces résultats encouragent donc l’utilisation de la pMBRT pour des localisations thoraciques. -> Contact : annaig.bertho@curie.fr / yolanda.prezado@curie.fr
|
Scooped by
Life Sciences UPSaclay
November 7, 10:02 AM
|
Une étude menée au sein de l’unité Prédicteurs moléculaires et nouvelles cibles en oncologie (UMR-S 981 PMNCO – Univ. Paris-Saclay/Inserm/Gustave Roussy) en collaboration avec l’institut Curie a exploré les altérations génomiques et transcriptomiques du carcinome urothélial métastatique (mUC) à partir de biopsies de 111 patients. Elle montre que ces cancers partagent des mutations communes avec les cancers primaires, mais présentent aussi des caractéristiques spécifiques, comme une prévalence plus élevée d'altérations du gène FGFR3. Environ 73% des patients étudiés présentent des mutations pouvant être ciblées par des traitements existants. L'innovation de cette étude réside dans l'approche exhaustive combinant le séquençage de l'exome complet et l'analyse transcriptomique, permettant ainsi de mieux comprendre les sous-types moléculaires du mUC. Contrairement aux cancers primitifs, les métastases présentent une grande hétérogénéité, avec plusieurs sous-types coexistant au sein d'une même tumeur. De plus, le rôle des cellules immunitaires infiltrantes, notamment des lymphocytes T CD8+, est particulièrement important pour prédire l'évolution clinique des patients, ce qui n'était pas observé dans les tumeurs primaires. Par ailleurs, des cibles thérapeutiques potentiellement exploitables ont été identifiées et ce travail souligne l'importance de la caractérisation moléculaire pour adapter les traitements des patients atteints de mUC. Ces résultats, publiés dans Nature Communications, ouvrent la voie à une médecine de précision plus efficace, capable de mieux répondre à la diversité des réponses tumorales dans les cancers métastatiques. -> Contact : yohann.loriot@gustaveroussy.fr
|
Scooped by
Life Sciences UPSaclay
November 7, 10:38 AM
|
Les mutations de la protéine spastine sont l'une des principales causes de la paraplégie spastique héréditaire (PSH), un groupe de maladies génétiques invalidantes causées par la dégénérescence des axones des neurones moteurs supérieurs. La spastine est une protéine qui clive les microtubules et régule ainsi des processus cellulaires qui dépendent de ce composant du cytosquelette. Toutefois, son rôle dans le réticulum endoplasmique (RE), où elle est également localisée, reste incompris. Récemment, les sites de contact entre le RE et les mitochondries, appelés MERCs, ont suscité un grand intérêt pour leur implication dans la régulation de l'homéostasie cellulaire et leur déséquilibre a été associé à plusieurs maladies humaines, y compris les PSH. Dans une étude publiée dans iScience, des chercheurs du groupe « Maladies Neuromusculaires et Thérapie Génique » de Généthon (UMR-S 951 Integrare Inserm/UEVE/UPSaclay, Généthon, Evry), en collaboration avec des équipes françaises et italiennes, ont démontré, via différentes approches expérimentales et modèles cellulaires, que la spastine se localise dans les MERCs, régulant non seulement leur densité, mais aussi d'importantes fonctions mitochondriales qui leur sont associées. En effet, la diminution de l’expression de la spastine pour mimer un état pathologique provoque des altérations cellulaires telles que la réduction des niveaux de calcium mitochondrial et réticulaire, ainsi qu’une baisse des espèces réactives de l'oxygène, du potentiel membranaire mitochondrial et de leur charge énergétique. Ces résultats suggèrent donc que les MERCs et les fonctions mitochondriales associées jouent un rôle important dans l’apparition et la progression de cette maladie encore incurable. -> Contact : andrea.burgo@univ-evry.fr
|
Scooped by
Life Sciences UPSaclay
November 7, 11:11 AM
|
Dans une étude publiée dans Lancet Infectious Disease, les équipes du réseau de virologie de l’ANRS MIE ont étudié l’échappement virologique du virus respiratoire syncytial (VRS) au nirsevimab chez des enfants infectés et traités. Le nirsevimab est un anticorps monoclonal à longue demi-vie indiqué dans la prévention des bronchiolites à VRS chez les nourrissons pendant leur première saison d’exposition. Il a été utilisé pour la première fois à large échelle en France en 2023-24. Dans ce contexte la sélection d’un VRS résistant est un risque, car le VRS est variable et qu’une seule mutation suffit à conférer une résistance à l’anticorps. A ce jour seuls 48 virus isolés de patients traités ont été étudiés lors des essais. Cette large étude nationale multicentrique coordonnée par les Pr. Slim Fourati (INSERM U955, UPEC, Hôpital Henri Mondor, AP-HP) et Marie-Anne Rameix-Welti (M3P, Institut Pasteur, UMR-S 1173, UVSQ/UPSaclay, Hôpital Ambroise Paré AP-HP) a inclus 695 patients de moins d’un an infectés par le VRS ayant reçu on non du nirsevimab en prophylaxie. Le séquençage des génomes viraux complétés par des études phénotypiques de la sensibilité au nirsevimab ont montré que l’émergence de variants résistants du VRS-A était rare (0/236 VRS-A de patients traités). En revanche 2 des 24 VRS-B d’enfants traités séquencés dans l’étude portaient des mutations de résistance au nirsevimab, dont une non décrite au préalable, soulignant l’importance d’une surveillance étroite de la sensibilité du VRS à cet anticorps. Lire aussi le Communiqué de Presse -> Contact : marie-anne.rameix-welti@uvsq.fr
|
Scooped by
Life Sciences UPSaclay
November 7, 11:39 AM
|
Dans une étude parue dans Clinical Microbiology and Infection, des chercheurs du centre national de référence (CNR) sur la résistance aux antibiotiques et rattaché à l’UMR-S 1184, IMVA-HB (Center for Immunology of Viral Infections and Autoimmune Diseases, INSERM/CEA/UPSaclay, Le Kremlin Bicêtre) ont étudié l’efficacité d’une nouvelle association bêta-lactamine/inhibiteur de bêta-lactamase. La résistance aux carbapénèmes chez les bacilles à coloration de Gram négative reste un problème majeur pour le traitement de certaines infections. L’évaluation de nouvelles alternatives thérapeutiques est donc d’importance. La carbapenèmase OXA-48 est la carbapénèmase la plus répandue en France devant les deux métallo-bêta-lactamases (MBL) NDM et VIM. OXA-48 hydrolyse les carbapénèmes mais cependant n’est pas apte à hydrolyser certaines céphalosporines incluant la ceftazidime ou le céfépime. Cependant, des mécanismes de résistance associés capables de conférer une résistance à ces molécules sont fréquemment associés à OXA-48. L’association ceftazidime -avibactam, via l’inhibition de ces mécanismes additionnels, est efficace pour le traitement de la majeure partie de ces entérobactéries productrices d’OXA-48. Cependant, l’utilisation toujours plus importante de l’association ceftazidime/avibactam est en train de sélectionner des isolats toujours plus résistants qui pourrait compromettre l’utilité d’une nouvelle association en cours de mise sur le marché (aztréonam-avibactam) comme traitement de tout dernier recours pour les souches productrices des carbapénèmases NDM ou VIM pour lesquelles la ceftazidime-avibactam est intrinsèquement inefficace. La sensibilité aux antibiotiques de derniers recours de 2089 entérobactéries productrices de carbapénèmases dont 1000 productrices de OXA-48 reçues au Centre National de Référence de la Résistance aux Antibiotiques à été testée par microdilution en milieu liquide (= méthode de référence). Ces résultats ont confirmé que l’association céfepime-enmetazobactam n’était pas efficace à l’encontre des entérobactéries productrices de MBL. Cependant, la sensibilité des isolats producteurs de OXA-48 étaient de 96.7% et 99.5% pour l’association céfépime-enmetazobactam et ceftazidime-avibactam, respectivement (Figure). In vitro, ces deux associations possèdent une efficacité similaire vis à vis des souches productrices d’OXA-48. Le céfépime-enmetazobactam se positionne donc comme une possible alternative thérapeutique à la ceftazidime-avibactam pour le traitement des infections causée par des souches productrices d’OXA-48, permettant une « épargne de l’avibactam » dont l’efficacité doit être préservée au sein de la future association aztréonam-avibactam qui reste à ce jour la seule alternative fiable pour le traitement des infections causées par des souches productrices de MBL (NDM ou VIM). -> Contact : remy.bonnin@universite-paris-saclay.fr / laurent.dortet@aphp.fr
|
Scooped by
Life Sciences UPSaclay
November 7, 9:26 AM
|
Portrait Jeune Chercheuse – Hanadi Saliba, Maître de conférences en immunologie
Hanadi Saliba est une viro-immunologiste spécialisée dans la thérapie génique. Depuis septembre 2023, elle occupe le poste de maître de conférences à l'Université d'Évry-Paris Saclay au sein de l’Unité Integrare (UMR-S 951 Inserm/UEVE/UPSaclay) de Généthon (Evry). Son travail de recherche se concentre sur la réponse immunitaire dans le contexte de la thérapie génique. Elle s'intéresse particulièrement aux toxicités immunitaires associées à l'utilisation des vecteurs adéno-associés (AAV). Étudier ces toxicités est essentiel, car cela peut influencer l’efficacité des traitements géniques et la sécurité des patients. Son objectif est d'établir un lien entre l'exploration des mécanismes de la réponse immunitaire et l'utilisation des connaissances acquises pour assurer un suivi précoce, permettant ainsi des interventions proactives. Son parcours académique débute avec une thèse en biologie cellulaire et moléculaire, spécialisée en immunologie, à l'Université de Strasbourg en 2017, où elle développe des vaccins à base de nanoparticules lipidiques pour l’immunothérapie anticancéreuse non invasive. Après son doctorat, Hanadi continue ses recherches avant de rejoindre Généthon en 2021 en tant que chercheuse postdoctorante. À Généthon, elle effectue un changement thématique et s'investit dans un projet explorant la tolérance induite lors des thérapies géniques médiées par les vecteurs AAV, notamment après ciblage du foie. Ses travaux révèlent comment l’expression du transgène dans le foie influence l’activation et l’état fonctionnel des lymphocytes T CD4+, améliorant ainsi la compréhension de la tolérance immunitaire dans le contexte des thérapies géniques. Parallèlement à sa recherche, Hanadi s'est engagée dans l’enseignement supérieur. Avant de rejoindre l’Université d’Évry/Paris-Saclay, elle a été professeure assistante à l’Université Libanaise (2018-2021), où elle a contribué à l'accréditation des programmes éducatifs en tant que membre du comité exécutif de la Faculté des Sciences Médicales. Elle enseigne actuellement au département Sciences de la Vie à l’Université d’Évry et à des étudiants de la licence française délocalisée à Wuhan, en Chine, abordant notamment les thématiques d’immunologie et de virologie. Passionnée par la recherche et l’enseignement, Hanadi continue d’épanouir son expertise scientifique tout en formant la prochaine génération de scientifiques, contribuant ainsi au progrès de la recherche en biothérapies. "Cela semble toujours impossible jusqu'à ce que ce soit fait." - Nelson Mandela -> Contact : hanadi.saliba@univ-evry.fr / hsaliba@genethon.fr
|
Scooped by
Life Sciences UPSaclay
November 7, 4:56 PM
|
The "PLant science in the ANThropocene" (PLANT) workshop will run from March 24 to April 4, 2025 at the Institut Pascal of the University Paris-Saclay (campus about 25 km south of Paris). This 2-week workshop will address key challenges for the international Plant Science community, from basic sciences to socio-economic and environmental aspects including climate change. It will gather about 60 international scientists. The attendance will mix high stature senior scientists, together with numerous younger ones. The program will focus on three themes: - Theme I: "Frontiers in Plant Science fundamental research" (March 24-25-26)
- Theme II: “Feeding the planet: roles for Plant Science and associated socio-economic challenges" (March 27-28-31 and April 1)
- Theme III: "Plants as factories: from chemical compounds to mitigating climate change” (April 2-3-4)
Mornings will consist mainly of presentations by about 20 senior scientists, who will provide their vision of how to rise to those challenges, while the afternoon sessions will be devoted principally to brainstorming across generations on selected topics. This workshop will thus require input from all participants, the goals being the emergence of consensus community opinions and the specification of paths to success for several major challenges, be they at the level of training the next generation, guiding deciders of public policies, or connecting with the wider public on the importance of plant sciences in the Anthropocene. All these challenges are of high complexity and depend on several disciplines. Thus, beyond plant biologists and geneticists, some participants will come from agronomy, ecology, social and environmental sciences, economics, and also from chemical, physical and computational sciences. Syntheses in the form of opinion papers will be drafted for publication. APPLICATIONS ARE OPEN FOR PARTICIPATION IN THIS WORKSHOP - Applications deadline: Tuesday December 17, 2024, midnight
- To know more and apply
- Admission is restricted because of capacity constraints and the need to have the brainstorming sessions be effective. There are no registration fees and lunches and coffee breaks will be provided.
- Participants must hold a PhD.
Note: There are no sessions during the week-end of March 29-30, you can use your free time to do some tourism!
|
Scooped by
Life Sciences UPSaclay
November 7, 4:31 PM
|
Les inscriptions sont ouvertes pour la 3ème édition de la Journée Scientifique de la Graduate School Biosphera ! Pour cette 3ème édition, la part belle sera donnée à la présentation des recherches pluri-disciplinaires menées par les équipes de Biosphera (enseignant/chercheur ; chercheurs, doctorants et étudiants de master) dans le domaine de l’environnement, de l’écologie, de l’agriculture et de l’alimentation. Cette journée sera ponctuée de moments plus informels, propices aux échanges et pourquoi pas à de futures collaborations. A NOTER la "Session Poster" est proposée pour les enseignants/chercheurs, chercheurs et postdocs. Mais également pour les doctorants pour lesquels un prix sera remis lors de cette journée. Inscription gratuite mais obligatoire d'ici le vendredi 22 novembre
|
Scooped by
Life Sciences UPSaclay
November 7, 4:00 PM
|
Ce webinaire a pour but de présenter l'analyse documentaire et les entretiens réalisés par un groupe composé de chercheurs du département Génétique Animale de INRAE, de l'Idele et de BOKU (Autriche) piloté par Florence Phocas (unité de Génétique Animale et Biologie Intégrative – GABI, INRAE/AgroParisTech/UPSaclay, Jouy-en-Josas), afin de rédiger un chapitre pour le troisième rapport de la FAO sur l'état des ressources zoogénétiques pour l'alimentation et l'agriculture dans le monde. Il aura lieu le jeudi 5 Décembre 2024 de 14h à 15h30. Ce travail offre un aperçu précieux des facteurs qui déterminent les résultats des programmes de sélection, ouvrant ainsi la voie à des réussites potentielles.
|
Scooped by
Life Sciences UPSaclay
November 7, 3:44 PM
|
Co-organisé par Fernanda Fonseca de l’UMR SayFood (Paris-Saclay Food and Bioproduct Engineering, INRAE/AgroParisTech/UPSaclay, Palaiseau) ce free webinaire au carrefour de la Cryobiology et Astrobiology se tiendra le 14 novembre 2024 à 17h avec d’autres collègues membres de la Society for Cryobiology.
Plongez dans les dernières avancées en sciences de la vie lors de notre prochain événement de la série Scaly Life Science Talks. - Date : 13 novembre 2024
- Heure : 11h30 – 13h00
- Lieu : Spartners, 22 Route 128, Gif-sur-Yvette
Rejoignez-nous pour explorer des sujets révolutionnaires, notamment l'impact de la technologie CRISPR-Cas9 sur la recherche médicale et les nouvelles thérapies pour des maladies jusqu'alors incurables. Au programme : - Dr. Pablo Bartolucci, MD, PhD présentera Casgevy, le premier traitement utilisant la technologie CRISPR-Cas9, récemment approuvé par la FDA pour traiter la drépanocytose. Il partagera son expérience en tant que clinicien et discutera des perspectives prometteuses qu’offre cette thérapie pour les patients.
- Algenscribe, une startup innovante, présentera une technique alternative d'édition de l'ADN, offrant une nouvelle approche à la thérapie génique. (Le nom du conférencier de cette entreprise sera confirmé prochainement.)
- Emmanuelle Billon-Denis, PhD, clôturera l'événement en abordant les risques biologiques et de défense liés aux technologies d'édition génomique. Elle ouvrira le débat sur les défis de sécurité posés par ces avancées.
Ne manquez pas cette occasion—réservez votre place dès aujourd'hui ! L'événement est gratuit, mais l'inscription est obligatoire. Inscrivez-vous ici
Le DIM ITAC (ImmunoThérapie, Auto-immunité, Cancer) est heureux de vous annoncer la tenue de sa 1ère Journée Scientifique : Vendredi 22 novembre 2024 13h30 - 18h Auditorium du bâtiment de recherche Faculté de médecine Paris Saclay- Hôpital de Bicêtre Cette journée est ouverte à tous les acteurs de la recherche sur l'immunothérapie, l'autoimmunité et le cancer. Ce sera l'occasion pour les chercheurs financés par le DIM ITAC de venir présenter leurs travaux de recherche et pour la communauté scientifique francilienne de venir échanger autour du projet ITAC. L'inscription à la journée, gratuite mais obligatoire, se fait via ce lien. Le programme de la journée est disponible ICI. Au plaisir de vous accueillir, pour partager avec vous la vision portée par le DIM ITAC, de fédérer la recherche autour de ces trois domaines que sont le cancer, l'immunothérapie et l'auto-immunité. Le bureau de coordination du DIM ITAC
Via Life Sciences UPSaclay
|
|
Scooped by
Life Sciences UPSaclay
Today, 8:21 AM
|
Portrait Jeune Chercheuse – Adelaide Nascimento, Chercheuse en ergonomie
Adelaide Nascimento a été Maîtresse de conférences en ergonomie au Cnam de 2010 à 2023. Elle a soutenu un doctorat en 2009 sur la sécurité des patients en radiothérapie et une Habilitation à Diriger des Recherches (HDR) en 2019 sur la notion de culture et ses usages dans les changements organisationnels. Adelaide Nascimento fait des recherches centrées sur l’activité humaine dans des contextes de conception/changements avec une focale en lien avec la santé au travail. Elle été recrutée en Chaire de Professeur Junior (CPJ) à l’UMR SADAPT (INRAE/AgroParisTech/UPSaclay, Palaiseau). La CPJ porte sur le thème suivant « Repenser le travail dans les systèmes alimentaires en transition ». Ses recherches vont se focaliser sur les enjeux, place et configurations du travail dans les transitions des systèmes alimentaires. Avec le dispositif CPJ, elle encadre actuellement une post-doctorante (Soutenabilité du travail dans l’agriculture biologique) et un doctorant (Implication de politiques publiques autour l’alimentation saine et durable dans le travail pour et dans la restauration collective). Elle enseigne à l’Université Paris Saclay et AgroParisTech. Lien vers un portrait vidéo de Adelaide Nascimento « Personne n'éduque personne, personne ne s'éduque seul, les individus s'éduquent ensemble par l'intermédiaire du monde » - Paulo Freire -> Contact : adelaide.nascimento@inrae.fr
|
Scooped by
Life Sciences UPSaclay
November 7, 9:52 AM
|
Une propriété fondamentale des organismes vivants est leur robustesse, c’est-à-dire leur capacité à maintenir un développement stable malgré des perturbations, par exemple génétiques. Les récents travaux publiés dans The Plant Cell et réalisés par une équipe de l’Institut Jean-Pierre Bourgin – IJPB (INRAE/AgroParisTech/UPSaclay, Versailles), en collaboration avec une équipe du RDP (Lyon), a mis en évidence un nouveau mécanisme contribuant à la robustesse du développement des plantes suite à une perturbation épigénétique majeure. Le POLYCOMB REPRESSIVE COMPLEX2 (PRC2) est un régulateur épigénétique majeur. La mutation de composants de ce complexe conduit à la dérépression d’une multitude de gènes et des phénotypes développementaux importants chez la plante modèle Arabidopsis thaliana. Parmi les gènes dont la répression transcriptionnelle est ainsi diminuée se trouve CUC2, un gène contrôlant la morphologie foliaire. Mais de façon inattendue, la dérégulation transcriptionnelle de CUC2 n’entraîne pas une augmentation de la quantité de protéine CUC2 ni de changement morphologique des jeunes feuilles. Ce paradoxe s'explique par la découverte qu’en réponse à la perturbation épigénétique, un « mécanisme de secours » impliquant un microARN est activé et inhibe l’excès d’ARNm produit, empêchant une surproduction de la protéine CUC2 et assurant la robustesse du développement. Cette voie de secours est activée sous différentes conditions environnementales même si elles induisent des morphologies foliaires contrastées. Ces travaux révèlent un nouveau mécanisme génétique contribuant à la robustesse du développement des plantes. Ils mettent également en évidence une coordination entre la régulation transcriptionnelle et post-transcriptionnelle de l’expression des gènes. -> Contact : patrick.laufs@inrae.fr
|
Scooped by
Life Sciences UPSaclay
November 7, 10:14 AM
|
Dans une étude publiée dans Plant Physiology les scientifiques de l’I2BC (CNRS/CEA/UPSaclay, Gif-sur-Yvette) et de l’IPS2 (INRAE/CNRS/UEVE/UParis-Cité/UPSaclay, Gif-sur-Yvette) ont étudié la régulation redox de la production du superoxyde an niveau du transfert photosynthétique des électrons. Les espèces réactives de l'oxygène (ROS) jouent un rôle en tant que molécules de signalisation cellulaire mais sont également potentiellement nuisibles. Pour gérer les ROS induits par la lumière et maintenir une fonction photosynthétique optimale, les protéines à thiols jouent un rôle crucial dans la régulation redox du chloroplaste. Les principales protéines redox impliquées dans le contrôle des ROS générés pendant la photosynthèse sont les thiorédoxines (Trx) de type m, la NADPH-réductase C (NTRC) et la péroxyrédoxine à 2 cystéines (2-Cys PRX). L'interaction entre ces protéines fonctionne comme un réseau de régulation redox, où la 2-Cys PRX peut être réduite par la NTRC et les Trx, mais peut également ré-oxyder ces dernières. Ce système permet une adaptation rapide du fonctionnement du chloroplaste aux changements du régime lumineux. L’étude a montré que la localisation membranaire des protéines du réseau de régulation redox varie en fonction de la photopériode pour réguler le fonctionnement du photosystème I (PSI) lui-même. Cette étude, qui fait l’objet de la thèse de Umana Hani, soutenue le 15 octobre, a permis proposer un nouveau modèle de régulation redox du PSI. Il ouvre de nouvelles perspectives de recherches sur la régulation des voies alternatives du transfert photosynthétique des électrons dans des conditions de lumière fluctuante ou de stress abiotique. -> Contact : anja.liszkay@i2bc.paris-saclay.fr / emmanuelle.issakidis-bourguet@universite-paris-saclay.fr
|
Scooped by
Life Sciences UPSaclay
November 7, 10:52 AM
|
Dans une étude publiée dans Journal of the American Chemical Society, les scientifiques du LBPA-Laboratoire de Biologie et Pharmacologie Appliquée (ENS Paris-Saclay/CNRS/UPSaclay, Gif-sur-Yvette, équipe « Structure, fonction et bio-ingénierie des Acides nucléiques non-conventionnels » ), en collaboration avec le laboratoire de Phan Anh Tuan (NTU Singapore), ont étudié des structures non canoniques d’acides nucléiques, les G-quadruplexes, qui jouent un rôle clé dans des processus cellulaires essentiels et suscitent un intérêt croissant en nanotechnologie en raison de leurs propriétés uniques. Dans cette étude, les chercheurs démontrent, par résonance magnétique nucléaire (RMN), l’imbrication de deux G-quadruplexes intramoléculaires : l’un contenant un site vacant (formant ainsi un G-triad) et l’autre ayant une guanine non liée. Ces structures interagissent via une connexion G-triad•G, créant un empilement inédit 5'–3'. En exploitant ces propriétés d'interconnexion, l’équipe a identifié une séquence capable de s'auto-assembler en G-wires, caractérisés par microscopie à force atomique (AFM), ouvrant ainsi de nouvelles perspectives pour des applications en nanotechnologie. -> Contact : brahim.heddi@ens-paris-saclay.fr
|
Scooped by
Life Sciences UPSaclay
November 7, 11:26 AM
|
Dans une étude prospective publiée dans Blood Advances, l’équipe du service d’hémato-oncologie de l’hôpital André-Mignot de Versailles (UVSQ/AP-HP, Le Chesnay) et du Centre d'Epidémiologie et de Santé Publique – CESP (UMR-S 1018 INSERM/UVSQ/UPSaclay) , rapporte l’évolution des cytokines activatrices des lymphocytes B (IL-6, IL-10 et BAFF) et la coévolution des principales populations lymphocytaires B et T sanguines chez 51 patients atteints d’un lymphome B diffus à grandes cellules (DLBCL) associé au VIH traités par R-CHOP. Le traitement R-CHOP est associé à une diminution de l'IL-10, tandis que les niveaux d'IL-6 ont fluctué et que les niveaux de BAFF ont augmenté au cours des trois premiers mois et diminué par la suite. Après traitement, une augmentation rapide des lymphocytes B CD19+ est observée composée principalement de lymphocytes B naïfs, tandis que les lymphocytes B de type zone marginale et les lymphocytes B mémoires se sont rétablis plus lentement. Avec un suivi médian de 41 mois, la survie sans progression et la survie à 5 ans étaient respectivement de 62% et 67%. La progression tumorale (17,5%) et le sepsis (12,5%) sont les principales causes de décès. Les facteurs de risque de décès et progression sont un R-IPI avancé (p=0,049), une lymphopénie NK (p=0,001), une faible proportion de lymphocytes B naïfs (p=0,017) et des niveaux sériques d'IL-6 élevés (p=0,001). À l'ère du développement rapide des thérapies telles que les CAR-T déplétant les lymphocytes B, l'évaluation initiale et post-thérapeutique des lymphocytes B non tumoraux est justifiée pour stratifier les patients atteints d’un DLBCL associé au VIH. -> Contact : caroline.besson@uvsq.fr
|
Scooped by
Life Sciences UPSaclay
November 9, 5:43 PM
|
Le récepteur transmembranaire HER2 est impliqué dans la prolifération cellulaire. Il est parfois surexprimé à la surface des cellules tumorales dans le cas de cancers du sein. Des thérapies ciblées anti-HER2 existent et peuvent être proposées aux femmes ayant un statut HER2 positif. Il s'agit de deux anticorps thérapeutiques : le trastuzumab et un autre, arrivé plus récemment sur le marché, le pertuzumab qui pallie en partie le problème de résistance acquise au trastuzumab. Comment ces deux molécules agissent-elles ? Où se lient-elles à HER2 ? Pourquoi une synergie thérapeutique entre le trastuzumab et le pertuzumab est-elle observée ? Pour répondre à ces questions, il est nécessaire de modéliser les interactions entre les trois partenaires, et l'apport de la biologie structurale est essentiel. L'analyse de particules uniques par cryomicroscopie électronique à transmission (cryo-EM) est particulièrement intéressante pour ce type de complexes et a déjà servi à modéliser un complexe ternaire associant HER2 et deux fragments de liaison (Fab) des deux anticorps thérapeutiques. Mais la résolution de la structure obtenue ne permettait pas de décrire les interfaces anticorps-antigène à l'échelle atomique. HER2 est un objet compliqué à étudier du fait de sa grande flexibilité. L'interface HER2-trastuzumab en particulier se situe dans la partie la plus flexible : le domaine IV de HER2. L'équipe « Interactions et mécanismes d'assemblage des protéines et des peptides » (B3S/I2BC), en collaboration avec Sanofi, l'IMPMC (CNRS, Sorbonne Université, MNHN, IRD) et l'Institut Pasteur, a obtenu la structure détaillée du complexe ternaire HER2/Fab pertuzumab/Fab trastuzumab. Dans un article publié dans le Journal of Structural Biology, les auteurs dévoilent une structure du complexe offrant une vue plus détaillée que celle précédemment disponible. Elle met en évidence une boucle du domaine IV qui avait été négligée auparavant et qui pourrait être impliquée à la fois dans la liaison du trastuzumab et dans la dimérisation de HER2. Cette découverte peut contribuer à expliquer l'effet anticancéreux synergique des deux anticorps. Les auteurs proposent en outre que la flexibilité du complexe HTP, au-delà des difficultés qu'elle entraîne pour l'analyse cryo-EM, reflète en fait la régulation de la signalisation HER2 et son inhibition par les anticorps thérapeutiques. Lire la suite de l’Actu CEA-Joliot. -> Contact : stephane.bressanelli@i2bc.paris-saclay.fr
|
Scooped by
Life Sciences UPSaclay
November 9, 5:33 PM
|
Le projet Chronology, associant quatre chercheurs dont Virginie van Wassenhove du CEA-Joliot (NeuroSpin, Unité de recherche en Neuroimagerie Cognitive - UNICOG, Equipe Cerveau et Dynamique Cérébrale, CEA/INSERM/UPSaclay, Gif-sur-Yvette), reçoit un ERC Synergy dont le montant peut atteindre 10 millions d'euros pour cinq ans. Objectif : caractériser les cartes cognitives du temps mises en place par le cerveau. « Nos pensées sont ancrées dans l'espace et dans le temps. De récentes découvertes sur la manière dont le cerveau construit notre perception de l'espace ont débouché sur une science fondamentalement nouvelle, dotée de méthodes et d'un cadre de travail innovant avec des retombées sociétales significatives. Cependant, nous savons très peu de choses sur la manière dont notre expérience est organisée le long d'un axe temporel, c'est-à-dire comment notre cerveau génère notre sens du temps. » Voici comment Virginie van Wassenhove (CEA-Joliot), spécialiste de la cognition temporelle, présente les enjeux du projet Chronology qui vient de recevoir un ERC Synergy, porté avec Brice Bathellier (CNRS), Srdjan Ostojic (ENS) et Mehrdad Jazayeri (MIT). Lire la suite de l’Actu CEA-Joliot -> Contact : virginie.van-wassenhove@cea.fr
|
Scooped by
Life Sciences UPSaclay
November 10, 10:12 AM
|
L'objectif principal de ce symposium est de favoriser et d'améliorer la collaboration entre des scientifiques issus de divers horizons, tous unis par l'objectif commun de relever les défis mondiaux de la santé. Biologistes, chimistes, ainsi que chercheurs en sciences humaines et sociales auront l'opportunité d'échanger des idées sur les complexités des problèmes de santé mondiale liés à la gestion de l'eau, à la biodiversité et aux préoccupations environnementales, ainsi que sur leurs répercussions sur la santé publique. Le comité scientifique et d’organisation - Prof. Abdelghani Sghir, Université d’Evry-Paris-Saclay
- Dr. Valérie Barbe, Chercheuse, CEA- Genoscope, Evry
- Dr. Adnane Boualem, Directeur de Recherches, INRAe, IPS2 Saclay
- Dr. Soumaya Najah, MCF, Université d’Evry-Paris-Saclay
- Dr. Janek Hyzewicz, MCF, Université d’Evry-Paris-Saclay
- Dr. Amir Feiz, MCF, Université d’Evry-Paris-Saclay
- Dr. Abdoul Ba, MCF, Université d’Evry-Paris Saclay
|
Scooped by
Life Sciences UPSaclay
November 7, 4:07 PM
|
Café GS LSH – Magda Magiera (Curie) – Microtubule post-translational polyglutamylation and neurodegeneration – 8 novembre 2024 de 13h30 à 14h en visioconférence
Les cafés GS LSH reprendront ce vendredi et auront lieu tous les vendredis des semaines impaires (hors vacances scolaires) en visioconférence de 13h30 à 14h. Ce vendredi 8 novembre 2024, nous avons le plaisir d’accueillir Magda Magiera (UMR 3348/INSERM U1278 CNRS/INSERM/UPSaclay/Institut Curie, Orsay) qui nous présentera ses travaux de recherche sur « Microtubule post-translational polyglutamylation and neurodegeneration ». Vous pouvez vous connecter à la réunion via ce lien. Nous vous attendons nombreux. Bien cordialement, La GS LSH
|
Scooped by
Life Sciences UPSaclay
November 7, 3:50 PM
|
Les Graduate Schools Chimie, Health and Drug Sciences et Life Sciences and Health vous invitent à participer à la Matinée Valorisation du 03 décembre 2024 de 8h45 à 14h00 en salle 4000 à Henri Moissan (HM1) pour un partage de connaissances et de retour d’expériences relatifs aux « Partenariats Laboratoire-Entreprise ». Ce moment sera suivi d’un temps de convivialité. Vous aurez l’opportunité de pouvoir échanger avec différents interlocuteurs de l’Université, de Laboratoires et Entreprises sur ce qui peut être fait et comment. Vous pouvez vous inscrire à partir du lien ci-dessous. Si vous avez déjà des questions, vous pourrez nous les partager grâce à celui-ci. Nous vous attendons nombreux. Lien d’inscription L'équipe de la Graduate School Health and Drug Sciences " GS HeaDS".
The conference will take place on November 13-15, 2024 at the Institute of Neuroscience Paris Saclay (NeuroPSI), located ~30km south of Paris. Registration opens on the August 1st and closes on October 15th. Abstracts We welcome abstracts submissions from the entire community from trainees to PIs. There is the possibility for abstracts to be choses for a talk, and, in any case, all presenters will be given ample time for poster presentations and a preview datablitz talk. Minischool As usual, ahead of the conference, on November 12th (afternoon) and 13th (morning), there will be an optional and free Minischool at NeuroPSI. Bear in mind that there will be a limitation to 150 participants to the conference and places will be assigned on a « first come, first served » basis. Registration fees: - Student/Postdoc: 30€
- Permanent researcher/engineer: 60€
- Industry (without booth, /pers): 150€
- Industry (with boot, /pers): 500€ (+80€/suppl. pers.).
See the website for the program and registration The organizing committee: Anindita Das, Andrew Davison, Thomas Deneux, Mathilde Do Paco, Jean-Marc Edeline, Valérie Ego-Stengel, Isabelle Férézou, Aline Ginois, Nicolas Giret, Chloé Huetz, Tihana Jovanic, Daniel Shulz, Virginie van Wassenhove.
RAPPEL ! Femmes de Science #3 le 20 novembre 2024 à Paris
Les fédérations hospitalo-universitaires organisent la troisième édition du workshop WiS Santé des femmes et femmes de santé le mercredi 20 novembre 2024, dès 14 h 00 à l’auditorium de l’hôpital européen Georges-Pompidou. Cette nouvelle édition, consacrée à la place de la femme dans la recherche et les soins, réunira de nombreux intervenants aux côtés des représentants des fédérations hospitalo-universitaires : médecins exerçant à l’AP-HP, soignants, chercheurs, universitaires, institutionnels, etc.
|