Reportage TLT sur Ubleam et les 12 sociétés faisant partie de la délégation Midi Pyrénées pour le Mobile World Congress 2012
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![]() Reportage TLT sur Ubleam et les 12 sociétés faisant partie de la délégation Midi Pyrénées pour le Mobile World Congress 2012 No comment yet.
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![]() Every country wants to win this new title : the most innovative country in the world. Ask anyone about this, and the answer will almost always be the same : the United States of America. And they’re right, the USA are the biggest innovation generator in the world, thanks to a broad range of universities and companies that keep inventing the next generation products and technologies. But who’s next ? Thomson Reuters gives you the answer in this beautiful infographic below. And Cocorico, France is ranked 3rd, with an excellent result ! So take a look at this chart and see how your country is doing ! Via Frédéric DEBAILLEUL
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Insiteo et Polestar, 2 startups toulousaines à l'honneur dans cet article ;-)
C'est un marché aux applications encore largement inconnues, qui aiguise l'appétit des géants du numérique. La géolocalisation « indoor », qui permet de se diriger à l'intérieur des édifices couverts, n'est certes qu'au stade embryonnaire de son développement, mais elle fait parler d'elle. C'est notamment Google qui a créé le buzz, en annonçant, en novembre dernier que la version 6.0 de Google Maps pour Android intégrerait les plans de plusieurs grands édifices comme des aéroports, des gares, des centres commerciaux ou des hôtels. Pour l'heure, seules quelques dizaines de cartes sont disponibles, pour des sites américains ou japonais exclusivement. Insiteo et Pole Star.
Pas étonnant, lorsqu'on sait que les 2 patrons de ces sociétés sont d'anciens cadres d'Alcatel Space, qui ont oeuvré sur le projet de GPS européen Galileo. L'objectif de ces jeunes PME (respectivement créées en 2009 et 2002) : mettre au point une technologie capable de pallier les insuffisances du GPS, dont le signal ne passe pas lorsque les murs sont trop épais. « Quant on voit l'essor des solutions GPS en extérieur, on se dit qu'il n'y a pas de raisons que ces applications s'arrêtent en dehors des bâtiments », juge Arnaud Masson, fondateur d'Insiteo. (...)
![]() Si le marché toulousain du neuf reste encore l’un des plus attractifs de France, il a connu en 2011 un sérieux trou d’air avec une baisse de 25%. Pas d’affolement, mais les professionnels de l’immobilier restent très prudents pour les mois qui viennent.
Prudence et inquiétude pour les acteurs de l’immobilier. Le secteur du neuf a en effet subi une baisse de 25% des ventes en 2011. Malgré un quatrième trimestre dynamique, les indicateurs de conjoncture de l’Observer de l’immobilier toulousain confirment un net ralentissement de l’activité. Pour la présidente, Alexandra François-Cuxac, « cette baisse s’explique par l’effet conjugué de la diminution de l’accession à la propriété (-21%) freinée par les prix élevés, et la forte baisse des ventes à investisseurs (-27%), malgré une défiscalisation à 22% en 2011 pour les logements BBC (label Bâtiment basse consommation, ndlr). La progression des taux d’intérêt et le durcissement des conditions d’octroi des prêts ont contribué à accentuer cette évolution défavorable du marché. » Si ce n’est plus l’euphorie, ce n’est pas encore la panique. Avec 5.020 logements neufs vendus aux particuliers l’an dernier, le marché toulousain reste quand même l’un des plus attractifs de France se félicite l’Observer. 47% des ventes ont été réalisées sur Toulouse, le reste à part égale entre la première et la deuxième couronne. Plus de 80% des programmes sont construits sur le territoire du Grand Toulouse.
Attention à la chute (...)
Le logement social a connu lui un volume de production record en 2011, avec 4.158 logements livrés en Haute-Garonne, contre 3.529 en 2010, soit une progression de 17,8%. Le département rattrape son retard en ce domaine, les objectifs ont été atteints à 103%. Quant aux terrains pour les maisons individuelles, ils se font de plus en plus rares sous l’effet du Schéma de cohérence territorial qui vise à freiner l’étalement urbain. (...)
![]() Œuvrant pour l’accompagnement et le financement des PME, Oseo se voit doter de nouvelles missions en 2012. Le FSI Régions et la filiale Oseo Industrie viennent renforcer ses prérogatives en Midi-Pyrénées. C’est l’heure des comptes pour Oséo Midi-Pyrénées, l’entreprise publique chargée du financement des PME. Avec 84.000 entreprises accompagnées pour un volume de 31 milliards d’euros en 2011, l’activité nationale est restée plutôt soutenue par rapport à l’année précédente. En Midi-Pyrénées, se sont plus de 3.770 entreprises qui ont été accompagnées l’an dernier, pour un volume de 1,2 milliard d’euros de financements mobilisés en partenariat. « C’est 10% de plus que l’an dernier », constate Laurent de Calbiac, directeur d’Oseo Midi-Pyrénées. Près de 64 millions d’euros ont été apportés au profit des projets innovants en région, tandis que le fonds de garantie régional a été mobilisé à hauteur de 412 millions. Les opérations de cofinancements ont représenté 446 millions d’euros et les opérations court-terme, 242 millions d’euros. Mais au-delà des chiffres, Oseo voit ses missions renforcées et doit désormais s’occuper de nouvelles opérations.
En Midi-Pyrénées, 40% des aides d’Oseo concerne l’industrie
Ainsi Oseo doit gérer le FSI Régions, nouvellement créé par l’Etat qui est une transformation d’Avenir Entreprise Oseo. « 350 millions d’euros ont été abondés au fonds FSI Régions, et les aides passent de 2 à 4 millions d’euros de plafonnement pour les entreprises confirmées »... (...)
![]() Après son départ d’Airbus en mai pour la maison mère EADS, Tom Enders veut rester à Toulouse. Une partie du siège devrait ainsi déménager près de la Ville rose. Une décision stratégique, voulue pour "une meilleure efficacité opérationnelle", et saluée par tous les élus locaux. (...) Concrètement, EADS, dont le siège juridique est aux Pays-Bas et les instances dirigeantes réparties entre Munich et Paris, devrait donc regrouper ses activités de direction sur un seul et même site, à Toulouse. Ce transfert pourrait amener entre 200 et 300 personnes à déménager de ce côté-ci de la Garonne. Mais il soulève également l’inquiétude des syndicats parisiens qui redoutent, par ce déménagement, une nouvelle rationalisation des postes administratifs. Tom Enders en tout cas, ne devrait donc pas quitter la Ville rose, même si un bureau sera conservé à Paris. Il sera voisin de Fabrice Brégier, son successeur désigné à la tête d’Airbus. (...)
![]() Greenpeace vient de publier son rapport annuel, le Cool IT leaderboard, qui classe les entreprises en fonction de leur impact énergétique, de leurs actions et de la publicité qu'elles font pour des comportements plus écologiques.
![]() Annoncée par les observateurs de la vie politique, la campagne des présidentielles 2012 est censée se tourner résolument vers le web.
Le traitement des textes est réalisé à partir d'une analyse sémantique de la langue. Celle-ci est réalisée à l'aide d'un logiciel (TextCoop) développé par l'équipe ILPL-CNRS de l'IRIT. Ce logiciel est prété à Prometil. L'équipe ILPL-CNRS décline toute responsabilité dans l'usage qui en est fait.
Qui sommes nous ? Polirama2012 est le premier produit issu de la R&D Prometil.
Prometil est une société de services en informatique, basée à Toulouse.
Spécialiste des nouvelles technologies, méthodes agiles et support aux outils d'ingénierie logicielle et système, Prometil met au cœur de sa stratégie d'entreprise l'investissement en R&D et l'atteinte de l'expertise technique.
Comment ça marche ? Vous naviguez aujourd'hui sur le site Polirama2012. Évidemment, nous ne pourrons vous donner le nom du futur président de la république française, la réponse appartient aux urnes.
Le site à suivre :
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La communauté urbaine du Grand Toulouse doit changer de nom et adopter celui de Toulouse Métropole. Pour donner plus de poids à la Communauté urbaine du Grand Toulouse, son président annonçait le 9 janvier dernier la création d'une agence de développement économique en partenariat avec la Chambre de commerce et d'industrie de Toulouse 31. « C'est un point essentiel de 2012, déclarait Pierre Cohen. Il me semble important de créer un outil pour permettre à la communauté urbaine d'être plus efficace et servir l'attractivité économique de la métropole toulousaine. » Cette création, qui doit être votée le 9 février en conseil communautaire, s’inscrit dans la volonté de Pierre Cohen de valoriser le dynamisme économique de Toulouse et de son agglomération face à la concurrence nationale et internationale. La ville doit selon lui tirer profit de ses atouts : « Un positionnement économique et scientifique d’excellence, un projet d’agglomération à contenu économique (avec Toulouse Montaudran Aerospace ou l’Oncopole notamment). » Il espère ainsi attirer davantage d’entreprises et d’investisseurs étrangers. Toulouse est en effet au 11e rang des villes d’Europe qui présentent le plus grand potentiel de croissance économique dans le classement de Lasalle Investment Management. La Ville rose reste dans le même temps absente du classement des villes européennes de Cushman&Wakefield traduisant la perception des 500 plus grandes entreprises européennes sur des critères d’implantation. (...) Paul Périé
![]() La communauté innovante se retrouvera le 11 février à la Halle aux grains pour discuter, échanger et partager sur le monde de demain.
Futurapolis, jusqu'à présent, c'était un appendice du site du Point, un agrégateur qui permet aux internautes de lire ou de visionner des contenus éditoriaux du CNRS, de l'Inserm, de l'Inca ou du journal lui-même. C'est maintenant aussi un événement physique qui s'annonce à Toulouse pour le 11 février prochain avec des chercheurs, des industriels, des politiques. Qui s'annonce et qui se réserve (cliquez ici), puisque, si l'entrée de la Halle aux grains sera ce jour-là gratuite, il faut néanmoins, pour tous ceux qui voudront assister aux débats, montrer qu'ils se sont inscrits préalablement. On y parlera santé, nutrition, énergie, transport, selon un choix arbitraire qui correspond à ce que la mairie de Toulouse, la région Midi-Pyrénées - nos partenaires avec EADS - et nous-mêmes avons souhaité. Il s'agira de préfigurer ce que l'avenir (et l'état de la science) réserve sur chacun de ces champs. La voiture électrique et plus généralement la mobilité dans les villes, les organismes génétiquement modifiés et le goût des consommateurs, les solutions thérapeutiques au grand âge et au cancer, les difficultés de la transition vers un monde sans carbone et sans nucléaire, parmi bien d'autres sujets, animeront les échanges. Mais on discutera aussi politique (...)
![]() Jury et pitcher enthousiaste et investi lors de la seconde édition, c’est tout naturellement que nous avons demandé à Marc d’être le parrain de ce 3è opus. Un rôle qu’il a accepté immédiatement. Portrait d’un serial entrepreneur émérite et humble. Salut Marc !
Qui es-tu ?
Je suis un entrepreneur de longue date, actuellement président co-fondateur de Scoop.it. (...)
![]() Le Tribunal de commerce de Paris a dévoilé à 9 heures ce matin le nom du repreneur de La Tribune. L’offre de reprise de France Economie Régions a été choisie. La Tribune devient propriété du Groupe Hima, groupe toulousain créé en 1998. Les 50 salariés repris vont participer au nouveau projet qui prévoit d’être présent à la fois sur le digital et le print. Jean-Christophe Tortora prend la présidence de La Tribune à partir du 1er février
![]() Le Comité de suivi du financement de l'économie s'est réuni hier mercredi. Les chiffres du chômage pour la fin d'année 2011 indiquent une forte hausse des demandeurs d'emploi dans la région, soit la 2e plus forte progression en France d'après le président du Conseil économique et social régional. Le Comité de suivi de financement de l'économie, réuni mercredi, révélait qu'au troisième trimestre 2011, "l’emploi salarié en région avait progressé de 2% sur un an avec 663.408 salariés malgré une baisse de l'emploi dans le secteur de la construction et l’intérim. Le taux de chômage en Midi-Pyrénées connaît une hausse de 0,1 point ( 0,2 au plan national) au cours du troisième trimestre 2011 pour s’établir à 9,3%, identique à celui de la France métropolitaine." Le comité constate cependant que "les offres d’emploi collectées par Pôle emploi durant les onze premiers mois de l’année se situent toujours à un bon niveau, supérieur de 11% à celui de l’année 2010".
Fin décembre 2011, le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A inscrits à Pôle emploi s’établissait ainsi à 133.800 en Midi-Pyrénées. Un chiffre en augmentation de 1,2% par rapport à novembre 2011 (soit + 1 600). Sur un an, la hausse est de 8,7% contre 5,6% en France métropolitaine. Elle est plus forte chez les femmes (+9,7%) que chez les hommes (+7,6%). Les plus de 50 ans sont les plus touchés par cette augmentation avec une hausse de 20,5% sur un an. Plus généralement, sur l'ensemble de la région, en tenant compte des catégories A,B et C, le nombre de demandeurs d'emploi était de 207.000 fin décembre. Ceci représente une hausse de 8,3% sur un an, contre 5,6% en France métropolitaine. Sur la région, tous les départements ne sont pas affectés au même niveau par cette hausse sensible. Entre novembre et décembre 2011, le Lot (+2,9%) est ainsi le département le plus touché devant la Haute-Garonne (+1,5%) et l'Aveyron (+1,4%). A contrario, l'Ariège (+0,9%), le Tarn-et-Garonne (+0,8 %), le Tarn (+0,7 %) et surtout le Gers (stable) sont au-dessous de la moyenne régionale. Sur un an, le Lot (+13,4%) est encore le plus touché, la Haute-Garonne (+7,3%) et l'Aveyron (+6,1%) étant les départements qui résistent le mieux.
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![]() Une étude de l’Insee publiée ce mercredi dresse le portrait des salariés français selon les chiffres de 2009. Constat : les Français ont des carrières plus instables qu'auparavant et les inégalités salariales entre les hommes et les femmes persistent.
L’Insee a publié ce mercredi une étude sur les Français et l’emploi. Parmi les points abordés, une surprise : ce sont les cadres qui ont été les plus touchés par la crise. Ils ont vu leur salaire baisser de 1,5%. Une baisse qui s’explique par la chute de la part variable de leur salaire. En clair, les primes à l’intéressement sont plus difficiles à obtenir en période de crise. Chez les ouvriers, les salaires ont légèrement augmenté, mais les ouvriers les moins qualifiés ont été licenciés. Les salaires de la plupart des travailleurs ont peu augmenté : en moyenne, le salaire a progressé de 2,1%. Une augmentation ridicule comparée à celle des patrons du CAC40 dont les revenus ont augmenté de 34% en 2010 (selon une étude Proxinvest).
Du côté des inégalités hommes-femmes, peu d'évolution. Les femmes gagnent toujours moins que les hommes dans le secteur privé. En moyenne, elles gagnent 20% de moins. "En 2009, le salaire net moyen en équivalent temps-plein des femmes atteint 80% de celui des hommes dans le secteur privé et 87% dans le secteur public" constate l’Institut. Un écart qui se réduit chez les jeunes cadres "beaucoup moins important chez les moins de 25 ans que chez les seniors". Ces inégalités "sont moins élevées dans les autres catégories socioprofessionnelles". Selon l’enquête, un travailleur français touche 1605 euros par mois en moyenne qu’il soit fonctionnaire, salarié du privé, à temps plein ou partiel. Lorsque l’on prend les 50% des Français les moins bien payés, cette rémunération tombe à 1441 euros par mois. Une autre étude de l’Insee montre que les Français ont des carrières de plus en plus instables. A 40 ans, un salarié a eu en moyenne au moins 4 employeurs. La génération précédente, au même âge, avait changé une seule fois d’employeur. Une personne sur deux connait une période de chômage contre une sur dix pour la génération précédente.
![]() Positionnée sur le marché atypique de la conception et fabrication de roulottes traditionnelles, la PME Habitat Bohème a choisi l’Ariège pour s’implanter. L’entreprise, en fort développement, vise l’habitat de loisirs et l’hôtellerie de plein air. Tentés par des vacances bohèmes ? C’est le créneau d’Habitat Bohème, fabricant et concepteur de roulottes traditionnelles sur mesure. « Elles sont écologiques, fabriquées en bois issu de forêts françaises durablement gérées. Nous croyons beaucoup au côté atypique de cette forme d’habitat », décrit Frédéric de Broux, le directeur et fondateur. (...)
![]() La troisième édition du Start-up week-end est programmée du 2 au 4 mars prochains à l’ESC.
L’édition toulousaine, qui a déjà permis à plusieurs projets d’entreprises d’aboutir, demeure l’une des mieux dotée au niveau national.
Pour la troisième fois, l’ESC Toulouse accueillera du 2 au 4 mars prochains le Start-up Week-end. Parmi la centaine de participants attendus pour l’événement se trouvent les successeurs de Jimmy Fairly et Myfeelback, les gagnants des deux premières éditions. Si au niveau mondial, l’événement a déjà permis la naissance de plus de 500 entreprises, Fabrice Meuwissen, membre organisateur de l’événement rappelle, qu’outre les vainqueurs, « parmi les projets aboutis grâce à l’édition toulousaine de cet événement, on compte déjà quelques réussites dont SmartAgro, NetDatingAssistant ou encore CheckMyEvent… »
De nouveaux mentors et un concept identique
Le concept de ce rendez-vous demeure le même d’édition en édition : les porteurs de projets ont un week-end, soit 54 heures chrono, pour tester leur idée grandeur nature. (...)
Le site du 3° Start-Up Weekend à Toulouse :
![]() Jean-Sébastien Fiorenzo, responsable de la filière entreprises de Midi-Pyrénées à l’APEC
Jean-Sébastien Fiorenzo, responsable de la filière entreprises de la région Midi-Pyrénées à l’APEC, a dévoilé hier les prévisions de recrutement des cadres en 2012. Les entreprises interrogées par l’APEC prévoient de recruter entre 6530 et 8700 cadres. Des prévisions prudentes après une année 2011 positive avec 7 250 recrutements. En 2012, le marché de l'emploi cadre sera un marché à deux vitesses selon l'APEC: d'un côté les entreprises des secteurs à forte valeur ajoutée devraient continuer à être dynamiques en matière d'embauches de cadres. De l'autre les entreprises des secteurs plus fortement exposés à la conjoncture et à ses aléas accuseraient un fort ralentissement de leurs recrutements. Au niveau régional les chiffres révélés par l’APEC confirment ceux donnés par la Banque de France et Oséo : 2011 a été une bonne année pour les entreprises midi-pyrénéennes grâce au secteur de l’aéronautique et du spatial. D’ailleurs dans la région, ce sont les entrepreneurs de Haute-Garonne qui sont les plus optimistes pour 2012 puisque 16% d’entre eux prévoient d’augmenter leurs effectifs cadres alors que 4% envisagent de le réduire. Au niveau régional, on reste cependant au dessus de la moyenne nationale avec 15% d’entreprises qui prévoient d’embaucher ( 9% en France) et 4% qui prévoient de réduire le nombre de cadres ( 5% au niveau national). « Des prévisions optimistes puisque le moral des entreprises est presque revenu à celui d’avant crise, mais prudentes » selon Jean-Sébastien Fiorenzo. Quels secteurs, quels profils ? (...)
![]() Président de La Tribune depuis le 1er février, Jean-Christophe Tortora annonce que quatre agences du titre vont être ouvertes dans la moitié nord de la France (Strasbourg, Lille, Rennes et Nantes) et qu’il a fait appel à l’ancien Directeur du numérique du groupe Les Echos pour accompagner ce qui devient selon lui « la première rédaction digitale de France ». Il explique pourquoi.
- Vous êtes le nouveau Président de La Tribune depuis le début du mois avec pour projet de coupler la publication sur les supports digitaux à un hebdomadaire sur papier. La question que peut poser le passage du papier au numérique est : combien de lecteurs allez-vous perdre ?
Jean-Christophe Tortora : Ce qui compte désormais pour La Tribune, c’est le nombre de visiteurs uniques sur le site, soit près de 2 millions. Après deux semaines, nous constatons que ce nombre n’a pas baissé. Quant à la version hebdomadaire imprimée, elle sera tirée à 100 000 exemplaires. S’il faut prendre un exemple extérieur à celui de La Tribune, on peut prendre celui de France Soir, qui a vu la fréquentation de son site chuter de 35% après l’arrêt du quotidien imprimé. Ce n’est pas notre cas.
- Comment l’expliquez-vous ?
(...)
![]() Sur la photo : Le 2 février 2012 à Toulouse. Nadine Morano, ministre chargée de l’Apprentissage et de la Formation professionnelle, et Fabrice Brégier, directeur général délégué d’Airbus et président de Airbus Opération, lors de la signature de la convention visant à augmenter le nombre de contrats en apprentissage. DR.
En 2011, Airbus a formé en France près de 600 alternants (+ 40% par rapport à 2010) et devrait d’ici 2014 en accueillir 700, pour atteindre progressivement l’objectif final de 1.100 alternants.
6.000 emplois créés d’ici deux ans en Midi-Pyrénées L’Union des industries et des métiers de la métallurgie (UIMM) de Midi-Pyrénées estime que l’aéronautique créera 6.000 emplois en deux ans dans la région, déplorant toutefois la pénurie de main-d’oeuvre qualifiée notamment dans les métiers de chaudronnier, soudeur et mécanicien, mais aussi d’ingénieur. (...)
![]() Tom Enders, le futur patron d'EADS./Photo DDM
Comme « La Dépêche » l'annonçait hier, une partie du siège d'EADS va migrer à Toulouse, selon les souhaits de Tom Enders, futur patron du groupe d'aéronautique et de défense. « Lors d'une réunion des principaux cadres d'EADS à Madrid à laquelle 200 personnes participaient mardi, Tom Enders a annoncé son intention de rester à Toulouse lorsqu'il serait le patron d'EADS. Il veut faire de Toulouse le centre de gravité du groupe », explique-t-on dans l'entourage du successeur de Louis Gallois, l'actuel PDG d'EADS dont le mandat expire fin mai. Le siège juridique d'EADS, société de droit européen, est actuellement à Amsterdam et Louis Gallois basé à Paris. Mais Tom Enders, qui dirige actuellement Airbus, principale filiale d'EADS, souhaite « regrouper les fonctions essentielles d'EADS, aujourd'hui dispersées entre Paris et Munich ». Deux à trois cents personnes pourraient être amenées à déménager à Toulouse dans le cadre de ce projet. De nationalité allemande, Tom Enders, 53 ans, avait déjà déclaré par le passé être favorable à un seul siège social pour EADS et Airbus, pour améliorer l'efficacité opérationnelle.
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L’association de lobbying auprès de Bruxelles investit de nouveau locaux, plus proches de la Commission Européenne.
Le site de Midi Pyrénées Europe :
![]() Le 9e Forum de l’OTIE a dressé un portrait dynamique de l’activité de l’immobilier de bureaux à Toulouse. Activité constante, prix stables et des investissements qui redémarrent. « Malgré la crise, le niveau des transactions s’est quasiment maintenu en 2011 à Toulouse en matière d’immobilier de bureaux. C’est un constat encourageant, mais nous devons maintenir cette position. » C’est en ces termes que Pascale Cieutat, la nouvelle présidente de l’OTIE, a ouvert vendredi le 9e Forum de l’immobilier d’entreprise. Pour autant, Toulouse est encore loin d’avoir le statut d’une métropole internationale avec un volume de transactions de 131.000 m2 en baisse de 7%, à égalité avec Lille mais derrière Lyon (259.000 m2) et très loin derrière Paris qui concentre presque 2,5 millions de m2. À Toulouse, ce sont les secteurs ouest et nord-ouest qui concentrent 44 % des transactions et en particulier la zone d’Andromède. En 2011, l’activité aéronautique a d’ailleurs représenté 30 % des m2 placés. Balma-Gramont connaît en revanche une baisse qui s’explique par un manque d’offre immédiate. Le centre-ville reste quant à lui peu porteur de transactions car l’offre y est faible. Le nombre de transactions a progressé (257 enregistrées en 2011), malgré un fléchissement des moyennes surfaces en nombre comme en volume. « Ce sont en réalité les transactions de moins de 500 m2 qui tirent le marché », a décrit Michelle Bellan, la directrice régionale de CBRE. Côté prix, l’observatoire pointe une hausse des prix locatifs, pouvant monter à 160€/m2 à Balma-Gramont et Blagnac. Le centre-ville, toujours aussi recherché, affiche plutôt un prix moyen de 200 €/m2. (...)
![]() La société toulousaine Cat Multimédia, spécialisée dans l'édition de contenu pour téléphones mobiles, a signé un contrat lui assurant l'exclusivité mondiale de l'exploitation de l'image de Keenan Cahill sur téléphones mobiles et supports multimédias. Un joli coup de pub pour cette entreprise puisque le jeune Américain crée le buzz sur Internet depuis environ deux ans. Qui ne connaît pas Keenan Cahill ? Atteint de la maladie de Maroteaux-Lamy, cet Américain de 17 ans s'est rendu célèbre en postant sur Youtube des vidéos dans lesquelles il reprend des chansons de différents artistes en play-back. Sa première vidéo a été postée le 28 août 2010 et un an et demi après, il continue de faire le buzz, maintenant souvent accompagné de stars de la musique. Il apparait dans des publicités et participe à des émissions de télévisions. Bref, son image vaut de l'or.
![]() La newsletter Immo du 31 janvier 2012 - ObjectifNews.com
![]() Fabrice Brégier, 50 ans, prendra officiellement la présidence d'Airbus le 1er juin prochain. Chief operating officer depuis 2006, il accède en toute logique à une responsabilité qu'il a toujours convoité sans vraiment l'avouer. Portrait de ce polytechnicien qui a réussi avec Tom Enders à régler les problèmes industriels de l'avionneur européen. Le Conseil d'administration d'EADS a choisi de nommer Fabrice Brégier président d'Airbus en remplacement de Tom Enders, nouveau numéro 1 du groupe EADS. En mai 2011, à quelques semaines d'un Salon du Bourget record pour l'avionneur européen, Tom Enders ne doutait pas des capacités de Fabrice Brégier à prendre les rênes d'Airbus. "Il en a tout à fait les capacités. C'est un des managers les plus expérimentés du groupe, il a dirigé MBDA, Eurocopter, il est DG d'Airbus depuis plus de quatre ans. Je vois peu d'autres dirigeants du groupe EADS qui aient une telle expérience", déclarait-il à Challenges. Nommé au poste de directeur général délégué d'Airbus en 2006, alors que l'entreprise faisait face à la crise de l'A380, ce polytechnicien également diplômé de l'Ecole des Mines de Paris a parfaitement géré sa prise de fonction. Malgré le contexte défavorable et l'annonce du plan Power 8, Fabrice Brégier a réussi a rétablir la confiance des différents partenaires d'Airbus. Il a su remettre l'entreprise sur les rails et a apaisé les relations avec les sous-traitants et les collectivités locales.
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