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Romain
August 2, 2024 1:03 AM
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À l'aube d'un potentiel embrasement généralisé au Proche-Orient à la suite de l'assassinat du leader du Hamas, Ismaël Haniyeh, et du numéro deux du Hezbollah, Fuad Shukr, l'État hébreu a vu une
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August 2, 2024 12:58 AM
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Il y a trois semaines nous vous révélions que l’Arabie Saoudite avait commandé quatre avions de ce genre afin de renforcer ceux qu’elle possède déjà. Or la semaine dernière l’avionneur Airbus Defence a révélé le développement et la mise en production d’une version améliorée de son best-seller A330 MRTT à partir de l’avion de ligne A330-800. Faisant partie avec l’A330-900 de la famille dite A330Neo cet avion conserve le fuselage de l’A330-200 mais permet un substantiel gain en consommation de carburant. L’annonce arrive à point nommé alors même que l’Aéronautica Militare vient d’annoncer tourner le dos à Boeing et à son KC-46A Pegasus dans le cadre du renouvellement de sa flotte de tankers. C’est en effet au salon aéronautique de Farnborough en Angleterre que l’avionneur européen a clarifié la situation autour de l’Airbus Defence A330 MRTT. Il faut dire que l’avion multi-rôle de ravitaillement en vol et de transport a véritablement le vent en poupe depuis plusieurs années. Il ravit contrats sur contrats à Boeing et à son KC-46A Pegasus. Actuellement seuls Israël et le Japon font confiance au tanker américain. Et son emploi en opérations par des aviations militaires comme l’Armée de l’Air et de l’Espace, la Koninklijke Luchtmacht, ou encore la Royal Air Force représente la meilleure publicité possible. Oui mais voilà l’A330 MRTT vieillit. Et en attendant de développer une nouvelle plateforme de ravitaillement en vol, sans doute autour de l’A350-900, le groupe Airbus devait réagir. Il ne fallait pas laisser tomber sa poule aux œufs d’or. En Grande Bretagne il a donc officialisé que l’avion de ligne A330-200 laisserait la place sur les chaînes d’assemblages espagnoles à l’A330-800 comme base de travail afin de réaliser des A330 MRTT. En fait la plus part des gens n’y verront que du feu puisque le -800 n’est ni plus ni moins que le -200 rajeuni via le programme Neo, pour New Engine Option. Bien plus puissant grâce à ses deux turbofans de nouvelle génération Rolls-Royce Trent 7000-72 d’une puissance unitaire de 33037 kilogrammes ils sont aussi un peu moins sales. Entendez par là que les ingénieurs d’Airbus et de Rolls-Royce ont travaillé pour rendre l’avion plus écoresponsable. Sa consommation en carburéacteur a été abaissée d’environ 8%. Ainsi modifié l’A330 MRTT+, sa nouvelle désignation depuis le passage au Neo, deviendra le premier avion de ravitaillement en vol à réellement prendre en compte la dimension environnementale. Un argument de plus pour ringardiser les concurrences américaines et russes en la matière. Gadget direz vous ? En fait non puisque la majorité des états clients d’Airbus Defence sont conscient des dégâts de l’aéronautique vis-à-vis de l’environnement. Pour autant on pourrait croire qu’il s’agit là de greenwashing. L’avenir proche nous dira ce qu’il en est sachant que des pays comme la Grèce, l’Inde, l’Indonésie, ou encore la Turquie semblent désormais très sérieusement s’intéresser à lui. Affaire (donc) à suivre.
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August 2, 2024 12:57 AM
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The Stella study revolves around Sweden’s pioneering ACE and dispersed operations doctrine Sweden is studying the feasibility of launching a small
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August 2, 2024 12:56 AM
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A detailed analysis of why Ukrainian Air Force should use its F-16AMs for ‘offensive counter-air’ operations
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August 2, 2024 12:54 AM
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Le lanceur lourd américain, avant de définitivement passer la main au Vulcan Centaur sur ce type de mission, a effectué le 30 juillet la mise sur orbite d’un satellite classifié. Le lanceur est en service depuis 22 ans. Top secret On ne sait encore rien à ce jour de la mission top secrète USSF 51 embarquée avant-hier par le lanceur Atlas 5 d’United Launch Alliance : ni ses objectifs (a priori trois charges utiles de reconnaissance : USA 396, 397 et 398), ni ses caractéristiques techniques, ni son constructeur, ni son orbite précise (vraisemblablement une orbite géosynchrone). Le lanceur, dans sa version 551 (avec cinq propulseurs d’appoint et 1 moteur RL 10A sur le second étage Centaur) a été mis en œuvre à 10 h 45 UTC depuis la base militaire de Cape Canaveral, en Floride. Centième C’était le 101e vol d’un lanceur Atlas 5 depuis août 2002 (le 100e succès total), et la 53e fois qu’il était utilisé pour une mission de sécurité nationale – ce qui porte à 100 le nombre de lancements militaires confiés à ULA depuis sa création, en décembre 2006. Désormais, les missions classifiées reviendront au nouveau lanceur lourd Vulcan Centaur, qui a connu son baptême du feu en janvier dernier, et qui doit effectuer un second vol de qualification en septembre prochain (mission Cert 2) – avec un simulateur de masse, la mini-navette Dream Chaser de Sierra Nevada n’étant pas encore prête pour être expédiée vers la Station spatiale internationale… Deux missions militaires sont d’ailleurs prévues d’ici la fin de l’année avec le Vulcan Centaur.
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August 2, 2024 12:52 AM
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L’arrivée des avions de combat F-16 en Ukraine laisse à penser que la logistique, les installations et les personnels nécessaires sont prêts en Ukraine. Cependant, est-ce que les Forces armées ukrainiennes préparent-elles aussi le terrain en augmentant les ciblages de systèmes antiaériens, et tout particulièrement les systèmes antiaériens longue portée ? Une question Avec les récentes annonces de la très prochaine arrivée cet été des premiers avions de combat F-16AM Fighting Falcon en Ukraine, de nombreuses questions se concentrent sur leur utilisation et leur armement, les infrastructures nécessaires en Ukraine, leur protection au sol, etc. Ces questions sont pour l'instant sans réponse ; le F-16 en Ukraine est un sujet extrêmement bien gardé et aucune image précise et géolocalisée en Ukraine n'est pour l'instant disponible. En revanche, une question intéressante est de savoir si l'Ukraine prépare le terrain ; est-ce que les Forces armées ukrainiennes ont augmenter leurs missions DEAD (destruction des défenses antiaériennes ennemies) ? Un mot sur Oryx Grâce au site Oryx, rassemblant de nombreuses images disponibles en OSINT (sources ouvertes), il est possible de connaitre les pertes matérielles russes entre le 24 février 2022 jusqu'à aujourd'hui. Cependant, les données présentées ci-dessous s'arrêtent au 25 juillet 2024. À noter qu'Oryx fourni des informations à double tranchant ; ces informations sont sûres, avec une image en preuve... mais ne couvre pas la totalité des pertes, chaque perte réelle n'ayant pas été photographiée. Les données sont donc à prendre à minima ! Oryx classifie les pertes en quatre catégories : Abandonné Capturé Endommagé Détruit Il arrive parfois que certains véhicules sont doublement catégorisés ; "endommagé et capturé" ou encore "abandonné et détruit". Afin de faciliter l'analyse, le dernier état connu sera pris en compte et de fait, le premier exemple sera listé en "capturé" et le second en "détruit". Quelles pertes générales ? Ainsi, Oryx liste, entre le 24 février 2022 et le 25 juillet 2024 (soit 882 jours ou 2 ans, 5 mois et 1 jour) la mise hors de combat de 288 systèmes antiaériens russes. Le tableau ci-dessous précise les pertes des systèmes antiaériens comptabilisés. À noter que seuls les véhicules équipés de canons et/ou missiles sont comptés. Par exemple, la perte du S-350 est un véhicule lance-missiles antiaériens 8x8 50P6E équipés de 12 missiles. Les postes de commandement, véhicules de soutien,... ne sont pas repris. Pertes de systèmes antiaériens russes en Ukraine confirmées par Oryx entre le 24 février 2022 et le 25 juillet 2024. Pertes de systèmes antiaériens russes en Ukraine confirmées par Oryx entre le 24 février 2022 et le 25 juillet 2024. © Air&Cosmos Il serait aussi une erreur de ne pas prendre en compte les systèmes de détection aérienne ; les lanceurs de certains systèmes ne sont pas équipés de radars et dépendent donc de radars externes. La destruction de ces radars n'impliquerait pas la destruction dans lanceurs mais ceux-ci perdraient en efficacité ou seraient même totalement aveugle du fait de ces radars mis hors de combat. Et donc, entre le 24 février 2022 et le 25 juillet 2024, les Forces armées russes ont perdu en Ukraine au moins 34 radars capables de détecter des avions, hélicoptères et parfois missiles. Il faut préciser qu'Oryx ne différencie pas les radars sol-air aux radars sol-sol ; seuls les radars sol-air sont pris en compte. Il n'y a également pas de distinction entre les radars intégrés à une batterie par rapport à certains radars utilisés indépendamment mais alimentant plusieurs batteries antiaériennes de leurs données recueillies. 66ab6a854f4e5.webp 66ab6a854f4e5.webp © Au niveau de l'état des systèmes antiaériens et radars hors de combat, la majorité sont détruits et ensuite endommagés ; Abandonnés : 1 % des systèmes antiaériens et 0 % des radars. Capturés : 11 % des systèmes antiaériens et 9 % des radars. Endommagés : 17 % des systèmes antiaériens et 20 % des radars. Détruits : 71 % des systèmes antiaériens et 71 % des radars. État des pertes de systèmes antiaériens et radars russes en Ukraine (confirmé par Oryx en OSINT). État des pertes de systèmes antiaériens et radars russes en Ukraine (confirmé par Oryx en OSINT). © Air&Cosmos L'arrivée des F-16 ? Au niveau dates, le graphe ci-dessous permet d'apercevoir plusieurs pics de pertes, dont la plupart de ces pertes ont été enregistrées dans certaines régions spécifiques où les combats étaient plus intenses. Le premier pic est directement visible, dès le mois de février 2022 jusqu'en juin 2022. Il correspond clairement aux contre-attaques ukrainiennes lancées après l'invasion russe du 24 février 2022 ainsi que la rupture du front au nord de l'Ukraine et du côté de Kharkiv. À cette époque, les petits drones ne jouaient pas encore un rôle aussi important qu'aujourd'hui mais de plus grands hexacoptères ou encore octocoptères d'Aerorozivdka (par exemple) ou encore les drones moyenne altitude et de longue endurance TB2 Bayraktar ont été utilisés à de nombreuses reprises - et avec beaucoup d'étonnement - contre les systèmes antiaériens russes. Un second pic, plus faible mais plus long dans le temps que le premier, est visible entre avril et octobre 2024. Il coïncide avec la "contre-offensive ukrainienne de l'été 2023" ou plutôt l'offensive ukrainienne de l'été 2023. Les mois de juin étaient des pertes en préparation de l'offensive, celle-ci n'ayant été lancée au sol qu'au mois de juin et terminée en novembre 2023 avec de faibles résultats. Déroulé des pertes de systèmes antiaériens et radars russes (confirmées par Oryx) en Ukraine depuis le début de l'invasion russe en février 2022. Déroulé des pertes de systèmes antiaériens et radars russes (confirmées par Oryx) en Ukraine depuis le début de l'invasion russe en février 2022. © Air&Cosmos Le front s'est ensuite stabilisé de manière générale, les offensives étant très localisées et ce, dans les deux camps. Cependant, le nombre de systèmes antiaériens russes détruits ne fait que croître entre février et juin 2024. Toutefois, aucune offensive importante n'est organisée par les Ukrainiens durant cette période. Il s'avère même que pour les seuls 7 premiers mois de l'année 2024, 12 systèmes antiaériens longue portée russes ont été mis hors de combat... alors que la totalité de l'année 2023 - avec l'offensive de l'été - comprend 13 de ces mêmes systèmes longue portée hors de combat. L'intérêt de regarder spécifiquement ces systèmes longue portée s'explique par leur emploi ; d'après les services de renseignements britanniques, les systèmes longue portée et tout particulièrement le S-400 (SA-21 Growler) seront utilisés afin d'abattre les F-16AM Fighting Falcon ukrainiens. À noter qu'au niveau détection, les Russes devaient combiner leurs S-400 avec les avions de détection avancée et de commandement (AEW&C) A-50 . Cependant, sur la dizaine d'appareils en service, deux ont été détruits, le premier par un système antiaérien longue portée Patriot PAC-2 ukrainien, le second par un moyen non connu actuellement (thèse du S-200 avancée mais non confirmée). Les Mainstay ont donc été reculé de la ligne de front, d'où l'importance des systèmes de détection au sol. Mais là aussi, les pertes augmentent ; 1 à 2 radars chaque mois... et ce, de manière constante entre novembre 2023 et juillet 2024. Certaines pertes comprennent même des batteries entières, comme la batterie S-400 frappée par un missile balistique courte portée (SRBM) ATACMS. Il y a clairement une volonté ukrainienne en 2024 de réduire les capacités antiaériennes russes. Est-ce pour préparer l'arrivée des F-16 ? Oui... mais pas uniquement car ces systèmes antiaériens, tout particulièrement les systèmes antiaériens longue portée, représentent aussi un danger important pour les avions de combat MiG-29 Fulcrum, Su-27 Flanker ou encore bombardiers tactiques Su-24 Fencer actuellement en service dans la Force aérienne ukrainienne. Inversement, le besoin en défense antiaérienne longue portée au sein des Forces russes en Ukraine est important, au point même de reporter des exportations prévues avant le conflit. C'est notamment le cas des cinq batteries S-400 indiennes ; la livraison des 2 dernières batteries est constamment reportée, Moscou ayant centré la totalité des industriels militaires russes sur le soutien aux forces engagées en Ukraine.
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August 2, 2024 12:47 AM
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The US State Department has approved a possible Foreign Military Sale (FMS) to Belgium of Small Diameter Bomb-Increment II (SDB-II) weapons.
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August 2, 2024 12:46 AM
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US strategic bombers have deployed to Romania for the first time, NATO announced on 31 July 2024.
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August 1, 2024 2:06 AM
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L’an passé, conformément à la revue stratégique de défense publiée par le gouvernement britannique en 2021, la Royal Air Force [RAF] a retiré du service ses quatorze avions de transport C-130J Hercules… alors que ces appareils avaient encore beaucoup de potentiel. Mis sur le marché de l’occasion par la Defence Equipement Sales Authority [DESA], douze d’entre eux auraient été repris par la Turquie, à en croire des informations relayées par la revue spécialisée Janes. Avec cette opération, la force aérienne turque disposera donc de trente-et-un C-130 Hercules, dont dix-neuf C-130 EM/BM Erciyes. Mais, visiblement, elle n’entend pas en rester là. En effet, alors qu’elle a déjà reçu dix Airbus A400M, elle envisage de s’en procurer six autres, cette fois auprès de l’Espagne, l’Ejército del Aire y del Espacio cherchant à se séparer de dix exemplaires qu’elle estime superflus au regard de ses besoins. Cela fait maintenant des années que Madrid tente de revendre ses A400M excédentaires. En 2018, il fut question d’échanger avec la Corée du Sud quatre à six de ces appareils contre trente-quatre avions d’entraînement KT-1 et vingt chasseurs légers T-50 « Golden Eagle », dans le cadre d’un accord évalué à 890 millions de dollars. Pour l’Ejército del Aire y del Espacio, il s’agissait de pouvoir remplacer, à moindre frais, ses T-35 Pillán et ses F-5 Tiger, utilisés pour la formation de ses pilotes de chasse. Mais cette transaction ne put se concrétiser. Qu’en sera-t-il de l’offre faite sur le même principe par la Turquie ? En effet, selon le site spécialisé Info Defensa, Ankara a proposé d’échanger trente-quatre exemplaires de l’avion de combat léger Hürjet, encore en cours de développement chez Turkish Aerospace Industries [TAI], contre six A400M espagnols. « Les pourparlers sont à un stade assez avancé. Le prototype du Hürjet a atterri dimanche dernier [28 juillet] sur la base aérienne de Torrejón pour une première évaluation par l’Ejército del Aire y del Espacio. Une délégation espagnole doit se rendre à Ankara pour visiter les installations de TAI dans les semaines à venir », avance Info Defensa. Sur les vingt-sept A400M qu’elle a commandés, la force aérienne espagnole en a reçu quatorze. L’an passé, elle a indiqué qu’elle en conserverait finalement dix-sept. Dans le même temps, elle a lancé un programme doté de 40 millions d’euros pour prolonger ses F-5 jusqu’en 2030. Outre le Hürjet, plusieurs modèles d’avions sont envisagés pour les remplacer, à savoir le M343 de Leonardo, le T-50 Golden Eagle et le T-7 Red Hawk de Boeing / Saab.
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August 1, 2024 2:04 AM
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On 31st July in Prague, an agreement was signed between the Czech Republic and the German company Rheinmetall for additional 14 Leopard 2A4 tanks and one Büffel 3 recovery vehicle.
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August 1, 2024 2:02 AM
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August 1, 2024 2:01 AM
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DARPA and Northrop Grumman outline XRQ-73 UAS
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August 1, 2024 2:01 AM
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On Wednesday, July 31, a Russian Mi-8 helicopter was shot down near the occupied city of Donetsk. According to multiple Russian sources, the helicopter was inadvertently struck by its own air defense systems, which were engaged in repelling a missile and bomb attack by Ukrainian forces. Ukrainian forces successfully targeted a Russian military operations base
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August 2, 2024 12:59 AM
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L’information est à prendre au conditionnel, et ce même si de grands médias généralistes l’ont déjà relayé depuis quelques heures. Ce mercredi 31 juillet 2024 plusieurs sources réputées sûres ont affirmé que l’Ukraine avait reçu un premier lot de chasseurs General Dynamics F-16MLU Fighting Falcon en provenance de pays européens. On parle ici de six à dix avions selon les sources en question. En outre depuis mardi 30 juillet une vidéo circule sur les réseaux sociaux montrant un tel avion déjà opérationnel en Ukraine mais celle ci ne semble pas totalement crédible et pourrait même être un faux. Pour être très clair les premières informations relatives à la livraison de ces avions de combat ne nous sont pas parvenues d’Europe mais des États-Unis. Lorsque hier j’ai eu connaissances via Associated Press et l’agence Bloomberg News que de premiers F-16AM/BM avaient été livré à l’Ukraine je n’ai été qu’à moitié surpris. D’abord il faut savoir que AP et Bloomberg sont réputés pour être parmi les médias d’information les plus sérieux au monde, la première étant bien que privée l’agence de presse quasi officielle des États-Unis. La seconde est sans doute le média économique et financier le plus sûr de la planète. Pourtant nous n’avons reçu aucune confirmation de la part de sources comme l’Agence France Presse, la BBC, ou encore l’agence Reuters. Pourquoi d’ailleurs à moitié surpris ? Parce que les Alliés avaient promis à Kyïv que ces premiers F-16 arriveraient cet été, et que le mois de juillet avait été martelé à plusieurs reprises. Sur le nombre d’avions qui auraient été livré en cette toute fin de juillet 2024 le chiffres sont là encore extrêmement difficiles à confirmer avec certitude. Après une nuit complète de recoupages de sources je n’arrive pas à vous assurer à 100% qu’il y ait six ou dix F-16MLU aujourd’hui en Ukraine. La fourchette minimum de six avions est quasi assurée mais celle de dix est très fréquemment avancée également. Le gros souci dans cette affaire c’est le silence du ministère ukrainien de la défense et des principales chancelleries de pays européens fournisseurs de ces chasseurs. Rien ne filtre d’Amsterdam et de Copenhague ou encore d’Oslo. En fait le seul diplomate de premier plan à s’être «mouillé» est monsieur Gabrielius Landsbergis, actuel ministre des affaires étrangères de Lituanie. Sur le réseau social X il s’est félicité de cette livraison. Un proverbe antique chinois dit que : « une image vaut mille mots ». Sur celle ci vous avez donc entre six et dix F-16MLU. Au final j’ai très envie de vous dire que oui de premiers General Dynamics F-16MLU Fighting Falcon sont bien arrivés en Ukraine. Pour autant ce premier lot ne fera pas infléchir la guerre. Par contre il peut dégrader le moral des troupes d’invasion de la fédération de Russie tout en regonflant très fortement celui de la résistance ukrainienne. Et rien qu’à ce niveau là les avions de combat en provenance des pays européens auront remporté une première bataille. À conditions bien sûr qu’on estime que l’information est totalement valable et sûre. Affaire à suivre.
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August 2, 2024 12:57 AM
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Marine Fighter Attack Squadron (VMFA) 311 has become the newest F-35 squadron in the U.S Marine Corps to declare initial operating capability (IOC).
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August 2, 2024 12:57 AM
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92nd and 141st Air Refueling Wings were put to test during a no-notice Nuclear Operational Readiness Inspection whose goal was to assess their KC-135's readiness of the air refueling wings to support U.S. Stratcom-assigned strategic bomber.
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August 2, 2024 12:55 AM
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Un petit nombre non divulgué d’avions de combat Lockheed Martin F-16 sont arrivés en Ukraine et ont effectué quelques vols dans le pays. F-16 & pilote ukrainien @ Reuters Double confirmation La nouvelle a été confirmée par un responsable américain à l'Associated Press, de plus quelques photos ont été publiées comme preuve. La date limite pour le transfert des premiers F-16 était la fin du mois de juillet et elle a été respectée, bien que le nombre d'avions soit encore faible. Les sources ont également ajouté qu'on ne sait pas actuellement si les avions seront immédiatement utilisés ou si leur entrée en service nécessitera plus de temps. Longue préparation & décentralisation L'Ukraine se prépare depuis des mois à l'arrivée de l'avion de chasse fabriqué aux États-Unis, qui renforce l'armée de l'air ukrainienne et complète les MiG-29 et les Su-27 de l'ère soviétique. Parmi les préparatifs figurent des mesures visant à protéger le nouvel avion contre les attaques russes au sol. La stratégie développée par l'armée de l'air ukrainienne implique l'utilisation de bunkers souterrains et la dispersion de l'avion sur diverses pistes d'atterrissage, ce qui rend difficile pour les forces russes de cibler les F-16. Aucune information n'est disponible sur l'existence d'installations de bases aériennes souterraines en Ukraine (et leur création n'est pas rapide), d'où l'option la plus probable qu'il semble que les F-16 soient récupérés à l'intérieur d'abris en béton dans les bases aériennes ukrainiennes existantes. L'armée de l'air ukrainienne mène depuis longtemps des opérations à partir d'aérodromes austères, à partir de bandes routières et d'aérodromes improvisés dans le cadre de sa stratégie visant à améliorer la flexibilité opérationnelle et la résilience dans le contexte des conflits en cours. Les voies routières et les aérodromes improvisés offrent d'autres emplacements d'exploitation qui sont moins vulnérables à la détection et à la destruction par les forces adverses. Les pilotes ukrainiens sont formés à l'utilisation efficace de ces pistes d'atterrissage non conventionnelles depuis quelques années maintenant pour acquérir les compétences nécessaires pour décoller et atterrir sur des pistes plus courtes et relever les défis posés par les installations non standard. Jusqu'à présent, les opérations routières ont impliqué des avions ukrainiens qui ont été conçus pour opérer à partir d'aérodromes austères ou qui ont une petite empreinte logistique, comme le Su-25 ou le Su-27. Alors que les F-16 peuvent théoriquement fonctionner à partir d'aérodromes improvisés, y compris les voies d'autoroute ou d'autres surfaces non préparées, il y a certaines choses à considérer, comme l'état de surface. En fait, le F-16 a besoin d'une surface solide pour éviter d'endommager son train d'atterrissage et d'autres composants et, de plus, la surface doit être propre, car le F-16 est sujet aux dommages causés aux objets étrangers (FOD) en raison de la grande prise d'air ventrale. F-16 survolant la ville Lviv en Ukraine La formation À l'heure actuelle, la formation des pilotes ukrainiens continue au Royaume-Uni, aux États-Unis, au Danemark et en Roumanie, en fonction de leur expérience de vol. Un centre européen de formation F-16 (EFTC) à Baza 86 Aeriana Fetesti a été créé pour former les pilotes roumains et ukrainiens, ainsi que d'autres opérateurs régionaux de F-16 avec plus de 18 F-16 RNLAF (Royal Netherlands Air Force), qui restent la propriété du gouvernement néerlandais, disponibles à cet effet. La maintenance La maintenance des F-16 est un autre point primordial pour l’engagement de l’avion et il semble que le « chemin à parcourir pour y parvenir est encore long ». Les États-Unis et d'autres pays occidentaux forment des techniciens de maintenance de F-16, mais il semble que le niveau d’anglais de ces derniers reste très faible et demande un apprentissage important. De plus, la transition en direction du F-16 s’avère très complexe, car l’avion diffère énormément des systèmes russes en service au sein de l’aviation ukrainienne. On se souvient que la Pologne a eu du mal à passer des avions à réaction de l'ère soviétique aux F-16 monomoteurs et multirôles, et ceci dans des conditions de formation en temps de paix. A quoi vont servir les F-16 Bien que le F-16 soit étroitement lié à la performance optimale des armes occidentales déjà livrées en Ukraine, l’avion n’est pas un « gamechanger ». En effet, si l’avion est encore performant, il doit s’intégrer dans un système complet de défense aérienne. Le F-16 ne peut à lui tout seul gagner la supériorité aérienne. Au lieu de cela, l'effort devrait être une entreprise beaucoup plus vaste et complexe avec des plates-formes de guerre électronique et des avions de détection radar à longue portée, faisant référence à l'avion suédois ASC 890 Airborne Early Warning (Saab 340 Erieye) qui va être livré. L’armement des F-16 en Ukraine En revanche, le F-16 augmentera et remplacera les combattants de l'ère soviétique modifiés pour tirer les armes données par l'Occident, qui ont cependant rencontré quelques difficultés. Il s'agit notamment des armes air-sol : JDAM (Joint Direct Attack Munition), de l'AGM-88 HARM (High-Speed Anti-Radiation Missile), de l'ADM-160 MALD (Miniature Air-Launched Decoy) et du Storm Shadow/SCALP-EG ALCM (Air-Launched Cruise Missile). En mode air-air, ils sont dotés des missiles air-air AIM-120 AMRAAM et AIM-9X Sidewinder. Il n’est cependant pas certain si les États-Unis et leurs alliés autoriseront l’Ukraine à utiliser ses nouvelles armes contre des sites russes. Les États-Unis n’ont autorisé l’Ukraine à utiliser des armes américaines en Russie que dans des cas limités.
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August 2, 2024 12:53 AM
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Ca y est, les F-16 sont arrivés en Ukraine ! Mais quelles sont les armes embarquées ?
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August 2, 2024 12:49 AM
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Un drone de reconnaissance ukrainien a découvert un poste de commandement russe en arrière de la ligne de front. Ce dernier a alors été pris pour cible par une bombe air-sol de précision JDAM, probablement dans sa version bombe planante JDAM-ER. La destruction est totale, il ne reste qu’un cratère. Ce 30 juillet, une vidéo disponible sur les réseaux sociaux permettait de démontrer l'efficacité de la bombe JDAM en Ukraine. La vidéo, filmée depuis un drone de reconnaissance Shark, montre une position russe éparpillée dans un massif boisé ainsi qu'une tente, identifiée comme un poste de commandement, abritée partiellement par un petit monticule de terre. Le début de la vidéo montre d'ailleurs que quelques véhicules sont visibles (en mouvement ou à l'arrêt). À partir de la 21ème seconde, la vidéo a été coupée : le drone s'est éloigné du site russe. C'est alors qu'une énorme explosion est visible ; un avion de combat ukrainien non spécifié a largué une bombe Joint Direct Attack Munition, plus connue sous l’acronyme JDAM. La deuxième vidéo ci-dessous montre les résultats de la frappe. La tente, et tout ce qui se trouvait à l'intérieur, a été totalement annihilée ; il ne reste qu'un cratère. Concrètement, il s'agit d'une bombe lisse transformée en bombe air-sol de précision grâce à des kits de guidage GPS, guidage laser et centrale inertielle. Il s'agit plus que probablement d'une JDAM-ER de 227 kg (500 lb), une JDAM équipée d'un kit d'ailettes ; de nombreuses images montrent leur utilisation, principalement depuis des avions de combat MiG-29 Fulcrum ukrainiens. L'ajout de ces ailettes permet d'augmenter la portée maximale de cette bombe ; lors d'un largage en haute altitude, la JDAM "standard" dispose d'une portée maximale de 24 kilomètres, là où la JDAM-ER peut planer sur 72 kilomètres. À noter que la JDAM-ER, produite par Boeing, diffère en un point important avec la bombe AASM/A2SM/HAMMER de Safran ; cette dernière se base aussi sur une bombe lisse, également équipée de kits de guidage pour des frappes de précision, mais aussi et surtout, d'un système de propulsion, là où la JDAM-ER ne fait que planer.
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August 2, 2024 12:47 AM
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The UK MoD has ordered a significant number of Lightweight Multirole Missiles (LMM) from Thales UK, the ministry announced on 24 July 2024.
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August 1, 2024 11:05 AM
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Initialement, la Marine nationale devait prendre possession de dix-sept frégates multimissions [FREMM], dans le cadre d’une coopération lancée par la France et l’Italie en 2005. Seulement, le Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale [LBDSN] de 2008 et la Loi de programmation militaire [LPM] 2009-14 votée par la suite ramenèrent ce chiffre à onze. Puis, en 2015, il fut décidé de le réduire à seulement huit unités au profit du programme de frégate de défense et d’intervention [FDI].
Résultat : selon la Cour des comptes, le coût unitaire d’une FREMM française a augmenté de 67 % par rapport aux devis initiaux… Finalement, les économies à court terme [ou à courte vue] se révèlent coûteuse à long terme…
Quoi qu’il en soit, l’Italie n’a pas suivi la même voie que la France. Et la Marina Militare aura les dix FREMM [classe Carlo Bergamini] qui lui avaient été promises au début du programme, les deux dernières unités, les ITS Spartaco Schergat et ITS Emilio Bianchi, devant être admises au service actif en 2025.
Mieux : la marine italienne disposera même de deux exemplaires supplémentaires, dans le cadre du programme FREMM EVO, qui vient d’être officiellement notifié par l’Organisation conjointe de coopération en matière d’armement [OCCAr] à Orizzonte Sistemi Navali, c’est-à-dire la coentreprise détenue par Fincantieri [51 %] et Leonardo [49 %]. Le montant du contrat s’élève à 1,5 milliard d’euros.
Par rapport à la classe Carlo Bergamini, la FREMM EVO sera dotée du système de commandement et de contrôle SADOC 4, d’un radar double bande C/X dédié à la défense aérienne ainsi que d’une nouvelle suite de guerre électronique. Elle sera optimisée pour mettre en œuvre des systèmes robotisés [drones aériens, drones de surface, drones sous-marins]. Enfin, l’accent sera mis sur la « cyber-résilience ».
« L’acquisition des deux frégates FREMM [EVO] de nouvelle génération fait partie du plan plus vaste de renouvellement et de modernisation que la Marine italienne a lancé pour mettre à niveau ses capacités, afin de répondre de manière adaptative, rapide et efficace aux scénarios d’engagement actuels et futurs dans un monde qui a rapidement changé ces dernières années », a commenté l’amiral Enrico Credendino, le chef de la Marina Militare.
« L’évolution de la FREMM capitalise sur un projet qui a prouvé, au fil des ans, sa pleine conformité avec les exigences de la Marine italienne tout en ayant obtenu un large consensus international. À partir de cette base solide, nous avons intégré des technologies de dernière génération et des systèmes modernes, améliorant ainsi les capacités de défense du navire et élargissant le spectre des activités qui peuvent être menées dans le cadre de missions menées pour la défense et la sécurité de notre pays », a-t-il résumé.
Selon l’OCCAr, ces deux FREMM EVO seront livrées à la marine italienne entre juin 2029 et juin 2030.
À noter que, ces dernières semaines, l’Italie a annoncé deux investissements importants au profit de la Marina Militare, avec les commandes d’un quatrième sous-marin U212 NFS [500 millions d’euros], de cinq nouveaux navires chasseurs de mines [2,6 milliards d’euros, soutien logistique compris].
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Romain
August 1, 2024 2:04 AM
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Il y a un peu moins d’un an, les États-Unis confirmaient l’accord de principe donné quelques semaines plus tôt au Danemark et aux Pays-Bas par le président Biden au sujet de la cession de chasseurs-bombardiers F-16 à l’Ukraine. L’assurance donnée par Kiev que ces appareils ne seraient pas utilisés pour effectuer des frappes en Russie avait fini par faire pencher la balance… Depuis, outre les Pays-Bas et le Danemark, la Norvège et la Belgique ont fait connaître leur intention de livrer également leurs anciens F-16 à la force aérienne ukrainienne, celle-ci pouvant espérer obtenir au moins 80 exemplaires au total. Par ailleurs, la France a annoncé la cession de Mirage 2000-5 tandis que la Suède a remis le projet de fournir des JAS-39 Gripen sur la table, après l’avoir suspendu. Cela étant, depuis que les promesses concernant les F-16 ont été faites, il a fallu former les pilotes et les techniciens ukrainiens ainsi que mettre en place la logisitique nécessaire pour mettre en œuvre ces appareils… Ce qui prends du temps, y compris pour les plus expérimentés. Quoi qu’il en soit, le 10 juillet dernier, en marge du sommet de l’Otan, à Washington, le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, a affirmé que les premiers F-16 allaient être remis à la force aérienne ukrainienne d’ici « quelques jours ». « Je suis heureux d’annoncer que, à l’heure où nous parlons, le transfert des avions F-16 est en cours, en provenance du Danemark et des Pays-Bas », avait-il en effet annoncé. Et d’ajouter : « Ces avions voleront dans le ciel ukrainien cet été pour s’assurer que l’Ukraine puisse continuer à se défendre efficacement contre l’agression russe ». Le 30 juillet, une vidéo montant un F-16 censé voler en Ukraine a été diffusée sur les réseaux sociaux. Était-elle authentique ? Toujours est-il que, vingt-quatre heures plus tard, l’agence Bloomberg a révélé que les premiers avions venaient d’être remis à la force aérienne ukrainienne. Cette information a été confirmée par l’Associated Press. A priori, il serait question de seulement six appareils, ce qui, pour le moment, est insuffisant pour permettre à l’Ukraine de contester la supériorité aérienne russe. Les sources de Bloomberg n’ont pas été en mesure de préciser si ces F-16 peuvent être engagés dans les combats dès maintenant. D’autant plus que, lors d’un entretien donné en juin à Radio Svoboda [filiale de Radio Free Europe], le chef de la force aérienne ukrainienne, le général Sergiy Golubtsov, avait expliqué tous les avions promis n’avaient pas forcément vocation à rejoindre l’Ukraine. « Certains de ces appareils resteront dans les centres où sont formés nos pilotes et notre personnel aéronautique. Ce seront des avions ukrainiens qui serviront à former nos propres pilotes », avait-il confié. D’autres doivent être stockés dans des « bases aériennes sécurisées, hors de l’Ukraine, afin qu’ils ne soient pas ciblés. Ils constitueront une réserve pour remplacer les avions défectueux », avait-il ajouté. Le principal défi que doit relever la force aérienne ukrainienne pour utiliser ses F-16 sur son sol sera de protéger les bases aériennes où ils seront affectés.
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Romain
August 1, 2024 2:02 AM
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Romain
August 1, 2024 2:02 AM
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Romain
August 1, 2024 2:01 AM
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The Bergamini-class frigates for the Italian Navy are based on the Franco-Italian multipurpose European frigate design (Fregata Europea multi-missione or FREMM) the latest order is for a new generation of two ships.
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