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DEFENSE NEWS
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Revue de presse quotidienne des principaux articles concernant le secteur de la Défense, de ses industriels, des armements et technologies.
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Romain
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"Selon les informations préliminaires, l'équipage de l'hélicoptère se composait de quatre Russes. Il n'y avait pas de passagers ni de cargaisons à son bord. Une opération de sauvetage a été lancée, le sort de l'équipage reste inconnu", a précisé l'interlocuteur de l'agence. 
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Washington has expressed an interest in supplying Greece with naval support aircraft just days after discussions between Athens and French officials about a possible deal. Kathimerini understands that the USA is prepared to supply four Lockheed P3-Orion surveillance aircraft for free or a symbolic fee as long as the Hellenic Navy is prepared to agree a refurbishment deal with Lockheed Martin that would cost approximately 250 million dollars (190 million euros), payable over five years. US sources said that it would cost about 150 million dollars each if these aircraft were bought new. Via Patrick H.
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La marine australienne envisage de doter ses sous-marins de la classe Collins de nouvelles technologies japonaises, ce qui permettrait de prolonger de 10 ans leur durée de vie opérationnelle. Cela aurait aussi pour conséquence de retarder d’autant le besoin de construire de nouveaux sous-marins pour remplacer ceux de la classe Collins. Le Japon a assoupli sa constitution interdisant l’exportation de matériels militaires. La marine australienne pourrait ainsi choisir les sous-marins de la classe Soryu — ou plus probablement certaines de leurs technologies — pour remplacer ses 6 sous-marins de la classe Collins. La marine australienne étudie actuellement la possibilité d’équiper chaque sous-marins de la classe Collins d’un système de propulsion anaérobie ultra-moderne, depuis les moteurs diesel et électriques jusqu’à l’hélice. Ces travaux pourraient être effectués en Australie ou au Japon, à l’occasion d’un grand carénage. Des discutions ont commencé entre les 2 pays sur un accord de transfert de technologies, qui pourrait concerner les sous-marins. Ce serait une grande première puisque Tokyo n’a jusqu’à présent jamais partagé de technologies militaires avec un pays autre que les Etats-Unis. Le Japon doit encore prendre une décision sur l’exportation des sous-marins Soryu ou de leurs technologies vers l’Australie, mais des membres importants de la défense à Tokyo sont en sa faveur. En mai dernier, le chef de la marine australienne, Ray Griggs, et d’autres responsables australiens ont visité un sous-marin de la classe Soryu au cours d’une visite au Japon. Ils en sont revenus très impressionnés. Via Patrick H.
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Le processus d’achat d’avions de combat Gripen auprès du constructeur suédois Saab lancé par la Suisse en novembre 2011 relève du parcours du combattant. Après les critiques portant sur le choix de cet appareil aux dépens du Rafale et de l’Eurofighter, pourtant mieux notés lors des évaluations, c’est au niveau politique que ça coince. Ainsi, le 5 mars, le Conseil des Etats (l’équivalent du Sénat en France) a refusé d’accorder les 3,1 milliards de francs suisses nécessaires à l’achat des 22 Gripen tout en acceptant, cependant, le principe de renouveler la flotte des F-5 Tiger II que les avions suédois sont censés remplacer. Pourtant, en commission, les conseillers avaient donné leur aval. En séance, Ueli Maurer, le chef du département de la défense, qui est aussi actuellement le président de la Confédération, a fait savoir qu’il n’avait pas lu en détail le contrat signé avec Stokcholm pour la livraison des Gripen. “Ce sont 56 pages en anglais, avec beaucoup de considérations techniques, je fais confiance aux spécialistes de mon service”, a-t-il admis. Reste que, selon le même Ueli Maurer, l’achat des Gripen serait désormais “compromis”, la balle étant désormais dans le camp du Conseil national, qui aura aussi à se prononcer sur le financement en juin prochain. Et le cas échéant, les opposants à cette acquisition pourront jouer leur va-tout lors d’un référendum populaire. Et actuellement, selon les sondages, une majorité de Suisses ne veulent pas de l’avion suédois. “Les chances d’emporter un référendum sont réelles. Car il y a en effet un sentiment de gaspillage financier assez large. Le sort du Gripen me laisse peu de doutes. Il faudra de toute façon revoir notre police du ciel ainsi que toutes les missions de l’armée”, a ainsi déclaré le sénateur écologiste Luc Recordon, dans les colonnes du quotidien Le Matin. “Je crois que nous avons besoin d’avions pour la sécurité aérienne, pour courir après un Piper ou un Boeing en cas d’attaque terroriste. Cela nécessite un intercepteur relativement rapide, mais pas un chasseur de combat. La vitesse des avions civils est de toute façon inférieure à Mach1″, a-t-il aussi expliqué. Seulement, la difficulté serait alors de trouver l’appareil adéquat, lequel pourrait être un avion conçu pour l’entraînement avancé (BAE Hawk, Aermacchi M-346, Aero L-159 Alca tchèque ou encore T-50 Golden Eagle sud-coréen?) Cela étant, la décision suisse aura des conséquences en Suède, où l’exportation de la dernière version du Gripen (E/F), actuellement en cours de développement, est primordiale pour que les forces aériennes suédoises puissent en aquérir un soixantaine d’exemplaires pour 14,2 milliards de dollars. En cas d’un renoncement de Berne, cette commande serait annulée. Et au-delà, c’est l’existence même de Saab qui serait menacée.
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Russia and NATO in the frame of anti-piracy cooperation in the Gulf of Aden negotiate about fuel resupply of the warships, participating in counter piracy missions as the source in Permanent Delegation of the Russian Federation to NATO told to RIA Novosty. Via Patrick H.
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As part of the agreement, GAL will install Jeppesen Operations Solution (JOS) and the MilPlanner military flight planning programme (as the command and control (C2) system) in its International Movements Operations Center (IMOC).
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Le Conseil des États suisse a accepté le crédit pour l’acquisition des 22 avions de combat Saab Gripen par 22 voix contre 20. Mais il n’a pas libéré les 3,126 milliards faute d’une majorité de 24 sénateurs pour lever le frein aux dépenses. Grosse surprise au Conseil des États : Il fallait qu’au moins 24 sénateurs votent « oui ». Or seuls 23 conseillers aux États ont accepté de lever le frein aux dépenses contre 19 et 1 abstention. D’une manière générale, les opposants à l’achat de nouveaux avions destinés à remplacer la flotte des F-5 Tiger ont recruté plus large que prévu. Le Gripen (version JAS39). Les critiques ont surtout été portées par la gauche. D’après ses élus, il y a bien d’autres besoins à couvrir au sein de l’armée avec les 3 milliards en question, comme des avions de transport, a lancé Roberto Zanetti (PS/SO). Son camarade jurassien Claude Hêche a déploré un manque de vision sur l’avenir de la défense aérienne. À droite, tous ont quasiment plaidé la nécessité d’acquérir de nouveaux avions afin que l’armée assure ses missions de surveillance et défense de l’espace aérien. La vieille flotte de 54 Tiger ne sera plus utilisée (les moderniser coûterait trop cher) et les 33 F/A-18 restants ne suffiront pas, selon Hans Hess. Après une analyse détaillée, la commission préparatoire a jugé limités les risques techniques, financiers, politiques et de calendrier liés à l’achat des Gripen. La Suède est un partenaire à qui l’on peut faire confiance, selon le président de la commission préparatoire. Les premiers onze Gripen de type D seraient remis entre mi-2018 et 2019. En attendant la livraison complète, Berne louera de 2016 à 2020 huit Gripen C et trois Gripen D.
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Cette défaillance est apparue après un vol extrêmement exigeant pour le propulseur. Il semble qu’une solution ait été trouvée à temps. Il n’empêche ce nouveau souci s’ajoute aux problèmes de logiciel et de fragilité du revêtement lors de manœuvres à haute vitesse et sous fort facteur de charge.
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Under the contract, the company will provide four DB-110 reconnaissance pods, along with three fixed / transportable imagery exploitation systems, as well as training and logistical support services to the air force.
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The US Army has opened discussions with American Eurocopter to introduce a B-model of the UH-72A Lakota in 2017. “The army every 10 years looks at how to improve and enhance and modernise its aircraft,” says Marc Paganini, American Eurocopter chief executive. Details of the potential upgrade are unclear, but Eurocopter has introduced the T2 model of the civil EC145 on which the UH-72A is based since the military version was inducted into service in 2007. The T2 model replaces the tail rotor with a fenestron, among other improvements. The LUH programme also is likely to be extended beyond the current programme of record for 345 aircraft, Paganini says. He notes that eight states will not receive any UH-72As under the present plan and some states will not receive a full complement of aircraft for their units. A contract extension is critical for avoiding a break in production at the UH-72A factory in Columbus, Mississippi. Eurocopter is waiting for an army decision on whether to replace the Bell Helicopter OH-58 Kiowa Warrior with a new armed scout helicopter, for which it is proposing the AAS72X+, a version of the EC145 T2. Lutz Bertling, Eurocopter chief executive, says he expects the army to make its decision after the third quarter. The Eurocopter bid for the AAS-72X, which includes Lockheed Martin, faces competition from a re-engined Bell OH-58F Block II, stretched Boeing AH-6S Little Bird and a long-term proposal by Sikorsky for the high-speed S-97 Raider.
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It has also taken delivery of three Embraer EMB-145, which will carry an AESA radar developed by the DRDO in a fairing above the fuselage. Following the DRDO's installation of a mission system, the aircraft will be handed over to the Indian air force.
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Seoul hopes to use offsets garnered from the yet-to-be decided 60 aircraft F-X III competition to help develop the K-FX. Contestants for the F-X III include the F-35, Boeing F-15 Silent Eagle and Eurofighter Typhoon. Sources say Seoul could announce a winner by the middle of 2013.
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Until the new MA60 MPA enters service, the PLAN will continue to rely on their B-6 bombers for long range patrols over the South China Sea. A role that the Chinese Tu-16 is clearly ill-suited for. Bombers cruising in South China Sea Via Patrick H.
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Raytheon Co said it successfully tested an upgrade to its SM-3 ballistic missile interceptor to help pave the way for European navies to protect the region against long-range weapons from countries such as Iran. The trial last week showed that a radar used by Dutch, German and Danish navies could provide target information to the interceptor, George Mavko, director of European missile defense at Raytheon, the world’s largest missile maker, said in an interview. “This is a first step to bring those ships into compatibility with the missile defense mission,” he said. The U.S., as part of a wider effort to field a missile shield, is installing SM-3 interceptors on ships and has plans for land-based deployment of the weapon in Romania to give the capability to shoot down long-range missiles outside the atmosphere. The Netherlands is among European countries exploring how to join the U.S. in addressing such attacks. “This is very prudent move by the Dutch,” Mike Elleman senior fellow at the International Institute for Strategic Studies in Bahrain, said in an interview. Sanctions have slowed Iran’s progress, which means a missile capable of threatening Paris or London is unlikely to be ready before 2016, he said. The Dutch frigates the country would use for the protective role are equipped with a Thales SA (HO) radar system that is incompatible with the current SM-3 interceptor. The demonstration at the Den Helder military test range validated a datalink that allows the missile to receive information from the Thales sensor while retaining the ability to communicate with Aegis combat ships used by the U.S. Navy, Mavko said. European Production The trials were partly funded by the Dutch navy, he said, and are a precursor to detailed work to integrate the SM-3 on frigates. The Dutch government hasn’t committed to upgrading its ships, Mavko said, although planning continues to modify vessels due for a major retrofit starting in 2018. The German F124 frigate and Danish ships have the same sensors as the Dutch model and involving those countries in the program would cut costs, he said. A common pool of missiles is also under consideration to save money, Mavko said. “Many European allies already contribute to NATO’s missile defense system,” Anders Fogh Rasmussen, the alliance’s secretary general, said at the Munich Security Conference last month. “But I could see other possible contributions, for instance European navies upgrading their ships with missile defense radars and interceptors so they can deploy alongside U.S. vessels.” To help entice European governments, Waltham, Massachusetts-based Raytheon is promising financial returns to those countries. “We are beginning to have discussions with some of our European industrial partners about possible co- production of some components,” Mavko said. “The opportunities for industry in Europe are significant.” Via Patrick H.
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Beechcraft Corporation today announced that it will formally protest to the U.S. Government Accountability Office (GAO) the U.S. Air Force’s (USAF) recent award of the Light Air Support contract to its Brazilian competitor, Embraer. An estimated 1,400 jobs in Kansas and other states are in jeopardy as a result of the Air Force decision. “We simply don’t understand how the Air Force can justify spending over 40 percent more – over $125 million more – for what we consider to be less capable aircraft,” Bill Boisture, CEO, Beechcraft “Following our debrief with the Air Force earlier this week, we are very perplexed by this decision,” said Bill Boisture, CEO, Beechcraft. “Our belief that we have the best aircraft was confirmed by the Air Force rating our aircraft ‘exceptional’ and the fact that we are the lower cost solution was confirmed by the USAF’s public award announcement.” Last year, an Air Force investigation found evidence of bias toward Brazil-based Embraer and its Nevada-based partner, Sierra Nevada (SNC), which led to the decision to restart the competition. Although SNC later sued the Air Force attempting to enforce the biased decision, U.S. Court of Federal Claims Judge Christine O.C. Miller wrote in her Nov. 1, 2012, opinion that based on the investigation’s evidence of bias “the Air Force’s decision to cancel the contract award to SNC and re-solicit proposals was reasonable and rational and should stand.” “We simply don’t understand how the Air Force can justify spending over 40 percent more – over $125 million more – for what we consider to be less capable aircraft,” Boisture said. “Given our experience of last year and our continued strong concern that there are again significant errors in the process and evaluation in this competition, we are left with no recourse other than to file a protest with the GAO. The Air Force needs to make the right decision for the nation and our future allies.” “In evaluating the competitors, the U.S. Air Force looked at three criteria, in priority order: mission capability, past performance and pricing in order to determine overall best value.” Sierra Nevada Corp. and Embraer commented in a joint statement. Based on these factors the companies said they are expecting rapid Government Accounting Office decision on Beechcraft’s protest, and are confident the Air Force selected the A-29 as the lowest risk solution and overall best value for the U.S. and its partner nations. “In accordance with the RFP, the US Air Force selected the A-29 based on three factors stated above, not just a single factor. The U. S. Air Force determined that the price they are paying for the superior A-29 aircraft was part of the ‘overall best value’.” SNC added that an important aspect about our approach is the “in-sourcing” of jobs to Jacksonville. Overall the program is expected to support more than 1,400 American jobs, reflecting both the large U.S. supplier base – including more than 100 companies that will supply parts and services for the A-29 Super Tucano. “We feel it establishes an exciting future model of bringing high tech aerospace manufacturing jobs back to the United States to stem the recent tide of moving jobs offshore.” the SNC statement added. The AT-6 draws its heritage from the Beechcraft T-6 A/B Texan trainer. It was designed to provide close air support and meet the demands of irregular warfare environment. The AT-6 is outfitted with a more powerful engine, a variety of self-protection mechanisms, multiple secure communication functions and advanced surveillance and reconnaissance capabilities. However, unlike the A-29 that is already used in tactical missions worldwide, the AT-6 has not been selected by any air force yet. Beechcraft Corp. recently celebrated the delivery of the 800th Beechcraft T-6. The aircraft, a T-6B trainer was handed over to the United States Navy’s Training Air Wing 4 based at Naval Air Station Corpus Christi, Texas. Training Air Wing 4 has now received 16 of a total of 98 T-6Bs scheduled to replace an aged fleet of T-34 aircraft for primary flight training. According to Russ Bartlett, president, Beechcraft Defense Company, Military programs around the globe have accumulated more than 2 million flight hours using the T-6 to train pilots, navigators and weapons systems operators.
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Raytheon illustrates its unique and flexible approach to protecting Offshore Patrol Vessel missions. Via Patrick H.
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March 8, 2013 4:58 AM
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The Italian Army and French Air Force carried out yesterday a successful intercept of a ballistic missile target, testing a European missile defense architecture based on the European SAMP / T missile defense system.
The target was intercepted after flying about 300 km on a ballistic trajectory represented a theater ballistic missile. The SAMP/T is a joint Franco-Italian air and missile defense system based on the MBDA Aster 30 interceptor.
The test conducted at DGA Biscarrosse missile tests center was performed by the fourth Artillery regiment of Mantova (Italy) and the French center of military & aviation testing (CELM) of Mont-de-Marsan. The successful test represents another milestone for the SAMP / T system in its capability to counter missile threats under NATO’s future missile defense architecture. It follows two previous tests successfully completed in October 2010 and November 2011 against the same type of threat.
In service with Italy and France, the SAMP / T system is the cornerstone of the contribution of these two countries in the NATO program to protect deployed forces against ballistic threat.
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March 8, 2013 4:50 AM
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Focus sur la composante aérienne franco-qatarienne de l'exercice, engagée dans la manœuvre globale bilatérale et interarmées. ...
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March 8, 2013 4:34 AM
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Alors que le tout premier A400M destiné à l'armée de l'Air faisait hier son premier vol à Séville, Air & Cosmos volait également en A400M. Nous avons été invités par Airbus Military à un vol de démonstration de deux heures, depuis l’aéroport de Toulouse-Blagnac. C'est la première fois qu'un média français a la possibilité de réaliser un reportage à bord de ce nouveau quadrimoteur de transport.
C'est à bord de l'avion de développement MSN6, indicatif "Grizzly 5", que deux de nos journalistes ont volé. Aux commandes se trouvait le pilote d'essais Michel Gagneux, un "moustachu" de l’armée de l'Air, ancien pilote de Mirage F1CR, qui travaille sur le programme A400M depuis le début des années 2000.
En tant que simple passager, nous avons été étonnés par l'étonnante agilité de l'avion. Vol à basse altitude (300 pieds) aux pieds des Pyrénées, ressource à forte incidence (+40° avec 3g de facteur de charge), virage à très forte inclinaison, rien ne semble faire peur à cet étonnant monstre gris. Le silence à bord est également remarquable. Poussés à plein régime, les quatre moteurs TP400-D6, de 14.000 chevaux chacun, savent se faire discret, même en soute, avec la rampe cargo ouverte.
Ouverture de la rampe au dessus de la campagne (photo : Cyrille Cosmao).
Après quelques manœuvres au niveau 100, et après avoir été rejoint en vol par "Grizzly 3" pour quelques photos, il est déjà temps de remettre le cap sur Blagnac. Il est un peu plus de 17 heures lorsque nous remettons les pieds à terre.
"Grizzly 3" nous a rejoint le temps de quelques photos (photo Cyrille Cosmao).
A quelques centaines de kilomètres, un peu plus tôt à Séville, MSN 7, le premier A400M français, rentrait également à bon port, après un vol inaugural de 5 heures et 42 minutes. L’appareil doit être officiellement remis à l’armée de l’Air à la fin du mois de mai. Il mettra alors le cap sur Orléans, où les aviateurs de la MEST (Multinational Entry into Service Team) débuteront sa phase de qualification, en vue d’une mise en service opérationnelle en 2014. Il est prévu qu’Airbus Military livre deux autres A400M à la France en 2013.
La livraison approche pour MSN 7 qui a volé hier (photo Airbus Military).
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March 7, 2013 5:25 AM
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Korea Aerospace Industries (KAI) has awarded a contract to CMC Electronics to deliver its integrated glass cockpit for installation in the Peruvian Air Force's KT-1P turboprop trainer aircraft.
As part of the contract, the company will develop and supply an undisclosed number of Cockpit 4000 avionics systems for integration in 20 Peruvian KT-1P trainers.
The trainers are currently being manufactured by KAI, as part of a $200m contract received in November 2012.
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March 7, 2013 5:16 AM
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Dans un à deux mois, la production en série du drone turc Anka débutera dans le cadre d’un contrat entre Turkish Aerospace Industries (TAI) et le Haut-secrétariat de l’industrie de la défense nationale.
L’Anka est la première plateforme d’avion sans pilote turc de conception nationale. Jusqu’à présent, l’armée turc opérait des drones Heron de fabrication israélienne et exploitait les données fournies par les drones américains MQ-1 Predator survolant le nord de l’Irak pour sa lutte contre le PKK.
Les tests d’acceptation finale du drone Anka se sont achevés le 20 janvier 2013. Ils comprenaient un vol d’essai de plus de 18 heures en continu à 200 km/h sous des vents atteignant 45 nœuds, avec décollages et atterrissages automatiques de nuit.
Murad Bayar, sous-secrétaire à l’Industrie de la Défense.
Certaines fonctions de l’engin vont être développées d’après le sous-secrétaire de l’Industrie de la Défense, Murad Sous Bayar. La prochaine étape est la production en série de 10 drones Anka pour l’armée de l’air turque. « Des négociations sont déjà en cours », a ajouté le sous-secrétaire.
« Ce système possède un design plus évolutif et plus de fonctionnalités », a t-il déclaré, précisant que le système Anka est déjà un drone couronné de succès depuis sa mise en service en juin 2012.
La Turquie a également entamé des négociations pour la vente de drones Anka, ainsi que des systèmes de fusées CIRIT, des hélicoptères T-129 Atak et des chars Altay, a commenté Mr Bayar.
L’objectif est de stimuler les exportations d’armes turques vers les pays du Golfe. Le fabricant de missiles Roketsan a déjà signé un contrat d’exportation de son système de fusée à guidage laser CIRIT aux Emirats Arabes Unis pour un montant total de 196,2 millions de dollars.
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March 7, 2013 5:07 AM
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The chief designer of the Shenyang J-15 fighter has compared the aircraft to the BoeingF/A-18 Hornet, and suggests that the developmental J-31 could one day serve aboard Chinese aircraft carriers.
In an interview with Chinese state news agency Xinhua, Chinese aircraft designer Sun Cong said that the J-15 is "generally close to the US F/A-18, reaching world class standards".
He adds that the J-15 could have a combat radius of over 1,000km (540nm) if powered by domestic engines. This comment could corroborate reports that the J-15s conducting flight tests aboard the aircraft carrier Liaoning are powered by Russia's Saturn AL-31F, and not the domestically produced Shenyang WS-10A.
For its part, in December 2012, the defence ministry said the J-15 is powered by the WS-10A. Industry observers, however, are dubious about this claim owing to Beijing's well-known struggles with jet engine technology.
In the interview, an abstract of which was published on China's defence ministry website, he said that developing the J-15 presented special challenges. Aside from a requirement to have equal "combat capability" to land-based aircraft, naval fighters must also have exceptional low speed performance for landing on a carrier deck.
In the version of the interview published on the People's Daily website, Sun said that he hoped the J-31 would become China's next carrier-borne fighter. This section of the interview was excluded from the version on the defence ministry's website.
Beijing's plans for the J-31 is unclear. It is uncertain whether it is designed as a competitor or complimentary type to the larger Chengdu J-20. A model resembling the J-31 was also shown in the AVIC hall during Airshow China in Zhuhai in November, which could suggest that Beijing seeks a foreign partner in the programme.
