DEFENSE NEWS
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Revue de presse quotidienne des principaux articles concernant le secteur de la Défense, de ses industriels, des armements et technologies.
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Skyworks et Qorvo donnent naissance à un géant des circuits RF, analogiques et mixtes

Skyworks et Qorvo donnent naissance à un géant des circuits RF, analogiques et mixtes | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Selon l’accord signé par les deux groupes américains, l’entreprise résultante, valorisée à 22 milliards de dollars, sera détenue à 63% par Skyworks et à 37% par Qorvo et couvrira un large panel d’applications grâce aux portefeuilles complémentaires des deux entreprises. Les Américains Skyworks et Qorvo viennent de conclure un accord définitif visant à combiner les […]
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Développé par le français Alta Ares, le "dôme tactique de protection" contre les drones a été validé par l'Otan

Développé par le français Alta Ares, le "dôme tactique de protection" contre les drones a été validé par l'Otan | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Devant les députés, la semaine passée, le chef d’état-major de l’armée de l’Air & de l’Espace [CEMAAE], le général Jérôme Bellanger, a admis que la protection des bases aériennes contre une attaque saturante de drones aériens était « perfectible ». La solution développée par la jeune entreprise française Alta Ares va-t-elle contribuer à l’améliorer ?

En effet, créée en janvier 2024 et ayant récemment finalisé une levée de fonds de 2 millions d’euros auprès, notamment, d’Expansion & Starburst, de Kima Ventures et de Durandal, Alta Ares a mis au point un « dôme tactique de protection » contre les drones, lequel vient d’être validé par l’Otan à l’issue d’une campagne de tests menée sur le site de DGA Essais de missiles [DGA EM] de Biscarrosse.

« Fruit d’une expérience concrète sur le terrain en Ukraine, ce système de défense multicouche, basé sur l’IA, a été développé en France et en Europe. Il répond à l’un des défis sécuritaires les plus urgents : la protection de notre espace aérien contre les incursions non autorisées » de drones, explique Alta Ares.

« Le Dôme tactique de protection est la consécration de la collaboration entre plusieurs acteurs français, ukrainiens, américains et allemands de la défense. Cette réussite illustre notre capacité à concevoir des solutions agiles, interopérables et éprouvées sur le terrain, au service de la sécurité de nos alliés », a fait valoir Hadrien Canter, PDG et cofondateur de cette entreprise spécialiste de l’intelligence artificielle [IA] militaire.

Dans le détail, ayant une portée opérationnelle pouvant aller jusqu’à 30 km, un dôme tactique de protection permet d’assurer une défense multicouche contre les drones, grâce à une combinaison de radars tactiques, fournis par Thales et l’américain Echodyne, d’un logiciel de fusion de données développé par le californien Picogrid et de drones intercepteurs « Bagnet » [багет], fournis par l’ukrainien Tenebris.

« Chaque couche d’intercepteur dispose de son rayon d’action de courte, moyenne et longue portée et intègre la solution Pixel Lock », explique Alta Ares. Il s’agit d’un algorithme d’intelligence artificielle embarqué permettant d’identifier, de suivre et de neutraliser une menace « sans intervention humaine directe », poursuit l’entreprise, pour qui cela apporte un « véritable soutien aux forces armées dans la difficulté que représente l’interception de drones dans des conditions exigeantes ».

Dans cette solution, le drone intercepteur « Bagnet » tient une place essentielle. Comme l’a expliqué Kyrylo Androussiak, le copropriétaire de Tenebris, à Ukrinform, en août dernier, cet appareil a été spécialement conçu pour contrer les drones Shahed/Geran et Gerber utilisés à grande échelle par les forces russes. Il « peut fonctionner avec un guidage automatique et manuel », a-t-il précisé.

Le Baget était jusqu’à présent produit par cinq entreprises ukrainiennes. Elles viennent d’être rejointes par Alta Ares, qui, ce 30 octobre, a annoncé l’inauguration d’une ligne de production en France.

« Pour garantir souveraineté et réactivité européennes, Alta Ares a […] ouvert une ligne de production de drones intercepteurs ukrainiens dans l’Ouest de la France. Associée à un droniste ukrainien, Alta Ares entend internaliser en France l’ensemble de la chaîne fonctionnelle sur la base de retours d’expérience provenant d’Ukraine, assurant ainsi robustesse et adaptation rapide aux besoins opérationnels », a en effet indiqué l’entreprise, via un communiqué.

Quoi qu’il en soit, on peut imaginer de déployer plusieurs dômes tactiques de protection le long d’une frontière ou pour assurer une couverture défensive mobile pour protéger des sites sensibles et/ou des infrastructures critiques.
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Pilot-Optional UH-60 Black Hawk Put To The Test In U.S. Military Exercise

Pilot-Optional UH-60 Black Hawk Put To The Test In U.S. Military Exercise | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The OPV Black Hawk showed off new abilities to drop cargo by parachute, move sling-loads, and carry out medical evacuation missions.
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La Marine nationale va louer trois Pilatus PC-24 dès 2026

La Marine nationale va louer trois Pilatus PC-24 dès 2026 | DEFENSE NEWS | Scoop.it
La Marine nationale modernise ses moyens de formation et de liaison avec trois Pilatus PC-24 loués via Jet Aviation.
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Des entraînements conjoints en Suisse pour les chars et l’artillerie suisses et françaises

Des entraînements conjoints en Suisse pour les chars et l’artillerie suisses et françaises | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Depuis le 20 octobre et jusqu’en novembre 2025, des formations de chars et d’artillerie suisses et françaises s’entraînent à nouveau ensemble en Suisse. Il s’agit des 2e et 3e séquences d’entraînement conjoint cette année, la première séquence ayant eu lieu en mars 2025 avec le bataillon de sapeurs de chars 1 et la seconde en mai. Fin mars 2025, des militaires français du 13e régiment du génie sont déjà venus s’entraîner à Épeisses (place d’armes de Genève). En mai 2025, le bataillon de sapeurs de chars 1 suisse s’est entraîné au tir avec deux unités françaises (le 501e régiment de chars de combat et le 13e régiment du génie) sur les places de tir d’Hinterrhein (GR) et de Wichlen (GL).
Photo Armée suisse

« Ces entraînements conjoints simulent un scénario réaliste qui permet à l’Armée suisse de tirer des enseignements afin de renforcer sa capacité de défense. Ces activités bilatérales sont organisées dans le cadre de la coopération étroite qui lie les deux pays depuis de longues années. Le but est d’améliorer la disponibilité opérationnelle tactique et de renforcer la capacité de défense, tout en échangeant (benchmark) sur les procédures et les doctrines d’emploi respectives », explique l’état-major suisse.

Des militaires français s’entraînent donc actuellement en Suisse avec le bataillon mécanisé 17 et le groupe d’artillerie 1 suisses en cours de répétition sur les champs de tir de Hinterrhein et du Simplon:
– A Hinterrhein, des militaires français du 5e régiment de dragons profiteront des infrastructures pour s’exercer notamment aux tirs de combat avec leurs chars Leclerc, aux côtés du bataillon mécanisé 17 suisse.
– Au Simplon, des militaires français du 40e régiment d’artillerie et du 93e régiment d’artillerie de montagne s’entraîneront avec le groupe d’artillerie 1. Ces activités conjointes favorisent l’interopérabilité entre les deux armées.

Une coopération internationale qui respecte la neutralité
L’Armée suisse « s’entraîne selon des normes internationales pour être en mesure de garantir, en cas de besoin, un échange d’informations efficace et une conduite en réseau. Elle conserve ainsi la flexibilité organisationnelle et structurelle nécessaire aux coopérations internationales en cas de conflit armé sans déroger au principe de neutralité. Cette collaboration se fonde sur l’accord relatif à la coopération bilatérale en matière d’instruction militaire de 2021. Ces activités conjointes développent la capacité à coopérer avec d’autres forces armées et par conséquent renforcent la capacité de défense de l’Armée suisse. »
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Sweden unveils small USV concept demonstrator project

Sweden unveils small USV concept demonstrator project | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Sweden's Defence Materiel Administration (FMV) revealed on its website on 27 October the details of an unmanned surface vehicle (USV) concept demonstrato
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Les États-Unis vont aider la Corée du Sud à construire un sous-marin nucléaire d'attaque

Les États-Unis vont aider la Corée du Sud à construire un sous-marin nucléaire d'attaque | DEFENSE NEWS | Scoop.it
En 2004, après des fuites dans la presse, le gouvernement sud-coréen fut contraint de mettre un terme à l’initiative 362 qui, lancée un an plus tôt, dans le plus grand secret, visait à développer un sous-marin nucléaire d’attaque. Pour autant, Séoul n’a jamais renoncé à cette ambition.

À l’époque, l’industrie navale sud-coréenne – et en particulier Daewoo Shipbuilding & Marine Engineering – était impliquée dans le programme KSS-I, lequel prévoyait la construction de neuf sous-marins à propulsion diesel-électrique de Type 209 [ou classe Chang Bogo], dans le cadre d’une coopération avec l’allemand Howaldtswerke.

La même approche fut suivie pour le programme KSS-II, qui s’est depuis concrétisé par l’admission au service actif de neuf sous-marins de Type 214 [ou classe Sohn Won-yil], livrés à la marine sud-coréenne entre 2007 et 2020.

Grâce à ces deux programmes, la Corée du Sud a pu acquérir les savoir-faire nécessaires pour concevoir ses propres sous-marins, ce qui lui a permis de mettre en service le ROKS Dosan Ahn Changho.

Issu du programme KSS-III, affichant un déplacement de 3 360 tonnes, ce dernier est doté de six systèmes de lancement vertical [VLS] pouvant tirer des missiles Cheon Ryong [1 500 km de portée] et Hyunmoo ainsi que huit tubes lance-torpilles de 533 mm. En outre, grâce à un système de propulsion anaérobie [AIP], il est en mesure de rester en immersion pendant plus de 20 jours.

Récemment, Hanwha Ocean a lancé le ROKS Jang Yeong-sil, au titre du lot n° 2 du programme KSS-III. Plus imposant que le ROKS Dosan Ahn Changho, ce sous-marin, qui inaugure une nouvelle classe, est censé être plus « furtif » et posséder des capacités améliorées en matière de détection et de frappe. Pour autant, aussi performant soit-il, il ne répond pas totalement aux besoins exprimés par la marine sud-coréenne, qui, pour des raisons opérationnelles, entend toujours se doter de SNA.

« Les sous-marins à propulsion nucléaire sont probablement les seuls systèmes d’armes permettant de lancer des représailles après avoir survécu aux frappes préventives de l’ennemi », avait ainsi souligné un analyste du centre de réflexion Korea Defense and Security Forum, dans les pages du Korea Herald, en 2017. « Comparés aux sous-marins à propulsion diesel, les sous-marins à propulsion nucléaire offrent une manœuvrabilité et une furtivité bien supérieures. C’est comme placer un poignard sous la gorge de l’ennemi dans une ruelle sombre », avait-il insisté.

Outre les compétences pour concevoir des sous-marins, la Corée du Sud disposerait également du savoir-faire nécessaire pour développer et, surtout, miniaturiser un réacteur nucléaire. En tout cas, c’est ce qu’avait soutenu un responsable sud-coréen, dans un entretien accordé au magazine Monthly Chosun en 2016.

« L’agence sud-coréenne de l’énergie atomique a finalisé en 2004 la conception de base d’un réacteur nucléaire pouvant être utilisé pour un sous-marin à propulsion nucléaire », avait-il dit.

En octobre 2019, la marine sud-coréenne réaffirma ses ambitions en mettant en place un « groupe de travail » chargé d’étudier les modalités pour acquérir au moins deux sous-marins à propulsion nucléaire.

À l’époque, alors chef des opérations navales sud-coréennes, l’amiral Sim Seung-seob avait expliqué qu’un SNA serait le « moyen le plus efficace pour détecter et détruire les sous-marins nord-coréens armés de missiles mer-sol balistiques stratégiques » en raison de sa capacité à patrouiller en immersion « pendant une période plus longue ».

« Nous reconnaissons l’utilité et la nécessité d’un sous-marin à propulsion nucléaire, car il s’agit d’une force de dissuasion utile pour réagir simultanément à la Corée du Nord et aux pays voisins », avait-il ajouté.

Seulement, en vertu de l’accord dit 123, signé avec les États-Unis, la Corée du Sud n’a pas le droit d’utiliser du combustible nucléaire d’origine américaine à des fins militaires, y compris pour la propulsion navale, d’enrichir de l’uranium à plus de 20 % et de retraiter du combustible nucléaire usé. D’où les tentatives répétées de Séoul pour amender ce texte.

Le pacte AUKUS qui, conclu en septembre 2021, doit permettre à l’Australie de se procurer huit SNA dans le cadre d’une coopération avec les États-Unis et le Royaume-Uni, laissa espérer à Séoul un assouplissement de la position américaine au sujet de l’accord 123. Espoir qui fut déçu car l’administration du président Biden ne voulut rien entendre.

Alors que la Corée du Nord serait en train de construire un sous-marin nucléaire lanceur d’engins [SNLE], les autorités sud-coréennes viennent d’obtenir satisfaction.

En effet, le 29 octobre, après avoir finalisé un accord commercial avec Séoul, le président Trump a dit avoir donné son accord à la Corée du Sud pour la construction d’un sous-marin à propulsion nucléaire.

« Je leur ai donné l’autorisation de construire un sous-marin à propulsion nucléaire, plutôt que les sous-marins diesel, démodés et bien moins agiles, qu’ils ont actuellement », a annoncé M. Trump, via le réseau Truth Social. « La Corée du Sud construira son sous-marin à propulsion nucléaire dans les chantiers navals de Philadelphie, ici même, dans la bonne vieille Amérique. La construction navale dans notre pays va bientôt faire un grand retour », a-t-il précisé dans un autre message.

Reste à voir comment s’organisera ce projet. En juillet, lors de l’affaire des droits de douanes, la Corée du Sud avait accepté d’investir 150 milliards de dollars dans l’industrie navale américaine, alors que Hanwha Ocean venait de mettre la main sur Philadelphia Shipyard Inc. pour 100 millions de dollars. Cependant, l’activité de ce chantier naval se concentre principalement sur le marché des navires civils. En clair, il faudra créer de toutes pièces les capacités nécessaires à la construction de sous-marins nucléaires, ce qui ne sera évidemment pas une mince affaire.
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En Croatie, un pas de plus vers l'achat de CAESAR Mk 2

En Croatie, un pas de plus vers l'achat de CAESAR Mk 2 | DEFENSE NEWS | Scoop.it
La commission défense du Parlement croate a donné son feu vert pour l’acquisition de systèmes d’artillerie CAESAR Mk 2 conçus par KNDS France, annonce aujourd’hui le ministère de la Défense croate.

Cet aval parlementaire en poche, la Défense croate franchit un nouveau jalon dans l’acquisition de 18 CAESAR Mk 2, un processus engagé de longue date et consolidé en juin dernier par la signature d’un accord-cadre avec la Direction générale de l’armement. Montant de cet investissement qui doit encore faire l’objet d’une contractualisation en bonne et due forme ? Environ 320 M€ pour des pièces visiblement attendues d’ici à 2029.

L’effort s’inscrit dans un mécanisme d’achat conjoint piloté par la France et auquel l’Estonie, la Bulgarie, le Portugal et la Slovénie ont également adhéré. À l’instar de la Croatie, les contrats portugais, bulgare et slovène doivent encore être actés. Côté croate, son financement reposera sur le programme SAFE mis en place par l’Union européenne. Abondé jusqu’à hauteur de 150 Md€, SAFE vise à soutenir les achats conjoints dans certains domaines capacitaires critiques par l’octroi de prêts à taux compétitifs. Zagreb devrait à ce titre bénéficier d’une ligne de crédit de 1,7 Md€.

Les livraisons seront par ailleurs divisées en deux lots, souligne la Défense croate. L’un englobe les CAESAR de nouvelle génération. L’autre relève de systèmes de surveillance et d’acquisition de cibles, de conduite de tir et de communication ainsi que de plusieurs types de véhicules de soutien. Une fois le contrat notifié, la Croatie rejoindra un club notamment constitué de la France, de la Belgique, de la Slovénie et de la Lituanie.

Ce projet d’achat est l’un des quatre dossiers validés cet après-midi par les parlementaires croates pour près de 2 Md€. Les autres portaient sur l’acquisition de systèmes anti-drones (125 M€), de chars Leopard 2A8 (1,3 Md€) et de camions TATRA (200 M€). Les deux derniers seront également financés au travers de l’instrument SAFE.
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Today, 4:12 AM
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Italy weighs using EU defense loan on new tanks, eying Hungary team-up

Italy weighs using EU defense loan on new tanks, eying Hungary team-up | DEFENSE NEWS | Scoop.it
States have until Nov. 30 to supply the EU with details on how they will spend the cash, before funds are released in 2026.
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French Navy to become first European military operator of Pilatus PC-24 Super Versatile Jet

French Navy to become first European military operator of Pilatus PC-24 Super Versatile Jet | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The French Navy will become the first European military force to operate the PC-24 Super Versatile Jet, following a lease agreement managed by Jet Aviation France.
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France’s MERIO develops drone-based laser targeting system

France’s MERIO develops drone-based laser targeting system | DEFENSE NEWS | Scoop.it
French technology company MERIO has announced the development of a new unmanned system designed to guide precision weapons using a laser beam, a capability aimed at improving strike accuracy while keeping human operators safely out of harm’s way. The system
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Today, 4:08 AM
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Russia unveils robotic air defense system

Russia unveils robotic air defense system | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Russian defense firm Gumich RTK has introduced its new robotic air defense system, the Impulse-PVO, at the Interpolitex 2025 international exhibition in Moscow. The system, designed to engage low-flying reconnaissance drones using kinetic interceptors, is presented as a mobile, unmanned
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Russia orders new Sarma rocket launchers

Russia orders new Sarma rocket launchers | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The Russian military has ordered two battalions of the new Sarma mobile precision-guided multiple launch rocket system (MLRS), according to leaked procurement documents obtained by Ukrainian defense outlet Militarnyi. The 300mm Sarma, developed by Motovilikha Plants and mounted on a
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La DGA veut améliorer les capacités tactiques de l'avion ravitailleur A330 MRTT avec la Liaison 22

La DGA veut améliorer les capacités tactiques de l'avion ravitailleur A330 MRTT avec la Liaison 22 | DEFENSE NEWS | Scoop.it
En octobre 2023, la Direction générale de l’armement [DGA] fit savoir qu’elle venait de confier à Airbus Defence & Space un contrat portant sur le développement du standard 2 de l’avion ravitailleur A330 MRTT « Phénix », l’objectif étant d’accroître sa capacité à évoluer dans des « environnements contestés » et d’en faire un « nœud de commandement et de conduite des opérations aériennes » grâce notamment à l’intégration de nouveaux moyens de communication.

Ainsi, il est question de doter les A330 MRTT des Forces aériennes stratégiques [FAS] d’une liaison protégée souveraine de transmission [voix et données] par satellite, en ayant recours non seulement à la constellation Syracuse IV mais aussi à n’importe quel autre satellite de télécommunication, qu’il soit commercial ou utilisé par des forces armées alliées. Et cela dans le cadre du programme MELISSA [Marché d’élaboration d’intégration et de soutien des stations satcom aéronautiques], confié à Thales en 2022.

Plus précisément, MELISSA doit permettre à un A330 MRTT de « maintenir la connexion en bandes Ka militaire et civile avec le commandement ou entre aéronefs dans un environnement de brouillage électromagnétique par l’adversaire ou dans des conditions de vol très dégradées par la météo ».

Mais la DGA a d’autres plans. En effet, ce 30 octobre, elle a dit avoir récemment mené des essais pour évaluer la possibilité d’utiliser pour la liaison de données tactiques de nouvelle génération L22 [ou Liaison 22] les capacités de communication de l’avion ravitailleur en bande HF [High Frequency].

Utilisée avec la Liaison 16 [L16], la L22 permet de partager, en temps réel, toutes les informations tactiques collectées au-dessus d’une zone d’opération précise, de manière évidemment sécurisée.

« La Liaison 22 […] est une liaison de données tactiques [LDT] sécurisée, durcie face au brouillage, s’appuyant sur une mise en œuvre simple et automatisée. Utilisant les gammes de fréquences HF et UHF, son fonctionnement repose sur le principe du TDMA [Time Division Multiple Access] mis en œuvre au sein d’un super réseau intégrant jusqu’à 8 réseaux pouvant accueillir 125 participants chacun », explique le Centre interarmées de concepts, de doctrines et d’expérimentations [CICDE].

Et celui-ci d’ajouter : « L’utilisation de la gamme UHF autorise des communications en portée optique de l’ordre d’une trentaine de nautiques en haut débit et la gamme HF permet des communications de longue portée en moyen débit. Conçue en priorité pour la lutte antinavire et anti-sous-marine, elle peut être aussi considérée – grâce à son élongation – comme une solution de secours au JRE [Joint Range Extension ] par transfert de données L16/L22 au niveau des systèmes de direction de combat. »

Selon la DGA, cette L22 est susceptible de compléter le système JRE, qui dépend des satellites. D’où la campagne d’essais qu’elle vient de mener.

Pour cette dernière, « une installation temporaire a été intégrée à l’A330 MRTT afin de tester la L22 sans modifier durablement l’appareil. Les données reçues via L22 étaient directement exploitées par le système de mission de l’aéronef », explique la DGA.

Menés dans le cadre d’une coopération entre DGA Essais en vol, DGA Techniques navales et le Centre d’expertise aérienne militaire [CEAM] de l’armée de l’Air & de l’Espace, ces tests ont donné satisfaction : deux vols d’A330 MRTT ont en effet permis « d’établir un lien L22 avec une station située à plus de 3000 km, tout en collectant des données techniques précieuses ».

Maintenant que le potentiel opérationnel de cette capacité a été démontré, la DGA envisage son intégration sur d’autres aéronefs.
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Today, 4:32 AM
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Dix ruptures technologiques pour préparer la marine française à la guerre de demain 

Dix ruptures technologiques pour préparer la marine française à la guerre de demain  | DEFENSE NEWS | Scoop.it
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South Korea's Nuclear Submarine Ambitions Take Major Step Forward

South Korea's Nuclear Submarine Ambitions Take Major Step Forward | DEFENSE NEWS | Scoop.it
South Korea has been eyeing nuclear-powered submarines for years, and hurdles could remain despite a new green light from Trump.
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Eviden (Atos) remporte un contrat de 12M€ de l'OTAN

Eviden (Atos) remporte un contrat de 12M€ de l'OTAN | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Eviden (Atos) va moderniser les communications air-sol de l’armée de l’air espagnole via un contrat de l'OTAN de 12 millions d'euros.
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Relancer les essais nucléaires: pas de quoi décrocher le Nobel de la paix!

Relancer les essais nucléaires: pas de quoi décrocher le Nobel de la paix! | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Donald Trump a ordonné jeudi à son Département de la Guerre (le DoW) de reprendre immédiatement les essais d’armes nucléaires. Il a effectué cette annonce inattendue via son réseau social Truth alors qu’il se trouvait à bord de l’hélicoptère présidentiel Marine One l’emmenant dans la ville côtière de Busan, en Corée du Sud, où il devait rencontrer Xi Jinping en épilogue de sa tournée régionale. Voici le texte original de son annonce:

Quelques précisions et réflexions

Le dernier essai nucléaire des Etats-Unis remonte à 1992. Entre le premier essai nucléaire américain en juillet 1945 dans le désert du Nouveau Mexique et le moratoire imposé par le président George H. W. Bush en 1992, les Etats-Unis ont conduit 1054 essais nucléaires, et deux bombardements sur les villes japonaises d’Hiroshima et Nagasaki en 1945.

Selon Donald Trump, « les Etats-Unis possèdent plus d’armes nucléaires que tout autre pays (…). La Russie arrive en deuxième position et la Chine loin derrière en troisième, mais elle rattrapera son retard d’ici cinq ans ». Or selon le dernier rapport annuel de l’Institut de recherche international pour la paix de Stockholm (Sipri), les Russes affichent 5489 ogives nucléaires (lire le Nuclear Note Book de 2025 consacré à l’arsenal russe) contre 5177 pour les Américains et 600 pour les Chinois. Ces chiffres sont très proches de ceux de FAS (la Federation of American Scientists):

On lira d’ailleurs les commentaires éclairés de Hans Kristensen, le directeur exécutif de la Federation of American Scientists, publiés ce jeudi sur X:



Trump a aussi dit avoir donné pour instruction au Pentagone de mener des essais de l’arsenal atomique américain sur un pied d’égalité avec les autres puissances nucléaires. On en compte neuf dont (outre les USA et la Russie) la Corée du Nord, la Chine, Israël la France, le Royaume-Uni, l’Inde et le Pakistan.
Trump ne précise pas de quels types d’essais il s’agira… Il se contente de ce « pied d’égalité » pour ne pas préciser le nombre et le mode de ces essais (avec de la simulation comme en France, pays qui a réalisé 210 essais nucléaires dans le Sahara et en Polynésie entre 1960 et 1996? Depuis l’arrêt définitif des essais nucléaires en 1996, la garantie des armes nucléaires en sûreté et performances s’appuie sur le programme Simulation).
A noter que Pékin a pressé jeudi les Etats-Unis de respecter « sérieusement » l’interdiction internationale des essais nucléaires. La Chine a signé mais pas ratifié ce traité d’interdiction de1996 mais qui n’est toujours pas entré en vigueur!

Enfin, la surprenante annonce nucléaire du président américains suit une série d’annonces de la part de Vladimir Poutine. Dimanche, le président russe s’était félicité de l’essai final réussi du missile de croisière à propulsion nucléaire Bourevestnik, d' »une portée illimitée » et capable de tenir en échec, selon lui, quasiment tous les systèmes d’interception. Mercredi, lors d’une visite d’un hôpital militaire, le président russe a annonce que son pays avait « effectué encore un essai, d’un autre système prometteur – un drone sous-marin Poséidon« . Ce drone Poséidon, selon Moscou, est doté d’un système de propulsion nucléaire et peut également transporter des charges atomiques. « Aucun autre appareil dans le monde n’est égal à celui-là par sa vitesse et la profondeur » à laquelle il opère, a assuré le maître du Kremlin, en affirmant qu’il n’existait « aucun moyen de l’intercepter ».
Ces deux tests, selon le Kremlin, ne constituent pas des essais nucléaires.
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Un coup de pouce parlementaire pour le bouclier anti-drones des armées françaises

Un coup de pouce parlementaire pour le bouclier anti-drones des armées françaises | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Premier round remporté pour un amendement au projet de loi de finances pour 2026 visant à renforcer le bouclier anti-drones des armées françaises par le développement et le déploiement de nouveaux capteurs acoustiques.

Adopté hier soir en Commission défense de l’Assemblée nationale, cet amendement déposé par le député LFI Aurélien Saintoul propose de transférer 20 M€ en autorisations d’engagement et autant en crédits de paiement du programme de système de combat aérien du futur (SCAF) vers une nouvelle opération baptisée « Radars acoustiques – Lutte contre les drones ». De quoi, selon le groupe parlementaire LFI, entrevoir le développement et le déploiement d’un système dont les armées françaises ne sont aujourd’hui pas équipées.

« Si nos forces disposent aujourd’hui de moyens de détection et de brouillage efficaces contre les drones dits « classiques », l’évolution du conflit en Ukraine met en lumière de nouvelles technologies face auxquelles nous ne disposons pas encore de capacités de réponse suffisantes », estiment les députés LFI. De fait, l’effort de rattrapage consenti côté français se concentre sur des moyens de détection focalisés sur les signaux électromagnétique, donc limités face aux drones opérés à partir de fibre optique ou rendus autonomes par l’ajout d’une couche d’intelligence artificielle.

Qu’importe le système, aucun n’est dépourvu de signature sonore. L’Ukraine l’a bien compris en déployant un maillage de capteurs acoustiques sur pour muscler sa capacité d’alerte précoce et guider au mieux les effecteurs anti-drones. Quelque 10 000 « oreilles » sont ainsi réparties un peu partout sur le territoire ukrainien grâce au seul programme Sky Fortress. S’il n’est en rien une solution miracle, il participe cependant à épaissir le réseau de capteurs à coûts visiblement (très) maîtrisés.

La proposition intervient dans un contexte favorable, les trous persistants dans le bouclier face à une épée toujours plus évolutive ne faisant que contribuer à la poursuite, voir à l’accélération des investissements en matière de LAD. Deux initiatives ont été lancées dans ce sens en début d’année par l’OTAN. Pour l’instant au stade de la lettre d’intention, ces efforts auxquels la France participe visent, d’une part, à développer de nouvelles solutions pour lutter contre les menaces volant à moins de 150 m d’altitude et, d’autre part, à muscler conjointement les capacités de détection passive. Dont celles relevant de la détection acoustique, relevait alors l’OTAN.

La dynamique se poursuit également à l’échelon national. Plus de 350 M€ sont ainsi fléchés vers le programme LAD en 2026, années durant laquelle les armées devraient en théorie recevoir les neuf systèmes PARADE commandés en 2025. Reste néanmoins plusieurs étapes à franchir pour que cet amendement soit définitivement acté, le PLF 2026 devant encore être débattu et adopté en séance publique tant à l’Assemblée nationale qu’au Sénat.
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Les États-Unis vont reprendre leurs essais d'armes nucléaires

Les États-Unis vont reprendre leurs essais d'armes nucléaires | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Le dernier essai souterrain d’une arme nucléaire réalisé par les États-Unis remonte au 23 septembre 1992 [opération « Julin »], soit quelques mois après l’implosion de l’Union soviétique et la fin de la Guerre froide. Puis, comme les autres puissances officiellement dotées, ils signèrent le Traité d’interdiction complète des essais nucléaires [TICEN] en 1996… en se gardant toutefois de le ratifier.

Seulement, en 2020, l’administration américaine soupçonna la Chine de procéder à des essais nucléaires souterrains dans la région de Lob Nor, en contrevenant ainsi aux engagements pris dans le cadre du TICEN, qu’elle n’avait pas non plus ratifié.

« La mise en service éventuelle par la Chine de son site d’essais nucléaires du Lob Nor durant toute l’année 2019 […] les nombreuses activités d’excavation à Lob Nor et le manque de transparence sur ses activités d’essais nucléaires […] suscitent des inquiétudes quant à son adhésion au rendement zéro [essai nucléaire sans réaction en chaîne explosive, ndlr] », avait en effet avancé une note du département d’État, évoquée par le Wall Street Journal en mai 2020.

Cependant, l’Organisation du traité d’interdiction complète des essais nucléaires [OTICE], qui dispose de 321 stations de détection et de 16 laboratoires d’analyse de radionucléides afin de détecter et de localiser tout essai nucléaire d’une puissance supérieure à 1 kilotonne, ne confirma pas les affirmations américaines.

Par ailleurs, à la même époque, des responsables américains confièrent au Wall Street Journal qu’ils soupçonnaient également la Russie d’avoir secrètement réalisé des essais nucléaires à très faible rendement dans l’archipel de Nouvelle-Zemble [Arctique], dans le cadre du développement de nouvelles armes censées être “invincibles”, comme le missile de croisière à propulsion nucléaire 9M730 Bouresvestnik et la torpille dronisée Poseidon.

Alors à la tête de la Defense Intelligence Agency [DIA, le renseignement militaire américain, ndlr], le général Robert Ashley affirma que la Russie « ne respectait probablement pas le moratoire sur les essais nucléaires » imposé par le TICEN, qu’elle avait signé et ratifié.

D’où le débat sur une éventuelle reprise des essais nucléaires. Ainsi, un haut responsable avait expliqué au Washington Post que « montrer que les États-Unis [étaient] capables d’effectuer un essai rapidement pouvait être une tactique de négociation utile pour conclure un accord tripartite avec la Russie et la Chine sur les armes nucléaires ». Cependant, aucune décision allant dans ce sens ne fut prise.

Depuis, il a été confirmé que la Chine cherche à accroître significativement son arsenal nucléaire, la taille de ce dernier ayant doublé entre 2019 et 2025, selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm [SIPRI].

En outre, la Corée du Nord ne fait guère mystère de ses intentions dans ce domaine. En 2023, elle a annoncé une « hausse exponentielle » de la taille de son arsenal nucléaire », après avoir laissé entendre qu’elle n’hésiterait pas à l’utiliser de manière préventive pour « anéantir des forces hostiles ».

Enfin, après avoir suspendu l’application du traité de désarmement New START qu’elle avait conclu avec les États-Unis, la Russie a annulé sa ratification du TICEN, ce qui laisse désormais les mains libres pour effectuer des essais nucléaires.

Alors que le chef du Kremlin, Vladimir Poutine, s’est félicité, à quelques jours d’intervalle, des tests réussis du missile 9M730 Bouresvestnik et de la torpille dronisée Poseidon, les États-Unis sont finalement sur le point de reprendre leur essais nucléaires. L’annonce en a été faite par le président Trump, peu avant sa rencontre avec Xi Jinping, son homologue chinois, en Corée du Sud.

« En raison des programmes d’essais menés par d’autres pays, j’ai demandé au département de la Guerre de commencer à tester nos armes nucléaires sur un pied d’égalité. Ce processus commencera immédiatement », a en effet affirmé M. Trump, via le réseau Truth Social. « Les États-Unis possèdent plus d’armes nucléaires que tout autre pays. La Russie arrive en deuxième position et la Chine loin derrière en troisième, mais elle rattrapera son retard d’ici cinq ans », a-t-il ajouté.

Selon une étude publiée par le SIPRI en juin, les États-Unis disposaient de 5 177 ogives nucléaires, dont 1 770 étaient déployées au 1er janvier 2025. La taille de l’arsenal russe serait plus étoffée, avec 5 459 ogives, dont 1 718 déployées.

Quoi qu’il en soit, il est possible que la reprise des essais nucléaires américains étaient envisagée bien avant l’annonce de M. Trump. En 2024, son prédécesseur, Joe Biden, approuva le « Nuclear Employment Guidance », un document confidentiel censé préparer les États-Unis à « d’éventuelles confrontations nucléaires simultanées avec la Russie, la Chine et la Corée du Nord ».

Alors chargé du contrôle des armements au sein du Conseil de sécurité nationale [NSC] de la Maison Blanche, Pranay Vaddi avait évoqué une possible évolution de la posture nucléaire américaine en juin dernier. « En l’absence de changement dans les arsenaux adverses [comprendre en Russie, en Chine et en Corée du Nord], les États-Unis seraient prêts à passer de la modernisation de leurs armes existantes à l’expansion de leur arsenal », avait-il expliqué.
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