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Today, 2:58 AM
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L'aviation ivoirienne, qui doit considérablement se renforcer pour protéger la frontière nord du pays, vient d'acquérir quatre hélicoptères de type soviétique. Elle attend aussi la livraison de
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Today, 2:56 AM
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The Aerospace, Security and Defence Industries Association of Europe (ASD) has expressed strong support for the newly published White Paper outlining a framework for Europe’s defence strategy.
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Today, 2:55 AM
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L’accident a eu lieu ce matin, selon des témoins locaux, quelques secondes après le décollage d’un Su-30 de la base aérienne de Reggane dans la Wilaya d’Adrar. L’appareil s’est écrasé à quelques kilomètres à l’Est du village de Timekten qui se trouve au Nord d’Aoulef. L’incident a eu lieu à un moment critique (décollage, avio
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Today, 2:55 AM
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Dans les quelques semaines qui nous séparent de la remise (le 2 mai) au chef des armées de la nouvelle Revue nationale stratégique, le groupe Mars adapte le format de ses publications : il se propose de participer au débat ouvert par le Président de la République par la mise en ligne d’une chronique hebdomadaire d’un format plus concis. Voici la troisième de ces chroniques, qui reprend des extraits d’une précédente tribune publiée en mai 2024. [1] Par le groupe Mars
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Today, 2:53 AM
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Face à la menace russe et aux incertitudes sur l'engagement américain, Bruxelles a présenté son livre blanc consacré aux capacités de défense européennes d'ici 2030.
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Today, 2:51 AM
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Depuis que l’Alliance atlantique existe, alors que le poste [civil] de secrétaire général de l’Otan est confié à un Européen, le Commandement suprême des forces alliées en Europe [SACEUR] revient traditionnellement au chef des forces américaines en Europe. Actuellement, il est assuré par le général Christopher Cavoli, dont le mandat arrive bientôt à son terme. En outre, il est aussi responsable du Commandement allié Opérations [ACO]. Par ailleurs, le Commandement Allié Transformation [ACT], qui est le second par ordre d’importance, est quant à lui réservé à un officier général français depuis que la France a retrouvé sa place au sein du commandement militaire intégré de l’Alliance. Mais cette répartition des tâches pourrait évoluer, à en croire des informations avancées par NBC News, qui cite deux responsables de la défense américaine ainsi qu’un memo du Pentagone. En effet, au moment où les Européens sont appelés à augmenter significativement leurs dépenses militaires pour assumer davantage de responsabilités dans la défense du Vieux Continent, l’administration du président Trump envisagerait de renoncer au poste de SACEUR, dans le cadre d’une restructuration de la chaîne de commandement et des quartiers généraux du Pentagone. L’objectif est de faire des économies pour mieux se concentrer sur l’Indopacifique [et donc la Chine]. « Renoncer à la fonction de SACEUR constituerait, à tout le moins, un changement symbolique majeur dans l’équilibre des pouvoirs au sein de l’Otan, l’alliance qui définit la sécurité et la paix en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale », estime NBC News. Plus largement, si elle devait être confirmée, cette décision pourrait également se traduire par un redéploiement des forces américaines actuellement présentes en Europe. C’est d’ailleurs le point qu’a souligné l’amiral James Stavridis, SACEUR entre 2009 et 2013. « Si les États-Unis renonçaient au Commandement suprême des forces alliées en Europe, cela serait perçu comme un signal fort de retrait de l’Alliance », a-t-il confié à NBC News. « Ce serait une erreur politique monumentale » car « nous perdrions une influence considérable au sein de l’Otan et cela serait perçu, à juste titre, comme probablement la première étape vers une sortie totale de l’Alliance », a-t-il insisté. Cependant, toujours selon le document consulté par NBC News, le commandement américain pour l’Europe [US EUCOM] n’aurait pas vocation à disparaître… mais il fusionnerait avec celui dédié à l’Afrique [US AFRICOM], dont le siège est implanté à Stuttgart [Allemagne]. Ce qui était le cas avant 2007. Cela étant, il ne s’agit encore que de pistes de réflexion et la « transformation » envisagée peut être bloquée par le Congrès. Mais si elle est confirmée, alors il reviendra aux membres européens de l’Otan de se mettre d’accord sur la nationalité du prochain SACEUR. Viendra-t-il d’une puissance dotée de l’arme nucléaire [France ou Royaume-Uni] ou d’un pays disposant d’importantes forces conventionnelles [Pologne, voire Allemagne] ? Quoi qu’il en soit, l’idée de confier le SACEUR à un pays européen n’est pas nouvelle : elle a en effet été avancée par Henry Kissinger, dans une tribune publiée par Time en 1984, soit à une époque où l’Union soviétique pointait ses missiles nucléaires de portée intermédiaire SS-20 vers l’Europe occidentale. « Ceux qui ont gouverné l’Europe au début de l’après-guerre étaient encore psychologiquement ancrés dans l’époque où l’Europe dominait le monde. La pensée globale leur est venue naturellement. Les dirigeants européens ont assumé la responsabilité de leurs propres politiques de sécurité et n’y ont renoncé qu’à contrecœur en raison de circonstances particulières », avait d’abord constaté M. Kissinger. Et d’ajouter : « Mais près de quarante ans se sont écoulés depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale » et « les nouveaux dirigeants élevés à une époque où les États-Unis occupaient une place prépondérante trouvent politiquement commode de nous déléguer la défense militaire de l’Europe ». D’où leur « crainte que les États-Unis ne soient pas prêts à risquer leur propre population pour une défense nucléaire de l’Europe, associée à l’angoisse que l’Amérique n’entraîne l’Europe dans un conflit indésirable par une gestion maladroite des questions du tiers-monde ou des relations Est-Ouest », avait poursuivi M. Kissinger. Aussi, il avait estimé que l’Europe « devrait assumer la majeure partie de la défense terrestre conventionnelle », jugeant qu’une telle responsabilité était « à la portée d’un groupe de pays dont la population est près d’une fois et demie supérieure à celle de l’Union soviétique et dont le PNB est deux fois supérieur à celui-ci ». En conséquence, avait conclu l’ancien chef de la diplomatie américaine [1973-77], la planification de la défense de l’Europe devait dès lors devenir « une tâche plus explicitement européenne », ce qui supposait de nommer un général européen à la tête du SACEUR, avec éventuellement un adjoint américain.
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Today, 2:46 AM
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En mars 2024, le ministère néerlandais de la Défense annonça qu’il avait retenu Naval Group et IHC Royal pour lui livrer quatre nouveaux sous-marins de type Black Sword Barracuda dans le cadre du programme RNSC [Replacement Netherlands Submarine Capability]. Les concurrents écartés de cet appel d’offre ayant épuisé leurs recours politiques [Damen] et juridiques [TKMS], le contrat, d’une valeur de 5,6 milliards d’euros, fut signé le 30 septembre dernier. Affichant un déplacement de 3 300 tonnes en plongée pour une longueur de 82 mètres et un maître-bau de 8,2 mètres, le Black Sword Barracuda [ou classe Orka] sera doté d’une propulsion diesel-électrique associée à des batteries lithium-ion, pour un rayon d’action de 15 000 nautiques. Il devra notamment être en mesure d’emporter des missiles de croisière [en l’occurence des Tomahawk américains]. Enfin, il sera équipé du système d’armes tactiques SAT 3.0. « Nous sommes déjà engagés dans une première revue commune de la conception prévue en février 2025 afin de valider les exigences techniques du sous-marin. Tout au long du programme, nous procéderons à plusieurs revues, en passant d’une conception de haut niveau à une définition de plus en plus précise des systèmes du sous-marin », a récemment expliqué Sylvain Perrier, le directeur du programme RNSC chez Naval Group. D’où l’annonce faite par Thales, ce 19 mars. En effet, Naval Group lui a notifié un contrat pour fournir la « suite sonars » destinée aux futurs sous-marins de la classe Orka. Cette dernière leur « permettra d’assurer une parfaite maîtrise de la situation acoustique face à des menaces de plus en plus silencieuses », a précisé l’industriel. « Ce contrat permettra aux Pays-Bas de disposer de la maîtrise de l’environnement sous-marin nécessaire à la supériorité opérationnelle », a-t-il ajouté. Au-delà de la qualité et des performances des sonars produits par Thales, cette annonce n’est pas surprenante dans la mesure où le groupe français est très bien implanté aux Pays-Bas, via sa filiale Thales Nederland, et qu’il équipe déjà les sous-marins de la classe Walrus encore mis en œuvre par la Marine royale néerlandaise, ceux-ci étant dotés de sonars fournis par Thomson Sintra ASM [devenu Thales Underwater System en 2001]. En outre, en novembre dernier, Thales a signé un accord avec l’entreprise néerlandaise Optics 11 pour intégrer la technologie OptiArray dans le sonar passif remorqué des sous-marins de la classe Orka. Quoi qu’il en soit, la suite sonar de « haute performance » que livrera Thales se compose de « capteurs acoustiques, combinant des sonars d’étrave, de flanc, d’évitement d’obstacle, d’inteception, un sonar passif remorqué, des téléphones sous-marins, un échosondeur et les baies associées au traitement du signal ». Cet ensemble, explique Thales, garantit « une vision panoramique sans équivalent de l’environnement sous-marin, permettant de détecter, localiser et classifier toutes les menaces à courte, moyenne et longue distance, sur une large gamme de fréquences ». « Nous sommes fiers de fournir la suite sonar de pointe de Thales pour les sous-marins de classe Orka de la Marine royale néerlandaise. Ce partenariat renforcera la supériorité technologique des forces navales néerlandaises et reflète notre engagement continu à soutenir la défense avec des solutions innovantes et fiables », a commenté Sébastien Guérémy, responsable des activités des systèmes sous-marins chez Thales.
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Today, 2:45 AM
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South Korea's next-generation fighter jet program is making steady progress, with the first mass-produced KF-21 Boramae on track for deployment with the Republic of Korea Air Force (ROKAF) in 2026. The project, led by Korea Aerospace Industries (KAI), has entered a critical phase as the fuselage mating process advances. According to KAI, the precision assembly
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Today, 2:44 AM
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A new long-range over-the-horizon radar would help Canada and the United States keep watch over the highly strategic High North.
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Today, 2:42 AM
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Alors que Bercy organise ce jeudi une grand-messe pour promouvoir le financement des entreprises de défense, deux PME du secteur, l’armurier centenaire Verney-Carron et le fabricant de cartes électroniques Eolane, risquent la faillite.
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Today, 2:37 AM
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The FPV drones, presumably launched by sea drones, also hit two ships and a helicopter.
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Today, 2:34 AM
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Today, 2:34 AM
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Production will focus on HevenDrones’ H100, H2D55 and Raider uncrewed aerial vehicles, with the aim to scale up production to hundreds a month depending on demand.
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Today, 2:57 AM
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Développé par le CIEC [Centre Interarmées du Soutien Équipements Commissariat, ex-CESCOF], avec l’appui de la Section technique de l’armée de Terre [STAT], le casque F3 est l’un des éléments essentiels du programme « Combattant 2020 ». Offrant une protection contre les éclats et les balles de 9 mm grâce à sa coque aramide [kevlar], le casque F3 se distingue des modèles précédents par une « surface d’accrochage » plus importante qui, associée à des « rails de fonction », permet d’augmenter significativement sa capacité d’emport d’accessoires, comme les jumelles de vision nocturne. Mais d’autres évolutions sont envisagées. Ainsi, l’an passé, la Direction générale de l’armement [DGA] a dévoilé le casque TAP F3+, censé préserver les « capacités biomécaniques et physiologiques » du combattant. Plus léger tout en étant plus résistant, grâce à des fibres de polyéthylène à ultra haut poids moléculaire [UHMWPE], il pourrait être doté du système SLAC [pour Système de Localisation Acoustique pour le Combattant] afin de permettre à un fantassin de localiser l’origine d’un tir et de détecter des drones FPV. Cela étant, le TAP F3+ est d’une facture classique… Ce qui n’est pas le cas du casque Ronin, lequel fait actuellement l’objet d’une évaluation menée par l’armée de Terre, via son « Battle Lab ». « Le casque Ronin redéfinit les standards en matière de protection balistique et de technologies intégrées pour les forces spéciales. Connu pour son design futuriste et ses capacités exceptionnelles, ce casque apporte une protection renforcée sur le terrain tout en offrant des options de personnalisation à la pointe de la technologie », explique en effet la Section technique de l’armée de Terre [STAT]. Conçu par la firme japonaise Devtac, le Ronin est un casque intégral pouvant résister à des balles de 9 mm. Le modèle évalué par le Battle Lab Terre est doté d’une vision tête haute [les informations tactiques s’affichent dans le champ de vision du combattant] et peut recevoir des jumelles, des caméras et différents capteurs grâce à des rails Picatinny. Enfin, il dispose d’un système de refroidissement par ventilation. « Le Battle Lab Terre est actuellement en mode exploratoire pour évaluer son potentiel d’intégration dans des opérations tactiques modernes. Cette démarche pourrait ouvrir la voie à de nouvelles innovations dans les équipements de protection pour les forces militaires et de sécurité », a conclu la STAT.
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Today, 2:55 AM
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A significant milestone has been achieved in the development of the MAST-F (AKERON LP) missile system, as the first boosted missile firing from a Tiger Test Bed Helicopter was successfully carried out.
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Today, 2:55 AM
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La société bordelaise Icarus Swarm a testé aux côtés de l'armée de Terre la mise en oeuvre d'essaims de drones depuis des véhicule
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Today, 2:54 AM
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Pour remédier aux difficultés de financement, une proposition de livret défense & souveraineté émerge, soutenue par une coalition de parlementaires. Plusieurs parlementaires de premier plan appellent à un fléchage des fonds vers les entreprises stratégiques, consolidant ainsi la souveraineté économique et le lien entre armées et nation.
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Today, 2:52 AM
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Les ministres de l'Économie Eric Lombard et des Armées Sébastien Lecornu ont convié ce jeudi des acteurs financiers, institutionnels et parlementaires à Bercy pour muscler les financements du secteur de la Défense.
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Today, 2:48 AM
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Que ce soit au moyen d’une arme à énergie dirigée, d’une cyberattaque ou d’un missile ASAT [c’est-à-dire à ascension directe], la capacité de détruire un satellite [ou de perturber son fonctionnement] existe déjà depuis longtemps. Mais quand le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, dit et répéte que « nous sommes la génération d’êtres humains qui allons connaître ce qui pourrait être une forme de guerre des étoiles », il n’est pas question de cela… mais de « l’arsenalisation » de l’espace [et non de sa militarisation, qui a commencé en même temps que la conquête spatiale]. Ainsi, en mai 2024, chargée des questions liées à la maîtrise des armements au sein de la diplomatie américaine, Mallory Stewart, avait avancé que, sur la base d’informations « jugées crédibles », la Russie comptait « intégrer des armes nucléaires dans ses programmes de lutte dans l’espace ». Et d’ajouter que « quelque chose » avait été mis en orbite à cette fin. Ce « quelque chose » est le satellite Cosmos-2553, placé sur une orbite « inhabituelle », car fréquentée par aucun autre objet, en février 2022. S’il ne porte pas, a priori, de charge nucléaire, cet engin est soupçonné par les États-Unis de faire partie d’un programme d’arme nucléaire antisatellite, Moscou ayant le projet de se doter d’une capacité censée lui permettre de « détruire des centaines de satellites en orbite terrestre basse avec une explosion nucléaire ». Toutefois, cette affirmation fut jugée « fantaisiste » par certains experts. « L’histoire nous apprend que placer une arme nucléaire dans l’espace, ça ne sert à rien. Des tests nucléaires menés dans les années 1960 n’ont pas indiqué une efficacité importante de ce type d’armes, en particulier quand il y a un grand nombre de satellites à atteindre », estima en effet Paul Wohrer, chercheur spécialisé dans les questions spatiales à l’Institut français des relations internationales [IFRI]. Une position partagée par le général [2S] Michel Friedling, ancien « patron » du Commandement de l’Espace. Cela étant, la menace la plus immédiate est celle d’objets [engins butineurs, drones spatiaux] capables de manœuvrer autour de certains satellites, notamment de télécommunications. En 2019, Florence Parly, alors ministre des Armées, avait dénoncé le comportement de l’engin russe Luch-Olymp K autour du satellite de communication militaire franco-italien Athena-Fidus. Puis, son successeur, Luch-Olymp K2, a multiplié les approches de satellites commerciaux depuis qu’il a été lancé, en mars 2023. Dernièrement, après une manœuvre jugée « inhabituelle », il s’est positionné à moins de 50 km [ce qui est peu dans l’espace] d’Intelsat 39, après être resté pendant plusieurs mois dans les environs d’Intelsat 1002. « Capable d’écouter le spectre électromagnétique dans les bandes de fréquence utilisées par les satellites de télécommunication et d’analyser les signaux perçus, Luch-Olymp contribuerait à l’élaboration de la base de données du système russe de brouillage Tobol, qui cible les satellites de télécommunication en orbite GEO », avait expliqué le général Friedling, dans son livre « Commandant de l’espace« , sorti en octobre 2023. Mais ces manœuvres semblent simples par rapport à celle que vient de réaliser la Chine. Ainsi, selon le général Michael A. Guetlein, le chef adjoint des opérations spatiales américaines [soit le numéro deux de l’US Space Force], cinq satellites et objets spatiaux expérimentaux ont effectué des « manœuvres coordonnées » en orbite basse, l’an passé. « Grâce à nos moyens commerciaux, nous avons observé cinq objets spatiaux différents manœuvrer les uns autour des autres, de manière synchronisée et contrôlée. C’est ce que nous appelons des combats aériens. Ils s’entraînent à des tactiques, des techniques et des procédures pour effectuer des opérations spatiales en orbite, d’un satellite à un autre », a en effet expliqué le général Guetlein, lors d’une conférence annuelle sur les programmes de défense organisée par McAleese & Associates. Plus tard, un porte-parole de l’US Space Force a précisé que la manœuvre évoquée par le général Guetlein était chinoise. « La Chine a mené une série d’opérations de proximité en 2024 impliquant trois satellites expérimentaux Shiyan-24C et deux objets spatiaux expérimentaux Shijian-6 05A/B. Ces manœuvres ont été observées en orbite terrestre basse », a-t-il dit. Dans l’espace, la notion de « combat aérien » est à relativiser : il n’est nullement question d’engins spatiaux qui enchaîneraient les manœuvres de type « immelmann » afin de se mettre dans la meilleure position possible pour abattre l’autre. Les lois de la physique étant ce qu’elles sont, tout déplacement d’un satellite d’un point A à un point B peut prendre plusieurs jours. En clair, la « guerre spatiale » est lente. Quoi qu’il en soit, pour le numéro deux de l’US Space Force, cette manœuvre chinoise change la donne. « Il existait autrefois un écart capacitaire entre nous et nos proches concurrents, lié principalement à notre avance technologique. Cet écart se réduit considérablement et nous devons changer notre approche de l’espace, sinon cet écart pourrait s’inverser et ne plus jouer en notre faveur », a-t-il estimé.
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Today, 2:45 AM
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The plan for now excludes the U.K., Turkey and the U.S., though officials in Brussels are planning fresh overtures at Britain in defense cooperation.
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Today, 2:45 AM
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A Russian firm is in the process of developing a prototype for a high-speed interceptor drone, designed to engage and neutralize enemy reconnaissance and long-range kamikaze Unmanned Aerial Vehicles (UAV). The project underscores the growing focus on aerial drone warfare, with both sides seeking technological advantages in countering unmanned threats. As drone warfare continues to
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Today, 2:43 AM
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The device is known as “Tryzub,” or trident in English, referencing the Ukrainian national symbol.
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Today, 2:40 AM
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L’année 2024 fut à nouveau une année record pour MBDA, suivant l’année 2023, alors déjà une année record : 13,8 milliards d’euros de commandes en 2024 avec un total cumulé de carnet de commande équivalent à 37 milliards d’euros. Éric Béranger, CEO de MBDA, précise également que le premier missilier d’Europe se tient prêt pour une montée en puissance du continent européen indépendante de pays extérieurs.
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Today, 2:37 AM
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A dedicated air-to-air counter-drone version of the Advanced Precision Kill Weapon System rocket has also now been disclosed.
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Today, 2:34 AM
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The new vessel, JS Nomi, is the fourth countermeasures vessels in the Japan Maritime Self-Defence Force's Awaji class, and a fifth and sixth have been costed.
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