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August 31, 2023 5:16 AM
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L'Armée Populaire de Libération se prépare, d'ici à 4 ans, pour prendre l'avantage sur les Etats-Unis, selon l'amiral Aquilino

L'Armée Populaire de Libération se prépare, d'ici à 4 ans, pour prendre l'avantage sur les Etats-Unis, selon l'amiral Aquilino | DEFENSE NEWS | Scoop.it
L'Armée Populaire de Libération pourra attaquer Taïwan d'ici à 2027 ! Cette phrase, prononcée par l'amiral Phil Davidson en mars 2021 lorsqu'il commandait
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Revue de presse quotidienne des principaux articles concernant le secteur de la Défense, de ses industriels, des armements et technologies.
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Mack Defense to produce prototype tactical trucks for U.S. Marine Corps

Mack Defense to produce prototype tactical trucks for U.S. Marine Corps | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Mack Defense has announced it will produce two prototype vehicles for the next phase of the U.S. Marine Corps’ Medium Tactical Truck (MTT) programme.
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Thales strengthens presence in Malaysia with radar contract, simulator delivery and new leadership at LIMA 2025

Thales strengthens presence in Malaysia with radar contract, simulator delivery and new leadership at LIMA 2025 | DEFENSE NEWS | Scoop.it
At the LIMA 2025 exhibition in Langkawi, Thales reaffirmed its commitment to supporting Malaysia’s defence capabilities, securing multiple agreements with the Ministry of Defence and local partners.
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Estonia to buy several hundred Javelin missiles, Washington approves sale

Estonia to buy several hundred Javelin missiles, Washington approves sale | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The U.S. Defense Security Cooperation Agency (DSCA) announced the State Department's approval of a potential sale of FGM-148F Javelin anti-tank guided missiles and launch units to Estonia.
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HAVELSAN begins mass production of autonomous ground vehicle BARKAN [VIDEO]

HAVELSAN begins mass production of autonomous ground vehicle BARKAN [VIDEO] | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Turkish defence company HAVELSAN has announced the commencement of mass production for its medium-class Level 1 autonomous unmanned ground vehicle (UGV), BARKAN.
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Boeing’s MH-139A Grey Wolf completes first nuclear transport training exercise

Boeing’s MH-139A Grey Wolf completes first nuclear transport training exercise | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The MH-139A Grey Wolf helicopter has successfully completed its first Nuclear Convoy Course (NCC), a key training exercise aimed at ensuring the secure and efficient transport of nuclear weapons and materials.
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Le chantier naval français Ocea va livrer 40 patrouilleurs FPB 110 à la garde côtière des Philippines

Devant faire face aux visées de Pékin sur plusieurs de leurs îlots et récifs en mer de Chine méridionale, les Philippines ont entrepris de renforcer leurs capacités navales, longtemps négligées pour des raisons budgétaires.

Ainsi, deux frégates de 2 600 tonnes, appartenant à la classe José Riza, ont été livrées à la marine philippine par Hyundai Heavy Industries en 2020 et en 2021.

Puis, le 22 mai, le président philippin, Ferdinand Marcos Jr., a officiellement prononcé l’admission au service actif de la frégate BRP Miguel Malvar, un navire de 3 200 tonnes de conception sud-coréenne. Celui-ci devrait être bientôt suivi par un bâtiment similaire, le BRP Diego Silang.

La modernisation de la marine philippine passe également par la mise en œuvre de drones de surface. Elle en dispose en effet d’au moins cinq exemplaires, à savoir quatre MANTAS T-12 et un Devil Ray T-38, fournis par Maritime Tactical Systems [MARTAC] grâce à une aide financière des États-Unis.

Souhaitant établir une « intimité stratégique » avec les Philippines avec lesquelles elle partage la « même vision d’un Indopacifique libre et ouvert », la France est aussi impliquée dans le renforcement des capacités maritimes de l’archipel.

Ainsi, en novembre dernier, la présidence philippine a validé l’achat de quarante patrouilleurs « rapides » pour la garde côtière, grâce à une « aide publique au développement de 25,8 milliards de pesos [environ 410 millions d’euros] » consentie par la France. Et de souligner que cette annonce « constituait un investissement important dans le renforcement de la défense maritime du pays ».

L’industriel retenu pour ce commande n’avait pas été précisé à l’époque. Cependant, en raison de ses liens avec les Philippines, auxquelles il avait déjà fourni quatre patrouilleurs rapides de 24 mètres [classe Boracay] et un patrouilleur hauturier [classe Gabriela Silang], le français Ocea était donné favori.

Effectivement. Via un communiqué publié le 22 mai, le chantier naval vendéen a fait savoir qu’il venait de signer un contrat visant à livrer quarante patrouilleurs de 35 mètres de type FPB 110 MKII à la garde côtière philippine. Le montant de cette commande, qui comprend également des services de logistique et de maintenance, n’a pas été précisé.

Construit en aluminium [une spécificité d’Ocea, ndlr], le patrouilleur FPB 110 est mis en ְœuvre par un équipage de dix-sept marins. Pouvant naviguer à une vitesse maximale de 35 nœuds, il est équipé de radars associés à des systèmes optroniques ainsi que d’une embarcation semi-rigide pour effectuer les contrôles en mer. Son autonomie est de 700 nautiques [à la vitesse moyenne de 12 nœuds].

D’après le communiqué publié par Manille en novembre, vingt de ces patrouilleurs seront construits aux Philippines, où Ocea a déjà investi 25 millions d’euros dans un chantier naval.

Selon le commandant de la Garde côtière des Philippines, l’amiral Ronnie Gavan, l’objectif est de disposer d’au moins deux patrouilleurs « suffisamment rapides » dans chaque district maritime afin de « lutter contre la contrebande, le trafic de drogue, la piraterie, la pêche illégale et d’autres formes de criminalité maritime ».

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Baltique : La Pologne dit avoir intercepté un Su-24 russe "menaçant" dans l'espace aérien international

Baltique : La Pologne dit avoir intercepté un Su-24 russe "menaçant" dans l'espace aérien international | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Après de nouvelles sanctions prises par l’Union européenne [UE] à l’égard de la « flotte fantôme » de pétroliers qu’elle utilise pour contourner les restrictions imposées à ses exportations d’hydrocarbures, la Russie a assuré qu’elle ne resterait pas les bras croisés. C’est en effet ce qu’a affirmé Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin, le 21 mai.

« Un éventail assez large de moyens est disponible, bien entendu, dans le cadre du droit international », a-t-il dit. « Comme l’ont montré les récents événements liés à une tentative d’attaque pirate contre l’un des pétroliers, la Russie a démontré sa capacité à réagir avec une grande fermeté », a-t-il ajouté.

Sauf que l’incident auquel a fait référence M. Peskov a donné lieu à une violation de l’espace aérien de l’Estonie par un avion de combat russe Su-35 Flanker E, ce dernier étant intervenu alors que la marine estonienne cherchait à contrôler le pétrolier M/T Jaguar. Du moins est-ce la version des faits avancée par Tallinn.

Cela étant, les pétroliers de cette « flotte fantôme » ne font pas que transporter des hydrocarbures russes. Certains d’entre eux ont été accusés de se livrer à des actions relevant de la guerre hybride, par exemple en laissant traîner leur ancre sur plusieurs dizaines de nautiques afin d’endommager des infrastructures sous-marines critiques. Mais encore faut-il pouvoir prouver l’intentionnalité de tels actes… ce qui est loin d’être simple.

« Dans la Baltique, innocemment, certains bateaux laissent traîner leurs ancres pendant plus de 100 km… Pour avoir commandé un bateau, je peux vous dire que c’est quand même étonnant de naviguer avec une ancre qui râcle le fond », a ironisé l’amiral Nicolas Vaujour, le chef d’état-major de la Marine nationale [CEMM], lors d’une audition parlementaire, le 21 mai.

Quoi qu’il en soit, le lendemain, le Premier ministre polonais, Donald Tusk, a indiqué que le navire hydrographique ORP Heweliusz était en train de vérifier si des explosifs n’avaient pas été déposés près d’un câble électrique reliant la Pologne à la Suède par l’un des pétroliers de cette « flotte fantôme », le comportement de ce dernier ayant paru « suspect ». Un tel mode opératoire, s’il était avéré, serait inédit…

C’est dans ce contexte que deux avions de combat polonais, dont le type n’a pas été précisé [F-16 ou MiG-29, ndlr] ont, à la demande du « commandement opérationnel » de l’Otan, intercepté et « dissuadé » un bombardier tactique Su-24 Fencer des forces aériennes russes… dans l’espace aérien international de la Baltique. Ce qui, là encore, n’est pas commun.

Selon le ministre polonais de la Défense, Władysław Kosiniak-Kamysz, ce Su-24 Fencer a été intercepté parce qu’il « effectuait des manœuvres dangereuses et délibérées, posant une menace ». En quoi l’avion russe était-il dangereux ? Il ne l’a pas précisé.

On peut cependant se risquer à avancer trois hypothèses. La première est que le Su-24 a cherché à intimider un navire engagé dans l’une des opérations menées par l’Otan dans la région de la Baltique. Ce qui ne serait pas un première… La seconde est qu’il volait sans transpondeur, ce qui n’aurait rien d’inédit. Quant à la dernière, il est possible que l’avion russe en question ait été un Su-24MR, c’est-à-dire un avion spécialisé dans le recueil du renseignement, et qu’il se soit montré un peu trop curieux.

Le ministre polonais a lié cet incident aux manœuvres suspectes d’un des navires de la « flotte fantôme » près du câble électrique entre la Suède et la Pologne. Au passage, il a précisé que les données récupérées par l’ORP Heweliusz allaient être analysées par des experts de l’opérateur national du réseau électrique PSE.

« Ces deux événements montrent à quel point la mer Baltique est vitale pour maintenir ouvertes les lignes de communication, de commerce et de transport, ainsi que pour protéger les infrastructures critiques », a commenté M. Kosiniak-Kamysz, avant de préciser que la Pologne demanderait à l’Otan de prolonger et d’étendre l’opération Baltic Sentry, lancée en janvier pour prévenir tout acte de sabotage dans la région.
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Les Pays-Bas renoncent à doter leurs futurs sous-marins de conception française avec des missiles de croisière Tomahawk

Les Pays-Bas renoncent à doter leurs futurs sous-marins de conception française avec des missiles de croisière Tomahawk | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Annoncée en mars 2024 dans le cadre du programme Orka, la décision du ministère néerlandais de la Défense d’acquérir quatre sous-marins Black Sword Barracuda auprès du français Naval Group ne manqua pas de susciter quelques critiques… Et l’une d’elles, avancée par le quotidien De Telegraaf, portait sur les réticences supposées des États-Unis à fournir à la Marine royale des Pays-Bas [Koninklijke Marine] des missiles de croisière TLAM [Tomahawk Land Attack Missile].

Alors secrétaire d’État à la Défense, Christophe van der Maat avait démenti cette affirmation auprès du site spécialisé Breaking Defense. « Les États-Unis n’ont pas commenté à l’avance la faisabilité de l’intégration du TLAM sur [les futurs sous-marins de] la classe Orka, ni imposé de restrictions aux chantiers candidats à cet égard », avait-il assuré.

Depuis, la Defense Security Cooperation Agency [DSCA], chargée des exportations d’équipements militaires américains, a autorisé la vente aux Pays-Bas de 175 Tomahawk [163 au standard Block V et 12 au standard Block IV] pour un montant estimé à 1,9 milliard d’euros.

Seulement, ces missiles sont destinés aux frégates de la Koninklijke Marine et non à ses futurs sous-marins, ceux-ci devant être dotés de la variante TTL de l’UGM-109E Tomahawk que, actuellement, seules l’US Navy et la Royal Navy utilisent. Or, le problème est qu’elle n’est plus produite par RTX [ex-Raytheon].

D’où la décision du ministère néerlandais de la Défense d’y renoncer, les coûts étant trop importants pour relancer la production. C’est en effet ce qu’il a expliqué dans un rapport intitulé « Aperçu des projets de défense 2025 » [Defensie Projectenoverzicht 2025] et repéré par Naval News.

« La chaîne de production de la version du Tomahawk spécifique aux sous-marins, doit être redémarrée, ce qui suppose de longs délais et des risques financiers majeurs. Les sous-marins, qu’ils soient existants [classe Walrus, deux sont encore en service, ndlr] ou nouveaux [Orka], n’en seront donc pas équipés », a-t-il en effet expliqué.

Selon l’agence de presse néerlandaise ANP, un porte-parole du ministère a parlé d’une « affaire très technique » qui n’a rien à voir avec les « affirmations selon lesquelles le gouvernement américain ne voudrait pas installer ces missiles à bord de sous-marins de conception française ».

Dans ces conditions, si elle veut doter ses futures sous-marins d’une telle capacité pour « éliminer des cibles stratégiques situées au plus profond des terres depuis la mer » et « dissuader les adversaires potentiels », la Koninklijke Marine n’a guère d’autre choix que de se tourner vers MBDA pour se procurer des Missiles de croisière navals [MdCN], lesquels arment les sous-marins nucléaires d’attaque [SNA] de type Suffren de la Marine nationale et dont les Orka seront dérivés.

Affichant un déplacement de 3 300 tonnes en plongée pour une longueur de 82 mètres et un maître-bau de 8,2 mètres, les sous-marins de la classe Orka seront dotés d’une propulsion diesel-électrique associée à des batteries lithium-ion, pour un rayon d’action de 15 000 nautiques. Équipsé du système d’armes tactiques SAT 3.0, ils seront dotés d’une suite sonar de « haute performance » fournie par Thales.

Une première revue de conception devait être finalisée en février dernier, afin de « valider les exigences techniques du sous-marin », a récemment avancé Naval Group. « Tout au long du programme, nous procéderons à plusieurs revues, en passant d’une conception de haut niveau à une définition de plus en plus précise des systèmes du sous-marin », a ajouté l’industriel français.
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L'Arabie saoudite envisage l'achat de 200 drones MALE américains MQ-9B SkyGuardian

L'Arabie saoudite envisage l'achat de 200 drones MALE américains MQ-9B SkyGuardian | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Le 13 mai, à l’issue d’une visite officielle du président Donald Trump à Riyad, la Maison Blanche fit savoir que l’Arabie Saoudite s’était engagée à se procurer des équipements militaires américains pour un montant record de 142 milliards de dollars. Et de préciser que cinq domaines allaient être concernés, à savoir les capacités aériennes et spatiales, la défense antimissile, la sécurité maritime, le combat terrestre et les systèmes d’information et de communication.

Depuis, peu de détails sur les intentions de Riyad ont été donnés. On sait seulement, si l’on en croit des sources de l’agence Reuters, qu’une éventuelle commande de chasseurs-bombardiers F-35A auprès de Lockheed-Martin a été évoquée lors de la visite de M. Trump. Reste à voir si elle pourra se concrétiser sans remettre en question l’avantage militaire qualitatif [QME, Qualitative Military Edge] que les États-Unis ont pris l’engagement de garantir à Israël.

Cela étant, envisagée depuis quelques temps déjà, la commande de drones MALE [Moyenne Atitude Longue Endurance] MQ-9B SkyGuardian [ou SeaGuardian, pour sa déclinaison maritime] par l’Arabie saoudite se précise. Et visiblement, elle promet d’être très importante.

En effet, le 21 mai, C. Mark Brinkley, un porte-parole de General Atomics Aeronautical Systems, a confirmé dans les pages de Breaking Defense que la commande de drones MQ-9B faisait partie des 142 milliards de contrats annoncés par l’exécutif américain.

« Depuis un certain temps, nous sommes en discussion avec le gouvernement saoudien et la Maison Blanche au sujet d’une commande qui pourrait inclure jusqu’à 200 drones », a-t-il dit. Et de préciser que l’accord en cours de négociation concerne des MQ-9B SkyGuardian et SeaGuardian.

Une commande d’une telle ampleur « créerait environ 46 000 nouveaux emplois aux États-Unis et aurait un impact significatif sur l’économie américaine », a poursuivi M. Brinkley. « Reste à savoir si elle sera conclue par le biais d’une vente militaire à l’étranger [FMS] ou d’une vente commerciale directe », a-t-il ajouté.

Dans le premier cas, un contrat potentiel devra d’abord faire l’objet d’un avis favorable de la Defense Security Cooperation Agency [DSCA], chargée des exportations d’équipements militaires américains, avant d’obtenir un feu vert de la part du Congrès. L’issue d’une telle procédure est incertain.

Si le Qatar a ainsi pu signer la commande de huit MQ-9B SeaGuardian après avoir reçu toutes les autorisations nécessaires, il en est allé autrement pour les Émirats arabes unis qui, n’ont pas pu se procurer les dix-huit exemplaires qu’ils souhaitaient commander en 2020. A priori, la visite de M. Trump à Abou Dhabi n’a pas permis de relancer cette affaire.

Pour la moment, `à l’exportation, la plus importante commande de drones MQ-9B reçue par General Atomics est celle passée par l’Inde [31 exemplaires], pour un montant estimé à 4 milliards de dollars.

Ayant la capacité de voler pendant plus de 30 heures à 40 000 pieds d’altitude, le MQ-9B est équipé d’un radar à ouverture synthétique [ou d’un radar de surveillance maritime], d’une boule optronique Wescam MX-20, d’une nacelle Sage 750 pour identifier et suivre les émissions radars et de la suite de renseignement électromagnétique [COMINT, Communication Intelligence] L3 Rio Grande. Il peut en outre utiliser des missiles air-sol AGM-114R2 Hellfire II et des bombes Mk82.

Le nombre de MQ-9B qu’envisage de commander l’Arabie saoudite peut interroger, d’autant plus que, par le passé, elle a déjà fait l’acquisition de drones turcs [Akinci et TB-2] et chinois [Wing Loong 1 et CH-4]. À vrai, elle n’avait pas trop le choix : malgré la levée des restrictions sur les exportations d’appareils américain, décidée durant le premier mandat de M. Trump [2017-21], elle s’est heurtée à la défiance de l’administration du président Biden ainsi qu’à celle du Congrès, en raison notamment de son intervention militaire au Yémen.

« Ce nombre dépasse de loin les besoins des seules missions tactiques et pointe plutôt vers des ambitions stratégiques. Il s’agirait de couvrir le vaste territoire du royaume, de dissuader les menaces régionales et de développer un réseau de renseignement [ISR] à plusieurs niveaux qui intègrerait des systèmes de drones au sein de ses branches de ses forces armées », a estimé Kristian Alexander, de l’Institut de sécurité et de défense Rabdan, basé aux Émirats arabes unis.
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L’armée française en quête d’une artillerie longue portée - Lignes de défense

L’armée française en quête d’une artillerie longue portée - Lignes de défense | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Le conflit entre la Russie et l’Ukraine a montré le rôle primordial de l’artillerie pour frapper loin de la ligne de front en l’absence de maîtrise ciel. L’armée française fait le constat qu’elle doit…
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REPORTAGE. "On s'adapte très vite, on n'a pas beaucoup de temps" : les Ukrainiens tentent de rattraper l'avance prise par les Russes sur les drones filaires

REPORTAGE. "On s'adapte très vite, on n'a pas beaucoup de temps" : les Ukrainiens tentent de rattraper l'avance prise par les Russes sur les drones filaires | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Cette nouvelle technologie, un drone attaché avec de la fibre optique, permet de ne pas se faire repérer. Un élément tactique majeur pour les Ukrainiens.
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Donald Trump annonce la construction d’un « Dôme d’or » pour protéger les États-Unis des attaques de missiles

Donald Trump annonce la construction d’un « Dôme d’or » pour protéger les États-Unis des attaques de missiles | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Le président américain avait déjà évoqué lors de sa campagne ce projet de bouclier antimissiles inspiré par le « Dôme de fer » mis en place par Israël.
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Ukraine and Sweden discuss Soviet-era aircraft modernisation and potential transfer of Saab platforms

Ukraine and Sweden discuss Soviet-era aircraft modernisation and potential transfer of Saab platforms | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Oleksandr Kozenko met with representatives of Swedish aerospace firm Saab to explore avenues for strengthening the capabilities of the Ukrainian Air Force.
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Airbus U.S. showcases UH-72B Lakota capabilities in Marine Corps aerial logistics connector demonstration

Airbus U.S. showcases UH-72B Lakota capabilities in Marine Corps aerial logistics connector demonstration | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Airbus U.S. Space and Defense has completed its second programme demonstration in support of the U.S. Marine Corps Aerial Logistics Connector contract.
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RAF highlights global reach with F-35B deployments in Operation HIGHMAST

RAF highlights global reach with F-35B deployments in Operation HIGHMAST | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The Royal Air Force played a key role in the recent week-long exercise Med Strike, a core element of Operation HIGHMAST, an eight-month deployment focused on the Indo-Pacific region.
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Patria and Japan Steel Works begin preparations for local production of AMV XP 8×8 vehicles

Patria and Japan Steel Works begin preparations for local production of AMV XP 8×8 vehicles | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Finnish defence company Patria Oy announced that its Japanese partner, Japan Steel Works (JSW), is preparing to launch licensed production of Patria AMV XP 8×8 armoured vehicles in Japan.
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Danish ATMOS howitzers successfully tested with precision ammunition at Yuma Proving Ground

Danish ATMOS howitzers successfully tested with precision ammunition at Yuma Proving Ground | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Danish artillery has taken a significant step towards enhanced precision and extended range following recent live-fire testing in the United States.
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Le porte-avions de nouvelle génération pourrait aussi mettre en œuvre des drones MALE

Le porte-avions de nouvelle génération pourrait aussi mettre en œuvre des drones MALE | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Pour le chef d’état-major de la Marine nationale [CEMM], l’amiral Nicolas Vaujour, les porte-drones, comme ceux que les forces navales turques et sud-coréennes envisagent d’exploiter, n’ont « rien à voir » avec la « capacité de projection de puissance » des « plateformes de supériorité aéromaritimes » que sont les porte-avions dotés de catapultes pour lancer leurs aéronefs.

« Face aux bulles de déni et d’interdiction d’accès [A2/AD], il faut que vous ayez une plateforme de supériorité aéromaritime qui va vous permettre de déployer de la puissance et d’ouvrir une brèche. Avec l’extension de la menace, vous êtes obligés de partir d’un peu plus loin en mer. Et le seul outil qui vous permet de le faire, c’est le porte-avions à catapultes », a expliqué le CEMM, lors d’une audition à l’Assemblée nationale, le 21 mai.

Pour autant, cela ne veut évidemment pas dire qu’un porte-avions comme le Charles de Gaulle [ou comme son successeur, le PA NG, pour porte-avions de nouvelle génération] ne peut pas mettre en œuvre des drones.

D’ailleurs, ce sera le cas avec le Rafale Marine porté au standard F-5, lequel sera accompagné par un drone de combat [UCAV] développé à partir du démonstrateur nEUROn, conçu dans le cadre d’une coopération européenne dirigée par Dassault Aviation.

Cela étant, d’autres types de drones pourraient faire partie à l’avenir du groupe aérien embarqué [GAé]. C’est en effet ce que suggère une diapositive diffusée par un officier de la Marine nationale à l’occasion du « Combined Naval Event« , qui s’est tenu à Farnborough [Royaume-Uni] entre les 20 et 22 mai.

Captée par le site spécialisé britannique « Navy Lookout », qui l’a ensuite partagée sur les réseaux sociaux, cette diapositive illustre l’évolution de la composition du GAé à partir de 2038, année où, théoriquement, le PA NG, quasiment deux fois plus imposant que le « Charles de Gaulle », sera admis au service actif.

Une première surprise est que, si la présence du Rafale M F5 est bien évoquée, celle de l’UCAV censé l’accompagner ne l’est pas. En revanche, et c’est une seconde surprise, il est a priori question d’affecter un Système de drone aérien de la Marine [SDAM] au PA NG… alors que celui-ci, basé sur le VSR 700, est actuellement en cours de développement pour renforcer les capacités dites ISR [renseignement, surveillance, reconnaissance] des frégates de premier rang. Voire aussi leurs moyens de lutte anti-sous-marine, en lien avec l’hélicoptère NH-90 Caïman NFH.

Ce n’est qu’en 2040 que l’UCAV associé au Rafale M F5 devrait être déployé à bord du PA NG. Mais la diapositive comporte une troisième surprise, avec la présence d’un drone MALE [Moyenne Altitude Longue Endurance]. La silhouette de l’appareil qui y est représentée fait penser à celle d’un MQ-9B SeaGuardian, de l’américain General Atomics.

Grâce à un kit STOL [Short Take-off and Landing aircraft / Avion à décollage et atterrissage court], le MQ-9B SeaGuardian peut effectivement être mis en œuvre depuis un porte-aéronefs. Cette solution fait partie de celles envisagées par la Royal Navy pour doter ses deux porte-avions d’une capacité de guet aérien, en remplacement des hélicoptères Merlin qui, équipés du radar Crowsnest, assurent actuellement cette fonction.

Avec les trois avions radar E-2D Advanced Hawkeye qu’elle doit recevoir, la Marine nationale n’a pas besoin d’un drone MALE pour des missions de guet aérien. Sans doute qu’elle envisage d’utiliser ce type d’aéronef pour la guerre électronique, la surveillance et la lutte anti-sous-marine. Cependant, rien ne dit que de tels appareils – vulnérables – seront encore pertinents dans quinze ans…

Enfin, en 2045, le NGF [New Generation Fighter], issu du projet SCAF [Système de combat aérien du futur], embarquera à bord du PA NG, aux côtés des Rafale M F5. Comme prévu, il sera associé à des effecteurs connectés [remote carrier]… et à un nouvel UCAV, dont l’allure ressemble à celle du « Wingman », le « drone ailier » imaginé par Airbus Defence & Space pour accompagner l’Eurofighter EF-2000/Typhoon T4 [tranche 4].

Télépiloté, le Wingman « est destiné à augmenter les capacités des avions de combat actuels avec des plateformes sans équipage pouvant emporter des armes et d’autres effecteurs », avait expliqué l’industriel, lors de la présentation de son nouveau concept, en juin 2024.

Cela étant, et cela vaut aussi pour le drone MALE, les silhouettes figurant sur cette diapositive visent sans doute à illustrer les capacités que souhaite la Marine nationale… et non des types d’aéronefs en particulier.

Reste qu’un drone pouvant ravitailler d’autres aéronefs en vol, comme le futur MQ-25 Stingray de l’US Navy, ne fait a priori pas partie des options envisagées pour le groupe aérien du PA NG. Un tel appareil, capable de livrer jusqu’à 7 000 litres de carburant à plusieurs centaines de nautiques du porte-avions, permettrait de frapper de plus loin [et « plus fort »] tout en libérant les Rafale de leurs missions dites « nounou » [configuration pour le ravitaillement en vol, ndlr]. Face à des capacités A2/AD toujours plus perfectionnées, une telle fonction n’est pas à négliger.
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Lors d'un exercice aéroporté en Suède, des parachutistes britanniques ont dû présenter leur... passeport

Lors d'un exercice aéroporté en Suède, des parachutistes britanniques ont dû présenter leur... passeport | DEFENSE NEWS | Scoop.it
En juin 2024, 274 parachutistes de la British Army, largués au-dessus de la commune de Sannerville [Calvados] à l’occasion du quatre-vingtième anniversaire du Débarquement, avaient dû présenter leur passeport une fois arrivés à terre, un bureau des douanes ayant même été spécialement installé près de leur point de chute.

« C’est une expérience inédite. Mais compte tenu de l’accueil royal que nous avons reçu de toutes les autres organisations, cela semble être un prix bien modeste à payer pour venir en France », avait réagi le général Mark Berry, le commandant de la 16 Air Assault Brigade, dans les pages du quotidien The Sun.

Si elle fut prise avec le sourire, cette formalité était l’un des effets du « Brexit », c’est-à-dire du retrait du Royaume-Uni de l’Union européenne [UE].

« C’est un bureau de douane déporté spécialement pour l’évènement alors qu’habituellement nous contrôlons sur nos postes frontaliers, à Ouistreham. Ils arrivent d’Angleterre, donc hors de l’espace Shengen. [Nous avons] un rôle de garde-frontière et pour ces raisons-là, nous faisons ces contrôles migratoires en validant leurs passeports », avait alors expliqué la Direction des douanes à la presse locale.

Cependant, si ces contrôles firent couler un peu d’encre à l’époque, que dire de ceux auxquels les soldat du « Parachute Regiment » de la British Army viennent d’être soumis après avoir été largués par un A400M « Atlas » au-dessus de la stratégique île suédoise de Gotland, dans le cadre de l’exercice Swift Response 2025 organisé par l’Otan ?

En effet, une fois à terre, avant d’entamer leur progression, les cent parachutistes britanniques ont été immédiatement dirigés vers un fourgon où ils ont dû faire viser leur passeport par les autorités suédoises.

« Je suis désormais habitué aux contrôles aux frontières. Je l’ai déjà fait en France l’année dernière », a confié le lieutenant-colonel Chris Hitchins, au quotidien Espressen. « Vous faites ce que l’on vous demande, vous remettez votre casque et vous revenez au scénario tactique », a-t-il ajouté.

Le scénario de l’exercice prévoyait la prise d’une « zone d’atterrissage tactique » défendue par des soldats suédois… On imagine que l’effet de surprise n’était pas au programme… et que d’éventuels « envahisseurs » de l’île de Gotland n’auront pas à présenter leur passeport avant d’attaquer « pour de vrai ».

Plus de huit ans après que l’Otan avait mis en garde contre les freins à la mobilité militaire en Europe, rien n’a changé. Ou si peu. Déjà, en 2017, un officier de l’US Army avait raconté qu’un escadron du 2nd Cavalry Regiment, parti de Roumanie, était resté bloqué à la frontière bulgare. « Nous nous sommes assis dans nos Strykers pendant une heure et demie au soleil, attendant que les gars tamponnent manuellement les papiers », avait-il dit.
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L'Ukraine se tourne vers Saab pour moderniser ses anciens avions de combat de conception soviétique

L'Ukraine se tourne vers Saab pour moderniser ses anciens avions de combat de conception soviétique | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Pouvant être facilement mis en ҄œuvre depuis une autoroute et donc étant relativement peu dépendant des infrastructures d’une base aérienne susceptible d’être visées par des frappes ennemies, le JAS-39 Gripen C/D du constructeur suédois Saab est l’avion de combat le plus approprié pour répondre aux besoins de la force aérienne ukrainienne.

Et cela d’autant plus que cet appareil, dont la maintenance n’exige qu’une formation technique minimale [elle peut être effectuée par des appelés sous l’autorité d’un technicien expérimenté, ndlr] est doté d’une suite électronique justement développée pour contrer les avions de combat et les défenses aériennes russes. En outre, il peut emporter le missile air-air à très longue portée Meteor ainsi que de l’armement antinavire.

Cochant pratiquement toutes les cases, le JAS-39 Gripen n’a cependant pas été considéré comme prioritaire pour renforcer la force aérienne ukrainienne, le F-16, de conception américaine, étant appelé à constituer l’épine dorsale de son aviation de combat, grâce aux dons des Pays-Bas, du Danemark, de la Belgique et de la Norvège.

Aussi, l’an passé, le gouvernement suédois suspendit son projet de céder une dizaine de JAS-39 Gripen à l’Ukraine, alors que des discussions à cette fin avaient été lancées au cours de l’été 2023.

« Les autres pays qui font partie de la coalition [F-16 pour l’Ukraine] nous ont exhortés à attendre avec le Gripen. […] Nos partenaires soulignent que l’introduction simultanée de deux systèmes de combat aérien est très complexe et qu’il convient désormais de se concentrer sur l’entrée en service du F-16 au sein de la force aérienne ukrainienne », avait en effet expliqué Pål Jonson, le ministre suédois de la Défense, en mai 2024.

Pour autant, cela n’empêcha nullement le président Macron d’annoncer, quelques jours plus tard, le don de Mirage 2000-5F à Kiev…

Quoi qu’il en soit, la cession de JAS-39 Gripen n’est que suspendue… Et la Suède a déjà livré à l’Ukraine suffisamment de pièces détachés pour assurer, ultérieurement, le soutien d’au moins quatorze appareils. Mais la coopération entre Stockholm et Kiev en matière d’aviation de combat est appelée à prendre une autre ampleur.

En effet, le 23 mai, le vice-ministre ukrainien de la Défense pour le développement de l’aviation, Oleksandr Kozenko, a rencontré une délégation suédoise emmenée par Thomas Lindén, le directeur des affaires ukrainiennes chez Saab.

D’après un compte rendu publié par le ministère ukrainien de la Défense, les discussions ont notamment porté sur la « modernisation des avions [de combat] de conception soviétique avec l’intégration d’une avionique avancée » de fabrication suédoise.

Cette « collaboration potentielle », a-t-il ajouté, concernerait les « radars avancés, les équipements défensifs et les systèmes de contre-mesure de guerre électronique ».

Le nombre d’avions potentiellement concernés est difficile à déterminer, faute d’avoir une idée précise de l’attrition subie par la force aérienne ukrainienne. Celle-ci dispose encore de MiG-29 « Fulcrum », de Su-24 « Fencer », de Su-27 « Flanker » et de Su-25 « Frogfoot ». Certains d’entre eux ont déjà été modifiés pour leur permettre d’emporter des munitions occidentales, comme l’AASM « Hammer », le SCALP/Storm Shadow ou encore l’AGM-88 HARM.

Cette coopération « sera mutuellement bénéfique car l’Ukraine améliorera les capacités de ses avions tandis que la Suède tirera des enseignements de l’expérience acquise grâce à leur engagement au combat », a fait valoir M. Kozenko.

Par ailleurs, les questions relatives au transfert éventuel de JAS-39 Gripen et de leur soutien ont également été abordées lors de cette rencontre.

Les participants « ont examiné les accords actuels et ont décrit les mesures à prendre si une décision politique favorable était prise pour transférer de nouvelles plateformes aéronautiques fabriquées en Suède », a conclu le ministère ukrainien.

Pour rappel, si la cession de Gripen a été suspendue, ce n’est pas le cas de celle de deux avions d’alerte avancée Saab 340 AEW&C [ou ASC 890] qui, équipés d’un radar PS-890 AESA [à antenne active] associé au système Erieye, peuvent détecter et suivre des aéronefs, des missiles ou encore des navires dans un rayon de 400 km. Le premier exemplaire promis a été livré à la force aérienne ukrainienne en avril dernier.
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