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Today, 10:21 AM
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GM Defense, a subsidiary of General Motors (GM), has unveiled its latest prototype, the "Next Gen" tactical vehicle, at the International Defence Exhibition & Conference (IDEX) 2025. The unveiling marks GM Defense's continued expansion in the defense mobility sector, showcasing its advancements in military-grade vehicle technology. The company expressed its enthusiasm about participating in IDEX
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Today, 10:21 AM
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Estonian defense firm Milrem Robotics has showcased its latest innovation at IDEX 2025: the HAVOC, a large 8x8 Robotic Combat Vehicle (RCV). The unveiling marks a step forward in autonomous military systems, leveraging hybrid-electric technology for improved operational efficiency. The HAVOC is built around a hybrid-electric powertrain, a feature that enables silent operation over medium
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Today, 8:31 AM
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A Ukrainian reconnaissance brigade has released footage purportedly showing the destruction of Russia’s S-350 "Vityaz" air defense system in the Donetsk region. The attack, reportedly carried out by the "Chornyi Lis" artillery reconnaissance brigade, targeted what is believed to be one of Russia’s most modern air defense assets. “Thanks to the skilled actions of the
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Today, 2:11 AM
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Lockheed Martin and the U.S. Army successfully completed another Precision Strike Missile (PrSM) production qualification flight at White Sands Missile Range in New Mexico.
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Today, 2:10 AM
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Embraer a officiellement commencé l'assemblage structurel du premier biréacteur C-390 Millennium destiné à l'Autriche. Ce premier C-390 est destiné à remplacer les vieillissants C-130 acquis d'occasion par l'Autriche. Les Hercules cumulent pas moins de 56 ans de service, dont 20 passés au sein de l'armée autrichienne. Leur maintenance est devenue trop importante et surtout trop onéreuse. Le premier C-390 autrichien est en cours d'assemblage Embraer a officiellement commencé l'assemblage structurel du premier biréacteur C-390 Millennium destiné à l'Autriche. Cette étape majeure s'est déroulée lors d'une cérémonie officielle organisée sur le site de production de Gavião Peixoto, en présence d'une délégation de représentants du gouvernement autrichien. Ce premier C-390 est destiné à remplacer les vieillissants C-130 acquis d'occasion par l'Autriche. Les Hercules cumulent pas moins de 56 ans de service, dont 20 passés au sein de l'armée autrichienne. Leur maintenance est devenue trop importante et surtout trop onéreuse. L'Autriche va ainsi acquérir 4 exemplaires du C-390, dont le 1er pouvant être livré en 2026 ou 2027. C et KC-390 Avec une charge utile maximale de 26 tonnes, une vitesse maximale de 470 nœuds (soit environ 870 km/h), l'appareil doté d'une grande soute équipée d'une rampe arrière et son train d'atterrissage robuste lui permettent de se poser et de décoller des pistes non revêtues. Le C-390 Millennium peut remplir un large éventail de missions militaires et civiles telles que le transport de fret, de personnel et de véhicules, les opérations de maintien de la paix, les opérations spéciales, le soutien humanitaire, l'évacuation médicale, la recherche et le sauvetage, la lutte contre les incendies, le ravitaillement en vol et la gestion des catastrophes. L'avion configuré avec un équipement de ravitaillement en vol, portant la désignation KC-390, peut opérer à la fois comme ravitailleur et comme récepteur, dans ce cas également en recevant du carburant d'un autre KC-390 à l'aide de nacelles installées sous les ailes. Les pays d'Europe pour clients majoritaires Depuis son entrée en service auprès de l'armée de l'air brésilienne en 2019, de l'armée de l'air portugaise en 2023 et, plus récemment, de l'armée de l'air hongroise en 2024, le C-390 a accumulé plus de 16 300 heures de vol. Outre le Brésil, le Portugal et la Hongrie, les Pays-Bas ont annoncé leur choix pour le Millenium en 2022. En 2023, l'Autriche, la République tchèque et la République de Corée ont également choisi le C-390. En 2024, la Suède, la Slovaquie et un client non divulgué ont également opté pour le C-390.
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Today, 1:42 AM
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Microsoft has announced it intends to spend PLN 2.8 billion by June, 2026 to expand its hyperscale cloud and artificial intelligence (AI) infrastructure in Poland.
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Today, 1:41 AM
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Italy has deployed its SAMP/T long-range ground-based air defence system in Lithuania for a bilateral exercise with the Lithuanian Air Defence Battalion.
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Today, 1:40 AM
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L’an passé, l’armée de Terre s’est félicitée du succès du dispositif « Volontaire Découverte » [VDAT], lequel a permis de recruter 100 jeunes âgés de 18 à 26 ans pour une période de quatre mois, coïncidant avec l’organisation des Jeux olympiques et paralympiques de Paris. » Après une formation militaire initiale adaptée, complétée par un entraînement ciblé au sein d’une unité opérationnelle, une centaine de jeunes volontaires sera déployée en région parisienne et intégrée dans des missions à la fois variées et exaltantes. Celles-ci s’effectueront essentiellement dans l’environnement des JOP24 et pourront comprendre la participation à la sécurisation de sites militaires, à des cérémonies officielles [comme la participation au défilé du 14 juillet à Paris et à la remise des médailles olympiques], voire au dispositif Sentinelle », avait expliqué la Direction des ressources humaines de l’armée de Terre [DRHAT], en mars 2024. Ces VDAT ont ainsi reçu une instruction militaire au sein du 35e Régiment d’Infanterie [RI]. « L’expérience qu’ils ont vécue a été tout à fait exceptionnelle », avait souligné le général Pierre Schill, le chef d’état-major de l’armée de Terre [CEMAT], dans les pages de Var Matin, en novembre dernier. Et d’ajouter que le succès de ce nouveau dispositif tenait en partie à la diversité des recrues. « Aux côtés des profils habituels que l’on recrute, on avait aussi des profils ayant suivi des études plus longues. […] Cette population plus variée ressemblait beaucoup à ce qu’on connaissait du temps de la conscription », avait relevé le CEMAT. Le dispositif VDAT va-t-il se pérenniser ? Il est encore trop tôt pour le dire. En tout cas, l’armée de Terre va l’expérimenter à nouveau en 2025, avec des objectifs plus ambitieux. En effet, le 17 février, la DRHAT a indiqué qu’elle comptait recruter 300 volontaires devant être répartis dans « dix unités de la Force opérationnelle terrestre [FOT] », y compris en outre-mer. « Cette montée en puissance s’accompagne d’un renforcement du lien avec l’opération Sentinelle et les missions de souveraineté pour l’outre-mer », a précisé la DRHAT. Dans le même temps, la formation des VDAT va être « renforcée » car les missions qui leur seront confiées vont être différentes. Selon la DRHAT, « les recrues suivront une Formation Générale Initiale – Réserve [FGI-R] » pendant trois semaines avant d’enchaîner avec des « modules adaptés aux missions futures ». Les VDAT pourront être affectés aux opérations de protection du territoire [mission intérieure Sentinelle] ou rejoindre une unité tenant le rôle de force adverse [FORAD] dans les centres d’entraînement au combat de l’armée de Terre. « Plus qu’un tremplin, le dispositif VDAT/D est un véritable passeport vers la réserve opérationnelle ou l’active dans un régiment de l’armée de Terre pour les jeunes volontaires décidant de continuer au sein de l’institution militaire », a fait valoir la DRHAT, qui prévoit dix incorporations entre mars et octobre 2025. Pour rappel, logés, nourris et blanchis, les VDAT perçoivent une solde de 790 à 1 000 euros nets par mois durant leur période d’engagement.
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Today, 1:39 AM
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Pour Airbus, il est crucial d’obtenir de nouveaux contrats pour l’avion de transport A400M « Atlas » afin de pouvoir assurer le plan de charge de ses lignes de production, celles-ci étant susceptibles de s’arrêter en 2028. D’autant plus qu’au moins deux pays clients à l’origine de ce programme, à savoir la France et l’Espagne, envisagent de réduire le nombre d’appareils initialement commandés. « La cible, pour l’A400M, c’est un achat de trente-cinq avions [contre cinquante initialement]. Mais il doit se vendre à l’export. […] L’avion a fait la preuve de son efficacité tactique et opérationnelle. On a toujours besoin d’aviation de transport. Je m’emploie à lui trouver des clients parce que ma mission est aussi d’être le directeur export de la Base industrielle et technologique de défense. L’export est une des réponses à la question de l’équilibre de la chaîne de production », avait ainsi expliqué Sébastien Lecornu, le ministre des Armées, lors d’une audition parlementaire, en octobre dernier. Pour le moment, pour moderniser leur aviation militaire de transport, plusieurs pays européens, comme les Pays-Bas, la République tchèque ou bien encore l’Autriche, ont préféré le C-390 « Millenium » du constructeur brésilien Embraer à l’A400M et au C-130J Hercules de Lockheed-Martin. La Pologne serait pressentie pour les rejoindre… À moins qu’elle ne choisisse finalement l’avion produit par Airbus, comme l’a récemment affirmé Boris Pistorius, le ministre allemand de la Défense. Cela étant, la politique – restrictive – de Berlin en matière d’exportation d’équipements militaires peut expliquer en partie les difficultés de l’A400M à trouver preneur à l’étranger. En tout cas, c’est ce qu’avait déploré – et dénoncé – Michael Schoellhorn, le PDG d’Airbus Defence & Space, en février 2023. « Plusieurs pays sont intéressés par l’A400M. Malheureusement, nous avons des difficultés à obtenir les licences d’exportation allemandes à temps », avait-il dit. Et cela alors que l’Arabie Saoudite et les Émirats arabes unis étaient régulièrement cités parmi les clients potentiels. Depuis, l’Allemagne a assoupli sa politique. Ce qui a remis en selle un possible contrat aux Émirats arabes unis, lesquels envisageraient d’acquérir entre huit et dix A400M afin de remplacer les C-130H Hercules des forces aériennes émiriennes. C’est en effet ce qu’a confié Gerd Weber, le responsable du programme A400M au sein d’Airbus, au quotidien The National, en marge du salon de l’armement IDEX 25, qui se déroule actuellement à Abou Dhabi. Aussi, Airbus s’attache à faire le nécessaire pour convaincre le gouvernement émirien, notamment en impliquant l’industrie locale – en particulier Strata Manufacturing et Ammroc – dans la production et le maintien en condition opérationnelle [MCO] de l’A400M. « Nous sommes en pourparlers intensifs avec nos partenaires émiriens en vue de localiser une partie de la production aux Émirats arabes unis. Nous avons même l’intention de faire en sorte qu’une partie du système de production primaire y soit réalisée. Nous sommes prêts à le faire », a déclaré M. Weber. Mais sous réserve qu’il y ait une commande d’A400M à la clé. « Pour être très clair, nous sommes prêts à y aller […] quand le contrat [de l’A400M] sera signé », a-t-il dit. Quant à l’Arabie saoudite, les négociations concernant l’achat de quinze à vingt A400M sont en cours, a indiqué M. Weber. Mais celles menés avec Abou Dhabi sont à un stade plus avancé. « Le processus est très avancé aux Émirats arabes unis. Il prendra probablement plus de temps en Arabie saoudite », a confié le responsable d’Airbus. Et d’estimer qu’un contrat pourrait être signé avec le ministère émirien de la Défense d’ici la fin de cette année.
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Today, 1:37 AM
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A Chinese navy Harbin Z-9 helicopter has conducted a dangerous intercept of a Philippine government Cessna 208B Caravan.
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Today, 1:37 AM
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The UK MoD launched a tender notice for Project Wayfind, a programme aimed at countering the disruption of GPS or equivalent signals in UAV.
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Today, 1:35 AM
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Depuis trois ans on n’en parlait guère plus mais Bagdad n’a pas renoncé à acquérir l’avion français. L’Irak compte en effet toujours acheter un lot de quatorze Dassault Aviation Rafale F4 afin de renforcer l’occidentalisation de sa force aérienne, aujourd’hui axée sur le Lockheed-Martin F-16IQ Iraqi Falcon. C’est notamment le retour des antagonismes avec son puissant voisin qu’est l’Iran qui relance l’intérêt pour l’avion clodoaldien. Rappelons que déjà du temps de l’Irak baasiste en 1988-1990 le Rafale avait été approché. Et pourtant à l’époque ce chasseur n’existait que sous la forme du démonstrateur technologique Rafale A que le dictateur Saddam Hussein avait pu observer de près lors d’une visite d’état en France. Sa décision en août 1990 d’envahir et d’annexer le petit émirat pétrolifère du Koweït avait réduit à néant tout espoir irakien de devenir un jour le client de lancement du chasseur biréacteur français. Aujourd’hui que le baasisme est derrière l’Irak le temps est venu de reprendre les négociations. En fait elles ont débuté en 2022. La situation diplomatique a depuis évolué et l’Iran a pris une place prépondérante au Moyen-Orient. Au point de réactiver les antagonismes Iran / Irak. Mais surtout le Rafale est désormais partout dans la région. Les Qataris l’emploient désormais de manière opérationnelle tandis que les Émiratis viennent de découvrir leur premier exemplaire. L’Arabie Saoudite fait souffler le chaud et le froid à son sujet. Et l’Irak dans tout ça ? Son espace aérien est perpétuellement utilisé, en toutes légalités, par des exemplaires de l’Armée de l’Air et de l’Espace qui assurent à la fois des missions de frappes contre Daech et qui assistent l’Al Quwwat al Jawwiyah al Iraqiyyah dans ses missions du quotidien. Les patrouilles communes F-16IQ / Rafale sont monnaie courante. Les pilotes irakiens connaissent donc très bien l’avion français. Et ça, ça vaut tous les éléments de langage et arguments commerciaux. Surtout Bagdad et Paris ont retrouvé des liens diplomatiques forts et les entreprises françaises sont de nouveau très présentes dans le pays. Outre le Rafale F4 on parle de nouveaux hélicoptères pour Airbus Helicopters, en plus des H225M commandés l’été dernier, et même de véhicules blindés Serval et de canons Caesar. Les négociations entre l’état-major de l’Al Quwwat al Jawwiyah al Iraqiyyah et Dassault Aviation ne semblent en fait jamais avoir été rompu. Simplement elles sont dorénavant fortement relancés. Bagdad veut refaire de la France un de ses principaux fournisseurs, surtout depuis l’arrivée au pouvoir d’un Donald Trump pour qui les Irakiens ne sont qu’un peuple de plus pour qui il a du mépris. Affaire à suivre.
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Today, 1:34 AM
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Si les relations diplomatiques entre l’Élysée et la Maison-Blanche se sont quelques peu tendues depuis quelques jours maintenant cela ne se ressent nullement entre les militaires américains et français. Ainsi hier, jeudi 13 février 2025, des chasseurs embarqués Boeing F/A-18E Super Hornet et un convertiplane de transport Bell-Boeing CMV-22B Osprey ont été envoyés à bord du Charles de Gaulle. Le porte-avions de la Marine Nationale navigue actuellement en zone Asie Pacifique, le pré carré de l’US Navy. Rappelons que le pont d’envol du bâtiment français est beaucoup plus court que ceux existant sur les porte-avions américains. Les pilotes de l’escadrille VFA-113 Stingers, puisque c’est eux qui avaient l’honneur de représenter la chasse embarquée américaine à bord du Charles de Gaulle, ont donc pu tester l’appontage et surtout ensuite le catapultage depuis un navire bien plus petit que leur USS Carl Vinson. Aucune difficulté n’a été révélée malgré la différence de taille entre les deux bâtiments : 261.50 mètres de long pour le Charles de Gaulle et 332.80 mètres pour l’USS Carl Vinson. Le navire français est quasiment à deux tiers de la longueur de son homologue américain. Ce genre de considération n’a par contre nullement influencé l’équipage de l’escadrille VRM-40 Mighty Bison. En effet le pont d’envol français suffisait largement pour poser, en mode vertical, le convertiplane. Outre la possibilité pour les marins français d’approcher le légendaire Super Hornet et de voir opérer le toujours très impressionnant Osprey, dans sa version la plus récente, ce déploiement américain a permis de valider les procédures communes entre les deux forces navales. Marine Nationale et US Navy possèdent une longue tradition de travail en commun. L’avitaillement en carburéacteur a ainsi été réalisé à bord du Charles de Gaulle par des marins français. De la même manière les militaires américains ont pu approcher de très près le chasseur Dassault Aviation Rafale M et l’hélicoptère NHIndustries NH-90NFH Caïman. Très fructueux en matière d’échanges humains ce type de déploiement sur quelques heures permet également de resserrer les liens entre alliés. Si l’USS Carl Vinson est chez lui dans le Pacifique le Charles de Gaulle est de son côté le petit nouveau de la zone. Il faut dire qu’à la différence de San Diego l’arsenal de Toulon n’est nullement rattaché à cette région du monde. L’une des forces de cette mission Clemenceau 25 c’est aussi de montrer que la France demeure une puissance régionale en Asie Pacifique.
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Today, 10:21 AM
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Pakistan has unveiled its latest loitering munition, the BLAZE-25, at the International Defence Exhibition & Conference (IDEX) 2025 in Abu Dhabi. The BLAZE-25, designed and manufactured by a leading Pakistani defense firm, is a tube-launched smart loitering munition engineered for precision strikes in short-range scenarios. As the lightest and most compact member of its drone
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Today, 10:21 AM
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French defense manufacturer KNDS France has officially unveiled the CENTURIO-X30, its latest innovation in robotic ground combat technology, at IDEX 2025. The advanced unmanned combat vehicle, showcased for the first time in this configuration, is designed to provide heavy fire support to dismounted units while maintaining remote operation capabilities. The CENTURIO-X30 is armed with a
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Today, 8:31 AM
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Images have surfaced on social media allegedly showing the first confirmed loss of Russia’s newest TOS-2 thermobaric rocket launcher in Ukraine. The multiple launch rocket system, recently deployed to the front lines, now appears to have been reduced to wreckage. Photos of the burned-out remains of the launcher were published in media outlets, allowing open-source
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Today, 2:11 AM
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The U.S. Air Force Warfare Center recently wrapped up Bamboo Eagle 25-1, concluding a series of coordinated, multi-domain operations that involved more than 10,000 personnel from multiple Air Force major commands, the joint force and allied air forces.
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Today, 1:42 AM
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Selon les responsables de la Maison Blanche, le programme de conversion des Boeing B747-8i en VC-25B a été encore retardé et ne devrait être achevé qu'en 2029 ou plus tard. Le futur VC-25B @ USAF Un projet bien plus lent que prévu Le commandement de la mobilité aérienne de l'USAF a commencé à rechercher d'éventuels avions de remplacement pour le VC-25A vers 2007 et a publié une demande de propositions pour un avion de remplacement le 7 janvier 2009. Elle a identifié un besoin de trois nouveaux avions, dont le premier entrerait en service d’ici 2017, suivi de deux autres en 2019 et 2021. Airbus North America a annoncé le 28 janvier 2009 qu'elle ne répondrait pas à cette exigence, arguant que l'assemblage de seulement trois A380 aux États-Unis (une condition de l'exigence) n'aurait pas de sens financier. Ajoutons qu’à Washington le transport du président dans un avion européen n’était pas du goût de tous. Boeing est ainsi devenu le seul fournisseur de solutions basées sur les B747-8 et B787. Le 28 janvier 2015, l'Air Force a finalement annoncé qu'elle avait choisi le Boeing B747-8I comme remplaçant du VC-25A basé sur un B747-200. Le 10 mai 2016, l'US Air Force a publié en ligne un amendement à son contrat « Air Force One » autorisant Boeing à commencer les activités de conception préliminaires. Cette version du résumé du contrat confirmait que le gouvernement achèterait deux avions B747-8I modifiés (et non de nouvelle production). En janvier 2016, Boeing a été chargé d’identifier des moyens de réduire les coûts dans des domaines tels que les communications, le ravitaillement en vol et la maintenance. Le 15 juillet 2016, un autre contrat d’atténuation des risques en matière d’ingénierie avancée et de développement de fabrication (EMD) a été signé, couvrant les spécifications du système, le système de contrôle environnemental, l’intérieur de l’avion, le système d’alimentation et d’énergie, ainsi que les approches de maintien et de maintenance. En 2017, l'USAF a signé un accord d'achat pour deux avions B747-8i d'occasion auprès de Boeing. Ces appareils avaient été commandés à l'origine par Transaero, qui a déposé son bilan avant que les avions ne puissent être livrés. Au lieu de cela, ils ont été stockés à l'aéroport logistique du sud de la Californie de Victorville, dans le désert de Mojave. Le 27 février 2018, la Maison Blanche a annoncé un accord de 3,9 milliards de dollars avec Boeing pour modifier les deux B747-8 sous la désignation VC-25B pour remplacer le VC-25A. L'accent a été mis sur l'installation de nouveaux équipements de communication sécurisés pour les amener au niveau de sécurité requis pour l'avion présidentiel. Les conversions ont commencé en 2020 dans l'usine Boeing de San Antonio, la première date de livraison étant prévue pour 2024. Les détails exacts de la révision sont gardés secrets pour des raisons de sécurité nationale, mais on sait que les avions ont été placés dans un mécanisme de levage et de soutien sophistiqué conçu pour réduire les contraintes structurelles pendant le processus de conversion. La première phase de modification de l'avion consiste à découper de grandes zones de revêtement et de structure à l'avant et à l'arrière du soubassement de l'avion, puis à installer deux superpanneaux nouvellement fabriqués. Les superpanneaux comprennent des améliorations structurelles et des découpes pour les portes sous les ailes du VC-25B, y compris des escaliers passagers internes et un chargeur de bagages. Cela permet à l’avion d’opérer indépendamment de l’infrastructure aéroportuaire existante. Retards et imprévus Boeing visait auparavant la livraison du premier B747-8i d'ici la fin de 2024, mais a repoussé la date limite à au moins 2027 ou 2028, toujours dans les limites du mandat de Donald Trump. Le VC-25B avait été budgété pendant l'administration Obama, mais lorsque Trump a pris ses fonctions, il a fait pression sur Boeing pour qu'il réduise les coûts du programme, qui étaient ensuite budgétés à 4 milliards de dollars. Boeing a accepté un contrat à coût fixe et il est rapidement devenu clair que les nouveaux Air Force One coûteraient plus cher, ce qui ferait que l'avionneur continuerait à perdre de l'argent, une situation à mettre en parallèle avec les difficultés rencontrées par ce dernier. On ajoutera que la crise du COVID a joué également un rôle en ce qui concerne les fournisseurs et autres sous-traitants de l’avionneur ainsi qu’en ce qui concerne les limites du personnel de l’usine du Texas où les dispositifs de sécurité exigés par l’US Air Force ont été ajoutés aux avions. Elon Musk en pompier Le président Trump n’est évidemment pas satisfait de la situation et a chargé le milliardaire Elon Musk de trouver une solution avec Boeing pour rattraper le temps perdu. Le 18 décembre dernier, le PDG de Boeing, Kelly Ortberg, a rencontré Elon Musk et des membres de l’US Air Force afin de discuter sur ce qu'il fallait faire pour accélérer les livraisons des VC-25B. "Le président veut l'avion plus tôt, et nous travaillons donc avec Elon et l'équipe pour déterminer ce que nous pouvons faire pour accélérer le calendrier de cet avion", a déclaré Ortberg. Il a qualifié les discussions avec Musk de "constructives". ll ressort de cette rencontre que l’équipe examine les éléments du contrat ou du processus qui ralentissent et qui n’apportent pas de valeur ajoutée au programme. En tant que chef du Department of Government Efficiency (DOGE), Elon Musk est chargé d’éliminer les dépenses gouvernementales inutiles. Bien que les deux VC-25B dépassent chacun le budget de plus d’un milliard de dollars, ces coûts seront supportés par Boeing, et non par les contribuables, dans le cadre de contrats à prix fixe en vertu desquels l’armée de l’air paiera 3,9 milliards de dollars pour les deux avions.
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Today, 1:41 AM
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ASELSAN, Türkiye’s leading defence company, has successfully completed the first live fire test of GÖKSUR, the country’s national naval point defence missile system.
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Today, 1:41 AM
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Raytheon, an RTX business, announced a series of 10 successful subsystem demonstrations for the U.S. Army's Next-Generation Short-Range Interceptor (NGSRI).
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Today, 1:39 AM
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Lancée officiellement il y a un an pour protéger le trafic maritime en mer Rouge contre les attaques menées par les rebelles houthis depuis le Yémen, l’opération navale européenne EUNAVFOR Aspides a été prolongée d’un an par le Conseil de l’Union européenne. Cette décision a été annoncée le 14 février dernier. Pour le moment, la situation au large de la Corne de l’Afrique est relativement calme : aucune nouvelle attaque n’a été signalée depuis la mi-janvier et l’entrée en vigueur d’un cessez-le-feu dans la bande de Gaza. Cependant, les rebelles houthis ont affirmé qu’ils continueraient à cibler les navires liés aux intérêts israéliens et menacé de reprendre leurs activités si jamais la trêve entre Israël et le Hamas venait à prendre fin. D’où la décision du Conseil de l’UE de maintenir EUNAVFOR Aspides jusqu’au 28 février 2026, avec un financement de « plus de 17 millions d’euros ». À ce jour, seulement cinq pays européens ont fourni des navires à cette opération, à savoir la France, l’Italie, l’Allemagne, la Belgique et les Pays-Bas. Plus de 640 navires marchands ont été soutenus, dont 370 ont bénéficié d’une escorte de protection rapprochée, et 50 marins ont été secourus. Au total, 18 munitions téléopérées [MTO], 4 missiles balistiques et 2 drones de surface [USV] ont été détruits. Pour une large part, ce « tableau de chasse » est à mettre au crédit des frégates de la Marine nationale, ainsi qu’à celui des Mirage 2000-5 de l’armée de l’Air & de l’Espace qui, basés à Djibouti, ont abattu une dizaine de drones aériens. Cela étant, le Conseil de l’UE n’a pas seulement prolongé l’opération Aspides : il lui a également assigné de nouvelles tâches, qui exigeront la mise en œuvre de moyens supplémentaires, comme, par exemple, des avions de patrouille maritime. Ainsi, elle devra « être en mesure de collecter des informations, en plus des données nécessaires pour protéger les navires, sur le trafic d’armes et les flottes fantômes en vue de les partager avec les États membres, la Commission européenne, l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime [ONUDC], l’organisation internationale de la police criminelle [INTERPOL], l’Agence de l’UE pour la coopération des services répressifs [EUROPOL] et l’Organisation maritime internationale [OMI] ». En mars 2024, alors que les attaques lancées par les rebelles houthis étaient à leur plus haut niveau, l’entreprise française Unseenlabs, spécialiste de la détection par satellite des signaux de type radiofréquence [RF] émis par les navires, avait dit avoir constaté une hausse du nombre de « navires fantômes » transitant en mer Rouge au cours des semaines précédentes. Ces derniers auraient représenté 9 % du trafic maritime total recensé sur la zone.
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Today, 1:38 AM
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Lors de l’édition 2018 du salon de l’armement aéroterrestre EuroSatory, KNDS France [Nexter, à l’époque] avait dévoilé l’Optio X20, son premier robot armé. En réalité, il s’agissait d’une mule robotisée THeMIS [fournie par l’estonien Milrem Robotics, ndlr] équipée de la tourelle téléopérée ARX-20 de 20 mm. Ce projet n’eut pas de suite. Ou, du moins, il ne suscita pas l’intérêt de l’armée de Terre. Puis, cinq ans plus tard, KNDS France s’est associé à SERA Ingénierie, une filiale du groupe SOGECLAIR, afin de former le « champion français de la robotique militaire » et, partant, de développer un robot terrestre à partir de la plateforme « PHOBOS » afin de répondre aux besoins de l’armée de Terre. « Grâce à une architecture robotique pointue, ce robot remplira des missions dangereuses comme du contreminage en assurant la sécurité de ses opérateurs » tout en « conjuguant au mieux mobilité, ergonomie et faible empreinte logistique », avaient expliqué KNDS France et Sera Ingénierie, lors de l’annonce de leur partenariat. Partenariat qui a permis de mettre au point le véhicule robotisé Centurio. L’an passé, lors d’essais réalisés au camp de Canjuers, ce dernier avait « démontré sa grande mobilité » sur les terrains difficiles ainsi que ses capacités de « franchissement et de tractage rapide sur de longues distances ». Puis, lors d’EuroSatory 2024, KNDS France a présenté un Centurio doté d’un canon de 20 mm. Depuis, la gamme s’est enrichie. Le 7 février, la Direction générale de l’armement [DGA] a illustré l’annonce de la notification du contrat-cadre DROIDE à KNDS France et Safran Electronics Defense avec une photographie montrant un Centurio armé. Dix jours plus tard, KNDS France en a dit plus au sujet de ses projets en la matière. En effet, à l’occasion du salon de l’armement IDEX 25, organisé à Abou Dhabi, l’industriel a officiellement présenté le Centurio X-30, c’est-à-dire un Centurio doté d’une tourelle ARX-30 de 30 mm. « Officiellement » car l’industriel avait déjà communiqué – succinctement – à son sujet via le réseau social X, en octobre dernier. « Nous sommes fiers de voir notre plateforme Phobos intégrée au Centurio X-30, la dernière innovation en robotique terrestre de KNDS France, dévoilée à IDEX 2025 », a commenté Sogeclair, via le réseau social LinkedIn. « Cette collaboration initiée il y a deux ans aboutit aujourd’hui à une alliance unique entre un système d’arme de pointe et la mobilité exceptionnelle de notre plateforme. Une avancée majeure pour l’innovation en robotique terrestre », a ajouté François Traxel, le directeur commercial du groupe. De son côté, KNDS France a expliqué que le Centurio X-30 a été conçu pour apporter un « appui-feu lourd aux unités débarquées tout en pouvant être téléopéré ». Et d’ajouter : « Grâce à ses capacités de mobilité autonomes, Centurio X-30 assiste l’opérateur en s’adaptant aux conditions du terrain. Il permet ainsi de réduire la charge cognitive en phase de faible intensité et d’apporter un soutien précieux à la prise de décision lors des engagements de haute intensité ». Pouvant atteindre la vitesse de 60 km/h et évoluer sans avoir besoin de signaux de géolocalisation par satellite, le Centurio X-30 est mis en œuvre par un seul opérateur, chargé notamment de l’armement. Ce robot est doté de liaisons suffisamment « robustes » pour ne pas être perturbées par le brouillage électronique.
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Today, 1:37 AM
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The Sikorsky UH-60M Black Hawk has attained initial operating capability (IOC) with the Australian army.
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Today, 1:37 AM
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Le Président américain Donald Trump a visité hier un avion Boeing pour souligner les retards dans la livraison des nouveaux avions Air Force One, a indiqué la
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Today, 1:34 AM
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Habituellement ce sont les Russes qui jouent aux cowboys face aux avions étrangers, visiblement les Chinois s’y mettent aussi. Ce mardi 11 février 2025 un Boeing P-8A Poseidon appartenant à la Royal Australian Air Force a été intercepté par un Shenyang J-16 Flanker G+ des forces aériennes chinoises. L’information n’a été révélée que la nuit dernière par Canberra qui s’en est d’abord émue auprès de la diplomatie de Pékin. Depuis plusieurs mois la tension monte crescendo entre la Chine et la majorité de ses voisins. Ce que l’on sait avec certitudes c’est que l’avion de patrouille maritime australien réalisait une mission de surveillance en mer de Chine méridionale et qu’il se trouvait au-dessus des eaux internationale, et donc de facto dans l’espace aérien international. Les missions australiennes sont très régulières dans la zone, Canberra ayant des accords de défense avec la Malaisie et les Philippines dont les littoraux bordent cette mer ô combien stratégique. Un peu à la manière de Moscou avec la Baltique et avec la Mer Noire Pékin considère la mer de Chine méridionale comme sa mare nostrum. Des accrochages ont déjà eu lieu entre l’aviation chinoise et des aéronefs étrangers mais rarement d’une telle violence. Le pilote du J-1 Flanker G+ a réalisé des manœuvres particulièrement agressives autours du P-8A Poseidon. Il est bon de rappeler que ce modèle d’avion ne dispose d’aucun armement air-air et ne représente donc aucune menace pour un chasseur. Après avoir montré ses missiles, en battant des ailes, le pilote de chasse chinois a décidé d’augmenter encore d’un cran la pression sur l’équipage australien. Il a placé son avion à trente mètre devant le nez du P-8A et a lâché une salve de flares. Rappelons qu’il s’agit là de leurres thermiques de contremesures afin de se prémunir de tirs sol-air et air-air. Ces engins pyrotechniques à base généralement de magnésium représentent donc un danger réel s’ils sont tirés trop proches d’un autre avion. En fait il s’agit clairement d’une méthode d’intimidation. Et il semble inconcevable que le pilote chinois ait agi de son propre chef. Il a forcément reçu l’ordre de sa hiérarchie de lâcher ses flares contre l’avion australien. En cas d’impact direct ou même d’ingestion par un voire les deux réacteurs du P-8 Poseidon le leurre thermique peut rapidement se transformer en piège mortel pour la dizaine d’aviateurs australiens à son bord. C’est donc un incident très grave qui s’est joué en début de semaine. Affaire à suivre.
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