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Today, 2:09 AM
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Developed by Israel's Uvision and with systems being sold in the thousands to multiple European NATO countries and the US, the Hero family of loitering systems is also in production in the US and Italy, the latter through Rheinmetall.
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Today, 2:08 AM
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Ukraine's submersible drone navigated into a protected harbor and detonated very close to the targeted submarine.
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Today, 2:06 AM
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The future presidential airlift program has ballooned from two aircraft to five, four of which will be flyable.
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Today, 2:05 AM
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Le rapprochement entre Nexter Systems et Krauss-Maffei Wegmann s’est concrétisé par la création d’une holding qui, appelée KNDS, est détenue à parts égales par l’État français et la famille Bode-Wegmann. Cette structure, hybride de son actionnariat, chapeaute KNDS France et KNDS Deutschland. Or, la famille Bode-Wegmann a manifesté l’intention de se désengager de KNDS, en cédant sa participation de 50 % au sein de KNDS. Deux solutions sont actuellement privilégiées : le rachat de ses parts par un tiers [voire plusieurs] ou une introduction en Bourse. Dans un cas comme dans l’autre, le groupe allemand Rheinmetall se tient à l’affût, son PDG, Armin Papperger, n’ayant jamais fait mystère de son intention d’acquérir une participation importante, si ce n’est majoritaire, au capital de KNDS. Évidemment, cela ne serait pas sans conséquences sur l’avenir de KNDS France, comme l’a récemment souligné le député [et ex-ministre] Jean-Louis Thiériot. Quoi qu’il en soit, le 15 décembre, KNDS France a annoncé que Nicolas Groult, serait son nouveau PDG à partir du 5 janvier prochain, en remplacement de Nicolas Chamussy. « La nomination de Nicolas Groult constitue une étape importante pour KNDS France. Son leadership éprouvé et sa grande expérience en développement d’activités seront des atouts essentiels alors que nous accélérons nos initiatives en matière de gestion de programmes, d’excellence opérationnelle et de renforcement de nos capacités à long terme. [Il] accompagnera notre entité française dans sa prochaine phase de croissance durable », a commenté Jean-Paul Alary, le directeur général du groupe KNDS. Une autre annonce importante a été faite le même jour. En effet, l’Office fédéral des cartels [le Bundeskartellamt], a donné son feu vert au projet de KNDS Deutschland et de Rheinmetall visant à étendre l’activité de leur coentreprise PSM [Projekt System & Management] GmbH, initialement créée pour le programme du blindé Puma, au développement d’un nouveau char, présenté comme une « solution transitoire » dans l’attente de la réalisation du projet franco-allemand de Système principal de combat terrestre [Main Ground Combat System]. « Notre analyse concurrentielle a tenu compte du fait qu’aucune des deux entreprises n’aurait été en mesure de satisfaire seule aux exigences de ce projet. Aucun impact négatif sur la concurrence n’est attendu, ni du fait de ce projet en particulier, ni au-delà », a expliqué Andreas Mundt, le directeur du Bundeskartellamt. Et cela alors que KNDS Deutschland et Rheinmetall sont aussi associés au sein de la coentreprise MARTE ARGE GbR, créée pour mener des travaux dans le cadre du projet de char de combat européen MARGE [Main Armored Tank of Europe], financé à hauteur de 20 millions d’euros par le Fonds européen de la défense [FEDef]. Au passage, le Bundeskartellamt précise que la « livraison d’un nouveau char de combat, développé dans le cadre d’une coopération franco-allemande » est prévue « à partir de 2045″… Alors que, en France, on parle de 2040 car il sera compliqué pour le char Leclerc d’aller au-delà de cette échéance. Si en janvier dernier, il a notifié des contrats en vue de préparer le terrain à un éventuelle « solution transitoire » [appelée Leopard 2AX ou Leopard 3], le ministère allemand de la Défense se concentre, pour le moment, sur le Leopard 2A8, dont il a déjà commandé 123 exemplaires [une commande pour 75 unités de plus est envisagée, ndlr]. « Le réarmement allemand a pour conséquence des commandes importantes de Léopard 2A8 qui auront pour effet de repousser le calendrier du programme MGCS », a récemment affirmé le sénateur Hugues Saury, co-rapporteur du programme 146 avec Hélène Conway-Mouret, lors de l’examen des avis budgétaires intéressant la défense par la commission des Affaires étrangères et des Forces armées. Mais qu’en sera-t-il si Berlin décide de développer un Leopard 2AX/3 ? Photo : Leopard 2A8 – Ministère allemand de la Défense
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Today, 2:02 AM
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En 2024, le Commandement de l’Espace [CdE] prit part à une « opération bilatérale de rendez-vous de proximité » [RPO] en orbite, dans le cadre d’un exercice organisé par la force spatiale américaine [US Space Force]. Le ministère des Armées donna très peu de détails sur cette manœuvre orbitale inédite, si ce n’est qu’elle illustrait le « partenariat étroit » entre la France et les États-Unis dans le domaine spatial. Cela étant, lors de la 40e édition du Space Symposium, organisé à Colorado Springs en avril dernier, le chef du Commandement spatial américain [US SPACECOM], le général Stephen Whiting, expliqua que cette opération bilatérale avait consister à manœuvrer « à proximité d’un engin spatial d’un concurrent stratégique ». Puis, plus tard, l’US Space Force qualifia cette RPO de « hautement complexe » et de « révolutionnaire ». Et d’ajouter qu’elle avait permis à la France de prouver qu’elle pouvait être un allié suffisamment « crédible » dans l’espace pour adhérer à la Force multinationale « Olympic Defender » [MNF-ODD]. Pour rappel, créée par les États-Unis en 2013, la MNF-ODD est une opération militaire permanente visant à renforcer la coopération dans le domaine spatial entre les pays participants, la France et l’Allemagne ayant fini par rejoindre le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Depuis, le général Jérôme Bellanger, le chef d’état-major de l’armée de l’Air & de l’Espace [CEMAAE], a succinctement évoqué cette première RPO franco-américaine, lors d’une récente audition parlementaire. « Dans l’espace […], il faut revenir sur la réussite d’une opération de signalement stratégique avec les États-Unis d’Amérique, qui n’avaient jamais procédé à des vols en patrouille sur l’arc géostationnaire, pour perturber les satellites de nos compétiteurs », a-t-il en effet affirmé. En octobre, après avoir effectué une RPO avec le commandement spatial de la Royal Air Force [RAF], l’US SPACECOM fit savoir que des manœuvres orbitales allaient de nouveau être organisées avec la France. Celles-ci viennent d’avoir lieu. Selon l’État-major des armées [EMA], ayant impliqué deux satellites, à savoir un français et un américain, ces manœuvres conjointes en orbite ont constitué « la première opération menée dans le cadre de la force multinationale Olympic defender MNF-OOD ». « Cette opération remarquable reste une première de son genre puisqu’il s’agit d’une manœuvre de satellite coordonnée au niveau multinational et planifiée entre les 7 nations partenaires de la MNF-OOD. Elle démontre la capacité à répondre et à manœuvrer conjointement dans l’espace et illustre l’engagement de la France et des États-Unis à rendre opérationnelle la MNF-OOD », a fait valoir l’EMA. Et d’ajouter : « Cette opération prouve également la capacité de la France à mener des opérations dynamiques et responsables pour décourager les adversaires d’agir contre nos intérêts spatiaux ». Ces manœuvres orbitales ont également été évoquées par l’US SPACECOM. « Les États-Unis et la France ont récemment achevé une autre opération bilatérale en orbite sous le commandement de la MNF-OOD, démontrant non seulement la capacité de notre coalition à planifier et à exécuter des opérations spatiales dynamiques et responsables mais aussi notre engagement indéfectible à nous tenir côte à côte pour défendre nos intérêts communs dans l’espace », a-t-il avancé, via le réseau social LinkedIn. Là encore, aucun détail sur la nature de ces manœuvres n’a été livré par l’US SPACECOM et la partie française. Cependant, d’après les observations de l’entreprise américaine COMSPOC, spécialisée dans le suivi des objets spatiaux en orbite, cette RPO aurait impliqué le satellite français de télécommunication Syracuse 3A [dont la fonction a été reprise par Syracuse 4A en 2021, ndlr] et le satellite américain USA 324, lequel a récemment approché un engin chinois. « Les deux satellites ont effectué trois séries de manœuvres : du 11 au 14 novembre, du 22 au 23 novembre et du 28 au 29 novembre. Dans tous ces mouvement, USA 324 a semble suivre Syracuse 3A. Les manœuvres effectuées par USA 324 étaient décalées d’un jour. Il s’est approché à environ 25,1 km du satellite français », a confié COMSPOC à Breaking Defense.
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Today, 1:58 AM
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L'attribution à PSM de la conduite du programme de char de génération intermédiaire allemand, traditionnellement désigné sous le nom Leopard 3, par l
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Today, 1:57 AM
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Lors des essais conduits en septembre-octobre 2024 au Ladakh, le Stryker évalué par l’armée indienne a affiché des limites de mobilité et de puissance en très
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Today, 1:53 AM
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UNAC signe un contrat en Italie : cinq TNA pour la brigade parachutiste Folgore de l'armée de Terre, avec le MCO.
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Today, 1:49 AM
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La Armada a lancé la conception d’une « série II » S-80 (cinquième et sixième unités) pour accroître l’intégration de sous‑systèmes nationaux, a indiqué le
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Today, 1:48 AM
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À ce jour, l’aéronautique navale française compte six Camcopter S-100, produits par le groupe autrichien Schiebel. Affectés à la flottille 36F, en plus de ses hélicoptères Panther, ils sont répartis en trois systèmes comprenant chacun deux vecteurs.
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Today, 1:45 AM
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Un document commun associant neuf Etats et deux organismes européens, a été présenté lundi soir à Berlin lors du récent round de discussions sur la résolution du conflit en Ukraine. Ce document détaille les garanties de sécurité les plus précises jamais offertes à l’Ukraine. Elles inclut: – un soutien militaire massif et permanent : maintien d’une force armée ukrainienne de 800 000 soldats en temps de paix. – une force multinationale européenne déployée sur le sol ukrainien, s’appuyant sur la « Coalition de la volonté » menée par la France et le Royaume-Uni. Rien sur les effectifs totaux et les contributions nationales n’a été dévoilé. – un mécanisme de vérification du cessez-le-feu mené par les États-Unis. – un engagement juridiquement contraignant à rétablir la paix en cas de future attaque armée, imitant l’Article 5 de l’OTAN. L’engagement « juridiquement contraignant » signifie que si la Russie attaque à nouveau après un cessez-le-feu, ces neuf pays (et ceux qui les rejoindront) se sont engagés à intervenir militairement (troupes, renseignement, logistique etc), économiquement et diplomatiquement. – une immobilisation permanente des avoirs de la Banque centrale russe, avec investissement dans la reconstruction ukrainienne. – une adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne accélérée. Qui a signé? Il est signé par les dirigeants allemand, français, britannique, danois, néerlandais, finlandais, norvégien, italien, polonais, suédois et de l’UE, mais pas par les Etats-Unis. Soit neuf pays auxquels s’ajoutent la Commission européenne et le Conseil européen. D’autres pays sont susceptibles de s’y associer. Le document n’a pas été signé par les Etats-Unis mais les responsables européens signataires disent s’être entendus avec les Américains pour « travailler ensemble pour fournir à l’Ukraine des garanties de sécurité solides et des mesures de soutien à la reprise économique dans le cadre d’un accord visant à mettre fin à la guerre ». Par ailleurs, le document n’aborde pas l’épineuse question de concessions territoriales de la part de l’Ukraine, voulues par Moscou, les Européens insistant sur le fait que les « frontières internationales ne doivent pas être modifiées par la force » et Donald Trump estimant que les Ukrainiens « ont déjà perdu le territoire, pour être honnête ». La Russie exige toujours de l’Ukraine qu’elle retire ses troupes des territoires qu’elle revendique dans le Donbass. Moscou demande également que Kyiv demeure un pays neutre et refuse la présence de soldats de l’Otan sur le sol ukrainien.
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Today, 1:42 AM
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Despite a historic recruiting year, the Navy will need to continue to bring in more junior sailors to fully man at-sea billets, a problem that will likely continue into the next two to three years and is compounded by delays in the training pipelines, a Navy official told USNI News. The Navy has a total of 20,683 gaps-at sea as of Dec. 3, Stacee McCarroll, a service spokesperson, told USNI News on Monday. The majority of the gaps at-sea are in the apprentice level, which covers E-1 through E-3. At the apprentice level, there are 16,369 gaps at-sea, followed by
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Today, 1:41 AM
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Deux projets concurrents se disputent un marché qui n'est guère assez grand pour accueillir plus d'un gagnant.
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Today, 2:09 AM
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The four-engine tactical airlifter likely has a similar mission to the C-130J and is undergoing flight tests. The four-engine tactical airlifter likely has a similar mission to the C-130J and is undergoing flight tests.
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Today, 2:07 AM
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The Trump administration is also eyeing new oil tanker seizures to add more economic strain on Venezuela's Maduro.
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Today, 2:05 AM
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En août 2024, l’état-major ukrainien affirma avoir coulé le sous-marin russe B-237 Rostov-sur-le-Don [projet 636 Varchavyanka ou « Kilo amélioré »], alors qu’il était en réparation au chantier naval de Sébastopol après avoir été visé par une frappe un an plus tôt, lors d’une attaque de missiles. Si aucune preuve ne fut produite pour appuyer cette revendication, l’imagerie satellitaire permit de constater qu’une installation flottante utilisée pour effectuer les réparations de ce sous-marin avait été totalement détruite. De son côté, le ministère russe de la Défense ne fit aucun commentaire. Reste que, depuis, le B-237 Rostov-sur-le-Don n’a plus jamais fait parler de lui. Qu’en sera-t-il pour un second sous-marin du même type qui vient d’être touché par des drones submersibles Sub Sea Baby mis en œuvre par le Service de sécurité d’Ukraine [SBU], alors qu’il était à quai, au port de Novorossiïsk ? Ainsi, le 15 décembre, le SBU a en effet dit avoir mené une « opération spéciale sous-marine inédite » Novorossisk. « Pour la première fois de l’histoire, des drones sous-marins Sub Sea Baby ont atteint un sous-marin russe de classe 636.3 ‘Varchavyanka’. L’explosion l’a gravement endommagé, le rendant inutilisable », a-t-il avancé Avant le début de la guerre en Ukraine, la flotte russe de la mer Noire comptait six sous-marins construits dans le cadre du projet 636.3, à savoir le B-261 Novorossiïsk, le B-262 Stary Oskol, le B-265 Krasnodar, le B-268 Veliki Novgorod, le B-271 Kolpino et B-237 Rostov-sur-le-Don, lequel a donc été vraisemblablement coulé. Ces sous-marins sont en mesure d’emporter des missiles de croisière Kalibr. Aussi, les détruire est un objectif prioritaire pour les forces ukrainiennes, qui ont déjà coulé au moins 17 navires de la flotte russe de la mer Noire, dont le croiseur Moskva, en utilisant des missiles et/ou des drones navals de surface, comme les Magura V5 et, plus récemment, les Sea Baby. Pour le moment, on ne sait que très peu de choses sur les drones sous-marins [UUV] Sub Sea Baby… Si ce n’est qu’ils sont en mesure de parcourir 600 km [voire plus, en contournant la Crimée] et, donc, de menacer le port de Novorossiïsk qui, jusqu’à présent, passait pour être un refuge assez sûr pour la flotte russe. « Le bateau détruit a été contraint de rester dans le port de Novorossiïsk grâce au succès des opérations spéciales menées par les drones navals de surface Sea Baby, qui ont obligé les navires russe de la baie de Sébastopol en Crimée temporairement occupée à s’y replier », a fait valoir Kiev. Cela étant, le ministère russe de la Défense a démenti les affirmations du SBU au sujet des dommages infligés au sous-marin attaqué. « Les informations diffusées par les services spéciaux ukrainiens concernant la prétendue ‘destruction’ d’un sous-marin russe dans la baie de la base navale de Novorossiïsk […] sont erronées. La tentative de sabotage menée […] à l’aide d’un véhicule de surface sans équipage a échoué. Aucun navire, sous-marin ou équipage de la flotte de la mer Noire stationnée dans la baie de Novorossiïsk n’a été touché par cette action. Les navires restent opérationnels », a assuré un porte-parole de la flotte de la mer Noire. Pour rappel, les sous-marins issus du projet 636.3 sont particulièrement performants. En 2017, l’un d’eux, B-265 Krasnodar, avait donné du fil à retordre à l’US Navy, alors qu’il était en mission en Méditerranée, où venait de se déployer le porte-avions USS George H. Bush, dans le cadre des opérations menées contre l’État islamique en Syrie.
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Today, 2:03 AM
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En octobre 2024, depuis son centre d’essais de Biscarrosse [Landes], la Direction générale de l’armement [DGA] effectua le premier tir de développement du missile intercepteur ASTER 30B1 NT [pour Nouvelles Technologies], pièce maîtresse du système de défense aérienne SAMP/T NG [Sol-Air Moyenne Portée / Terrestre de nouvelle génération]. Puis, durant l’été dernier, à l’occasion d’une campagne d’essais appelée « Minerve », la DGA valida la capacité longue portée de ce missile, développé par le consortium franco-italien Eurosam, sous l’égide de l’Organisation conjointe de coopération en matière d’armement [OCCAr]. Selon les données du ministère des Armées, doté d’un autodirecteur en bande K, l’ASTER 30B1 NT est capable d’intercepter une cible aérienne [aéronefs, missiles, y compris hypersoniques] volant à 25 000 mètres d’altitude et dans un rayon de 150 km. En outre, il « permettra une distinction fiable entre ennemis et alliés grâce à son système de guidage autonome, un radar embarqué qui analysera les cibles en temps réel ». Outre l’ASTER 30B1 NT, le SAMP/T se compose de un à six lanceurs pouvant chacun tirer jusqu’à huit missiles, d’un générateur d’électricité, d’un module d’engagement et d’un radar en bande X, associé à un système d’identification ami/ennemi. S’agissant du radar, la France et l’Italie ont fait des choix différents. La version française du SAMP/T NG, adoptée par le Danemark, reposera sur le Ground Fire 300 de Thales alors que le ministère italien de la Défense a préféré le Kronos GM HP développé par Leonardo. Selon l’OCCAr, les deux systèmes offrent des « performances accrues, tant en matière de détection, de suivi et de destruction des cibles », chacun ayant un module d’engagement permettant de contrer les attaques saturantes de missiles. Quoi qu’il en soit, après les deux tirs de développement effectués par la DGA, il restait à démontrer les performances globales du SAMP/T NG. Ce qui vient d’être fait avec deux essais réussis réalisés en Italie et en France. Ils ont « eu lieu au champ de tir PISQ [Poligono Interforze del Salto di Quirra], en Sardaigne, le 3 décembre avec une variante italienne du SAMP/T NG et au champ de tir DGA Essais de Missiles, à Biscarrosse, le 15 décembre avec une variante française du SAMP/T NG », a en effet annoncé MBDA, membre du consortium Eurosam, ce 16 décembre. Selon l’industriel, ces deux tirs, réalisés dans une configuration complète [radar, module d’engagement, lanceurs interconnectés] ont démontré les « capacités opérationnelles améliorées du SAMP/T NG », lequel permettra « d’intercepter des cibles aériennes et balistiques plus complexes » que ce soit en termes de portée, de manœuvrabilité, de furtivité ou de vitesse. « Ces tirs constituent une avancée majeure pour le programme bilatéral SAMP/T NG, piloté par l’OCCAr pour le compte de la France et de l’Italie » et « représentent des progrès importants dans le développement de ce nouveau système de défense aérienne européen de pointe », a insisté MBDA. Les premiers SAMP/T NG seront livrés à l’armée de l’Air & de l’Espace ainsi qu’à l’Esercito italiano au début de l’année 2026.
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Today, 2:01 AM
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La communication officielle autour du Type 99B met l’accent sur une modernisation axée sur la connectivité, la fusion de capteurs et l’emploi en haute
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Today, 1:58 AM
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Le chef d'etat-major britannique alerte sur les urgences autour des conséquences de l'échéance OTAN 2027 imposée par la nouvelle stratégie US en Europe.
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Today, 1:55 AM
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Les prises de position de Copenhague, remettent au premier plan un débat ancien : l’Europe peut‑elle assumer son propre parapluie nucléaire ?
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Today, 1:52 AM
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De récents constats attestent d’un passage clair du bricolage à l’intégration de série de terminaux commerciaux Starlink sur les drones d'attaque Molniya‑2.
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Today, 1:48 AM
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Ces innovations, intégrées sur un réacteur M88 de Rafale modifié pour l’occasion, portent notamment sur l’utilisation de nouvelles céramiques pour les aubes du réacteur, et sur une nouvelle génération de superalliages intégrés aux éléments les plus sollicités du moteur.
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Today, 1:47 AM
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Notifié en octobre 2013 à Dassault Aviation et Thales, le programme de rénovation de 18 des 22 Atlantique 2 de la Marine nationale arrive donc à son terme. À ce jour, 16 de ces avions sont revenus au sein des flottilles 21F et 23F, basées à Lann-Bihoué, dans le Morbihan. Les deux derniers, sur lesquels les travaux s’achèvent, doivent être livrés début 2026, indique-t-on à Mer et Marine à l’état-major de la Marine nationale.
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Today, 1:44 AM
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Dans le cadre de l’exercice militaire ORION 26, d’importantes manœuvres auront lieu de février à avril sur une quinzaine de départements métropolitains. Ces opérations impliqueront la circulation de nombreux véhicules, ainsi que de fréquents survols d’aéronefs (avions, hélicoptères et drones). ORION 2026 s’articulera en trois phases. Selon le CEMAT, la phase initiale, du 23 février au 8 mars 2026, consistera en une opération d’entrée en premier. Elle aura lieu cette fois sur la façade atlantique avec un volet amphibie (près de Vannes) et un volet aéroporté (autour du camp de Coëtquidan). Ce volet aérien a nécessité l’imposition d’espaces aériens restreints temporaires de février à avril prochains. La seconde phase, en mars, aura une dimension interministérielle. Enfin, en avril, des éléments d’une division blindée française seront déployés dans les camp de Champagne pour le volet otanien d’ORION. Entrée par les airs Une opération aéroportée majeure regroupant jusqu’à 2000 parachutistes français et britanniques se déroulera dans le Morbihan, dans le cadre d’une opération d’entrée en premier où la France jouera le rôle de nation-cadre. La 9e BIMa fournira les principales unités pour le volet amphibie et c’est la 11e BP qui déploiera ses unités parachutistes pour la conquête du plus célèbre camp breton puisque le camp militaire de Coëtquidan constituera l’un des objectifs majeurs de cette phase 1. Les communes situées autour du camp ont déjà commencé à sensibiliser les riverains. Planification opérative Où en est-on de la planification? Fin novembre, ORION 26 est entré dans sa phase finale de préparation, dite pré-ORION qui conduira par la suite à la phase O1, celle de planification opérative. Selon le ministère, cette phase 1, conduite jusqu’à la fin janvier 2026, constitue le volet dédié à la planification opérationnelle d’ORION 2026. Elle vise à entraîner la structure de commandement stratégique et opérative à planifier en un temps contraint une campagne militaire sous commandement français, en coalition dans un pays hôte. Le CECIA à la manoeuvre Le Centre expert du commandement interarmées pilotera ORION 26. Le CECIA constitue aujourd’hui un réservoir de compétences, préfigurateur d’un noyau clé d’état-major opératif ou de conduite d’un grand exercice interarmées. A ce titre, il a pour mission de renforcer les états-majors opératifs et le CPCO pour leurs travaux de planification et de conduite, à déployer des éléments de liaison et de reconnaissance de théâtre (ELRT) et à assurer la fonction d’OCE (officier conducting the exercise) d’ORION 26.
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Today, 1:41 AM
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Germany may donate its soon-to-be-retired Westland Mk 88A Sea Lynx maritime strike helicopters to Kyiv, a senior military official told Janes and other defence medi
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