The US Air Force is looking for new options for air-to-air missiles, with a focus on price, range, and size.

Beaucoup y voient une réponse à la dégradation des relations avec ses voisins les plus encombrants : la Biélorussie et la Russie. La SG, la Straż Graniczna, chargée de surveiller les frontières de la Pologne entend remplacer dans les plus brefs délais ses cinq derniers hélicoptères PZL Kania. Le gouvernement polonais compte ouvrir la compétition aux hélicoptéristes américains, asiatiques, et européens ; mais ces derniers sont d’ores et déjà annoncés comme favoris. Va t-on donc vers un nouvel affrontement Airbus vs Leonardo ?

Officiellement la Straż Graniczna aligne sept PZL Kania aussi bien pour des missions de surveillances frontalières que de recherches et de sauvetages. En fait seuls cinq sont encore en état de vol, les deux autres servant de réserve de pièces par cannibalisation. Seulement voilà ces évolutions indigènes du vénérable Mil Mi-2 Hoplite soviétiques vieillissent, et même de plus en plus vite. Les entretenir devient un véritable casse-tête. En outre ils ne sont plus réellement efficaces quand il s’agit de surveiller les frontières avec la Biélorussie et l’oblast russe de Kaliningrad. Deux entités ouvertement hostiles à la Pologne.

Les autorités polonaises ont identifié cinq modèles d’hélicoptères comme potentiels successeurs des Kania de la Straż Graniczna. On retrouve les Agusta-Westland AW.169, Airbus Helicopters H145, Bell 429 Global Ranger, KAI Light Civil Helicopter, et MD Helicopters MD-600N. Pour autant la plupart des observateurs y voient surtout un affrontement entre l’AW.169 et le H145.

Aux vues des réussites du groupe Leonardo avec les forces armées polonaises on pourrait être tenté de penser que l’AW.169 part largement favori. Pourtant il faut savoir que la SG fait voler actuellement des Eurocopter EC-135 alors même qu’elle n’aligne pas le moindre Agusta-Westland. Rien n’est donc perdu pour le H145. Mais la surprise pourrait venir de Corée du Sud et de son LCH, dérivé de l’Eurocopter EC-155. KAI a remporté plusieurs succès en Pologne récemment. La décision du successeur du Kania au sein de la Straż Graniczna est attendu pour la fin de l’année.

Photo © Straż Graniczna

The recent shootdowns of Russian Su-30SM aircraft by missile-equipped USVs highlight a significant leap in Ukraine’s anti-aircraft capability. As you may

The Italian Air Force conducted a live firing campaign at the UK‘s Hebrides range, with Typhoons and F-35s involved. The Italian Air Force has announced

The United States will hand over a refurbished Israeli Patriot air defence system to Ukraine, and other allies are considering the possibility of handing over another.

Learn about a new type of artificial intelligence attack UAV that has impressive autonomous control capabilities and defeats electronic warfare. The article provides details on its design, functions and battlefield applications.

La Nouvelle-Zélande a officiellement lancé le processus de remplacement de sa flotte d’hélicoptères  Kaman SH-2G(I) Seasprite, en service depuis 2015

L’administration Trump, au travers du Département d’État, vient d’autoriser officiellement l’Ukraine à acheter des améliorations, pièces de rechange, équipements au sol,… au profit de ses avions de combat F-16 Fighting Falcon. Le contrat comprend aussi des services et de l’entrainement. Cette annonce est aussi à mettre en lien avec le récent transfert de trois parties centrales de F-16 ex-américains en Ukraine.
Une annonce

Le 2 mai, la Defense Security Cooperation Agency (DSCA) a publié un avis positif du Département d’État (équivalent américain du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères français) concernant une potentielle vente pour la formation et le soutien concernant les avions de combat F-16AM Fighting Falcon utilisés par l'Ukraine. La DSCA précise que l'Ukraine avait demandé d'acheter des équipements et services au profit de ses Fighting Falcon. La DSCA est pour une fois fort peu précise, probablement au vu du conflit concernant l'Ukraine mais annonce tout de même :

des améliorations et modifications des F-16,
l'entrainement des personnels liés à l'exploitation, la maintenance et au maintien des avions,
des pièces de rechange,
autres consumables et accessoires,
réparation,
équipements au sol,
fourniture et support concernant des logiciels classifiés et non classifiés,
documentation technique, publications classifiées et non classifiées,
études et enquêtes,
services d'ingénierie, de soutien technique et de logistique du gouvernement américain et de contractants,
autres éléments connexes de logistique et de soutien à ce programme.

Au total, le coût estimé de ce contrat est de 310,5 millions de dollars (environ 274,75 millions d'euros). Comme expliqué à la fin de l'article, des images et vidéos de transfert de matériels confirment que le contrat a été signé par les deux parties (Ukraine et États-Unis).
(De g. à dr.) Missile air-air AIM-120B AMRAAM, missile air-air AIM-9L/M, pylône ECIPS+ et enfin, réservoir externe sous l'aile gauche (tribord) d'un F-16AM ukrainien (4 août 2024).
(De g. à dr.) Missile air-air AIM-120B AMRAAM, missile air-air AIM-9L/M, pylône ECIPS+ et enfin, réservoir externe sous l'aile gauche (tribord) d'un F-16AM ukrainien (4 août 2024). © @ZelenskyyUa
Des indices chez les industriels ?

Au niveau des industriels mentionnés, leur rôle n'est pas défini dans le cadre de ce contrat, même si, au vu de leur spécialité, ce rôle peut être à minima délimité :

Lockheed Martin est l'industriel principal de l'avion et est logiquement inclus dans les industriels concernés par cet accord.
Pratt & Whitney est responsable du développement et de la production du moteur du F-16.
BAE Systems est capable d'offrir des briques d'améliorations du F-16 (à plus faible échelle que Lockheed Martin).
AAR Corporation est spécialisée dans la maintenance, la réparation et l'entretien (MRO) d'appareils ainsi que la logistique nécessaire.
Snap-on développe et produit des outils de précisions et systèmes de gestion d'outils pour la maintenance des F-16.
Comsetra LLC est spécialisée dans les services et le soutien au niveau de l'interopérabilité avancée en ce qui concerne les ventes militaires américaines à l'étranger (FMS).

Militaires américains et ukrainiens et une linguiste de Valiant Integrated Services sur la base de Yavoriv (Ukraine) dans le cadre du Joint Multinational Training Group-Ukraine (22 novembre 2018).
Militaires américains et ukrainiens et une linguiste de Valiant Integrated Services sur la base de Yavoriv (Ukraine) dans le cadre du Joint Multinational Training Group-Ukraine (22 novembre 2018). © US Army

Valiant Integrated Services offre différents services et solutions d'entrainement et de simulation. Parmi ces services, son site internet propose un service au niveau des "Mission critique et soutien linguistiques"... avec une image datant de 2018 et montrant des militaires américains et ukrainiens ainsi qu'une traductrice sur la base militaire de Yavoriv. À l'époque, cette base accueillait des militaires de l'OTAN afin d'entrainer les militaires ukrainiens. (Valiant Integrated Services)
Top Aces, une entreprise militaire privée disposant d'une flotte d'avions spécialisés pour entrainer les pilotes des Forces aériennes à travers le monde en simulant une force aérienne ennemie réelle. Cette flotte d'appareils comprend des Alpha Jet, A-4N Skyhawk... et F-16 Fighting Falcon. Les pilotes de cette entreprise sont très expérimentés et seront probablement utilisés pour l'entrainement des pilotes ukrainiens ou de même au niveau des mécaniciens.

F-16A de Top Aces équipé d'un missile AIM-9L/M Sidewinder d'entrainement et d'un pod de contre-mesures électroniques AN/ALQ-184(V)4 (brouillage des radars, menaces à guidage radars)(5 février 2025).
F-16A de Top Aces équipé d'un missile AIM-9L/M Sidewinder d'entrainement et d'un pod de contre-mesures électroniques AN/ALQ-184(V)4 (brouillage des radars, menaces à guidage radars)(5 février 2025). © USAF
Confirmation que le contrat est en cours

Comme expliqué précédemment, cette autorisation du Département d’État est déjà appliquée sur le terrain. En effet, le 25 avril, un avion de transport An-124 d'Antonov Airlines se posait pour être chargé d'au moins trois parties centrales de F-16. Le lendemain, l'avion redécollait en direction de Rzeszów (Basses-Carpates, Pologne), l'aéroport servant de principal hub pour les matériels humanitaires et militaires livrés à l'Ukraine. La question de l'utilité de ces F-16 était toutefois sans réponse : leur emballage de transport confirmait qu'ils avaient une valeur pour leur destinataire... sauf que les avions étaient sans ailes, gouvernes et dérive mais aussi sans radôme et de fait, sans radar ainsi que sans moteur. La publication de ce 2 mai permet dès lors de confirmer que l'Ukraine pourra cannibaliser ces parties centrales au profit des F-16AM opérationnels au sein de la Force aérienne ukrainienne.

En 2019, contre l’avis de son président Roumen Radev, un ancien pilote de chasse, la Bulgarie valida la commande de huit avions de combat F-16 Block 70 « Viper » auprès du constructeur américain Lockheed-Martin, pour 1,25 milliard de dollars. Cette acquisition était alors prioritaire, le soutien des MiG-29 Fulcrum de la force aérienne bulgare étant devenu extrêmement compliqué.

Alors que huit autres appareils du même type furent commandés en 2022, le premier F-16 Viper a officiellement été remis à la force aérienne bulgare il y a quelques jours à peine.

« Nous célébrons un avion avec le numéro de combat 301 mais nous marquons surtout le début de la modernisation inébranlable et irréversible de nos forces armées », s’était félicité Rossen Jeliazkov, le Premier ministre bulgare, lors d’une cérémonie organisée sur la base aérienne de Graf Ignatievo, le 13 avril.

Seulement, ce premier F-16V aux couleurs bulgares n’a pas volé depuis. La cause ? « Un dysfonctionnement de l’un des systèmes a été constaté, ce qui ne signifie pas que l’avion est défectueux « , a expliqué le général Nikolay Rusev, le chef d’état-major de la force aérienne bulgare, le 30 avril. Et d’ajouter qu’un « processus d’évaluation rigoureux » était en cours. Celui comprend deux étapes : la réception technique et la réception en vol.

« Je tiens à préciser que je n’accepterai aucun risque supplémentaire pour les pilotes et le personnel technique […] L’avion volera lorsque nous serons prêts à le mettre en service. Cela prend du temps », a encore fait valoir le général Rusev.

Seulement, cette affaire a depuis donné matière à une controverse politique. Ancien ministre de la Défense et actuellement secrétaire à la Sécurité et à la Défense du président Radev, Dimitar Stoyanov, a confirmé que le F-16 ne pouvait pas voler en raison d’une défaillance technique… et que la pièce de rechange nécessaire pour le réparer n’était pas disponible en Bulgarie… car non incluse dans la commande initiale afin de, selon lui, réduire le montant de la facture.

Des rumeurs sur un possible sabotage se sont aussi répandues. À telle enseigne que le président de la commission sur la sûreté intérieure au Parlement, le député Atanas Atanasov, a convoqué Atanas Zapryanov, le ministre bulgare de la Défense, le général Venelin Venev, le directeur du renseignement militaire et Plamen Tonchev, le « patron » de l’Agence de sécurité nationale, pour évoquer « un éventuel accès non réglementé d’une force hostile à la Bulgarie à des informations classifiées liées à l’un des systèmes du F-16 Block 70 et un éventuel sabotage contre la mise en service de cet avion de combat ».

En attendant que cette réunion ait lieu, M. Zapryanov a dénoncé une cabale. « Un problème technique est devenu un problème de politique intérieure et extérieure. […] Malheureusement, cela a commencé au plus haut niveau de l’État, avec le président Radev, ses conseillers et les dirigeants d’autres forces politiques. Ces personnes savent mieux que quiconque que nous parlons de problèmes techniques qui surviennent quotidiennement dans l’armée bulgare. Nous connaissons également des défaillances techniques sur d’autres aéronefs. La situation est la même », a-t-il dit, le 2 mai.

Cependant, en creux, il a confirmé les propos de son prédécesseur. « La réaction pour résoudre le problème a été immédiate, tant au niveau du département américain de la Défense qu’au niveau de Lockheed Martin. Le processus de remplacement de la pièce nécessaire pour réparer l’avion a déjà été lancé et elle sera livrée sous peu », a-t-il conclu.

Observations from Ukraine about rapidly adapting platforms and systems to changing battlefield realities is also driving major change in AFSOC.

A previously unseen prototype of a Russian light counterbattery radar system mounted on a Tigr-M armored vehicle was spotted during rehearsals for the Victory Day military parade in Tula. The vehicle, equipped with a retractable radar array, appears to be Russia’s latest attempt to integrate mobile artillery detection capabilities into lighter platforms. Photos circulating online

Airbus U.S. Space & Defense and Shield AI have entered a strategic agreement to integrate Shield AI’s Hivemind autonomy software into the Airbus MQ-72C Logistics Connector, an unmanned adaptation of the UH-72 Lakota helicopter. The partnership aims to enhance the aircraft's operational flexibility by enabling autonomous flight in support of future U.S. Marine Corps logistics

The US State Department has approved a potential $3.5bn sale of AIM-120C-8 advanced medium range air-to-air missiles (AMRAAM) to Saudi Arabia.

L’US Marines Corps sera servi avant l’US Air Force et l’US Navy. Le convertiplane des forces américaines pourrait bien prochainement en finir avec ses graves incidents mécaniques à répétitions. Une nouvelle boite de transmission est actuellement en cours de validation par le consortium Bell-Boeing et sera montée sur les MV-22B Osprey d’ici l’été 2026. Le montant du chantier est annoncé aux alentours de 500 millions de dollars US.

Pourquoi prioriser l’US Marines Corps plutôt que l’US Air Force ou même l’US Navy ? Peut-être simplement parce que les MV-22B sont aujourd’hui les Osprey qui volent le plus de tout l’arsenal aérien des États-Unis. CV-22B et CMV-22B volent aussi beaucoup, mais entre nettement moins et un peu moins que les MV-22B. Ces derniers seront donc les premiers à recevoir cette nouvelle boite de transmission mécanique mise au point sous l’égide de Bell-Boeing.

Quel est le rôle de cette nouvelle boite mécanique high tech ? Avant tout s’assurer que les Osprey ne se crashent plus. Ou tout le moins que les accidents en question ne soient plus liés au phénomène d’embrayage dur. C’est donc la survivabilité des convertiplanes d’assaut de l’US Marines Corps qui est ici en jeu. L‘US Air Force et l’US Navy pourront ainsi cesser d’immobiliser leurs exemplaires sans réussir cependant à corriger le problème.
MV-22B Osprey en opération à bord de l’USS America.

Le chantier doit être mené in-situ, dans les différentes bases aériennes et aéronavales abritant des CV-22B, des CMV-22B, et MV-22B Osprey. Les équipes de Bell-Boeing interviendront donc directement avec techniciens militaires. De nouvelles pièces non métalliques vont faire leur apparition, là où jusque là on en trouvait en alliages. Et notamment les pièces défectueuses qui ont entraîné les accidents et incidents. Mais surtout la vraie nouveauté c’est qu’elle pourront être produite à bas coût dans les dites bases avec des imprimantes 3D. C’est donc une petite révolution en soit. Le calendrier prévisionnel annonce l’été 2026 pour un retour à la normale des MV-22B et entre Noël 2026 et le premier trimestre 2027 pour les CV-22B et CMV-22B. Autant dire que cela urge pour ces derniers ! C’est en effet en 2027 qu’ils doivent officiellement remplacer les derniers Grumman C-2A (R) Greyhound dans le rôle de Carrier-Onboard Delivery. Et pourtant les CMV-22B sont moins prioritaires que les MV-22B.

The new T-7A Red Hawk ejection system passes high-speed test at Holloman Air Force Base, New Mexico. After coming under scrutiny for serious ejection

The DeepSeek artificial intelligence platform is actively used by Chinese designers to develop combat aircraft, including deck-mounted fighters and new generation aircraft.

The Romanian Ministry of Defence has announced its intention to sign a multi-year contract for the supply of 246 infantry fighting vehicles for the Army.

The Iranian Defence Minister announced the creation of a new medium-range ballistic missile, the Qasem Basir, which can overcome modern air defence systems, including THAAD and Patriot.

La start-up britannique Aeralis, qui développe un avion léger modulaire, vient de créer une filiale en France. Objectif : développer un remplaçant franco-britannique de l’AlphaJet de la Patrouille de France et de l’armée de l’air pour les missions d’entraînement et Red Air (simulation d’agression aérienne).

MAE3 Abrams aux États-Unis, MGCS [Main Ground Combat System / Système principal de combat terrestre] en France et en Allemagne… En Corée du Sud, le groupe Hyundai Rotem planche aussi sur un char de combat de nouvelle génération, alors que son K2 Black Panther devrait se vendre à 1 000 exemplaires à la Pologne et qu’il pourrait être sélectionné par d’autres pays, la Slovaquie, le Pérou et, dernièrement, le Maroc étant cités.

Ainsi, en 2022 à l’occasion du salon DX Korea, Hyundai Rotem avait dévoilé les grandes lignes du concept NG-MBT [New Generation – Main Battle Tank]. Il était alors question de développer un nouveau char de combat équipé d’une tourelle téléopérée, l’équipage – 2 ou 3 hommes – prenant place dans une capsule blindée. D’une masse inférieure à 55 tonnes, il était question de le doter d’une propulsion électrique, basée sur des piles à combustible à hydrogène, de chenilles en caoutchouc et, surtout d’un canon de 130 mm à âme lisse.

Depuis, le concept du NG-MBT [ou K3] a évolué, avec des modification apportées à la tourelle. En tout cas, c’est ce qui ressort des plans que Hyundai Rotem a déposés auprès de l’institut sud-coréen de la propiété intellectuelle, avec le numéro de brevet 3013032260000. Ce dernier a été publié, dans une version expurgée, le 21 avril dernier. Faut-il en déduire que les principales caractéristiques de ce char de nouvelle génération sont arrêtées ?

Si l’on s’en tient aux détails donnés précédemment par Hyundai Rotem, la tourelle téléopérée du NG-MBT devrait être équipée d’un canon de 130 mm à âme lisse, comme le KF-51 Panther de Rheinmetall. Pour rappel, ce calibre est en concurrence avec le système ASCALON de KNDS France pour le MGCS. Sa conduite de tir devrait bénéficier des apports de l’intelligence artificielle [IA].

Équipé d’un système de protection active – de conception sud-coréenne – et d’un blindage réactif explosif [ERA] sur ses flancs, le NG-MBT devrait aussi être en mesure de mettre en œuvre des drones [aériens et terrestres] pour des missions de reconnaissance ainsi qu’au moins deux missiles antichars.

Pour le moment, l’industriel sud-coréen n’a fait aucun commentaire sur la nouvelle ligne du NG-MBT, dont un prototype pourrait être construit dans les deux ans à venir. Sans doute qu’il sera prêt pour la prochaine édition du salon de l’armement aéroterrestre d’EuroSatory ou pour DX Korea 2026.

The Air Force is eyeing a pint-sized, extended-range, low-cost missile to arm Collaborative Combat Aircraft and crewed fighters. The Air Force is eyeing a pint-sized, extended-range, low-cost missile to arm Collaborative Combat Aircraft and crewed fighters.

Le haut-savoyard Techmeta est l'une des rares entreprises, à travers le monde, à fabriquer des machines haut-de-gamme pour le soudage de métaux par faisceau d’électrons. Son chiffre d’affaires est boosté par la montée en charge des commandes des groupes de la défense.

The U.S. Air Force Research Laboratory has awarded a $28.6 million contract to Ursa Major to advance propulsion systems for hypersonic and responsive space missions. The award, announced last week, supports continued development of storable liquid rocket engines, culminating in a tactical flight demonstration. According to the Air Force Research Laboratory’s Rocket Propulsion Division at