"Anti-vaccine activists have been claiming that if the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP) moves more vaccines to shared clinical decision making, it will remove liability protections for childhood vaccines. As is often the case with disinformation, there is a grain of truth present, but it glosses over a significant amount.
Let me help set the record straight. The bottom line is that if ACIP moves more vaccines to that category, there may be fewer liability protections. However, it’s not an easy legal question, and at least a lengthy process is required before vaccines are removed from the Vaccine Injury Compensation Program (VICP); if this process is skipped, it is very likely that lawsuits afterwards will be made easier.
In policy terms, removing vaccines from VICP will also have very real costs not just to manufacturers – and by removing vaccine access to the rest of us – but to people with real vaccine injuries (and they won’t necessarily be good for the lawyers, either). Celebrating this possibility tells me the anti-vaccine movement does not really care about these people."
Notre proposition « Désinformation Vaccinale: Curation, Observatoire, Littératies » a été retenue pour le séminaire annuel de l’Académie des Controverses et de la Communication Sensible, intitulé « La désinformation : nouvelles formes, nouveaux défis », qui s'est tenu à Paris le mardi 26 novembre 2024.
Voir ci-après posts du 27 novembre, avec lien vers la présentation sur Slideshare.
Présentation le 20 mars 2025 à InfoxsurSeine deux jours pour décrypter la désinformation et échanger autour des solutions. Quels outils concrets face aux manipulations de l’information et à l’essor de l’IA générative ?
Avez vous acheté le numéro Juillet/septembre 2025 de la RECHERCHE sur LE FAUX?
des sujets à approfondir
- Vaccins et argent Making money with vaccines, against vaccines
le sujet le plus chaud, de 3,36 euros par mois à 300 millions de dollars?
- Publications vraies et fausses particulièrement difficile
- Obligations, exemptions, incitations, peut-être plus simple?
Gilbert C FAURE's insight:
The topic addresses Fake news as a global problem, extracting material focusing on vaccinations, vaccination hesitancy and anti-vax attitudes. The subject is evolving constantly with health consequences all over the world.
This topic became a research action project at CREM (Centre de Recherche sur les médiations)
Ir covers not only Fake News still thriving on the internet,
but also efforts of many (supranational bodies, scientific societies, researchers...) to improve health literacies of laypeople, and medical students on this sensitive topic...
Fake News related to Covid and Vaccinations slightly decreased compared to other topics such as ukrainian war, gaza war, and politics in USA even sports related informations... but the involvement of politicians in the topic very much increased !
Unfortunately, as Jonathan Swift so eloquently said: Reasoning will never make a man correct an ill opinion, which by reasoning he never acquired.
“The greatest enemy of knowledge is not ignorance; it is the illusion of knowledge.” — Daniel J. Boorstin
le 1 avril 2025, retour de shitstorm?
Bonjour Pr Faure, avez vous informé vos patients de la balance bénéfice -risque actuelle des produits à ARNmodifié avant de les injecter ? L'information claire loyale et appropriée et un impératif déontologique et légal. Il faut travailler Pr Faure. Pas diffamer. Travailler.…
Impact of human papillomavirus vaccines in the reduction of infection, precursor lesions, and cervical cancer: This review provides updated evidence on the efficacy, effectiveness, and health impact of HPV vaccines by presenting substantially longer follow-up periods than previous reviews and data from countries worldwide. Post-licensure studies of HPV vaccines have reported high efficacy, effectiveness, and health impact across settings and age groups. Studies emphasize vaccination in younger age groups. These findings may inform future discussions about HPV vaccination strategies. https://lnkd.in/drRHCgxs
Mis au point trop vite, inefficaces voire dangereux ? Alors que la vaccination s’accélère en France, certaines idées reçues perdurent concernant les vaccins anti-Covid. On en décrypte cinq avec le Dr Judith Mueller, médecin épidémiologiste et membre de la commission technique des vaccinations à la Haute Autorité de santé (HAS).
Shared decision making ? A new pseudo-concept for anti-vaxxers ? Like if, when you are going to the emergency room, you are likely to do so. As a patient, you have non of the expertise to do so. Do you think that as a parent you are fully equipped to do so ? Probably even less if your sources of information are from anti-vaccine groups…
The idea that sanitation alone can eliminate diphtheria is a myth; while good hygiene (clean water, handwashing) reduces spread by making transmission harder, it's not a substitute for vaccination, as diphtheria spreads through respiratory droplets and contaminated items, and unvaccinated people remain vulnerable, with outbreaks returning when vaccination drops. Vaccines train the immune system to fight the bacteria, which good hygiene doesn't do, making vaccination the best defense against this airborne bacterial infection. But it is not the first time that Physicians for Informed Consent is pushing such lie…While sanitation improves living conditions, it doesn't provide the specific immunity (antibodies) that vaccines create against the Corynebacterium diphtheriae bacteria, according to the National Institutes of Health. Poor sanitation, overcrowding, and lack of vaccination are major risk factors, showing both hygiene and vaccines are needed. But misinformation is a vector of vaccine hesitancy and transmission of diphtheria as well…
2025 RECAP: From installing an anti-vax conspiracy theorist as our nation’s top health care official to taking an axe to lifesaving biomedical research, the Trump administration has systematically put politics over science.
🧩 Le lien avec l'autisme et ⚠️ la réticence à la vaccination figurent parmi les 10 sujets les plus discutés concernant les vaccins. Un environnement idéal pour la propagation de fausses informations. Après avoir analysé des millions de conversations liées aux vaccins, nous avons identifié ce qui ne fonctionne pas-et ce qui pourrait fonctionner.
Ce qui échoue : ❌ Messages descendants ("Faites confiance à la science") ❌ Réponses défensives aux préoccupations ❌ Communication uniforme ❌ Corrections réactives de la désinformation (toujours trop tard)
Ce que les données montrent réellement : ◾La plupart des hésitations vaccinales ne sont pas une idéologie anti-vaccin radicale. Cela concerne: ▪Des parents inquiets qui cherchent des réponses (et ne les trouvent pas) ▪Des questions légitimes accueillies avec condescendance ▪La désinformation qui comble le vide laissé par une mauvaise communication ▪La méfiance institutionnelle après des décennies de scandales pharmaceutiques
◾L'opportunité : 42 % des conversations sur les vaccins concernent la vaccination infantile. 24 % les vaccins à ARNm. 18 % la résurgence de la rougeole. Ces conversations ont lieu que les autorités sanitaires y participent ou non. La question est : se présenteront-elles avec de meilleures réponses ? ▪Pour les autorités de santé publique : Le manuel doit être réécrit ▪Pour les entreprises pharmaceutiques : Humanisez votre communication ▪Pour les plateformes : Réformez vos algorithmes pour le contenu santé ▪Pour les professionnels de santé : Vous êtes les voix les plus fiables, utilisez-les ! Les outils existent. Les données montrent les sujets à travailler.
Cette étude a cherché à savoir s’il existe un lien entre la vaccination contre la COVID-19 et l’apparition de troubles cognitifs.
Elle observe plus de diagnostics de troubles cognitifs légers (=MCI) et de maladie d’Alzheimer chez les personnes vaccinées, surtout après les vaccins à ARNm, dans les trois mois suivant la vaccination.
Points positifs de l’étude :
- Grand nombre de participants : L’étude porte sur plus de 550 000 personnes de 65 ans et plus.
- Méthode bien structurée : Elle utilise des données issues d’un système national d’assurance santé, ce qui limite certains biais.
- Analyses statistiques adaptées : Les analyses tiennent compte de plusieurs facteurs pouvant influencer les résultats (âge, maladies associées, etc.).
- Résultats statistiquement significatifs : Les associations observées pour le MCI et Alzheimer après vaccins ARNm sont statistiquement solides.
Points faibles de l’étude :
- Étude rétrospective (pas de preuve de cause à effet) : Elle montre seulement une association, pas que le vaccin cause la maladie.
--> Faire des études prospectives mieux contrôlées serai une solution.
- Suivi trop court Problème : 3 mois, c’est très court pour des maladies comme Alzheimer.
--> Suivre les patients sur plusieurs années serai une solution
- COVID-19 elle-même non prise en compte : l’infection par le virus peut aussi affecter le cerveau.
--> Distinguer clairement les effets de la vaccination de ceux de l’infection serai une solution.
Et si une partie des effets secondaires des vaccins passait inaperçue ? 💉
Dans cet article, le Pr Jean-Michel Claverie, éminent virologue, interroge les limites actuelles de la pharmacovigilance.
Il questionne en particulier : les effets indésirables « privés » des vaccins, c’est à dire des réactions auto-immunes spécifiques à certains individus en fonction de leur génotype. La rareté de ces effets les rend invisibles par les systèmes de surveillance et le temps d’incubation de ces effets auto-immuns explique les difficultés à établir des liens de causalité.
Le Pr Claverie tire les conséquences possibles de ces angles morts sur l’évaluation de la sécurité vaccinale.
Une réflexion scientifique qui invite à se demander : 👉 que détectons-nous réellement… et que risquons-nous de ne pas voir ?
Le 28 décembre 2025, Le Figaro publie dans sa rubrique « Santé publique » un article intitulé « Aux États-Unis, un an de charge antivax par le ministre de la Santé Robert Kennedy Jr ».
Finished it in less than a day - an excellent page turner! Awesome read on vaccines from the perspective of a world renowned criminologist. | 49 comments on LinkedIn
Provides an overview of evidence-based strategies to address vaccine deniers in public, in clinical practice and in social situations. A strategy to help differentiate between vaccine deniers and simple vaccine refusers in a practice or clinic is provided.
Before he was confirmed, his first cousin Ambassador Caroline Kennedy wrote to several Congress members that they shouldn’t approve his nomination, calling him "dangerous " & a “predator”, and that he was “unqualified” for the job of US Secretary of HHS
“He lacks any relevant government, financial, management, or medical experience,” she said. “His views on vaccines are dangerous and willfully misinformed.”
People tend to search for information from search engines like Google in biased ways, which can bias search engine output and, in turn, distort our beliefs.
This is called the “narrow search effect,” and it was documented across 21 studies in this recent paper: https://lnkd.in/ehQ2DJ-d
Other similar work has found that searching Google for misinformation can actually increase belief in misinformation, since Google often returns results that support the misinformation people search for: https://lnkd.in/eCyT_hGJ
These dynamics may become particularly pronounced with generative AI, which can be “sycophantic,” or excessively agreeable (see our research on sycophancy here: https://lnkd.in/er3Kb97X)
TALLAHASSEE, Fla. (WFLA) - As Gov. Ron DeSantis pushes for the legislature to create a medical freedom bill package for next session, one Tampa Bay lawmaker is hoping to answer that call by expanding parental rights and vaccine exemptions with new legislation. State Rep. Jeff Holcomb (R-Spring Hill) shared with 8 On Your Side that [...]
� Les données du CDC montrent une augmentation de 112 000 % des caillots cérébraux après les injections d’ARNm
Rogers et al. ont analysé le VAERS et ont constaté que les rapports de thrombose cérébrale étaient 112 000 % plus élevés après les « vaccins » contre le COVID en… https://t.co/vVmklIBCWUpic.twitter.com/fdM4uOKOrW
#publichealth #misinformation Comment peut-on faire de la santé publique basée sur les preuves⁉️ Il faut des organismes qui produisent des avis, des observations et des recommandations sur la base de connaissances scientifiques valides 😎💡 #evidence #data
▶️ Et il faut protéger ces organismes des influences politiques‼️
1️⃣ Car comme le dit Association Française pour l'Information Scientifique (AFIS) "L’indépendance et l’intégrité des agences sanitaires sont un pilier de la confiance que le public peut accorder à leurs analyses et recommandations."
2️⃣ "Leurs avis fondent, ou devraient fonder, les politiques de santé publique"
3️⃣ et "Les décisions en matière de santé et d’environnement, pour recueillir l’adhésion du public, doivent reposer sur un état validé des connaissances scientifiques."
▶️ A lire ici Association Française pour l'Information Scientifique (AFIS) https://lnkd.in/evQUDQeE ✅️
#PopHealthLab https://lnkd.in/dkWQ2JN Swiss School of Public Health (SSPH+) Jean-Paul Krivine Santé publique France Santé Publique Suisse Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) Eric Litvak Observatoire suisse de la santé (Obsan) Valérie Santschi, PhD Thomas Steffen Nicolas Rodondi Stéphane Cullati Federico Germani Viktor von Wyl Evidences Antoine Flahault gerald bronner
Désinformation sur les effets indésirables des vaccins Covid-19
Chloé Frammery, ancienne enseignante et figure controversée de la mouvance anti‑vaccin en Suisse, a récemment posté un message affirmant que 5,8 millions de personnes auraient souffert d’effets indésirables liés aux vaccins Covid-19, en citant un rapport de Harvard sur la sous-déclaration des événements.
⚠️ Ces chiffres sont trompeurs :
1️⃣ VigiAccess et Vigibase recensent tous les effets signalés, sans prouver que le vaccin en est la cause. 2️⃣ L’étude Harvard concernait tous les vaccins avant 2011, pas spécifiquement les vaccins Covid-19. 3️⃣ Diffuser ces chiffres hors contexte alimente la peur et peut nuire à la santé publique, alors que les bénéfices de la vaccination (réduction des hospitalisations et décès) sont largement documentés.
✅ Toujours vérifier le contexte et la causalité avant de partager des données médicales. La science ne se réduit pas à un chiffre sorti de son contexte. | 43 comments on LinkedIn
Maternal vaccination matters, yet many pregnant women feel uncertain about vaccine safety, effectiveness, and how maternal vaccines benefit their babies. This VCP study shows trust, information quality, and provider engagement are key to improving uptake.
Foie gras, vaccins et complotisme. Le gras tue oui! Les vaccins beaucoup moins!
À l’approche des fêtes, un nouveau récit anxiogène circule : manger du foie gras serait devenu dangereux parce que les canards sont vaccinés. Derrière un flot de mots savants et de titres académiques, certains contenus prétendument “scientifiques” expliquent que la vaccination animale transformerait notre alimentation en menace invisible. Soyons clairs : ce discours relève davantage du complot que de la science.
Oui, les canards sont vaccinés contre la grippe aviaire. Et ce n’est ni une lubie technocratique ni une expérimentation hasardeuse. C’est une réponse à une réalité brutale que les éleveurs connaissent trop bien : avant la vaccination, la France faisait face chaque année à des centaines de foyers, entraînant des abattages massifs, des pertes économiques considérables et une détresse humaine bien réelle. La vaccination a permis de faire chuter drastiquement le nombre de foyers et d’éviter de tuer des millions d’animaux sains par précaution.
C’est exactement la même logique qui prévaut aujourd’hui pour les bovins face à certaines crises sanitaires récentes : lorsqu’on ne vaccine pas, on abat. Lorsqu’on vaccine, on protège les animaux, les agriculteurs et la chaîne alimentaire.
Les discours alarmistes jouent sur une confusion volontaire : ils laissent croire qu’un vaccin vétérinaire se retrouverait “actif” dans la viande et pourrait avoir un effet sur le consommateur. Aucune donnée sérieuse ne démontre un tel scénario. La biologie n’est pas magique, et l’ingestion d’un aliment vacciné n’équivaut pas à une injection. Ces récits sautent toutes les étapes essentielles — digestion, dégradation, doses, mécanismes réels — pour produire une conclusion qui fait peur, mais pas sens.
Le résultat est toujours le même : on inquiète inutilement les consommateurs, on jette le discrédit sur les éleveurs, et on fragilise encore un secteur déjà sous pression.
Rappelons une chose simple : 👉 Vous pouvez manger du foie gras sans crainte, comme tout aliment riche, avec modération. 👉 La vaccination animale est un outil de prévention, pas un complot alimentaire. 👉 Refuser la vaccination, c’est accepter le retour des abattages massifs.
La science sert à réduire les risques, pas à fabriquer de la panique. À l’heure où la confiance est fragile, notre responsabilité collective est de distinguer l’information rigoureuse du sensationnalisme déguisé en expertise.
Parents, stay up to date on scientific facts and research on the Hib vaccine. Understanding the research will help you make the best choices for your child’s health.
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