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France Nature Environnement édite le ZANscope, outil de dialogue territorial, d’aide au positionnement à destination des associations, mais aussi des collectivités et professionnels du secteur de l’urbanisme qui souhaitent mieux comprendre les attentes des associations et améliorer leurs pratiques.
Les objectifs ambitieux de réduction de l’artificialisation des sols votés en 2021 font l’objet de multiples controverses, en partie largement injustifiées, et risquent d’être vidés de leur substance, déplorent, dans une tribune au « Monde », trois spécialistes de l’aménagement du territoire.
Expression d’une action collective pour faire face au changement climatique dans les territoires, les Plans Climat Air Énergie territoriaux (PCAET) portent le processus d’adaptation à l’échel...
L’objectif de « zéro artificialisation nette » (ZAN) à horizon 2050 a marqué un tournant dans la façon dont est pensé l’aménagement de nos territoires, en privilégiant le renouvellement urbain et la densification, tout en limitant l’étalement urbain et l’artificialisation des sols. Longtemps oubliés par des approches territoriales en 2D, les sols jouent un rôle fondamental au sein de nos territoires : ils fournissent des nutriments, stockent du carbone, régulent le cycle de l’eau et abritent une riche biodiversité. Leur préservation est donc essentielle.
La présente contribution s’inscrit dans la suite du colloque d’Evian « Pour une nouvelle utopie foncière » et plus particulièrement dans le cadre de l’Atelier autour du thème de la prise en compte de la valeur écologique du foncier. En effet, il nous a semblé intéressant d’examiner certains mécanismes du droit européen qui incontestablement impactent directement ou […]
Localtis : Le Sénat a achevé, ce 13 mars, l’examen, en première lecture, de la proposition de loi "visant à instaurer une trajectoire de réduction de l’artificialisation concertée avec les élus locaux" dite Trace, avant un vote solennel prévu mardi 18 mars.
Le Sénat a adopté, mardi, la proposition de loi Trace, qui abroge l’objectif de réduction de 50 % de l’artificialisation des sols et multiplie les exemptions. Un nouveau dossier complexe à gérer pour le gouvernement, avant le retour du texte à l’Assemblée nationale, d’ici à l’été.
Il y a des sujets qui brisent des couples, qui déchirent des familles au repas de Noël. Après “pain au chocolat vs chocolatine”, “ PSG vs OM”, le nouveau détonateur de débats endiablés porte sur la prononciation de l’acronyme “ZAN”. Alors, peut-être pas lors des repas de famille, mais en
Dans le cadre du Think Tank "2030 Investir demain", le groupe de travail cofondé par Edmond de Rothschild Asset Management, en partenariat avec les médias L’Agefi et ID L’info durable, s’intéresse à la ville du futur, à la régénération urbaine, avec pour ambition de construire un modèle urbain répondant aux enjeux de durabilité. Dans cette interview vidéo, à la suite du deuxième atelier de ce groupe de travail, Laura Nolier, Directrice de la stratégie et de l'impact de Ginkgo Advisor, et Nicolas Menu, Directeur des investissements, reviennent sur les besoins de financement, mais aussi d’expertises nécessaires à la reconversion de friches et de bureaux vacants.
Après avoir connu un étalement urbain sans contrôle, Poitiers s’est lancé dans une ambitieuse politique pour tourner le dos à la bétonisation à tout-va.Avec pour défi d’embarquer les maires ruraux s…...
Ce vaste territoire, regroupant 73 communes et 1,5 million d’habitants, mène une nouvelle politique urbaine afin de s’adapter au réchauffement climatique.
La chaîne d’acteurs est-elle prête à faire face à la mise en oeuvre du ZAN ? Comment dénouer les tensions qu’elle soulève et relever les défis qu’elle impose ? Une partie de la réponse se trouve dans un préalable : délier la parole et croiser les points de vue, en mettant autour de la table l’ensemble des acteurs de la fabrique territoriale pour partager constats, enjeux, questionnements, expériences, etc. C’est la proposition faite par l’Agence en 2024, à travers ses petits déjeuners de travail thématiques dédiés au ZAN, très suivis et productifs. Ils ont réuni, à un rythme régulier et autour de différents intervenants, une centaine d’acteurs locaux. Au total, 7 séances ont permis d’aborder des sujets aussi variés que la filière bâtiment, la rénovation patrimoniale, le logement social, l’immobilier d’entreprise, les espaces pavillonnaires, l’action foncière, l’aménagement, etc.
Une étude qui s'attache à localiser les potentiels de renaturation sur le territoire, les prioriser et à explorer les solutions pré-opérationnelle de renaturation selon le contexte et les usages : parking, ruelle, parvis d’écoles…Les communes accompagnées ont également engagé des réflexions sur les des modalités financières de mise en œuvre des projets, les modes de faire et l’évolution de la gestion de ces espaces. Des réflexions nécessaires dans la mise en place de véritable stratégies localisées et cadrées dans le temps afin d’intégrer les enjeux environnementaux.
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Adapter la fiscalité du bâti pour les particuliers et les entreprises permettrait de corriger le signal-prix en faveur de la densification.
Le Sénat a adopté mardi 18 mars 2025 une proposition de loi visant à affaiblir les objectifs de la loi Climat et résilience, dont la réduction de l'artificialisation des terres agricoles et des zones naturelles.
Une proposition de loi sénatoriale tout juste adoptée enterre quasiment l’objectif du Zéro artificialisation nette (ZAN) en 2050. Un recul regrettable car les élus locaux ont commencé à freiner l’artificialisation.
Timothée Hubscher, directeur de la planification et de la résilience des territoires du groupe SCET, analyse les évolutions de l’objectif Zéro Artificialisation Nette des sols (ZAN) en 2050 suite à l’adoption en première lecture au Sénat de la proposition de loi TRACE (Trajectoire de réduction de l’artificialisation concertée avec les élus), le 18 mars dernier. […]
L'objectif « Zéro artificialisation nette », ou ZAN, suscite de nombreux débats, souvent très techniques. Pourquoi empêcher les villes de s'étendre sur les espaces naturels, les forêts et les terres agricoles ? S'agit-il comme l'affirment certains élus d'une mesure « ruralicide » ? La loi Climat et résilience votée en 2021 a fixé pour 2050 l'objectif d'une artificialisation nette égale à zéro. À cette date, toute surface artificialisée devra être compensée par la désartificialisation (…)
Le Sénat a adopté le 18 mars la proposition de loi visant à instaurer une trajectoire de réduction de l’artificialisation concertée avec les élus locaux, dite "Trace", nouveau nom du zéro artificialisation nette. Si les sénateurs disent, avec ce texte, vouloir mieux accompagner les élus dans leur politique de sobriété foncière, ceux-ci sont nombreux à dénoncer les retours en arrière qu'il induit.
Alors que l’objectif de « zéro artificialisation nette » fait de nouveau débat au Sénat, visualisez la manière dont la France a développé le périurbain au détriment des espaces naturels, agricoles ou forestiers.
Yvain Dobel, directeur de pôle Aménagement opérationnel et durable à la Scet, explore les nouveaux montages économiques et juridiques du cycle de l’aménagement, en regard du « zéro artificialisation nette » (ZAN) et d’une inévitable densification de l’existant. Comment la densification urbaine peut- elle contribuer à atteindre l’objectif ZAN à horizon 2050, et quels sont […]
Face aux canicules et inondations, renaturer les sols devient une priorité pour adapter nos villes au climat. Mais à quel prix ? Une nouvelle étude révèle des coûts allant de 50 à plus de 800 euros par mètre carré, selon l’état initial des sols et les techniques employées.
Considérant les différentes réglementations (urbanisme et environnement), les différents bénéfices et risques associés à la désimperméabilisation, et les différents points de vue des acteurs, le projet PerméPolis (2024-2028) vise à combiner, dans un cadre coconstruit avec les parties prenantes,...
Faut-il en finir avec l’objectif du « zéro artificialisation nette » des sols ? Alors que le Sénat examine mercredi 12 mars une proposition de loi pour détricoter ce principe, entretien avec le géographe Éric Charmes, qui décrypte les enjeux pour la ruralité de la sobriété foncière.
L’Agence observe, apporte son expertise et produit des analyses dans des champs thématiques multiples tels que de la démographie, l’économie, l’urbanisme, l’habitat, l’environnement, les mobilités, l’énergie, le foncier, l’alimentation … et la mise en cohérence des politiques publiques entre territoires.
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