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Francisco Miguens - Documentaliste
September 23, 12:10 PM
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Le Cerema recense 15 000 friches en France, un potentiel de 60 000 hectares pour le logement, l'industrie et la renaturation.
Le projet de recherche Perméasol suit l’évolution écologique de sols désimperméabilisés, durant trois ans.
La lutte contre l’artificialisation des sols est un des axes majeurs du plan national pour la biodiversité. L’objectif de « Zéro Artificialisation Nette » a été fixé à l’horizon 2050 par la loi Climat et Résilience d'août 2021. L'Occupation du Sol à Grande Échelle (OCSGE) est une nouvelle base de données produite par l'IGN, permettant de localiser, qualifier et quantifier les différents phénomènes d'évolutions des espaces et d’artificialisation des sols. Ce nouveau référentiel, désormais étendu au Vaucluse, facilite une compréhension approfondie du ZAN ainsi que des principaux concepts établis par la loi. Cette publication produite en partenariat avec la DDT de Vaucluse dans le cadre du Fonds Vert offre ainsi une première analyse de l'OCSGE en Vaucluse au prisme de la loi Climat et Résilience.
95% du temps l’automobile est immobile et occupe de la place dans nos villes. A l’heure du zéro artificialisation nette (ZAN), l’empreinte spatiale des espaces de stationnement imperméables et monofonctionnels interroge : de quelles surfaces parle-t-on ? Comment optimiser ce foncier ? Et si, sur ces parkings, on fabriquait la ville de demain ?
Le Conseil d’Etat valide la doctrine du ministère de la Transition écologique qui considère que la mesure de consommation des espaces naturels, agricoles et forestiers (Enaf) est indépendante du zonage réglementaire des PLU(i).
En annulant le plan local d'urbanisme intercommunal de Metz Métropole, le tribunal administratif de Strasbourg a rendu un jugement qui devrait interpeller toutes les collectivités qui sont en pleine élaboration de leur document d'urbanisme. Et qui met en cause les référentiels de données utilisés par les collectivités. Explications.
Le Conseil d'Etat a confirmé la définition du ministère relative à la consommation foncière dans le cadre de la mise en œuvre du Zéro artificialisation nette (ZAN), dans un arrêt du 24 juillet. Avec d'importantes conséquences pour les collectivités.
Chaque année en France métropolitaine, plus de 20 000 hectares sont artificialisés. Dans le prolongement des travaux menés par France Stratégie sur l’objectif « zéro artificialisation nette » (ZAN) d’ici 2050, et en s’appuyant sur les retours d’expérience de six territoires aux profils complémentaires, le Haut-commissariat à la Stratégie et au Plan présente une note de synthèse, accompagnée d’un document de travail. Cette analyse éclaire les moyens d’un nouveau modèle d’aménagement visant la sobriété, dans un contexte de ressources naturelles limitées et de finances publiques locales maîtrisées.
Le territoire du Haut-Lignon manquait de terrains pour accueillir des entreprises. La nouvelle zone des Barandons offre de nouvelles possibilités.
Dans le cadre de sa politique d’adaptation au changement climatique et de nature en ville, Angers Loire Métropole et la ville d’Angers ont sollicité un accompagnement de l’Aura pour développer un outil d’aide aux choix stratégiques de plantation d’arbres et de végétalisation sur la ville d’Angers.
Il faut densifier. Mais à quoi ça ressemble, la densification ? Densifier, est-ce construire à nouveau des grands ensembles ? Est-ce détruire les paysages bâtis ? Enlaidir la ville ? Est-ce nécessairement produire des opérations de piètre qualité, tant pour les riverains que pour les habitants ? Ces questions, parmi d’autres, ce sont un peu celles que se posent les Français lorsque l’on parle de densité ou de densification. Or, avec l’objectif Zéro artificialisation nette, le regard porté sur les sols et la façon du construire la ville est renouvelé. Il appelle à un usage plus mesuré des ressources foncières afin de préserver les espaces naturels, agricoles et forestiers (NAF). Le récent Schéma directeur de la Région Île-de-France écologique (SDRIF-E) le traduit ainsi par une réduction progressive de la consommation foncière d’ici 2050 et par la production quasi intégrale (90 %) de nouveaux logements en renouvellement urbain. Pour autant, les besoins en logements restent considérables : il faut produire 70 000 logements par an, tout en s’inscrivant au sein de l’enveloppe urbaine. Et pour cela, il faut donc intensifier la densification des espaces d’habitat ou la transformation d’emprises auparavant dédiées à d’autres usages.
Le Haut-Commissariat à la stratégie et au plan a publié le 15 juillet une note de synthèse, dressant un état des lieux de la possibilité, pour les territoires, de concilier l’ambition du Zéro artificialisation nette (ZAN) avec les autres impératifs attendus de la part des collectivités (logement, activité économique, préservation de l’environnement, cohésion sociale...). La connaissance précise des sols est identifiée comme l’un des leviers pour éclairer les arbitrages.
Relocalisation, végétalisation, zéro artificialisation nette… Les villes sont prises dans des injonctions contradictoires. Pour les résoudre, de nouvelles approches émergent, comment à Rouen.
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À l’occasion du mois de la sobriété foncière en Provence-Alpes-Côte d’Azur, la DREAL Provence-Alpes-Côte d’Azur, associée à de nombreux partenaires dont les agences d’urbanisme de la région, propose un cycle de rencontres tout au long du mois de septembre. Programme dans le Var : - 11 septembre : inauguration de l’expo à l’UDAP à Toulon par le Préfet du Var suivie d’une table-ronde pilotée par la DDTM du Var « Comment la sobriété foncière participe-t-elle au bien vivre ensemble »,
- 11 septembre : table-ronde autour des enjeux de sobriété foncière,
- 16 septembre : table-ronde sur « la ville d’après » pilotée la métropole MTPM, suivie d’un after-work Club de l’immobilier du Var, au jardin de Baudouvin, à La Valette-du-Var,
- 24 septembre : café-visite avec une architecte conseil, à l’UDAP à Toulon,
- 26 septembre : visite de l’écoquartier Les allées du Château à Solliès-Pont (places limitées à 30 personnes),
- et d’autres événements à découvrir.
Face aux défis climatiques, l’eau s’impose comme un levier majeur de transformation des villes. L’agence Urban Water et les étudiants de l’École urbaine de Sciences Po, en collaboration avec Nexity, ont imaginé des solutions concrètes pour prévenir les risques liés à la bitumisation.
Dans un contexte marqué par une pression toujours présente sur les terres disponibles et l'impératif de limiter l'artificialisation des sols, une meilleure prise en compte des limites entre les espaces urbains, naturels et agricoles devient primordiale. Les objectifs de préservation de nos paysages et d'amélioration de notre cadre de vie nous amènent également à réfléchir à une échelle plus fine, celle des limites entre espaces privés et publics. Cette publication vise à offrir des premières pistes de réflexion pour intégrer de manière plus cohérente les limites et transitions dans nos démarches d'aménagement urbain et nos documents d'urbanisme.
Par une décision du 24 juillet 2025, le Conseil d'État a rejeté le recours de l'association Notre Affaire à tous (Naat) qui demandait l'annulation de la circulaire du 31 janvier 2024 relative à la mise en œuvre de la réforme vers le zér
Parkings réhabilités, friches industrielles transformées, nouveaux usages de sites portuaires, zones d’activités requalifiées… A l’heure où il est nécessaire d’optimiser l’utilisation du foncier, la reconversion urbaine permet de fabriquer la ville sur la ville en limitant l’artificialisation des sols.
Alors que le gouvernement envisage de décaler l’objectif intermédiaire « zéro artificialisation nette » de 2031 à 2034 , une recherche lève le voile sur les coûts, parfois élevés, des opérations de renaturation des sols.
Près de Dieppe, les Grandes-Ventes (76) ont transformé une ancienne friche agricole en parc. Une mesure pour compenser l'agrandissement d'un site industriel qui a artificialisé des sols.
Localtis : La Banque des Territoires vient d’éditer un guide pour aider les intercommunalités à optimiser la gestion foncière de leurs zones d’activités économiques (à télécharger ci-dessous). À l’heure du zéro artificialisation nette, ces zones constituent "un réservoir potentiel important compte…
Dans un contexte marqué par une pression toujours présente sur les terres disponibles et l'impératif de limiter l'artificialisation des sols, une meilleure prise en compte des limites entre les espaces urbains, naturels et agricoles devient primordiale. Les objectifs de préservation de nos paysages et d'amélioration de notre cadre de vie nous amènent également à réfléchir à une échelle plus fine, celle des limites entre espaces privés et publics. Cette publication vise à offrir des premières pistes de réflexion pour intégrer de manière plus cohérente les limites et transitions dans nos démarches d'aménagement urbain et nos documents d'urbanisme.
Face à l’impératif de sobriété foncière et à l’objectif de zéro artificialisation nette (ZAN) à horizon 2050, la renaturation s’impose comme un pilier complémentaire du renouvellement urbain et de la densification. En réinterrogeant nos rapports au sol, à la ville et à la nature, elle engage une transformation profonde de nos manières d’aménager les territoires. Pourtant, le concept même de renaturation reste en débat. Restauration des sols, réouverture de cours d’eau, reconstitution de continuités écologiques… les pratiques sont multiples, les définitions encore mouvantes. Ce flou terminologique comme l’éclatement des cadres d’action freinent aujourd’hui le déploiement de stratégies cohérentes et ambitieuses à l’échelle des territoires.
Le Haut-Commissariat à la stratégie et au plan appelle à renforcer les dynamiques de coopération entre les métropoles et leurs intercommunalités voisines pour faciliter la mise en œuvre du zéro artificialisation nette (ZAN) des sols.
Les gérant(e)s d’entreprises, commercialisateurs, aménageurs, sociétés foncières ou élu(e)s ont chacun une perception spécifique du foncier : outil de travail, potentiel d’occupation, ressource économique ou levier d’attractivité. Ce guide reconnaît ces visions plurielles et cherche à les articuler autour d’une ambition commune. L’AGURAM propose ici un outil instructif, à destination de tous les acteurs concernés par l’aménagement économique. Il démontre qu’une dynamique d’intensification des zones peut être construite à différentes échelles : depuis un bâtiment isolé à reconvertir, jusqu’à la requalification d’une zone entière vieillissante.
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