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Réduction des pesticides : quatre associations contestent la légalité du plan Ecophyto 2030 devant le Conseil d’Etat 
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Lier hydroponie et aquaculture pour optimiser la ressource en eau et limiter les intrants : c'est l'objectif des fermes aquaponiques. Le concept émerge en France avec succès. Reportage dans la Drôme, dans la Ferme intégrale.
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Appel à communication – Conférence internationale sur les maladies des plantes (CIMA) – 2, 3 et 4 décembre 2025 – Centre des congrès d’Angers
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![[DOSSIER ]le numérique au service de la gestion des bioagresseurs | SCIENCES DU VEGETAL | Scoop.it](https://img.scoop.it/qc6oPUcgoheUb5OiipCF-Tl72eJkfbmt4t8yenImKBVvK0kTmF0xjctABnaLJIm9)
Table des matières
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"La lambda-cyhalothrine compte parmi les pesticides les plus utilisés dans l'Union européenne. Une étude menée dans cinq pays de l'UE montre que cet insecticide menace en moyenne 98,5 % des espèces d'insectes bénéfiques à l'agriculture, lorsqu'il est appliqué à la dose recommandée." Source : Nastasia Michaels Géo [En ligne ]
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![[Revue] Phytoma : Nouveau numéro disponible | SCIENCES DU VEGETAL | Scoop.it](https://img.scoop.it/_c5_EL43ltMcDmzhYivzmzl72eJkfbmt4t8yenImKBVvK0kTmF0xjctABnaLJIm9)
Changer de focale, c’est prendre du recul, notamment quand l’horizon paraît sombre, pour explorer d’autres perspectives. C’est précisément ce que proposent les conférences de Végéphyl en rassemblant les différentes filières agricoles autour des enjeux multiples de la santé des végétaux. À la Ciraa, Conférence internationale sur les ravageurs et auxiliaires en agriculture, qui se tiendra à Montpellier du 29 au 31 octobre, seront bien sûr explorées des solutions et des approches innovantes : de nouvelles formulations de produits phytosanitaires à l’utilisation de macro-organismes auxiliaires, en passant par la valorisation de la biodiversité fonctionnelle. L’étude des sensibilités variétales, devenue un pilier incontournable des stratégies de protection intégrée, y occupera également une place centrale.
Agrodoc Ouest's insight:
Nuoveau numéro de Phytoma disponible à L@Doc de l'institut Agro, en Bibliothèque Générale et en Bibliothèque Linné (Bat 4 )
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![[Ouvrage] Plant Microbiome for Plant Productivity and sustainable Agriculture | SCIENCES DU VEGETAL | Scoop.it](https://img.scoop.it/ZaAPqTkIoXJH5xakchIegDl72eJkfbmt4t8yenImKBVvK0kTmF0xjctABnaLJIm9)
“Plants are colonized by a multitude of microorganisms, collectively called “microbiome.” In this new era of ecology knowing plants at par with microbiome is essential to address the growing demand and for sustainable agriculture. Microbiomes associate with plants as commensals, symbionts, or pathogens and are associated with multifarious functions such as nutrient acquisition and augmenting plant defense against biotic and abiotic stresses in many cases. These microbiomes occupy various niches in plants such as rhizosphere, root, seed, stem, and leaves. Global agriculture is facing urgent challenges to sustainable food production and to meet its growing demand. The quest to harness the potential of useful microorganisms from ecological niches has shown many interesting results. The book on Plant Microbiome for Plant Productivity and Sustainable Agriculture features 18 chapters written by numerous renowned experts. The chapters provide a comprehensive knowledge and understanding on the topic. The diversity, distribution, functional potential of plant microbiota, and its associations with plants in agroecosystems are described. The various technological constraints, approaches, challenges to study microorganisms and prospects of using microbiomes for agri-culture and sustainable production, and environment sustainability concepts are described in this book…..”
Agrodoc Ouest's insight:
Le texte intégral de cet ouvrage a été mis en accès libre ICI
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![[Article scientifique] The biology and chemistry of a mutualism between a soil bacterium and a mycorrhizal fungus - ScienceDirect | SCIENCES DU VEGETAL | Scoop.it](https://img.scoop.it/hJiD94ip8dj0D5JUnkXSLDl72eJkfbmt4t8yenImKBVvK0kTmF0xjctABnaLJIm9)
Arbuscular mycorrhizal (AM) fungi (e.g., Rhizophagus species) recruit specific bacterial species in their hyphosphere. However, the chemical interplay and the mutual benefit of this intricate partnership have not been investigated yet, especially as it involves bacteria known as strong producers of antifungal compounds such as Bacillus velezensis. Here, we show that the soil-dwelling B. velezensis migrates along the hyphal network of the AM fungus R. irregularis, forming biofilms and inducing cytoplasmic flow in the AM fungus that contributes to host plant root colonization by the bacterium. During hyphosphere colonization, R. irregularis modulates the biosynthesis of specialized metabolites in B. velezensis to ensure stable coexistence and as a mechanism to ward off mycoparasitic fungi and bacteria. These mutual benefits are extended into a tripartite context via the provision of enhanced protection to the host plant through the induction of systemic resistance.
Agrodoc Ouest's insight:
Les champignons mycorhiziens à arbuscules (AM) (par exemple, les espèces de Rhizophagus) recrutent des espèces bactériennes spécifiques dans leur hyphosphère. Cependant, l'interaction chimique et les avantages mutuels de ce partenariat complexe n'ont pas encore été étudiés, en particulier parce qu'il implique des bactéries connues pour être de puissants producteurs de composés antifongiques, telles que Bacillus velezensis. Nous montrons ici que B. velezensis, qui vit dans le sol, migre le long du réseau hyphalique du champignon MA R. irregularis, formant des biofilms et induisant un flux cytoplasmique dans le champignon MA qui contribue à la colonisation des racines de la plante hôte par la bactérie. Pendant la colonisation de l'hyphosphère, R. irregularis module la biosynthèse de métabolites spécialisés chez B. velezensis pour assurer une coexistence stable et comme mécanisme d'éloignement des champignons et bactéries mycoparasites. Ces avantages mutuels sont étendus dans un contexte tripartite par la fourniture d'une protection accrue à la plante hôte grâce à l'induction d'une résistance systémique.
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Une étude menée sur des tomates et des vignes montre que les algues rouges marines, déjà connues pour leur richesse en agar-agar, sont également prometteuses pour protéger les cultures face à certains pathogènes.
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Scientists used fluorescence imaging to visualize calcium signalling in Arabidopsis thaliana, a common weed, exposed to airborne chemicals released by another injured plant.
Agrodoc Ouest's insight:
L'équipe de Yuri Aratani et Takuya Uemura, biologistes moléculaires à l'université de Saitama au Japon, a réussi l'exploit de visualiser en temps réel la réception de ces signaux d'alarme. Pour ce faire, ils ont utilisé :
Cette approche novatrice a permis de lever le voile sur les mécanismes intimes de la communication végétale. Crédit : FuturaSciences
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La façon dont les plantes communiquent n’a rien à voir avec la nôtre. Et pourtant, ce sont de véritables conversations silencieuses qui se tiennent en sous-sol, à l’ombre des sous-bois…
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Notre planète abrite une diversité de plantes, aux formes et fonctionnements extrêmement variés. Cette diversité morphologique, physiologique ou biochimique extraordinaire détermine comment les plantes s’adaptent et répondent aux changements globaux en cours, avec des conséquences importantes sur le fonctionnement des écosystèmes. Cependant, 90 % des connaissances actuelles sur la diversité fonctionnelle des plantes sont restreintes aux écosystèmes agricoles et des zones tempérées. Les zones arides (voir encadré), qui représentent 45 % de la surface terrestre, restent très peu explorée
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Interfel a organisé une demi-journée sur la thématique : « Comment les bonnes pratiques en agriculture biologique favorisent-elles la biodiversité ? » durant laquelle les ingénieurs du CTIFL ont pu présenter leurs travaux, au centre de Carquefou puis aux Vergers Placier.
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Cali, Colombie, 28 octobre 2024 (UICN) – Trente-huit pour cent des arbres du monde sont menacés d’extinction selon la première Évaluation mondiale des arbres publiée dans la mise à jour d’aujourd’hui de la Liste rouge de l’UICN des espèces menacées™.
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COMMUNIQUÉ DE PRESSE - Le projet européen innovant Pro-Wild a officiellement démarré en septembre 2024 pour 5 ans dans le but de protéger et de promouvoir les espèces sauvages apparentées aux plantes cultivées (Crop Wild Relatives - CWR). Coordonné par INRAE et rassemblant 19 partenaires à l’international, ce projet vise à exploiter le potentiel génétique des espèces de plantes sauvages pour améliorer la résilience et l'adaptabilité des cultures au changement climatique.
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La Ciraa (Conférence internationale sur les ravageurs et auxiliaires en agriculture), du 29 au 31 octobre, a rassemblé à Montpellier 260 professionnels, représentants du secteur phytosanitaire (firmes, expérimentateurs, consulting), semenciers, distributeurs et coopératives, conseillers agricoles, membres de la recherche. Après une première journée thématique sur les vertébrés nuisibles (campagnols, oiseaux, sangliers), la deuxième a présenté les derniers résultats d’expérimentation sur la gestion des insectes ravageurs des cultures.
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Lancée lors de la COP21 organisée en 2015 à Paris, l’initiative “4 pour 1000 : les sols pour la sécurité alimentaire et le climat” promeut, à l’international, les modes d’agriculture et de foresterie qui protègent les sols pour qu’ils absorbent le plus possible de C02 et gardent leurs capacités de production. Ses animateurs espèrent que la conjugaison des trois COP sur la biodiversité, le climat et la désertification, va aider à donner un nouvel élan au mouvement de sensibilisation sur ce thème négligé.
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![[Save the Date]29, 30 et 31 octobre 2024 à l’Institut Agro Montpellier Conférence CIRAA 2024 | SCIENCES DU VEGETAL | Scoop.it](https://img.scoop.it/O6PB4eORPtoqaUOG1gU7Zjl72eJkfbmt4t8yenImKBVvK0kTmF0xjctABnaLJIm9)
En 2024, la conférence CIRAA sera organisée à Montpellier dans la région Occitanie.
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![[Open Access review] Unlocking plant defenses: Harnessing the power of beneficial microorganisms for induced systemic resistance in vegetables – A systematic review - | SCIENCES DU VEGETAL | Scoop.it](https://img.scoop.it/k-TlWyPY-t7swE_ps4tNGTl72eJkfbmt4t8yenImKBVvK0kTmF0xjctABnaLJIm9)
"Plants are susceptible to pathogen attacks, which employ strategies that overcome plant defenses and result in damage and losses. The use of beneficial microorganisms can induce systemic plant resistance, leading to greater efficiency in disease control. The objective of this study was to identify the main microorganisms that induce systemic resistance and the genes and metabolites involved in this process. A bibliographic search was conducted on the Scopus and Web of Science platforms, and the metadata were evaluated using the Bibliometrix package in R software. Subsequently, an investigation was carried out on the microorganisms and their interactions with gene expression and metabolites involved in plant defense systems. In studies of induced systemic resistance, the most cited beneficial microorganisms were Trichoderma, Bacillus, and Pseudomonas, and the most used plant were Solanum lycopersicon L. followed by Arabidopsis thaliana. Among the pathogens, the most employed were Botrytis cinerea, Pseudomonas syringae, Rhizoctonia solani, and Fusarium oxysporum. Beneficial microorganisms influence the expression of genes responsible for signaling jasmonic acid, salicylic acid, ethylene, and the production of enzymes involved in the complex of reactive oxygen species as mediators of protection."
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Une équipe de chercheurs d’INRAE a étudié comment la bactérie Ralstonia pseudosolanacearum, un agent pathogène de plantes, responsable de la maladie du flétrissement bactérien sur diverses cultures, s’adapte à son environnement grâce à des modifications épigénétiques, et non seulement par des mutations génétiques classiques. Ces résultats de recherche ont été publiés dans la revue PLoS Biology le 20 septembre 20Une équipe de chercheurs d’INRAE a étudié comment la bactérie Ralstonia pseudosolanacearum, un agent pathogène de plantes, responsable de la maladie du flétrissement bactérien sur diverses cultures, s’adapte à son environnement grâce à des modifications épigénétiques, et non seulement par des mutations génétiques classiques. Ces résultats de recherche ont été publiés dans la revue PLoS Biology le 20 septembre 20
Agrodoc Ouest's insight:
Pour accéder à l'article en accès ouvert cliquez ICI
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Author: Andreas M. Fischer.
Molecular Plant (2024) Excerpts: "In a recent issue of Molecular Plant, Zhang et al. (2024) present a detailed analysis of the role of AtWRKY1 (At2g04880) in the regulation of both flowering and senescence, including nitrogen remobilization from senescing leaves. They demonstrate that AtWRKY1 expression is upregulated during developmental leaf senescence, after SA treatment, and under low nitrogen. AtWRKY1 knockouts lead to delayed leaf senescence, while overexpression accelerates the process,...." "Zhang et al. (2024) go on to show that AtWRKY1 influences senescence through SA metabolism, with overexpressors exhibiting higher tissue levels of this hormone, while mutants impaired in SA synthesis suppress the early-senescence phenotype of overexpressors. Of particular interest, in addition to senescence regulation, AtWRKY1 also promotes flowering by directly suppressing the expression of a key regulator, FLOWERING LOCUS C (FLC)." "Genes like AtWRKY1 allow the plant to cope with this complexity, integrating multiple (stress, pathogens, resources/nutrients) signals to optimize the timing of this last developmental phase. Specifically, AtWRKY1 accelerates development through SA biosynthesis and FLC downregulation while enhancing the plant’s ability to confront stress, albeit at the cost of shortening the resource capture phase." Via Julio Retamales
Agrodoc Ouest's insight:
Le cycle de vie de nombreuses plantes, y compris nos cultures les plus importantes, est court, avec des semaines ou des mois entre la germination et la mort. Les plantes monocarpiques ne fleurissent qu'une seule fois, le remplissage des graines/grains dépendant de la remobilisation des nutriments des plantes parentales en voie de sénescence. Un peuplement végétal mature, tel qu'un champ de blé prêt à être récolté, est le résultat d'un suicide collectif, seules les graines/grains étant des entités vivantes. (Extrait du "main text" de l'article )
Julio Retamales's curator insight,
October 9, 2024 8:03 PM
Extended commentary on the relevant article by Zhang et al. ("Arabidopsis WRKY1 promotes monocarpic senescence by integrative regulation of flowering, leaf senescence, and nitrogen remobilization"), which was already posted here and is to be found at:
Text of figure above: "Figure 1. AtWRKY1 regulates plant developmental decisions and stress/defense responses. (A) Gene Ontology enrichment analysis of genes that are upregulated in AtWRKY1-overexpressing vs. control plants and that have also been identified as AtWRKY1 targets by DAP-seq (Data S3 from Zhang et al. [2024] ). Enrichment analysis was performed using the ShinyGO tool ( Ge et al., 2020 ), with the “Araport11” genome annotation ( Cheng et al., 2017 ) as background with false discovery rate (FDR) set as <0.01. (B) Gene and pathway interactions identified by the work of Zhang et al. (2024) are printed in blue, with AtWRKY1 upregulated by aging, salicylic acid (SA), and low nitrogen stress. In turn, AtWRKY1 directly regulates SA biosynthesis genes, forming a positive feedback loop and accelerating senescence. AtWRKY1 also represses FLOWERING LOCUS C (FLC), initiating flowering. Gene and pathway interactions that are suggested by this work but are less firmly established are printed in gray using dashed arrows."
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![[Ouvrage] Biocontrôle des maladies des plantes : Avancées récentes et perspectives en matière de protection des plantes | SCIENCES DU VEGETAL | Scoop.it](https://img.scoop.it/RDQxfaxQGoluHvVfT2vl2Dl72eJkfbmt4t8yenImKBVvK0kTmF0xjctABnaLJIm9)
Dans un contexte d'urgence pour trouver des alternatives aux pesticides chimiques et faire face aux pressions parasitaires induites par le changement climatique, la recherche de nouvelles solutions de protection agro-écologique des cultures telles que le biocontrôle est essentielle. Biocontrôle des maladies des plantes présente les avancées récentes réalisées en matière de gestion des maladies des plantes et de biocontrôle.Cet ouvrage étudie la capacité des produits de biocontrôle à limiter les maladies des plantes en utilisant, directement, des peptides antimicrobiens, des mécanismes de quorum quenching, des composés végétaux ou des déchets agro-industriels comme biopesticides, ou, indirectement, via la stimulation des défenses des plantes. Il décrit également de nouvelles approches basées sur l'utilisation de bactériophages ou considérant le pilotage de la composition du microbiote des plantes comme une cible potentielle de stratégies de biocontrôle. La question importante des aspects réglementaires accompagnant la mise sur le marché des produits de biocontrôle est également détaillée, ainsi que les méthodes pour évaluer l'impact de ces nouveaux produits sur l'environnement.
Agrodoc Ouest's insight:
Cet ouvrage est disponible à l@Doc, Bibliothèque Générale du Campus de Rennes.
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Une mini-série de 3 webinaires d’1h sur un sujet d’actualité à fort enjeu (médiatique ou front de recherche). Au programme :Mini-série #1 Les solutions fondées sur la nature en agroécologieÉpisode 1/3 : le regard de l’auteur Alain RenaudinPrésident de Biomim’expo et auteur du livre « Quand la nature inspire l’innovation ». > le mardi 1.10.2024 à 13hÉpisode 2/3 : Le Grand Défi du biocontrôle et de la biostimulationAvec :
> le mardi 8.10.2024 à 13hÉpisode 3/3 : En pratique : le solAvec :
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Dans le but de trouver une méthode de lutte alternative contre Thrips tabaci en culture de poireau, le CTIFL a évalué l’effet d’une stratégie de protection basée sur l’utilisation de plantes répulsives cultivées en association avec le poireau. Dans cette étude les plantes utilisées sont la gaulthérie, le sarrasin et le géranium. Elles étaient agencées soit dans les passe-pieds entre les planches de poireaux soit sur des planches en alternance avec des planches de poireaux. Les parcelles en association avec les plantes étaient appelées « aménagée » et sans étaient appelées « témoin ». Pour étudier l’effet potentiellement répulsif des plantes, l’intensité des vols de thrips, l’activité des thrips dans le cornet des poireaux, la sévérité des dégâts et les masses des poireaux ont été évalués. Les plantes placées dans les passe-pieds sont toutes mortes à cause de l’entretien des cultures ce qui n’est pas le cas de celles placées sur les planches. Les résultats obtenus montrent que, dans le cas du sarrasin aucun effet répulsif notable n’a été observé entre les modalités "aménagée" et "témoin". Pour la gaulthérie, la sévérité des dégâts a montré des effets contradictoires car dans un cas un effet était observé dans la modalité "aménagée" et dans l’autre cas dans la modalité "témoin". Par conséquent, il n’est pas évident de conclure sur l’efficacité de la stratégie avec de la gaulthérie.
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« Réparer la Terre » (5/6). Dans l’Etat du Madhya Pradesh, plusieurs milliers de petits producteurs se sont convertis, ces dernières années, à la culture du coton biologique, minoritaire en Inde. Une initiative qui veut concilier amélioration des conditions de vie des paysans et protection de la faune sauvage.
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