Alors que s’ouvre l’exposition « En voie d’illumination : Lumières de la Nature » au Jardin des Plantes de Paris, plongez dans le monde fascinant des champignons bioluminescents.
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Alors que s’ouvre l’exposition « En voie d’illumination : Lumières de la Nature » au Jardin des Plantes de Paris, plongez dans le monde fascinant des champignons bioluminescents. No comment yet.
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La loi Climat et résilience de 2021 a instauré la mise en place d’un affichage environnemental sur les produits alimentaires afin d’informer les consommateurs du coût environnemental de leurs achats. La construction de cet affichage a suscité un important travail méthodologique ouvert aux acteurs. Un bilan intermédiaire a souligné la difficulté à appréhender toutes les dimensions de la biodiversité. C’est dans ce cadre que les ministères en charge de la transition écologique, et de l’agriculture et de l’alimentation, ainsi que l’ADEME, ont sollicité INRAE et l’Ifremer courant 2022 pour mieux documenter ce volet biodiversité, en se focalisant sur les pratiques de production. Afin d’éclairer plus largement les politiques publiques, les pouvoirs publics ont choisi de s’appuyer sur les labels dont les cahiers des charges certifient des pratiques et parce que leur développement les place au cœur de nombreux débats sur les relations entre production et consommation durables. L’étude, intitulée « BiodivLabel », a été menée par un comité pluridisciplinaire d’experts scientifiques issus d’organismes publics de recherche et d’enseignement supérieur.
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Loi Duplomb : des « solutions alternatives efficaces et opérationnelles » à l’acétamipride existent depuis des années, selon l’Anses
Alors que la crise environnementale ne cesse de s’aggraver, la façon de cultiver doit évoluer pour prendre en compte le manque d’eau et les épisodes de sécheresse. Il est devenu nécessaire d’adopter des méthodes de production alimentaire capables de résister au stress hydrique, ce qui oblige à trouver de nouvelles semences.
Edeka, importante chaîne allemande de supermarchés, travaille aux côtés des agriculteurs, en collaboration avec la communauté scientifique et l’organisation environnementale WWF, depuis dix ans. En effet, le World Wildlife Fund a voulu révolutionner le modèle conventionnel espagnol pour cultiver des oranges et des mandarines de manière plus durable, en réduisant progressivement l’empreinte écologique et en incitant les consommateurs à choisir ces produits.
Voici quatre ans que des scientifiques testent et étudient les alternatives aux néonicotinoïdes pour les cultures de betteraves. Les pistes de solutions sont nombreuses et complémentaires.
Découvrez comment les plantes utilisent les odeurs pour se défendre contre les insectes nuisibles et comment les scientifiques cherchent à exploiter ces messages invisibles pour développer de nouvelles méthodes de protection des cultures plus respectueuses de l’environnement.
Les chercheurs mettent au point des engrais biologiques qui réduisent la pollution, économisent l'énergie et pourraient réduire la dépendance de l'Europe à l'égard des importations russes. Une solution prometteuse : les algues cultivées à partir d'eaux usées.
En Grèce, des mouches stériles sont utilisées afin d’atténuer l’impact destructeur de nouvelles espèces de mouches invasives qui ravagent les cultures fruitières.
Par l’édition du soir, avec l’Agence France-Presse.
"... Financé par l’Union européenne, le projet REACT, doté d’un budget de 6,65 millions d’euros sur quatre ans, rassemble des chercheurs de douze pays : du Royaume-Uni à l’Afrique du Sud en passant par Israël et la France afin de procéder à un premier essai de la technique de l’insecte stérile (TIS).
« Notre approche est d’éradiquer localement les populations de la mouche méditerranéenne des fruits » , explique Nikos Papadopoulos, professeur d’entomologie à l’Université de Thessalie, qui participe au projet.
Ce savoir-faire doit ensuite être appliqué « à d’autres espèces destructrices, comme la mouche orientale des fruits (Bactrocera dorsalis) et la mouche des pêches (Bactrocera zonata) », poursuit-il lors d’une visite organisée pour des journalistes, dont deux de l’AFP." (...)
Image : Dans un verger de kakis, à Naoussa, dans le nord de la Grèce, des scientifiques ouvrent avec précaution des sachets en papier. Des milliers de mouches s’envolent aussitôt au-dessus des plaqueminiers.
L’expérience vise à atténuer l’impact destructeur de nouvelles espèces de mouches invasives qui ravagent les cultures fruitières. Car ces insectes lâchés sont des mâles stérilisés de la mouche méditerranéenne des fruits (Ceratitis capitata) qui détruit une partie des récoltes à Naoussa, une région productrice de pêches, un fruit largement exporté hors de Grèce.
------ Ajout ndé, le 19.09.2025
REACT aims to develop long-term environmentally friendly response strategies and novel sustainable tools to protect fruit and vegetable production and export capacities from two invasive insect pests of EU priority, Bactrocera dorsalis and Bactrocera zonata. By using SIT techniques, we are leading an eco-friendly fight against invasive insect pests in the EU.
L’adoption de la SIT pour les deux espèces ciblées (B. dorsalis et B. zonata) se heurte actuellement à deux obstacles majeurs : le coût élevé de l’élevage en masse et l’absence d’un système de tri efficace permettant des lâchers composés uniquement de mâles. Le projet REACT vise à développer des solutions rentables afin de rendre la SIT plus abordable et plus efficace en tant qu’outil d’éradication.
La technique de l’insecte stérile, ou TIS, fait partie des méthodes de lutte contre les insectes ravageurs les plus respectueuses de l’environnement. L’irradiation, par exemple aux rayons gamma ou aux rayons X, est utilisée pour stériliser les insectes élevés en masse, ce qui les empêche de se reproduire sans toutefois les priver de leur compétitivité sexuelle. La TIS ne met en jeu aucun processus transgénique (manipulation génétique).
------ Pour aller plus loin
Objectif [du projet Revolinc] : booster la TIS en associant aux mâles stériles des pesticides chimiques ou des microorganismes pathogènes, une technique appelée l’entomovectoring en anglais.
Via Bernadette Cassel
La devise du projet européen LivingSoiLL est « Healthy Soil to Permanent Crops Living Labs » (laboratoires vivants pour des cultures permanentes aux sols sains). Il s’agit d’un projet Horizon Europe lancé en juin 2024, financé par la Commission européenne dans le cadre de la mission de l’UE « Un accord sur les sols pour l’Europe » : cette mission a pour objectif de conduire la transition vers des sols sains par le biais de leur gestion durable.
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La Société Nationale d’Horticulture de France (SNHF) est heureuse de s’associer aux Archives départementales de l’Essonne pour présenter l’exposition « Fabriques à graines : histoire de semence en Essonne », qui se tiendra du 1er juin au 28 novembre 2025 au Domaine de Chamarande (91).
Ils sont partout, jusque dans les sols », soupire Nataliia Ryzhenko. Cette chercheuse en écophysiologie à l’Université de Rennes s’intéresse à ces toutes petites particules de moins d'un micromètre, issues de la dégradation des polymères plastiques. L’année dernière, son équipe a prouvé qu’elles étaient absorbées par les plantes, contaminant ainsi le premier maillon de la chaîne alimentaire humaine, non sans conséquences sur la santé. Une situation d’autant plus préoccupante que d’autres contaminants, comme des métaux, peuvent être transportés par les nanoplastiques dans les plantes : c’est l’effet cheval de Troie. Avec le projet Nanophyto, débuté cette année, Nataliia Ryzhenko développe une méthode pour quantifier la concentration de ces particules dans les sols et les plantes, et caractériser la manière dont elles s’accumulent dans les végétaux. « C’est un enjeu de santé publique mais aussi économique : il est nécessaire de développer des outils de mesure pour fixer des seuils limitant la quantité de nanoplastiques dans les plantes », conclut-elle.
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😲 Et si des "odeurs" protégeaient céréales, légumes et fruits cultivés ? |
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Summary Flower-sourced assembly of seed microbiota remains an understudied ecological process. Here, we investigated the floral transmission pathway for bacterial acquisition by developing seeds of watermelon ( Citrullus lanatus ). Comparison of stigma- and seed-associated bacterial communities from field-grown C. lanatus revealed significant overlap: up to 40% of the bacterial diversity that was detected in seed was also found on stigmas. In a field pollinator exclusion experiment, honeybee visitation to flower stigmas had no significant effect on bacterial community composition in seeds. Among a collection of bacterial isolates from stigmas and seeds in the field, more than half (57%) were able to transmit to seeds after inoculation onto stigmas under laboratory conditions. Interestingly, for most bacterial strains, fruit set rates increased after floral inoculation, and in some cases even in the absence of transmission to the seed. We also found that bacterial isolates from watermelon stigmas and seeds had variable (i.e. positive or negative) effects on seed germination and seedling emergence. Our findings highlight the contribution of floral transmission to seed microbiota assembly and its consequences for plant fitness.
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En ville, lors des canicules, quelles plantes sont nos meilleures alliées pour créer des îlots de fraîcheur ? Dans cette vidéo diffusée avec « CNRS Le Journal », un écologue teste prairies fleuries, espèces locales et herbes spontanées dans une cour d’école de Carcassonne. Qui résistera le mieux ?
Végéphyl méthodes d'expérimentation des produits phytopharmaceutiques Commission des essais biologiques mise à jour 2024
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Betteraves, noisettes, cerises : ces filières privées de pesticides néonicotinoïdes sont «fragilisées», mais des alternatives existent
Soutenue en juillet 2025 (vidéo), la thèse de M. Marteau-Bazouni (INRAE) s’intéresse à l’évolution des légumineuses à graines (soja, pois, féverole, lentille et pois chiche), face au changement climatique en Europe. Elle confirme la vulnérabilité
Publié en septembre 2025 dans la collection Écotopiques chez UGA Éditions, l’ouvrage intitulé Droit et systèmes alimentaires sains et durables consacre un chapitre à la proposition de règlement européen (juillet 2023) relatif aux nouvelles techniques génomiques (NTG) pour l’édition du génome des plantes.
Ce mémoire de stage s'inscrit dans le cadre d'une étude sur la lutte biologique intégrée dans les cultures de fraises, en mettant l'accent sur l'efficacité des auxiliaires de culture comme Orius laevigatus, Amblyseius swirskii, et Neoseiulus cucumeris. Face aux enjeux croissants liés à la réduction de l'utilisation des produits chimiques en agriculture, ce travail explore des méthodes alternatives pour la gestion des ravageurs, en particulier les thrips et les acariens tétranyques, qui menacent les rendements des cultures. Les essais réalisés ont permis d'évaluer l'impact du nourrissage des auxiliaires sur leur efficacité à contrôler les populations de ravageurs. Deux expérimentations principales ont été conduites : l'une sur l'effet du nourrissage d'Orius laevigatus avec des oeufs d'Artémia sur la dynamique des populations de thrips, et l'autre sur l'efficacité d'Amblyseius swirskii et Neoseiulus cucumeris lorsqu'ils sont nourris avec du pollen ou des proies vivantes. Les résultats montrent que le nourrissage d'Orius laevigatus a un effet significatif sur la réduction des larves de thrips, mais un impact limité sur les adultes. De plus, les modalités intégrant le nourrissage des acariens prédateurs avec du pollen ou des proies vivantes ont révélé une meilleure installation et une plus grande persistance de ces auxiliaires dans les cultures, contribuant ainsi à une lutte plus efficace contre les ravageurs.
La floraison rare et nauséabonde de l’Arum titan, dont la puanteur évoque celle d’un cadavre en décomposition, révèle une stratégie de pollinisation ingénieuse. Via Hubert MESSMER
The effects of landscape complexity on natural pest control have been widely studied but remain difficult to predict, as they often interact with local management practices and other environmental factors. In this study, we tested whether and to what extent landscape complexity (compositional and configurational heterogeneity) interacts with local pesticide use intensity and the presence of a non-crop host plant (Pyracantha coccinea), to influence the incidence of Eriosoma lanigerum, its parasitism by Aphelinus mali, and the abundance of generalist predators. We surveyed 18 apple orchards across a landscape complexity gradient in central Chile, assessing their landscape characteristics within a 1-km buffer, pesticide use intensity, and the presence of P. coccinea hedgerows. Our results highlight the significant role of configurational heterogeneity, with smaller patch sizes favoring predator abundance, while larger, less fragmented patches were associated with increased aphid incidence and parasitism rates. Intensive insecticide use strongly suppressed aphid populations but also reduced parasitism by A. mali and the abundance of predators. The presence of P. coccinea hedgerows modulated these effects, partially compensating for the reduction of insecticides and serving as a population reservoir for A. mali, but its influence varied depending on the proportion of seminatural habitat in the landscape. These findings emphasize the importance of integrating landscape structure, local management, and key non-crop habitat features when designing biological control strategies. Key message
• We investigated how landscape and pesticides use interact to shape pest and natural enemy dynamics. • Configurational heterogeneity is a key factor affecting both pests and natural enemies. • Reducing insecticide use has a stronger effect on predators than landscape complexity alone. • P. coccinea supports parasitism, counteracting pesticide effects and seminatural habitat impact. • Integrating landscape structure and high-quality hedgerows improves sustainable pest control.
Engagé en 2025, le fil rouge du salon angevin, le Sival, se renforce et sera le dénominateur commun de la programmation du salon. Il se décline en trois axes majeurs et prioritaires : la performance économique, qui fait écho aux enjeux de rentabilité, de compétitivité et plus largement de durabilité des systèmes de production, en lien étroit avec les enjeux environnementaux ; le climat, enjeu majeur qui vient accroître les besoins d’adaptation des entreprises ; et le développement et la valorisation des filières.
Plant diversification at field, farm, and landscape scales is a key strategy for protecting crops from pests. But its level of adoption remains confidential, while the overall negative impacts of pesticides are now well established. To understand the obstacles to this adoption, we conducted an extensive review of literature in life and socio-economic sciences. We found that all diversification practices are largely effective in pest control, achieving satisfactory yields and many ecological cobenefits, although context dependent. Plant diversification does not appear solely as an alternative to pesticide-based pest control but as a transformative approach to achieve sustainable agrifood systems. However, its adoption is currently strongly hindered by socioeconomic barriers, including low short-term profitability, rigid agricultural sectors, and limited support from public policies. The most beneficial practices, agroforestry and diversified landscapes, face the greatest obstacles. In contrast, cultivar mixtures, while easier to implement, offer limited cobenefits. Collaboration between scientists, policymakers, and local stakeholders seems essential to scale up plant diversification.
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