 Your new post is loading...
 Your new post is loading...
Le volet n°2 de la note d'analyse sur l'avenir de l'offre de soins publiée par le Centre d'Analyse Stratégique (CAS) Hier, nous évoquions le développement de la coopération entre professionnels de santé comme une des solutions envisagée par le...
Via Mission Innovation Entrepreneuriat Social - CRF, Astelos_Sante
La télémédecine, une solution contre la désertification médicale ?
Comment se soigner correctement quand les experts médicaux sont trop loin ? Les nouvelles technologies permettent la consultation à distance entre le généraliste et les spécialistes souvent difficiles d'accès, surtout en milieu rural. La région Midi Pyrénées est pionnière dans ce domaine depuis 20 ans.
Via Astelos_Sante
Quel médecin libéral n’a jamais interrompu une consultation pour répondre à l’appel téléphonique d’un patient ? Pratique très répandue, ce qui est légalement qualifié de « téléconsultation » peut comporter des risques, qui peuvent être évités avec quelques précautions élémentaires.
Via SNJMG
Télémédecine en Picardie : de la théorie à la pratique L’activité de téléconsultation entre le Centre Hospitalier de Beauvais et le Centre Hospitalier de Chaumont en Vexin, démarre aujourd’hui grâce à l’ouverture de la plateforme COMEDI-e ®.(COopération MEDicale Innovante en e-santé) Suite (...)
Via dbtmobile
L'intérêt d'un outil de télémédecine permettant aux services d'urgences des hôpitaux n'ayant pas de neurologue de bénéficier rapidement d'une expertise neurologique, afin d'instaurer au plus tôt la thrombolyse, avant même le transfert vers une...
Via Mheleng
|
Rescooped by
Lionel Reichardt / le Pharmageek
from e-santé
May 3, 2012 3:25 PM
|
Si les États sont prêts à financer ces développements qui réduisent les coûts tout en améliorant l'efficacité du système de soins, les particuliers sont eux aussi enclins à dépenser plus pour leur santé.
Via Thibaud Guymard
|
Rescooped by
Lionel Reichardt / le Pharmageek
from e-santé
May 3, 2012 3:25 PM
|
Au total, plus de 77 M€ d’aides seront attribués par les différents acteurs publics en 2011 à des projets de télésanté, pour un volume de projets d’environ 180 M€. Il s’agit aujourd’hui de poursuivre le déploiement des grands chantiers déjà lancés comme le DMP, la télémédecine et l’hôpital numérique mais aussi de développer les technologies pour l’autonomie, élargir l’information et la participation des patients sous le contrôle d’un conseil stratégique des technologies de l’information en santé.
Via Thibaud Guymard
|
Rescooped by
Lionel Reichardt / le Pharmageek
from e-santé
May 3, 2012 3:24 PM
|
Le M-Health représente-t-il une chance ou une menace pour l'éthique et la pratique de votre profession ? C'est assurément une chance, car c'est un levier puissant au service du patient : en ce sens, notre éthique de bienfaisance y trouve un vaste champ d'application. Cependant, si l'outil est neutre, les usages qu'on en fait, eux, peuvent comporter des risques, notamment sur la liberté et la dignité de la personne : il faut ainsi rester vigilant sur la non-divulgation des données et se donner les moyens de se prémunir. C'est une question de juste équilibre : prenons le cas d'une personne aux fonctions cognitives altérées ; si on lui donne un bracelet, cela lui évitera d'être enfermée, cela augmentera donc sa liberté. Mais cela peut également être considéré comme une surveillance, comme une percée dans son intimité. Il faut donc savoir où placer le curseur et pointer les risques pour mieux profiter des bienfaits du M-Health. Faut-il pour cela encadrer ces pratiques ? Il ne faut pas confondre télémédecine et télésanté. La télémédecine, pratiquée par les médecins et les auxiliaires médicaux, est déjà encadrée réglementairement, notamment par le décret Télémédecine. Elle comprend la téléconsultation, la téléexpertise et le télésuivi des pathologies chroniques. La télésanté, elle, recouvre l'utilisation des technologies dans l'aide à la personne malade ou handicapée. C'est plus large ; il peut s'agir notamment de téléconseil, effectué par téléphone. Dans ce cas, ce n'est pas une consultation, c'est un interrogatoire du patient, et donc le diagnostic rendu n'est qu'une probabilité. Du coup le médecin qui pratique le téléconseil engage sa responsabilité car il n'y a, à l'heure actuelle, aucun encadrement juridique de cet exercice. Si le téléconseil évolue, il faudra alors pallier cette carence. Au sein du Conseil National de l'Ordre des Médecins, nous avons lancé un groupe de travail sur cette question. Le M-Health risque-t-il de créer des inégalités dans l'accès aux soins ? Il faut trouver un équilibre entre la gratuité et les services marchands ; on ne comprendrait pas qu'un médecin fasse payer ses conseils téléphoniques au sein d'une entité privée, alors qu'à tout moment au sein de son cabinet, il donne gratuitement ces conseils si un patient l'appelle. Il ne faut donc pas qu'un système payant aboutisse à discriminer une partie de la population. La question n'est pas de privilégier un opérateur public ou un opérateur privé : après tout, dans la médecine hospitalière, on a le choix entre l'hôpital public et l'hôpital privé. C'est le système assurantiel (prise en charge par l'Assurance maladie et par les assureurs privés) qui garantit une forme d'équité. Dès lors, on peut imaginer que des assureurs puissent prendre en charge ces services de téléconseil, d'autant plus si ceux-ci conduisent à réduire la consommation inappropriée de soins. En Suisse, par exemple, quand l'assuré passe d'abord par une séquence de téléconseil, il est mieux remboursé !
Via Thibaud Guymard
|
Rescooped by
Lionel Reichardt / le Pharmageek
from Esanté
May 3, 2012 2:39 PM
|
L’Ecole Supérieure des Communications de Tunis (Sup’Com) organise, sous le patronage du ministère des Technologies de l’information et de la Communication et du ministère de la Santé publique, une table ronde sous le thème : « Perspectives de développement de la télémédecine »...
Via Mission Innovation Entrepreneuriat Social - CRF
|
Scooped by
Lionel Reichardt / le Pharmageek
May 3, 2012 10:05 AM
|
NORD-PAS-DE-CALAIS | 17 AVR. 2012 Lancé en octobre 2011 et répondant à un appel à projet du ministère de l’industrie, Vigisanté est un programme de télémédecine incluant le dépistage, l’accompagnement et le suivi à domicile des personnes hypertendues, en relation avec les médecins traitants. Retour sur ce projet très prometteur. L’hypertension artérielle concerne 10,5 millions de personnes en France, ce qui en fait la pathologie cardiovasculaire la plus fréquente en France, avec près de 23% de la population de plus de 18 ans atteinte. En outre, la CNAMTS estime qu’il existe 7 millions d’hypertendus non traités ou non dépistés. Cette maladie chronique et les facteurs de risques qui y sont associés constituent donc un enjeu majeur de santé publique. La Région Nord-Pas de Calais est encore plus touchée, avec une mortalité liée aux maladies cardiovasculaires de 50% plus élevée que la moyenne française. C’est en réponse à ce risque que le programme expérimental Vigisanté a vu le jour, à l’initiative de plusieurs Groupes de protection sociale. Partant du constat que le traitement de l’hypertension artérielle passe autant par un suivi médicamenteux que par une amélioration de l’hygiène de vie des patients, le programme Vigisanté se présente comme un dispositif global, associant dépistage, accompagnement et le suivi à domicile des personnes hypertendues, en relation avec les médecins traitants.
|
Scooped by
Lionel Reichardt / le Pharmageek
May 3, 2012 10:02 AM
|
Comme le propose le dispositif de télésurveillance des plaies inauguré hier, la télémédecine peut pallier, en partie, la pénurie de médecins en zone rurale.
Quelques chiffres et informations sur l'application de la télémédecine à la cardiologie en France. ...
La télésanté (Note d'analyse 255 - Décembre 2011) 05/12/11 À quoi ressemblera l’offre de santé en France dans vingt ans ? Les défis sanitaires sont nombreux : hausse des maladies chroniques, vieillissement de la population, évolution de la démographie médicale, etc. Pour y répondre, deux leviers d’action sont disponibles ; la note 254 traite des coopérations entre professionnels de santé et celle-ci de la télésanté. Quelles opportunités pour l'offre de soins de demain ? (volet 2) La télésanté D’une part, le développement des coopérations entre professionnels de santé, sujet traité dans le premier volet de ce mini-dossier consacré à la santé demain(1). D’autre part, la production de soins à distance grâce aux technologies de l’information et de la communication (TIC) : on parle alors de télésanté. Aujourd’hui, son potentiel reste à exploiter. Elle demeure un secteur émergent, confronté à des freins juridiques, économiques et culturels. Lever ces obstacles permettra de passer d’expériences éparses, nées sous l’impulsion de quelques acteurs, à un déploiement plus ambitieux. Dans un schéma idéal, l’apport de la télésanté ne se cantonnera pas à la dématérialisation des procédures existantes. Elle sera aussi à l’origine d’un saut qualitatif en engendrant de nouveaux services, des pratiques plus collégiales et une réorganisation des structures sanitaires selon leur degré de spécialisation. Ainsi, la télésanté donnera corps à un continuum de soins, contribuant à l’orientation optimale du patient dans un système intégré couvrant domicile, soins primaires et aigus, soins de suite et médico-sociaux. Enfin, les TIC contribueront à faire de l’usager un coproducteur de santé. Au sommaire : Vers une nouvelle offre : la transformation du modèle traditionnel de la production de santé Vers une nouvelle demande : l'implication croissante de l'usager dans la production de santé Auteurs : Mathilde Reynaudi et Sarah Sauneron, département Questions sociales Contact Presse : Jean-Michel Roullé, Responsable de la Communication Tél. 01 42 75 61 37 - jean-michel.roulle@strategie.gouv.fr
|
Les professionnels accusent l'assurance maladie du piétinement de la télémédecine - Pro.01net
Les troisièmes Assises de la santé numérique ont souligné le statu quo de la télémédecine. En cause : l’assurance maladie et l’absence de modèle économique des expérimentations déjà menées. Certains avis pointent un « jacobinisme forcené », ou encore la fâcheuse tendance des institutions à construire des usines à gaz inopérantes au détriment des initiatives locales. A contrario, l’égalité des soins est au cœur des politiques d’e-santé. Par ailleurs la réponse du ministère de la Santé : « Il ne faut pas opposer le petit projet local qui serait merveilleux au service national, lourd, qui ne fonctionnerait pas (...). Les expérimentations menées jusque-là doivent profiter au plus grand nombre, et surtout changer d'échelle ».
Via Astelos_Sante
La loi HPST donne au pharmacien un rôle accru au sein du parcours de soins grâce entre autres à ses missions de suivi de traitements et de pharmacovigilance. Le pharmacien d'officine est donc un interlocuteur privilégié ...
Via Xavier Bouhet
« Que viennent chercher chez moi mes patients et qui leur fait du bien ? ». C’est la question que s’est posé un jour un médecin alors que je l’interviewais à propos de la relation médecin-patient. Du savoir médical ? L’expérience d’un médecin confronté au quotidien à la maladie et à la souffrance ? Une attention et une présence à l’autre dans l’acte de soin ? Cette question se pose aussi aujourd’hui dans de nouveaux espaces de recherche de soins : l’internet-santé où les patients sont en quête d’informations médicales ou partagent entre eux leurs expériences de la maladie, les sites internet de médecins, prolongements virtuels de leur cabinet médical, et bientôt la téléconsultation (en 2011) où patients et médecins pourront se rencontrer dans un colloque virtuel et singulier…
L’acte de soin n’a point d’autre désir que de s’accomplir
Téléconseil personnalisé (RT @Jcqslucas #Telemedecine. Quelle différence entre teleconseils personnalisés et teleconsultations médicales ?
|
Rescooped by
Lionel Reichardt / le Pharmageek
from e-santé
May 3, 2012 3:26 PM
|
|
Rescooped by
Lionel Reichardt / le Pharmageek
from e-santé
May 3, 2012 3:25 PM
|
La Direction générale de l’offre de soins (DGOS) et l’Agence des systèmes d’information partagés en santé (ASIP santé) ont défini les modalités du soutien financier au déploiement de la télémédecine dans les régions pour l’année 2011.
Via Thibaud Guymard
|
Rescooped by
Lionel Reichardt / le Pharmageek
from e-santé
May 3, 2012 3:24 PM
|
Estimé entre 1,8 et 2,5 milliards d'euros en France, le marché de la e-santé (téléconsultation, téléexpertise, téléassistance, système d'information santé, etc.) devrait progresser de 5 à 10% par an d'ici 2015 (source : Xerfi). Le déploiement des TIC dans le domaine de la santé devrait permettre d'une part de réduire les dépenses, mais aussi d'améliorer la qualité de soin et la création de valeur. Grâce à la télémédecine, il est par exemple possible de développer l'hospitalisation à domicile et de suivre à distance les patients atteints de maladies chroniques. Même chose du côté des systèmes d'information qui doivent désormais permettre de faire des économies et d'accéder plus rapidement à l'information médicale. Pour Xerfi, la e-santé doit favoriser "l'émergence de nouveaux métiers et de services innovants".
Via Thibaud Guymard
If you've not yet heard of telemedicine or think that it's not a great way to deliver quality health care, you may want to read this. Telemedicine, made possible by the availability of mobile networks, is revolutionizing health care.
Via rob halkes
|
Scooped by
Lionel Reichardt / le Pharmageek
May 3, 2012 10:07 AM
|
Depuis les années 1990, les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) se répandent dans le monde de la santé. Avec elles, des néologismes sont nés : télémédecine, télésanté, e-santé… Sont-ils synonymes ou recouvrent-ils des réalités différentes ? Rêve ou réalité ?
|
Scooped by
Lionel Reichardt / le Pharmageek
May 3, 2012 10:03 AM
|
TELESANTE 2012 : quelle approche collaborative en télésanté ? La douzième édition s'est déroulée le jeudi 29 mars dernier : Consultez les actes de TELESANTE 2012 en ligne ! Compte rendu prochainement disponible ! Cette 12ième Journée TELESANTE a présenté différentes collaborations existantes entre les nombreux types d'acteurs concernés par la télésanté et la télémédecine dans l'ensemble des régions et pays participants, au travers de nombreux témoignages de médecins, de spécialistes de santé, de paramédicaux, d'acteurs sociaux, d'acteurs du domaine de l'innovation, et aussi et surtout de patients. L'accent a été mis sur les priorités nationales pour le développement de la télémédecine définies par le Ministère du Travail, de l'Emploi et de la Santé en France en 2011 au cours de cet événement : permanence des soins autour de l'imagerie médicale, prise en charge des AVC et des maladies chroniques, soins dans les structures médico-sociales, santé des personnes détenues. D'autres types d'applications innovantes de télémédecine et de télésanté ont été présentées. Une session spéciale a traité des coopérations internationales en télésanté. Grâce à TELESANTE 2012, un millier de participants multidisciplinaires ont ainsi pu s'informer, se rencontrer, partager des expériences, définir de nouvelles pistes de collaboration, et tout cela depuis une ville proche de chez eux, dans leur région ou pays grâce à la visioconférence.
La filière de la télémédecine fait l’objet d’une attention croissante de la part des acteurs industriels et publics. Forte de son potentiel de réorganisation des soins, d’amélioration de la qualité de vie des malades chroniques, et vecteur d’économies dans un monde friand de TIC, elle attire de plus en plus. Cette étude analyse les avantages de la télémédecine pour les acteurs qu’elle concerne : offreurs de soins, industriels, pouvoirs publics, patients. Elle propose également une cartographie du secteur et de ses potentialités, et montre la nécessité de faire évoluer les filières de formation. Un climat favorable à l'essor de la télémédecine confirmé par les acteurs interrogés, pour les lesquels la télémédecine présente un intérêt stratégique indéniable. Si la télémédecine ne représente encore qu’une faible part du secteur de la santé puisque son chiffre d’affaires annuel est de l’ordre de 100 millions d’euros, son potentiel de développement apparaît considérable.
La télémédecine est officiellement autorisée en France (c’est déjà le cas au Canada, en Suisse et aux Etats-Unis).
|