Non au Nucléaire

Un réacteur nucléaire à 1 600 mètres de profondeur, coincé dans un puits d’eau sous pression, presque invisible en surface, et prêt en six mois ? C’est le pari d’une jeune entreprise californienne, Deep Fission, qui croit dur comme fer que l’avenir du nucléaire se passera « au centre de la terre ».

Le réacteur modulaire qu’ils développent s’appelle Gravity et il a 2 gros avantages sur ses cousins « terrestres » : un environnement entièrement minéral et une pression naturelle qui ...

La suite de la vidéo sur la chaîne de la FNTP : https://www.youtube.com/watch?v=JVkg7Ookt6Y

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Portée par une nouvelle technologie chinoise, le lithium fer phosphate (LFP), 30% moins cher que le NMC (nickel manganèse cobalt) des véhicules électriques et moins sujet à l'emballement thermique, la batterie s'impose dans le stockage stationnaire d'électricité. Un succès qui pourrait interroger certains projets nucléaires.

ENTRETIEN — Dirigeant du géant français de l’électricité depuis six mois, l'ancien industriel a réussi son atterrissage. Mais il fait face à une montagne d’incertitudes.

Le nucléaire, machine tournante à la production stable et prévisible, joue en réalité de sa flexibilité. Avec la part grandissante des énergies...

Les centrales de Saint-Avold, en Moselle et celle de Cordemais, en Loire-Atlantique ont été remises en route et se préparent pour être opérationnelles cet hiver.

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Il s’agit d’un incident «rare», a précisé l’Autorité de sûreté nucléaire. «Ces personnes étaient chargées d’une opération de reconditionnement de poudres radioactives, et au moment de l’aspiration de cette poudre en vue de son reconditionnement, cette poudre a pris feu.»

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Dans les années 1970, la France lance son programme de production d'électricité produite au nucléaire. C'est le début d'une histoire qui voit cette technologie devenir la première source d'électricité du pays. Mais cette histoire à un prix qui pèse sur les finances de l'État et des Français.

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Ces dépenses, en nette augmentation, devraient encore croître alors que l’objectif est de prolonger la durée de vie des centrales nucléaires autant que possible. Si EDF a changé d’approche afin de lisser ces opérations au maximum, la Cour des comptes pointe la forte saturation des calendriers que cela engendre.

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Qui aurait envie de financer un système de surveillance environnementale qui ne fonctionne pas ? Personne, sauf l’industrie nucléaire qui se croit au-dessus des lois depuis 1999 !

Nous faisons face à une situation d’irrégularité tolérée où garantir une surveillance environnementale fiable est perçue comme un non-sujet. La centrale de Chinon a un système de contrôle totalement défaillant. La station de mesure en aval est tellement mal placée que, la plupart du temps, lorsque le débit de la Loire est supérieur à 100m3/s, elle capte uniquement de l’eau « propre » !

La Loire n’est pas surveillée de manière fiable, créant une impasse :
– Pas d’alerte en cas de pollution accidentelle.
– Pas de levier pour vérifier la véracité des registres de rejet d’EDF.

C’est inacceptable ! Comment accepter que la surveillance des rejets radioactifs dépende d’un débit de Loire inférieur à 100m3/s, une situation rarissime ? L’IRSN (aujourd’hui ARSN) est formel : dans ces conditions, un rejet anormal n’est pas garanti d’être détecté. La transparence est piétinée.

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L'avis de l'ANSR sur le renforcement des sols pour accueillir l’EPR-2 à Gravelines laisse planer beaucoup de doutes sur sa faisabilité (sans parler des coûts).

Du fait de "terrains fortement compressibles" "sur une profondeur de plus de 150 m".
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https://recherche-expertise.asnr.fr/sites/default/files/2025-10/Avis-expertise-2025-00083.pdf

L'Autorité environnementale a rendu son rapport sur le projet d'installation de deux réacteurs nucléaires nouvelle génération à la centrale de Penly, à Petit-Caux. Il pointe des zones d'ombre, des manquements en termes de sureté environnementale et pour la santé humaine, nous explique Alby Schmitt.

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La Russie et l’Inde bientôt sur la même longueur d’onde nucléaire ?

La Russie et l’Inde discutent de nouveaux projets nucléaires. Pas seulement des grands réacteurs à eau pressurisée VVER, mais aussi des petites unités modulaires, voire des centrales flottantes. Le tout sur fond de compétition technologique, de quête d’indépendance, et d’un objectif monumental : 100 GW de puissance nucléaire installée en Inde à l’horizon 2047.

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La France entretient-elle un commerce du nucléaire avec la Russie ? C'est en tout cas ce qu'affirme Greenpeace, dans une série de photos publiées dimanche 16 novembre. L'ONG a diffusé des images du port de Dunkerque, sur lesquelles on peut voir le chargement d'une dizaine de conteneurs avec des étiquettes radioactives à bord d'un cargo nommé le "Mikhail Dudin".

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Une trajectoire à l’opposé du Niger, avec qui Paris a rompu les liens après le coup d’État. Un dossier continue surtout d’inquiéter : la gestion des stocks d’uranium, que Le Monde dit susceptibles d’être vendus à la Russie.

Est-ce la fin d’un long hiver pour l’énergie nucléaire ? Partout dans le monde, les investissements dans les réacteurs de troisième génération, qui constituent une source d’électricité indépendante et non émettrice, fleurissent. Cependant, met en garde “The Economist”, la rentabilité reste un obstacle de taille au regain atomique.

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Alors que la demande d’électricité stagne et que la France a un solde exportateur de 84 TWh en 2024, la question de construire de nouveaux moyens de production divise : faut-il investir maintenant ou retarder suivant l’évolution de la demande ?

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L'électricien tricolore comptait sur la remise en service, après 2030, d’une usine de Westinghouse au Royaume-Uni pour étendre l’usage de l’uranium recyclé et mettre un terme à sa dépendance à Moscou. Mais, selon nos informations, ce scénario n'est plus d'actualité.

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La France doit refuser l’installation de data centers sur son sol pour ne pas être l’esclave des Gafam, estime le directeur de l’Observatoire du nucléaire Stéphane Lhomme.

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Derrière le renouveau du nucléaire civil se cachent des enjeux militaires : sous-marins, armement et projection de puissance.

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Greenpeace France a observé samedi 15 novembre 2025 à Dunkerque le chargement d’au moins une dizaine de containers d’uranium de retraitement (URT), à bord du cargo Mikhail Dudin à destination de la Russie. Ironie de l’agenda, Volodymyr Zelensky est reçu aujourd’hui à l’Elysée : la France assumera-t-elle son commerce nucléaire avec la Russie face au […]

Même si prolonger le parc nucléaire d’EDF à 60 ans coûtera cher, l’option sera rentable pour EDF et avantageuse pour le système énergétique français, explique la Cour des comptes. A condition qu'EDF arrive à maîtriser les coûts du grand carénage et ses délais d’arrêts de tranche.

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Le nouveau nucléaire, c’est une myriade de nouveaux concepts. Certains tiendront dans le temps, et d’autres non. Aussi, quand une coopérative énergétique spécialisée dans le nucléaire montre son intérêt pour le concept d’une startup du nucléaire, c’est forcément une bonne nouvelle pour cette dernière.

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Le projet nucléaire de Penly soulève des inquiétudes majeures de la part de nombreux experts. L’EPR2 poserait des problèmes de sécurité, pourrait avoir un impact environnemental sur les milieux marins et ses coûts de démantèlement restent très obscurs à ce stade. EDF a, de son côté, promis des réponses.

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