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Bernadette Cassel
June 1, 1:28 PM
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Les champs électromagnétiques peuvent avoir des conséquences sur la santé des salariés exposés. Leurs effets peuvent être directs ou indirects. Le point sur les effets connus ou supposés. INRS (Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles) Mis à jour le 03/05/2017 "Les champs électromagnétiques peuvent avoir des conséquences sur la santé des salariés exposés. Leurs effets sur l’organisme peuvent être directs : échauffement des tissus biologiques, stimulation du système nerveux, troubles visuels… Ils peuvent être indirects, en provoquant des blessures ou en aggravant une situation de travail dangereuse : projection d’objets ferromagnétiques, déclenchement d’une explosion ou d’un incendie… Le point sur les effets connus et sur ce qui reste à démontrer. Pour une très large gamme d’intensités, les champs électromagnétiques peuvent avoir des effets, directs ou indirects, sur la plupart des systèmes physiologiques. Ils peuvent également perturber le fonctionnement des dispositifs médicaux actifs implantés ou non comme les pacemakers ou les pompes à insuline. La survenue de tels effets à court terme est réduite par le respect des valeurs limites et des bonnes pratiques de prévention.
Les articles R. 4453-3 et R. 4453-4 Code du travail définissent des valeurs seuils en fonction des effets sur la santé. Effets directs des champs statiques, électriques ou magnétiques Les champs électriques statiques peuvent provoquer des réactions cutanées. En effet, ils induisent au niveau de la peau des personnes exposées une modification de la répartition des charges électriques. Cette modification est perceptible surtout au niveau des poils et des cheveux (seuil de perception : 10 kV/m, seuil de sensations désagréables : 25 kV/m).
Les champs magnétiques statiques peuvent être à l’origine : - d’une modification de l’électrocardiogramme (ECG) au-delà de 8 T ;
- d’effets sensoriels (nausées, vertiges, goût métallique au-delà de 2 T).
Ces effets peuvent survenir en cas d’exposition à un champ magnétique statique de très grande intensité et lorsqu'on se déplace dans le champs. Effets directs dus aux courants induits Ces effets sont fonction de la densité de courant induit dans l’organisme humain (produit du champ électrique interne et de la conductivité du corps humain). L’unité de cette densité de courant induit est l'ampère par mètre carré (A/m2). Effets dus aux courants induits en fonction de leur densité - Inférieure à 10 mA/m2 : pas d’effet connu sur la santé
- De 10 à 100 mA/m2 : effets visuels et nerveux, soudure des os
- De 100 à 1 000 mA/m2 : stimulation des tissus excitables
- Supérieure à 1 000 mA/m2 : fibrillation
Cancérogénicité Sur la base de plusieurs études épidémiologiques mettant en évidence un risque accru de leucémie chez des enfants vivant à proximité de lignes à haute tension, le CIRC a classé les champs électromagnétiques très basses fréquences (inférieur à 100 kHz) comme « peut-être cancérogènes pour l’homme » (groupe 2B).
En 2011, le CIRC a également classé les champs électromagnétiques radiofréquences comme « peut-être cancérogènes pour l’homme » (groupe 2B). Ce classement a été établi suite à quelques études épidémiologiques, sur la base d’un risque accru de gliome (un type de cancer malin du cerveau) associé à l’utilisation de téléphone sans fil.
À ce jour, il n'a pas été possible d'établir un lien de causalité entre les expositions incriminées et l’apparition de leucémies lors d’exposition à des champs magnétiques de très basses fréquences.. De manière générale, les études sont, à ce jour, insuffisantes pour conclure définitivement sur le caractère cancérogène ou non des champs électromagnétiques de basses ou hautes fréquences. Troubles visuels Des personnes soumises à un champ magnétique variable (autour d’une fréquence de 20 Hz et au-dessus d’un seuil d’intensité de 2 à 3 mT) ressentent parfois des troubles visuels, caractérisés par la perception de taches lumineuses appelées magnétophosphènes. A la fréquence du réseau électrique 50 Hz, ces troubles peuvent apparaitre à partir d’une exposition de la tête à une induction magnétique externe de 4 à 6 mT (source Icnirp 2010). Hyperthermie due aux champs haute fréquence Lors de l’exposition à des champs hautes fréquences (supérieur à 100 kHz), l’énergie absorbée par les tissus biologiques peut entraîner une augmentation de la température du corps entier (hyperthermie) ou d’une région. Cependant, le corps humain est capable, jusqu’à un certain point, de lutter contre cet échauffement par la thermorégulation. Cet échauffement des tissus se caractérise par le débit d'absorption spécifique (DAS) exprimé en W/kg.
L’exposition accidentelle à de fortes puissances peut entraîner des brûlures superficielles ou profondes. Effet auditif dû aux impulsions hautes fréquences Certaines personnes peuvent percevoir un effet auditif, spécifiques aux ondes pulsées hautes fréquences (de 0,3 à 6,5 GHz). Cette sensation est souvent décrite comme un « clic ». Les radars sont les principales sources susceptibles de générer cet effet." (...) [pdf] https://www.inrs.fr/dms/inrs/GenerationPDF/accueil/risques/champs-electromagnetiques/Champs%20%C3%A9lectromagn%C3%A9tiques.pdf
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Bernadette Cassel
June 23, 12:00 PM
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Après un printemps très pluvieux, l’espoir d’un été ensoleillé reste incertain. Deux possibilités se dégagent, selon les climatologues : soit le temps restera orageux, soit il deviendra caniculaire. Par Emmanuel Clévenot 20 juin 2024 à 09h22 Mis à jour le 21 juin 2024 à 16h08
"Une myriade de parapluies escorte, en ce 20 juin, le passage officiel à l’été. Avec plus d’une cinquantaine de départements placés en vigilance jaune — et douze autres en orange — face aux risques d’orages, d’inondations et de crues, le ciel chahute nos habitudes. Et à en croire les projections de Météo-France, le temps pluvieux et orageux n’entend pas s’envoler de sitôt. La fautive, dénommée « goutte froide », commence d’ailleurs à nous être familière. Située à plus de 5 000 m d’altitude, cette petite poche d’air frais s’est échappée du courant-jet polaire pour atteindre la latitude française. Dès lors, elle est entrée en conflit avec les masses d’air chaud venues du Maghreb et de la péninsule ibérique : « Ce phénomène, tout à fait habituel, est le kérosène de la formation des orages », image le climatologue Davide Faranda. D’ordinaire, une goutte froide est passagère. Progressant d’ouest en est, elle déclenche des épisodes pluvieux de quelques jours puis disparaît jusqu’à la suivante : « Seulement, cette fois-ci, elle stationne depuis de nombreuses semaines », précise le directeur de recherche au CNRS. Résultat ? Avec des anomalies de +45 % comparées aux normales de 1991 à 2020, le printemps 2024 est le quatrième plus pluvieux qu’ait vécu la France depuis le début des mesures en 1959." (...) ------ Lire aussi : Pourquoi ce printemps est-il si pluvieux ?
PUF - Juin 2024 Alors que des fraudes scientifiques défraient la chronique et que la place des sciences dans la décision publique est plu
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Bernadette Cassel
June 20, 12:07 PM
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À la différence de la lutte contre le réchauffement climatique, la sixième extinction de masse peine à mobiliser. 10 juin 2024 "« La biodiversité est un sujet difficile à faire appréhender, en raison de sa complexité, de ses enjeux et de notre responsabilité dans sa dégradation ». Amélie Coantic, adjointe au commissaire général au développement durable, donne le ton de la journée « Biodiversité : comprendre et agir » qui se tenait le 7 juin au siège parisien du CNRS. Virginie Schwarz, présidente de Météo France et du Club développement durable des établissements et entreprises publics (CDDEEP)1 rajoute qu’« on a souvent une vision exotique de la biodiversité, alors que les enjeux en France sont aussi importants en raison d’un patrimoine naturel très riche, à l’image des 21 234 espèces endémiques qui peuplent notre pays ». En dépit de ces lacunes, les connaissances sur la biodiversité progressent, notamment au CNRS qui, en plus d’être l’un des tout premiers contributeurs mondiaux aux travaux du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), voit également « ses scientifiques s’investir fortement auprès de la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques » (IPBES), « le GIEC de la biodiversité », comme l’a rappelé son président-directeur général Antoine Petit le 7 juin." (...) "... À la différence des mesures contre les émissions de gaz à effet de serre, la préservation de la biodiversité peine à mobiliser l’opinion publique. Le DAS [Philippe Grandcolas, directeur adjoint scientifique, ndé] de CNRS Écologie & environnement explique ce faible attrait pour le sujet en raison des représentations culturelles dominantes en Occident, dans lesquelles « les services écosystémiques sont perçus comme lointains, flous » et la sixième extinction de masse « comme un problème éthique, un triste constat sans conséquences fonctionnelles sur la planète ». Pour y remédier, Philippe Grandcolas plaide pour « produire encore plus de connaissances fondamentales et les partager avec la société de manière à éclairer les décisions stratégiques » concernant les millions d’espèces qui peuplent la planète. De ce point de vue, l’IBPES joue un rôle clef dans la diffusion internationale des connaissances scientifiques. Placée sous l’égide des Nations Unies, elle met en place des expertises collégiales à l’échelle mondiale ou régionale sur des sujets de biodiversité et de services écosystémiques et de leur durabilité. Depuis la création de l’IPBES en 2012, à la demande du gouvernement français, le CNRS y tient une place majeure, avec plus d’une vingtaine de scientifiques mandatés pour les rapports de la plateforme. Lui-même siégeant parmi les représentants du CNRS à l’IPBES, Philippe Grandcolas invite ses collègues à se porter volontaire auprès de l’instance onusienne, car « le CNRS a la force d’avoir des experts dans tous les domaines de la plateforme scientifique et celle-ci a besoin de tels experts »." (...) [Image] Observation d'une micro-cage dans laquelle sont conservés les pucerons collectés dans un champ de blé. © Jean-Claude MOSCHETTI / ECOBIO / CNRS Images
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Bernadette Cassel
June 18, 1:57 PM
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Pour mesurer l’impact d’un article scientifique, on peut compter combien d’autres papiers y font référence. Des chercheurs viennent de détecter une fraude aux citations. Publié: 14 juin 2024, 10:47 CEST Auteurs Lonni Besançon Assistant Professor in Data Visualization, Linköping University Guillaume Cabanac Professeur des universités, Institut de Recherche en Informatique de Toulouse Contributeur Thierry Viéville [Image] References' long path from authors to bibliometric dashboards: after Editorial and Peer-Review assessment, metadata are registered to a DOI provider (here Crossref). Metadata are then retrieved by bibliometric platforms (The Lens, SpringerLink, Dimensions) that provide various services, such as a search engine and bibliometric dashboards for institutions. A sneaked reference from our analysis (see Figure 2) appears highlighted in red, the different actors involved are in blue square, and our data collection process is shown in light orange ellipses.
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Bernadette Cassel
June 16, 1:53 PM
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Les derniers chiffres de l’UE/EEE montrent une tendance continue à la hausse du nombre de cas de dengue importés de régions endémiques de la dengue, ainsi qu’un nombre croissant d’épidémies locales d’infections à virus du Nil occidental et de dengue dans l’UE/EEE. Actualités 11 juin 2024 Contexte - À partir de 2024, dans l’UE/EEE, Aedes albopictus est établi en Autriche, en Bulgarie, en Croatie, en France, en Allemagne, en Grèce, en Hongrie, en Italie, à Malte, au Portugal, en Roumanie, en Slovénie et en Espagne, et il est introduit en Belgique, à Chypre, en Tchéquie, au Liechtenstein, aux Pays-Bas, en Slovaquie et en Suède.
- À partir de 2024, Aedes aegypti est établie à Chypre et dans plusieurs régions ultrapériphériques de l’UE, telles que Madère (Portugal) et les îles des Caraïbes françaises.
- Depuis 2010, date à laquelle la première épidémie récente de dengue a été enregistrée, 48 épidémies de dengue à transmission vectorielle se sont produites. Entre 2010 et 2017, il y a eu jusqu’à 3 foyers par an, 5 foyers en 2018, 7 en 2020, 10 foyers en 2022, et le pic a été observé l’année dernière en 2023, avec 8 foyers en France, 4 en Italie et 2 en Espagne.
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Bernadette Cassel
June 15, 3:32 PM
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Ce papillon vit dans les milieux humides où pousse la Gentiane pneumonanthe. Sous leur brève forme d’adultes, les papillons s’observent pendant la période de floraison de cette gentiane, de mi-juin à fin septembre. Le site portail qui fait le tour des enjeux de l'environnement du département de l'Aveyron. "La chenille a une technique pour se nourrir tout à fait étonnante ! Les premières semaines de sa vie, tranquillement installée dans la fleur, elle mange les graines en formation de la Gentiane pneumonanthe puis se laisse tomber au sol où elle reste jusqu’à ce qu’une fourmi du genre Myrmica croise sa route. La chenille sécrète une substance imitant à la perfection les phéromones émises par les fourmis. Elles la considèrent donc comme l’une des leurs et l’emportent dans la fourmilière où les ouvrières la nourrissent comme s’il s’agissait d’une de leurs larves. 1 à 2 ans après, devenue papillon, l’Azuré des mouillères est beaucoup moins vorace et se contente de nectar de fleurs.
Son cycle de vie complexe (interaction azuré-fourmi-gentiane) fait de ce papillon une espèce très fragile.
La raréfaction de la Gentiane pneumonanthe ainsi que la disparition du nombre de fourmilières peuvent conduire à la disparition de l’azuré. Ce papillon est donc protégé en France et fait partie de la liste des espèces menacées en Europe. La destruction et la fermeture des milieux humides sont les principales menaces qui pèsent sur l’Azuré des mouillères. En Aveyron, la plus importante station connue à ce jour est la tourbière des Rauzes, sur le Lévézou, découverte en 2003 par la Maison Natale de Jean-Henri Fabre .
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Bernadette Cassel
June 13, 1:37 PM
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"Notre rapport à la nature se fonde sur la distinction entre nature et culture. Face à la crise climatique, ne faut-il pas dépasser ce "Grand partage" ?" Par Géraldine Muhlmann Épisode • 5/5 du podcast Qu’appelle-t-on les sciences humaines ?Vendredi 31 mai 2024 Avec - Philippe Descola Anthropologue, professeur émérite au Collège de France, médaille d’or du CNRS 2012, spécialiste du rapport à la nature établi par les sociétés humaines
- Catherine Larrère Philosophe, professeure émérite à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, spécialiste des questions éthiques et politiques liées à la crise environnementale et aux nouvelles technologies
Dans ses travaux, Philippe Descola souligne le “Grand partage” sur lequel repose la culture occidentale, celle faite entre la nature et les êtres humains. Il précise : “le terme d'environnement est intéressant puisqu'au fond il est très anthropocentrique, c'est tout ce qui constitue l'entourage des humains”, et “tout cet entourage a été considéré depuis longtemps comme quelque chose d'extérieur avec lequel les humains avaient imposé une séparation”. Catherine Larrère nuance cette idée en s’appuyant notamment sur Rousseau. “Rousseau dit “l'homme tient à tout ce qui l'environne”, ce qui n'est pas une façon de dire la supériorité humaine, mais au contraire de montrer la dépendance des humains par rapport à ce qui les environne”. Ainsi, “on fait de Rousseau l'apologiste d'une nature, alors que Rousseau ne pense jamais la nature comme une substance séparée”.
Classiques Garnier - Juin 2024 Le problème de l'âme des bêtes surgit dans la philosophie spinozienne comme dans un cadre imprévu. Si
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June 10, 11:48 AM
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L’utilisation des outils génétiques et génomiques pour identifier les espèces, tels les codes-barres ADN ou l’ADN environnemental (ADNe), a connu un essor considérable lors des deux dernières décennies. L'ADN pour identifier et suivre la biodiversité : avancées, méthodes et données pour la recherche, les collections et les politiques publiques 27-28 nov. 2024 Paris (France) "Le colloque ID-ADN vise à présenter le contexte national et international, ainsi que les initiatives françaises dans ce domaine, à l’interface entre le développement des connaissances fondamentales sur la biodiversité et la mise en œuvre de politiques publiques. Les communications présenteront une diversité d’applications et de méthodes pour différents groupes d’organismes en France métropolitaine et dans les DROM-COM, ainsi que les stratégies et enjeux liés aux collections et aux données pour la recherche, l’expertise et les politiques publiques
À qui s'adresse ce colloque ?
Autour de son thème central concernant la caractérisation moléculaire de la biodiversité, ce colloque s’adresse aux différentes communautés de la recherche scientifique, de l'expertise naturaliste, de la conservation et de la valorisation des collections, et de la conception et de la mise en oeuvre des politiques publiques, notamment :
représentant.e.s des institutions
enseignant.e.s-chercheurs.seuses
étudiant.e.s du 3ème cycle
ingénieur.e.s / technicien.e.s / responsables données
naturalistes et bureaux d'études
experts taxonomistes
conservateurs de collections d'histoire naturelle
gestionnaires d'espaces naturels ou urbains
Déroulement et format
Pour sa première édition, le colloque ID-ADN couvrira différentes thématiques en rapport avec l'utilisation de l'ADN pour étudier la biodiversité, selon un planning défini." (...)
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Bernadette Cassel
June 8, 7:32 AM
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Le laboratoire Shen fait partie de l'Institut des sciences de l'insecte et du Centre de biologie évolutive et organique de l'université de Zhejiang. Nous pensons que les séquences génomiques, qui sont souvent utilisées pour comprendre la biodiversité essentielle à tous les aspects de l'étude de l'évolution et de la biologie en général, sont de riches archives de l'histoire et des fonctions. La recherche dans le laboratoire se concentre sur l'utilisation d'approches informatiques et de données à l'échelle du génome pour faire la lumière sur des questions de phylogénétique moléculaire, de biologie évolutive, de génomique comparative et de bio-informatique. Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
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June 7, 1:33 PM
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L'heure de pointe - Acadie | Ces temps-ci, les résidents du nord-ouest du Nouveau-Brunswick sont envahis par des chenilles. La chenille de la livrée des forêts est velue, noire, bleue et avec des trous de serrures blancs sur le dos. Mais pourquoi sont-elles si nombreuses? Ohdio Publié le 7 juin 2024 "Au microphone d’Amélie Gosselin, Gaétan Moreau, professeur d’écologie des insectes à l’Université de Moncton, explique les raisons de la prépondérance de ces chenilles et du fonctionnement des épidémies d’insectes." [Image] Le nord-ouest du Nouveau-Brunswick est touché par une infestation de chenilles.PHOTO : Gracieuseté/Pénélope Cormier
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June 5, 1:13 PM
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Les brachycères, Brachycera, forment un sous-ordre d'insectes diptères qui comprend les mouches muscoïdes aux antennes courtes (du grec brachy signifiant "court" et ceros "corne"). Les antennes sont formées de trois articles ; le dernier article porte une longue soie, nommée arista, ou bien un style plurisegmenté. Wikipédia, version du 9 avril 2023 à 23:29 ------ NDÉ Correction "... (du grec βραχύς / brakhús, « court », et κέρας / kéras, « corne »1 )." Wikipédia, version du 17 juin 2024 à 08:53 ------ via Taupo sur X, 17.06.2021 "#Etymozoo : Brachycère, du grec brakhús (court) et kéras (cornes, antennes) : groupe de diptères (mouches, moustiques) dont les antennes sont particulièrement rabougries."
https://x.com/pierrekerner/status/1405465250099613703
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Today, 1:21 PM
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Moustiques et autres vecteurs responsables de maladies, intoxications alimentaires, santé des arbres… Autant de sujets sur lesquels nos scientifiques travaillent. Retrouvez-les dans l’émission Science en questions de la chaîne Esprit Sorcier TV pour découvrir leurs parcours, comment ils mènent leurs recherches et contribuent à mieux protéger notre santé et celle des écosystèmes. 07/06/2024
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June 22, 1:50 PM
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Les réponses des intelligences artificielles génératives contiennent régulièrement des erreurs factuelles, voire de pures inventions. Quelle est l’ampleur du problème ? Et est-il possible de le surmonter, à l’heure où l’IA se répand dans les outils du quotidien ? Par Nicolas Six et David Larousserie Publié le 17 juin 2024 à 20h00
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June 21, 10:24 AM
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Alors que vient de se tenir à Bonn la dixième session plénière de la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES), son rapport destiné aux décideurs souligne les énormes dégâts causés par les espèces exotiques invasives qui menacent des écosystèmes entiers, entraînent des coûts financiers énormes et réduisent la qualité de vie de nombreuses populations. Explications avec l’écologue Martine Hossaert-McKey. 04 septembre 2023 Martine Hossaert-McKey est directrice de recherche CNRS au Centre d’écologie fonctionnelle et évolutive (CEFE, CNRS/EPHE – PSL/IRD/Université de Montpellier) et conseillère scientifique Biodiversité et Outremer auprès de l’Institut écologie et environnement du CNRS (INEE). [...] Quelles sont les principales conclusions de l’IPBES à ce sujet ? M. H.-M. : En plus de leur impact environnemental, les espèces exotiques envahissantes représentent un coût économique se chiffrant en centaines de milliards de dollars. Les derniers articles scientifiques sur le sujet sont de véritables pavés dans la mare, montrant des coûts bien supérieurs à ce qui était jusque-là admis. Ces éléments sont très importants pour les décideurs et pour les pousser à agir. Nous proposons également des solutions dont les plus évidentes, mais pas les seules, sont de renforcer les contrôles aux frontières et surtout bien gérer les écosystèmes dans les lieux d’invasions. Nous montrons aussi qu’il s’agit d’un problème dynamique, appelé à s’aggraver si rien n’est fait. Le rapport indique que 60 % des extinctions d’espèces sont dues à des invasions biologiques et que leur coût environnemental va être multiplié par quatre tous les dix ans si la situation stagne, alors que, dans les faits, elle empire. 85 % des espèces exotiques invasives auront alors un impact négatif sur notre qualité de vie. Enfin, nous soulignons que de nombreuses espèces envahissantes n’ont pas encore été déclarées comme telles, notamment par manque de données évaluées par les pairs dans certaines régions du monde moins bien étudiées sur le plan scientifique." [...] ------- NDÉ Le rapport
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Bernadette Cassel
June 19, 1:49 PM
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Catch up on your favourite BBC radio show from your favourite DJ right here, whenever you like. Listen without limits with BBC Sounds. Julie Skentelbery - La magnifique migration des insectes - BBC Sounds Le Dr Will Hawkes explique comment des millions d'insectes migrateurs quittent les Cornouailles pour les Pyrénées. ------ via BBC Cornwall sur X, 18.06.2024 "The Magnificent Migration of Insects. Dr @WillLeoHawkes explains to Julie @Skentelbery how millions of migrating insects leave Cornwall for the Pyrenees. Take a listen ⬇️ https://t.co/mU0A4loTTl"
https://x.com/BBCCornwall/status/1803033539916579187
------ NDÉ Illustration via Dr Will Leo Hawkes sur X, 19.06.2024
https://x.com/WillLeoHawkes/status/1803361819089588333 Traduction de X Une découverte vraiment passionnante de notre travail de surveillance de la migration des insectes à travers les Pyrénées était que nous voyions occasionnellement ces magnifiques guêpes migrer. Isodontia mexicana n’est pas originaire d’Europe et se propage rapidement. Nous avons trouvé quelques individus à près de 3 000m d'altitude, morts sur les glaciers, ce qui laisse penser qu'ils cherchaient vraiment à migrer quelque part ! De si beaux animaux et un autre élément de preuve du monde moins connu de la migration des hyménoptères. ------ L'étude Traduction (le début de l'introduction) Les insectes sont les migrateurs terrestres les plus nombreux, dépassant de loin les migrations terrestres et aériennes des vertébrés en termes de biomasse et d'abondance [1,2]. Les insectes migrent pour exploiter les ressources saisonnières, augmenter le rendement reproductif et/ou échapper à la détérioration de l'habitat due aux changements de température, aux variations de la qualité de la nourriture ou au risque de maladie, ou encore pour rechercher des sites appropriés pour passer l'hiver [1,3]. Le cycle biologique des migrateurs des zones tempérées du Nord est souvent associé à un avantage reproductif élevé, de sorte que les migrateurs d'automne sont beaucoup plus nombreux que les arrivées de printemps aux latitudes septentrionales, par exemple plus de deux fois en moyenne pour les syrphes et plus de trois fois pour la teigne argentée Y (Autographa gamma) [4,5]. Les études sur la migration des insectes se limitent souvent à des taxons spécifiques, par exemple les papillons de jour et de nuit, les libellules ou les syrphes [6-8], tandis que les études portant sur des assemblages entiers sont relativement rares. En effet, les petits insectes migrateurs sont souvent invisibles dans un vaste paysage, ce qui nécessite des équipements spécialisés tels que des radars entomologiques [9,10] ou des filets soutenus par des ballons pour les détecter [2,11,12]. Cependant, dans certains endroits rares connus sous le nom de goulets d'étranglement migratoires, les densités aériennes sont considérablement accrues par les conditions topographiques, ce qui permet d'étudier l'ensemble de l'assemblage migratoire au niveau du sol. Les goulets d'étranglement de la migration des insectes sont relativement peu connus, mais lorsque des études ont été menées, elles ont permis d'obtenir des informations précieuses sur les types et les nombres d'insectes migrateurs [8,13-15]. En Europe, pendant l'automne, les goulets d'étranglement migratoires se trouvent dans les chaînes de montagnes telles que les Alpes en Europe centrale et les Pyrénées en Europe de l'Ouest [8,15]. Dans ces endroits, les barrières montagneuses et les vents locaux dirigent les insectes vers des vallées escarpées et des cols de montagne étroits. Dans les goulets d'étranglement migratoires d'Europe centrale, les insectes ont été suivis à la station de recherche de Randecker Maar dans les hautes terres de Schwäbische Alb en Allemagne depuis 1978, et au-dessus du col de Bretolet dans les Alpes franco-suisses pendant 12 ans entre 1962 et 1973 [8,16].
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Bernadette Cassel
June 17, 2:15 PM
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La Sésie apiforme ou Sésie du peuplier (Sesia apiformis) est une espèce de lépidoptères (papillons) de la famille des Sesiidae, originaire d'Europe. Wikipédia version du 10 août 2023 à 12:22 [Image] Sesia apiformis (le mâle est le plus petit) ------ via Taupo sur X, 06.09.2022 "#Etymozoo : Sesia apiformis, du grec sēs (mite) et du latin apis (abeille) et fōrma (forme) : le papillon à l'apparence d'abeille (ou de frelon ici) https://t.co/CZ1roSfv2r" https://x.com/pierrekerner/status/1567090232515756034
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June 16, 6:29 AM
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Les piqûres des moucherons ne sont pas graves en France, mais entraînent des douleurs. Pour s'en protéger, portez des vêtements qui couvrent bras et jambes. Quels sont les symptômes ? Que faire pour la soigner ? Quels sont les traitements ? Le Dr Habib Chabane, allergologue à Paris nous éclaire.
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Bernadette Cassel
June 14, 1:07 PM
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"Le mutualisme fourmis-pucerons : les fourmis et les pucerons entretiennent des liens étroits, de coopération. C’est fort souvent qu’on les croise ensemble sur la même plante." Science bestiale 24.12.2023 "Ces relations sont fréquemment mutualistes, un échange de bons procédés, mais cela n’empêche pas les pucerons de se retrouver à l’occasion dans le rôle de proie. Cela dépend des espèces, autant du côté des fourmis que de celui des pucerons, mais aussi des conditions environnantes. Pour autant, le mutualisme fourmis-pucerons peut souvent être un frein à l'élimination des pucerons par des prédateurs comme les coccinelles."
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June 12, 1:26 PM
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Les Blattaria, communément appelés cafards, blattes ou encore cancrelats, sont un sous-ordre d'insectes de l'ordre des Blattodea, dont font également partie les termites. Blattaria — Wikipédia version du 27 mars 2024 à 02:06 "La classification de ces groupes est encore sujette à différentes hypothèses. L'une d'entre elles voudrait qu'ils soient inclus avec les mantes dans l'ordre des Dictyoptera. D'autres voudraient les séparer complètement, les blattes faisant partie de l'ordre des Blattodea et les termites de l'ordre des Isoptera. Cependant, les dernières recherches sur la génétique de ces groupes suggèrent qu'ils ont évolué d'un ancêtre commun et qu'ils sont ainsi fortement liés." ------
via Taupo sur X, 20.06.2021 "#Etymozoo : Cancrelat, du neerlandais kakkerlak, tiré d'une langue caraïbe pour désigner les cafards. À rapprocher de l'anglais cockroach, lui même dérivé de l'espagnol cucaracha https://t.co/nBJickNddi" https://x.com/pierrekerner/status/1406552405714608130
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June 10, 2:16 PM
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La vulgarisation scientifique est à l'honneur ce week-end à Paris, au Ground Control, un lieu culturel du douzième arrondissement de la capitale. Le festival double science est organisé par le café des sciences et l'association l'Exploratoire. Au programme, des évènements plutôt étonnants, mais aussi des ateliers de l'université Paris Cité, du CNES et de l'Inserm. Dimanche 9 juin 2024 ------ via Taupo sur X, 10.06.2024 "Présentation du Festival @double_science_ sur @franceculture @FC_actu où j'explique notamment mon atelier microscopie sur le stand @univ_paris_cite https://t.co/VsC1bYxhiM à partir de 7:19 https://t.co/F1Tgs1wc8E" https://x.com/pierrekerner/status/1800167792219766787
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Bernadette Cassel
from EntomoNews
June 9, 11:42 AM
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Le 19 avril était publiée la « déclaration de New York sur la conscience animale », signée depuis par 287 chercheurs. Celle-ci appelle à réfléchir sur la façon dont nous traitons les animaux, vertébrés et invertébrés, qu’il s’agisse de recherche expérimentale ou d’élevage. Entretien avec Martin Giurfa, neuroéthologiste, et Athanassia Sotiropoulos, directrice de recherche à l’Inserm, sur la portée de cet événement. Propos recueillis par Nathaniel Herzberg et Hervé Morin Publié le 03 juin 2024 à 18h07, modifié le 05 juin 2024 à 08h21
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Bernadette Cassel
June 7, 1:40 PM
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A-t-on vraiment raison de penser que les abeilles et les fourmis passent leur temps au travail ? Le professeur Moustache a pris des risques pour infiltrer ces soit-disant bourreaux de travail. Et au pays de maya l'abeille, tout n'est pas si rose que ça ! Tu mourras moins bête - ARTE 6 juin 2024 L'épisode entier ici 👉
• La paresse | Tu mourras moins bête | ...
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Bernadette Cassel
June 6, 12:57 PM
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Dans le contexte de mes conférences de 2024 sur « L'épigénétique à l'interface entre les organismes et leur environnement », le colloque explorera plus avant certains aspects de cette interface, en particulier les processus moléculaires et cellulaires qui sous-tendent les interactions de l’organisme et son environnement et qui aboutissent à des changements phénotypiques. du Mardi 11 juin au Mercredi 12 juin 2024 Edith Heard "Des exemples de réponses à court et à long terme des organismes aux changements environnementaux, couvrant des concepts tels que l'assimilation génétique et la plasticité phénotypique, ainsi que les réponses au stress, la survie et l'adaptation. Les exposés porteront sur de nombreux organismes, du règne végétal au règne animal, avec des exemples de phénomènes programmés ou induits par l'environnement, étudiés au niveau moléculaire. La relation étroite entre les éléments transposables et la régulation génétique et épigénétique chez les plantes sera abordée, de même que l'utilisation des données génétiques et épigénétiques pour identifier les causes environnementales inconnues des maladies humaines. Des présentations seront également faites sur l'hérédité épigénétique (non basée sur la séquence d'ADN) et son rôle potentiel dans la transmission de phénotypes transgénérationnels induits par l'environnement dans certains organismes. La mesure dans laquelle les mécanismes épigénétiques peuvent participer à des stratégies d’adaptation à court terme, ou même ouvrir la voie à des adaptations permanentes basées sur la séquence d'ADN sera explorée, en revisitant le concept de l'hérédité des caractères acquis." [Image] Le Rêve, Henri Rousseau, 1910, MoMA.
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Bernadette Cassel
June 4, 1:01 PM
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Dans le monde vivant, l'apparition d'une nouvelle espèce nécessite la séparation d'une espèce ancestrale en deux groupes distincts. Une nouvelle étude révèle qu'un croisement entre deux espèces du genre Heliconius a donné naissance à une troisième ! Un phénomène très rare nommé spéciation hybride. Vendredi 31 mai 2024 Avec sciences [...] Le croisement entre deux espèces peut-il donner naissance à une troisième ? Dans cette nouvelle étude, les scientifiques se sont intéressés à une espèce de papillon amazonien : Heliconius elevatus, parce qu’elle a une coloration différente de celles dont elle est proche génétiquement. Comment se fait-il qu’elevatus ait les ailes d’un cousin éloigné, tout en ayant un génome quasiment identique au cousin proche ? Parce que les deux cousins ont fait des petits il y a environ 200.000 ans ! Heliconius elevatus est issu du croisement entre les espèces Heliconius pardalinus et Heliconius melpomene. Un phénomène nommé spéciation hybride qui est très rare dans la nature. Explications avec Mathieu Joron, directeur de recherche CNRS au Centre d’Écologie Fonctionnelle et Évolutive de l’Université de Montpellier et co-auteur de cette étude parue dans Nature. [Image] Extended Data Fig. 6 PCAs of male sex pheromones and host plant use show that H. elevatus, H. pardalinus and H. melpomene from the western Amazon form three distinct clusters in trait space.
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![[Conférence de presse] Aggravation de la propagation des foyers de maladies transmises par les moustiques dans l’UE/EEE, selon les derniers chiffres de l’ECDC | EntomoScience | Scoop.it](https://img.scoop.it/XXYj0UMVKE_XvRT5OxEvqzl72eJkfbmt4t8yenImKBVvK0kTmF0xjctABnaLJIm9)
![[Etymozoo] Un sous-ordre de diptères aux antennes particulièrement rabougries | EntomoScience | Scoop.it](https://img.scoop.it/h-rGSyR10VyCe0wKA6T5Kjl72eJkfbmt4t8yenImKBVvK0kTmF0xjctABnaLJIm9)
![[Étymozoo] Sésie apiforme | EntomoScience | Scoop.it](https://img.scoop.it/CE3sqCpeOJzDS4bELIc5VDl72eJkfbmt4t8yenImKBVvK0kTmF0xjctABnaLJIm9)
![[Etymozoo] D'où vient le mot "cancrelat" ? | EntomoScience | Scoop.it](https://img.scoop.it/t3Cd3fCSEJUNfT5fasOyeDl72eJkfbmt4t8yenImKBVvK0kTmF0xjctABnaLJIm9)
"Catherine Larrère, professeure émérite à l’université Paris-I-Panthéon-Sorbonne, a largement contribué à développer en France la philosophie environnementale. Raphaël Larrère, ingénieur agronome et sociologue, est spécialiste d’éthique environnementale. Ensemble, ils ont notamment publié Du bon usage de la nature. Pour une philosophie de l’environnement (Champs Flammarion, 2009) et Penser et agir avec la nature (La Découverte, 2015)."
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'collapsologie' in EntomoScience | Scoop.it
https://www.scoop.it/t/membracides/?&tag=collapsologie
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