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Scooped by Jacques Le Bris
May 13, 2014 10:32 AM
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Le m-commerce dépassera les 110 milliards de dollars en 2014 aux Etats-Unis | AppDays News

Le m-commerce dépassera les 110 milliards de dollars en 2014 aux Etats-Unis | AppDays News | M-Market | Scoop.it

Le commerce via mobile devrait franchir un palier symbolique en 2014 : celui des 100 milliards de dollars aux Etats-Unis.

Avec 114 milliards attendus, le m-commerce serait en hausse de 58% d’une année sur l’autre (72 milliards en 2013). Cette hausse est portée principalement par l’explosion des achats sur tablette, qui restent nettement supérieurs à ceux sur smartphones. Une des explications à cela est que les marchands ont beaucoup travaillé pour adapter leur site web en une version mobile efficace et séduisante pour les consommateurs.

La part du m-commerce passerait alors en 2014 à 39% dans un marché global e-commerce américain de 294 milliards de dollars… A noter, les prévisions pour 2018 annoncent un taux de 71% de part de marché du m-commerce dans le e-commerce.

Répartition des ventes suivant le support :

  • Smartphones : 38 Mds$ vs 24 Mds$ en 2013
  • Tablettes : 76 Mds$ vs 48 Mds$ en 2013

Le marché du m-commerce devrait encore poursuivre sa croissance car le taux d’acheteurs via supports mobiles reste encore sous la barre des 40% des possesseurs de smartphones ou tablettes.

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Scooped by Jacques Le Bris
May 9, 2014 6:57 AM
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L'explosion du paiement mobile en chiffres et en images

L'explosion du paiement mobile en chiffres et en images | M-Market | Scoop.it
Selon l'Index des paiements mobiles Adyen, les paiements en ligne via mobiles représentent 20,2% de l'ensemble des transactions dans le monde, en hausse de 66% en un an.
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Scooped by Jacques Le Bris
May 9, 2014 6:49 AM
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Le Mobile shopping en Europe : les chiffres et les tendances

Le Mobile shopping en Europe : les chiffres et les tendances | M-Market | Scoop.it
Ce ne sont pas toujours les pays qui possèdent le plus de smartphones qui affichent le plus gros nombre de m-acheteurs. Tel est l'un des enseignements de l'infographie proposée par RetailMeNot, qui met en regard les résultats des différents pays d'Europe en termes de m-commerce.


S'il existe aujourd'hui 183 millions de smartphones en Europe (et un peu moins de la moitié (48%) de la population européenne en est équipé), le marché est cependant assez hétérogène.

Alors que l'Espagne est en tête avec 57% de la population ayant un smartphone, suivie de près par le Royaume-Uni et la Suède en deuxième place avec 55%, la France est loin derrière avec 43%. Elle occupe ainsi la 7ème et avant-dernière place du classement, devant la Pologne (36%).

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Suggested by Stéphane Bureau
May 7, 2014 5:25 AM
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Social Media Marketing : Les vérités qui font mal

Social Media Marketing : Les vérités qui font mal | M-Market | Scoop.it
On vous a menti. Les médias sociaux ne sont pas un canal marketing. Prêt à entendre cette douloureuse vérité ?
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Scooped by Jacques Le Bris
March 28, 2014 1:12 PM
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[Focus] L'e-commerce au Royaume-Uni à la loupe

[Focus] L'e-commerce au Royaume-Uni à la loupe | M-Market | Scoop.it
bpost International, spécialiste des solutions de livraison à l'international à destination des e-commerçants, partage sa dernière étude pays en exclusivité avec les lecteurs d'E-commerce Magazine. Cap sur le Royaume-Uni.


Les superlatifs servant à qualifier l'e-commerce du Royaume-Uni ne manquent pas et cela s'explique aisément puisque le marché britannique occupe la première place du podium européen dans plus d'une catégorie* : La part du e-commerce dans les revenus nationaux de vente au détail : 16%. La part du m-commerce : 12% des ventes e-commerce étaient mobiles. Et les dépenses annuelles par e-shopper : 4 466€ (ici, il s'agit même du record mondial). Et les recettes e-commerce ont continué à croître en 2013 : 16% de croissance avec plus de 109 milliards d'euros. Ces chiffres impressionnants font du Royaume-Uni le marché le plus mature en Europe en matière de e-commerce. Ce degré de maturité apparaîtra fréquemment comme une cause évidente des particularités du e-commerce au Royaume-Unis.

Le consommateur britannique

Au Royaume-Uni, le panier d'achat moyen mensuel s'élève à 116,30€. Qui sont ces consommateurs qui achètent chaque mois en ligne ? Au Royaume-Uni, tout le monde achète en ligne, et les seniors ne sont pas en reste, ainsi que nous le verrons dans les tendances. Les adeptes des achats en ligne sont en effet plus nombreux que ceux qui n'ont pas encore expérimenté l'e-commerce. Sur une population de 63,3 millions d'habitants 39 millions achètent déjà en ligne. Ils paient très majoritairement par cartes de crédit (69%), un peu moins par d'autres services de micro-paiement (31%) ou par on line banking (9%).

Qu'achètent les e-shoppers britanniques ?

Les e-shoppers britanniques achètent davantage de biens (55%) que de services (45%). Toutefois, le segment le plus populaire au RU est le secteur voyage (25%), par ailleurs le plus grand d'Europe. Viennent ensuite les produits domestiques (18%), les services (12%) les biens électroniques (10%) et les vêtements (8%)

Les champions du (social)mobile

Si la croissance du mobile est identifiée, avérée et clamée depuis des mois et dans tous les marchés, sa progression est exceptionnellement élevée au Royaume-Uni puisque le m-commerce y a connu une progression de 5000% en trois ans. Le taux de conversion sur mobile y est de 2,2% et la répartition tablette/smartphone se fait nettement à l'avantage des tablettes qui ont capté 82% des achats sur mobile en 2013. Par ailleurs les Britanniques sont les plus nombreux à utiliser les médias sociaux sur mobile, via le plus grand nombre d'applications, et à y passer le plus de temps au quotidien. En effet 86% passeraient plus de dix heures par mois sur une douzaine d'applications sociales.

Le marché

On estime à 250 000 le nombre d'entreprises actives dans l'e-commerce au Royaume-Uni.

Les plus populaires sont, par ordre de revenus, Amazon**, Argos, Apple et Tesco.

Une bonne longueur d'avance pour l'épicerie en ligne

La maturité si significative du e-commerce britannique a pour conséquence qu'on y retrouve des habitudes d'achat en ligne pour des catégories de produits encore peu répandues dans d'autres marchés. L'illustration la plus remarquable concerne probablement l'épicerie. 4,5% des dépenses épicerie sont déjà effectuées en ligne au Royaume-Uni. À titre de comparaison, 19% des Britanniques avaient déjà acheté de l'épicerie en ligne en 2012, contre seulement 7% en France et 9% en Allemagne. Le géant Tesco étant le principal bénéficiaire de cette habitude déjà bien ancrée, ce qui lui vaut de figurer dans le top 5 des etailers au Royaume-Uni.

Les mères actives avec des enfants en âge pré-scolaire sont les plus enclines à acheter de l'épicerie en ligne, et les Londoniens davantage que leurs compatriotes (probablement en raison d'un parc automobile relativement peu fourni). Il faut dire que le secteur offre précisément ce que recherchent ces consommateurs lorsqu'ils font leurs courses alimentaires en ligne : une livraison fiable, des horaires de livraison flexibles, des coûts compétitifs, des promotions personnalisées, et une offre substantielle de produits éthiques, premium et nourriture équilibrée.

Le top 5 des retailers au UK

** Amazon est présente deux fois dans le top 5 des etailers au Royaume-Uni et se situe à la première place avec son site .co.uk et à la quatrième avec son site .com. Dans le top, donc, se trouve Amazon; Argos; Apple; Tesco

Une expérience livraison rodée

Qui dit marché mature dit aussi un degré d'expertise élevé dans l'expérience de livraison (10e mondial sur 155 pays, selon le "Logistics Performance Index"). On y retrouve, certes, des préoccupations de consommateurs similaires à d'autres marchés comme le montre le graphique ci-dessous, et la livraison à domicile y est également la solution préférée. Pour les consommateurs britanniques les considérations suivantes sont censées être des acquis en terme de livraison :

- De l'information : avant l'achat, pendant la chaîne logistique et également juste avant la livraison.

- Du choix : par rapport au jour, à l'heure et lieu de la livraison.

Mais surtout, au Royaume-Uni la livraison le jour même y est déjà rodée, et la livraison dans l'heure y est également une réalité. Champion européen des ventes cross-border : une autre catégorie dans laquelle le Royaume-Uni détient, d'après IMRG, la première place au sein de l'UE est celle des ventes cross-border. En 2012, les dépenses effectuées sur des sites britanniques par des non-résidents s'élevaient à plus de 8 milliards d'euros et devraient avoir dépassé les 11 milliards en 2013. IMRG prédit qu'en 2020, un tiers des expéditions des etailers britanniques auront pour destination un autre pays européen que le Royaume-Uni. Cependant les clients non-européens sont plus nombreux, puisque le gros de la clientèle des etailers britanniques est situé principalement en Australie et aux États-Unis.

Les tendances

La maturité du pays en terme d'accès internet a pour autre conséquence que les seniors d'aujourd'hui sont loin de se sentir exclus, bien au contraire. Ils utilisent en effet le Net bien plus que l'ensemble de la population ne le soupçonne. À l'heure actuelle, leur propension à acheter en ligne, bien qu'en augmentation croissante, est encore timide. Les seniors utilisent encore plutôt les sites d'e-commerce pour prospecter, se renseigner et finalement acheter dans des commerces traditionnels. La tablette remporte un franc succès auprès des seniors britanniques et continue allègrement d'en séduire. Ceux-ci sont aussi déjà adeptes du showrooming puisque, en 2013, 16,7% des internautes de 65 à 74 ans ont déjà utilisé leur smartphone pour consulter des sites de retailers alors qu'ils se trouvaient dans un point de vente. Ces chiffres sont appelés à augmenter de façon significative et constituent une tendance indéniable pour les années à venir.

Une infrastructure de fullfillment en mutation

Bien que 72% des etailers du Royaume-Uni livrent déjà à l'international, l'infrastructure de fullfilment est originellement très orientée RU, mettant surtout l'accent sur les clients nationaux. On a vu qu'en local, ils sont proches de l'expérience en ligne en temps réel.

Cependant la saturation de leur marché et l'augmentation des achats par des clients internationaux va pousser les etailers britanniques à modifier la façon de stocker, gérer et contrôler leurs marchandises, afin de répondre aux exigences d'un public international.

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Scooped by Jacques Le Bris
March 28, 2014 12:29 PM
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Comportements d'achat : mobiles et tablettes ne font plus écran...

Comportements d'achat : mobiles et tablettes ne font plus écran... | M-Market | Scoop.it
Le mobile et la tablette prennent de plus en plus de place dans le parcours du consommateur. C’est ce qui ressort de l’étude « Power to the Screens » de Sociomantic, société globale proposant des solutions de programmatic display sur desktop, Facebook et mobile. Menée auprès de 1 000 Américains de plus de 18 ans par l’institut indépendant ResearchNow, l‘infographie révèle les comportements d'achat sur smartphone et tablette en fonction des générations. Il ressort que 63,3% des consommateurs effectuent leurs achats après avoir navigué sur plusieurs écrans.


Si lors de l’explosion du e-commerce, les internautes se sont naturellement tournés vers leur PC pour réaliser leurs achats en ligne, ils sont désormais beaucoup plus versatiles : un utilisateur sur deux achète aussi bien en magasin qu’en ligne, en utilisant consécutivement son PC, son mobile et sa tablette.

Dans un contexte où la croissance du e-commerce tend à ralentir en France, les retailers doivent saisir la vague du m-commerce en commençant par comprendre la manière dont les consommateurs utilisent leurs différents écrans mobiles.

Ces nouvelles pratiques doivent inciter les e-commerçants à personnaliser davantage l’expérience des consommateurs avec des produits et des propositions conformes à leurs désirs.

Les smartphones et tablettes sont des outils très personnels voire parfois intimes. Nouveau « couteau suisse » des consommateurs, ces outils peuvent être utilisés aussi bien pour comparer les prix, que pour trouver un produit, consulter des avis clients, ou finaliser un achat.

La tablette s’impose peu à peu comme l'écran mobile de référence en matière de shopping, sa part dans le m-commerce devrait augmenter en conséquence.

Les jeunes générations déjà dans l’ère du shopping multi-écran

Pour espérer transformer les clics en conversions, les retailers doivent modifier la manière dont ils s’adressent aux consommateurs sur les différents devices suivant les tranches d’âges.

« Il ne faut plus penser en termes d’audience mais en termes de personnalisation de l’expérience. Les consommateurs attendent du marketing qu’il soit personnalisé, instantané, pertinent, cohérent et engageant », explique Christopher Caussin, DG Europe du Sud de Sociomantic.

Les jeunes générations sont d’ores et déjà entrées dans l’ère du « shopping multi-écran » : 63% des 18-24 ans et 66% des 25-34 ans finalisent leur achat sur mobile après avoir navigué sur différents écrans, ce qui est moins le cas - encore - des tranches d’âge plus âgées.

Pour Christopher Caussin, « le fait le plus notable est le rapport des consommateurs à leur tablette, qu’ils utilisent plus fréquemment que leur smartphone pour effectuer leurs achats.

Alors que les tablettes ne sont apparues qu’il y a 4 ans, 80 % des possesseurs de tablettes privilégient ce device pour acheter en ligne.»


Jacques Le Bris's insight:
Les chiffres clés de l'étude
Comment les consommateurs utilisent-ils leur device mobile selon leur tranche d’âge ?

- Les 18-24 et les 25-34 ans sont les tranches d’âge qui utilisent le plus leur device mobile quand ils recherchent des infos sur un produit (88% et 93% sur smartphone, 88% et 80% sur tablette).

- Quand ils veulent naviguer sur le site ou l’application d’un e-commerçant, les 35-44 ans vont plutôt sur leur tablette, alors que les 25-34 ans et les 55-64 ans privilégient leur smartphone.

- Les 25-34 et les 35-44 ans sont les utilisateurs qui achètent le plus en mobilité, tant sur smartphone (80 et 81%) que sur tablette (86 et 88%).

- Quel que soit l’âge, la fonction « search » est la plus fréquente, sur tablette comme sur smartphone : entre 71% et 93% des consommateurs, selon la tranche d’âge, utilisent régulièrement le moteur de recherche de leur device pour trouver des produits ou des e-commerçants.

Seuls les baby boomers (55-64 ans) préfèrent chercher directement sur un site précis.

- Certaines catégories de produits sont davantage recherchées sur tablette : les billets d’avion et les offres touristiques.

- C’est sur tablette que les consommateurs achètent le plus en ligne (entre 64% et 88%), quelle que soit la catégorie de produits.
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January 7, 2014 2:32 PM
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mobile e-commerce, les raisons d'optimiser votre m-commerce ...

mobile e-commerce, les raisons d'optimiser votre m-commerce ... | M-Market | Scoop.it
2014 sera certainement l'année où vous ne pouvez plus ignorer l'optimisation de votre site e-commerce mobile. Invesp Consulting a compilé dans une infograp.
MMA France's curator insight, January 20, 2014 7:03 AM

Le mobile c'est aussi repenser son site web autour des utilisations faites depuis un Smartphone ou une Tablette

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October 21, 2013 6:25 AM
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Infographie | M-commerce : 3 millions d'acheteurs par mois

Infographie | M-commerce : 3 millions d'acheteurs par mois | M-Market | Scoop.it
Le nombre d'acheteurs sur mobile enregistre une progression de 10% par rapport au trimestre précédent, selon le baromètre de la Mobile Marketing Association France réalisé en partenariat avec comScore, GfK et Médiamétrie.

Source : Mobile Marketing Association France en partenariat avec comScore, GfK et Médiamétrie.

Les principaux enseignements du baromètre du deuxième trimestre 2013 :

- Le m-commerce prend de l'ampleur avec désormais 3 millions d'acheteurs par mois sur mobile (hors SMS).
- En termes d'OS, Android continue sa progression pour atteindre 54% de la base installée de Smartphones (+2% par rapport au trimestre précédent) gagnant encore du terrain par rapport à iOS qui régresse à 21% (-1% par rapport au trimestre précédent).
- En termes d'équipement, on dénombre aujourd'hui plus de 25,1 millions de possesseurs de Smartphones, soit 46,2% de la population française de 11 ans et plus.
- La démocratisation des Tablettes continue sur un rythme impressionnant avec une augmentation des foyers équipés de 127% sur 1 an et près de 1 million de nouveaux foyers équipés chaque trimestre !

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September 25, 2013 3:29 PM
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Les banques françaises lancent un système concurrent de PayPal

Les banques françaises lancent un système concurrent de PayPal | M-Market | Scoop.it
Une petite icône est née. Elle s'appelle PayLib et permettra bientôt de régler son billet de train commandé sur Voyages-sncf.com ou le robot ménager repéré sur Ventesprivees.com. Cette solution de paiement en ligne, sur smartphone ou tablette, a été dévoilée mardi 17 septembre par de grands parrains : BNP Paribas, la Société générale et La Banque postale (LBP).

Une surprise, car ces trois réseaux n'ont guère l'habitude de travailler ensemble. L'urgence de la situation le justifie. Il s'agit, en effet, pour les banques, de s'attaquer à PayPal, la première solution de paiement en ligne dans le monde et le leader incontesté en France avec 7 millions de comptes. Il s'agit, également, pour elles de prendre position avant qu'une nouvelle génération de portefeuilles électroniques ne déferle en Europe fin 2013, dotée de sponsors plus que convaincants : Google, Visa, Mastercard...

Pour les contrer, PayLib mise sur deux arguments : la simplicité et la sécurité. Sans même parler de PayPal, pourquoi un particulier aurait-il intérêt à cliquer sur PayLib plutôt que sur Visa ou Mastercard au moment de régler un achat à distance ? "Parce qu'il n'aura pas à ressaisir les 16 chiffres de sa carte bancaire, la date d'expiration et le cryptogramme. Mais seulement son identifiant de banque en ligne – qu'il est censé connaître par coeur – et un code secret", explique l'un des promoteurs du projet.

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Scooped by Jacques Le Bris
September 25, 2013 3:19 PM
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LIVE- E-commerce : une hausse de 16% au deuxième trimestre 2013

LIVE- E-commerce : une hausse de 16% au deuxième trimestre 2013 | M-Market | Scoop.it
Les derniers chiffres de l'e-commerce présentés par la Fevad à l'occasion du salon E-Commerce Paris, révèlent une hausse de 16% des ventes en ligne sur le deuxième trimestre 2013. Cela représente un chiffre d'affaires de 12,2 milliards d'euros.
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Scooped by Jacques Le Bris
August 22, 2013 1:29 PM
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Les 100 sites marchands qui comptent - classement 2013

Les 100 sites marchands qui comptent - classement 2013 | M-Market | Scoop.it

Voyages-sncf, Vente-privee, Groupe 3 Suisses International, Cdiscount, tel est le podium du second classement des sites marchands français réalisé par E-commerce Magazine. Le leader de la vente privée confirme son ascension, alors que des acteurs tels que Groupe 3SI accélèrent leur mutation.

17/06/2013

Sommaire

 

1 - Les indicateurs-clés et les stratégies des leaders 2013Le classement des 100 premiers e-commerçants français permet de déterminer un certain nombre de tendances globales: baisse du panier moyen, hausse de la fréquence d'achat, progression du m-commerce et taux de rentabilité rarement communiqué. Lire »

2 - Les meilleures stratégies des web marchands en 2012Voyage-sncf, Vente-privee et le Groupe 3SI arrivent en tête des e-commerçants français cette année, tandis que Showroom-privé s'illustre pour son investissement dans le m-commerce. Lire »

3 - Le top 100 de l'e-commerce français 2012Les 100 premiers web marchands, avec Voyages-sncf, Vente-privee et Groupe 3SI en tête. Le classement est établi en fonction des données déclarées par les entreprises. Lire »

4 - Les tendances 2013Pour E-commerce magazine, le cabinet Ginger a sondé un panel d'e-commerçants afin de découvrir leurs grands axes de développement pour l'année 2013. Croissance, m-commerce et internationalisation figurent en tête de leurs priorités. Lire »

5 - Les leaders de l'e-commerce français : estimations de la rédactionPour proposer un panorama plus complet des e-commerçants, dont certains n'ont pas communiqué leurs chiffres, la rédaction d' "E-commerce Magazine" a intégré au classement des acteurs dont elle a estimé le chiffre d'affaires.

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Scooped by Jacques Le Bris
August 22, 2013 1:18 PM
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Yahoo ! ajoute Lexity à son escarcelle

Yahoo ! ajoute Lexity à son escarcelle | M-Market | Scoop.it
Marissa Mayer semble décidée à ne pas passer l'été à la plage ! Après le rachat de Ztelic il y a seulement 11 jours, Yahoo ! effectue son 20e rachat de start-up en 1 an. Lexity rejoint, ainsi, la longue liste des nouvelles acquisitions de la firme américaine.

Décidément, depuis plusieurs mois les collaborateurs de Yahoo ! doivent croiser de nombreux visages inconnus ! Depuis son arrivée à la tête de l'entreprise en juillet 2012, Marissa Mayer concrétise son objectif principal : rajeunir l'image de Yahoo ! et lui redonner une grande place dans le monde du net.
Pour cela, elle a recentré les activités autour des fonctionnalités à grand succès pour libérer de l'espace aux start-ups rachetées et destinées à développer de nouveaux services sur le web et les mobiles.

Celle qui a touché un premier bonus de 1.12 million de dollars après seulement 6 mois a, au fil des mois, racheté de nombreuses start-ups. PlayerScale, Tumblr, GhostBird, Xobni, Qwiki, Bignoggins ou encore dernièrement Ztelic font partie des 19 entreprises détenues par Yahoo !
Et Yahoo ! ne semble pas repu, puisqu'il vient d'acquérir l'entreprise Lexity.

Fondée en 2009 par l'ancien employé de Yahoo ! Amit Kumar, Lexity développe des applications marketing destinées aux e-commerçants. Présente sur App Store, l'entreprise propose différentes solutions selon les supports, dont Google Shopping, Facebook ou Amazon. En quelques années, Lexity a séduit des dizaines de milliers de clients issus de 114 pays.
Racheté par Yahoo ! la start-up assure continuer son activité. Les applications et services seront maintenus et devraient, même, être développés plus rapidement.

Le montant de la transaction ni l'objectif de Yahoo ! n'ont été dévoilés. Cet achat se situe, toutefois, dans la lignée des objectifs de la firme, décidée à prendre place dans le e-commerce et le m-commerce.
Après s'être séparé d'importants actionnaires, Yahoo ! va, tout de même, devoir récolter les bénéfices de ses nombreuses dépenses.
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Scooped by Jacques Le Bris
July 3, 2013 10:45 AM
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L'impressionnante envolée du m-commerce en une infographie

L'impressionnante envolée du m-commerce en une infographie | M-Market | Scoop.it

Si le e-commerce fait planer une menace sur l’ensemble du commerce physique, c’est bien sa variante mobile qui connait actuellement les plus forts taux de progression

Pour Jacques-Antoine Granjon, le fondateur de Vente Privée, ça ne fait pas un pli. A terme, le m-commerce représentera 90% des ventes en ligne. Si sa vision est à long terme, on serait tenté de le croire. Même si on en est loin (le commerce sur smartphone devrait représenter “à peine” 15% du total des ventes en ligne aux Etats-Unis cette année), sa croissance devrait atteindre les 130% d’ici 2016 et représenter un quart des ventes en ligne, soit près de 87 milliards de dollars.

Pourquoi une telle explosion? D’abord parce qu’elle accompagne l’équipement massif en smartphones des consommateurs depuis trois ans. Un téléphone que les consommateurs voient comme un moyen de gagner du temps dans ses achats (73% d’entre eux) mais aussi parce qu’il suscite l’achat d’impulsion (69% d’entre eux).

Mais à condition que les sites offre une ergonomie comparable à ce que l’on trouve sur un ordinateur. Et c’est là que le bat blesse aujourd’hui. Ainsi si les trois quarts des e-commerçants disent développer une stratégie mobile, moins de la moitié (48%) d’entre eux ont pensé à optimiser leur site pour le support mobile, 35% ont une application iPhone et 15% une application Android. A se demande alors ce qu’ils appellent “développer une stratégie mobile”…

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May 13, 2014 10:30 AM
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@UnitagLive le marketing web mobile "prêt à l'emploi" et personnalisable

@UnitagLive le marketing web mobile "prêt à l'emploi" et personnalisable | M-Market | Scoop.it

Unitag qui compte plus d’un million d’utilisateurs de sa plateforme à travers 186 pays (et notamment plus de 10 millions de QR Codes créés sur sa plateforme en 2013), lance un tout nouveau pan de sa plateforme en ligne : un service « prêt à l’emploi » permettant de créer, en quelques clics, des opérations de communication mobiles ciblée. La startup y a réuni la force de son outil phare, le générateur de QR Codes personnalisé, un module de création de sites web mobiles et son expertise marketing mobile en une seule solution baptisée Unitag – Mobile App Manager.

Unitag m’a permis de tester sa version bêta live depuis quelques jours. J’ai trouvé là une interface ultra simplifiée et un produit « tout-en-un » vraiment abouti. L’accompagnement pas à pas (ou, ici, « clic par clic ») pour la gestion complète de campagne de marketing mobile est plutôt réussi. De la création à l’analyse (que je n’ai pas encore vraiment testé mais au moins les données remontent bien au sein de mon google analytics), en passant par le design et la diffusion, tout projet mobile pourra y être mis en place dans son intégralité, en l’espace de quelques minutes : Jeux concours optimisé mobile, cartes de visite digitales et à termes, reviews et sondages, m-couponing et m-fidélité ou encore fiches produits et catalogues intelligents. Chaque Web App proposée dans le Manager sera appliquée à un cas d’utilisation marketing concret, et pourra être partagée sur tout support au moyen d’un QR Code ou d’une URL.

(...)

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Scooped by Jacques Le Bris
May 9, 2014 6:52 AM
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Le commerce connecté en 2014 : état des lieux

Le commerce connecté en 2014 : état des lieux | M-Market | Scoop.it
Pour 10% des Français désireux d'effectuer un achat, le magasin est seulement la quatrième source d'informations. Il est supplanté par le site du détaillant, le portail de la marque et les comparateurs de prix sur Internet, selon l'étude de DigitasLBI.

Les habitudes des consommateurs évoluent : ils sont de plus en plus multidevices et utilisent davantage le mobile pour préparer leurs achats. L'étude de DigitasLBI a été menée en février et mars 2014 dans le spays suivants : États-Unis, Royaume-Uni, Pays-Bas, France, Chine, Singapour, Allemagne, Italie, Espagne, Suède, Danemark, Belgique.

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Suggested by sophiedesc
May 9, 2014 6:46 AM
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Le QR Code a un bel avenir devant lui ... malgré les critiques

Le QR Code a un bel avenir devant lui ... malgré les critiques | M-Market | Scoop.it

La bataille du QR code fait rage Après Ubleam qui nous prédisait que le QR code, en substance, ne marcherait jamais, la parole est à la défense … 

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Scooped by Jacques Le Bris
April 29, 2014 9:48 AM
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Sage se déleste de ses logiciels d'e-commerce au profit d'Oxatis

Sage se déleste de ses logiciels d'e-commerce au profit d'Oxatis | M-Market | Scoop.it
Marc Schilaci, dirigeant de l’éditeur Oxatis


L'éditeur français Oxatis met la main sur les solutions Sage e-commerce et Ciel e-commerce dans le but avoué de faire migrer les clients équipés de ces produits vers ses outils qu'il juge plus robustes. L'accord passé entre les éditeurs prévoit également des actions commerciales au profit d'Oxatis sur la base de clients de Sage non encore équipés de boutiques en ligne.


On connaît plus Sage dans le rôle de l'acquéreur que celui du vendeur. Or, une fois n'est pas coutume, l'éditeur de logiciels de gestion vient de céder son activité d'édition de solutions d'e-commerce à un spécialiste du secteur, le français Oxatis. L'opération finalisée le 22 avril permet à ce dernier de mettre la main sur les logiciels Sage e-commerce et Ciel e-commerce (disponibles en mode SaaS comme ceux d'Oxatis), des serveurs sur lesquels sont hébergées les boutiques des clients, et du parc clients lui-même. La transaction prévoit également un accord de commercialisation exclusif « dans le cadre duquel nous mènerons plusieurs fois par an des campagnes de prospection sur la base des clients de Sage qui ne sont pas équipés de Sage e-commerce ou de Ciel e-commerce », indique Marc Schillaci. Le caractère exclusif de l'accord tient au fait que les équipes d'Oxatis ont travaillé plusieurs trimestres pour développer un middleware spécifique qui permet des interactions complètes entre ses logiciels et la gestion commerciale de Sage, d'un niveau bien supérieur à celles offertes par les connecteurs dont Oxatis disposait déjà.

L'évolution de Sage et Ciel e-commerce limitée à l'essentiel

Ce travail était d'autant plus nécessaire qu'il va permettre à Oxatis de faire migrer, s'ils le souhaitent, les actuels utilisateurs de Sage e-commerce et de Ciel e-commerce vers ses logiciels de façon quasi transparente. Du reste, ils y seront fortement incités : « Nous continuerons d'assurer le bon fonctionnement des infrastructures qui permettent aux boutiques des clients de Sage de fonctionner. En revanche, nous limiterons la mise à jour des produits aux problématiques légales mais ne ferons pas évoluer les fonctions qu'ils proposent », prévient Marc Schilaci. Et pour cause, ce dernier avoue sans peine que le but ultime de ce rachat est de faire grossir la base installée d'Oxatis qui compte aujourd'hui 7 300 clients dans quatre pays. Sage, en revanche, ne communique pas sur la taille de son portefeuille clients dans le domaine du e-commerce. Tout juste sait-on qu'elle est bien moins importante que celle d'Oxatis.

« En 2013, 69% des Français achètent ou ont acheté à distance (source : Fevad 2013) ; le marché du e-commerce est en plein essor et représente d'ores et déjà 75 000 emplois. Ce succès ne profite pas qu'aux grandes enseignes. Le e-commerce est devenu un outil de développement incontournable pour nos PME, TPE et artisans. » Alors pourquoi diable Sage désinvestit-il le secteur plutôt que de profiter de ses larges moyens pour s'y renforcer ? « L'édition de solutions de commerce électronique est une affaire de spécialistes, répond Marc Schilaci . Nous et nos homologues sommes les seuls à avoir déjà suffisamment investis pour offrir aux entreprises des outils robustes au moment où toutes veulent être présentes sur le web marchand ».
Par Fabrice Alessi

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March 28, 2014 1:04 PM
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Et si la pub ciblée était contre-productive

Et si la pub ciblée était contre-productive | M-Market | Scoop.it

Très prisée des sites marchands, le "retargeting" tape souvent à côté (en voulant viser juste) en proposant au client des produits qui ne les intéressent pas toujours ou qu’ils possèdent déjà...

Petite balade sur un site de vente à la recherche d’une sacoche en cuir. Au hasard Amazon. Dans les jours (les semaines?) qui viennent, vous pouvez être sûrs de voir des sacoches en cuir partout sur internet lors de vos prochaines visites. Votre visite a alerté les "cookies" du site qui ne vous lâcheront plus. Amazon va vous la faire acheter cette fichue sacoche en cuir. Et même quand vous l’aurez achetée, vous aurez encore des pubs pour cette même sacoche (au cas où elle vous plaise tellement que vous voulez en prendre une deuxième...).

Cette pub "ciblée" s’appelle le retargeting et est très prisé par les sites marchands (selon les données du spécialiste Criteo le taux de clics d’une telle pub pourrait monter à 2,5% contre 0,1% en moyenne pour une bannière classique). Après tout c’est assez malin, pourrait-on penser. Au lieu d’avoir une bannière pour une assurance ou une boisson désaltérante, pourquoi ne pas nous proposer une pub pour un produit qui nous intéresse vraiment.

Sauf que ces pubs sont-elles, dans le fond, si intelligentes que ça? C’est la question que se pose la consultante spécialiste en marketing Babette Leforestier dans un billet de blog. Et elle n’est pas la seule. La semaine dernière, le patron de la division e-commerce mobile de Tesco, Luke Vinogradov, a exprimé des doutes sur la pertinence d’une telle stratégie. Des propos tenus à l’occasion d’une conférence sur le retail à Londres et rapportés par le site de Marketing Week. Selon lui, "le retargeting desservirait surtout les marques. Il y a des sites qui me suivent partout où je vais, détaille-t-il, et même si j’ai acheté le produit en question, ils continuent de m’envoyer des pubs pour ce même produit. Au final le retargeting dessert les marques au lieu de les servir lorsqu’elles m’emm.... avec leur pub de produits déjà achetés...". Au moins il n’est pas langue de bois. 

La limite du retargeting est finalement un problème d’intelligence des algorithmes et de manque d’information sur le client. Lorsqu’Amazon vous voit faire une recherche sur son site, l’algorithme en charge des pubs ciblées ne détient finalement que peu d’informations sur vous et il ne fait de ce fait que peu de déductions (et qui plus est pas toujours pertinentes). Un exemple: recherchez des objectifs photos sur le site. Vous aurez des pubs ciblées d’objectifs évidemment mais aussi d’appareils photos reflex. Or les gens qui recherchent des objectifs possèdent souvent déjà un reflex... 

Imaginez la même chose transposée dans le commerce physique: vous vous rendez à la Fnac pour un objectif et le vendeur tient à tout prix à vous montrer les appareils photos. Pire, lorsque vous y retourner une semaine après pour acheter un livre, le vendeur photo vous siffle au loin pour vous remontrer les appareils et les objectifs! Pas très subtile la relation client... 

"Si vous harceler les clients, ils vous laisseront tomber, estime M. Tesco mobile. Ne m’alertez pas chaque jour pour un produit que j’achète pas plus de deux fois par an!"

Comment faire pour donner l’impression au client qu’on lui apporte un service? Le connaitre le mieux possible. On en revient toujours là: l’importance des données, nerf de la guerre du commerce. Et là, les enseignes physiques disposent d’un avantage certain sur les pure players du e-commerce: les cartes de fidélités, le parcours client en magasin, l’historique d’achats... sont autant de données qui permettent d’améliorer la connaissance du client et donc de mieux le "cibler". Ainsi,  la plupart des informations utilisées par Tesco pour cibler les clients proviennent de données qu'elle détient par l'intermédiaire de son programme de fidélité Clubcard. 

Le magasin mais aussi le mobile. Le smartphone recueille en permanence des quantités d’infos comme la localisation et le temps qu’il fait. Or, on connait l’importance de la météo dans la consommation de certains produits. C’est un paramètre pris en compte par la société Mozoo qui vient de lancer une solution de ciblage publicitaire baptisé "Weather Intelligence". "Pour s’en faire une idée, explique Julien Minvielle, président de la société Mozoo. Il suffit d’imaginer comment réagirait une personne recevant une promotion mobile pour des glaces lors d’un été très chaud ou une offre à prix réduit pour des tickets de cinéma lors d’un après-midi pluvieux ! Comme beaucoup le devinent, ce critère, couplé à un ciblage géo-localisé et dans le temps, devient très efficace dans beaucoup de cas."

Au final ce n’est pas la pub ciblée en elle-même qui est contre productive. Il faut simplement réussir à mettre la flèche dans le mille. Peu de site y parviennent aujourd’hui...

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February 23, 2014 4:33 AM
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The Ultimate B2B Marketing Guide To Drive Meaningful Sales Results [INFOGRAPHIC]

The Ultimate B2B Marketing Guide To Drive Meaningful Sales Results [INFOGRAPHIC] | M-Market | Scoop.it

Business to business (B2B) marketing and social media have always been awkward bedfellows, certainly compared to the latter’s cosy relationship with business to consumer (B2C) engagement.

But why? One reason might be that your full workforce isn’t working together as a single unit to boost awareness, generate leads and drive sales across all your marketing platforms, including Twitter, Facebook and LinkedIn, as well as email and telemarketing.

This infographic from Introhive proposes the ultimate B2B marketing guide to drive meaningful sales results.

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November 21, 2013 2:26 AM
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E-commerce : le nombre de seniors achetant sur internet s’envole en France (+44%)

E-commerce : le nombre de seniors achetant sur internet s’envole en France (+44%) | M-Market | Scoop.it

Les Français achètent sur internet de plus en plus fréquemment

L’hexagone compte 32,7 millions d’internautes ayant effectué un achat sur internet au cours du troisième trimestre de l’année selon le baromètre de l’audience du e-commerce en France réalisé par Médiamétrie et la Fevad, la fédération française du e-commerce et de la vente à distance.  « La progression du nombre de cyberacheteurs reste soutenue pour un usage généralisé qui touche plus de 3 internautes sur 4 (76,4%). Et les acheteurs en ligne le font de plus en plus souvent puisque 61% des internautes ont effectué un achat en ligne au cours des 3 derniers mois, contre 58,7% il y a un an » précise Marc Lolivier, délégué général de la Fevad.

Fait marquant, les seniors seraient de plus en plus nombreux à se convertir aux achats en ligne selon l’étude. « Les internautes de plus de 65 ans se sont massivement mis à l’achat en ligne puisqu’ils sont 44% de plus qu’il y a un an à s’y être convertis, de même que les femmes qui sont désormais aussi nombreuses que les hommes à acheter en ligne » précise Bertrand Krug, directeur du département des mesures d’efficacité online chez Médiamétrie-NetRatings.

Si l’on retrouve sans surprise Amazon, Cdiscount  et la Fnac – des acteurs traditionnels du e-commerce – dans le trio des sites les plus visités en termes de visiteurs uniques par mois, « les enseignes de distribution sont de plus en plus présentes dans le top 15 des e-commerçants, preuve de la complémentarité des canaux de vente pour les internautes » ajoute ce dernier.

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September 25, 2013 3:36 PM
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La conférence e-commerce eTail arrive en France le 30 septembre

La conférence e-commerce eTail arrive en France le 30 septembre | M-Market | Scoop.it

Les acteurs de l'e-commerce français vont pouvoir participer à 3 jours de keynotes, tables-rondes et networking lors de la conférence eTail France, en partenariat avec le JDN.

 

Organisées par Worldwide Business Research depuis 1999 sur le thème de l'e-commerce et du multicanal, les conférences eTail se déroulent chaque année à Miami, Philadelphie, San Antonio, Toronto, Londres, Berlin, Sao Paulo et Singapour. Cette année, l'événement pose ses valises à Paris, en partenariat avec le JDN. Après un pré-sommet exclusivement consacré au m-commerce le 30 septembre, le 1er et le 2 octobre seront l'occasion d'aborder diverses facettes des stratégies e-commerce (voir le programme).

Parmi les speakers confirmés pour les keynotes et tables-rondes de ces trois jours : Gaële Wuilmet (Asos France), David Schwarz (Carrefour), Alexandre de Lamarzelle (Rue du Commerce), Anne-Véronique Baylac (Auchan), Jacques Lorne (Leroy Merlin), In Hsieh (Baby.com.br), Bruno Alazard (Estée Lauder), François Coumau (eBay), Justin Ziegler (Priceminister), Sean McKee (Schuh), James Kretchmar (Akamai), Mickaël Soleau (Printemps), François Loviton (Celio), Stéphane Ormand (Air France), Frederieke Ubels (bol.com), David Williams (Deckers), Daniel Broche (Discounteo), Olivier Bernasson (Pecheur.com), Thierry Petit (Showroomprivé), Pascal Lannoo (Voyages-Sncf), Luca Paderni (Forrester Research), Frédéric Nardon (PMU), Cyrille Coiffet (Homeaway), Frédéric Wilhelm (Morgan), Katja Felke (Butlers), Ilan Benhaim (Vente-privée), Nicolas Le Hérissier (Houra.fr), Olivier Grémillon (Airbnb) Frédéric Mazzella (Blablacar), Karine Brana (MonsieurDrive), Philippe Cantet (Shopium ), Vincent Redrado (TheTops).

Au total 250 participants sont attendus à cette conférence, qui cible les dirigeants de sites marchands et les responsables e-commerce de grands groupes. Les inscriptions sont ouvertes sur le site d'eTail France (voir la liste des participants déjà inscrits.) Les e-commerçants lecteurs du JDN peuvent bénéficier d'une remise de 50% avec le code de réduction JOURNALDUNET
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September 25, 2013 3:20 PM
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[Infographie] La France peut-elle rattraper son retard sur le marché du M-commerce?

[Infographie] La France peut-elle rattraper son retard sur le marché du M-commerce? | M-Market | Scoop.it

Heliceum, une société spécialisée dans le développement d’applications mobiles, vient d’éditer une infographie sur le m-commerce en France. Une infographie qui pointe le retard de la France sur le domaine contre une explosion du marché aux USA.

Alors que le salon e-commerce vient d’ouvrir ses portes, Heliceum revient sur un marché en pleine expansion : le commerce sur mobile. Une infographie qui pointe le potentiel de croissance de ce marché qui devrait croître de 127% d’ici trois ans pour atteindre les 13,4 milliards d’euros. Trois facteurs clés sont également montrés pour réussir sur ce secteur : la fluidité de navigation, la facilité d’achat et la sécurité.

Aux Etats-Unis, le M-commerce représenterait 88 milliards de dollars en 2015, soit presque 4 fois plus qu’en 2012. Une progression hallucinante, qui devrait inspirer bons nombres d’e-commerçants en France où il est prévu une croissance 127% sur 2 ans.

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September 25, 2013 3:07 PM
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BuyBox, pionnier du Social Payment à la française

BuyBox, pionnier du Social Payment à la française | M-Market | Scoop.it

Le marché de l’e-commerce se professionnalise et arrive à maturité. Au deuxième trimestre 2013, les Français ont dépensé 12,2 milliards d’euros sur internet avec une moyenne de 87 euros par panier d’achats selon la Fevad. Preuve que les choses bougent, la Banque de France vient de décider de prendre en compte dans ses statistiques de commerce de détail les achats effectués via Internet en 2014. A l’occasion du salon de l’e-commerce qui se tient jusqu’à vendredi 26 septembre à paris, nous avons souhaité découvrir un usage encore peu connu : le Social Payment. Marc Guedj, CEO de la société BuyBox répond à nos questions.[…]

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August 22, 2013 1:21 PM
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Givenchy se lance dans le "m-commerce"

Givenchy se lance dans le "m-commerce" | M-Market | Scoop.it
Publiée Le Jeudi 1 Août 2013 à 14:55

Givenchy inaugure une toute nouvelle palette 2.0. En plus d'un tout nouveau site wwww.givenchy.com, la maison de couture ouvrira courant septembre et novembre deux boutiques en ligne mobiles, une femme et une homme.

Si le premier est accessible sur tous les supports, les e-shops sont réservés aux téléphones et aux tablettes : une approche digitale multiforme. Une première aussi. Givenchy est le premier à se lancer uniquement dans le m-commerce.

Design épuré et technologie de pointe, le nouveau site Givenchy a été pensé comme une galerie d'art. Textes et vidéos, mais également photos des nouveautés sont présentés sur un fond en chêne brûlé blanc mat, entouré d'un cadre noir brillant, écho au design des boutiques Givenchy.

Intuitif, le site présente tout l'univers de la maison : de son histoire à travers des pages consacrées à Hubert de Givenchy ou encore Riccardo Tisci, à ses icônes, en passant par les collections, les collaborations comme les tenues de scènes de Beyoncé et Rihanna, les campagnes, mais aussi les moments red carpet. Le site permet aussi d'explorer l'univers des parfums et les codes de Givenchy à travers 9 thèmes : animalité, géométrie, spiritualité, travail du métal, urban couture, étoiles, ambiguïté, motifs floraux et romantisme sombre. Une véritable plongée dans l'identité de la maison de couture.

A découvrir en ce moment : la nouvelle campagne Automne-Hiver 2013/2014 en noir et blanc pur et incarnée par Amanda Seyfried et Carine Roitfeld et sa fille entre autres, mais aussi le tout nouveau sac HDG présenté à travers la pré-collection Automne 2013.

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July 3, 2013 10:48 AM
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Le m-commerce : une prévision de croissance à 3 chiffres

Le m-commerce : une prévision de croissance à 3 chiffres | M-Market | Scoop.it

Le mobile est aujourd’hui plus que jamais le produit incontournable de notre quotidien. Le chiffre symbolique de 50% de la population Française équipé d’un smartphone a été atteint et cela avec la grande aide des nombreux revendeurs de téléphones mobiles qui ont écoulé en 2012 près de 13,5 millions de Smartphones : un record.

Quand Facebook et Twitter établissent 50% de leur trafic via le mobile on se dit que ce n’est qu’un début et les investissements de l’entreprise de MarK Zuckerberg dans ce domaine montrent l’intérêt grandissant pour ce support. Le m-commerce possède lui aussi un avenir radieux et le mobile constituera bientôt un levier de croissance important pour les marques qui n’y sont pas encore présentes. 60% des mobinautes déclarant télécharger près de 5 nouvelles applications par mois, il est certain que le développement d’applications mobiles pour les entreprises est un enjeu majeur pour leur image. Lorsque 72% des utilisateurs déclarent avoir une meilleure image de l’entreprise quand celle-ci possède une application mobile, c’est également 20% qui se disent près à acheter via le mobile.

L’arrivée de la 4G renforcera bientôt cette stratégie mobile et sa généralisation va renforcer le poids et la puissance de frappe du m-commerce. Le mobile deviendra d’ici 2017 le premier support de connexion internet devant l’ordinateur. Avec des pourcentages de croissance à trois chiffres pour 2015 le secteur du m-commerce a de beaux jours devant lui.

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