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Jacques Le Bris
January 27, 2016 5:09 AM
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Médiamétrie vient de publier le TOP 50 des sites internet les plus consultés sur ordinateur en Décembre 2015, pendant la période phare de l’année pour les e-commerçants.
Sans trop de surprise, Google reste le leader incontesté avec le double de visiteurs uniques par jour comparé à Facebook, pourtant second de ce classement. Youtube est lui relayé à la 4ème place juste derrière Microsoft. Parmi les sites e-commerce les plus visités en Décembre 2015, Amazon est loin devant suivi ensuite par Fnac et Cdiscount. Les autres sites arrivent ensuite plus loin à l’image d’Ebay relayé à la 29ème position. Carrefour, Priceminister et Darty suivent ensuite positionnés entre la 34 et la 39ème place. Concernant les sites d’actualité, le site France Televisions arrive en tête devant Le Figaro puis Le Monde. MSN, L’internaute et L’Express suivent ensuite le trio de tête. Méthodologie : ces chiffres présentent les chiffres du trafic internet réalisé depuis des ordinateurs, ils ne prennent donc pas en compte le trafic issu des mobiles et tablettes, terminaux qui représentent pour certain site près de 40 à 50% de leur trafic total. Source : Médiamétrie
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Jacques Le Bris
January 26, 2016 8:40 AM
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Selon Fabien Omont, Trade Marketing Lead France chez AOL, voici 4 mots clés qui, parfois seuls, souvent combinés, feront 2016. Quelle est la tendance pour les utilisateurs ? Pour l’ad tech ? Nous serions passéistes en vous donnant la vidéo et le mobile comme tendances pour 2016, mais quid d’un combiné Vidéo + Mobile ? L’identification de ces tendances pour 2016 est issue de l’interview des différents experts de l’entreprise à travers le monde. C’est bien entendu une vue subjective qui nous semble raisonner particulièrement sous le prisme de ces quatre mots clés : Vidéo, Mobile, User et Ad Tech. Voici donc nos tendances d’après les associations de ces mots clés… L’Ad Blocking comme guide : soyons plus créatifs et respectueux User. Au travers des adblockers, les consommateurs disent aux annonceurs et éditeurs que l’expérience proposée n’est pas acceptable. L’industrie publicitaire est la principale responsable de cette situation, que ce soit dû au ralentissement du chargement des pages ou à des publicités inappropriées. Elle doit ainsi agir pour une intégration publicitaire intelligente, pertinente et respectueuse. 2016, l’année de l’expérience mobile Mobile + User. Tous les sujets d’adblocking, de satisfaction consommateur et d’expérience utilisateur s’étendent désormais au mobile… et beaucoup plus fort. Et le niveau d’exigence est probablement encore plus strict que sur PC. Pensez-y : vous attendez à l’arrêt de bus et attendez pendant 10 secondes pour accéder à un contenu sur votre mobile. Cette expérience paraît encore plus désagréable que sur PC. Quand 2015, 2014, 2013, 2012 nous ont été successivement présentées comme « l’année du mobile », 2016 sera l’année de l’expérience mobile. Le mode vertical va secouer la vidéo mobile en 2016 Video + Mobile. Une opportunité que nous identifions pour 2016 nous vient d’une tendance consommateur forte : la consommation de vidéo en format vertical. Ce qui pouvait paraître anecdotique précédemment devient une norme à part entière imposée par la popularité des applications mobiles sociales telles que Snapchat, Periscope ou Vine. D’après la « reine du digital » Mary Meeker, la lecture de vidéos en mode vertical représente déjà 29% du temps passé sur les écrans mobiles. Un des challenges pour les marques est alors de créer du contenu prévu pour le mobile, ou adapter des créations TV aux spécifications de ce nouveau ratio. C’est définitivement une belle opportunité de se différencier auprès des plus jeunes. Les First-Party Data vont prendre la main Ad Tech. En 2015, les first-party data ont commencé à être davantage convoitées que les 3rd party data. La data propriétaire est largement plus puissante et efficace que la data tiers agrégée de sources inconnues. Nous verrons également les annonceurs être de moins en moins enclins à laisser le contrôle de leurs data à des tiers. La data qu’ils génèrent leur appartient, ils veulent donc la garder et l’exploiter. Ces annonceurs devraient de fait internaliser la gestion de la data et les analytics. La consolidation des technologies publicitaires mobiles continuera en 2016 Ad Tech + Mobile. La consolidation du secteur de l’Ad Tech mobile va continuer en 2016, les clients se focalisant sur des plateformes complètes. Les annonceurs cherchent des manières plus efficientes de déployer leurs campagnes digitales. Multi-touch Attribution & Media Mix Modeling : priorité à l’unification en 2016 Ad Tech + User. Les modèles d’attribution multicanale (bottom-up) et de modélisation du mix media (top-down) vont transformer 2016. Leur rencontre va faciliter des modèles unifies performants. Cela sera une tendance de fond pour 2016 que beaucoup prétendront maîtriser… nettement moins nombreux seront ceux qui géreront l’un des deux modèles ni l’union des deux. L’attribution centrée sur l’utilisateur accélère les dépenses en mobile Ad Tech + User + Mobile. Les modèles d’attribution centrés sur l’utilisateur nous montrent que les marques ont sous-estimé la valeur du mobile. A mesure que l’attribution s’impose sur le marché, les annonceurs peuvent enfin suivre le ROI de leurs dépenses mobile et vont rapidement renforcer leurs dépenses sur ce terminal. En somme, les annonceurs vont continuer cette année à augmenter leurs dépenses dans l’attribution multicanale. Nous allons voir ce concept approprié par le top annonceurs et agences avant de se propager sur l’ensemble du marché. Si la technologie existe déjà depuis longtemps, ce sont les changements organisationnels et la volonté de casser les silos au sein des agences et annonceurs qui rendent possible d’optimiser sur la base de la data. Notre industrie se rend compte qu’il n’est pas optimisé d’avoir des équipes mobile, display, social ou search séparées. Oui, les spécialistes sont primordiaux mais piloter des budgets et gérer les ROIs séparément amènent mécaniquement à des analyses biaisées et donc à des budgets non optimisés.
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Jacques Le Bris
January 21, 2016 6:23 AM
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Voici 10 logiciels webmarketing pour faciliter les décisions stratégiques et accroître les ventes e-commerce… 1/ PAARLY : l’outil de Pricing Analytics pour l’e-commerceS’aligner intelligemment sur les prix-concurrents est une pratique récente qui se généralise chez les e-commerçants. Utilisé par des acteurs majeurs de l’e-commerce, le logiciel PAARLY simplifie le suivi et l’analyse de la politique-prix des concurrents, revendeurs et marketplace (compétitivité, positionnement, assortiment…). Différents modules additionnels permettent de réagir aux évolutions tarifaires du marché : ajustement des prix e-commerce (via des modules Magento ou Prestashop), ajustement des devis online, interconnexion avec les CRM, les ERP et logiciels de web analytics des entreprises. Le budget : une version gratuite d'évaluation est limitée à 10 jours. Version payante à partir de 260€/mois. 2/ LOKAD : l’outil d’Inventory Analytics pour l’e-commerce La prévision des stocks (inventory forcasting en anglais) est un enjeu crucial de l’e-commerce. Les ruptures de stocks chez un e-commerçant favorisent les ventes en ligne de la concurrence. A l’inverse, les excès d’invendus diminuent les marges. Pour répondre aux problématiques d'approvisionnement, la solution logicielle LOKAD analyse les données historiques (assortiments, ventes, achats…) pour générer des prédictions de stocks optimaux à prévoir. Pour étendre les fonctionnalités d’optimisation du stock, un moteur de customisation permet d’adapter les résultats du logiciel selon des critères de pondérations et des calculs-métier propres à chaque entreprise. Le budget : une version gratuite d'évaluation est limitée à 30 jours. Version payante à partir de 150$/mois. Un module Magento de déploiement rapide pour l’e-commerce est inclus dans le tarif. 3/ MYFEELBACK : l’outil de Feedback Analytics pour l’e-commerce Utilisé par quelques-uns des principaux acteurs français et mondiaux de l’e-commerce, l’outil MyFeelback permet d’interroger (de manière intelligente et simple) ses prospects et ses clients sur leur satisfaction. La valeur ajoutée du logiciel, c’est de pouvoir optimiser (de façon continue) le site marchand en fonction des retours utilisateurs récents. Orientée digital omnicanal et multilingue, la solution fonctionne dans les pages-web, les e-mails envoyés et les applications mobiles. En complément des tableaux de bord sur la satisfaction-client, des modules supplémentaires offrent la possibilité d’enrichir automatiquement les données B2C ou B2B contenues dans les outils CRM (Salesforce, Sugar CRM, Adobe Campaign, Sellsy…) des entreprises. Le budget : La tarification mélange abonnement et tarif à la consommation (pay as you go). Une démo gratuite est disponible. 4/ DYNATRACE : l’outil d’UX Analytics pour l’e-commerce Les problèmes techniques des sites marchands (affichage problématique, lenteur, saturation, page d’erreur...) sont un frein aux ventes e-commerce. Pour pallier aux défaillances, le logiciel Dynatrace permet de mémoriser (techniquement) l’expérience-utilisateur de l’ensemble des visiteurs d’un site web. En cas de bug lors d’un parcours-clients, il devient possible de recréer l'environnement technique exact à l’origine d’un problème à résoudre (IP, système d’exploitation, version du navigateur, appareil mobile ou desktop, cookies et données de session, données en base, lignes de code exécutées, SQL exécutés…). En complément de la facilité à debugger les applications on-line, des vues d’ensemble permettent de dresser le bilan général des performances applicatives et des expériences-utilisateurs. Le budget : une version gratuite d'évaluation est limitée à 30 jours. Version payante (location ou achat de licence) selon dimension du besoin. L’incontournable Google Analytics évolue. Le logiciel Google de référence pour analyser le trafic web a récemment perdu du terrain face à plusieurs de ses concurrents (pourtant payants). Atinternet, Piwik Analytics et Omniture d’Adobe ont notamment séduits plusieurs géants de l’e-commerce mondial. En réaction, Google a élaboré Universal Analytics qui permet une meilleure traçabilité des multi-sessions, des multi-devices et des visites offline. Pour les grandes entreprises et les web-agencies, Google offre aussi de la nouveauté : une version Premium de Google Analytics s’appuie sur les données exhaustives d’audience web (et non sur des échantillons) pour ses analyses. Le budget : Google Universal Analytics reste gratuit (mais une mise à jour des traceurs est nécessaire). Orienté grands-comptes et agences-web prestigieuses, Google Analytics Premium coûte plus de 100 000€ l’année. Keywordtool.io permet de lister les mots-clés fréquemment cherchés dans Google. L’innovation de l’outil, c’est de s’appuyer sur l’autocomplete du moteur de recherche pour retrouver (exhaustivement) l’ensemble des expressions Google populaires pour un thème précis. Ces mots-clés pourront ensuite servir à rédiger de manière intelligente les métatags, les fiches-conseils et les fiches-produits des boutiques en ligne (voire des places de marché). Le logiciel facilite aussi la détection des mots-clés pertinents (voire de longue-traine) pour les investissements publicitaires adwords. Le budget : à partir de 48$/mois. Un outil gratuit alternatif existe (www.keyword.io) mais il nécessite de compléter les informations avec un deuxième outil gratuit (le Google keyword Planner) pour obtenir les mêmes résultats d’analyse. 7/ SEMRUSH : l’outil de SEO et SEA Analytics Le logiciel SEMRUSH est un outil de mesure des performances en référencement naturel et payant des sites web. La particularité de l’outil est d’être orienté analyse concurrentielle : détection des campagnes adwords de la concurrence, détection des mots-clés Google qui apportent beaucoup de trafic naturel à la concurrence, détection du netlinking des concurrents, détection de nouvelles pages-web apparues chez un site-web concurrent… Le budget : à partir de 70$/mois. La version gratuite (mais limitée) offre déjà des nombreuses options. 8/ DIGIMIND : l’outil de Social Analytics L’outil Digimind permet aux marques (nationales et internationales) d’obtenir des indicateurs de tendance sur leur e-réputation. En pratiquant une veille informationnelle à partir de plusieurs milliers de sources-médias (journaux, blogs, réseaux sociaux, avis-client, commentaire sur les forums…), le logiciel élabore des vues d’ensemble sur l’opinion des internautes et ses évolutions. Le budget : à partir de 499€/mois. Pour les community managers et les webmarketeurs des entreprises à budget limité, des outils alternatifs de veille internet pourraient suffire (comme mention.com à partir de 29€/mois ou Hootsuite Pro à partir de 10$/mois). 9/ ABTESTY : l’outil d’A/B Analytics pour l’e-commerce Les tests A/B permettent de confronter les performances e-marketing de 2 versions différentes d’un même site marchand, d’une même application digitale ou simplement d’une même page-web. Abtesty est un outil spécialisé dans le déploiement de ces test A/B (auprès d’échantillon de visiteurs) et l’analyse de leurs résultats. L’innovation de l’outil, c’est de pouvoir choisir intelligemment les échantillons pertinents en fonction de critères-métier spécifiques à chaque boutique e-commerce. Le budget : à partir de 29€/mois. 30 jours gratuits sont offerts. 10/ TAGCOMMANDER : l’outil de centralisation des Tags Analytics Tag commander est une alternative professionnelle au logiciel gratuit Google Tag Manager. L’outil permet de centraliser (en un seul et unique endroit) l’ensemble des scripts JavaScript que les éditeurs de logiciels web marketing imposent d’ajouter aux pages-web et aux applications digitales (pour ordinateur, tablette et mobile). L’innovation de l’outil, c’est d’offrir des fonctionnalités anti-doublons pour améliorer les statistiques (et donc les analyses) des autres logiciels de web analytics utilisant des tags.
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Jacques Le Bris
November 21, 2015 2:10 AM
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Twitter is a great tool for connecting with customers. Unlike Facebook, which can be limiting for businesses because of its algorithm, there is literally no limit on your ability to connect with current and potential customers online.That’s why we love Twitter for eCommerce! Twitter provides a prime opportunity to increase customer engagement and sales.This article covers the basics of why Twitter for eCommerce stores works so well and how it can for your eCommerce store as well.Twitter Drives Website Traffic. Believe it or not, I actually spent almost four years working in eCommerce, managing the social media and content for a number of niche eCommerce websites, including the company’s flagship site, LabelValue.What we found was that Twitter worked EXTREMELY well for driving traffic to our website. And, as we all know, more website traffic means more sales.It was more than just driving website traffic though; Twitter was an opportunity to connect with potential customers and really share ourselves as an authority figure in our space.Tweeting links to blog posts as well as images with creative ideas of how you could use labels (there are actually a ton of different ways you can use labels, believe it or not) proved to be a great way to provide additional, often unexpected, value for our Twitter followers.When done for your own eCommerce business, this will not only helps you get more Twitter followers and drive traffic back to your site, but it will also help paint you as an authority figure and resource for great content.
Establish a Reputation for Great Customer Support. You should probably think of Twitter as a customer complaint department. <wink>However, the reality is that Twitter is the first place most people go to when they want to lodge a complaint about a business.If you aren’t monitoring Twitter for mentions, you’re missing out on a chance to provide a fast solution for customers and there are many Twitter tools you can use to help you.If you ARE monitoring closely for mentions, you have the opportunity to turn those customer complaints into big wins for your company because of your excellent customer support.In addition to winning lifetime customers through your speedy customer support, you are also demonstrating to ALL your followers (and anyone else watching) that you have a customer-centric mentality.Remember: someone is ALWAYS watching you on social media.Make sure you’re there and participating in the conversations happening around your brand.Also, be sure to respond to positive tweets as well as negative ones.For positive tweets, retweet the original post and thank the Twitter user. You can even let them know if you have any upcoming sales or new products, if relevant. Perform market research. Because it’s so easy to reach current and potential customers on Twitter, it’s one of the best places you can get information for new products people are interested in.If you were looking for a new flavor for one of your products, you could start by polling your audience on Twitter, asking your current followers what they would like the most.Note: you definitely want to give them options and not ask an open ended question here. You could also perform Twitter searches to find out what Twitter users are already talking about in order to better predict what products they would be most interested in. Promote Your Products with Product Cards. Have you ever heard of Twitter cards?Twitter cards allow you to pull rich information directly into your tweets…and for eCommerce companies, Product Cards are particularly useful.These Twitter cards allow you to include not only the title, description, thumbnail image, and Twitter handle, but also other relevant details that your followers will want to know, such as price and availability. Final Thoughts For eCommerce companies using Twitter, the opportunities to spread the word about your brand and drive traffic to your site are virtually limitless.However, if you do nothing else, embrace Twitter and Social Media as a way to provide superior customer service.Remember, conversations are happening online about your brand every single day. The question is, will you be there participating?
Sheena WhiteSheena is a social media strategist and copywriter and is passionate about helping small businesses maximize the power of social media to increase the success of their online marketing efforts.
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Jacques Le Bris
October 11, 2015 2:52 AM
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Qui a dit que les professionnels de santé, les pharmaciens notamment, ne s’engageaient pas dans la e-santé ? Certes, il est difficile de dresser un tableau large et synthétique, mais quelques initiatives permettent toutefois de prendre le pouls de la digitalisation de l’officine… Unooc : un clic et une pharmacienne répond à vos questions Créé en 2013 au sein de l’incubateur Midi-Pyrénées par la startup Digitica, Unooc est un moteur de recherche recensant 61 961 produits de santé à ce jour. Finis l’attente en caisse à la pharmacie ou le fait de repartir sans le produit recherché : Unooc facilite l’accès à tous les produits de santé. Grâce à son moteur de recherche et de géolocalisation, le site indique à l’internaute la disponibilité du produit dans les pharmacies agréées les plus proches de son domicile (200 officines actuellement recensées) et son prix. Figurent également des informations utiles concernant l’officine : ses coordonnées, les spécialités des titulaires, des fiches-conseils, les gammes de produits vendus ou encore le stock disponible. Pour se procurer le produit recherché, deux possibilités : acheter le produit directement via le site de l’officine qui le livrera en 48h, ou réserver le produit en ligne et récupérer son panier en Drive (Click & Collect). Mais surtout Unooc est plus qu’un moteur de recherche et propose un service que je pense inédit (merci de vos commentaires à ce sujet) : les réponses d’une pharmacienne à toutes vos questions, dans un délai de 24h ouvrées. Il suffit de poser sa question sur Unooc (le formulaire est sur la page d’accueil et la réponse vous est transmise par e-mail). PHC : la pharmacie 2.0 La Pharmacie Homéopathique Centrale a ceci de particulier qu’en plus de disposer d’un site de vente en ligne de préparation homéopathique elle a largement investi les réseaux sociaux. Vous pouvez donc la retrouver sur Facebook, Youtube, Twitter https://twitter.com/PharmaHomeo(et ce depuis décembre 2012 !), Google Plus (D’accord, il ne s’agit que des reprises de la chaîne YouTube… mais qui utilise réellement Google Plus ?) et même vous abonner à son Scoop.it dédié à la médecine douce ! Bonus : PHC soutien l’AMFE, une raison supplémentaire d’aller voir ce qu’ils font sur les réseaux sociaux ! LNP chez vous, la télépharmacie prend vie Communiquez avec votre pharmacien comme au comptoir, voici la promesse de LNP chez vous, le premier site de télépharmacie. Développé par le Dr Katy Garcias, LNP chez vous propose des RDV pharmaceutiques en visioconférence sur une plage horaire très large et non-stop (9h – 23h) qui vous permet de convenir d’un échange avec un pharmacien diplômé au moment où vous le souhaitez. Petite précision : les entretiens sont gratuits, d’une durée ne pouvant excéder 20 minutes et aucun visioéchange n’est enregistré ou conservé sous quelques formes que ce soit. Dernier point, LNP chez vous propose également un service de vente à distance, mais uniquement après visioconférence…
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Jacques Le Bris
September 28, 2015 4:43 AM
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Bonjour,
Saviez-vous que 69% de vos clients attendent des offres personnalisées pour acheter ? Pour pallier à ce besoin, la connaissance de votre audience est impérative. C'est pourquoi, nous avons le plaisir de vous inviter à notre prochain webinar qui se déroulera le Jeudi 1er Octobre de 14h30 à 15h. Jérôme Collomb, Directeur Marketing chez MyFeelBack vous expliquera comment le Smart Survey (questionnaire intelligent) permet aux e-commerçants de mieux connaître leurs visiteurs afin d'augmenter les ventes.
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Jacques Le Bris
September 16, 2015 6:27 AM
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E-Commerce Paris, l’événement cross canal de l’année. Salon du 21 au 23 septembre 2015 au Parc des Expositions de la Porte de Versailles.
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Jacques Le Bris
August 21, 2015 11:50 AM
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L’arrivée du digital a modifié les comportements d’achat « traditionnels ». Aujourd’hui les possibilités d’achats online et offline se multiplient et se complexifient. Le consommateur est devenu un shopper omnicanal. Pour y voir plus clair, nous vous proposons une typologie des différents comportements afin d’identifier les shoppers les plus susceptibles d’acheter vos produits !
Face à la démultiplication des points de contact, comment se comporte le consommateur ? Comment proposer le bon produit, au bon endroit, au bon moment et à la bonne personne ? La typologie des shoppers basée sur les résultats de l’étude smart shopping 2012, nous permet de distinguer 3 grandes catégories de comportements d’achat. CEUX QUI PRÉFÈRENT GÉRER LE COMMERCE PHYSIQUE : 45 %Les « shoppers utilitaires » (24 %) « Le shopping est une perte de temps »
Foyers assez modestes, plutôt âgés de 50 ans et plus. Ils préfèrent le magasin car il les rassure et leur permet de toucher et tester les produits. Ils ne recherchent pas le coup de cœur mais l’utile. Les « store addicts »( 21 %) « J’adore flâner dans les magasins »
Cible assez jeune, souvent sans enfants, qui apprécie et valorise le shopping en magasin, considéré comme une activité en soi et un rituel apprécié. Ils sont friands de conseils. CEUX QUI PRÉFÈRENT GÉRER LEUR ACHATS À DISTANCE, DÈS QUE POSSIBLE : 38 %« Les sofa shoppers » (19 %) « L’achat doit être un acte réfléchi »
Ils correspondent plutôt à la clientèle traditionnelle de l’achat à distance. Ils’agit d’une cible assez féminine et de CSP moyenne, âgée de plus de 50 ans et inactive. Les sofa shoppers commandent sur internet et par catalogue, comparent les prix et sont tentés par la vente et l’achat de produits d’occasion.
Les « Full Web Shoppers » (19 %) « Faire du shopping sur internet est un véritable moment de détente »
Population jeune de CSP+ ou de professions intermédiaires, qui cherchent à rationaliser et rendre leurs achats plus faciles. Ils flânent et achètent plus sur internet qu’en magasin. LES CONSOMMATEURS MULTI-CANAUX 17 %Les « wealthy shopper » (10 %) « Je me fais plaisir » Csp + aux revenus importants, ils consomment volontiers et aisément. Ils fréquentent autant les magasins et centres commerciaux qu’internet. Ils recherchent des produits d’exception et sont demandeurs de conseil et de suivi. La multiplication des canaux d’achat est une conséquence naturelle de ce mode de vie de foyers de cadres avec enfants, vivant souvent en milieu urbain. Les « Good deal hunter » (7 %) « Le shopping est un moment de recherche et de plaisir »
Foyers avec enfants, CSP moyenne, amateurs de marque et d’expérience shopping. Ils concilient budget et achats de bonnes occasions en magasin et en ligne. Ils recherchent aussi bien des produits quotidiens que des produits d’exception. Le consommateur d’aujourd’hui est sophistiqué et opportuniste, il navigue entre le magasin et les environnements online de façon interchangeable pour répondre à ses besoins du moment. Pour satisfaire les clients, les enseignes doivent délivrer une expérience shopping cohérente et pratique à travers tous les points de contact du consommateur, s’étendant du magasin au site web puis inversement.
Si cette typologie vous a intéressé et que vous souhaitez mettre en place une stratégie social média, n’hésitez pas à télécharger notre proposition commerciale 10 solutions pour lancer son application mobile ou notre livre blanc10 conseils pour faire votre stratégie digitale et devenir de véritables médias.
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Jacques Le Bris
August 21, 2015 11:27 AM
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Les nouvelles technologies envahissent la distribution. Elle s'accompagne d'un nouveau vocabulaire qui vient enrichir le jargon du secteur.
Beacon, webrooming, narrative retailing... Le jargon de la distribution a bien évolué, les nouvelles technologies prennent d'assaut le secteur qui s'enrichit de nouveaux termes. Présentation du top 9 des nouveaux mots de la distribution. Comme dans tous les domaines, la distribution évolue, et avec le temps le jargon change et bien sûr, les anglicismes se multiplient au passage. Perdu au milieu des beacons, webrooming et autres mots barbares ? Petit tour d’horizon des 9 nouveaux mots de la distribution à retenir.
1. Le webrooming Il s’agit de l’activité de recherche des informations sur un produit à partir d’un site internet, avant d’aller l’acheter dans une enseigne physique. Cette pratique est l’exact contraire du showrooming qui consiste à aller s’informer dans un magasin physique avant de commander le produit en ligne. Si le showrooming inquiète particulièrement les détaillants, le webrooming devrait les rassurer. Une étude de 2014 de Merchant Warehouse, menée aux Etats-Unis, révèle que 69% des détenteurs de smartphones âgés de 18 à 36 ans s’étaient livrés au webrooming, contre 50% au showrooming. Le webrooming profite surtout des avantages que procure un achat en magasin, avec le service après-vente et la facilité de remboursement.
2. Le showrooming Une pratique bien connue des détaillants : le client va s’informer et découvrir le produit dans une enseigne physique avant de le commander en ligne immédiatement, car il y est moins cher qu’en magasin. Le showrooming inquiète particulièrement les distributeurs, d’autant plus qu’une des seules techniques pour lutter contre le phénomène consiste à aligner les prix en magasin sur ceux des sites d’e-commerce. Pourtant, le webrooming et le showrooming sont des pratiques plutôt complémentaires : suivant le produit recherché, le consommateur choisira l’une des deux techniques.
3. Le f-commerce Le mot tient son abréviation d’un célèbre réseau social : f-commerce pour Facebook. Il s’agit de l’activité de vente réalisée directement sur une page ou une application Facebook. Il désigne aussi l’utilisation des fonctions de partage du réseau social sur un site marchand ou en point de vente. Le f-commerce peut être rattaché au s-commerce pour social-commerce. Si on prend la notion au sens strict il s’agit réellement de l’utilisation du réseau social pour réaliser directement des transactions. Dans une définition plus marketing, le s-commerce pourrait englober aussi les partages et recommandations sociales.
4. Le m-commerce M-commerce s’entend du mobile commerce, c’est-à-dire l’achat via un smartphone ou une tablette, à l’aide notamment d’une application ou d’un site web dédié. On peut lui relier le l-commerce, c’est-à-dire le located based commerce : une application mobile qui reçoit en temps réel les bons plans, des coupons, et des informations sur les lieux à proximité. Dans la même veine le t-commerce, comme télévision commerce, permet de réaliser des achats depuis sa télévision grâce à la télécommande.Ikea avait lancé une télévision intégrant cette fonctionnalité en 2012. Visiblement cette technologie n’a pas eu le succès escompté.
5. Le B to R et le B to I Après le B2B, le B2C, et autres acronymes, le B2R. Il désigne les relations entre une entreprise et ses différents clients. On peut parler de relation entre le producteur et ses détaillants. Le terme recouvre l'ensemble des actions marketing et commerciales à destination de la distribution externe. Dans la même veine, le B2I désigne la relation entre professionnels et actionnaires. Encore un anglicisme, I désignant les "investors". Il concentre l'ensemble des activités et actions de communications des entreprises à destination des actionnaires actuels et potentiels.
6. L'e-couponing
Cette technique de marketing consiste en la distribution de coupons imprimables en ligne : ils donnent lieu à des réductions dans les points de vente physiques. L’e-couponing vient dépasser l’ancienne technique du coupon donné à la sortie de caisse. A l’heure du ciblage et du digital, les initiatives personnalisées se multiplient. Aujourd’hui grâce à l’application française de Catalina, c-Wallet, le consommateur n’a même plus à sortir ses coupons ou son smartphone en magasin, il peut choisir ses produits du quotidien et ses réductions.
7. Le beacon Le beacon est un mini capteur Bluetooth placé au sein d’un point de vente, qui dispose d’un faible rayon d’émission. Il envoie des offres personnalisées, avec des informations, des promotions et enregistre les visites pour créditer des points de fidélité par exemple. Seul bémol du beacon : le consommateur doit disposer d’une application spécifique à l’enseigne et avoir accepté de recevoir des notifications. Certains capteurs beacon ne fonctionnent pas par Bluetooth, mais à ultrasons. Le beacon prend de l’ampleur de jour en jour, Carrefour l’utilise dans ses magasins en Roumanie, Next One dans ses panneaux publicitaires, et le centre commercial des Terrasses du Port à Marseille y recourt aussi. ABI Research table sur 60 millions de Beacon dissimulés aux Etats-Unis à l’horizon 2019. Une technologie particulièrement intéressante quand on sait qu’elle permet aussi de récolter des informations précises sur le comportement du consommateur. 8. Le géofencing Le géofencing ou "localisation à faible échelle", est une technique de marketing utilisant la géolocalisation : dès que le consommateur pénètre dans une certaine zone, il reçoit des messages, et alertes personnalisées sur son smartphone, s’il a téléchargé l’appli mobile de la marque, de l’enseigne, ou du centre commercial. Cette technique de marketing peut fonctionner à partir de beacon, de puce NFC, ou de balises à ultrasons. Le but est de toucher le client au bon moment et au bon endroit, en le poussant à rentrer dans un point de vente ou un rayon. Le géofencing est particulièrement utile pour la liquidation de stock, malgré son aspect intrusif. L'appli mobile Bonial recourt depuis mai 2015 à cette technologie qui ne nécessite aucune collecte de données personnelles. 9. Le narrative retailing En Français théâtralisation du point de vente. Le but est simple : mettre en scène un produit unique et exclusif, en racontant une histoire. Le magasin gagne une approche plus conceptuelle, il est expérimental, a un côté musée, mais surtout c’est un lieu d’expérience sensorielle et de divertissement. En tête des narrative retailing peuvent se placer les boutiques Apple. On crée finalement une connexion émotionnelle entre la marque et le consommateur.
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Jacques Le Bris
July 23, 2015 3:07 AM
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Les analystes du marché du numérique estiment que les ventes de phablettes (smartphones à grand écran) vont dépasser celles de tablettes dès cette année. Les limites de l’ergonomie et de la lisibilité sont-elles proches ?
Selon une étude du cabinet d’analyse IC Insight, les ventes de « phablettes » (ces smartphones dotés d’un écran imposant, mesurant entre 5 et 7 pouces) vont dépasser celles des tablettes dès cette année : 252 millions d’unités dans le monde pour les grands smartphones, contre 238 millions de tablettes. Pourtant, tandis que les téléphones mobiles grandissaient, les tablettes ont bien tenté de rapetisser, avec le lancement de nombreux modèles d’une taille de 7 à 9 pouces. Peut-on faire encore plus petit ? Bien sûr, et Apple l’a démontré en lançant au printemps 2015 son Apple Watch, dont la taille n’est que de… 1 pouce ! Cette taille modeste pouvait laisser présager un échec commercial. A ce jour, il n’en est pas officiellement question, du moins du côté de chez Apple. Chez les analystes, les prévisions pour l’année 2015 varient donc de 10 millions au moins à 36 millions au plus (selon la banque Morgan Stanley). Dans la plus pessimiste comme dans la plus optimiste des hypothèses, on peut difficilement parler d’un échec cinglant. Qu’est-ce que cela dénote ? Tout d’abord que l’hypothèse d’un terminal « unique » est définitivement rejetée par les utilisateurs et le marché. Une même personne peut en effet posséder à la fois une montre connectée, un grand smartphone, une tablette, un ordinateur portable et un ordinateur de bureau équipé d’un écran de plus de 20 pouces. Comment les reconnaît-on ? C’est simple : elles ou ils ont acheté (ou ont eu envie de le faire, mais il est désormais trop tard) des Google Glass.
MID e-news
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Jacques Le Bris
June 16, 2015 2:14 AM
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Pinterest, qui permet d'épingler des photos liées à ses centres d'intérêt, fait ses premiers pas dans le commerce en ligne avec l'introduction annoncée mardi d'un nouveau bouton "acheter" sur certaines des photos épinglées sur son site. A la croisée du réseau social et du moteur de recherche en ligne, Pinterest est déjà utilisé par de nombreuses marques qui y mettent des photos de leurs produits pour tenter d'attirer des clients. A côté du bouton rouge permettant déjà d'épingler ces photos sur son propre profil, il pourra bientôt aussi y avoir un bouton bleu pour acheter le produit. C'est "un moyen simple et sécurisé d'acheter des produits que vous aimez directement depuis Pinterest", a assuré Ben Silbermann, patron et co-fondateur de la société, lors d'une présentation à San Francisco. Le réseau social a indiqué attendre plus de 2 millions de produits dotés du nouveau bouton dès le lancement, prévu dans les prochaines semaines aux Etats-Unis pour les utilisateurs de l'iPhone et l'iPad d'Apple. La société fait aussi miroiter des versions adaptées aux appareils mobiles utilisant Android, le système d'exploitation mobile de Google, ainsi que pour les ordinateurs, mais sans donner de calendrier, pas plus que pour un potentiel développement de la fonction à l'international. Pour sa nouvelle fonctionnalité, Pinterest a noué des partenariats avec des spécialistes du commerce en ligne comme Shopify, ainsi qu'avec des grands distributeurs américains comme Macy's, Neiman Marcus ou Northstrom, mais assure que le nouveau bouton sera aussi utilisé par des milliers de marques locales. Les paiements pourront être effectués via Apple Pay, le service de paiements du groupe à la pomme, ou par carte de crédit. Pinterest a aussi prévu une fonctionnalité de recherche, permettant par exemple de se fixer un objectif de prix.
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Jacques Le Bris
June 3, 2015 9:50 AM
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D'ici quelques semaines, deux millions de produits pourront être achetés sur les pages des marques. Le paiement pourra se faire via Apple Pay aux Etats-Unis. Alors que la publicité monte en puissance sur Instagram, Pinterest s'ouvre lui au commerce en ligne avec l'apparition d'un bouton "Acheter". Des images de produits épinglés sur des pages de marques pourront donc être achetés. C'est "un moyen simple et sécurisé d'acheter des produits que vous aimez directement depuis Pinterest", a assuré Ben Silbermann, patron et co-fondateur de la société, lors d'une présentation à San Francisco.
Le réseau social estime que cette fonction était demandée par ses utilisateurs puisque selon une étude récente de Millward Brown, 93% de ses utilisateurs actifs utilisent l'application pour prévoir des achats, et 87% disent avoir déjà acheté quelque chose parce qu'ils l'avaient vu sur Pinterest. Pas de commission D'ici quelques semaines, deux millions de produits pourront être achetés sur les pages des marques. Un moteur de recherche par prix sera disponible. Le paiement pourra se faire via Apple Pay aux Etats-Unis. La fonction d'achat sera pour le moment réservée à la version iOS de l'application.
Pinterest a noué des partenariats avec de grands distributeurs américains comme Macy's, Neiman Marcus ou Northstrom, ainsi qu'avec des spécialistes du commerce en ligne comme Shopify qui permettront au nouveau bouton d'être aussi utilisé par des milliers de marques locales.
La société affirme que le système fonctionnera sans frais pour les internautes comme pour les commerçants : il s'agit avant tout de séduire les annonceurs et à les inciter à investir plus en publicité, seul levier de monétisation pour le moment mis en place depuis un an. Le bouton acheter pourra toutefois aussi être apposé sur des contenus "sponsorisés", la forme que prennent les publicités au sein de l'application.
Rappelons que Pinterest revendique plus de 50 milliards de photos épinglées sur son site, et Comscore estime qu'elle a 70 millions d'utilisateurs actifs. Sa valorisation est estimée à 11 milliards de dollars. Pour autant, le réseau social est un inconnu en Europe. Selon ses données, en France, 2% de la population a adopté Pinterest et seulement 3% des adultes européens connectés consultaient Pinterest une fois par mois ou plus en 2014. En début d'année, Forrester estimait que Pinterest "n’est pas, aujourd’hui, un outil de marketing social valable pour les marques". "Les spécialistes du marketing ne voient pas encore de réel intérêt à ses tableaux (mur, NDLR) pour les marques. Seulement 56% des grandes marques ont créé des tableaux, et celles qui l’ont fait n’arrivent pas à les alimenter régulièrement, ont du mal à acquérir des abonnés et observent peu d’engagement de leur part", peut-on lire. Ce bouton "Acheter" va-t-il changer la donne ?
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Jacques Le Bris
May 8, 2015 6:21 AM
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Les marques et les distributeurs français se tournent vers le marché chinois de l'e-commerce. Un eldorado à leur portée à condition de miser sur les bons canaux. Nouvelle première économie mondiale en terme de pouvoir d'achat réel , la Chine représente aujourd’hui près de 35% des ventes totales du e-commerce global et devrait représenter la moitié du marché mondial en 2018. Enregistrant une croissance constante de son volume d’achats en ligne, (+25% en 2014 par rapport à 2013), le total des ventes en ligne de ce pays pourrait dépasser les 1.000 milliards de dollars d’ici 2019. Cette croissance exponentielle s’explique notamment par l’apparition massive de plates-formes e-commerce, suite à la politique du gouvernement chinois axant de plus en plus son économie sur la consommation et par l’inadéquation du nombre de commerces physiques avec les besoins des consommateurs. Un marché aux 650 millions d'internautes Pour soutenir cet élan d’activité, plusieurs centaines de parcs logistiques, entrepôts et sociétés de livraison rapide ont vu le jour. Cette structuration étant maintenant bien établie, elle permet dorénavant aux marketplaces d’ouvrir leurs portes aux marques et distributeurs occidentaux. Véritables points d’entrée rapides et efficaces pour les marchands, les marketplaces offrent également aux 650 millions d’internautes locaux la possibilité d’accéder facilement à leurs produits européens préférés. Les catégories privilégiées des consommateurs chinois sont par ordre de préférence : le prêt-à-porter, les produits cosmétiques, les produits de luxe, de la vie quotidienne et les produits alimentaires. Lire aussi : > Faut-il encore investir en Chine ? > Les clés pour réussir sur le marché chinois La Chine est un pays ultra-connecté et de plus en plus consumériste. Son potentiel de ventes est immense pour les e-commerçants et producteurs français. Cependant, une stratégie compétitive de développement dans un pays si lointain induit un investissement technique, logistique, juridique, marketing et financier très important. C’est pourquoi l’intégration de places de marché ouvertes aux vendeurs tiers étrangers est une vraie solution. Les bons tuyaux C’est aussi une des meilleures façons de gagner en visibilité. Cela permet aux marques et distributeurs de profiter pleinement de la puissance marketing et de l’audience de ces sites fortement plébiscités par les internautes chinois. Toutefois, avant d’investir sur les marketplaces chinoises, il faut savoir que chacune d’entre elles dispose d’un mode d’intégration et d’un fonctionnement propres. Dès lors, avant tout déploiement sur ces canaux, il est primordial de s’assurer que l’audience, la structure de l’offre, les services ou encore le système de gestion peuvent être gérés par l’entreprise. Les marketplaces généralistes leaders en Chine et ouvertes aux vendeurs tiers étrangers sont : - Tmall Global : lancé en 2014, Tmall Global est l’extension BtoC du groupe Tmall.com, numéro 1 du marché BtoC en Chine. Filiale du géant Alibaba (gigantesque place de marché BtoB) qui contrôle plus de 80% du marché de l’e-commerce chinois, la marketplace Tmall Global permet aux entreprises basées en dehors de la Chine de vendre directement leurs produits aux consommateurs chinois. Elle propose aux e-commerçants un modèle économique innovant pour distribuer des produits internationaux à des consommateurs férus de produits européens de qualité. Nul besoin d’acquérir une licence de vente sur le territoire chinois, les bons de commandes peuvent être remplis et livrés depuis l’extérieur de la Chine et les paiements réglés dans la devise du pays d’origine du client (dollars, euros, etc). De nombreux prestataires locaux, partenaires de Tmall Global, permettent aujourd’hui aux e-commerçants français de gérer la mise en place de leur projet de distribution en Chine (configuration de compte, design de boutique, traduction de fiches produits, logistique, service client, campagnes marketing, etc.). - JD.com : Deuxième groupe e-commerce BtoC en Chine, fondé en 2004, JD.com comptabilise plus de 100 millions d’acheteurs ponctuels sur son site, un taux de croissance de 94% et un chiffre d’affaires de 25 milliards d’euros en 2014. Comme Amazon, JD.com est un véritable cybermarchand. Le groupe achète les produits pour les revendre. Ce géant du secteur vient d’ouvrir un espace France sur son site afin de permettre aux marques et distributeurs français d’exporter leur produits en Chine. Les étoiles montantes de l’e-commerce chinois Dans le cadre d’un projet de développement d’activité e-commerce en Chine, l’intégration de marketplaces locales est une véritable opportunité. Au-delà des géants Tmall et JD.com d’autres marketplaces tirent leur épingle du jeu et sont à suivre de près. Parmi elles figurent Gome.com.cn, Vip.com, Suning.com, Amazon.cn et Yixun.com. En intégrant des marketplaces qui collaborent avec des partenaires techniques spécialisés dans le e-commerce transfrontalier et proposent des services additionnels idoines aux besoins des vendeurs étrangers, vendre dans l’empire du milieu devient accessible sans investissement important. De nombreuses aides gouvernementales soutiennent également les marques et distributeurs à s’internationaliser. En revanche, une bonne préparation et l’aide d’experts sont des éléments clés pour la réussite d’un développement transfrontalier.
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Jacques Le Bris
January 26, 2016 9:15 AM
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Stay on top of current marketing trends, online advertising do's and dont's, and CRO best practices. Read the top 16 marketing blogs to follow in 2016 here.
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Jacques Le Bris
January 26, 2016 7:25 AM
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Martine Pinville, Secrétaire d’État chargée du Commerce, de l'Artisanat, de la Consommation et de l'Economie sociale et solidaire, auprès du ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique, a clôturé les Rendez-Vous du Commerce, qui se sont tenus ce jour au Centre Pierre Mendès France à Bercy, et qui étaient consacrés à la présentation d’une étude sur le thème de la transition numérique dans le commerce inter-entreprises. Cette étude, initiée par la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad), a été réalisée par le cabinet d’études Next Content, en collaboration avec le Crédoc, et avec le soutien financier de la Direction Générale des Entreprises (DGE) et de 3 partenaires, Intershop, Oxatis et StiboSystems. Elle met en perspective la transition numérique du commerce inter-entreprises (BtoB), en s’appuyant sur les résultats d’une enquête menée aux mois de juin et juillet 2015 auprès de distributeurs BtoB dans 8 secteurs.
Téléchargez la synthèse de l'étude Téléchargez la présentation du 19/10 Pour recevoir par mail un lien de téléchargement de l'intégralité de l'étude, merci de laisser vos coordonnées [...]
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Jacques Le Bris
January 17, 2016 4:33 AM
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C'est la fin d'un feuilleton long de six mois. Le 4 janvier dernier, Carrefour a annoncé avoir finalisé l'acquisition de Rue du Commerce. Amorcées fin aout 2015, les négociations autour de ce rachat avaient, pour rappel, été approuvées en novembre dernier par la Commission Européenne. "La Commission a conclu que le projet d'acquisition ne posait aucun problème de concurrence étant donné que les chevauchements d'activités seraient minimes entre les deux sociétés" avait fait savoir Bruxelles pour motiver son feu vert.
Réalisée pour un montant non dévoilé, la transaction transfère donc 100% du capital du pure-player, spécialiste des produits high-tech, des mains d'Altarea Gogedim, son propriétaire depuis 2012, au géant de la distribution. Une passation de pouvoir qui permet à Carrefour de franchir "une étape supplémentaire dans le déploiement de [son] offre omnicanale en France" note le groupe. Qui fait l'impasse sur les difficultés de Rue du Commerce - dont le dernier exercice fiscal rendu public en 2014 faisait état d'une perte opérationnelle de 19 M d'euros - pour mettre l'accent sur ses atouts : "une marque forte, une base client importante (5 M de visiteurs uniques par mois), une place de marché de taille significative et des expertises complémentaires" détaille l'acquéreur dans un communiqué. Une nouvelle app en Chine Preuve, s'il en fallait, que l'e-commerce guide la stratégie de développement de Carrefour en 2016 au global, et non pas seulement en France, ce dernier a révélé aujourd'hui 12 janvier le lancement d'une application à destination du marché Chinois, où Carrefour est présent depuis 1995. En complément des 238 supermarchés physiques qu'y compte le groupe, ce dernier avait déployé un site marchand en mai 2015.
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Jacques Le Bris
November 3, 2015 1:14 AM
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Un bon commerçant devient un formidable eCommerçant à partir du moment où il a une mentalité de commerçant.
Ouvrir un site eCommerce c'est facile, mais augmenter son chiffre d'affaires et sa marge nécessite de changer ses méthodes. Nous avons eu le plaisir de recevoir René Cotton de Wizishop, plateforme eCommerce pour les nouveaux eCommerçants avec plus de 45 000 boutiques crées. Dans cette interview de 15 minutes (voir tout en bas de l’article) René Cotton nous explique les 6 étapes qui vont transformer un eCommerçant en un Super eCommerçant ! Etape 1 – Générer ses premières ventes via Google Adwords, mais en suivant de très près la conversion.image: http://www.conseilsmarketing.com/wp-content/uploads/2015/11/ecommerce-google-adwords-conversion-funnel1-500x480.jpg Au début on est invisible, le SEO prendra du temps et c’est de plus en plus dur. Il faut donc aller chercher des visiteurs via la publicité au clic, en particulier Google Adwords. Cependant il faut surveiller la conversion de ses annonces Google Adwords comme du lait sur le feu. Parfois certains eCommerçants viennent nous voir et nous disent qu’ils ont utilisé tout leur budget publicitaire dans Google Adwords, et ils ne savent plus quoi faire… Or c’est très tard pour se préoccuper de sa conversion. Il faut au contraire optimiser sa conversion en amont, il faut suivre finement les différentes campagnes, et activer / désactiver les annonces et les annonces. Pour cela il faut multiplier les annonces et les mots clés, mais avec un tout petit budget, ce qui permettra de voir les campagnes qui apportent des prospects et celles qui n’attirent pas les bonnes cibles. Au bout d’un mois, on fait le point, et on voit celles qu’on va optimiser, celles que l’on arrête… Cela permet déjà d’avoir un minimum de trafic qualifié pour démarrer son activité. Etape 2 – Vendre ses produits sur les places de marché et les guides d’achatsimage: http://www.conseilsmarketing.com/wp-content/uploads/2015/11/marketplace-500x230.png Les places de marchés permettent aussi de générer du chiffre d’affaires. C’est vrai que l’on ne va pas attirer des gens sur le site, car les ventes sont effectuées sur les places de marché, mais cela permettra de faire du chiffre d’affaires et de se faire connaître de ses premiers clients. On peut ainsi être présent sur cDiscount, Amazon, Fnac… et faire vivre son business en préparant en parallèle des actions sur le SEO, sur la fidélisation… C’est par exemple des guides d’achat thématiques comme les plateformes de Qualead, et tout comme Google Adwords on va pouvoir suivre la conversion. Et si cela fonctionne bien on continue avec d’autres produits à vendre sur ces plateformes. Petit à petit l’objectif est de diversifier ses sources de prospects, et bien entendu de les augmenter en volume et en qualité. Etape 3 – Mettre en place des outils de recommandation de produits sur son siteimage: http://www.conseilsmarketing.com/wp-content/uploads/2015/11/de40f38d2a3f5a82d1e44b5c17a018651-500x429.jpg Les eCommerçants qui ont déjà un certain succès avec le trafic payant (Adwords, Places de Marchés…), passent ensuite à la mise en place d’outils de recommandations. C’est par exemple des outils comme Nosto qui permettent de mettre en avant les produits de sa boutique en fonction de son historique d’achat, de sa navigation… Cela permet d’augmenter le panier d’achat et la conversion, car c’est simple à mettre en place et cela permet d’inciter à l’achat d’impulsion. Etape 4 – Travailler sa base clients et fidéliserimage: http://www.conseilsmarketing.com/wp-content/uploads/2015/11/E-Commerce-500x363.jpg Une fois que l’on commence a avoir des clients et des prospects, il est essentiel de travailler sa base de contacts. C’est vraiment une des clés majeures pour améliorer sa rentabilité et monter en puissance. La seconde, la troisième, la quatrième…. commande d’un client, c’est cela qui permet de rentabiliser tous les efforts mis en place pour recruter un client. Il faut proposer des accessoires, des montées en gamme… mais il faut que l’offre commerciale par email soit personnalisée. Si vous envoyez un message générique à tout le monde, la conversion ne sera pas bonne. Il faut aller voir les produits achetés, le montant de la commande, le type de produits… et proposer une offre personnalisée. C’est à partir de ce moment là que vous verrez vraiment vos ventes décoller de manière drastique. Vous pouvez aussi faire du SMSing, même si cela demeure encore sensible auprès des contacts. Etape 5 – Avoir une mentalité de commerçant et aimer ses produits.image: http://www.conseilsmarketing.com/wp-content/uploads/2015/11/30ee1b5-500x355.jpg Un bon commerçant devient un formidable eCommerçant à partir du moment où il a une mentalité de commerçant. Il faut connaître ses produits, il faut avoir envie de vendre ses clients… il faut que cela soit un business mais aussi que cela soit une « passion » ou au moins en avoir besoin. Si on est un « expert » de ses produit, on va fédérer une communauté, obtenir la confiance… Par exemple Espace Vap, est un des leaders de la cigarette électronique car ils ont réussis à créer cette relation de confiance avec la communauté des vapoteurs. Cela passe par un Blog où ils communiquent beaucoup, par des fiches produits très détaillées… Tout cela met en confiance le client, et souvent ces clients recommandent cette boutique. Cet eCommerçant est même allé un peu plus loin car il a créer un système de Box Mensuelles via lesquelles les clients peuvent goûter chaque mois de nouveaux parfums de cigarettes électroniques. On proposant ce pack découverte à moindre coût cela leur permet de recruter des personnes curieuses, il montre son expertise, il fédère une communauté autour de son site. MonPetitBikini.com a la même philosophie : on voit que la créatrice aime ses produits, qu’elle aime bien les présenter… Elle a même été plus en cherchant une égérie pour son site ! Etape 6 – Savoir se remettre en question et s’adapter aux évolutions du métierimage: http://www.conseilsmarketing.com/wp-content/uploads/2015/11/Inside_an_Ecommerce_Entrepreneurs_Brain_Cartoon_Illustration-banner-500x209.jpg Bien entendu, un formidable eCommerçant doit en plus savoir se remettre en question, et s’adapter aux évolutions du marché. Par exemple il y a la mobilité, avec l’explosion de la navigation et des ventes sur Tablette, mais c’est aussi donner le choix sur les frais de ports, les modes de livraison… C’est sûr que c’est du travail pour gérer plusieurs modes de livraison, mais proposer plusieurs mode de livraison permet de booster ses ventes. Au départ on peut se contenter des modes classiques de livraison, mais pour élargir sa cible, il faut répondre aux besoins de gens qui veulent une livraison express, ceux qui veulent se faire livrer près de chez eux via un point relais, offrir un retrait en magasin… Par exemple certaines personnes veulent toucher le produit, aller le chercher après le travail… d’où l’émergence de certains eCommerçants qui ont du succès en proposant le commerce physique et l’eCommerce. Mais la boutique n’est pas le passage obligé, tout dépendra de la cible, et dans le commerce physique c’est l’emplacement physique qui est essentiel. Néanmoins si on fait un parallèle avec le Web, l’emplacement est aussi essentiels car il faut être visible sur Google, sur les Places de Marché… Au final, nos clients veulent un outil qui fonctionne bien, mais ils veulent aussi de la visibilité, et diversifier ses sources de travail.
En conclusion image: http://www.conseilsmarketing.com/wp-content/uploads/2015/11/the-life-of-an-ecommerce-order_50a116a9c6149-500x261.jpg S’il y a un point commun entre la plupart des formidables eCommerçants, c’est qu’il connaissent leur produit, qu’ils mesurent la rentabilité de leurs action, qu’il savent se remettre en question, qu’ils savent travailler leur base clients et qu’ils aiment leurs produits. Pour cela il faut se mettre à la place de ses clients, et tester son site en tant que client afin de voir les points de friction. Il faut tester et retester son site de A à Z et tout le parcours de vente (achat, emails de bienvenue…), par ses amis, par ses prospects, par son agence… Et si vous voulez ouvrir votre propre boutique eCommerce, rendez vous sur le site de Wizishop sur CE LIEN. Il suffit de 5 minutes pour ouvrir gratuitement votre site eCommerce et vous lancer dans l’aventure. En savoir plus sur http://www.conseilsmarketing.com/e-marketing/les-6-etapes-pour-passer-decommercant-a-super-commercant-puis-a-devenir-un-formidable-ecommercant#KQZriv1oK4tZ2ZrC.99
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Jacques Le Bris
October 6, 2015 2:33 AM
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Les Français ne supportent plus le démarchage téléphonique : c'est ce que montre une enquête du magazine 60 Millions de consommateurs,menée en ligne auprès de 5387 lecteurs, entre le 24 juillet et le 6 août, et rendue publique dans sa livraison d'octobre (en kiosque). Ceux qui ont répondu sont 32% à recevoir des appels une fois par jour ou plus sur leur téléphone fixe, et 39% à les recevoir plusieurs fois par semaine. Pour éviter d'être dérangés, 71% renoncent à décrocher le combiné. Pour l'instant, le téléphone mobile est relativement préservé. . Les appels reçus concernent la rénovation de la maison - fenêtres, toiture - (82%), les énergies renouvelables, notamment les panneaux solaires (75%), la téléphonie, Internet ou la télévision (74%), le gaz ou l'électricité (71%), les assurances (64%), les placements financiers ou immobiliers (53%), les jeux ou loteries (27%), les produits de soin ou de santé (24%), les abonnements à des magazines (18%) ou les voyages (14%). 69% proviennent d'instituts de sondages et 47% d'associations caritatives. Lorsqu'ils reçoivent des appels de démarchage, 90% des correspondants constatent d'abord qu'ils n'ont pas d'interlocuteur au bout du fil, pendant plusieurs secondes : en effet, c'est un logiciel de numérotation automatique qui compose leur numéro; il bascule ensuite l'appel vers un téléconseiller - mais il faut attendre qu'il y en ait un de disponible. 89% des consommateurs ont des difficultés à comprendre leur interlocuteur, en raison de son accent étranger ou d'une communication de mauvaise qualité; 88% reçoivent des appels masqués - alors que le démarchage en numéro masqué est interdit par la loi depuis juin 2014 ; 47% sont dérangés le samedi, et 20% le soir après 20 h 30. La quasi-totalité de ceux qui reçoivent ces appels (99%) estiment qu'ils "ont peu d'intérêt et qu'ils les dérangent souvent". Les démarcheurs ne peuvent donc compter que sur le 1% qui répond que ces appels "peuvent être utiles".
Nombre de ceux qui ne veulent pas être dérangés se sont inscrits sur le fichier Pacitel, mis en place volontairement par cinq fédérations professionnelles qui représentent 80 % des entreprises du démarchage téléphonique. L'enquête de 60 Millions de consommateurs confirme que cela ne sert à rien, ou presque : pour 68% des inscrits, les appels sont "aussi nombreux". Nous avons expliqué, dans l'article de Sosconso intitulé Démarchage téléphonique : le lobby des centres d'appels a gagné, que le Parlement s'est opposé à la formule de l'opt-in, proposée par le sénateur Jacques Mézard (Rassemblement démocratique et social européen, Cantal), lors du vote de la loi du 17 mars 2014 relative à la consommation: partant du principe que personne n'a envie d'être dérangé par un démarcheur téléphonique, M. Mézard préconisait que seuls ceux qui le souhaitent s'inscrivent sur un fichier ad hoc. Au nom de la défense de l'emploi, c'est le principe d'une nouvelle liste d'opposition qui l'a emporté. L'article L 121-34 du code de la consommation a prévu que cette liste, cette fois obligatoire, sera gérée par un organisme désigné par le ministre de l'économie. Un décret du 19 mai est venu préciser les modalités de fonctionnement de la liste, les conditions dans lesquelles les entreprises y auront accès, ainsi que les modalités du contrôle exercé par l'Etat sur l'organisme chargé de la gérer. Les entreprises de démarchage devront, "de manière régulière, et au moins mensuellement", confier leurs fichiers de prospection à cet organisme, afin qu'il en supprime les numéros de téléphone enregistrés sur la liste d'opposition. Les agents de la DGCCRF pourront obtenir de l'organisme "toute information utile" pour s'assurer que les professionnels respectent leurs obligations. En cas de manquement, ces derniers encourent une sanction administrative de 75 000 euros. La liste d'opposition devrait bientôt entrer en vigueur, Carole Delga, l'ancienne secrétaire d'Etat en charge de la consommation, l'ayant annoncée pour l'automne. Vous pourrez vous inscrire sur Internet, et indiquer vos numéros de téléphone fixe et mobile, pour une durée de trois ans. Les démarcheurs ne pourront plus vous contacter... à l'exception des éditeurs de presse, des associations caritatives et des instituts de sondage. Pour être sûr de ne pas être dérangé, voici quelques conseils: - demandez à votre opérateur de vous retirer de l'annuaire (placement en liste rouge). Vous pouvez le faire gratuitement à tout moment. Mais cela ne suffit pas. - Evitez d'indiquer votre numéro de téléphone sur les formulaires commerciaux ou lors de vos commandes en ligne. En effet, il va atterrir sur un fichier qui risque d'être revendu. Selon le magazine 60 Millions de consommateurs, "ces bases de données se louent, à raison d'environ 150 à 250 euros le paquet de mille coordonnées, auprès de sociétés spécialisées. Le catalogue d'ITL, l'un de ces 'brokers' installé en Alsace, offre ainsi 410 fichiers. On y trouve par exemple celui des clients du vépéciste Yves Rocher (400 000 numéros) ou des utilisateurs du comparateur Assurland (644 567). Les entreprises peuvent choisir, toujours chez ITL, une clientèle de septuagénaires à mobilité réduite (clients d'Astelia, service téléassistance) ou de seniors intéressés par la thérapie magnétique pour soulager les douleurs inflammatoires, clients de Cuivrarthrose." .
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Jacques Le Bris
September 27, 2015 5:17 AM
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A l’occasion du salon e-commerce de Paris les 21, 22 et 23 octobre prochain, nous avons décidé de nous pencher sur l’e-réputation des e-commerçants pour les fêtes de noël 2015. Boules et guirlandes de Noël sont encore bien loin des esprits et pourtant, les e-commerçants se préparent déjà pour les fêtes de fin d’année. Avec une préoccupation majeure : avoir une bonne e-réputation. En effet, d’après le sondage IFOP / Reputation VIP de mars 2015 concernant l’influence de l’e-réputation sur l’acte d’achat, pas moins de 96 % des internautes sont influencés par l’e-réputation de la marque lors d’un achat. Ce facteur est particulièrement important en cette période de l’année, où le trafic augmente de manière considérable. Pour les e-commerçants, préparation rime avec anticipation lors des fêtes de Noël La période de Noël est particulièrement stratégique pour les sites e-commerce qui sont très tôt sur le pied de guerre. Vendeurs, commerçants ou fournisseurs cherchent à assurer leur succès et leur rentabilité. Stocks, logistique, infrastructures, stratégie de développement, relation client… Tout est passé au peigne fin pour faire face au pic des périodes de Noël. Il faut dire que le chiffre d’affaires et le trafic réalisés lors de cette période de l’année sont de plus en plus impressionnants. Les résultats de sites e-commerce ne devraient pas faiblir lors des fêtes de Noël 2015 Si les fêtes de fin d’année 2014 représentent un bon cru pour les e-commerçants, 2015 s’annonce également sous les meilleures hospices. D’après l’enquête FEVAD/CSA sur les perspectives d’achats sur Internet en 2015, les achats sur Internet devraient encore affiché une santé insolente. Malgré un contexte économique difficile, 6 e-acheteurs sur 10 (61 %) estiment que cela n’affectera pas leur consommation sur Internet, Les achats pourraient également être poussés par la mobilité des internautes, avec le développement de la 4G et des équipements nouvelle génération grands écrans. Des acheteurs mieux équipés et donc plus susceptibles d’acheter en ligne. L’e-réputation des e-commerçants : une stratégie qui doit être bien gérée pour les fêtes de Noël 2015 Dans ce contexte, comment les e-commerçants doivent-ils gérer leur e-réputation pour les fêtes de Noël 2015 qui s’annoncent particulièrement intenses ? Avis, politique de prix, service après-vente, livraison de dernière minute, conditions de livraisons, relation client sur les réseaux sociaux… Différents facteurs qui doivent être consciencieusement réfléchis par les sites e-commerce afin de se construire une bonne e-réputation. Pourquoi ne pas valoriser les commentaires positifs en viralisant certains d’entre eux sur les réseaux sociaux ? Capitaliser sur les clients ambassadeurs est une opportunité stratégique pour développer une confiance positive auprès des internautes. Il faut aussi penser à répondre rapidement à tout mauvais commentaire, erreur ou retard. Ecouter les avis négatifs permet également d’améliorer certains points dans l’entreprise. Prévoir les achats de dernière minute, développer un bon service après-vente ou encore proposer des cadeaux et messages personnalisés peuvent aussi permettre de se démarquer. Les e-commerçants peuvent proposer une boite cadeau pour la livraison. Il s’agit aussi d’être rassurant concernant les durées de livraison. Si vous possédez un magasin physique, n’hésitez pas à proposer un retrait en magasin. En effet, 55 % des cyberacheteurs indiquent ne plus revenir sur un site si l’article a été abîmé pendant le transport, 89 % si le colis n’a pas été reçu et 76 % s’il ne correspond pas au descriptif du produit affiché sur le site. Pour les aider dans leur tâche, les e-commerçants peuvent également aller sur le tableau de bord de Reputation VIP. Intérêts : surveiller, améliorer et protéger la première page de Google de l’entreprise pour éviter toute mauvaise surprise. Fêtes de Noël 2015 : les enjeux de l’e-réputation pour les e-commerçants Les enjeux sont importants. En effet, pour que son Noël soit vraiment parfait, l’internaute, avant d’acheter, surfe de plus en plus sur les comparateurs de prix comme Leguide.com ou les marketplace comme Amazon. Ce qu’il va trouver le décidera à rester ou à aller voir ailleurs. D’après le sondage IFOP / Reputation VIP de mars 2015 concernant l’influence de l’e-réputation sur l’acte d’achat : – Pas moins de 96 % des internautes sont influencés par l’e-réputation de la marque lors d’un achat. – 88 % des individus consultent des avis de consommateurs, des forums ou des blogs avant de réaliser un achat en ligne, 73 % avant un achat en boutique. – Les avis négatifs sont de nature à dissuader 85 % des consommateurs. – L’e-réputation a une influence multicanal : près de 90 % des répondants se renseignent sur Internet lorsqu’ils sont intéressés par une publicité à la télévision ou un prospectus. Une donnée importante devant le nombre de publicités télévisuelles et de prospectus diffusés durant la période de Noël. Fêtes de Noël 2014 : 20 % du chiffre d’affaires annuel pour les e-commerçants Les e-commerçants ont donc du pain sur la planche pour faire face à tous les enjeux de l’e-réputation pour les fêtes de Noël 2015. L’année dernière, le travail des commerçants avait payé. 99 % des e-acheteurs des fêtes de fin d’année étaient satisfaits de leurs achats, selon une enquête de la Fevad. Pour Marc Lolivier, Délégué Général de la FEVAD : « ces résultats qui viennent récompenser les efforts mis en œuvre par les e-commerçants et leurs partenaires pour offrir une qualité de service à la hauteur des attentes des Français, sont très encourageants pour l’avenir malgré une conjoncture économique difficile. » L’e-réputation doit ainsi être au cœur de la stratégie des e-commerçants, car celle-ci est devenu un élément clé, notamment pour se différencier et attirer les internautes. D’après le bilan de Noël de la FEVAD pour le secteur e-commerce en 2014, les e-commerçants avaient réalisé cette année entre le 24 novembre et le 18 décembre 20 % de leur chiffre d’affaires annuel, avec 11,4 milliards de chiffre d’affaires. Du côté des internautes, 28 millions de Français avaient préparé ou acheté leurs cadeaux de Noël sur Internet en 2014, selon une enquête de la Fevad. D’après cette même étude, plus de 85 % des e-acheteurs avaient effectué une part identique ou plus importante de leurs cadeaux de Noël sur Internet par rapport à l’année précédente. Joyeux noël à tous !
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Jacques Le Bris
September 15, 2015 6:10 AM
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La considération qu’il faille établir une barrière imperméable entre les activités e-commerce BtoC (Business to Consummer) et BtoB (Business to Business) est largement répandue. Ne nions pas que la nature de cibles adressées soit bien différente. Cependant, il faut garder à l’esprit que, dans la réalité, le responsable achat de chez MonGrosClientPro est sans doute également un cyberacheteur dans la sphère privée. Ainsi, il navigue et commande sur d’autres sites que le vôtre. Il connaît certains codes et utilise des fonctionnalités qui font leurs preuves dans les rayons des sites Grand public. Plutôt que de réinventer la poudre, il convient donc de réutiliser les outils qui marchent sur ces sites et éventuellement de les adapter à votre clientèle de professionnels. Voici les 6 fonctionnalités que l’on retrouve en BtoC, tout autant incontournables pour votre B2B, et que nous sommes amenées à déployer avec Magento. 1. LE LIVE CHAT Voilà une petite popin qui rend bien des services à l’utilisateur front office et sauve le taux de transformation de votre e-commerce Magento. Visible en permanence sur l’ensemble des pages du site (ou accessible après un temps d’inaction paramétrable), le live chat rassure l’utilisateur front office qui peut bénéficier d’une assistance en ligne réalisée par un être humain et ce, à tout moment de son parcours client. Certains modules permettent même d’utiliser d’autres supports que le chat écrit et de se rendre ainsi accessible au plus grand nombre (chat écrit, click to chat, audio, click to call et vidéo, click to video) POURQUOI CETTE FONCTIONNALITÉ EST ENCORE PLUS IMPORTANTE EN BTOB ? Votre client professionnel a sans doute un agenda déjà bien rempli et peu de temps pour réaliser ses achats. Inutile de le laisser se perdre dans vos rayons juste parce qu’il a un doute sur la référence à acheter ou que vos temps de traitement des e-mails par le service client dépassent la demi-journée. 2. LA PERSONNALISATION AVANCÉE Connaître son client et lui recommander les produits qui correspondent à ses recherches ou habitudes d’achat permet de le fidéliser en lui montrant l’étendue de votre catalogue et en étant à l’écoute de ses centres d’intérêt. Pour vous, c’est également une technique d’augmentation du panier moyen. QUE FAIRE DE CETTE FONCTIONNALITÉ EN B2B ? À moins que votre e-Commerce soit intégralement positionné sur un marché de niche, vous avez certainement un catalogue couvrant les besoins de nombreux métiers. C’est là qu’un moteur de personnalisation avancé peut apporter une réelle valeur ajoutée pour vos clients en leur poussant les produits qui les concernent vraiment (voir aussi notre article : 10 points clés pour personnaliser l’expérience d’achat et optimiser le taux de conversion) 3. LES AVIS UTILISATEURS / CONSOMMATEURS Deux écoles s’opposent sur le ratio risques / bénéfices de cette fonctionnalité. Selon moi, le recueil d’avis, proactif ou non, est incontournable et cela pour plusieurs raisons. De manière générale, les avis permettent de prendre la température de la satisfaction client, mais également de pouvoir réagir unitairement en cas de problématique sur un produit ou une commande, voire d’étouffer certains conflits dans l’œuf (et empêcher par exemple qu’ils ne se dispersent sur les réseaux sociaux). Les avis produits vous permettent également d’identifier les améliorations éventuelles à apporter sur vos produits ou de remonter ces informations à vos fournisseurs (et améliorer ainsi vos relations commerciales). LES POINTS DE VIGILANCE À AVOIR EN BTOB ? Si en BtoC, le partage communautaire représente, après filtrage, une forte valeur ajoutée, en B2B, il faut prendre grande attention concernant la volonté de confidentialité de vos clients. Tous ne seront pas d’accord que leurs avis soient diffusés et souhaiteront une réassurance supplémentaire quant à l’usage qui sera fait de leur retour. 4. LA PROMOTION DES VENTES La vie d’un site e-commerce, qu’il soit sous Magento ou non, est réglée autour d’animations commerciales de diverses typologies : coupons, mises en avant marques ou produits, catalogue évènements, rich media… Ces opérations de promotion ou de merchandising rendent le site attractif et valorisent votre catalogue. QUELLES SONT LES PRÉCAUTIONS À PRENDRE POUR ANIMER SES VENTES EN BTOB ? Revoyez votre timing : du fait d’un processus décisionnel clients plus complexe qu’en BtoC, vos clients ne doivent pas se sentir frustrés par des délais trop courts sur vos opérations. Investissez également dans un outil de promotion plus approprié qui prendra en compte les problématiques de grilles tarifaires et tarifs négociés, afin de ne pas sacrifier la totalité de votre marge par négligence. Finalement, si vous avez des commerciaux terrain, faîtes-en les ambassadeurs de votre stratégie d’animation on-line en les tenant régulièrement informés de ce qu’il s’y passe. 5. UN THÈME RESPONSIVE / MOBILE L’enjeu de la mobilité est majeur face à des internautes ultra-connectés. Proposer une version responsive et/ou un thème mobile est un chantier complexe qui doit être pensé dans ses moindres détails, afin d’assurer une expérience utilisateur réussie. LES MÊMES USAGES EN BTOB ? Plusieurs critères devront être intégrés dans le processus de décision concernant un thème : votre budget, le contenu à minima, les performances attendues, les problématiques d’indexation et de référencement… mais également et surtout l’utilisation qui en sera faite par vos clients. En b2b, il y a autant d’usages que de métiers. C’est également ce qui déterminera les choix à faire entre un thème mobile et/ou un thème responsive ainsi qu’entre les différentes fonctionnalités desktop qui seront adaptées, voire même supprimées, et la création de nouvelles. Est-ce qu’il s’agit de revendeurs ? Auquel cas, la version responsive sera tout indiquée pour leurs démonstrations sur tablette. Si on parle d’artisans, ils seront sans doute séduits par l’idée de pouvoir constituer leur panier à la volée sur le chantier avec leur mobile. 6. OMNICANAL : LIAISON WEB / BOUTIQUES Le prospect / client est loin d’avoir un parcours lisse et navigue volontiers entre les différents canaux à disposition, afin de conclure ses achats et d’en assurer le suivi. Dans la liste des fonctionnalités omni-canal qui répondent à cette attitude, nombreuses sont celles qui établissent un lien plus abouti entre les différents canaux et notamment avec les magasins physiques de votre enseigne : consultation de l’état des stocks, réservation de produits, géolocalisation de boutiques ou de produits… POURQUOI C’EST ENCORE PLUS IMPORTANT EN B2B ? Votre site web Magento va permettre à votre client, par exemple, de prendre la main sur la planification à l’avance de ses commandes et de réaliser un suivi jusqu’au retrait dans leur magasin de proximité. Imaginez également qu’une fois sur place, au retrait de cette commande, un vendeur accède à toutes les informations recueillies au cours de sa navigation et puisse le conseiller sur le contenu online de son panier et éventuellement, conclure une vente additive en boutique. Ceci étant, pour que ces fonctionnalités satisfassent vos attentes ainsi que celles de vos clients, il faut que les interconnexions entre logiciels, ERP, CRM, outil de gestion des stocks… soient efficaces et sans rupture entre les différents canaux. CONCLUSION Quelles que soient les fonctionnalités BtoC que vous déciderez d’adopter pour votre plateforme e-commerce BtoB sous Magento, gardez bien à l’esprit qu’un travail d’adaptation sera probablement nécessaire pour répondre aux besoins de vos prospects / clients et retirer le meilleur retour sur investissements (ROI). Si vous avez un doute sur la façon de mettre en place une fonctionnalité, n’hésitez pas à soumettre la nouveauté à un groupe de clients « test » avant de la généraliser, par exemple en ayant recours à des tests A/B pour définir le meilleur wording à utiliser.
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Jacques Le Bris
August 21, 2015 11:43 AM
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Chiffres d'affaires, m-commerce, places de marché... Retrouvez dans cette infographie les évolutions de e-commerce en France en 2015.
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Jacques Le Bris
July 23, 2015 4:01 AM
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Jérôme Buffo, Président de Somaweb La start-up toulousaine Somaweb lance Hop To Sale, une solution pour vendre ses produits et services sur le Net, sans investir dans une boutique en ligne.
Le principe de Hop To Sale : une plateforme permettant à l’utilisateur de mettre en ligne des offres commerciales pour faire du e-commerce sans disposer d’un site marchand. « Les offres sont saisies par l'administrateur via une console dédiée, simple et intuitive, puis sont automatiquement mises en ligne, explique Jérôme Buffo, fondateur et Président de Somaweb. Il suffit ensuite de guider les internautes vers ces offres via un lien hypertexte pour qu'ils commandent en ligne à partir d’un simple site vitrine, d’un blog ou de réseaux sociaux. Concrètement, aucun développement technique n'est requis et aucune installation n’est nécessaire.» Avec cette solution inédite, la start-up toulousaine cible notamment les professionnels qui souhaitent tester le e-commerce, monter des opérations spéciales, faire une campagne de ventes privées, ou encore disposer d’un canal complémentaire de vente en ligne, sans devoir rétribuer de marketplace. Un modèle économique basé sur la performance « Notre solution ne fait l’objet d’aucun frais d’installation et d’hébergement. Nous nous commissionnons exclusivement sur le montant TTC des ventes réalisées par notre client (NDLR : à hauteur de 5 %) », reprend Jérôme Buffo. Hop To Sale propose également une offre de services optionnels forfaitaires, comme la personnalisation de catalogues ou la conception-réalisation d’e-mailings. Sur le même principe, Somaweb décline à l’intention des entreprises et des associations une solution de gestion des inscriptions en ligne à leurs événements, adhésions ou réservations d’espaces, accessible sous forme de packs (15 €/mois pour un engagement d’1 an ou 24 €/mois sans engagement). « Une quinzaine de clubs d’affaires toulousains utilisent déjà L’inscription.com et nous souhaitons maintenant nous développer dans le secteur des collectivités avec des applications spécifiques, notamment pour les inscriptions aux cantines scolaires ou aux centres de loisirs », confie Jérôme Buffo. Chantal Delsouc, MID e-news
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Jacques Le Bris
July 21, 2015 1:25 AM
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Le plus difficile quand on est en position hégémonique, c’est de la garder. D’autant plus quand la concurrence est polymorphe. La nécessité de consolider ou préserver ses parts de marché explique en partie les nombreuses annonces de Google, et particulièrement celles ayant trait au-e-commerce. Le 15 juillet, Google a annoncé la possibilité d’acheter directement depuis le résultat d’une recherche mobile. Cette possibilité, offerte progressivement par Twitter, Pinterest et Facebook, est pour Google quasiment une nécessité si le géant veut maintenir ses parts de marché publicitaires. Pour l’instant, cette annonce ne porte que sur un partenariat avec une douzaine de partenaires, mais devrait s’étendre plus largement d’ici à la fin 2016. Pour mémoire, aux US, le marché publicitaire est estimé à 350 Milliards de $ et celui du e-commerce à 60 Mds en 2015. Cette annonce correspond aussi à une tendance en hausse des achats depuis un mobile : 28% des achats commencent depuis un mobile selon Google. Et cette tendance n’a échappé à personne et Google contre-attaque face à deux menaces importantes : l’une sur les moteurs et l’autre de la part de Facebook, plus agile du mobile. Sur les moteurs, comme le relève Business Insider, la concurrence de BING (le moteur de Microsoft) grignote peu à peu les parts de marché de Google aux US : – Le nombre d’impressions de Bing a augmenté de 98% sur les tablettes et de 30% sur les smartphones en un an. A contrario, Google a perdu 26% de PDM sur les tablettes et la croissance des vues sur mobile est seulement de 1% – Les recherches sur smartphone depuis Bing ont augmenté de 78% avec un CPC (coût par clic) en hausse de 73%. Pour Google, ces hausses s’affichent respectivement à 69% et le CPC à 18%.
Toutefois, au second trimestre, Google garde 75,5% de part de marché de la publicité payée contre 24,5% pour Bing. Une stabilisation expliquée par les nombreuses améliorations apportées par Google sur son interface mobile. Enfin, une amélioration toute relative si l’on en croit l’étude publiée par Adobe… L’algorithme mobile plante Google et profite à Facebook Autre problème plus général pour Google, comme le relève une étude d’Adobe sur le « mobilegeddon », l’irruption de l’algorithme « mobile friendly » en avril dernier à fait perdre 10% de trafic organique aux marques qui n’étaient pas conformes aux doléances de cet algorithme. Conséquence, le CPC était en hausse de 16% tandis que le CTR (taux de conversion des clics) chutait de 9%. Pire, là où Google accuse une chute de 3%, Facebook voit lui une hausse de 11% et 100% de hausse sur le CTR grâce au placement des publicités dans le newsfeed des internautes. Le CTR global de Facebook a cru de 99%, pour seulement 24% pour Google.
Pour les annonceurs, le message est clair, si votre stratégie publicitaire et marketing n’est pas adaptée au mobile, vous avez un sérieux problème. Au-delà de la concurrence entre plateformes et moteurs, Google avec cette nouvelle fonctionnalité attaque surtout son principal concurrent Amazon et anticipe sur la volonté de Facebook de s’accaparer des parts de marché sur le e-commerce avec la possibilité offertes aux marques de transformer leurs pages en site de e-commerce. La guerre du e-commerce ne fait que commencer . Celle de la publicité continue. @fabricefrossard
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Jacques Le Bris
June 5, 2015 12:23 AM
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Un vendeur et son stand de smartphones, en avril 2015 sur le « Computer Village » de Lagos, Nigeria (PIUS UTOMI EKPEI/AFP)
C’est le chiffre du jour assurément : 97% des Africains auront un téléphone mobile en 2017, dans à peine dix-huit mois. Ça s’appelle du « leapfrogging », un saut de grenouille, littéralement ; mais ça signifie qu’on saute une étape technologique pour passer directement à la suivante. L’Afrique a passé l’étape du téléphone fixe, et même celle d’Internet sur ordinateur, pour passer directement à celle du mobile. Capture d’écran du site du Forum économique mondial, dont l’édition africaine met l’accent sur la technologie (WEForum.org) Et les résultats sont spectaculaires. Non seulement, presque tous les Africains vont être reliés à un réseau téléphonique, ce qui était loin d’être le cas dans l’immensité des territoires africains et leur sous-développement, mais 50% d’entre eux devraient être reliés à Internet via smartphone d’ici dix ans. La baisse des prix des smartphones, et même la production de téléphones connectés à Internet spécifiquement fabriqués pour les populations les plus pauvres des pays émergents, certains pour à peine plus de 20 euros, vont permettre ce « leapfrogging » sans précédent. Rajeunissement et urbanisation Deux autres phénomènes accentuent cette évolution : - le rajeunissement de l’âge moyen de la population du continent : d’ici cinq ans, 50% de la population active de l’Afrique aura moins de 25 ans ;
- l’urbanisation croissante d’un continent jusqu’ici largement rural : 50% des Africains vivront dans les villes en 2030, 60% en 2050.
En 2022, selon des projections qui valent ce que valent les prédictions économiques, il y aura plus d’Africains dans la catégorie « classe moyenne » que dans la catégorie « pauvres ». Une Afrique à deux vitesses ? Ces changement sont d’ampleur historique, et pourraient transformer de larges parties du continent, mais aussi générer une Afrique à deux vitesses : - celle qui bénéficie pleinement de l’impact de la démocratisation de l’accès à la technologie, que ce soit dans l’éducation, la santé, les systèmes économiques, ou encore la vie sociale et citoyenne ;
- de l’autre celle qui, parce qu’elle est encore plongée dans des conflits religieux, territoriaux, ethniques ou politiques, restera durablement en marge de cette évolution.
Le pire étant les pays qui seront eux-mêmes clivés sur cette base, comme le Nigeria, première puissance économique du continent, dont le Nord-Est subit les assauts et la terreur de Boko Haram, tandis que les grandes métropoles du Sud tentent de se moderniser. Ces perspectives attirent aujourd’hui les investisseurs du monde entier, à l’appétit croissant face aux chiffres de la croissance africaine. Le Davos africain, l’édition du Forum économique mondial (FEM) qui se tient ces jours-ci au Cap, en Afrique du Sud, en est le reflet, avec un record de participants venus du monde entier. The Economist montrait il y a quelques jours avec un graphique que les investisseurs en Afrique ne sont plus seulement attirés par les ressources minières du continent, mais par les pays au potentiel de développement de classe moyenne importante.
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Jacques Le Bris
May 27, 2015 4:57 AM
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Smartphone sales growth is slowing to less than 10 percent annually to 2018, and mobile networks saw just 5 percent growth in the last decade. So while Apple continues to knock it out of the park and Xiaomi skyrockets, mobile Internet is the mobile growth market. Digi-Capital now forecasts almost 3x revenue growth from $300 billion last year to $850 billion by 2018. The market Apple spawned could generate more revenue within three years than even its own mighty market cap today. Despite huge scale and growth, mobile is still evolving. M-commerce remains the primary engine of growth, which is why VCs bet more than half of $41 billion invested in mobile in the last 12 months into m-commerce-related sectors. Mobile advertising is set to leapfrog in-app purchases to move from third to second place in the revenue hierarchy by 2018, as app developers rebalance their business models to capture new opportunities. Enterprise mobility growth continues, although not as fast as the consumer market. Finally, the Apple Watch is helping the wearables sector to gain deeper penetration and revenue. Buy, buy blackbird M-commerce is the undisputed heavyweight champion of the mobile world, with over $200 billion m-commerce sales last year. Asian m-commerce also passed America in 2014, and by 2018 Asian users will account for almost half of over $600 billion spent on goods and services using mobile devices. Asia’s larger population and growing mobile middle class have outpaced U.S. mobile shoppers, despite America’s higher spend per person. The rise of Alibaba, Flipkart and others highlights that m-commerce is no longer just the domain of familiar giants like Amazon and eBay. Established offline retailers are also showing m-commerce’s value. Wanda E-commerce, a joint venture of retailer Dalian Wanda, Tencent and Baidu, became worth over $3 billion within four months of being founded and before it had sold anything. (...)
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