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Scooped by Jacques Le Bris
April 14, 2015 10:01 AM
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Infographie | L'application mobile booste les ventes

Infographie | L'application mobile booste les ventes | M-Market | Scoop.it
Les points-clé : 
  • Équiper ses clients de son application est un accélérateur de businessconsidérable : le client porteur d'app dépense en moyenne 60% de plus qu'un client non porteur, qui achèterait donc via un site web ou mobile. 
  • Cette augmentation du CA est directement corrélée à une fréquence de commandes plus élevée. Une application représente ainsi un multiplicateur de fréquence d'achat, et donc un véritable outil de fidélisation.
  • Une mise au panier dans une application est, dans 52% des cas, finalisée au sein même de cette même app. Une application est donc un vrai outil de m-commerce
  • Efficacité des autres leviers de conversion d'une mise au panier réalisée dans une app : en moyenne, 36 % des mises au panier sont finalisées sur le site web de la marque ; 10% sur son site mobile et seulement 2% via d'autres leviers, non digitaux (ex : catalogue papier, téléphone,...). Un achat débuté dans l'app se finit donc dans quasiment la moitié des cas sur d'autres terminaux. L'application apparait ainsi comme un outil clé du cross-device, permettant de suivre l'utilisateur à travers les différents terminaux qu'il utilise, depuis sa découverte d'un produit jusqu'à la finalisation de son achat. 
  • Le taux de conversion in-app est nettement plus élevé sur smartphone que surtablette. Les comportements d'achat des consommateurs varient d'un terminal à l'autre.

 

Méthodologie : pour réaliser cette étude datamining, Ad4Screen a analysé le chiffre d'affaires et les commandes réalisées via mobile en 2014 de 24 clients e-commerce.

Jacques Le Bris's insight:

AD4SCREEN : expert de la Publicité et du CRM Mobile depuis 2010, AD4SCREEN aide les annonceurs à mettre en place des campagnes publicitaires mobiles et des programmes relationnels mobiles performants. Avec plus de 5000 campagnes " 100% mobile " à son actif et une équipe de plus de 50 experts du Mobile (Media Planing, Media Buying, Studio, Data Mining), AD4SCREEN est le leader incontesté de la publicité mobile en France. AD4SCREEN répond aux objectifs de notoriété, de création de trafic, de génération de téléchargements d'applications, de conversion... des annonceurs, sur mobiles et tablettes, en France et à l'international.

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April 4, 2015 3:07 AM
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La numérisation du commerce de détail - CNIL - Commission nationale de l'informatique et des libertés

La numérisation du commerce de détail - CNIL - Commission nationale de l'informatique et des libertés | M-Market | Scoop.it

Rendre les magasins plus « connectés » devient une préoccupation majeure des commerçants. La nouvelle lettre IP fait le point sur cette numérisation croissante de la consommation en magasin, qui implique la prise en compte d’un nombre grandissant de données.

 

Pour s’adapter à l’évolution des modes de consommation – caractérisée par une fusion progressive des univers physique et numérique – certains commerçants utilisent désormais des capteurs ou technologies qui enrichissent l’expérience de consommation en magasin. 

Au-delà des dispositifs de mesure de fréquentation et d’analyse du comportement des consommateurs, l’innovation est aussi guidée par une recherche de l’hyperpersonnalisation de la relation client en mobilisant tout un ensemble d’informations liées au contexte de l’utilisateur. Suivre ses déplacements dans le magasin, connaitre ses préférences, analyser son historique de transactions et simplifier la phase du paiement, deviennent des axes essentiels dans la numérisation du shopping. 

 

Les frontières traditionnelles entre les univers du paiement et de la fidélité sont donc de plus en plus floues. Les nouveaux moyens de paiement, qui prennent souvent la forme d’applications mobiles, intègrent ainsi des données portant sur l’ensemble de la relation commerciale. 

La nouvelle Lettre Innovation et Prospective propose de s’intéresser à ces enjeux et d’anticiper les mutations à venir.

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March 30, 2015 7:10 AM
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Les marques qui ont de l'avenir en France

Les marques qui ont de l'avenir en France | M-Market | Scoop.it

Les nouveaux acteurs du numérique vont-ils détrôner les marques établies aux yeux des consommateurs français ? Et qui seront les références par secteur d’activité dans les dix prochaines années ? 

 

Et bim ! Alors qu’on s’interroge encore et encore sur une éventuelle sortie de crise et sur la capacité de la France à toujours être dans la course de cette guerre économique mondiale, le classement « Les marques d’avenir » bat en brèche pas mal de poncifs ! Une étude réalisée par l'agence W avec l’institut Viavoice démontre avec une insolence réconfortante que parmi les marques d’avenir 53% sont françaises (*). Et encore plus réjouissant, elle révèle que parmi les marques émergentes (c’est-à-dire créées au cours des 10 dernières années avec en tête Blablacar, Netflix, GoPro) 48% sont hexagonales contre 38% Américaines, 7% Chinoises et 2% d’Italiennes, de Britanniques, d’Israéliennes, de Suédoises et aucune Allemande ! Un score qui monte à 62% pour les marques établies (c'est à dire qui ont une histoire) qui dament ainsi le pion aux USA (26%), à l’Allemagne (6%), à la Suisse (3%) et à la Corée du Sud (3%). A noter toutefois que dans cette catégorie, le trio de tête se compose d’Apple, Google et Total. « Les marques dites établies sont toujours citées en premier par les consommateurs. On peut donc parler de marque titulaires et de marque A’ qui regroupent en majorité les acteurs du numérique » explique Denis Gancel, le président et cofondateur de l’agence W.

 

Autre point encourageant, le dynamisme national est bien présent (53%) avec des entités comme Carmat, Withings, Aldebaran, Robotic, Deezer, Blablacar, Michel & Augustin, Biocoop, Criteo, Visiomeet. Toutes ces marques représentent la diversité entrepreneuriale de notre pays. Car si certaines sont developpées en IDF, beaucoup le sont ailleurs. Notamment dans le sud au sens large du terme avec Valneva, Bjorg, Wiko, Prixtel, Wiseed, Ethiquable, Blue Poppies, mais aussi dans le nord avec Ouishare et en Bretagne avec Blue Solutions.

 

 

 

 

Se renouveler et s’inscrire dans le quotidien : leviers fondamentaux

 

Leur point commun, comme à toutes les autres étudiées dans ce classement, est leur capacité à s’inscrire dans le quotidien et à changer les usages. Un critère perçu comme un levier fondamental pour durer dans le temps pour 22% des répondants au même titre que leur capacité à se renouveler soit pour répondre à une requête sociétale (comme Total et la transition énergétique) soit en menant une politique ambitieuse de R&D à l’instar de Google et d’Apple. L’objectif étant de se démarquer par le caractère innovant du produit ou par la manière de se constituer.

 

D’ailleurs 35% des marques émergentes appartiennent aux secteurs technologique, informatique ou électronique. Mais cette domination des secteurs innovants est contrebalancée par la montée d’autres univers comme la santé, l’énergie et l’aérospatial bousculés par des nouveaux entrants. « L’étude fait ressortir deux enseignements majeurs. Au-delà d’être une marque d’avenir, il faut changer le quotidien des gens. C’est une donnée prépondérante pour émerger de la masse. Mais surtout il faut arrêter de penser la construction de l’entreprise avant celle de la marque. L’avènement du numérique permet de fabriquer une marque et d’acquérir le plus vite possible des parts de marché. Les entreprises françaises doivent comprendre cette nouvelle mécanique. Désormais la réputation devient incontournable pour prospérer » précise Denis Gancel.

 

En outre, si une marque d’avenir n’est pas conditionnée par la création d’emplois qui n’est pas une priorité ni par le rôle des dirigeants qui est relativisé, on l’attend sur sa performance économique surtout du côté des acteurs économiques traditionnels (Total) sur la confiance (71%), sur la réputation ou la position de leader (23%). Des dimensions largement portées par les marques émergentes à la croissance rapide comme Blablacar (47%), Netflix (28%), Biocoop (25%), alors que Google (17%) Apple (14%) et Total (8%) sont moins citées sur ces critères.

 

Autre enseignement de l’étude plus structurel, le top ten des marques émergentes confirme que la plateforme devient une règle entrepreneuriale (Blablacar, Netflix, Deezer, Airbnb, Spotify, Uber…) rendant indissociable l’impératif de croissance de la condition de start-up. Un modèle qui va, en plus, de pair avec une diversification des activités de ces marques comme Netflix qui passe de la distribution à la production de contenu. D’ailleurs, toujours dans cet esprit expansionniste, commandé par l’international et le digital, 53% des marques émergentes françaises ont choisi un nom à consonance anglo-saxonne. Plus de doute possible, les entreprises françaises bien décidées à compter sur le marché savent préparer leur avenir et ne laissent rien de côté.

 

(*) La méthodologie a consisté à interroger sur deux mois une communauté d’observateurs privilégiés de l’économie française. Ces interviews ont permis de définir un palmarès général de marques d’avenir, retravaillé pour faire ressortir des marques émergentes -qui ont elles-mêmes été hiérarchisées par un échantillon représentatif de cadres français.

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March 18, 2015 2:53 AM
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Infographie | Le parcours client de demain en point de vente

Infographie | Le parcours client de demain en point de vente | M-Market | Scoop.it
'Le magasin du futur sera un showroom d'exposition et d'information orientant les décisions d'achat grâce à la géolocalisation, aux terminaux mobiles et aux applications', selon le cabinet de conseil BearingPoint. Retour en images sur la vue du parcours client de demain en point de vente.
LaurentHinard's curator insight, March 18, 2015 4:08 AM

Rien à ajouter... il n'y a qu'à suivre le parcours client qui va encore évoluer grâce aux futures idées qui vont faciliter la vie des consommateurs et réduire fortement les frictions.

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March 9, 2015 4:13 AM
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Les cinq tendances à suivre en 2015 sur le marché du paiement mobile

Les cinq tendances à suivre en 2015 sur le marché du paiement mobile | M-Market | Scoop.it

En plein essor, le m-commerce devrait représenter, d’ici fin 2015, plus de 180 milliards d’euros dans le monde et devenir un canal de vente incontournable pour les marchands, tous secteurs d’activités confondus.




  

 

Les habitudes de consommation continuent d’être bouleversées : ainsi, acheter via son mobile un billet d’avion, le dernier sac à main à la mode, réserver sa location de vacances, ou encore précommander et payer son menu dans un restaurant est aujourd’hui possible. Ces expériences mobiles séduisent de plus en plus les consommateurs du monde entier, friands de disposer de services utiles et pratiques qui répondent à leurs besoins et facilitent leur quotidien.  
En matière de paiement mobile, 2014 a changé la donne. 2015 sera marquée par plusieurs grandes tendances : multiplication des objets connectés, essor de l’authentification biométrique, développement du paiement en un clic, retour du commerce social et croissance du commerce transfrontalier.
 
La multiplication des objets connectés
Montres, bracelets ou encore lunettes connectés, systématiquement appairées aux différents appareils mobiles via Bluetooth, vont continuer à évoluer et leur adoption ne fait plus aucun doute. Par conséquent, les solutions mobiles vont disposer d’une véritable capacité d’interaction et, grâce aux informations disponibles, notamment l’historique d’achat, il sera possible de prédire avec plus d’efficacité les envies et besoins des consommateurs.
L’expérience d’achat sera transformée en 2015 : les marchands vont s’adapter à ces changements de mode de vie et de consommation et faire évoluer leurs offres, en permettant notamment la personnalisation de l’expérience d’achat en magasin et l’envoi en instantanée d’offres spéciales.
L’authentification biométrique remplacera les traditionnels mots de passe
Les technologies d’authentification biométrique ont commencé à émerger. Peu d’utilisateurs se souviennent de tous leurs mots de passe et le traditionnel identifiant / mot de passe n’est plus réellement adapté aux usages d’aujourd’hui. Dans ce contexte, l’alliance FIDO (Fast ID Online) qui comprend de grandes entreprises telles que Google, PayPal, Samsung ou encore Microsoft, a publié fin 2014 FIDO 1.0, un nouveau standard qui combine biométrie et chiffrement asymétrique offrant ainsi un système de connexion et d’authentification plus sûr. 
 
Par ailleurs, selon l’institut Frost & Sullivan, 471 millions de smartphones devraient être équipés du système biométrique à l’horizon 2017. Le passage de l’innovation à l’adoption sera pour 2015 et, au sein de PayPal, nous sommes convaincus que cette nouvelle norme d’authentification aura un impact positif sur la croissance du m-commerce. 
 
Payer deviendra ludique… En 1 clic !
Au cours des cinq prochaines années, l’utilisation des portefeuilles numériques va continuer de se développer et acheter sans sortir sa carte bancaire deviendra un usage courant. En effet, les consommateurs consultent régulièrement leur smartphone qui fait aujourd’hui office de téléphone, d’agenda, de réveil, d’appareil photo, de lecteur multimédia et désormais de portefeuille. Cependant, l’achat en ligne n’est pas toujours optimisé et adapté aux mobiles. Souvent, les utilisateurs doivent encore remplir un certain nombre d’informations (numéro de carte bancaire, lieu de livraison, détails de facturation…) avant de finaliser leur achat.
Pour répondre à cette problématique et faciliter le quotidien des utilisateurs et des marchands, il est nécessaire de développer des solutions innovantes destinées à supprimer la friction du paiement. Le paiement en 1 clic devrait se démocratiser offrant aux consommateurs une expérience d’achat mobile rapide et sûre, et permettant aux marchands d’augmenter leurs ventes en diminuant le taux d’abandon de panier.
 
Non, le commerce social n’est pas mort
Si le shopping est une activité sociale, le shopping en ligne n’est pas considéré comme tel… pour le moment ! En effet, 2015 devrait renouer avec le commerce social, c’est-à-dire l’utilisation des réseaux sociaux pour les transactions e-commerce.
 
Avec la montée en puissance des réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter ou encore Pinterest et Instagram, les consommateurs partagent des informations personnelles, donnent leur avis sur leurs produits préférés, et les marques mettent en avant leurs produits phares. Les réseaux sociaux sont de véritables plateformes d’échanges et devraient devenir de plus en plus des espaces de shopping.
 
Dans ce contexte, les marques vont multiplier les partenariats, se connecter entre elles afin d’offrir à leurs clients une expérience complète qui allie à la fois conversation, achat, support client, partage d’informations, et ce aussi bien en ligne qu’en boutique.
 
La mondialisation pour tous !
Les consommateurs s’attendent à pouvoir dénicher n’importe quel produit sur Internet, qu’il s’agisse d’un site français ou étranger. Ainsi, le commerce transfrontalier va poursuivre sa croissance et devrait atteindre près de 300 millions de dollars d’ici 2018*. Des pays comme les Etats-Unis, le Royaume-Uni, l’Allemagne, le Brésil, la Chine et l’Australie vont apporter près de 130 millions de consommateurs transfrontaliers en plus sur le marché d’ici là, dont 72 millions via les appareils mobiles.
 
Les PME doivent se préparer à saisir cette opportunité, et 2015 devrait être une année stratégique pour celles qui souhaitent s’internationaliser.
 
2015 verra l’arrivée sur le marché de nouvelles technologies qui permettront le développement du m-commerce. Encore faut-il que les consommateurs les adoptent ! En effet, il ne faut pas oublier que la technologie en tant que telle n’apporte pas de valeur, ce sont les services, leur personnalisation et l’adaptabilité aux nouveaux modes de consommation qui offrent une expérience d’achat enrichie. Comment les marques utiliseront et mettront à profit ces nouvelles innovations afin de proposer aux utilisateurs des expériences correspondant à leurs attentes et leur facilitant le quotidien ?
 

*Etude IPSOS menée pour PayPal sur les habitudes de consommation en ligne auprès d’un échantillon représentatif d’environ 17 519 personnes, répartis dans 22 pays - Les entretiens ont été conduits en ligne entre le 9 septembre et le 3 novembre 2014.

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January 28, 2015 6:51 AM
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Le Baromètre du E-commerce en France | Altaïde

Le Baromètre du E-commerce en France | Altaïde | M-Market | Scoop.it

Une étude lancée par l’Observatoire des Usages Internet de Médiamétrie a révélé les pratiques e-commerce des internautes au cours des mois d’Octobre et Novembre 2014.

 

34 millions de cyberacheteurs en France

D’après l’Observatoire des Usages Internet de Médiamétrie, 34 millions d’internautes ont effectué des achats sur Internet au cours des mois d’Octobre et Novembre 2014, soit 430 000 de plus qu’il y a un an.

Le Délégué Général de la Fevad marc Lolivier déclare: « Avec une augmentation de plus de 50% de cyberacheteurs depuis 2008, le e-Commerce est bien ancré dans les usages des consommateurs. Il y a 4% de cyberacheteurs de plus entre janvier et novembre 2014, par rapport à la même période de l’année précédente. La maturité du marché s’exprime également par la fréquence des achats en ligne, puisque 61,3% des internautes ont effectué un achat en ligne durant les 3 derniers mois, soit 12,2 points de plus qu’en 2008.»

 

Le top 15 des sites « e-commerce » les plus visités en France

Médiamétrie et la Fevad publient chaque trimestre un classement des sites e-commerce les plus performants. Ce classement trimestriel permet de suivre l’évolution de l’audience des principaux sites marchands français en nombre de visiteurs et en pourcentage de la population d’internautes sur la période concernée.

 

En Octobre et Novembre 2014, près de 2 internautes sur 3 ont consulté, chaque mois, au moins un des sites du Top 15 e-commerce.

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January 24, 2015 11:28 AM
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M-commerce : Amazon en première place des applications

M-commerce : Amazon en première place des applications | M-Market | Scoop.it

Développement du m-commerce : une étude vient d'être publiée, concoctée par Kantar Retail et le spécialiste App Annie, dressant sa liste des cinq applications mobiles de la grande distribution qui seraient les plus téléchargées à travers l'Hexagone. Il en ressort que les consommateurs français privilégieraient les apps permettant de faire leurs repérages et de finaliser leurs achats, plutôt que celles qui misent sur l'amélioration de l'expérience en magasin.

 

L'étude indique que le principe du m-commerce serait de plus en plus utilisé par les enseignes, offrant son lot de nouvelles opportunités à la grande distribution. On apprend que les 25 plus grands distributeurs français proposant une application mobile auraient vu leur nombre de téléchargements augmenter de près de 50 % cette année, par rapport à 2013.

 

Les analystes y voient un signe que les Français trouvent un réel intérêt à entretenir un lien avec leurs magasins via leurs smartphones, mais surtout à être en mesure de réaliser leurs achats depuis leurs mobiles. Il en ressort également le Top 5 suivant : Amazon, Qui est le moins cher (E. Leclerc), CDiscount (Casino), Leclerc Drive (E. Leclerc), Fnac.

 

Pour Olivier Bernard, vice-président EMEA chez App Annie : « Les grandes surfaces spécialisées atteignent un point de saturation en termes de présence physique qui va bientôt nécessiter un recentrage sur la différenciation plate-forme/service, au-delà de la proximité physique. Cela signifie qu'avec une vente au détail où la croissance est centrée sur l'aspect pratique, les applications mobiles sont l'un des rares circuits de vente par lesquels les détaillants peuvent se distinguer et fournir une expérience client plus riche et personnalisée. »

 

Pour ce qui concerne les appareils utilisés, l'iPad resterait pour le moment à la traîne, en ne totalisant que 20 % des téléchargements IOS d'apps issues de la grande distribution.


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January 21, 2015 9:37 AM
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Je suis hôtesse de caisse et Je suis Charlie

Je suis hôtesse de caisse et Je suis Charlie | M-Market | Scoop.it

Dans les grandes surfaces de distribution et enseignes spécialisées, le personnel se mobilise aussi contre les attaques terroristes du 7 et 9 janvier 2015 au sein de la rédaction de Charlie Hebdo et dans l’Hyper Cacher de la porte de Vincennes. Photos et témoignages.

 

Samedi 10 janvier 2015, 11h30. Sur sa veste, Martine*, hôtesse de caiss, porte fièrement le slogan "Je suis Charlie". Un badge de fortune fait maison. Ses collègues, elles, ont eu le temps d’imprimer l’étiquette. Dans ce magasin Intermarché Super de la région bordelaise, le personnel a choisi de se mobiliser ouvertement contre le terrorisme et les attentats du 7 et du 9 janvier 2015 perpétrés à la rédaction de Charlie Hebdo et dans l'Hyper Cacher de la Porte de Vincennes.

Caissières et vendeurs solidaires

"Pour moi, c’est très important de porter le slogan. Ma direction est d’accord et même si cela n’avait pas été le cas, je l’aurais fait quand même. Je suis trop révoltée pour qu’on m’en empêche", lance Martine. Une action que la plupart des clients approuve ! Seuls quelques-uns (toujours trop !) ont été véhéments. "Ils l’ont bien cherché !", ont scandé certains. A ce type de réflexion, les hôtesses de caisse tentent de garder leur sang-froid. Lasse, l’une d’elles a tout de même retiré son badge. "Je reste mobilisée mais ça me saoûle d’entendre de genre de propos…" Pour Martine, pas question de céder : "C’est important de montrer qu’on n’a pas peur".

"Je suis Charlie"  : une action spontanée en magasin

L’action de ces hôtesses de caisse n’est pas isolée. Minute de silence, affiches, badges "Je suis Charlie"...  Un certain nombre de points de vente, tous secteurs confondus, s'est spontanément mobilisé contre les attaques terroristes. "Beaucoup d’employés d’entreprises de commerce ont participé aux hommages, mais combien l’ont fait, nul ne sait. Les choses se sont déroulées spontanément, selon la conscience de chacun. Si des consignes ont été données, pour faciliter la minute de silence, cette communication est restée interne aux entreprises, nous n’avons pas été informés. Notre fédération n’avait pas à appeler à manifester, nous devions laisser chacun agir en conscience et c’est ce qui s’est passé, puisque les manifestations ont été massives et j’y ai évidemment participé", rapporte Jean-Marc Genis, président de la Fédération de l’habillement dans une interview accordée à LSA.

Et si la mobilisation du personnel des hypermarchés et supermarchés est un peu retombée ce lundi 12 janvier après le grand rassemblement national du week-end précédent, les affiches, elles, sont toujours présentes sur les vitrines des magasins, comme dans certains Intermarché, Leclerc, Vival by Casino, Cultura ou Habitat (cf. photos ci-dessous). En façade, au rayon poissonnerie, en tête de gondole ou au niveau des caisses… Le slogan "Je suis Charlie" est encore bien accroché !

Mobilisation des enseignes de presse

Mais c’est surtout dans les enseignes de presse que les messages restent les plus présents ! Comme dans les points de vente Relay, Hexagone ou Decitre. Avec la reprise du message de l’Union Nationale des Diffuseurs de Presse : "Les marchands de journaux dénoncent cet attentat à la liberté d’expression et au fondement de la démocratie. Chaque jour, nous continuerons d’assurer le libre accès à l’information et la liberté de la presse. Nous nous associons à la douleur des familles et des proches des victimes." Des enseignes vent debout pour défendre la liberté d'expression !

*Le prénom a été modifié

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January 2, 2015 12:13 PM
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En 2015, la ruée sur les applications mobiles

En 2015, la ruée sur les applications mobiles | M-Market | Scoop.it
De la banque aux jeux, en passant par le shopping, elles sont partout. Souvent gratuites, les applications mobiles attirent de plus en plus l’attention des grandes marques.

«La prise de pouvoir du mobile est d’ores et déjà entérinée, d’où la ruée des marques vers les applications », explique Renaud Menerat, président de la Mobile Martketing Association France (MMAF), qui regroupe les professionnels du secteur. Quelques chiffres pour mieux s’en rendre compte : 28 millions de smartphones en France, environ 30 applications utilisées en moyenne, pour un total de 30 heures passées par mois devant ces petits logiciels, si pratiques, que ce soit pour vérifier son compte en banque, payer ses impôts (impots.gouv), justifier ses retards au travail (Fake An Excuse) ou prêter ses toilettes (AirPNP).

Des écrans partout

Nouveauté de 2015, les applications vont sortir des smartphones et des tablettes. En effet, la vague des objets connectés gonfle discrètement : bracelets, montres, lunettes et casques. L’arrivée de l’Apple Watch, la montre connectée d’Apple, devrait marquer le grand essor de ce nouveau marché. Et chacun de ces écrans contiendra bien sûr… des applications.

Connectées au web, mais aussi connectées entre elles. En ce domaine, le futur s’appelle Apple HomeKit, une application qui permet de contrôler tous les objets connectés de la maison : ouverture des portes, allumage des lampes, réglage du chauffage, programmation de la cafetière…

L’essor du m-commerce

L’e-commerce lui-même est dépassé. Place au m-commerce. Les smartphones vont se muer en terminaux de vente. La SNCF et les compagnies d’aviation ont déjà dématérialisé leurs tickets.

Dans les hôtels, le « checking digital » et le key-less (les clés numériques) se développent. Plus étonnant encore, la multiplication des codes QR, ces codes barre renvoyant vers internet, en magasins. On ouvre son application, on flashe un code et l’on sort du magasin sans passer par la caisse !

La marque Comptoir des Cotonniers est précurseure en ce domaine. Le service Apple Pay devrait bientôt permettre de généraliser le procédé.

Des pushs tout le temps

Pour l’heure, seules les applications de la presse ou de réseaux sociaux envoient des notifications à leurs usagers. Bientôt, le « marketing prédictif » va en faire la règle. Exemple. Vous possédez l’application d’une marque bien connue de fast-food ?

Vous recevrez un message push chaque fois que vous approcherez d’un de leurs restaurants. Et si vous en franchissez la porte, ce sera un push de bienvenue, puis un autre sur les menus disponibles, les promotions… Mieux, les applications ambitionnent de se muer en « assistants personnels », et anticiper vos besoins. Une expérience étonnante, que Google Now propose déjà. Grâce à l’agrégation des contenus de diverses applications Google, l’application sait ce que contient votre agenda. Dès lors, avant un rendez-vous, elle vous envoie une notification pour vous avertir de partir, calcule votre temps de trajet, anticipe les bouchons ; etc. C’est la magie de l’accumulation des données. En 2015 votre smartphone voudra tout savoir sur vous, pour mieux vous guider. Effrayant ? Peut-être. En tout cas bienvenue dans le futur. Et ça a déjà commencé…

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January 2, 2015 12:08 PM
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5 tendances e-commerce en 2015 selon Rakuten

5 tendances e-commerce en 2015 selon Rakuten | M-Market | Scoop.it

Rakuten, le géant japonais des services Internet, vient de livrer ses prévisions pour le retail en 2015. Ces prévisions s’inscrivent dans un contexte où :

  • les ventes mondiales de l’e-commerce devraient connaître une croissance de 20,1% en 2014, notamment grâce au m-commerce ;
  • la croissance mondiale devrait cependant ralentir en 2015. En cause : la maturité du marché qui devrait toutefois permettre au secteur de l’e-commerce mondial de prévoir +17,7% de leurs ventes au niveau mondial (1 770 milliards de dollars, dont plus de 86 milliards en France) ;

 

Selon Rakuten, et Odile Szabo, directrice marketing et communication de PriceMinister-Rakuten, cinq tendances devraient ainsi se dégager en 2015 dans l’e-commerce :

  •  une expérience unifiée et soignée pour fidéliser davantage : « l’univers du commerce de détail et celui du divertissement, traditionnellement séparés, se rejoignent aujourd‘hui. En 2015, ils seront de plus en plus nombreux à regrouper leurs offres distinctes sous une même enseigne, recouvrant leurs activités en ligne et dans le point de vente » ;
  • une année décisive pour les crypto-monnaies comme le Bitcoin : « soit elles tiendront les promesses d’une devise internationale et survivront, soit elles plieront sous le poids de la législation et face aux inquiétudes vis-à-vis de la sécurité et ne gagneront pas la confiance des consommateurs » ;
  • adoption croissante du m-commerce : « en 2014, 19% des internautes français prévoyaient de faire leurs achats en ligne via leur tablette et 15% via leur smartphone. Cette tendance étant amenée à se confirmer, les détaillants vont augmenter leurs investissements liés au mobile, notamment d’un point de vue marketing, pour capitaliser sur ce segment prometteur » ;
  • le commerce transfrontalier : « le commerce transfrontalier va s’accélérer en 2015 avec le lancement des premières places de marché véritablement internationales et la possibilité pour les consommateurs d’acheter auprès de détaillants du monde entier » ;
  • L’essor du social shopping : « aux Etats-Unis, on estime que le shopping social a généré plus de 2,69 milliards de dollars de recettes en 2014. Twitter et Facebook proposent déjà des boutons d’achat immédiat, “buy it now”. En 2015, les commerçants vont s’attacher encore plus à vendre des produits via ces canaux. Toutefois, il est probable que l’innovation se concentre sur l’image sachant que les sites de partage d’images comme Pinterest et Instagram gagnent plus rapidement en popularité via le nombre d’abonnés et leur utilisation active que de nombreux autres réseaux sociaux. »


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December 12, 2014 12:26 AM
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Il se vend désormais plus de smartphones que de mobiles dans le monde

Il se vend désormais plus de smartphones que de mobiles dans le monde | M-Market | Scoop.it

Les ventes de smartphones dans le monde ont dépassé pour la première fois celles de téléphones portables classiques en 2013, selon un rapport de l'OCDE qui dresse un profil des internautes et de leurs usages.

Selon l'Organisation de coopération et de développement économiques, le nombre d'internautes dans la population des 16-74 ans des 34 pays qui la composent est passé de moins de 60% en 2005 à près de 80% en 2013, avec toutefois des différences selon les pays. En Islande, dans les pays nordiques, aux Pays-Bas et en Suisse, 9 adultes sur 10 surfent sur Internet, mais en Grèce, en Italie, au Mexique et en Turquie moins de 6 adultes sur 10 sont utilisateurs.

Tous pays confondus, près des deux tiers des adultes utilisent internet tous les jours et 41% des internautes se connectent avec un téléphone.

Le marché mondial des applications sur smartphones a atteint entre 20 et 25 milliards de dollars en 2013. L'utilisateur moyen d'un smartphone a installé 28 applications mais n'en a utilisé que 11.

 Des écarts demeurent sur le débit et les prix

Les abonnements au haut débit sans-fil ont par ailleurs plus que triplé entre 2008 (environ 250 millions) et 2013 (environ 850 millions) dans la zone OCDE. Le haut débit sur les mobiles est désormais largement diffusé dans bon nombre de pays en voie de développement. En Afrique sub-saharienne, les abonnements sont ainsi passés de 14 millions en 2010 à 117 millions en 2013.

En moins de deux ans, le nombre de pages consultées via des smartphones ou des tablettes est passé de 15% à plus de 30% du total. Cependant, souligne le rapport, "les différences de vitesse de débit et de prix restent importantes au niveau mondial, y compris dans l'OCDE". En décembre 2013, la part des abonnés au haut débit variait ainsi entre plus de 70% dans certains pays de la zone à moins de 2% dans d'autres. Selon les pays, les utilisateurs de smartphones peuvent par ailleurs débourser jusqu'à sept fois plus un panier de services mobiles comparable.

(avec AFP)

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November 20, 2014 11:10 AM
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Amazon annonce 437 millions de dollars de pertes

Amazon annonce 437 millions de dollars de pertes | M-Market | Scoop.it
Le géant américain de l'e-commerce enregistre une hausse de ses pertes au troisième trimestre 2014, mais accroît son chiffre d'affaires de 20%.

L'e-commerçant américain Amazon serait-il un colosse aux pieds d'argile? La question pourrait légitimement se poser au regard de la forte baisse (plus de 10%) du titre en bourse, en réaction à la publication des résultats trimestriels d'Amazon.

Son fondateur et p-dg Jeff Bezos a en effet annoncé une perte nette de 437 millions de dollars pour le troisième trimestre 2014, tandis qu'un au auparavant, elle n'était "que" de 41 millions de dollars. Une situation qui ne devrait pas s'arranger au quatrième trimestre en dépit des fêtes de fin d'année, et qui n'a pas échappé aux investisseurs. La firme a d'ores et déjà prévu d'essuyer de nouvelles pertes, "entre 430 et 570 millions de dollars comparé à 510 millions l'année passée", a -t-elle indiqué.

Parmi les explications fournies par Jeff Bezos pour justifier le montant de ces pertes, figure notamment l'échec commercial du smartphone maison, "Fire Phone", qui participerait jusqu'à 170 millions de dollars dans le montant total des pertes de la société.

Pour autant, sur cette même période, Amazon a continué d'accroitre ses ventes, générant ainsi un chiffre d'affaires de 20,58 milliards de dollars contre 17,09 milliards un an plus tôt. Pour le dernier trimestre de l'année, l'e-commerçant prévoit un montant de ventes en ligne compris entre 27,3 et 30,3 milliards de dollars, soit une hausse pouvant atteindre jusqu'à 18%. Sur l'ensemble de l'année 2014, Amazon pourrait enregistrer un chiffre d'affaires entre 86,9 et 90,2 milliards de dollars. En 2013, Amazon avait généré un CA de 74,4 milliards de dollars.

La capacité d'Amazon a remonter la pente est en partie liée aux fêtes de fin d'année, un moment clé pour la société comme pour de nombreux autres distributeurs : "Nous nous préparons pour la prochaine période de vacances, et nous efforçons de rendre l'expérience client plus simple et plus que jamais, sans stress", a déclaré Jeff Bezos. "En plus de nos prix déjà très bas, nous allons offrir plus de 15.000 offres flash sur des centaines de millions de produits à travers des dizaines de catégories".

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November 15, 2014 2:08 AM
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Début laborieux pour l’Apple Pay

Début laborieux pour l’Apple Pay | M-Market | Scoop.it
Dans les supermarchés Whole Foods, destinés à une clientèle aisée, les clients sont encore rares à jouer le jeu : moins de 1 % des achats se font par Apple Pay.
 
Lancé fin octobre aux Etats-Unis, le portefeuille électronique d’Apple est encore assez anecdotique à New York. Certains partenaires d’Apple (Subway, Sephora, etc.) n’acceptent toujours pas ce nouveau mode de paiement.

Les cartes bancaires ont encore de beaux jours devant elles. Trois semaines après son lancement, l’Apple Pay – qui permet de payer ses courses avec son téléphone ­portable (iPhone 6) – reste assez anecdotique à New York. Les enseignes partenaires d’Apple (McDonald’s, Sephora, Subway, etc.) ne font pas particulièrement de zèle pour pousser ce nouveau moyen de paiement. «  Je ne me suis jamais servi d’Apple Pay car je n’ai pas encore vu de marques qui l’acceptaient… Il n’y a aucune communication en magasin, ni aucune sollicitation. Mais dès que je pourrai payer par ce biais, je n’hésiterai pas », explique Jonathan Benhamou, entrepreneur à New York.

 
De vrais loupés

Dans certains cas, il y a même de vrais loupés : les magasins Sephora ont ainsi pris plusieurs semaines de retard, car les lecteurs de paiement ne fonctionnaient pas. Le problème est national. « Nous sommes en train d’adapter nos lecteurs de paiement. Revenez dans un mois, ça devrait marcher ! » explique une vendeuse du magasin de Columbus Circle. Chez Subway – une chaîne de ­sandwichs – les ­vendeurs vous regardent avec des yeux ronds quand on leur demande de payer par téléphone. L’enseigne est ­pourtant bien listée parmi les partenaires d’Apple.

D’autres semblent avoir pris les choses plus au sérieux. Chez McDonald’s, toutes les caisses sont dotées de lecteurs de paiement, parfaitement visibles des clients. Idem dans les pharmacies Duane Reade, qui font d’ailleurs jouer la concurrence entre les portefeuilles mobiles de Google et d’Apple. «  Les clients sont désormais plus nombreux à vouloir payer par Apple Pay. Ils sont curieux car c’est nouveau », explique un ­vendeur de l’Upper West Side. Les supermarchés Whole Foods, connus pour attirer une clientèle aisée, ont également sauté le pas. Mais les clients sont encore rares à jouer le jeu : moins de 1 % des achats se font par Apple Pay.

A long terme toutefois, Apple redoute plus la résistance des commerçants que celle des clients. Et pour cause : pour que les parti­culiers adoptent vraiment l’Apple Pay, il faut qu’ils puissent s’en servir pratiquement partout. C’est loin d’être le cas.

Les enseignes rechignent à payer des commissions à Apple. «  Il faut qu’Apple offre plus d’avantages aux enseignes pour les convaincre de rejoindre le mouvement », explique Mary Monahan, experte pour le cabinet Javelin. Les tensions sont palpables : les pharmacies CVS et Rite Aid, qui avaient commencé à proposer l’Apple Pay fin octobre, ont ainsi brutalement rompu leur partenariat avec Apple. Elles ont préféré se rattacher à un projet ­concurrent : un portefeuille mobile qui impliquera le géant Walmart et BestBuy, notamment.

Lucie Robequain, Les Echos

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April 14, 2015 9:57 AM
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​E-commerce : les marchés émergents pèseront bientôt 40 % des ventes

​E-commerce : les marchés émergents pèseront bientôt 40 % des ventes | M-Market | Scoop.it

Les ventes en ligne BtoC représenteraient désormais 1 200 milliards de dollars de chiffre d’affaires, selon l’ONU qui estime que, d’ici 2018, les pays en développement pèseront 40 % de ce juteux gâteau.

 

L’United Nations Conférence on Trade and Development (UNCTAD) a ainsi publié son rapport 2015 sur les ventes en ligne. Etude transversale analysant 130 pays et soulignant une croissance accélérée des marchés asiatique et africain. Néanmoins, la croissance des ventes devrait tomber à 60 % contre 70 % actuellement.
 
Le rapport évoque sans surprise la Chine, aujourd’hui principal marché de la vente en ligne, tant en nombre d’acheteurs que de montants dépensés. Entre 2013 et 2018, la part de l’Asie et de l’Océanie dans l’activité du secteur devrait passer de 28 à 37 %. Le Moyen-Orient et l’Afrique devraient eux voir leurs parts cumulées passer de 2,2 à 2,5 %. 

 

Pour l’heure, l’Occident et notamment l’Europe conservent une bonne place au classement des principaux marchés pour la vente en ligne. Derrière la Chine, les Etats-Unis et le Japon, arrivent ainsi l’Allemagne et le Royaume-Uni. Suivent la Russie et la Corée du Sud, devant la France qui occupe la 8ème position.
 
A noter que les vêtements, chaussures et accessoires sont arrivés en tête des intentions d’achats au second semestre 2014 en Europe, en Amérique du Nord et du Sud, ainsi qu’en Asie et en Océanie. Seules les régions Moyen-Orient et Afrique faisant exception.


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April 4, 2015 2:38 AM
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Les nouveaux modes de paiement posent question

Les nouveaux modes de paiement posent question | M-Market | Scoop.it

Si le paiement est porteur d'innovation, le véritable changement se situe au niveau des technologies. Le défi ? Simplicité et sécurité.

"Le paiement est un mal nécessaire, sourit Christophe Van Cauvenberghe, responsable innovations paiements à la Société Générale. Aujourd'hui, celui-ci se trouve bouleversé par les nouvelles technologiesl'ouverture du paiement sur Internet ou, encore, le foisonnement d'initiatives. En Pologne, un site de vente propose, par exemple, 43 solutions de paiement différentes, ajoute-t-il, en introduction de l'atelier "Paiement et innovation" de la première édition du Customer Innovation Day, organisée par l'International Business School ICD, le 2 avril. Car ici, et ailleurs, les solutions de paiement - mobiles, en tête - se multiplient : de PayPal, aux communautairesApple Pay - service de paiement mobile proposé par Apple - et Google Wallet - système de paiement par téléphone mobile proposé par Google à ses utilisateurs - en passant par Leetchi ou bitcoin, pour ne citer qu'eux.

SMS, sans contact... "Le paiement est porteur d'innovation, mais le vrai moteur de changement n'est pas le paiement en lui-même, sinon les technologies de paiement qui permettront de le simplifier et de le rendre moins cher, ajoute Olivier Vandenbilcke, chief data officer à la BNP Paribas. Le sujet est pleine mutation, avec plus de questions que de réponses. Par exemple, comment proposer de nouvelles options de paiement "mass market et user friendly", respecter la sécurité des utilisateurs et ne pas compromette leur confiance, ou, encore améliorer la performance et les coûts d'usage."

La France, en démarrage sur le paiement mobile

Le paiement mobile, une des options de paiement à disposition des consommateurs, demeure encore embryonnaire, en France"Le paiement mobile recouvre une diversité des usages ; des promesses marketing variées - paiement, shopping, sécurité, rapidité, services associées -, explique également Laurent Nizri, vice-président de l'association de l'économie numérique Acsel et CEO d'Altéir Consulting. Mais aussi, différentes technologies - NFC, SIM, HCE, Cloud - et réglementations - DSP 1, directives AML, CNIL."

Selon ces experts, dans l'hexagone, le paiement mobile représente 22 % des modes de paiement, alors qu'il équivaut à 50 % au Japon, et 41 % au Royaume-Uni. "Cela dépend de la culture, de l'environnement, précise Christophe Van Cauvenberghe, et pour la France, du fait que notre système de carte bancaire est l'un des mieux développé au mondece qui est la pire situation pour l'innovation.""

Comment, alors, implémenter le paiement mobile, comme une option évidente ? "Il y a trois facteurs clés de succès, conclut Christophe Van Cauvenberghe,la sécurité, la taille critique, et la simplicité. Notre conviction est donc qu'il faut déployer des solutions mobiles, qui restent simples d'utilisation et sécurisées."

 


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March 26, 2015 10:42 AM
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BlaBlaCar, Netflix et GoPro, les stars des marques émergentes

BlaBlaCar, Netflix et GoPro, les stars des marques émergentes | M-Market | Scoop.it
L’étude « Les marques d’avenir en France 2015 » de l’agence W, en partenariat avec Viavoice, met en valeur les griffes les plus prometteuses.

Quelles pépites feront référence au sein de leur secteur dans les dix prochaines années ? C’est à la recherche de ces noms et concepts­ phares qu’est partie l’agence W, en partenariat avec Viavoice, dans l’étude « Les marques d’avenir en France 2015 », que « Les Echos » et Radio Classique dévoilent en avant-première. Si, du côté des acteurs bien établis, Apple, Google et Total arrivent en tête, du côté des griffes émergentes, les grands gagnants, aux yeux des cadres interrogés, se nomment BlaBlaCar – le spécialiste du covoiturage –, Netflix – le service de la VoD – et GoPro – le fabricant de mini-caméras. Parmi le Top 10 du palmarès des jeunes marques prometteuses comptant une quarantaine de noms, on trouve aussi les magasins Biocoop ou Michel et Augustin qui se définissent comme les « trublions » de l’alimentaire.

Car les marques émergentes arrivant en tête du classement sont nombreuses à appartenir à l’univers des plates-formes et/ou à celle de l’économie collaborative à l’image de BlaBlaCar, Airbnb, Netflix ou Deezer. Tandis que l’agroalimentaire, et en partie la filière bio, n’a pas dit son dernier mot avec Biocoop ou Bjorg. « Nous voulions mesurer le potentiel des marques dans les dix prochaines années, en particulier celui des plus récentes, et mettre en lumière les vrais avantages compétitifs. L’étude confirme­ le dynamisme du tissu économique hexagonal. Près de la moitié des marques émergentes sont françaises. Nous avons aussi été frappés par la diversité des régions dont elles sont originaires », remarque Denis Gancel, président et fondateur de W. Autre preuve de vigueur : 55 % des marques émergentes ont été créées dans les dix dernières années. A noter aussi, la moitié des griffes hexagonales récentes a choisi d’emblée une dénomination à consonance anglo-saxonne. Avec des rêves d’exportation rapide en tête.

Aujourd’hui, qu’est-ce qui rend une marque porteuse ? «  Les Français voient d’abord les raisons du succès dans le fait d’être innovante et d’appartenir à un secteur d’avenir. Mais d’autres facteurs sont aussi prépondérants, comme avoir une bonne image et changer la vie de tous les jours. Etre en rupture ne suffit pas. Il est vital de s’intégrer au quotidien », analyse François Miquet-Marty, président de Viavoice. La création d’emploi n’apparaît pas, en revanche, comme un élément dominant.

Un choix éclectique

Les paradigmes ont bougé. « Grâce au digital, on peut créer une marque internationale et espérer qu’elle va devenir une entreprise. Au XXe siècle, c’était l’inverse. Il ne suffit pas de faire pour exister. Faire savoir ce qui est en cours de construction appartient désormais au “business model” », estime Denis Gancel. Pour apporter son propre coup de pouce, W a décidé de mettre en avant, au-delà du palmarès, 5 pépites. De Blue Poppies, site de vêtements person­nalisables pour enfants installé à Montauban, à Carmat et son cœur artificiel dont toute la France a entendu parler, en passant par les objets connec­tés de Withings, la plate-forme de « crowdfunding » Wiseed et le spécialiste du ciblage publicitaire Criteo, le choix est éclectique. A l’image de la diversité des chemins possibles aujourd’hui pour émerger comme un grand acteur.

 
Clotilde Briard, Les Echos
 
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March 9, 2015 4:15 AM
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Le M-commerce en Europe devrait peser 140 milliards d’euros en 2015

Le M-commerce en Europe devrait peser 140 milliards d’euros en 2015 | M-Market | Scoop.it

Les achats sur mobile devraient connaître une croissance spectaculaire en Europe en 2015, avec le Royaume-Uni, l’Allemagne et la France en tête de file.

 

L’année 2015 sera l’année du M-commerce, prédit le Centre for Retail Research Nottingham (CRR) dans sa dernière étude pour le compte de l’entreprise de services marketing Retailmenot. Celle-ci indique le rôle majeur de l’Europe dans le développement du M-commerce, et prévoit un bon de 93% des achats en ligne passés via des smartphones en 2015. Un marché qui représentera plus de 140,5 milliards d’euros de dépenses uniquement en Europe. Une hausse qui s’explique par l’augmentation du nombre de propriétaires de smartphones notamment en Grande-Bretagne, pays où les trois quart de la population sont équipés contre un peu plus de la moitié en France (55%). Un taux de pénétration en France légèrement inférieur au taux moyen en Europe qui s’élève à 60%. L’utilisation des smartphones évolue également : 72% des possesseurs de smartphones au Royaume-Uni s’en sont servi pour visiter une boutique en ligne lors des trois derniers mois, contre 49% en France. Outre-Atlantique, près de 69% de la population possède un smartphone et 74% d’entre eux l’utilisent pour consulter des boutiques en ligne.

Le Royaume-Uni et l'Allemagne leaders du m-commerce en Europe

En 2014, si l’ordinateur reste globalement le terminal leader pour acheter en ligne, le smartphone gagne un peu de terrain, notamment en Europe. Le Royaume-Uni se démarque comme champion du M-commerce avec 11% de transactions réalisées via le mobile. En France, ce chiffre est de 6%. Le Royaume-Uni se positionne de ce fait en tête devant les Etats-Unis qui affiche un taux de 10%. D’après l’étude, la part des dépenses de m-commerce en Europe devrait majoritairement provenir du Royaume-Uni (39%), deux fois plus que la France (16%). L’Allemagne se démarque bien puisqu’elle se situe en deuxième position avec 32%. Toujours selon les prévisions de l’étude, de nombreux pays devraient afficher en 2015 des taux de croissance à trois chiffres quant à l’achat en ligne : 108% en Allemagne, 117% en France, 100% en Pologne alors que la croissance du Royaume-Uni tablerait à 79% : signe que les autres pays d’Europe sont en passe de rattraper le leader britannique. Mais le M-commerce prend en compte également les achats réalisés sur tablettes. Or, ce support représente lui aussi un élément à part entière de M-commerce. En 2013, une étude prévoyait que les achats en ligne réalisés sur tablettes surpasseraient ceux réalisés sur smartphones. Or, ladite étude de Retailmenot prévoit le contraire tout en indiquant une augmentation de l’usage de la tablette. En Espagne, le bond devrait être de 132%, 96% en Allemagne et 76% au Royaume-Uni. Mobilité et confort d’usage (écran plus grand qu’un smartphone) font de la tablette un élément clé du M-commerce.

Les parts des transactions internet par type d'appareil en 2014

Pourquoi une telle croissance ?

Selon Anne-Marie Schwab, Directrice Générale de RetailMeNot France : « Les nouvelles générations de smartphones permettent une meilleure expérience d’utilisateur, avec des connexions plus rapides et des écrans de plus en plus grands, et de ce fait plus agréables pour le shopping » Alors que le smartphone n’est utilisé que pour « surfer », l’achat sur ordinateur ou tablette est privilégié, ceux-ci permettant de mieux voir les produits. Néanmoins, le développement de logiciels de paiement en ligne ou encore de géolocalisation facilitent le développement de l’achat sur mobile. Avoir son mobile en permanence sur soi favorise l’acte d’achat car les produits sont à portée de main et l’acte d’achat devient rapide, tout ceci consiste à fluidifier l’expérience d’achat. Au-delà des performances matérielles, les innovations pour faciliter le m-commerce se multiplient : l’émergence de « wearables » pour effectuer des transactions, mais aussi la démocratisation de monnaies digitales telles que le bitcoin. Ces expériences sont en passe de convaincre en plus en plus d’utilisateurs à l’avenir promet l’étude. Y compris les Français puisque l’évolution du m-commerce devrait hisser la France sur la 3ème marche du m-commerce européen, derrière le Royaume Uni et l’Allemagne, avec des consommateurs qui cette année, pourraient effectuer 19% de leurs dépenses en ligne sur mobile.

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March 9, 2015 4:03 AM
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Le nombre de transactions frauduleuses augmentent sur Apple Pay

Le nombre de transactions frauduleuses augmentent sur Apple Pay | M-Market | Scoop.it

Depuis plusieurs semaines, le système de paiement Apple Pay est victime d’un important nombre de transactions frauduleuses. 

 

La solution de paiement de la firme à la pomme essaye de se démocratiser, faisant le bonheur des escrocs qui multiplient les transactions frauduleuses avec les cartes volées. Apple ne serait pas responsable de cette hausses des actes délictueux via son service Apple Pay, mais plutôt les banques.

 

Apple Pay : hausse des fraudes à la carte volée

C’est le Wall Street Journal qui dévoile cette hausse importante des transactions frauduleuses sur le service Apple Pay. Le service de paiement de la firme à la pomme est depuis plusieurs semaines la cible de très nombreux escrocs, qui profiteraient des cartes volées, mais aussi des informations bancaires qui ont été piratées lors de l’attaque contre « Home Depot » et la société « Target ». Le piratage en question avait permis à des hackers de voler plus de 100 millions de données bancaires, rapidement mises en ligne après l’attaque.

La solution de paiement Apple Pay se démocratise lentement mais surement aux Etats-Unis, ce qui naturellement attire une nouvelle source de délinquance. La firme de Cupertino se défend d’être responsable et elle pointe plutôt le comportement assez laxiste de certaines banques. Les établissements bancaires commencent par prendre conscience de la tendance à la hausse des transactions frauduleuses et annoncent qu’un renforcement de leur protocole d’authentification va être mis en place à courte échéance.

Même si Apple n’y est absolument pour rien dans ces fraudes, l’entreprise pâtit d’une image négative pour le développement d’Apple Pay, qui dans l’esprit des gens ne serait pas aussi fiable que l’annonce le géant américain.

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January 27, 2015 4:47 AM
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L'e-commerce français atteint 57 milliards d'euros en 2014

L'e-commerce français atteint 57 milliards d'euros en 2014 | M-Market | Scoop.it

En croissance de 11% sur un an, le secteur affiche de bien meilleurs résultats sur la vente de produits que de voyages. Le mobile et les marketplaces poursuivent leur poussée.

 

Les dépenses en ligne des Français se sont accrues de 11% en 2014 pour atteindre 57 milliards d'euros, selon la Fevad. Le nombre d'achats réalisés sur Internet progresse pour sa part de 15%. La fédération de l'e-commerce se félicite de ces résultats, légèrement supérieurs aux attentes grâce à une période de Noël plus active que prévu. En effet, les achats en ligne effectués en novembre et décembre se sont élevés à 11,4 milliards d'euros, soit 13% qu'à la même époque l'année précédente. Un engouement qu'alimente cette année encore l'excellent taux de satisfaction des cyberacheteurs, mesuré à 99% après les fêtes de fin d'année. Sur l'ensemble de l'année 2014, le marché de l'e-commerce a représenté 9% du commerce de détail hors produits alimentaires.

Le montant moyen des achats sur Internet poursuit en revanche sa chute. En un an il perd 4% pour tomber à 81 euros. Mais même s'il a perdu 10% en quatre ans, ce panier en baisse est compensé par l'arrivée de nouveaux acheteurs tout comme par la hausse de leur fréquence d'achat. Chaque cyberacheteur a en moyenne réalisé 20 transactions en ligne en 2014, contre 18 en 2013. L'offre elle-même ne cesse de s'élargir, puisque le rythme de création de sites conserve son dynamisme. 20 000 boutiques en ligne ont vu le jour l'an dernier, ce qui porte à 157 300 le nombre de sites marchands actuellement actifs dans l'Hexagone.

A périmètre constant, l'e-commerce ne croît plus que de 3%

Qu'en est-il des leaders de l'e-commerce, dont la Fevad examine la progression des ventes grâce à son indice iCE40 ? Cette quarantaine d'e-marchands, qui permettent donc de mesurer la croissance de l'e-commerce à périmètre constant, affichent en 2014 une hausse de 3% de leur chiffre d'affaires, contre 4% en 2013. Les sites de vente de produits grand public s'en tirent plutôt mieux, enregistrant en moyenne une croissance de 9% (au lieu de 6% en 2013), en bonne partie tirée par le succès de leur marketplace. Les sites de vente aux professionnels finissent également 2014 sur une progression de 9% de leur chiffre d'affaires. Ce sont les sites de voyages qui ont le plus souffert l'an dernier, accusant un recul de 2%.

Comme le remarque la Fevad depuis plusieurs trimestres déjà, le mobile et les places de marché s'affirment comme d'excellents relais de croissance pour les e-commerçants. Ceux de l'indice iCE40 qui en opèrent enregistrent une hausse moyenne de 53% du volume des ventes réalisées sur leur site par les marchands tiers. Leur marketplace représente 21% de leur volume d'affaires total au lieu de 15% en 2013. Quant aux ventes sur mobile des e-marchands de l'iCE40 présents sur ce canal, elles bondissent de 60% pour peser 16% de leur volume d'affaires, au lieu de 10% en 2013.

En 2015, la fédération de l'e-commerce prévoit une croissance de 10%, qui devrait permettre au marché français du commerce électronique d'approcher 63 milliards d'euros de chiffre d'affaires.

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January 24, 2015 11:21 AM
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Les leçons des champions du m-commerce

Les leçons des champions du m-commerce | M-Market | Scoop.it
Le point commun entre McDo, Leboncoin et Vente-Privée ? Ils se sont convertis, avec succès, au commerce mobile. Le point sur 5 stratégies gagnantes.


Sarenza : quand le mobile inspire le Web

Avec sa colonne unique, ses blocs très aérés et ses menus ultra-lisibles, la dernière version du site Internet du n°1 de la vente en ligne de chaussures ressemble furieusement à un site mobile. Et pour cause: c'est en partant d'un design optimisé pour les smartphones que Sarenza a conçu mi-2013 la quatrième mouture de son site depuis son lancement en 2005. Objectif: que la cliente garde ses repères, et retrouve facilement ses articles quel que soit le canal. 

Leboncoin: un usage différent du web au mobile

Les derniers chiffres dessinent encore une tendance 2/3-1/3: 15,3 millions de visiteurs uniques sur ordinateur, 6,8 sur mobile pour Leboncoin.fr. Mais le leader des petites annonces prévoit qu'en 2015, c'est bien des petits écrans que viendra la majorité de son trafic. Mais plus que concurrents, les deux canaux sont complémentaires. Selon les heures de la journée, les utilisateurs du service passent du desktop au mobile ; ils achètent plus sur smartphones, mais vendent plus sur ordinateur. L'obsession de l'entreprise est donc de rendre cohérents les deux univers, en déclinant les mêmes fondamentaux : design basique, mais efficace, accent mis sur l'offre locale... Et remise en question permanente : en 18 mois, l'application iOS a été intégralement refondue deux fois. 

McDonald's : reproduire l'expérience vécue en magasin

Digitaliser le burger ? Ça se passe comme ça chez McDonald's, dont l'application mobile représente déjà 50% des commandes digitales. En reprenant sur smartphones la même présentation que celles des bornes déjà installées dans ces restaurants, le géant de la restauration rapide a mis au point un outil simple, mais efficace pour permettre à ses clients de passer sa commande. Mieux : en créant un lien direct avec ses clients, McDo se sert du mobile pour passer du mass-marketing à une relation personnalisée. 

Vente-Privée : site et application vont de pair

Une application dédiée, ou un site "responsive" ? Pour le leader des ventes privées, pas question de choisir. Interfaces similaires, panier synchronisé : site optimisé pour smartphones ou tablettes et applications vont de pair... Logique, car 40% du trafic de Vente-Privée.com provient des e-mails qu'il envoie à ses clients, et que ces derniers renvoient vers le navigateur Web. Avec plus de la moitié de son trafic, et 44% du chiffre d'affaires qui viennent du mobile, le e-commerçant a déjà bien entamé sa mue vers le m-commerce. 

Leroy Merlin : ne plus aller en magasin pour rien

Livré à domicile, en point-relais, ou à acheter en magasin : Leroy-Merlin laisse le choix à ses clients. L'application mobile du spécialiste du bricolage permet en effet de choisir son ou ses magasins de proximité, et annonce en temps réel la disponibilité des articles désirés en rayon. Sur un marché où 70% des clients se renseignent avant d'acheter (majoritairement en ligne), mais où les ventes digitales restent très minoritaires (moins de 10% du total), le choix du modèle "mobile to store" tombe sous le sens...


En savoir plus sur http://lexpansion.lexpress.fr/entreprises/les-lecons-des-champions-du-m-commerce_1640117.html?__scoop_post=0d4d3430-9d77-11e4-abc0-842b2b775358&__scoop_topic=79043#1IYSYPhIIApxKB3j.99
MMA France's curator insight, January 27, 2015 6:29 AM

Le point commun entre McDo, Leboncoin et Vente-Privée ? Ils se sont convertis, avec succès, au commerce mobile.

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January 2, 2015 12:11 PM
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Commerce sur mobile, le grand bond en avant

L'annonce d'Apple Pay va encore renforcer la dynamique du m-commerce, dans un contexte où les usages clients basculent vers le smartphone et la tablette.
C'est sans doute cela la magie d'Apple : un savoir-faire incomparable pour universaliser les nouveaux usages. En une « keynote », le 10 septembre dernier, son patron Tim Cook a annoncé coup sur coup deux ruptures majeures, introduites dans l'iPhone 6 : un dispositif de paiement sans contact (NFC) embarqué, et un écran plus grand. Dit autrement, Apple rejoint les 11 fabricants, Samsung en tête, qui parient sur le développement du paiement mobile. La marque à la Pomme fait aussi un pas décisif vers un format « phablet », ces smartphones aux écrans larges : l'iPhone 5 S proposait une mire de 4 pouces, l'iPhone 6 grimpe à 4,7 pouces. Le modèle « 6 plus » toise, lui, 5,5 pouces.

On pourrait ajouter la qualité de la résolution de l'écran retina, la connexion avec une montre... La liste est longue. Le constat lui, se résume simplement. Ces nouveaux standards adoptés par la firme de Cupertino vont ouvrir un champ des possibles beaucoup plus large au commerce sur mobile. Ils ancrent plus profondément encore smartphones et tablettes au cœur de l'acte d'achat et du quotidien des consommateurs.En Europe, les achats sur mobiles ont cru de 85%


Le timing de ces évolutions technologiques ne doit rien au hasard. Elles interviennent alors que le e-commerce connaît une nouvelle révolution : les clients basculent des écrans « desktop » (type PC), vers les « devices » mobiles. Le e-commerce glisse vers le m-commerce.

Une rupture qui se traduit dans l'emballement des chiffres. Plus de la moitié des Américains et presque autant d'Anglais sont équipés d'un smartphone. Résultat, la croissance de l'e-commerce est principalement soutenue par le mobile. Si les achats sur ordinateur devraient progresser de 11% en Europe cette année, la croissance des achats sur mobiles devrait quant à elle afficher une croissance de 85%, selon une étude RetailMeNot, dévoilée en avril dernier.

En France, le retard en équipement de téléphones mobiles intelligents (« seulement » 43% des Français en ont un dans la poche) ne suffit pas à contrarier le développement du m-commerce. La croissance des ventes sur sites mobiles et applications marchandes s'est envolée de 76% au 1er trimestre 2014, par rapport à l'an dernier, comme le mesure la Fédération du e-commerce (Fevad), avec son « Indice commerce mobile » (ICM). Mieux : 19% du chiffre d'affaires des sites leaders de cet indice sont désormais réalisés sur mobiles et tablettes.

Refonte des sites et « responsive design »


Ce cycle impose aux enseignes une refonte de leurs sites mobiles et, surtout, de leurs applications, afin d'exploiter le formidable potentiel technologique et commercial des « devices » mobiles. Le « responsive design », par exemple, fournit une réponse adaptée, permet aux enseignes, en permettant de concevoir des sites offrant une expérience de navigation confortable quel que soit le support utilisé.
Il en va autrement des applications marchandes, qui, non seulement doivent être calibrées en fonction du support (la navigation de l'utilisateur diffère selon qu'il utilise une tablette avec une logique horizontale, ou un smartphone avec une logique verticale), mais aussi tirer pleinement parti du potentiel technologique du smartphone. Quelques exemples récents montrent à quel point le « commerce du futur » améliore l'expérience d'achat.

Le cas le plus emblématique est peut-être celui de la Fnac, qui, fort des 20% de trafic mobile vers son site web, vient de refondre son application, en la pensant comme une véritable passerelle entre le web et le magasin. Une réponse « cross canal » au spectre du showrooming, cette pratique consistant à repérer le produit en magasin mais à l'acheter sur le web.

Sur la préparation de l'achat, d'abord, on peut recenser un moteur de recherche fluide, une liste de souhait (« wishlist »), la présence d'avis vendeurs et clients... Le client peut aussi connaître le stock disponible en magasin, commander son produit en « click & collect » ou opter pour la livraison à domicile.

En magasin, l'appli. s'affirme comme un véritable « compagnon de shopping » : elle permet par exemple de scanner les code-barres pour accéder à des fiches-produits détaillés, des avis clients et vendeurs... Le paiement, lui, a été ramené à une seule étape. L'après-achat, enfin, est facilité par des fonctionnalités de suivi des colis. Un véritable arsenal commercial dans la main !

D'autant que l'enseigne relie l'application à sa base de données clients cross canal. La relation client est ainsi entièrement personnalisée. Elle atteint un niveau de précision extrême, par exemple avec l'envoi d'offres personnalisées et non intrusive (dans l'application plutôt que par SMS), par exemple une vente privée exclusive, basée sur l'historique d'achat et les centres d'intérêts, définis, entre autres, par les produits recherchés dans le moteur.

On touche là au sésame du commerce du futur, incarné par le smartphone : personnalisé, interactif, précis... L'expérience s'améliorera sans cesse : le paiement sans contact, donc, mais aussi la microgéolocalisation « in store », comme le permettent déjà les « beacons » ou « bornes ultrasons », ces dispositifs permettant, en magasin, d'orienter et de récompenser le client qui le souhaite. On peut d'ailleurs s'interroger sur la praticité du format même du téléphone pour de telles opérations. Des passerelles avec montres et lunettes connectés vont probablement se dessiner.

En fin d'année 2013, plus de 20% du trafic de Fnac.com provenait déjà des devices mobiles. Etant donné l'appétence de ses clients - plutôt plus équipés que la moyenne - pour ce canal, l'enseigne espère marquer un grand coup avec cette version de son appli. dopée au multicanal et à l'expérience personnalisée.

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January 2, 2015 12:07 PM
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Zilzar, la e-révolution de l'économie islamique mondiale

Zilzar, la e-révolution de l'économie islamique mondiale | M-Market | Scoop.it

Mercredi matin, la première plateforme en ligne consacrée à l'économie islamique sera lancée à Dubaï, à l'occasion du WIEF.

 

C’est l’un des moments forts du Forum économique islamique mondial (WIEF). Mercredi matin, lors d’une conférence de presse, le Premier ministre malaisien Najib Razak lancera officiellement Zilzar, la première plateforme de commerce à l’échelle mondiale consacrée à l’économie islamique.

Une économie, huit secteurs clé

Le marché de l’économie islamique se décline en huit secteurs dynamiques :
1- le halal alimentaire
2- la finance islamique
3- le tourisme halal
4- l’habillement
5- la cosmétique
6- la pharmaceutique
7- le ludo-éducatif/media
8- la logistique

Zilzar couvre l’ensemble des pays de la planète pour s’adresser à près de deux milliards de musulmans dans le monde. A l’instar de la célèbre marketplace chinoise Alibaba, Zilzar met en relation acheteurs et vendeurs, la dimension islamique en plus.

Le projet particulièrement ambitieux concerne le commerce tant entre professionnels (B2B) qu’entre professionnels et particuliers (B2C). Misant sur la hausse du revenu par habitant dans les communautés et le monde musulman, la pénétration d’Internet et le m-commerce (le e-commerce sur téléphones mobiles), Zilzar, e-hub de l’économie islamique, entend bien devenir incontournable.

Pour découvrir Zilzar, cliquez sur le lien suivant : www.zilzar.com.


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December 6, 2014 2:46 PM
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Forum Smart City Toulouse : habitat, m-commerce, autonomie, culture, la ville connectée au service des citoyens

Forum Smart City Toulouse : habitat, m-commerce, autonomie, culture, la ville connectée au service des citoyens | M-Market | Scoop.it


Le smartphone, nouvel outil de paiement pour les particuliers


 

La première édition du Forum Smart City Toulouse, organisée le 16 décembre par La Tribune et Objectif News en partenariat avec Toulouse Métropole, aux Espaces Vanel de la médiathèque José Cabanis, sera l’occasion d’une réflexion sur les nouveaux services de la ville de demain. Les intervenants de la table-ronde "Une ville connectée : plus de services, plus de bien-être" décrypteront les phénomènes de l’habitat intelligent, des objets connectés ainsi que les nouvelles applications numériques.

La table-ronde "Une ville connectée : plus de services, plus de bien-être" sera l’un des temps forts du Forum Smart City Toulouse, organisé par Objectif News et La Tribune, en partenariat avec Toulouse Métropole. L’enjeu sera notamment de définir les caractéristiques du bâtiment du futur. Intelligent, connecté, automatisé, l’habitat devra être en capacité de répondre à des problématiques de sécurité, de coût ou encore de gestion des ressources énergétiques.

La démocratisation des objets connectés sera également analysée et soumise au débat. Jusqu’où ira l’interconnexion des objets ? Quels en sont les bons usages ? Comment sécuriser les données générées ? Éléments de réponses avec Thierry Monteil, chercheur au LAAS (Laboratoire d’analyse et d’architecture des systèmes du CNRS).

Le smartphone va-t-il remplacer la carte bancaire ?
Le commerce mobile sera également au cœur des débats. Nicolas Chatillon, directeur du développement de la banque commerciale et de l’assurance au sein de BPCE, expliquera ce phénomène de consommation montant. Et si le smartphone était, non seulement l’avenir du paiement à distance, mais aussi celui des commerces de proximité ? Nathalie Leboucher, directrice du programme stratégique Orange Smart Cities, apportera elle aussi son éclairage en la matière et présentera les différentes initiatives d’Orange s’inscrivant dans la démarche de ville intelligente.

De la santé à la culture, la révolution technologique
L’innovation va sans aucun doute bouleverser nos futurs modes de consommation. D’autant que les nouvelles technologies peuvent trouver des applications dans bien des domaines. L’exemple en sera fait par Carole Zisa-Garat, présidente de la start-up toulousaine Telegrafik. Cette société commercialise des capteurs intelligents permettant de sécuriser les personnes âgées isolées. Dans un registre différent, le numérique ouvre également la porte à de nouveaux accès à la culture. Tristan Vidé, créateur de l’application DOT (Découverte optimisée de Toulouse), partagera son expérience de l’exploitation des données publiques.

Adrien Serrière

Jacques Le Bris's insight:

En savoir plus :
La conférence "Une ville connectée : plus de services, plus de bien-être" commencera à 14h, le 16 décembre aux Espaces Vanel de la médiathèque José Cabanis, à Toulouse. Inscriptions et infos pratiques sur smartcitytoulouse.latribune.fr


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November 18, 2014 9:17 AM
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Snapchat lance Snapcash, son service de transfert d'argent

Snapchat lance Snapcash, son service de transfert d'argent | M-Market | Scoop.it

Snapchat, le service de partage de photos « éphémères », vient d’annoncer le lancement de Snapcash, une solution de transfert d’argent. Une fois un numéro de carte de débit intégré, il est possible d’envoyer de l’argent à un autre utilisateur en envoyant un message. Pour développer ce nouvel outil, la société a fait appel à Square, la start-up spécialisée dans le paiement sur mobile fondée par Jack Dorsey, cofondateur de Twitter. Le service n’est pour l’instant disponible qu’aux Etats-Unis.

Le service pourrait permettre à Snapchat de monétiser davantage son audience alors que l’entreprise avait 50 millions de dollars en décembre 2013 et aurait refusé une offre de rachat de Facebook. Il y a quelques semaines, Twitter lançait également son service de transfert d’argent.


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