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Comment l’intelligence artificielle devine-t-elle facilement vos mots de passe ?

Comment l’intelligence artificielle devine-t-elle facilement vos mots de passe ? | Toulouse networks | Scoop.it

Des chercheurs de la société de cybersécurité Home Security Heroes ont entraîné une IA pour qu’elle puisse déchiffrer des millions de mots de passe. Il lui a fallu moins… d’une minute pour en trouver la majorité.

Le 4 mai 2023 a eu lieu la journée mondiale du mot de passe. Comme chaque année, cette journée a été occasion de rappeler la nécessité d’avoir des mots de passe compliqués et uniques pour chacun de ses comptes.

Pourquoi cette nécessité absolue ? Si un pirate ou une personne malveillante de votre entourage connaît l’un de vos mots de passe, il peut s’en servir pour commander en ligne en utilisant votre compte bancaire, usurper votre identité pour constituer un dossier de prêt, accéder à des données sensibles de votre entreprise…

Or, trop de personnes minimisent ce risque. La réalité montre pourtant que ce risque est élevé. Pour deux raisons principales. Premièrement, trop de mots de passe sont trop simples. Une récente étude de NordPass (éditeur de logiciels de sécurité) a constaté que les trois mots de passe les plus utilisés sont 123456, 123456789 et azerty. Autant dire, des mots de passe qui n’apportent aucune sécurité, car tout le monde peut les deviner et les tester…

Deuxième facteur à risque : ces mêmes mots de passe trop basiques sont utilisés pour différents comptes. Résultat, on peut facilement les tester pour accéder à vos différents comptes personnels ou professionnels.

ChatGPT

Mais la situation devient cauchemardesque lorsqu’on apprend que des logiciels basés sur l’intelligence artificielle peuvent en deviner des millions en une poignée de minutes ! Immédiatement, on pense à ChatGPT. L’intelligence artificielle dite générative est-elle capable de trouver des mots de passe ? Normalement, cet outil est utilisé pour créer du contenu, faire des résumés, écrire des e-mails…

Des experts en cybersécurité ont voulu en savoir plus et la réponse est surprenante.

Dans un premier temps, ChatPGT fournit une réponse standard du genre : « il ne serait pas éthique de fournir une liste de mots de passe couramment utilisés, car elle pourrait potentiellement être utilisée à des fins malveillantes telles que le piratage ou l’usurpation d’identité ».

Mais dès que vous lui demandez de jouer le rôle d’un chercheur en cybersécurité qui met en garde les utilisateurs contre l’utilisation de mots de passe courants et dangereux, il affiche une liste de termes courants.

Et cette situation devient encore plus catastrophique lorsqu’on utilise une solution basée sur l’apprentissage automatique fondé sur la théorie. Cette démarche est exploitée depuis 2019 par Home Security Heroes et son outil PassGAN.

Selon une étude de cette entreprise spécialisée dans la sécurité informatique, 51 % des mots de passe étaient craqués en moins d’une minute, 65 % en moins d’une heure, 71 % en moins d’un jour et 81 % en moins d’un mois.

« Nous avons pris une liste de 15 680 000 mots de passe courants de l’ensemble de données Rockyou et l’avons utilisée pour l’entraînement et les tests. Nous excluons tous les mots de passe de plus de 18 caractères ou de moins de 4 caractères du champ d’application de cette expérience. La liste finale est ensuite divisée en sous-catégories de longueurs et de types de caractères différents », explique Home Security Heroes sur son site.

Gestionnaires de mots de passe : la solution à tous les maux

Comment cet outil est-il plus efficace que des solutions qui existent déjà depuis des années comme HashCat et John the Ripper ?

Copyright : Home Security Heroes

À la différence de ces deux programmes qui testent des mots de passe en se référant à des dictionnaires et des règles de génération de mots de passe, PassGAN utilise un réseau adversarial génératif (Generative Adversarial Network-GAN) pour apprendre de manière autonome la distribution de vrais mots de passe à partir de fuites avérées de mots de passe, et pour générer des suppositions de mots de passe de haute qualité.

Si PassGAN peut deviner facilement des mots de passe trop simples, cette étude permet également de savoir quel type de mot de passe est le plus difficile à trouver. Comme le montre le tableau ci-dessus, les mots de passe qui comprennent plus de 18 caractères (symboles, chiffres, lettres minuscules et majuscules) sont généralement sûrs, car il faut à PassGAN au moins 10 mois pour le trouver.

En d’autres termes, plus votre mot de passe est dit « fort » (soit plus de 18 caractères), plus la probabilité que des personnes ou des systèmes d’intelligence artificielle puissent le déchiffrer est faible.

Pour de nombreuses personnes (les mêmes qui utilisent des mots de passe trop simples ou identiques pour différents comptes…), créer et mémoriser un mot de passe de 18 caractères s’apparente à un défi insurmontable. C’est oublier qu’il existe des logiciels dédiés à cette problématique.

 

Appelés gestionnaires de mots de passe, ils gèrent et sauvegardent eux-mêmes tous vos mots de passe. Vous n’en avez qu’un seul à connaître, celui qui permet d’ouvrir ce fameux logiciel.

 

Posté le 16 mai 2023 par Philippe RICHARD

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Mastodon : l’anti-Twitter est massivement déserté par ses utilisateurs, quelle surprise !

Mastodon : l’anti-Twitter est massivement déserté par ses utilisateurs, quelle surprise ! | Toulouse networks | Scoop.it

Mastodon, l’une des alternatives au Twitter d’Elon Musk, perd des utilisateurs. Après le succès éclair de fin 2022, la plate-forme open source est progressivement désertée par les internautes… et il fallait s’y attendre.

 

Après la prise de contrôle de Twitter par Elon Musk, de nombreux internautes ont choisi d’abandonner le réseau social. Déçus par les nouveautés annoncées, les frasques et la stratégie du milliardaire, ils ont préféré migrer sur des plates-formes alternatives.

 

Certains sites Web ont d’ailleurs enregistré une explosion du nombre d’usagers en marge du rachat de Twitter. C’est le cas de Mastodon, un réseau social qui se veut décentralisé et open source. En l’espace de quelques semaines, la plate-forme allemande a gagné plus de 2,5 millions de nouveaux utilisateurs. Avant octobre, Mastodon ne comptait encore que 380 000 membres.

 

La hausse du nombre d’usagers s’est accompagnée d’une forte progression des revenus générés par le Patreon de Mastodon. Grâce au site de financement participatif, le réseau social reçoit plus de 30 000 dollars par mois. Pour soutenir cette croissance inespérée, Eugen Rochko, fondateur de Mastodon, a consenti à plusieurs investissements. Le développeur a, par exemple, acheté de nouveaux serveurs et agrandi son équipe.

 

À lire aussi : Vivaldi intègre désormais Mastodon dans son navigateur

Un succès éphémère

Malheureusement, le vent a tourné. Il semble que la popularité de Mastodon n’était finalement qu’éphémère. D’après les données collectées par nos confrères de  , le parc d’utilisateurs de Mastodon s’est brusquement réduit en janvier 2023. Fin du mois dernier, la plate-forme ne comptabilisait plus que 1,4 million d’utilisateurs mensuels actifs, soit plus d’un million de membres en moins par rapport à novembre 2022.

 

On imagine qu’une partie des curieux ayant tenté l’aventure se sont peu à peu désintéressés de Mastodon. D’autres sont revenus au bercail parce que Twitter et son immense communauté commençaient à manquer. Dans tous les cas, les nouveaux entrants paraissent bien quitter le navire.

Robert Gehl, professeur de communication et d’études des médias à l’Université York au Canada, rappelle que ce n’est pas la première fois que Mastodon enregistre une soudaine, mais fugace, vague d’intérêt. D’après lui, chaque vague s’accompagne néanmoins de l’adhésion de nouveaux individus. Une partie des internautes ayant ouvert un compte Mastodon pour échapper à Elon Musk devraient donc rester sur la plate-forme. Lentement, mais sûrement, le nombre de fidèles pourrait augmenter.

 

Casey Fiesler, professeur agrégé de sciences de l’information à l’Université de Boulder, abonde. Elle assure que l’évolution de réseaux sociaux alternatifs est progressive :

« Ils ont beaucoup de mal à décoller parce que ce qui fait fonctionner les médias sociaux, c’est l’endroit où se trouvent vos amis. C’est l’une des raisons pour lesquelles les migrations de plates-formes ont tendance à se produire plus progressivement ».

Une offre trop différente de Twitter ?

La fugacité du succès de Mastodon était prévisible. Complexe et différent, le réseau social s’adresse surtout aux geeks. D’ailleurs, la plupart des usagers enregistrés sont des experts en technologie.

La plate-forme se distingue par son infrastructure à contre-courant, composée d’une multitude de serveurs qu’il faut rejoindre. Chaque serveur, baptisé instance, est géré par un administrateur et dispose de ses propres règles. En fonction de vos centres d’intérêt, vous devez rejoindre une instance ou une autre. Le grand public, en quête de facilité et d’une interface intuitive, est évidemment déconcerté par l’approche de Mastodon.

De plus, le réseau social a été victime de son propre succès. L’afflux de nouveaux entrants s’est accompagné d’une série de problèmes techniques. Certains serveurs étaient parfois inaccessibles, ou exagérément lents. Le serveur principal, surchargé d’usagers, a même été mis hors d’accès des nouveaux entrants.

 

A la fin de l’année dernière, Eugen Rochko estimait encore que sa plate-forme serait un jour en mesure de détrôner Twitter, qui cumule plus de 400 millions d’utilisateurs, et les autres titans du secteur, comme Facebook ou Instagram. Pour y parvenir, le développeur envisageait notamment de lancer une offre d’hébergement de serveurs Mastodon et de rester fidèle à sa stratégie opposée à celle des géants.

Mais, en dépit des idées parfois farfelues d’Elon Musk, Twitter semble avoir encore de beaux jours devant lui…

 

Source : Wired

 

Florian Bayard
Journaliste

8 février 2023

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Toulouse classée deuxième meilleure ville en France pour les startups, selon une étude

Toulouse classée deuxième meilleure ville en France pour les startups, selon une étude | Toulouse networks | Scoop.it

Toulouse se classe comme la deuxième meilleure ville en France pour les startups, selon une étude. En Europe, la Ville rose est classée au 41ème rang.

 

Toulouse se classe comme la deuxième meilleure ville en France pour les startups, selon une étude dévoilée par HelloSafe, une plateforme qui se définit comme « leader de la comparaison de produits financiers (assurances, crédits, placements) en France ».

 

Paris intouchable 

« Quelles sont les villes françaises les plus propices au développement des startups en 2022 ? En nous plongeant dans l’immense base de données de Startup Blink*, nous avons pu dresser un panorama des meilleures endroits en France où développer une startup », explique l’équipe de HelloSafe. 

Et sans surprise Paris (avec un score de 52 877 points) est en 2022 – et de loin – la meilleure ville française pour les startups. La capitale française intègre cette année le cercle très fermé du top 10 mondial (10e, 1 place de gagnée par rapport à 2021) et le podium européen (2e, seulement devancée par Londres). Paris est par ailleurs le seul représentant français parmi le top 40 européen. 

 

Toulouse devant Lyon et Marseille 

Derrière l’intouchable Paris, on retrouve donc Toulouse (4974 points), qui obtient une jolie  deuxième place au classement national. En revanche, au niveau européen, la Ville rose recule de six places par rapport à 2021 et se classe ainsi au 41e rang. 

 

Derrière Toulouse (2e), on retrouve Lyon (3e), Marseille (4e), Nantes (5e), Lille (6e) et Bordeaux (7e). 

Voici le top 20 des meilleures villes françaises pour les startups en 2022 : 

 

"https://static.actu.fr/uploads/2022/11/classementstartups-960x640.jpg"

 

Le classement des meilleures startups en France. (©HelloSafe)

  • Le classement annuel de Startup Blink des meilleurs pays et villes pour les startups est basé sur 3 grandes familles de critères (Quantité, qualité, environnement des affaires), mis à jour chaque année et qui permettent à cet organisme d’établir un top 100 des meilleurs pays et un top 1 000 des meilleures villes pour les startups dans le monde.

 

 

Par Gabriel Kenedi

Publié le 14 Nov 22

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La startup toulousaine SGEvT entend lutter contre les dépôts sauvages, avec les satellites

La startup toulousaine SGEvT entend lutter contre les dépôts sauvages, avec les satellites | Toulouse networks | Scoop.it

La société SGEvT, installée à Toulouse, s'appuie sur le CNES pour lutter contre les dépôts sauvages.

 

Associée au CNES (Centre national d’Etudes Spatiales), la startup détecte les dépôts sauvages en s’appuyant sur l’analyse d’images satellites et sur l’intelligence artificielle. Plus largement spécialisée dans la production de tout type d’informations pour les politiques d’aménagement des collectivités territoriales, SGEvT entend utiliser sa solution dans une optique de développement durable des territoires.

 

Les décharges illégales qui fleurissent icI et là sont devenues au fil des ans un problème majeur pour les collectivités. Selon une étude de l'Ademe*, les dépôts sauvages seraient une préoccupation pour 90 % des élus locaux.

Le sujet est d'autant plus une source de crispations pour les autorités locales qu'il a un impact considérable et direct sur la qualité de vie des habitants. Outre la dégradation des paysages, les dépôts sauvages constituent un danger en termes de santé publique et d'environnement à cause de la pollution des sols et des nappes phréatiques qu'ils engendrent.

C'est notamment pour contrer ce fléau que la startup toulousaine SGEvT (Société Générale d'Evaluation des Territoires) a mis au point une solution de télédétection de ces sites illégaux. Crée en 2018 par Nancy Oliveto Erviti, une juriste spécialisée en urbanisme, et par Arnaud André, ingénieur des Ponts et Chaussés, SGEvT produit des informations pour aider les communes à prendre des décisions en matières d'aménagement et ce dans une optique de développement durable. Pour cela, la startup s'appuie sur l'intelligence artificielle et les images satellitaires.

« Dès le départ, nous avons collaboré avec le Cnes pour utiliser les satellites de Pléiades. Les images satellitaires couplées aux algorithmes permettent à notre solution d'être fiable à 90%, mais aussi d'aller plus loin que la détection des dépôts sauvages. Nos services détectent les dépôts sauvages et notent aussi les décharges selon des critères de vulnérabilité, ce qui permet de prioriser les sites. Ces dépôts sauvages sont bien souvent positionnés dans des endroits peu visibles du fait de leur illégalité, notre solution permet également d'accompagner les agents qui travaillent sur le terrain pour qu'ils trouvent le trajet le plus efficace pour arriver à ces fameuses décharges. Nous pouvons également voir à quelle vitesse ces décharges apparaissent. Cette prédiction augmente les chances d'identifier les responsables », explique Arnaud André.

Une plateforme dédiée à diverses solutions

Au-delà de l'épineuse question des dépôts sauvages, SGEvT gère des données geolocalisables dans tous les domaines liés à l'aménagement du territoire ou à l'image de la mobilité. Sur ce thème, la société travaille pour la communauté d'agglomération du Sicoval (36 communes du sud-est toulousain) sur la question des mobilités douces.

« La communauté d'agglomération réfléchit aux enjeux de la mobilité douce. L'idée ici est de mieux comprendre les habitudes et trajets des habitants qui se déplacent à vélo. Pour cela, nous avons équipé les portables de 130 volontaires afin de collecter des informations sur leurs itinéraires », note Arnaud André.

L'entreprise toulousaine intervient également dans l'Aude où une collaboration a été mise en place avec la Direction Départementale des Territoires de la Mer de l'Aude (DDTM). Le but de cette collaboration ? Analyser les impacts des inondations sur le territoire afin de le rendre moins vulnérable face à ce type de phénomène, là aussi en s'appuyant sur des images satellitaires et l'analyse de toute une batterie de données. Ce projet en cours de réalisation bénéficie d'un co-financement du CNES et du programme européen Copernicus Climate Change Service, il devrait par la suite être répliqué dans d'autres territoires.

« Nous développons un outil puis nous répliquons le process. Aujourd'hui plus d'une centaine d'outils de nos services sont reproductibles, nous savons les développer et les industrialiser », avance le co-fondateur de SGEvT.

Des outils que la société met à disposition des collectivités au sein d'une plate-forme dédiée nommée TEREvAL. Basé sous un modèle SaaS, TEREvAL permet aux communes abonnées au site de bénéficier d'une analyse assez fine de données territoriales.

À l'avenir, cette société, qui compte une équipe de 15 personnes composée de développeurs, data scientist et juristes souhaite faire de TEREvAL une plateforme ouverte pour héberger les données d'autres entreprises qui travaillent elles aussi sur les questions de développement durable.

*Rapport sur la caractérisation de la problématique des déchets sauvages, paru en février 2019

 

 

 

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Deepfake : des escrocs usurpent l'identité d'experts pour voler les données sensibles des entreprises

Deepfake : des escrocs usurpent l'identité d'experts pour voler les données sensibles des entreprises | Toulouse networks | Scoop.it

Deepfake Emmanuel Macron

 

Le FBI a émis un avertissement en début de semaine, indiquant qu'il avait reçu un nombre croissant de plaintes relatives à l'utilisation de vidéos deepfake lors d'entretiens d'embauche pour des emplois technologiques impliquant l'accès à des systèmes et des informations sensibles.

 

De plus en plus de personnes utilisent la technologie deepfake pour se faire passer pour quelqu'un d'autre lors d'entretiens d'embauche à distance, a déclaré le FBI mardi. Dans son communiqué, le FBI indique qu'il a reçu un nombre croissant de plaintes concernant des personnes qui superposent des vidéos, des images ou des enregistrements audio d'une autre personne sur elles-mêmes lors d'entretiens d'embauche pour les postes en télétravail.

Pour ceux qui ne le savent pas, les “deepfakes” consistent à utiliser des programmes alimentés par l'intelligence artificielle pour créer des images réalistes d'une personne. La technologie peut par exemple être utilisée pour remplacer le visage d'une personne par celui d’une célébrité, ou encore de cloner la voix d’une autre personne.

 

Lire également – Deepfake : ce site porno dopé à l’IA attire de plus en plus d’adeptes et c’est inquiétant

Les entretiens d’embauche à distance sont la nouvelle cible des escrocs

D’après les informations du FBI, les escrocs se servent à la fois de faux documents et d'informations d'identification personnelle volés aux victimes pour tromper les employeurs et les inciter à les embaucher pour des emplois à distance. Ces postes en télétravail sont souvent liés aux technologies de l'information et à la programmation informatique, ainsi qu'aux bases de données et aux logiciels.

Le problème, c’est que certains de ces postes permettaient d'accéder à toutes sortes de données, depuis les informations personnelles des clients jusqu'aux données financières en passant par les informations confidentielles des entreprises.

Aujourd’hui, il devient de plus en plus difficile pour les recruteurs de savoir à qui ils ont affaire lors d’un entretien vidéo, car certaines technologies de deepfake sont très convaincantes. Cependant, le FBI annonce qu’il est possible de déceler une arnaque en cherchant certains indices. « Lors de ces entretiens, les actions et le mouvement des lèvres de la personne que l'on voit interviewée à la caméra ne sont pas complètement coordonnés avec l'audio de la personne qui parle », a déclaré le FBI. « Parfois, des actions telles que la toux, les éternuements ou d'autres actions auditives ne sont pas alignées avec ce qui est présenté visuellement ».

 

Heureusement, des entreprises comme Facebook sont aujourd’hui capables de détecter un deepfake et même de retrouver leur créateur.

 

Source : FBI

 

 

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Pour un ministère du numérique de plein exercice

Pour un ministère du numérique de plein exercice | Toulouse networks | Scoop.it

RIBUNE COLLECTIVE. Le numérique est profondément transformateur, d'une grande complexité, et exige la capacité à comprendre, déployer et défendre une vision technologique, sociale, écologique, économique, géostratégique et politique de long terme. Il requiert des moyens et des expertises que seul un ou une ministre de plein exercice peut convoquer et employer à la hauteur des enjeux, estime un collectif de plus de 80 élus, entrepreneurs, ingénieurs, développeurs, associatifs et acteurs du numérique. Parmi eux, Quentin Adam (Clever Cloud, Open Internet Project), Gilles Babinet (CNNum), Ophélie Coehlo (Institut Rousseau), Tariq Krim (Polite), Philippe Latombe (député Modem), Michel Paulin (OVHCloud), Arno Pons (Digital New Deal), Guillaume Rozier (Covid Tracker, ViteMaDose) ou encore Alexandre Zapolsky (Linagora).

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Collectif
05 Mai 2022

 

 

Plus de 80 acteurs du numérique (députés, entrepreneurs, ingénieurs, développeurs, associatifs...) réclament au chef de l'Etat la création d'un ministère du Numérique de plein exercice dans le nouveau gouvernement. (Crédits : POOL)

Alors que s'ouvre un nouveau quinquennat et que les élections législatives se présentent bientôt devant les électeurs, nous, acteurs du monde numérique, demandons au Président de la République et au futur gouvernement de doter le pays des moyens institutionnels d'une politique stratégique forte en matière de numérique.

En trente ans, la nouvelle révolution industrielle permise par Internet a bouleversé nos sociétés, accéléré les échanges et la transformation de la société, de nos entreprises et de nos administrations, rebattu les cartes géopolitiques et sociétales. Le numérique s'est imposé dans toutes les composantes de nos vies et les effets d'un changement si rapide et profond n'ont pas d'équivalent dans l'histoire de l'humanité. La crise sanitaire n'a fait que l'accélérer encore.

Pourtant, nous n'en sommes encore qu'aux prémices de cette révolution, alors que monte en puissance l'intelligence artificielle, qu'arrive l'informatique quantique, et que déjà les métavers et crypto-actifs promettent de bouleverser encore nos usages, nos économies et nos sociétés. Des menaces nouvelles naissent du numérique, comme la manipulation de l'information à grande échelle ou les cyberguerres. Qui sait ce que l'avenir inventera encore. Bien plus qu'une évolution technologique, le numérique génère des transformations sociétales par les réseaux sociaux et la communication instantanée, bouscule le droit du travail par l'apparition des plateformes d'intermédiation, oblige à repenser l'industrie par l'intégration systématique d'intelligence et de connectivité, ou à réaménager nos territoires avec une analyse fine de leurs dynamiques. Ces bouleversements sont soudains, enthousiasmants, assourdissants, troublants tout à la fois. Qu'on le veuille ou non, ils sont inéluctables. Mais là où certains n'y voient qu'une fatalité, nous y voyons d'abord une opportunité que tout le monde doit être en capacité d'embrasser, et une exigence de maîtrise de nos technologies pour rester maîtres de notre avenir.

Pour accompagner ces changements, des secrétaires d'État au numérique ont été nommés et ont successivement acquis une importance croissante dans les gouvernements, dans l'opinion publique, et auprès des instances de l'Union européenne. Ces pionniers ont efficacement ouvert le chemin pour aider le pays à tirer profit de cette révolution et pour apporter des réponses politiques aux problèmes nouveaux causés par Internet et par le numérique. Il faut leur reconnaître d'avoir su le faire avec des moyens bien trop limités par rapport aux défis à affronter.

Sous le seul axe économique, le numérique en France représente déjà 6% du produit intérieur brut avec plus de 150 milliards d'euros de dépenses annuelles et près d'un million d'emplois salariés. Mais le numérique c'est surtout bien plus que de l'économie, à l'image de l'agriculture qui revêt une extrême importance à la fois pour notre souveraineté alimentaire, notre tissu territorial, notre santé, notre rayonnement international, notre culture, notre politique écologique et notre balance commerciale. Le numérique est tout cela, et pose des questions nouvelles de cybersécurité, d'empreinte environnementale et d'autonomie stratégique. Pourtant, alors que personne aujourd'hui n'aurait l'idée saugrenue de placer l'agriculture sous la tutelle du ministère de l'économie et des finances, c'est toujours le sort bien peu visionnaire et ambitieux que l'État réserve au numérique.

Or si nous nous réjouissons du nombre de licornes françaises qui enchaînent les records de levées de fonds, et de l'influence de la France dans l'élaboration des prometteurs textes européens Digital Services Act (DSA) et Digital Markets Act (DMA), ces succès démontrent qu'un puissant ministère français du numérique pourra d'autant mieux conduire le gouvernement et l'Union européenne vers des ambitions enfin à la hauteur des enjeux, avec une vue stratégique transversale et à longue portée.

Nous l'avons dit, le numérique n'est pas une activité comme les autres. Il est profondément transformateur, d'une grande complexité, et exige la capacité à comprendre, déployer et défendre une vision technologique, sociale, écologique, économique, géostratégique et politique de long terme, tout en s'adaptant avec agilité aux inévitables changements qu'il subit et qu'il nous fait subir. Il requiert des moyens et des expertises que seul un ou une ministre de plein exercice peut convoquer et employer à la hauteur des enjeux. La numérisation en cours de notre économie est comparable à la première révolution industrielle qui a remplacé le muscle humain par la machine. Le logiciel alimenté par d'innombrables données et par une puissance de calcul exponentielle remplace et perfectionne nombre de prestations intellectuelles humaines, promettant de changer durablement notre modèle de société. Il est un outil formidable qu'il faut savoir manœuvrer et anticiper.

Nous, élus, entrepreneurs, ingénieurs, développeurs, associatifs, et acteurs du numérique, demandons donc au Président de la République et au futur gouvernement, comme d'autres pays l'ont fait, la création d'un ministère du numérique de plein exercice et doté de tous les moyens nécessaires à la définition et la mise en œuvre d'une stratégie ambitieuse. Ce ministère doit être doté des moyens humains, financiers et institutionnels qui lui permettront d'aborder de façon cohérente les facettes multiples du numérique, qui puisse faire rayonner tout notre savoir-faire, protéger nos intérêts, et faire du numérique une chance indiscutable pour toutes les composantes de notre nation.

Conscient des problématiques fortes et nouvelles que le numérique engendre, le ministère du numérique aura une vue transversale sur les questions éthiques, géostratégiques, énergétiques, d'emploi, de formation et d'inclusion liées au numérique, et réduira la fracture numérique. Il favorisera le déploiement cohérent et rapide des réseaux et des infrastructures de nouvelles générations, accélérera et accompagnera la transformation numérique de l'État, fera du numérique un atout majeur dans une politique renouvelée d'aménagement des territoires, grâce aux apports du télétravail et des nouvelles proximités. Il explorera les droits nouveaux du citoyen connecté, et les devoirs que le numérique implique d'imaginer. Il veillera à faire de l'amplification de la transition numérique un objectif ambitieux et heureux du quinquennat. Le ministère du numérique assurera le déploiement d'un écosystème de formations modernes et agiles capable d'orienter les travailleurs vers les métiers actuels et futurs du numérique, en favorisant reconversions et formations continues. Il accompagnera la (ré)-industrialisation 4.0 des nouveaux modes de production, et créera les ponts entre les industries anciennes et celles du logiciel et de la microélectronique.

Dans la continuité du secrétariat d'État, le ministère du numérique aura aussi évidemment pour mission de soutenir la croissance de nos jeunes entreprises du numérique. Mais avec ses moyens nouveaux, il veillera aussi à déployer une stratégie volontariste assurant que nos belles startups qui dynamisent notre économie ne soient plus à ce point technologiquement et commercialement dépendantes d'entreprises extra-européennes dont elles se trouvent à la merci. Porteur et accélérateur d'une vision industrielle, le ministère pourra s'inspirer de la stratégie déployée par les USA, qui ont fait de la conception et de la maîtrise de leurs propres logiciels la valeur ajoutée première pour conquérir huit des dix premières capitalisations boursières mondiales, alors que la création de logiciels n'est la spécialité première d'aucune des dix premières capitalisations françaises. Il fera travailler ensemble chercheurs et acteurs privés pour identifier et développer les technologies qui assureront notre autonomie stratégique et nous aideront à conquérir de nouveaux marchés.

Souvenons-nous qu'il y a un demi-siècle, le choix visionnaire de George Pompidou de créer le premier ministère de l'environnement n'avait pas été compris, alors qu'il est aujourd'hui incontestable. Assurément, celui de créer le premier ministère du numérique de plein exercice s'imposera comme une évidence historique aussi certaine. Souvenons-nous aussi que Charles de Gaulle, conscient de l'absolue nécessité de doter la France d'une autonomie stratégique en matière d'informatique, avait lancé le Plan Calcul dont on n'a compris que trop tardivement l'impact tragique de son abandon. Avec un ministère du numérique, le Président de la République et le gouvernement auront l'opportunité de remettre sur pied une ambition à la hauteur du pays et de l'Europe.

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Signataires :

  • Quentin ADAM, CEO de Clever Cloud, président de l'Open Internet Project
  • Alexandre ARCHAMBAULT, Avocat
  • Gilles BABINET, Co-président du Conseil national du numérique
  • Gilles BARBIER, Entrepreneur
  • Pierre BAUDRACO, Président de Bluemind
  • Marc BEYER, Co-fondateur de Kiubi
  • Guillaume CHAMPEAU, Directeur juridique de Clever Cloud, fondateur de Numerama
  • Paul BENOIT, Co-fondateur et Président de Qarnot
  • Fabienne BILLAT, Consultante stratégie numérique
  • Stéphane BELLANGER, Consultant
  • Christophe BOUTET, Président de Bourgogne Franche-Comté Numérique
  • Loic BOUQUET, Expert Cloud
  • Stéphane BOUKRIS, Président de Excelsior
  • Emmanuel CARLI, Directeur général EPITECH
  • Damien CAVAILLES, Président de WeLoveDevs.com
  • Pierre CHAPUIS, Ingénieur logiciel
  • Laurent CHEMLA, Fondateur de Caliopen
  • Antoine CHEUL, CEO de Shopopop
  • Ophélie COEHLO, Spécialiste en géopolitique du numérique, Institut Rousseau
  • René COTTON, Directeur général Wizishop
  • Franck DECLOQUEMENT, Expert en intelligence stratégique, enseignant-chercheur, membre du conseil scientifique
  • Fabrice DEVELAY, Fondateur de Gcollect
  • Laurence DEVILLERS, Professeur en informatique
  • Félix DROUET, Architecte
  • Ludovic DUBOST, PDG de Xwiki
  • Fabrice EPELBOIN, Enseignant et entrepreneur
  • Thomas FAURÉ, CEO de Whaller
  • Stéphane FERMIGIER, Fondateur et CEO d'Abilian
  • Christophe FROCHE, Informaticien
  • Alain GARNIER, CEO de Jamespot
  • Pierre DE GEYER, CEO de Rocket School
  • Mathieu GIRARD, Développeur Web
  • Thomas GOURITIN, Co-fondateur de ASISPO
  • Nicolas GUILLAUME, Président de Netalis
  • Mathias HERBERTS, Co-fondateur et CTO de SenX
  • Vincent HEUSCHLING, Fondateur d'Affini-Tech et de DataTask
  • Rand HINDI, CEO de Zarma
  • Vladimir KOLLA, Directeur général de Patrowl
  • Tariq KRIM, Entrepreneur, fondateur de Polite
  • Baptiste JAMIN, CEO de Crisp
  • Jean-Baptiste KEMPF, Président de VideoLAN
  • Bernard LAMON, Avocat
  • Bertrand LEBLANC-BARBEDIENNE, Directeur de publication Souveraine Tech
  • Stéphanie LAPORTE, Dirigeante de l'agence OTTA
  • Philippe LATOMBE, Député
  • Quentin LAURENS, Directeur des relations extérieures de Qarnot
  • Yann LECHELLE, CEO de Scaleway
  • Mathieu LE GAC, Président de Startup Palace
  • Cédric LEVIEUX, Porte-parole du Parti Pirate
  • Samuel LIARD, Président de Apptom
  • Wolfgang MAHLE, Ingénieur aéronautique
  • Florie MARIE, Porte-parole du Parti Pirate
  • Michël MARINETTI, Développeur
  • Alexandre MANDIL, Avocat
  • Florian MERY, Etudiant en sciences politiques
  • Arnaud MULLER, Directeur général de Cleyrop
  • Tristan NITOT, Entrepreneur et hacktiviste
  • Michel PAULIN, Directeur général de OVHCloud
  • Yann PERSON, CEO de EP
  • Julien PETIT, CEO de Mighty Nine
  • Philippe PLANTIVE, Président de Proginov
  • Arno PONS, Secrétaire général de Digital New Deal
  • Quentin PUGEAT, Etudiant en ingénierie du logiciel
  • Guillaume ROZIER, Consultant chez Octo Technology, créateur de Covid Tracker, Vaccin Tracker et ViteMaDose
  • Clément SAUVAGE, Ingénieur et entrepreneur
  • Hervé RANNOU, CEO de SenX
  • Pierre-Alain RAPHAN, Député
  • Robin REDA, Député
  • Jean-Paul SMETS, Président de Rapid.Space
  • Mathieu SANTOSTEFANO, Développeur
  • Olivier SAUVAGE, Expert UX
  • Florian RICHOUX, Chercheur en informatique
  • Bruno SOULEZ, Entrepreneur
  • Rayna STAMBOLIYSKA, CEO de RS Strategy
  • Valerian SALIOU, Co-fondateur de Crisp
  • Alexandre ZAPOLSKY, Président de Linagora

Ainsi que les entreprises et organisations suivantes :

  • Abilian
  • ADN Ouest
  • Clever Cloud
  • Union des entreprises du logiciel libre et du numérique ouvert (CNLL)
  • Datatask
  • EP
  • EUCLIDIA
  • Fondation Internet Nouvelle Génération (FING)
  • Linagora
  • Open Internet Project
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Concurrence dans le cloud: les acteurs européens se rebiffent face à la neutralité de Margrethe Vestager

Concurrence dans le cloud: les acteurs européens se rebiffent face à la neutralité de Margrethe Vestager | Toulouse networks | Scoop.it

Margrethe Vestager

 

Dans une lettre ouverte adressée à Margrethe Vestager, commissaire à la Concurrence, une quinzaine d'entrepreneurs européens du cloud, dont les français Scaleway, Clever Cloud ou encore Abilian, appellent l'UE à renforcer sa régulation et dénoncent les pratiques anti-concurrentielles des géants américains du secteur (Amazon, Microsoft et Google). Cette lettre se veut une réponse aux propos de la danoise, qui a affirmé en début de semaine n'avoir aucune "préoccupation" sur l'état de la concurrence dans le cloud. Or, deux plus gros acteurs européens, le français OVHCloud et l'allemand NextCloud, ont déposé plainte contre Microsoft l'an dernier auprès de la Commission européenne.

 
 

 

La petite phrase de Margrethe Vestager du 28 mars dernier, indiquant qu'il n'y a pas en Europe, pour l'instant, de "préoccupations concernant la concurrence dans le cloud", est mal passée auprès des entrepreneurs européens du secteur. Vendredi 1er avril, 14 d'entre eux, pour la plupart membre du collectif Euclidia qui entend défendre les intérêts de la filière, ont publié une lettre ouverte destinée à la Commissaire européenne en charge de la concurrence.

L'objectif : remettre les points sur les "i" sur les pratiques des Gafam, et notamment de Amazon Web Services (AWS), Microsoft Azure et Google Cloud, qui captent à eux trois environ 70% du marché européen du cloud, et sont les principaux gagnants de la croissance du secteur.

"Impliqués depuis des années dans le business du cloud computing ou dans le secteur tech, nous avons fait face à un certain nombre de pratiques abusives bien caractérisées. Aussi compliqué que cela puisse être de les qualifier en vertu des dispositions actuelles du droit de la concurrence de l'UE, nous pouvons témoigner qu'ils anéantissent bel et bien toute possibilité de concurrence libre et loyale", estiment-ils.

Ces entrepreneurs, dont Quentin Adam (Clever Cloud), Yann Lechelle (Scaleway), Alain Garnier (Jamespot), Leonidas Kalogeropoulos (Open Internet Project), Andre Loesekrug-Pietri (Joint European Disruptive Initiative) ou Jean-Paul Smets (Euclidia), estiment que les propos de Margrethe Vestager relèvent d'une maladresse coupable. "Adopter une position très neutre quant au bon fonctionnement des marchés du cloud computing, qui ne soulèveraient apparemment aucune inquiétude particulière, envoie, selon nous, le (faux) signal qu'"il n'y a rien à enquêter", déplorent-ils.

 

 
 
Sylvain Rolland
01 Avr 2022,
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Les mises à jour de l’algorithme Google en 2021

Les mises à jour de l’algorithme Google en 2021 | Toulouse networks | Scoop.it

Retranscription

Passage indexing (US/anglais) – Février 2021

Diminution des Featured Snippets – Février 2021

et retour à la normale – Mars 2021

MozCast a mesuré une baisse de 40% des SERPs avec Featured Snippets d’un jour à l’autre, avec un mystérieux retour aux niveaux précédents trois semaines plus tard.

Product Reviews Update – Avril 2021

Google a annoncé une mise à jour visant à récompenser les évaluations approfondies par rapport aux évaluations superficielles et aux affiliations frauduleuses (en anglais uniquement au lancement).

Core Update de juin 2021 – Juin 2021

Spam Updates – Juin 2021

Danny Sullivan, de Google, a déclaré que « les deux parties de cette mise à jour anti-spam étaient des mises à jour « globales » qui ciblaient à la fois les résultats Web et les résultats d’images ».

[Étude de cas] Gérer le crawl du robot de Google

Avec plus de 26 000 références produit, 10001pneus avait besoin d’un outil fiable pour surveiller leur performance SEO et s’assurer que le budget de crawl de Google était bien dédié aux bonnes catégories et aux bonnes pages. Découvrez comment OnCrawl les a aidé à contrôler le comportement de Google et à optimiser le budget de crawl du sites e-commerce.

Page Experience Update – Juin 2021

Cette mise à jour inclut les Core Web Vitals et a un impact sur les résultats organiques et les résultats d’actualité (y compris les Top Stories).

Core Update de juillet 2021 – Juillet 2021

Faisant suite à celle de juin, la mise à jour de juillet 2021 a été lancée du 1er au 12 juillet.

Link Spam Update – Juillet 2021

Google Title Update – Août 2021

Google a informé le public de la mise en place d’un nouveau système permettant de générer des titres pour les pages des sites Web. Il s’attachera davantage à décrire avec précision le sujet d’une page.

Spam Update de novembre 2021 – Novembre 2021

Nous ne savons pas si cette mise à jour vise le spam de liens, le spam de contenu ou d’autres formes de spam de recherche.

Core Update de novembre 2021 – Novembre 2021

Il s’agit de la troisième Core Update publiée par Google en 2021.

Translated Results (Inde) – 18 novembre 2021

Google a documenté un changement appelé Translated results, actuellement limité à l’Inde. Elle permet de traduire automatiquement les titres et les snippets entre les langues.

Product Reviews Update de décembre 2021 – Décembre 2021

Cette mise à jour aura un impact sur les avis sur les produits figurant sur les pages en langue anglaise. Elle prendra environ trois semaines.

Et 22 mises à jour possibles non confirmées de Google Search Ranking

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Sweep lève 22 millions de dollars pour aider les grandes entreprises à réduire leur empreinte carbone •

Sweep lève 22 millions de dollars pour aider les grandes entreprises à réduire leur empreinte carbone • | Toulouse networks | Scoop.it

L’équipe fondatrice de Sweep (de gauche à droite) : Nicolas Raspal, Rachel Delacour, Raphaël Gueller et Yannick Chaze.   Sweep lève 22 millions de dollars pour aider les grandes entreprises à réduire leur empreinte carbone

Véritable record pour une plateforme de gestion de l’empreinte carbone, cette levée devrait permettre au leader montpelliérain de mieux répondre à la forte demande des clients souhaitant mettre en place un programme climatique aligné sur la neutralité carbone mondiale. 

Face à l’urgence climatique, de nombreuses entreprises sont invitées à intégrer les préoccupations environnementales au sein de leurs politique