Le coléoptère bombardier doit son nom à la tactique qu’il utilise pour éloigner les prédateurs. Il sécrète un liquide brûlant (décrit par Hermann Schildknecht en 1961) par deux glandes qui est stocké dans deux chambres communicantes en présence d’un inhibiteur de la réaction. Ce liquide est composé d’hydroquinone et de peroxyde d’hydrogène. Il envoie ce liquide accompagné d’un catalyseur chimique sur le prédateur. Le liquide est violemment expulsé par un « canon » à l’arrière du corps produisant une détonation parfaitement audible. Fatal pour les ennemis, très douloureux pour un être humain.
The order Coleoptera (beetles) is, of course, the largest single group of animals on earth, and by most accounts the Curculionidae (weevils) and their close relatives are the largest family-level g...
REFERENCES:
Ulmer, B. J., R. E. Duncan, J. Prena & J. E. Peña. 2007. A weevil, Eurhinus magnificus Gyllenhal (Insecta: Coleoptera: Curculionidae). University of Florida, IFAS Publication #EENY-417/IN751, 6 pp.
Vaurie, P. 1982. Revision of Neotropical Eurhin (Coleoptera, Curculionidae, Baridinae). American Museum Novitates 2753:1–44.
Zimmerman, E.C. & R. T. Thompson. 1983. On family group names based upon Eurhin, Eurhinus and Eurhynchus (Coleoptera). Bulletin of Zoological Nomenclature 40:45–52.
Innovation : Il a fallu plus de dix ans de recherche pour développer l'insecte volant de 80 milligrammes présenté par l'Université de Harvard et décrit cette semaine dans la revue Science.
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Actuellement, l'insecte volant a besoin d'un câble fin pour recevoir les signaux de contrôle et être alimenté en énergie, mais les chercheurs espèrent mettre au point un minuscule cerveau et équiper le robot d'une source d'énergie qui lui permette de voler sans fil. « Les mouches ont de minuscules cerveaux et elles sont pourtant capables de réaliser des voltiges spectaculaires », a déclaré dans un communiqué Sawyer B. Fuller, co-auteur de l'article de Science. « Leurs capacités dépassent ce que nous pouvons faire avec notre robot, et nous aimerions mieux comprendre leur biologie afin de l'appliquer à notre propre travail ».
'Office of Technology Department de l'Université de Harvard cherche déjà à commercialiser certaines technologies utilisées par le robot.
Phys.org Science News Wire : Team finds substances in honey that increase honey bee detox gene expression -- a press release is provided to you ìas isî with little or no review from Phys.org staff.
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"Propolis turns on immunity genes, it's not just an antimicrobial caulk or glue. It may be medicinal, and in fact people use it medicinally, too," Berenbaum said. Many commercial beekeepers use honey substitutes such as high-fructose corn syrup or sugar water to feed their colonies. Berenbaum believes the new research shows that honey is "a rich source of biologically active materials that truly matter to a bee."
Bernadette Cassel's insight:
Une nouvelle étude menée par le professeur en entomologie May Berenbaum montre que certains composants du nectar et des grains de pollen que les abeilles récoltent pour fabriquer leur nourriture accroissent l'expression de gènes de détoxication, ce qui les aide à se maintenir en bonne santé.
(d'après le résumé)
→ Honey constituents up-regulate detoxification and immunity genes in the western honey bee Apis mellifera
Stenamma is a cryptic 'leaf-litter' ant genus that occurs in moderately humid to wet forest habitats throughout the Holarctic region, Central America, and part of northwestern South America (Colombia and Ecuador).
Bernadette Cassel's insight:
33 espèces nouvelles et diversité d'habitats chez les fourmis du genre Stenamma
→ Revision of the Middle American clade of the ant genus Stenamma Westwood (Hymenoptera, Formicidae, Myrmicinae)
Ants play a variety of important roles in many ecosystems. As frequent visitors to flowers, they can benefit plants in their role as pollinators when they forage on sugar-rich nectar.
Bernadette Cassel's insight:
→ Microorganisms transported by ants induce changes in floral nectar composition of an ant-pollinated plant
Méconnues du public il y a encore peu de temps, les punaises de lit arrivent en force pour parasiter nos nuits. Pascal Delaunay, entomologiste médical et parasitologue au CHU de Nice, dévoile à Futura-Sciences les mystères de ces petites bêtes.
Borocera cajani Vinson (Lepidoptera: Lasiocampidae) est un papillon séricigène endémique de Madagascar dont la soie est utilisée dans le domaine textile. Ce vers à soie est polyphage et colonise la forêt des hautes plaines centrales constituée principalement de Tapia (Uapaca bojeri). Au sein de ces forêts, les chenilles de B. cajani sont couramment observées sur deux plantes hôtes : le Tapia et le Voafotsy (Aphloia theiformis).Dans cette étude, nous avons évalué des paramètres de différents stades (taux de survie, durée des stades, poids et taille, fécondité des adultes,…) de B. cajani élevé sur ces deux plantes hôtes.
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Bernadette Cassel's insight:
Photo du papillon Borocera cajani :
→ Silk moths in Madagascar: A review of the biology, uses, and challenges related to Borocera cajani (Vinson, 1863) (Lepidoptera: Lasiocampidae)
Understanding the processing of odour mixtures is a focus in olfaction research. Through a neuroethological approach, we demonstrate that different odour types, sex and habitat cues are coded together in an insect herbivore. Stronger flight attraction of codling moth males, Cydia pomonella, to blends of female sex pheromone and plant odour, compared with single compounds, was corroborated by functional imaging of the olfactory centres in the insect brain, the antennal lobes (ALs). The macroglomerular complex (MGC) in the AL, which is dedicated to pheromone perception, showed an enhanced response to blends of pheromone and plant signals, whereas the response in glomeruli surrounding the MGC was suppressed. Intracellular recordings from AL projection neurons that transmit odour information to higher brain centres, confirmed this synergistic interaction in the MGC. These findings underscore that, in nature, sex pheromone and plant odours are perceived as an ensemble. That mating and habitat cues are coded as blends in the MGC of the AL highlights the dual role of plant signals in habitat selection and in premating sexual communication. It suggests that the MGC is a common target for sexual and natural selection in moths, facilitating ecological speciation.
Scientific research is spotting a surprising range of animals that engage in same-sex relationships. Here are ten:
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It’s a fact: bugs can be gay. Dragonflies are among the most highly evolved predators in the insect world, and they’re also among the most demonstrative — engaging in spectacular in-flight ballets as well as serious sensual encounters with other dragonflies.
But the presence of the opposite sex is not always a prerequisite to dragonfly dating; investigations have revealed a surprisingly high frequency of matings between same-sex dragonflies. Understanding the reasons for same gender pairings among such small invertebrates is challenging, and the interactions are poorly understood even today. Environmental chemistry and the unavailability of partners may be one factor influencing dragonfly mating behavior.
Bernadette Cassel's insight:
C'est un fait établi : les insectes peuvent être gay !
(Phys.org) —A team of researchers made up of two behavioral ecologists from the University of Lausanne and a robotics engineer from the Swiss Federal Institute of Technology has developed a novel way to study the behavior of individual ants in a...
Les chercheurs de l’Inra de Montpellier et leurs collègues italiens ont démontré pour la première fois le rôle essentiel des guêpes pour maintenir la présence des levures dans le raisin d’année en année. Ces levures étant indispensables à la fermentation du vin, on mesure l’importance de bien connaître ces interrelations faune-flore dans l’écosystème vigne. Ces résultats ont été publiés en 2012 dans la revue PNAS.
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Référence
Stefanini, I., Dapporto, L., Legras, J.-L., Calabretta, A., Di Paola, M., De Filippo, C., Viola, R.,et al. 2012. Role of social wasps in Saccharomyces cerevisiae ecology and evolution. Proceedings of the National Academy of Sciences 109(33), 13398–403. http://www.pnas.org/content/109/33/13398.full
Exemple d'un essai vaccinal contre le paludisme: principes, étapes et résultats - Présentation de la 4e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Ousmane BA - ...
Une équipe de chercheurs japonais est parvenue à modifier génétiquement un moustique pour qu'il diffuse un vaccin lorsqu'il pique une souris. Une expérience qui soulève de nombreuses questions pratiques et éthiques.
L'idée aurait de quoi faire rêver : au lieu de véhiculer des maladies graves (paludisme, dengue, fièvre jaune), les moustiques, modifiés génétiquement par l'homme, transmettraient aux individus qu'ils piquent le vaccin contre cette même maladie.
Et chaque nouvelle piqûre, loin de s'avérer dangereuse, viendrait renforcer la défense immunitaire de la personne «piquée». Une méthode «peu coûteuse et non douloureuse», résume le Dr Yoshida, qui a mené l'étude scientifique publiée dans la revue Insect Molecular Biology.
Ce scientifique japonais de la Jichi medical university est parvenu à concrétiser dans son laboratoire une théorie caressée, selon lui, depuis une dizaine d'années par les chercheurs. Pour cela, il a introduit un gène chez un moustique pour qu'il produise dans sa salive la molécule SP15 permettant d'immuniser contre une maladie tropicale grave, la leishmaniose.
Particulièrement virulente en Afrique du Nord, au Moyen-Orient et dans le Sahel, la leishmaniose, également présente à moindre échelle dans le sud de la France, concernerait 12 millions de personnes dans le monde et peut s'avérer mortelle ou causer de graves lésions cutanées.
Les chercheurs ont ensuite mis ces moustiques génétiquement modifiés en contact avec des souris. Piquées à de nombreuses reprises par l'insecte qui se nourrissait de leur sang, celles-ci ont développé des anticorps contre la leishmaniose, sur le modèle d'un vaccin classique, qui, en introduisant à très faible dose l'agent infectieux dans le corps, lui apprend à organiser sa défense immunitaire. Le moustique, par le biais de sa salive, avait bel et bien joué son rôle de «vaccinateur volant».
Dans le labo seulement
«C'est une idée originale, remarque le Dr Jean Beytout, chef de service des maladies infectieuses au CHU de Clermont-Ferrand. Jusqu'à présent, on avait plutôt tenté de faire de la sélection génétique sur les moustiques vecteurs de maladie, afin de réduire leur nombre ou leur dangerosité».
La prouesse de l'équipe japonaise reste néanmoins expérimentale et ne vise pas à être étendue à plus grande échelle. L'équipe du Dr Yoshida reconnaît elle-même plusieurs obstacles à cela. Non seulement il semble impossible de doser la molécule inoculée aux individus par les insectes, mais rien ne permet en outre d'assurer que le même insecte ne transmettrait pas, dans le même temps, une autre maladie, comme le paludisme ou la fièvre jaune.
A cela s'ajoutent des considérations éthiques, puisqu'on se trouverait dans l'incapacité de s'assurer que la personne est d'accord pour se faire vacciner.
«Au final, cette étude trouve surtout son intérêt dans les pistes qu'elle ouvre pour les recherches sur le paludisme, résume le Dr Beytout. Elle souligne en effet le rôle essentiel de la salive de moustique du moins, de certains de ses composants pour favoriser la pénétration de la molécule immunisante dans le sang».
L’apparition de résistance à un insecticide, suite à une mutation génétique chez l’insecte cible, est un phénomène très répandu. Des chercheurs japonais viennent de mettre en évidence une autre voie de résistance, instantanée celle-là : l’association symbiotique dans le système digestif de l’insecte avec une bactérie capable de métaboliser l’insecticide.
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Bernadette Cassel's insight:
SUR ENTOMONEWS :
→ Relation symbiotique : des bactéries se joignent aux insectes dans leur guerre contre les pesticides http://sco.lt/7T9xvV
In an advance that could transform our understanding of the complex cellular dynamics that determine the development of animals, researchers have developed a...
Bernadette Cassel's insight:
L'imagerie multidirectionnelle permet aux chercheurs de suivre le développement d'un embryon de drosophile en temps réel, cellule par cellule.
Le déterminisme du sexe, par haplodiploïdie, que l’on rencontre chez les insectes hyménoptères, crée des asymétries de parenté entre les représentants des différentes castes de la fourmilière.
Résumé
Le déterminisme du sexe, par haplodiploïdie, que l’on rencontre chez les insectes hyménoptères, crée des asymétries de parenté entre les représentants des différentes castes de la fourmilière. Les valeurs des coefficients de parenté varient selon le nombre de reines ou le nombre de leurs accouplements. Le concept de sélection de parentèle qui en découle permet de mettre en évidence divers conflits plus ou moins discrets qui opposent les reines aux ouvrières et les ouvrières entre elles quant à la valeur du sex-ratio lors de l’élevage des futurs reproducteurs. Si les ouvrières, qui ont la maîtrise de l’élevage des larves, imposent souvent leur point de vue, les reines qui sont responsables du sexe des oeufs peuvent aussi manipuler le sex-ratio. Enfin, quand les reines sont absentes et remplacées par des ouvrières qui ont conservé la possibilité de s’accoupler, les conflits prennent un tour plus visible avec la mise en place d’une chaîne hiérarchique faisant intervenir interactions agonistiques et émissions phéromonales.
Bernadette Cassel's insight:
M/S : médecine sciences
Volume 19, numéro 4, avril 2003, p. 453-458
Direction : Michel Bergeron (directeur) et Jean-Claude Dufour (directeur)
Rédaction : Gérard Friedlander (rédacteur en chef) et Daniel G. Bichet (rédacteur en chef)
Éditeurs : SRMS: Société de la revue médecine/sciences et Éditions EDK
Lorsqu’on est un pique-assiette, que l’on commence à se sentir à l’étroit chez son hôte et que le temps se gâte, mieux vaut prendre la poudre d’escampette…
C’est en tous cas la devise du ver gordien. Et ça marche si l’on en croit l’étude publiée dans Nature par les biologistes français Fleur Ponton et Frédéric Thomas.
Jugez plutôt : ce ver nématomorphe (Paragordius tricuspidatus) est un parasite des grillons et sauterelles. A l’état larvaire, le voleur coule des jours heureux à l’intérieur de son insecte jusqu’au moment où il atteint sa taille adulte (10 à 15 cm). C’en est alors fini de son insouciance. Pas le choix, sa nature le rattrape : il doit regagner le milieu aquatique pour se reproduire avec un membre de son espèce. Problème, comment quitter ce corps ? En le poussant au suicide. Soit. L’hôte se jette à l’eau… au risque de tomber sur un prédateur de passage : poisson ou grenouille à l’affût.
(Vidéo : Le voleur, longtemps dans l’ombre, vulnérable au grand jour)
Lequel, bien décidé à ne pas en perdre une seule patte, fera bon usage de ce cadeau tombé du ciel. Sur le fil du rasoir donc, le ver gordien en devient tout aussi vulnérable. Il n’a que quelques minutes pour échapper au pire : il doit quitter l’organisme de l’insecte, remonter le long du tube digestif du prédateur de son hôte et s’en échapper par une narine, la bouche, voire une branchie lorsqu’il s’agit d’un poisson. S’il échoue, il sera condamné, prisonnier à son tour de son propre piège !
Article rédigé pour l’Agence Science Presse (Mai 2008)
par Caroline Lepage, Journaliste scientifique
Bernadette Cassel's insight:
→ Parasitology: Parasite survives predation on its host
http://www.dengue.info Aedes Aegypti: Dengue mosquito in action! This video shows the Aedes Aegypti mosquito filmed in macrophotography and binocular cinemat...
Parasites use clever ploys to stay alive while destroying their victims.
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2) Head-bursting fungus
In a bizarre death sentence, the fungus Ophiocordyceps unilateralis turns carpenter ants into the walking dead. The fungus prefers the undersides of leaves of plants growing on the forest floor. That's where temperature, humidity and sunlight are ideal for the fungus to grow and reproduce and infect more victims. The parasite gets the insects to die hanging upside down, and then erupts a long stalk from their heads with which it sprinkle its spores to other ants. Fossil evidence recently suggested this fungus has zombified ants for millions of years.
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5) Ant-deceiving butterfly
Just like cuckoo birds, the Japanese lycaenid butterfly Niphanda fusca lays its eggs in the nests of other species, in this case the carpenter ant Camponotus japonicus. The caterpillars that hatch from these eggs then dupe the ants into adopting them by mimicking the odor of the high-ranking male ant caste. Such a chemical disguise explains why these "social parasite" moochers are enthusiastically fed by their hapless hosts in preference to the ants' own brood.
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6) Male-killing bacteria (photo)
The genus of bacteria known as Wolbachia infests a whopping 70 percent of the world's invertebrates, and has evolved devious strategies to keep spreading. In female hosts, the germ can hitch a ride to the next generation aboard the mother's eggs, and since males are essentially useless for the bacteria's survival, the parasite often eliminates them to increase the rate of females born, by either killing male embryos outright or turning them into females. Incredibly, the bacteria have even found a way to sneak their entire genomes into the cells of fruit fly hosts.
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7) Web-manipulating wasps
Although parasites harm their hosts, they don't usually kill them, if only to keep themselves alive. Not so with parasitoids, which ultimately destroy and often consume their hosts. Parasitoid wasps, which inspired the monster in the movie “Alien,” lay their eggs inside their victims, with the offspring eventually devouring their way out. A number of the species control their host's minds in extraordinary ways — the larvae of the wasp Hymenoepimecis argyraphaga, which infests the spider Plesiometa argyra, makes their victims spin unusual webs especially well-suited for supporting their cocoons.
The butterfly flapped its colorful wings while the spider sat waiting to jump its prey and inject venom into the butterfly’s head.The spider aimed at the head, jumped and hit the butterfly’s wing — fooled again.
For three months, Andrei Sourakov watched such interactions between jumping spiders and butterflies, recording them with a camera. His findings were published online March 8 in the Journal of Natural History.
Sourakov, a collection coordinator at the Florida Museum of Natural History’s McGuire Center for Lepidoptera and Biodiversity, began the experiment because research has focused on how the colors and pattern of a butterfly’s wings are thought to deceive birds, but not on how they fool other predators, such as spiders.
He wanted to see if a specific color pattern — the “false head” pattern found on many hairstreak butterflies that mimics a butterfly’s own head — could fool spiders too.
He used 15 individual butterflies and moths belonging to 12 different species. The spider successfully captured 13 that did not have the “false head.” But the Red-banded Hairstreak butterfly, whose spots imitate a false butterfly head, escaped all 16 attacks from the jumping spider.
• Joseph Blaise Pando, Fernand-Nestor Tchuenguem Fohouo, Joseph Lebel TamesseActivité de butinage et de pollinisation de Xylocopa olivacea Fabricius 1787 (Hymenoptera: Apidae) sur les fleurs de Vigna unguiculata (L.) Walp. 1843 (Fabaceae) à Yaoundé-Cameroun article in Volume 66 (2013) page WWW : 42 (4 ULg) accès - fichier pdf : 61 (2 ULg) accès
• Damien Polo Lozano, Emilie Bosquée, Thomas Lopes, Julian Chen, Cheng Deng Fa, Liu Yong, Zheng Fang-Qiang, Eric Haubruge, Claude Bragard, Frédéric FrancisEvaluation de la diversité de l’entomofaune en cultures maraîchères dans l’est de la Chine article in Volume 66 (2013) page WWW : 37 (7 ULg) accès - fichier pdf : 40 (5 ULg) accès
• Tsiresy Maminiaina Razafimanantsoa, François Malaisse, Noromalala Raminosoa, Olivia Lovanirina Rakotondrasoa, Gabrielle Lalanirina Rajoelison, Misha Ratsimba Rabearisoa, Bruno Salomon Ramamonjisoa, Marc Poncelet, Jan Bogaert, Eric Haubruge, François VerheggenInfluence de la plante hôte sur les stades de développement de Borocera cajani (Lepidoptera: Lasiocampidae) article in Volume 66 (2013) page WWW : 33 (8 ULg) accès - fichier pdf : 50 (5 ULg) accès
A new species of leaf miner from the important family Gracillariidae has been recently discovered in the depths of the Brazilian jungle and described in the open access journal Zookeys.
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