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Bernadette Cassel
May 23, 2021 11:11 AM
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... Pour identifier un insecte, il existe ce que l’on nomme des « clés d’identification » ou ‘clés de détermination ». Ces clés fonctionnent sur un système dichotomique, c’est à dire qu’il repose sur une succession de double description d’un ou plusieurs caractères morphologiques spécifiques. (...) septembre 10, 2014 Benoît GILLES "... Par exemple, le forum « Le monde des Insectes » est un outil formidable des novices aux plus expérimentés. L’objectif est d’offrir aux passionnés un lieu de partage et d’échange d’informations, où chacun apporte ses expériences et ces connaissances. Tous les sujets peuvent être traités et développés. On y trouve des liens vers d’autres sites, des clés de détermination, des stages, des conseils divers… Des déterminations peuvent également être soumises aux membres, à l’aide de photo(s), qui feront l’objet de discussion et d’entre-aide afin de les valider. Ces échanges entre membres sont ludiques et pédagogiques. De plus, ce site propose une base de données photographiques des espèces déterminées par les membres du forum. La galerie, composée de milliers de photos classées par Famille, Genre et espèce permet à chacun de comparer et de vérifier son identification. De jour en jour, la galerie s’enrichit de nouvelles photos et d’espèces (voir photo)." (...) [Image] Exemple d’une page de la galerie, ici, mouches de la Famille des Syrphidae ------- NDÉ Voir également : POUR ALLER PLUS LOIN : Depuis 2017, une intelligence artificielle aide les utilisateurs à déterminer les espèces observées ______________________________________ SITES d'entomologie : Cours sur les Insectes avec images, dessins et classification ______________________________________ BLOGS généralistes : ______________________________________ FORUM d'échanges et d'entraide : ______________________________________ AUTRES LIENS :
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Bernadette Cassel
June 23, 11:43 AM
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Qu'elle soit arrivée par bateau, sous les semelles d'un voyageur ou dans la besace d'un collectionneur, l'espèce invasive débarque, un jour, dans un territoire nouveau pour elle. Elle y prolifère aux dépens des espèces autochtones. Ce phénomène, bien connu chez les végétaux ou les mammifères, concerne également les insectes. Dossier rédigé en novembre 2022. Claire Villemant, entomologiste, maître de conférences et spécialiste des hyménoptères au Muséum national d’Histoire naturelle. L'importation, volontaire ou accidentelle De l'introduction à l'acclimatation Loin de leurs prédateurs Un risque pour la biodiversité Un appauvrissement naturel qui coûte cher ! Un phénomène accéléré par la mondialisation et le changement climatique Faut-il craindre les espèces invasives ? La lutte biologique incertaine
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Bernadette Cassel
June 21, 9:28 AM
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Le volet scolaires du projet de sciences participatives INPN Espèces s'enrichit. Découvrez une vidéo promotionnelle ainsi que de nouvelles ressources pédagogiques associées au programme. INPN - News - Release: April 22, 2024 De nouvelles ressources pédagogiques à destination des élèves Depuis la sortie du volet "scolaires" d’INPN Espèces, six ressources pédagogiques ont été diffusées pour accompagner au mieux les enseignantes et les enseignants. Deux nouveaux documents à destination des élèves viennent d’être mis en ligne : - La « fiche type de saisie » a pour objectif d’aider les élèves à anticiper la sortie sur le terrain et à appréhender l’utilisation de l'application mobile INPN Espèces. Ce document récapitule en un recto-verso les fonctionnalités principales de l'application.
- La « fiche inventaire », un document que les élèves peuvent compléter pendant la sortie de terrain et qui résume quelques informations globales sur ce dernier (lieu et date de l’inventaire, nombre d’observations transmises, nombre de groupes simples observés, etc.) et permet ainsi aux élèves de garder une trace de l’inventaire en version papier.
Comme les autres ressources pédagogiques, ces documents sont accessibles dans l’onglet « scolaires » de Détermin’Obs. En savoir plus Pour suivre les actualités du programme, inscrivez-vous à la lettre d’information dédiée au volet scolaires du programme
Découvrir l’onglet scolaire sur Détermin’Obs Le volet scolaires d’INPN Espèces bénéficie du soutien du Crédit Agricole S.A.
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Bernadette Cassel
June 19, 2:07 PM
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Deux ans après l’adoption de l’accord de Kunming-Montréal, la COP16 Biodiversité qui se tiendra à la fin de l’année, devra faire le bilan de l’ambition collective. Mais à ce jour, très peu de pays ont publié leurs plans biodiversité. En outre, les débats achoppent sur la question des financements. La COP16 Biodiversité devra faire le bilan de l'ambition collective. Mais à ce jour, très peu de pays ont mis à jour leurs plans biodiversité. NOVETHIC 11/06/2024 "Les comptes sont vite faits. A moins de six mois de la COP16 Biodiversité, qui se tiendra à Cali, en Colombie, du 21 octobre au 1er novembre, seulement neuf pays, sur 196, ont remis leur copie. Dans le cadre de l’accord de Kunming-Montréal, adopté en 2022, les pays du monde entier s’étaient engagés à publier de nouveaux plans nationaux, baptisés SPANB dans le langage onusien pour “stratégies et plans d’action nationaux pour la biodiversité”, avant la COP16. Ils doivent y expliquer comment ils atteindront les 4 objectifs et les 23 cibles de l’accord de Kunming-Montréal, dont la plus emblématique est la protection de 30% des terres et des mers d’ici 2030 ou encore la réduction de moitié des risques liés aux pesticides. “Ce faible chiffre n’est pas surprenant parce que les SPANB prennent énormément de temps à être construits“, commente Juliette Landry, spécialiste biodiversité pour l’Institut du développement durable et des relations internationales (Iddri). Elle a suivi les négociations de l’intersession qui se sont tenues à Nairobi au mois de mai. “C’est à la COP16 que nous pourrons voir si l’ambition collective est là même si nous savons d’ores et déjà que nous n’aurons pas tous les SPANB. Nous devrons nous contenter d’une analyse des cibles nationales“, explique-t-elle. 9 SPANB publiés sur 196 Parmi les pays à tenir les délais, il y a notamment la France, qui a présenté sa stratégie biodiversité en novembre dernier. Sur la quarantaine de mesures annoncées, il y a la mise sous protection forte de 100% des herbiers de posidonie de Méditerranée, le lancement de plus de 400 nouvelles aires protégées d’ici 2027, l’objectif de planter un milliard d’arbres et 50 000 kilomètres de haies sur la décennie ou encore de restaurer 50 000 hectares de zones humides d’ici à 2026. Mais comme dans la plupart des quelques SPANB déjà publiés, il n’y a rien sur la réduction des subventions néfastes à la biodiversité. Carbon Brief qui a analysé les textes dans le détail, précise que seule l’Espagne a un objectif plus clair. “D’ici 2025, 50% des subventions nuisibles identifiées seront réformées, réorientées ou éliminées”, précise ainsi le pays. La grande majorité des stratégies ne mentionne pas non plus l’arrêt et l’inversion de la perte de biodiversité d’ici 2030. L’UE et certains de ses États membres, comme l’Irlande et le Luxembourg, ont fait référence à l’arrêt et à l’inversion de la perte de pollinisateurs. Le plan français affirme qu’il visera à inverser le déclin des “espèces emblématiques menacées, notamment les espèces endémiques des territoires d’outre-mer”. “Toutes ces références sont loin d’inverser la perte de toute biodiversité. Le seul pays à mentionner explicitement cet objectif dans son SPANB était la Chine, pays hôte de la COP15”, indique Carbon Brief. Concernant les espèces envahissantes, “l’UE, la Chine et le Japon mentionnent tous des objectifs visant à réduire leur impact”. On peut enfin noter qu’un seul pays en développement (si on exclut la Chine) s’est prêté à l’exercice, l’Ouganda. “Cela est de bon augure pour la capacité du monde à tenir leur promesse. D’autres pays du monde en prendront note et emboîteront le pas”, veut croire la Convention pour la diversité biologique qui a réagi dans un communiqué. Les financements au cœur des discussions Mais au-delà de l’alignement des pays avec les objectifs de l’accord de Kunming-Montréal, c’est bien la question des financements qui a été au cœur des discussions. “Partout, tout le temps, c’est le sujet qui a pris le plus de temps et d’énergie à Nairobi“, assure Juliette Landry. “Les pays en développement notamment ont conditionné leurs actions à ces ressources”, ajoute-t-elle. A la COP15, les pays riches se sont engagés à fournir 20 milliards de dollars par an d’ici 2025, puis 30 milliards d’ici 2030, aux pays en développement. Des cibles reprises par le G7 Environnement de Turin fin avril. L’ambition est aussi de réduire de 500 milliards de dollars les subventions néfastes à la nature. Une étude du PNUE publiée en décembre dernier, estime à 7 000 milliards de dollars les financements publics et privés qui soutiennent chaque année des activités ayant un impact négatif sur la nature et alimentant directement le changement climatique. C’est environ 30 fois le montant dépensé chaque année pour des solutions fondées sur la nature. Une COP “en danger” Mais là où les débats ont particulièrement été vifs, c’est sur la création d’un nouveau fonds dédié à la biodiversité au sein du Fonds mondial pour l’Environnement (FEM) d’ici 2030, “à moins que la Conférence des Parties n’en décide autrement”, précise le document adopté en 2022. “Plusieurs pays en développement particulièrement vocaux ne veulent plus attendre la création de ce fonds indépendant, d’autres veulent attendre de voir ce que ça donne et les pays donateurs veulent garder les fonds existants”, raconte Juliette Landry qui compare ces négociations à un “bateau dans la tempête”. A cela vient s’ajouter un contexte local complexe en Colombie. Pour les conseillers municipaux de Cali, la future COP16 est “en danger” si “les attaques terroristes enregistrées dans la zone” par les dissidents de la guérilla des Farc se poursuivent. Malgré la menace latente, le gouvernement de gauche assure qu’il est fermement engagé dans la COP16, à laquelle sont attendus près de 12 000 participants et visiteurs du monde entier."
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Bernadette Cassel
June 17, 2:44 PM
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Alors que les enquêtes soulignent régulièrement les préoccupations des Français·es pour les crises du climat et de la biodiversité, une réelle prise en compte de ces enjeux tarde toujours du côté politique. «Jusqu’à quand ?», s’interroge l’écologue Philippe Grandcolas. 05/06/2024 Tribune Par Philippe Grandcolas, écologue et directeur de recherche au CNRS. "Les joutes politiques des derniers mois, en particulier dans le contexte des élections européennes du 9 juin, ne laissent guère de place positive aux sujets qui traitent de l’environnement. Dans ce domaine, on assiste à des reculs en tous genres : depuis la suspension du plan Écophyto, qui entend lutter contre l’usage massif des pesticides, les faveurs accordées aux NGT (ces nouveaux «quasi-OGM»), en passant par la tolérance affichée vis-à-vis de la destruction d’espèces protégées… mais non-intentionnelle (oups !). Bien sûr, rien de tout cela ne pourra aider les petits agriculteurs vertueux, étranglés par les circuits de distribution ou la concurrence déloyale ; ou encore ceux et celles qui s’essaient à l’agroécologie ou au bio. Rien donc qui pourrait réellement permettre de nourrir les Français·es, et de les garder en bonne santé, de concert avec une bonne gestion de l’environnement. Les Français·es se soucient pourtant très sincèrement des questions environnementales ; sans oublier tous ces scientifiques, écologues, agronomes ou médecins qui prennent la parole publiquement pour dire leur extrême inquiétude quant à la dégradation des écosystèmes naturels. Pendant ce temps, une partie notable de la classe politique s’obstine à rétropédaler. Un peu comme si les tenants des partis dominants (d’après les sondages !) pensaient échapper à ces questions cruciales, et à la réalité, en pratiquant une sorte de pensée magique technocratique. Ou en cultivant l’ignorance. En somme, la préoccupation environnementale est prise en tenaille entre le premier de la classe et le cancre. Le premier de la classe cultive la pensée magique, pensant résoudre les crises du climat et de la biodiversité grâce à la captation du carbone, l’avion à l’hydrogène ou les plantes génétiquement modifiées. Cela séduit ceux et celles qui aiment leurs propres modes de vie à forte empreinte et ont foi dans la technologie pour trouver les solutions aux problèmes qu’ils et elles ont eux-mêmes créés. Tous ceux et toutes celles qui ont une confiance aveugle (c’est bien le mot) dans la technologie et l’érigent en totem social ou de pouvoir. Le cancre, quant à lui, est versatile dans l’ignorance, mais il prend systématiquement le contre-pied de la science, surtout quand elle est contrariante, et prétend défendre tout ce qui est local. Il oublie la réciprocité des échanges et que les frontières n’arrêtent ni le gaz carbonique ni le loup. Ce faisant, il amuse la galerie et se fait plein de «potes». Pour ma part, j’ai l’impression d’être revenu au collège, avec des forts en thème, bien peu réalistes et entichés de leur position dominante ; et des cancres, dont la popularité éphémère cache une ignorance et une inconséquence crasses. Que faire, au final ? Attendre la fin de l’année scolaire et se dire que l’on tombera dans une classe plus sympa l’année prochaine ? Ou espérer la rixe qui conduira à l’exclusion du premier et du cancre ? En matière de crises du climat et de la biodiversité, difficile d’attendre l’année prochaine ou la chute providentielle des mauvais tenants, au regard de l’extrême urgence de la situation. On en viendrait à espérer stupidement la survenue d’un aléa majeur, comme la pandémie de Covid qui a momentanément figé la situation et laissé brièvement entrevoir un monde nouveau. Ce serait tragiquement oublier qu’elle a causé des millions de morts. Et c’est bien ce qui se passe désormais : entre pics de chaleur, feux, inondations, maladies émergentes et production alimentaire défaillante. Réveillons-nous et n’attendons pas la sonnerie de la fin de la classe pour restaurer une vraie prise en compte de ce qui gouverne tous les aspects de nos vies : le climat et la biodiversité ! [Image] 52% des électeur·ices européen·nes pensent que l’action climatique est une priorité, selon une enquête conduite dans 18 pays de l’Union. Crédit : Markus Spiske/Unsplash
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Bernadette Cassel
June 15, 3:22 PM
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Insect paintings from the 1600s, by Flemish artist Jan van Kessel the Elder The National Gallery of Art serves the nation by welcoming all people to explore and experience art, creativity, and our shared humanity. Admission is always free. ------ via National Gallery of Art sur X, 06.06.2024 : "... 🖌️ https://t.co/0gk26S6fiw" https://x.com/ngadc/status/1798501570927370288
A collection of activities to help your students learn the difference between bugs and insects.
Via MmeHawtree
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Bernadette Cassel
June 11, 7:24 AM
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Ce dictionnaire présente de manière ordonnée et pédagogique la base de ce que doivent maîtriser l’étudiant et l’enseignant en philosophie. Les Livres de Philosophie lundi 10 juin 2024
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Bernadette Cassel
June 9, 12:02 PM
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"Le bombyle commun avec sa trompe longue et droite, un amateur de nectar, il peut faire du sur-place #photographie #photography D’autres photos ici sur mon site : https://t.co/2GuHz8pn48 https://t.co/jxQBi4Fu1Y" via Jean Gautier 🐝🔻 #Insoumis #LaGaucheCestManon sur X, 08.06.2024 https://x.com/NeoResistant/status/1799477630158156034
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Bernadette Cassel
June 7, 1:24 PM
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"Découvrez le poster "Pollinisateurs de centranthe rouge et autres insectes" par le Suivi Photographique des Insectes POLLinisateurs (SPIPOLL)." Publié le 7 juin 2024 par Barbara Mai Pollinisateurs de Centranthe rouge
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Bernadette Cassel
June 5, 2:10 PM
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"Le 7 décembre dernier, l »ANSES a organisé la 10ème édition de la journée scientifique dédiée à la santé des abeilles et des insectes pollinisateurs. Une occasion renouvelée de rencontre entre scientifiques, apiculteurs et acteurs politiques. Nous avons suivi l’événement à distance." Agnès Fayet 11 décembre 2023 Santé des abeilles – Journée scientifique de l’ANSES "Le projet européen PoshBee est arrivé en phase finale après 5 années de récolte de données. L’heure aujourd’hui est aux premières communications pour valoriser les résultats. Aurélie Babin (ANSES) a présenté un résumé des résultats de l’exposition des abeilles mellifères et sauvages à des agents infectieux et parasitaires communs en Europe. 3 modèles d’abeilles ont été étudiés (abeille mellifère, bourdon terrestre, osmie) sur 128 sites dans 8 pays européens reprenant 4 zones biogéographiques." (...)
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Bernadette Cassel
June 3, 1:38 PM
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"La Libération animale", paru pour la première fois en 1975, est un livre culte. Un socle philosophique dans le combat aux côtés des animaux et un ouvrage influent du siècle. Entretien avec son auteur, le professeur de bioéthique à l'université de Princeton, Peter Singer. Samedi 25 mai 2024 Provenant du podcast France Culture va plus loin le samedi Avec Peter Singer Philosophe "Moi-même, je ne m'y intéressais pas, en tout cas jusqu'à ce que je constate que mes propres idées sur la façon dont les animaux étaient traités étaient erronées. J'imaginais que les animaux vivaient tranquillement dans les prés, alors que non, la plupart des animaux d'élevage, en tout cas, sont enfermés dans des établissements où il y a très peu de liberté de mouvement", concède Peter Singer quand on lui demande comment il s'est approché de la question animale il y a 50 ans lorsqu'il se lance dans la rédaction de cet ouvrage appelé à devenir un classique. Philosophes et animaux "À l'époque, j'étais étudiant en philosophie à Oxford et j'ai rencontré quelqu'un qui était végétarien. C'était dans les années 1970, donc il était assez inhabituel de rencontrer des végétariens. C'est lui qui m'a parlé de cet élevage intensif, cette espèce d'usine à élevage. J'ai été voir ce que les philosophes avaient dit par le passé sur le traitement des animaux, sur le pourquoi on a le droit de se servir des animaux. Aristote disait que ceux qui sont les moins rationnels vivent pour ceux qui le sont plus. Mais le même argument a été utilisé pour justifier l'esclavage. Descartes, lui, disait que les animaux sont comme des horloges extrêmement complexes qui font des bruits, mais ne sentent rien, ce qui est évidemment difficile à croire. Kant, pour sa part, disait que parce que ces animaux n'ont pas conscience d'eux-mêmes, ils ne sont pas des fins en soi, donc on peut les utiliser comme des moyens. Mais les bébés non plus n'ont pas conscience d'eux-mêmes. Ça ne veut pas dire qu'on s'en sert comme des moyens à une autre fin. Je me suis dit qu'il fallait repenser ces questions sur le statut moral des animaux d'une nouvelle façon." (...) ------ NDÉ Traduit de l'anglais (États-Unis)
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Bernadette Cassel
June 2, 1:41 PM
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La clé du sol est un jeu de rôle gratuit en français ou en anglais développé pour favoriser l'assimilation des connaissances par les étudiants des formations initiales agronomiques et environnementales. INRAE Publié le 07 mai 2024 Comprendre les obstacles à la transition agroécologique Les obstacles sociotechniques qui entravent la transition vers des systèmes agricoles plus durables ont été largement documentés dans la littérature scientifique, tant sous forme de concepts théoriques que d'études de cas. Cependant, ces phénomènes de verrouillage demeurent complexes à saisir pour les étudiants en agriculture, du fait de leur caractère systémique qui dépasse largement le simple cadre de la production agricole. "En plongeant les participants dans des situations réelles rencontrées en maraîchage, sur la problématique de la gestion agroécologique des sols, le jeu les confronte à des défis et encourage l'exploration d'innovations impliquant plusieurs acteurs du système sociotechnique."
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Bernadette Cassel
June 24, 1:11 PM
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La 7e édition des Assises de la pédagogie s’intéresse cette année à la thématique des TRANSITION(s), notamment écologique pour un développement soutenable (TEDS), conformément aux recommandations du Ministère de l'Enseignement et de la Recherche qui préconise pour la rentrée 2025, l’introduction dans tous les enseignements du premier cycle de la mise œuvre concrète du plan climat-biodiversité et transition écologique de l’enseignement et de la recherche. Assises de la pédagogie Acte 7 : Réservez la date !
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Bernadette Cassel
June 22, 2:37 PM
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Potager, floral ou aromatique, le jardin scolaire offre aux enfants l’opportunité d’une expérience concrète de la nature et d’un apprentissage des enjeux écologiques. Publié: 10 juin 2024, 18:18 CEST Sylvain Wagnon Professeur des universités en sciences de l'éducation, Faculté d'éducation, Université de Montpellier "Les jardins sont de plus en plus présents dans les espaces scolaires. Si l’intérêt croissant pour l’organisation de la classe dehors et la végétalisation des villes jouent un rôle moteur dans cette expansion, les jardins pédagogiques ne datent pas d’hier. Qu’apportent-ils aux élèves ? Dans quelle mesure peuvent-ils être les leviers d’une réforme du système scolaire et d’une réelle coéducation avec les parents ? Faut-il les généraliser ? Le jardin à l’école, une longue histoire Au XIXe siècle, dans une société française à grande majorité rurale, le jardinage à l’école permet d’enseigner l’arpentage, les sciences et les techniques, offrant ainsi un apprentissage de la nature par la nature. Les programmes de l’école républicaine de Jules Ferry insistent sur la création d’un jardin dans chaque école. L’horticulture, l’enseignement pratique de l’agriculture sont enseignés aux futurs professeurs dans les écoles normales, puis aux élèves de l’école primaire. Aujourd’hui, l’apprentissage de l’autonomie alimentaire reste un enjeu éducatif dans le monde. Il vise à mettre en place des systèmes plus durables en adoptant le pacte de politique alimentaire urbaine de Milan lancé en 2015 : « Nourrir la planète, énergie pour la vie ». L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) qui travaille à éradiquer la faim et à promouvoir le développement agricole durable, propose une éducation au jardinage dans le cadre scolaire. Après la bitumisation et l’artificialisation des cours de récréation dans les années 1970-2000, le mouvement actuel de végétalisation rend de nouveau possible cette activité de jardinage dans les écoles françaises. En élaborant un jardin avec leurs élèves, les enseignants participent de ce mouvement grandissant de « la classe dehors ». Le jardin scolaire, qu’il soit potager, floral, aromatique, sensoriel ou écologique, offre aux enfants l’opportunité d’une expérience concrète de la nature et d’un apprentissage des enjeux écologiques. L’objectif dans le cadre scolaire n’est pas nécessairement de produire et de récolter et le jardin potager est parfois complexe à mettre en place en raison des périodes estivales de cueillette. L’intérêt premier est de pouvoir observer et apprendre au rythme des saisons, de prendre en compte les aléas climatiques, de se sensibiliser à la fragilité et au respect de l’environnement végétal et de la biodiversité. Intégrer le jardin dans les apprentissages Agir ensemble au jardin encourage le travail d’équipe, la communication et le partage. Les élèves apprennent à coopérer, à résoudre les conflits et à prendre des décisions collectives. De plus, cultiver des plantes et observer leur croissance favorisent la patience et la persévérance. Le jardinage à l’école offre aussi une opportunité d’apprentissages pratiques et interdisciplinaires. En observant, en semant, en cultivant et en récoltant, les élèves acquièrent des connaissances concrètes en sciences naturelles, biologie, chimie, géographie, mathématiques et littérature." De nombreuses recherches scientifiques soulignent les bienfaits du jardin pédagogique dans les apprentissages. L’un des enjeux majeurs actuels est d’en faire une activité pour tous les élèves. Le jardin scolaire s’inscrit déjà dans cette éducation à l’alimentation et au gout et à une perspective d’éducation à l’environnement souhaitée par le ministère de l’Éducation nationale. Débuter un jardin pédagogique nécessite une organisation précise pour déterminer les responsabilités de chacun, les modalités d’action, le planning, ainsi que le choix adéquat de l’emplacement, des végétaux, et du calendrier de plantation. Actuellement, l’essor de la végétalisation des cours de récréation constitue un catalyseur essentiel pour la création de jardins pédagogiques. Cette tendance concerne tous les niveaux de l’éducation nationale, de la maternelle au secondaire." (...)
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Bernadette Cassel
June 20, 11:47 AM
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Ce document présente les mesures du "Plan climat-biodiversité et transition écologique de l’Enseignement supérieur et de la Recherche" élaboré par le ministère. Date de parution 16.06.2023 Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche Conformément aux orientations gouvernementales, les mesures proposées s’inscrivent en cohérence avec les orientations exprimées par la Stratégie nationale bas carbone (SNBC), le Plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC) et la stratégie nationale Biodiversité (SNB). L’ensemble des mesures préconisées dans la feuille de route du Mesr [Ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, ndé] couvre la diversité des missions et concerne la totalité de ses opérateurs. Il en résulte un engagement collectif de l’enseignement supérieur et de la recherche avec notamment l’inscription des enjeux de la transition écologique pour un développement soutenable (TEDS) au cœur des stratégies d’établissements. [...] Sensibiliser et former tous les enseignants de l’enseignement supérieur et scolaire La sensibilisation et formation des enseignants de l’enseignement supérieur et des enseignants de l’enseignement scolaire est une condition indispensable du déploiement du Plan climat-biodiversité et transition écologique auprès de nos jeunes. Pour cette raison, il conviendra pour tout enseignant de l’enseignement supérieur et de l’enseignement scolaire de suivre un module de sensibilisation/formation proposé par le Mesr, donnant lieu à une certification. Cette certification sera obligatoire dans le cadre de la formation initiale des enseignants et fortement recommandée en formation continue pour les enseignants et enseignants chercheurs en exercice. Jalon et Indicateur n°5 – D’ici à 2023, avoir mis au point un dispositif de mise à niveau des enseignants sur la TEDS [transition écologique pour un développement soutenable, ndé]. Jalon et Indicateur n°6 – A partir du 1er janvier 2023, tous les recrutements d’enseignants-chercheurs donnent lieu au suivi d’un module certifiant dédié aux grands enjeux de la TEDS [transition écologique pour un développement soutenable, ndé] et à partir de la rentrée 2023, tous les étudiants de Master MEEF [Master de l'enseignement, de l'éducation et de la formation, ndé] bénéficieront d’un module certifiant dédié. Ce module sera également proposé à tous les enseignants de l’enseignement supérieur et de l’enseignement scolaire en formation continue. [...]
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June 18, 12:35 PM
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Ce colloque organisé par Esther Duflo, professeure d’économie au MIT et cofondatrice du J-PAL, en collaboration avec le programme Innovations, Données, Expérimentations en Éducation (IDEE), marque son année d’enseignement dans le cadre de sa chaire Pauvreté et politiques publiques au Collège de France et clôt le cycle de conférences Agir pour l’Éducation 2023/2024. "Le système éducatif français est confronté à des défis de taille, qu’il s’agisse de la baisse du niveau de compétences en mathématiques depuis une trentaine d’années, ou encore de l’écart d’apprentissage croissant entre les enfants issus de milieux défavorisés et leurs pairs plus favorisés. Bien que de nombreux programmes innovants aient été élaborés pour répondre à ces défis, en France et à l’international, peu d’entre eux ont été évalués de manière rigoureuse, ce qui limite la diffusion des programmes les plus efficaces sur le territoire. C’est dans cette optique que ce colloque réunit des chercheurs internationaux de diverses disciplines sur la thématique de l’expérimentation en éducation et de la recherche translationnelle, des outils essentiels pour soutenir l’élaboration des politiques éducatives efficaces." La journée sera traduite en simultanée du français vers l'anglais et de l'anglais vers le français (les titres indiqués en français indiquent que la présentation sera faite en français et vice-versa). [Image] via La Lettre du Collège – 13 juin 2024
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June 16, 1:32 PM
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Quelles sont les maladies émergentes/tropicales transmises par les moustiques en Europe? Quelles sont les différentes espèces de moustiques en Europe et les maladies qu’ils peuvent transporter? Comment les voyages, le commerce et le changement climatique peuvent-ils influencer la distribution des moustiques et des maladies?
Les Solutions d’adaptation côtière fondées sur la Nature (SafN) sont de plus en plus mobilisées pour faire face aux impacts du changement climatique, notamment dans les îles tropicales dans lesquelles les écosystèmes jouent un rôle fondamental dans la vie des sociétés.
Via DocBiodiv, Agrodoc Ouest
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June 12, 1:40 PM
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Que la musique soit bénéfique pour le cerveau n'est plus un scoop. Mais quel rôle joue-t-elle dans l'éducation ? Le Collège de France a réuni la fine fleur des neuroscientifiques de renommée internationale pour répondre à cette question, leurs recherches à l'appui. Par Suzana Kubik Publié le vendredi 31 mai 2024 à 17h38 [...] "Il existe une signature biologique de la pauvreté" "Nous savons qu'il existe une signature biologique de la pauvreté," explique Nina Kraus. Les enfants des milieux défavorisés ont une représentation diminuée du son, en particulier concernant les paramètres liés au langage. "Si l'enfant grandit dans un environnement bruyant, avec les parents qui n'ont pas le temps de lui parler, lire, chanter, il ne développera pas la même compétence à donner un sens aux sons, à discriminer les sons particuliers. Le monde est bruyant, les classes aussi, ces enfants ont des cerveaux plus bruyants en termes d'activité électrique aléatoire et moins réactifs aux sons." La pratique musicale peut renverser la donne, à condition qu'elle soit de qualité, régulière et qu'elle s'inscrive dans la durée. "Nous avons constaté que la pratique musicale peut effacer cette signature par le fait même qu'elle améliore le traitement du son dans le cerveau de ces enfants. Le bruit neuronal reste important, mais la réactivité au son, la reconnaissance de ses différents paramètres et détails s'est améliorée, avec des conséquences bénéfiques sur les compétences cognitives, motrices, sociales, sur le langage et même sur les émotions des enfants," se réjouit la chercheuse.
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June 10, 12:42 PM
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A l’occasion du vote d’une proposition de loi au Sénat visant à développer l’agrivoltaïsme, la Confédération a organisé un rassemblement jeudi 20 octobre dernier pour alerter les parlementaires des dangers que recouvre ce vocable. Une vingtaine de paysan·nes venu·e Confédération Paysanne : des panneaux sur nos hangars, pas sur nos hectares (Tecsol blog)
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June 8, 2:08 PM
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INSECTS COMMONLY MISTAKEN FOR MOSQUITOES Mistaken IDs "CRANE FLIES (TIPULIDAE) Crane Flies (Tipulidae) are delicate insects varying in size from ¼ inch to as large as 1½ inches in length. The largest crane flies are sometimes called “daddy-long-legs”, “gully nippers”, or “mosquito hawks”. However, they do not bite people and they do not eat mosquitoes. Some species…" ------ via American Mosquito Control Association - AMCA sur X, 03.06.2024 "Check out these insects that are commonly mistaken for mosquitoes. Don't be fooled! Visit https://t.co/tWNiQtOEby for more info on these look-a-likes. #mosquitoes #mosquitoidentification https://t.co/5vRyaziXxp" https://x.com/AMCAmosquito/status/1797625594479350112
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June 6, 7:25 AM
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Comment fonctionne l' épigénétique, permettant au génome de moduler son fonctionnement sans modifier l’information contenue dans les gènes eux-mêmes. KHOCHBIN Saadi, Directeur de recherche au CNRS, Institut Albert Bonniot, Université Grenoble Alpes 23-06-2020 [...] 4. Nouveaux concepts L’ensemble des enzymes impliquées dans les modifications chimiques de l’ADN, des histones et d’autres protéines régulatrices, utilise des molécules issues du métabolisme cellulaire pour réaliser ces modifications. Quant aux enzymes qui enlèvent ces modifications, elles peuvent dépendre ou être sensibles aux molécules produites par le métabolisme. Les enzymes dites « épigénétiques », lient donc directement métabolisme cellulaire et contrôle de l’expressiondes gènes. En fait, l’information mise en place par ces enzymes impacte l’expression des gènes de manière plus ou moins stable, reflet de l’état métabolique des cellules. En d’autres termes, l’état du métabolisme cellulaire détermine en grande partie l’instruction donnée aux machineries cellulaires pour exprimer ou pas, les gènes. Le métabolisme constitue donc la pièce maitresse du système de communication entre génome et environnement. Via le métabolisme, les modifications de l’environnement peuvent donc impacter l’expression des gènes. Ce point est un élément central. Régime alimentaire, effort physique ou sédentarité, maladies, vieillissement… : tout ce qui influence le métabolisme peut modifier l’expression de nos gènes. Nombre de résultats expérimentaux utilisant divers organismes modèles comme la levure, la plante Arabidopsis, la mouche Drosophile, le ver C. elegans ou la souris, montre qu’un régime alimentaire ou simplement l’expérience d’un stress ou d’un conditionnement particulier peuvent influencer la descendance, sans que cela modifie leur ADN. Cependant, les mécanismes précis de ce phénomène nous échappent encore. Parmi d’autres exemples, celui l’abeille est intéressant son développement et les phénotypes exprimés sont fortement influencés par sa nourriture." [...] [Image] Comment le génome intègre l’information en provenance de son environnement ? Le métabolisme cellulaire inclut toutes les réactions chimiques synthétisant ou cassant des molécules qui constituent la cellule. Certains composés générés lors de ces processus contrôlent directement les modifications chimiques des histones et de l’ADN et donc impactent le fonctionnement des gènes et peuvent contribuer à laisser une mémoire d’un événement donné, au niveau du génome. Il existe un flux continu de matière entre l’environnement, les processus métaboliques et l’épigénome. Celui-ci adapte et ajuste l’activité du génome en fonction de l’état du métabolisme et donc indirectement de l’environnement. [Crédit : Saadi Khochbin.]
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Bernadette Cassel
June 4, 12:41 PM
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Im Jahr 1899 übernahm Lina Hähnle mutig den Vorsitz des neuen Bundes für Vogelschutz – zu der Zeit noch äußerst ungewöhnlich für eine Frau. Sie führte den Verein dann 38 Jahre lang und prägte ihn mit ihrer zupackenden Natur. Porträt Lina Hähnle - NABU [Image] Lina Hähnle (1851-1941) - Foto: NABU ------ NDÉ Emilie Karoline « Lina » Hähnle (3 février 1851 - 1er février 1941) est une pionnière allemande de la protection des oiseaux. Elle a fondé la ligue souabe pour la protection des oiseaux en Allemagne, qui a ensuite fusionné pour devenir le Naturschutzbund Deutschland (NABU).
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Bernadette Cassel
June 3, 12:40 PM
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L’association Arthropologia coordonne un atlas régional des coccinelles et vous propose de prendre part à cette dynamique. Ce projet est l’occasion de rassembler et de valoriser les dynamiques locales existantes en favorisant le partage et l’émulation sur le territoire Pour vous guider durant les trois ans de ce projet, nous vous proposons un guide méthodologique (lien à venir) Pas UNE mais DES Coccinelles ! La plus célèbre d’entre elles, la Coccinelle à 7 points, concentre souvent toute l’attention, aux côtés d’ailleurs d’une espèce exotique introduite, la Coccinelle asiatique. Il existe pourtant 80 autres espèces de coccinelles actuellement connues en Région Auvergne Rhône-Alpes. En réalité, les coccinelles présentent de grandes diversités morphologiques : presque la moitié des espèces mesurent moins de 2 mm, ne possèdent souvent pas de points ou ne sont même pas rouges ! On compte sur vous pour aller débusquer ces espèces parfois oubliées ! Comment les reconnaitre ? Les coccinelles sont des insectes qui appartiennent à l’ordre des coléoptères, caractérisés notamment par leur paire d’ailes antérieures rigides, les élytres, qui recouvrent et protègent la paire d’ailes membraneuses, souples et fines, qui leur permet de voler. Les coccinelles sont reconnaissables grâce aux critères suivants : - Leurs antennes terminées « en massues »
- Le dernier article des palpes maxillaires qui est en forme de hache
- Les tarses composés de 4 articles
Des variations impressionnantes ! L’apparence des coccinelles peut être trompeuse. Chez une même espèce, les individus peuvent arborer des motifs très variés ! Voici par exemple la Coccinelle à 10 points (Adalia decempunctata). Elle peut adopter des formes bien différentes, ce qui ne facilite pas toujours la détermination. Heureusement ce n’est pas le cas de toutes les espèces !
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Bernadette Cassel
from EntomoNews
June 1, 9:08 AM
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Les eaux européennes sont massivement contaminées par un produit chimique très persistant, l'acide trifluoroacétique (TFA), alertent les associations du Réseau européen d'action sur les pesticides (PAN Europe) dans un rapport (document PDF) publié lundi 27 mai. Elles dénoncent "la plus grande contamination connue de l'eau à l'échelle européenne par un produit chimique fabriqué par l'homme". Polluants éternels : les eaux européennes sont massivement contaminées par un produit chimique persistant, alertent des associations Les associations ont observé des concentrations importantes de ce produit dans des cours d'eau comme l'Elbe en Allemagne, la Seine, l'Oise et la Somme en France, ou la Mehaigne en Belgique. Article rédigé par franceinfo avec AFP France Télévisions Publié le 27/05/2024 17:36 Mis à jour le 27/05/2024 18:50 "Le PAN Europe et ses membres, dont Générations Futures en France, ont analysé 23 échantillons d'eau de surface et six échantillons d'eau souterraine provenant de dix pays de l'UE, à la recherche de ce produit. Il est issu de la dégradation de PFAS, surnommés "polluants éternels", mais sert aussi de produit de départ pour la production de certains d'entre eux. Résultat : "l'ampleur de la contamination est alarmante et appelle une action décisive", écrivent les associations dans leur rapport."
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→ Homme, tu m'étonnes ! Le duo Humain-Animal : une histoire sans fin - From www.cnrs.fr - Today, 6:23 PM