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Un coup d'oeil sur l'actualité de l'art et son marché
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February 24, 2016 9:21 AM
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Francis Bacon’s first and last paintings to go on show in Monaco

Francis Bacon’s first and last paintings to go on show in Monaco | La revue de presse & web du SNA | Scoop.it

by Martin Bailey

An exhibition on Francis Bacon in Monaco will include the artist’s first and last paintings. The show, opening in July at the Grimaldi Forum, is being organised with the recently established Francis Bacon MB Art Foundation, set up by the Lebanese-born businessman Majid Boustany. He is a Swiss national now resident in Monaco, where he owns a stake in the Hotel Metropole. In the past few years Boustany has acquired 2,500 Bacon items, mainly documentary material but also some important early paintings.

Boustany bought Bacon’s first work, entitled Watercolour (1929), after it sold at Christie’s in 2013 for £183,000. It was painted just after Bacon’s return to London fr om Berlin. The picture was first owned by Eric Allden, Bacon’s probable lover at the time.
The last painting, Study of a Bull, was completed in 1991, a few months before Bacon’s death in Madrid in April 1992. Partly inspired by Picasso’s bull scenes, it has never been exhibited. The picture is being lent by a “very private collector”, according to the exhibition’s curator, Martin Harrison.

Although Tate Liverpool is holding its own Bacon show, the Tate is lending Study of a Dog (1952). The Monaco exhibition will include 60 Bacon paintings, alongside works by artists that inspired him, such as Toulouse-Lautrec, Picasso, Giacometti, Léger and Soutine. After Monaco the exhibition will go on in a slightly different form to the Guggenheim Bilbao, wh ere the focus will be on Bacon’s links with Spain.

• Francis Bacon: Monaco and French Culture, Grimaldi Forum, Monaco, 2 July-4 September
• Francis Bacon: From Picasso to Velázquez, Guggenheim Bilbao, 30 September-8 January 2017
• Francis Bacon: Invisible Rooms, Tate Liverpool, 18 May-18 September

Lire l'article sur le site du Art Newspaper : http://theartnewspaper.com/news/news/francis-bacon-s-first-and-last-paintings-to-go-on-show-in-monaco-/

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February 24, 2016 9:02 AM
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Un nouveau défi pour les Arts déco ? Suite | Connaissance des Arts

Un nouveau défi pour les Arts déco ? Suite | Connaissance des Arts | La revue de presse & web du SNA | Scoop.it

par Guy Boyer


Coincés et empêtrés, tels étaient les deux qualificatifs employés dans mon dernier édito pour parler des Arts décoratifs. Il semblerait que ces deux adjectifs n’aient visiblement pas plu et aient blessé certaines sensibilités.

Pourtant, j’insiste, ce musée parisien est coincé, à l’étroit dans ses murs. La structure intérieure de cette aile toute en longueur et bloquée par un vaste atrium central ne lui permet pas d’accrocher la collection à sa guise et dicte un déroulé chronologique qui ne rend pas hommage à ses chefs d’œuvre de l’art moderne et contemporain. L’expression « empêtrés dans l’immensité de ses collections » soulignait également ses richesses (la collection de papiers peints, par exemple, compte trois cents mille pièces et bien peu sont accrochées dans les salles) et la difficulté à les exposer dans ces mètres carrés où doivent être également mis en avant les collections des anciens musées de la Mode, de l’Affiche et de la Publicité. Alors que faire ? Les Arts décoratifs pourraient pratiquer une généreuse politique de dépôts. En province, d’abord, car les musées de région manquent souvent d’objets de qualité dans le secteur des arts décoratifs. À l’étranger, ensuite, car ces prêts à moyen ou long terme feraient rayonner l’art français et le musée des Arts décoratifs, lui-même. En Lettonie, par exemple, le directeur du château XVIIIe de Rundale a créé des salles pédagogiques dans l’esprit de nos period rooms et serait ravi de pouvoir présenter quelques salles évoquant la création française. Enfin, comment se réinventer ? Osons, soyons fous, même si les budgets ne sont pas là. Pourquoi ne pas imaginer un déménagement des Arts décoratifs, qu’ils s’éloignent du Louvre dont les collections de mobilier et d’objets d’art sont souvent redondantes avec les siennes ? Pourquoi, dans le cadre du Grand Paris, ne pas installer les Arts décoratifs à Pantin, près des centaines d’ateliers et autres manufactures privées liées au design ? Les Arts décoratifs y retrouveraient leur fondement : être modèle et source d’inspiration pour la création vivante.


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February 18, 2016 10:35 AM
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La Biennale nouvelle formule / Connaissance des Arts

Syndicat National des Antiquaires 's insight:

Article paru dans Connaissance des Arts n° 746, Mars 2016
par Céline Lefranc

Syndicat National des Antiquaires 's curator insight, February 18, 2016 10:23 AM

Article paru dans Connaissance des Arts n° 746, Mars 2016

par Céline Lefranc

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February 22, 2016 6:22 AM
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Franck Prazan, Héraut des Années 1950 / Connaissance des Arts

Franck Prazan, Héraut des Années 1950 / Connaissance des Arts | La revue de presse & web du SNA | Scoop.it

Article paru dans Connaissance des Arts n° 746
Partagé par la galerie Applicat Prazan sur sa page facebook : https://www.facebook.com/ApplicatPrazan/?fref=nf


Franck Prazan est membre du Syndicat National des Antiquaires

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February 22, 2016 12:39 PM
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Voir tout Jérôme Bosch... ou presque

Voir tout Jérôme Bosch... ou presque | La revue de presse & web du SNA | Scoop.it

par Judith Benhamou-Huet

 EXPO : A Delft, il n’y a pas de Vermeer de Delft. Et à Bois-le-Duc (’s- Hertogenbosch en néerlandais), en théorie il n’y a pas de Jérôme Bosch… C’est la fatalité de la Hollande. Pourtant, la ville de l’immense et mythique peintre du xve siècle, celle où il est né, celle au sein de laquelle il a exercé et dont il a pris le nom (bosch = bois) a réussi un miracle. Bois-le-Duc accueille la plus grande réunion jamais organisée d’œuvres de son héros. C’est exceptionnel, magnifique et fascinant. Les inconditionnels de Jérôme Bosch, et il y en a beaucoup, doivent faire le voyage jusque dans la cité du Brabant (à moins qu’ils ne se rendent plus tard dans l’année à Madrid, au Prado). Pour arriver à une exposition d’une telle ampleur, Bois-le-Duc, aidée des instances publiques, a fondé un institut de recherche animé de neuf spécialistes qui ont couru le monde pour analyser, restaurer et même authentifier des œuvres de l’artiste. Grâce à cette expertise unique, ils ont été en mesure de faire venir ses fleurons. Si le peintre fait partie des grands mythes de l’histoire de l’art, on ne connaît pas grand-chose de lui. Il est sans doute né en 1450 et mort en 1516. Il a été redécouvert à la fin du xixe siècle et, depuis lors, son aura n’a fait que s’amplifier. Il fascine car il a mis au point, le premier, une iconographie extrêmement riche, dense et surréaliste qui parle du Bien et du Mal. Elle appartient purement au Moyen-Age et à ses terreurs, même si, comme le souligne le directeur du musée du Nord-Brabant, Charles de Mooij, «?cette idée du libre-arbitre exprimée par Bosch est déjà un principe de la Renaissance?».
 
Bestiaire fantastique
L’exposition est absolument étourdissante. Sur les 24 panneaux peints connus de l’artiste, on peut en voir 17 au musée du Nord-Brabant. Et sur les 20 dessins répertoriés, pas moins de 19 ont fait le voyage.

Lire la suite sur le site des Echos : http://www.lesechos.fr/week-end/culture/expositions/021704574304-voir-tout-jerome-bosch-ou-presque-1201511.php


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February 23, 2016 6:43 AM
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David Hockney fêtera ses 80 ans à la Tate Britain en 2017

David Hockney fêtera ses 80 ans à la Tate Britain en 2017 | La revue de presse & web du SNA | Scoop.it

par Valérie Duponchelle

Le musée de Londres consacrera ses nouveaux espaces au plus célèbre des peintres britanniques vivants, chantre ironique des piscines californiennes, des beaux nageurs et des bois au vert éclatant de son Yorkshire natal.
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David Hockney, fort tempérament de la peinture qui a fait coudre une poche intérieure spéciale pour son calepin de dessins dans ses blazers de gentleman, vrai Britannique qui s'enivre des saisons dans les sous-bois de son Yorkshire natal où il transporte son chevalet, fêtera ses 80 ans à la Tate Britain en 2017 avec sa plus grande exposition jamais orchestrée. Cette rétrospective anniversaire de plus de 160 œuvres - peintures, mais aussi photo-montages, vidéos et peintures sur iPad- se tiendra du 9 février au 29 mai 2017 à Londres , puis ira ensuite au Centre Pompidou à Paris et au Metropolitan Museum de New York.

Lire la suite sur le site du Figaro http://www.lefigaro.fr/arts-expositions/2016/02/22/03015-20160222ARTFIG00167-david-hockney-fetera-ses-80-ans-a-la-tate-modern-en-2017.php


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February 22, 2016 12:31 PM
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La Villa Vassilieff, nouveau centre d’art de la Ville de Paris | Connaissance des Arts

La Villa Vassilieff, nouveau centre d’art de la Ville de Paris | Connaissance des Arts | La revue de presse & web du SNA | Scoop.it

par Maximilien Renard

L’ancien musée Montparnasse fait peau neuve et est remplacé par la Villa Vassilieff, qui a ouvert ses portes le 14 février.

Fermé depuis 2013 à cause de problèmes internes, l’ancien musée Montparnasse s’est vu offrir une seconde vie. Incarnant près de 100 ans d’histoire culturelle du quartier Montparnasse, le lieu fut d’abord un atelier, qu’a occupé l’artiste Marie Vassilieff, à qui on doit le nom du nouveau centre, puis avait été transformé en musée en 1998. Suite aux 200 000 euros d’investissement de la Ville de Paris et à son appel à projet, un partenariat entre Pernod Ricard et le centre d’art et de recherche Bétonsalon, qui gère désormais le site, a permis la réouverture du lieu. En association avec la Pernod Ricard Fellowship, le centre accueillera en résidence quatre artistes ou chercheurs à l’année. L’institution se veut un lieu de transmission des connaissances autant qu’un espace de rencontre, de vie et de travail en lien avec le fabuleux patrimoine artistique du quartier. Situé sur le bucolique chemin de Montparnasse, le centre a été inauguré le 14 février avec l’exposition « Groupe mobile » qui propose de revisiter les clichés de Marc Vaux, un ancien photographe parnassien des années 1920-1930, en les faisant dialoguer avec des œuvres contemporaines d’une soixantaine d’autres artistes (Constantin Brancusi, Max Ernst, Yaacov Agam…) et chercheurs.


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February 22, 2016 12:23 PM
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Les études inédites de l'Objet d'Art / Les pendules du mariage du futur Louis XVI

Article reproduit avec l'aimable autorisation de l'Estampille - L'Objet d'Art - N° de février 2016

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February 18, 2016 10:47 AM
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Constance Rivière, nouvelle conseillère culture de François Hollande | Connaissance des Arts

Constance Rivière, nouvelle conseillère culture de François Hollande | Connaissance des Arts | La revue de presse & web du SNA | Scoop.it

L'ancienne directrice adjointe du cabinet présidentiel a pris ses fonctions de conseillère spéciale chargée de la culture et de la citoyenneté à l'Élysée le vendredi 12 février dernier.

Constance Rivière remplace Aurélie Azoulay au poste de conseillère de la présidence de la République à la Culture, cette dernière ayant été nommée le jeudi 11 au poste de ministre. Constance Rivière a débuté ses fonctions de conseillère spéciale chargée de la culture et de la citoyenneté le vendredi 12 février. Née en 1980, cette ancienne diplômée de l’ENS et de l’ENA (promotion Aristide Briand, 2008), continue de valider un parcours sans faute. Après avoir travaillé à la campagne de François Hollande en 2012, puis en tant que conseillère « institutions, société, libertés publiques», elle avait été nommée en 2015 directrice adjointe du cabinet de la Présidence.

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February 18, 2016 11:45 AM
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Paris Photo Los Angeles, la fin du rêve hollywoodien

Paris Photo Los Angeles, la fin du rêve hollywoodien | La revue de presse & web du SNA | Scoop.it

par http://www.lefigaro.fr/arts-expositions/2016/02/15/03015-20160215ARTFIG00286-paris-photo-los-angeles-la-fin-du-reve-hollywoodien.phpalérie Duponchelle
Après trois éditions de Paris Photo Los Angeles dans le cadre prestigieux des studios de la Paramount, la 4ème édition, pourtant imminente car prévue du 29 avril au 1er mai 2016, est annulée. Les attentats de Paris y sont pour quelque chose.
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Clap de fin pour un rêve hollywoodien qui a fait courir vaillamment les galeristes de photo vers cette Californie synonyme de cinéma, de villas insensées perchées sur Mulholland Drive avec vue panoramique sur Los Angeles, d'acheteurs réputés sans limites et donc de marché nouveau à prendre.

Reed Expositions a annoncé, lundi 15 février par communiqué, la fin de Paris Photo Los Angeles et renonce à y implanter la FIAC. Les stands installés juste à côté des plateaux de tournage des Paramount Pictures Studios, la visite espérée des stars de Hollywood, le souvenir mythique de Sunset Boulevard de Billy Wilder (1950) avec Norma Desmond (alias Gloria Swanson) faisant conduire son amant, le beau William Holden, par son ancien mari et cinéaste oublié, Max Von Mayerling (alias Erich von Stroheim) jusqu'aux studios de la Paramount dans son Isotta Fraschini 1929 tapissée léopard, c'est fini. Retour aux dures réalités du monde et du commerce.
Lire la suite sur le site du Figaro : http://www.lefigaro.fr/arts-expositions/2016/02/15/03015-20160215ARTFIG00286-paris-photo-los-angeles-la-fin-du-reve-hollywoodien.php

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February 18, 2016 10:46 AM
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Audrey Azoulay remplace Fleur Pellerin au ministère de la Culture | Connaissance des Arts

Audrey Azoulay remplace Fleur Pellerin au ministère de la Culture | Connaissance des Arts | La revue de presse & web du SNA | Scoop.it

Jusqu’alors conseillère culture auprès de François Hollande, Audrey Azoulay remplace Fleur Pellerin, rue de Valois.

Les rumeurs étaient persistantes depuis plusieurs semaines. Dans le cadre du remaniement, le ministère de la Culture change de mains. Fleur Pellerin laisse sa place à Audrey Azoulay. Énarque et diplômée de l’IEP de Paris, la nouvelle ministre travaillait depuis 2014 à l’Élysée comme conseillère en charge des dossiers culturels. Âgée de 43 ans, Audrey Azoulay est une spécialiste des questions audiovisuelles, après huit ans passés au Centre National du Cinéma (CNC) entre 2006 et 2014. La fille d’André Azoulay, conseiller du roi du Maroc, succède ainsi à Fleur Pellerin, dont la greffe n’aura jamais pris avec le monde de l’art depuis son arrivée rue de Valois en août 2014. Audrey Azoulay aura la lourde tâche de reprendre le programme « Un immeuble, une œuvre », lancé par sa prédécesseure en décembre dernier.

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February 11, 2016 8:55 AM
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Le marché légal des antiquités orientales à la peine / Le Journal des Arts

Syndicat National des Antiquaires 's insight:

Article reproduit avec l'aimable autorisation du Journal des Arts, issu du n°450 du 5 au 18 février 2016.


Dominique Chevalier, Corinne Kevorkian, David Ghezelbash, et  Daniel Lebeurrier, interviewés dans cet article sont membres du SNA.

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February 8, 2016 9:56 AM
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La foire d'antiquités Tefaf s'implante à New York

La foire d'antiquités Tefaf s'implante à New York | La revue de presse & web du SNA | Scoop.it

par Martine Robert

La foire de Maastricht s'est alliée à la société américaine Artvest.
Elle y rassemblera ses objets de qualité muséale deux fois par an.

La Tefaf, la plus grande foire au monde de tableaux anciens et modernes, d'antiquités et de design, qui se déroule à Maastricht (Pays-Bas) chaque année en mars, s'engage dans une stratégie de marque à l'international. Comme Art Basel dans l'art contemporain, qui essaime à Miami et à Hong Kong, ou Paris Photo, qui se décline à Los Angeles, elle lance en partenariat avec la société américaine Artvest deux Salons, au sein de l'écrin historique du Park Avenue Armory de New York. La Tefaf, qui rassemble des objets de qualité muséale représentant 7.000 ans d'histoire de l'art, et qui bénéficie d'une solide réputation en matière d'expertise des oeuvres sélectionnés, entend faire fructifier ses atouts. La Tefaf New York Fall, en octobre 2016, sera centrée sur des oeuvres allant de l'Antiquité au XXe siècle, tandis que la Tefaf New York Spring, en mai 2017, mettra l'accent sur l'art moderne et contemporain ainsi que sur le design. « Cette expansion est en ligne avec notre souhait d'être plus présent et visible tout au long de l'année. Avec le nombre infini de foires, il est difficile de naviguer dans le marché de l'art aujourd'hui. Les acheteurs ont un grand besoin de fiabilité et d'accessibilité », souligne Madelon Strijbos, directrice marketing.

« Nos exposants de Maastricht, tout comme nos 72.000 visiteurs, institutions et collectionneurs privés, avaient à plusieurs reprises exprimé leur désir d'une plate-forme Tefaf aux Etats-Unis », précise Patrick van Maris van Dijk, PDG de la Tefaf.

Chaque événement réunira de 80 à 90 marchands venant de nombreux pays. «  Nous présenterons des oeuvres fraîchement arrivées sur le marché, avec le même processus d'expertise et de contrôle que celui qui a fait ses preuves à Maastricht », observe Willem van Roijen, président du conseil d'administration de la Tefaf.
Paysage très évolutif

Si cette foire, créée par les marchands eux-mêmes il y a trente ans, a choisi un partenariat avec Artvest, société de conseil en art auprès de privés, de musées, de fondations et d'entreprises, c'était pour aller vite dans un paysage des foires très évolutif. « Il s'est écoulé moins d'un an depuis nos premiers échanges. Ce sera une vitrine parfaite pour nous à New York, la place la plus dynamique au monde », se félicite Willem van Roijen.

N'y aura-t-il pas risque de cannibalisation de la foire principale par ces nouvelles pousses ? Pas de crainte pour Madelon Strijbos. « L'an dernier aux Pays-Bas, la Tefaf comptait 22 Américains sur 270 exposants ; et nous avons reçu 2.000 visiteurs des Etats-Unis, collectionneurs, conservateurs et directeurs de plus de 50 musées américains. Cet essaimage ne fera qu'ajouter à notre attraction, car la taille et la diversité de l'offre de Maastricht resteront inégalées »

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February 24, 2016 9:07 AM
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L’UNESCO et l’Italie s’unissent pour défendre le patrimoine | Connaissance des Arts

L’UNESCO et l’Italie s’unissent pour défendre le patrimoine | Connaissance des Arts | La revue de presse & web du SNA | Scoop.it

par Maximilien Renard

Sous l’égide de l’UNESCO, l’Italie crée une force opérationnelle d’urgence pour la sauvegarde du patrimoine menacé par la guerre.

En réponse aux destructions récentes de sites protégés par l’UNESCO, comme les mausolées de Tombouctou ou le temple de Baal à Palmyre, la directrice générale de l’UNESCO, Irina Bokava, et le ministre italien des affaires étrangères, Paolo Gentiloni, ont signé le 16 février un accord visant à mettre en place une force opérationnelle d’urgence pour la sauvegarde du patrimoine culturel. Cette décision fait suite aux recommandations du 39e comité du patrimoine mondial qui s’est tenu en juin dernier à Bonn en Allemagne, où avait été lancée la campagne « Unis pour le patrimoine ». Cette force opérationnelle consiste en un groupe d’experts du patrimoine ainsi que d’un corps de carabiniers italiens qui pourra être dépêché sur les sites menacés. L’UNESCO pourra déployer des forces opérationnelles en cas d’urgence, et donc renforcer les capacités d’action de l’UNESCO contre les pillages et destructions de biens culturels. D’après les Statuts de Rome de la Cour pénale internationale, les destructions délibérées du patrimoine et de biens culturels pourront désormais être vues comme des actes de guerre. Irina Bokava salue cet accord qui « marque une étape majeure et novatrice dans les efforts que nous avons consentis pour faire reconnaître le rôle important que joue le patrimoine culturel dans la consolidation de l’identité culturelle et la cohésion sociale ». Pour l’instant, seule l’Italie a signé cet accord concret tandis que l’UNESCO espère que d’autres pays suivront la marche.


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February 24, 2016 8:58 AM
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Cédric Morisset chez Carpenters New York | Connaissance des Arts

Cédric Morisset chez Carpenters New York | Connaissance des Arts | La revue de presse & web du SNA | Scoop.it

par Myriam Boutoulle

« Le journalisme mène à tout à condition d’en sortir ». Cédric Morisset a très vite fait sien le mot de Jules Janin, menant en parallèle depuis 2003 une activité de critique, d’auteur et de commissaire d’exposition spécialisé dans le design.

Auparavant, consultant en stratégie pour des marques de luxe, il avait notamment mis en relation le designer Noé Duchaufour-Lawrance avec la société Paco Rabanne pour concevoir le flacon du parfum « 1 million ». Pour autant, ce jeune quadra au regard d’azur n’est pas encore un Million dollar man, même s’il dispose désormais d’un bureau sur la Cinquième Avenue à New York, siège de la nouvelle Carpenters Workshop Gallery dont il est directeur associé. Après avoir relancé le département Design de la maison de ventes Piasa à Paris entre 2013 et 2015, il compte faire rayonner à l’international la galerie déjà présente à Paris et Londres. L’architecte et designer Vincenzo de Cotiis vient de rejoindre « l’écurie » des créateurs de la galerie spécialisée dans les pièces uniques et éditions en séries limitées.

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Julien Lombrai et LoIc le Gaillard, fondateurs de la Carpenters Workshop Gallery sont membres du SNA

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February 23, 2016 6:22 AM
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De la Biennale des Antiquaires au Musée Guimet : histoire d'une armure de Samouraï classée oeuvre d'intérêt patrimonial majeur / L'Oeil, mars 2016

Cette armure unique a été dévoilée lors de la Biennale des Antiquaires 2014 par la galerie Jean-Christophe Charbonnier.

"Classeé oeuvre d'intérêt patrimonial majeur, l'armure de samouraï qui vient d'entrer au Musée Guimet est sans égal, même au Japon.
Elle constitue un enrichissement sans précédent pour les collections nationales"

Article signé Bertrand Dumas
Extrait de l'oeil n° 688, daté mars 2016


Jean-Christophe Charbonnier est membre du SNA

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February 22, 2016 12:26 PM
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Marché de l'art : 2015, une année sans surprise / L'Objet d'Art

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Article reproduit avec l'aimable autorisation de l'Estampille - L'Objet d'Art / Numéro de février 2016

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February 23, 2016 6:41 AM
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Bernard Buffet, maître de l'estampe à Lyon | Connaissance des Arts

Bernard Buffet, maître de l'estampe à Lyon | Connaissance des Arts | La revue de presse & web du SNA | Scoop.it

par Marie Maertens

Il est rare de visiter des solo shows consacrés à Bernard Buffet, mais cette exposition propose une quarantaine de gravures et lithographies (entre 1800 € et 5000 €), accompagnées de peintures et dessins.

Aujourd’hui, Michel Estades, installé à Lyon, Toulon et Paris, est l’un des rares galeristes à promouvoir l’artiste un temps mythique, qui taillait lui-même le cuivre ou la pointe sèche. Il le fait avec assiduité depuis quinze ans et a même dernièrement exposé des lithographies au Domaine de la Baume, plongeant dans le quotidien de la dernière demeure de Bernard Buffet.

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February 23, 2016 6:46 AM
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Le nouvel élan du Centre national des arts plastiques

Le nouvel élan du Centre national des arts plastiques | La revue de presse & web du SNA | Scoop.it

par Philippe Bertrand & Martine Robert

L'établissement public méconnu vient de mettre en ligne son immense collection.

Il possède l'une des collections les plus exceptionnelles : près de 100.000 oeuvres. Mais le grand public ne le sait pas. Alors, le Centre national des arts plastiques a décidé de numériser ce trésor et, désormais, 80.000 pièces sont consultables sur Internet. Car la particularité du CNAP est d'avoir une collection, mais aucun mur où accrocher ces tableaux, photos, dessins... Ces oeuvres sont donc en prêt ou en dépôt, en France et à l'étranger, dans des musées, centres d'art, administrations, mairies, hôpitaux, écoles, palais de justice, préfectures, édifices religieux, ambassades... La mission de l'établissement public est d'acquérir pour le compte de l'Etat des artistes de son temps, contribuant ainsi à la vitalité de la scène française, à l'enrichissement du patrimoine artistique, et voilà plus de deux siècles qu'il en est ainsi.

«  Le CNAP est l'héritier d'un service créé par l'Etat en 1791. C'est pourquoi, nous disposons à la fois d'une collection historique de 23.000 oeuvres de la fin du XVIIIe au début des années 1900, d'une collection moderne liée à 34.000 acquisitions effectuées au tournant du XXe siècle et jusqu'au début des années 1960, et, enfin, d'une collection contemporaine de 40.000 pièces » souligne Yves Robert, aux commandes depuis un an.

Lire la suite sur le site des Echos : http://www.lesechos.fr/journal20160223/lec2_industrie_et_services/021715493030-le-nouvel-elan-du-centre-national-des-arts-plastiques-1202085.php


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February 18, 2016 12:31 PM
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Les ventes de Londres confirment le ralentissement du marché de l'art

Les ventes de Londres confirment le ralentissement du marché de l'art | La revue de presse & web du SNA | Scoop.it

par Martine Robert
Sotheby's et Christie's ont vu leurs ventes d'art contemporain chuter de moitié la semaine dernière à Londres.
Un bon indicateur des corrections en cours.

A Londres, les ventes d'art contemporain de la semaine dernière ont chuté de moitié. Le ralentissement qui se profilait depuis quelques mois se confirme donc. «  On a changé de période », estime un spécialiste.

Ainsi Sotheby's a réalisé mercredi 10 février une vente du soir de 69,6 millions de livres (89,8 millions d'euros), en baisse de 43,6 % par rapport à la vacation équivalente de 2015. Jeudi soir, à son tour, Christie's totalisait 58,1 millions de livres (74,6 millions d'euros), en chute de 50,4 %, après une vente d'art contemporain déjà décevante en février 2015.

La crise en Asie, le dévissage des Bourses, le niveau très élevé des prix record atteints pour l'art contemporain, la compétition effrénée entre les maisons pour offrir des garanties exorbitantes aux vendeurs : tout cela a contribué à ce que «  des corrections sévères s'appliquent au marché de l'art, sans pour autant parler d'effondrement comme en 2008-2009 », poursuit ce spécialiste.
Des oeuvres de grande qualité moins nombreuses

Signe des temps, les opérateurs eux-mêmes ont déjà rectifié le tir, avec des ventes moins importantes, des oeuvres de grande qualité moins nombreuses, des estimations de prix plus prudentes.

Sotheby's a par exemple allégé son catalogue, avec 55 lots mis aux enchères dans la capitale britannique contre 75 l'an dernier à pareille époque. La firme américaine a tout de même réalisé une belle performance avec une toile de Lucian Freud, « Pregnant Girl », restée dans les mêmes mains pendant trente ans et adjugée 16,1 millions de livres, bien au-dessus de son estimation (de 7 à 10 millions de livres sans les frais). Au total, 78 % des lots ont trouvé preneur, contre 89 % chez Christie's.

Au sein de la maison anglaise, le lot phare a été une oeuvre de Peter Doig (« The Architect's Home in the Ravine ») partie pour 11,3 millions de livres, dans la fourchette basse de son estimation.

Si les clientèles asiatique et occidentale se sont clairsemées avec la crise, dans un marché de l'art qui fonctionne à la confiance, les vendeurs eux aussi sont moins actifs, ou privilégient les cessions privées, plus discrètes que les enchères.

Le segment de l'art contemporain, qui a connu une croissance exponentielle et a été le plus spéculatif ces dernières années, semble revenir à un peu plus de raison. Ce qui ne veut pas dire qu'il sera moins rentable. En effet, si le chiffre d'affaires mondial se rétrécit, il n'en sera pas forcément de même de la rentabilité car ce ne sont pas sur les oeuvres les plus chères que les maisons de vente dégagent les meilleures marges, au contraire. Les grandes sociétés, en particulier Sotheby's et Christie's, vont également probablement poursuivre leur stratégie de diversification et de recherche d'économies pour se prémunir.

On notera enfin que la France affiche une certaine résilience quand un repli mondial s'opère sur le marché de l'art. Elle ne sera donc pas forcément le pays le plus touché. En contrepartie, quand ça repart, elle a souvent une longueur de retard…


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February 18, 2016 12:35 PM
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Sénat : la « loi patrimoine » au milieu du gué - La Tribune de l'Art

Sénat : la « loi patrimoine » au milieu du gué - La Tribune de l'Art | La revue de presse & web du SNA | Scoop.it

par Didier Rykner et Julien Lacaze
Le projet de loi liberté de création, architecture et patrimoine est au milieu du gué, à mi-chemin de son examen, mais surtout à cheval entre deux conceptions du patrimoine : celle qui animait le projet gouvernemental voté par l’Assemblée et celle insufflée par le Sénat, à l’écoute des associations et des collectivités.

Si le projet de loi entend renforcer les protections ponctuelles, au demeurant peu gênantes, un terrible recul était programmé s’agissant des ensembles urbains, au nom d’un « urbanisme de projet » mis au service de la relance et de la production de logements (lire cet article). La régression programmée devait toucher les trois piliers de la protection de l’urbanisme : les ZPPAUP (devenues AVAP), mode de protection souple associant les communes et l’État et protégeant « l’aspect » des constructions (loi Lang) ; les secteurs sauvegardés, protection approfondie et régalienne, s’étendant aux intérieurs des immeubles (loi Malraux) ; ainsi que les abords de monuments historiques (500 m), de très loin notre premier instrument de protection du patrimoine puisque couvrant près de 6 % du territoire.

Lire la suite sur le site de La Tribune de l'Art : http://www.latribunedelart.com/senat-la-loi-patrimoine-au-milieu-du-gue

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February 18, 2016 11:54 AM
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Rencontres avec le sublime au Centre Pompidou-Metz

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par Judith Benhamou-Huet
Comme son homologue parisien, le Centre Pompidou-Metz aime les grandes expositions encyclopédiques transversales. Deux manifestations déploient en ce moment une foule d’œuvres qui embrassent l’histoire de l’art. L’une, «?Cosa Mentale?», se penche sur le spiritisme et la télépathie dans l’art. L’autre, dénommée «?Sublime, les tremblements du monde?», analyse la question de la beauté et des dangers de la nature, une obsession des artistes.

N’est pas la plus sublime celle que l’on croit. «?Cosa Mentale?» contient une salle à couper le souffle, qui à elle seule mérite un voyage à Metz. L’entrée en matière se fait avec «?Le Penseur?» de Rodin pour illustrer un art reflétant la pensée et qu’on appelle aujourd’hui conceptuel. Une référence à la phrase de Léonard de Vinci «?La pittura e cosa mentale?». Avant d’arriver au sujet crucial du surréalisme, féru des manifestations magiques et de l’inconscient, on passe par un espace dédié aux débuts de l’abstraction, dans une déflagration de couleurs et de formes envoûtantes. Au tout début du XXe siècle circule une théorie selon laquelle les pensées pourraient être traduites à travers les couleurs sans utiliser les mots. Pour l’illustrer, le commissaire de l’expo, Pascal Rousseau, a placé côte à côte des œuvres des grands initiateurs de l’abstraction comme Kupka ou Kandinsky et d’inconnus fascinants tel le Hollandais Jacob Bendien (1890-1933), qui réalise en 1912 une peinture toute en longueur faite de volutes polychromes, ou sa compatriote Jacoba van Heemskerck (1876-1923) dont les compositions ressemblent à des paysages vus d’avion bien qu’ils soient réalisés aussi dans les années 1910. L’ensemble ponctué d’installations lumineuses multicolores de l’artiste américain contemporain Christian Sampson est une célébration du plaisir de la peinture. Sublime…

Lire la suite sur le site des Echos
http://www.lesechos.fr/week-end/culture/expositions/021690279196-rencontres-avec-le-sublime-au-centre-pompidou-metz-1200143.php#


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February 18, 2016 10:50 AM
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L’enquête sur les faux de la galerie Knoedler avance | Connaissance des Arts

L’enquête sur les faux de la galerie Knoedler avance | Connaissance des Arts | La revue de presse & web du SNA | Scoop.it






La justice espagnole a annoncé l’extradition d'un des hommes responsables du traffic de faux tableaux expressionnistes abstraits.

Il y a quelques jours, nous annoncions le verdict du procès opposant la galerie Knoedler à des clients escroqués. Alors qu’un accord à l’amiable avait été trouvé entre la galerie et les plaignants, l’étau de la justice américaine se resserre autour de deux hommes soupçonnés de recel et usage de faux, ainsi que de blanchiment d’argent. En effet, la justice espagnole a donné son feu vert pour l’extradition de Jesus Angel Bergantiños tandis qu’une demande similaire a été faite par les États-Unis pour son frère Jose Carlos. Ce dernier n’est autre que le mari de Glarifa Rosales, la galeriste condamnée pour avoir fourni à deux galeries (dont la galerie Knoedler), de faux tableaux de chef d’œuvre expressionnistes abstraits. Les détails autour du recel des faux se font dès lors plus clairs. Les tableaux ont été réalisés par Pei Shen Qian, un Chinois qui faisait partie dans les années 1970 du mouvement d’art abstrait à Shangai, avant d’immigrer aux États-Unis en 1981. Alors que, dans les années 1990, Pei Shen Qian survit dans les quartiers miteux du Queens en vendant des paysages et intérieurs de style impressionniste, son talent est repéré par Jose Carlos Bergantiños, qui lui commande des toiles abstraites pour quelques milliers d’euros (5400 € pour un tableau en décembre 2005, 7000 pour un autre en 2008). Si Pei Shen Qian n’est qu’un copiste, il n’en demeure pas moins que ses talents en la matière sont qualifiés « d’incroyables » par les experts en art. Tant dans le style, la finition, le cadre et dans les moindres détails, le Chinois, âgé aujourd’hui de 76 ans, a sans doute trouvé chaussure à son pied dans la fausse, sans que l’on sache si celui-ci était conscient que ses tableaux étaient ensuite revendus pour plusieurs millions de dollars. Les toiles étaient ensuite vieillies artificiellement par Bergantiños qui les chauffait, les refroidissait et les exposait à l’extérieur afin d’en augmenter l’authenticité. Pour ce qui est de Jose Carlos Bergantinos, son sort est entre les mains de la justice espagnole à qui il revient de procéder – ou non – à l‘extradition vers les États-Unis. Quant à Pei Shen Qian, il a déclaré à la chaîne ABC, qui l’a retrouvé à Shangai en 2014, qu’il ne s’attendait pas à ce que ses toiles soient vendues commes des originales mais « juste des copies à exposer chez soi ».

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February 16, 2016 12:09 PM
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Une mission parlementaire sur le marché de l’art - LeJournaldesArts.fr

Une mission parlementaire sur le marché de l’art - LeJournaldesArts.fr | La revue de presse & web du SNA | Scoop.it

ARIS [01.02.16] – La commission des affaires culturelles et de l’éducation de l’Assemblée nationale a créé une mission parlementaire sur le marché de l’art, présidée par Michel Herbillon. Sophie Dessus en est la rapporteuse. Le rapport définitif est attendu pour l’automne 2016. Un parmi beaucoup d’autres.
Le « déclin » de la place de Paris inquiète les députés. La commission culture de l’Assemblée nationale a demandé à Michel Herbillon (Les Républicains, Val-de-Marne) et Sophie Dessus (Socialiste, républicain et citoyen, Corrèze) de conduire une mission, avec l’aide de quinze députés, sur le marché de l’art en France.

A ce stade, le programme de travail est large, très large. Les députés s’interrogent d’abord sur la faiblesse du marché français par rapport aux autres pays. « Nous sommes surpris du décalage entre la vitalité des institutions culturelles et le poids du marché de l’art » a indiqué au Journal des Arts le député du Val-de-Marne qui a par ailleurs été co-auteur d’un rapport d’information sur les réserves des musées. La mission compte aussi faire le bilan de la loi de juillet 2011 sur la libéralisation des ventes aux enchères, mesurer les conséquences sur le marché des nouveaux musées en Asie et au Moyen-Orient qui sont autant d’acheteurs et enquêter sur d’éventuels blanchiments d’argent qui passeraient par ce secteur.

Consciente du large périmètre, Sophie Dessus, maire d’Uzerche et successeuse de François Hollande dans la 1ère circonscription de la Corrèze, explique qu’il est de bonne pratique de « brasser large avant de restreindre le périmètre sur un nombre limité de problématiques ». Ce que confirme Michel Herbillon en indiquant qu’il y aura un rapport d’étape avant l’été suivi d’un rapport définitif à l’automne. (...)


Intégralité de l'article disponible via http://www.lejournaldesarts.fr/site/archives/docs_article/134505/une-mission-parlementaire-sur-le-marche-de-l-art.php

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February 9, 2016 5:14 AM
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Nouvelle attaque de députés contre l'inaliénabilité des œuvres d'art - La Tribune de l'Art

Nouvelle attaque de députés contre l'inaliénabilité des œuvres d'art - La Tribune de l'Art | La revue de presse & web du SNA | Scoop.it


par Didier Rykner
Faut-il, absolument, accorder de l’importance à toutes les propositions de loi ridicules ou stupides ? Rappelons que contrairement aux projets de loi, celles-ci ne viennent pas du gouvernement mais sont déposées par les parlementaires. On en compte ainsi beaucoup qui n’ont aucune chance d’être votées et ne servent qu’à donner à leurs auteurs l’impression d’exister.

Mais celle qu’ont déposée plusieurs députés « Les Républicains » est, dans le genre, particulièrement absurde et dangereuse. Il s’agirait d’autoriser les vente d’œuvres des musées entre eux ! Sans doute ces élus espèrent-ils ainsi arriver par la bande à remettre en cause l’inaliénabilité des œuvres des musées de France. Telle qu’elle est rédigée, cette proposition ne toucherait pas à l’inaliénabilité stricto sensu puisque les œuvres seraient vendues d’un musée à un autre musée. Mais personne ne peut être dupe : permettre la vente d’une œuvre à un musée rendra plus facile demain l’élargissement à des ventes hors musées. D’ailleurs, la proposition prévoit que les œuvres pourraient également être vendues « à un musée appartenant à une personne morale de droit privé à but non lucratif » : en ignorant volontairement la notion de « musée de France », cette partie autorise donc la vente à une personne morale de droit privé qui peut, même à but non lucratif, revendre l’œuvre à tout moment.(...)
Lire la suite de cet article : http://www.latribunedelart.com/nouvelle-attaque-de-deputes-contre-l-inalienabilite-des-oeuvres-d-art

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