"Il y a des objets qui dépassent leur fonction pour devenir de véritables pièces d’art. La maison italienne Acqua di Parma vient de dévoiler l’un de ses projets les plus étonnants : un jeu d’échecs en bois noble dont chaque pièce renferme… une miniature de parfum. Un mélange inédit entre artisanat, design et savoir-faire olfactif, pensé comme un cadeau d’exception pour les fêtes."

"Entre inflation du quotidien et envie de mieux-être chez soi, beaucoup cherchent des repères clairs pour trier les tendances déco. En 2026, le salon reste la pièce témoin de nos usages, avec des choix simples, mesurés et faciles à vivre."

"On attribue à Aristote (philosophe ayant vécu au IVe siècle avant J-C) l'invention de cet outil. Celui-ci peut prendre plusieurs formes, de la plus basique à la plus artistique. Léonard de Vinci se serait également intéressé à l'objet, en créant une machine pour fabriquer des figurines de casse-noisette. Cette figure du personnage qui casse les fruits à coque avec sa bouche serait donc déjà largement répandue au XVe siècle. "

"À Paris, les vitrines de Noël sont une tradition autant qu’un spectacle. La Samaritaine, le Printemps Haussmann, les Galeries Lafayette et Le Bon Marché dévoilent leurs décors féeriques pour l’édition 2025."

Depuis quatre-vingt-dix ans, Artek fait rayonner le design finlandais à l’international. Fidèle à l'esprit avant-gardiste de ses fondateurs, la marque revendique plus que jamais ses valeurs de durabilité et d’intemporalité.

"Un simple mouvement de la main a suffi pour bousculer ce que l’on croyait savoir de l’artisanat romain. En observant un vase en verre du IVe siècle, Hallie Meredith a identifié des motifs qui n’avaient jamais retenu l’attention. Ces signes discrets, longtemps considérés comme de simples ornements, ouvrent une fenêtre inattendue sur les ateliers qui façonnaient les objets les plus luxueux de l’Empire. Leur présence redonne une voix à ceux que l’histoire a longtemps maintenus dans l’ombre."

Fleurs, feuilles, baies, racines, écorces : avec Mari Lafitte, chaque fragment de végétal devient un pigment pour une teinture ou une impression. Rencontre avec une alchimiste de la couleur.

"Contrairement à l'idée reçue, cette quête n'a rien de nostalgique. "Nous ne menons pas tous ces travaux de recherche et de conservation par nostalgie ou par romantisme", insiste Isabella Dalla Ragione.

Nous le faisons parce que la perte de variété entraîne une perte de sécurité alimentaire, de biodiversité et de capacité d'adaptation du système, et nous perdons aussi beaucoup sur le plan culturel.""

Le département célèbre ses savoir-faire du 17 au 23 novembre 2025 à travers la Semaine de l'industrie et le Salon des artisans d'art du Val-de-Marne.

"Né sous les tropiques, dans les forêts d’Amérique et des Antilles, l’acajou a parcouru les océans avant de s’ancrer dans les ateliers des ébénistes européens. Dès le XVIIIᵉ siècle, il séduit les artisans britanniques et les maîtres menuisiers français. À Bordeaux, à Nantes ou à Saint-Malo, les plus belles pièces de ce bois rare sont transformées en meubles de prestige. Son essence dense et sa couleur, oscillant entre le rose tendre et le brun profond, deviennent le symbole d’un chic à la fois exotique et mesuré."

"L’impression 3D est en train de transformer le monde de l’éclairage. Autrefois considérée comme expérimentale, elle est aujourd’hui un outil pratique permettant de créer des formes complexes, de réduire les déchets et de favoriser une production durable et à la demande. Des formes organiques inspirées de la nature aux lampes fabriquées à partir de matériaux recyclés ou biosourcés, la fabrication additive élargit les possibilités tant sur le plan de la forme que de la fonction."

"Baptisée Powered by Dreams, cette œuvre rend hommage à l’imagination des enfants du célèbre hôpital londonien. À travers ses engrenages dorés et ses vitraux lumineux, on découvre les rêves de 38 jeunes patients, dessinés et intégrés sous forme de décorations : devenir astronaute, pilote ou gymnaste olympique… Autant de vœux qui montent en spirale le long de l’arbre sous forme de boules peintes à la main, avant de s’illuminer au sommet sous les pas gracieux d’une ballerine."

"C'est un métier né à la fin du 19e siècle et disparu avec l'avènement des adhésifs plastiques que Anne-Lise Blanchet fait revivre dans son atelier à Ornans (Doubs) depuis sept ans. "Dans les années 1980, beaucoup de peintres en lettres se sont reconvertis en poseurs d'adhésif, nous explique cette ancienne éducatrice. Cet atelier est là aussi pour présenter les différents lettrages qui sont possibles, ça représente différentes époques.""