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June 10, 2015 5:28 AM
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Le carabe, un bombardier à réaction

Le carabe, un bombardier à réaction | EntomoNews | Scoop.it
Face aux agressions d'autres insectes, le carabe a une arme d'une puissance redoutable : un jet brûlant et toxique. Les scientifiques viennent juste de lever le voile sur les secrets de sa puissance destructrice.


[Image] ▶ How bombardier beetles bomb - YouTube
https://www.youtube.com/watch?v=TgqF-ND2XcY

                           

Bernadette Cassel's insight:


SUR ENTOMOSCIENCE

From passion-entomologie.fr - May 11, 8:58 AM :

Description des mécanismes de pulvérisation défensive

                               

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Dernières nouvelles des insectes, collemboles, myriapodes et autres arthropodes...
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March 5, 6:38 PM
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Préservation de la biodiversité : les grands mammifères captent la majorité des financements, au détriment d'espèces parfois plus menacées, conclut une étude

Préservation de la biodiversité : les grands mammifères captent la majorité des financements, au détriment d'espèces parfois plus menacées, conclut une étude | EntomoNews | Scoop.it
L'étude a été menée par des chercheurs et des chercheuses des universités d'Hong Kong et de Florence, ils plaident pour une évolution du système de financement concernant la protection de la biodiversité.

 

franceinfo
Radio France
Publié le 28/02/2025 08:00
 
"Selon cette étude, les amphibiens sont les vertébrés les plus menacés depuis deux décennies, mais ils ne reçoivent qu'une infime partie des financements (2,8 %), un chiffre qui a en plus tendance à baisser. Les invertébrés, et notamment les insectes, reçoivent également peu de financements, malgré leur niveau de menace et leur rôle fondamental dans le fonctionnement des écosystèmes."
(...) 

 

------

NDÉ

L'étude

 

 

Benoit Guénard, Alice C. Hughes, Claudianne Lainé, ..., and Gray A. Williams

 

Image via Recherche Google

 

Bernadette Cassel's insight:

 

Précédemment

 

  • Biodiversité : quand l’oiseau fait de l’ombre à l’insecte - De theconversation.com - 8 mai 2018, 22:43

 

[particulièrement l'étude "Taxonomic bias in biodiversity data and societal preferences" | Scientific Reports, 22.08.2017 https://www.nature.com/articles/s41598-017-09084-6]]

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September 29, 1:58 PM
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Reproduire le système auditif des insectes pour la robotique

Reproduire le système auditif des insectes pour la robotique | EntomoNews | Scoop.it

Quelle innovation biotechnologique ne doit-on pas rater en septembre ? Un système de perception optique-acoustique biomimétique inspiré de l'ouïe des insectes...

 

Posté le 29 septembre 2025 par Romain FOUCHARD

 

"Dans la nature, les insectes se distinguent par leurs multiples « oreilles » fonctionnant en coordination avec le cerveau central. Ce système auditif si particulier leur permet une capacité de détection, de localisation et de reconnaissance du son sans précédent. Les roboticiens rêvent depuis longtemps de reproduire cette prouesse sur leurs propres machines, mais le défi est de taille. Parvenir à analyser un signal multidimensionnel se heurte bien vite à des limitations techniques telles que la mise à l’échelle, la sensibilité et l’intégration du système. Pour franchir cette barrière technologique, une équipe de recherche menée par Teng Tan, de l’University of Electronic Science and Technology of China (Chengdu, Chine), s’est proposé de retranscrire l’ouïe des insectes en optique. Ainsi, la perception auditive passerait par l’utilisation de la lumière. Le résultat du travail des chercheurs est paru le 8 septembre 2025 dans le journal eLight."

(...)

 

 

Image : Conceptual design of the dual-microcomb based biomimetic acoustic perception.

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September 27, 1:51 PM
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Stratégies de jardinage des termites agriculteurs

Stratégies de jardinage des termites agriculteurs | EntomoNews | Scoop.it
Termites use microbe-infused soil to protect a fungal symbiont

 

Gardening strategies of termite farmers

Aryel C. Goes Rachelle M. M. Adams

 

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ndé

 

Stratégies de jardinage des des termites agriculteurs

 

Les termites protégent un symbiote fongique en utilisant de la terre enrichie en microbes.

 

Bien avant que les humains ne commencent à cultiver le blé ou le maïs, les insectes sociaux (les fourmis et les termites) avaient déjà développé des pratiques agricoles.

 

Par exemple, le termite Odontotermes obesus a développé une relation symbiotique avec le champignon Termitomyces, qui lui sert de source de nourriture.

 

Tout comme les humains protègent leurs jardins et leurs cultures contre les nuisibles, les termites cultivateurs de champignons ont également des stratégies de lutte contre les parasites.

 

 

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September 25, 1:20 PM
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Chez l’abeille, le « canalome » sous le feu des pesticides

Chez l’abeille, le « canalome » sous le feu des pesticides | EntomoNews | Scoop.it
Alors que la sécurité des insecticides vis-à-vis des pollinisateurs, dont l’abeille domestique Apis mellifera, est évaluée par des tests de mortalité, leurs effets à faible dose sur les canaux ioniques demeurent mal connus. C’est à ce travail collaboratif qu’a participé l’équipe de Pierre Charnet, à l’Institut des biomolécules Max Mousseron, dans le cadre des programmes de recherche ANR « Bee-Channels » et « Synaptic Bee », qui visent à mieux connaître l’effet des pesticides sur le « canalome » (ensemble des canaux ioniques) de l’abeille

 

24.09.2025, par Romain Loury
Mis à jour le 24.09.2025
 

 

Deux familles de canaux ioniques

 

« Parmi les canaux ioniques, on distingue deux grandes familles. D’une part, les voltage-dépendants : lorsqu’un potentiel d’action parvient au canal, celui-ci s’ouvre, les ions entrent dans la cellule ou en sortent, selon le canal », ce qui permet la transmission du potentiel d’action le long de la fibre nerveuse, explique Pierre Charnet. D’autre part, ceux activés par des neurotransmetteurs, tels que l’acétylcholine, le GABA ou le glutamate, qui permettent la transmission du signal nerveux au niveau des synapses séparant deux neurones. « Notre équipe a ainsi isolé et caractérisé plus de 80% des gènes de canaux ioniques identifiés chez l’abeille », travail rendu possible grâce au séquençage du génome d’Apis mellifera, en 2006.

 

Avec leurs collègues du consortium « Synaptic Bee », les chercheurs ont ensuite fait exprimer ces gènes par des ovocytes de xénope, grenouille africaine largement utilisée en laboratoire. En raison de leur grande taille (entre 1 et 2 mm), ces cellules constituent un outil idéal pour les expériences d’électrophysiologie : elles permettent de caractériser l’activité électrique de ces canaux, et les effets in vitro des insecticides sur cette activité. Cette étape est essentielle car elle permet de comparer, dans des conditions identiques, la sélectivité des insecticides sur les mêmes canaux, mais issus d’espèces différentes, tels qu’insectes ravageurs ou bénéfiques, ou encore mammifères. « Plusieurs de ces gènes se sont révélé avoir des propriétés étonnantes », constate Pierre Charnet.

 

« Cette caractérisation, aussi utile qu’elle puisse être, ne suffit pas à elle seule. Il faut également s’assurer du rôle que jouent ces canaux in vivo, pour mieux comprendre la sélectivité des molécules. Le modèle que nous utilisons, Apis mellifera, animal semi-domestique circulant librement dans l’environnement, est idéal pour cela », ajoute Pierre Charnet. Le consortium « Synaptic Bee » a ainsi étendu ses travaux à des neurones et des cellules musculaires isolés de l’abeille, des travaux pionniers initiés par l’équipe de Claude Collet, de l’unité de recherche « Abeilles et environnement » à Avignon (INRAE). « Nous avons par exemple été les premiers à analyser, sur l’abeille, les effets des pyréthrinoïdes sur les canaux sodiques des neurones des antennes, ainsi que ceux des diamides sur les canaux calciques cardiaques. Ces résultats n’ont pu être obtenus que grâce à la collaboration entre nos équipes, facilitée par l’ANR », explique Pierre Charnet."

(...)

 

 

Bernadette Cassel's insight:

 

Précédemment, en relation

 

  • Sous la direction de Claude collet, Jean-Christophe Sandoz, Pierre Charnet : "Les abeilles face au risque toxique" - De www.cnrseditions.fr - 26 août 2022, 18:43
 
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September 22, 11:46 AM
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Les syrphes, ces mouches qui emportent du pollen jusqu’en mer du Nord

Les syrphes, ces mouches qui emportent du pollen jusqu’en mer du Nord | EntomoNews | Scoop.it
Des chercheurs ont identifié des traces de pollen provenant de plus d’une centaine d’espèces de plantes sous les pattes de ces insectes qui s’étaient posés sur une plateforme pétrolière.

 

Par Nathaniel Herzberg

Publié hier à 15h30

 

 

 

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ndé

traduction

 

Les insectes pollinisateurs jouent un rôle crucial dans le succès reproductif de nombreuses espèces végétales, leurs schémas de déplacement étant importants pour façonner le flux génétique entre les populations végétales. Les déplacements varient considérablement, allant des butineurs centraux qui se déplacent sur des distances relativement courtes aux migrateurs qui parcourent de très longues distances.

 

Parmi ces visiteurs de fleurs très mobiles, les syrphes migrateurs revêtent une grande importance écologique et économique en tant que groupe important de pollinisateurs répartis dans le monde entier, capables de relier des écosystèmes éloignés grâce à leurs mouvements saisonniers sur de longues distances. Cependant, il reste difficile de comprendre leur rôle dans le transport du pollen lors de migrations principalement en haute altitude en raison des contraintes d'échantillonnage et de l'identité obscure du pollen véhiculé, due à la recherche de nourriture après la migration à partir de ressources locales.

 

Pour remédier à cela, nous utilisons le métabarcoding de la région ITS2 pour identifier les espèces de pollen transportées par les syrphes migrateurs lors de quatre événements migratoires distincts en juin ou juillet vers une plate-forme pétrolière dépourvue de végétation et située à 200 km au large des côtes écossaises, en mer du Nord.

 

Sur les 121 "syrphes marmelade" (Episyrphus balteatus) échantillonnés, 92 % transportaient du pollen, le métabarcoding de 86 individus indiquant un pollen provenant en moyenne de huit espèces végétales par individu (fourchette : 1-14) et 102 espèces au total pour les quatre événements. Les sources de pollen dominantes comprenaient l'ortie commune (Urtica dioica), le sureau noir (Sambucus nigra) et la reine des prés (Filipendula ulmaria), ainsi que des visites à des espèces de légumes, de légumineuses, de céréales, de noix et de fruits.

 

L'analyse rétrospective de la trajectoire du vent a indiqué une migration vers le nord en juin, provenant des Pays-Bas, du nord de l'Allemagne et du Danemark, à plus de 500 km de distance. À l'inverse, la migration de fin juillet suggérait des mouvements vers le sud depuis la Norvège, bien que avec un degré de confiance moindre. L'analyse prospective de la trajectoire a suggéré des destinations potentielles après le départ de la plate-forme pétrolière, notamment la Norvège ou les îles Shetland à environ 250 km pour les migrations de juin et l'Écosse pour l'événement de juillet.

 

Nos résultats soulignent la capacité des syrphes migrateurs à transporter diverses espèces de pollen sur de longues distances, ce qui met en évidence leur rôle potentiel dans le flux génétique à longue distance. Des recherches supplémentaires sont essentielles pour évaluer les implications écologiques et agricoles de ce phénomène et son impact sur les communautés végétales.

 

Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

 

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Image tirée de l'étude : Situation of the oil rig located in the Britannia oil field and composition of migratory fly samples. (a) Location of the oil rig (Google maps), (b) aerial view of the oil rig where migratory flies were collected. (c) Species composition of migratory flies collected during June and July over 2021–2023. (d) Migratory E. balteatus female pictured on the oil rig (photo Craig Hannah).

 

Bernadette Cassel's insight:

 

Cette étude souligne la capacité des syrphes migrateurs à transporter diverses espèces de pollen sur de longues distances, ce qui met en évidence leur rôle potentiel dans le flux génétique à longue distance et questionne l'éventuel impact de ce phénomène sur les communautés végétales.

 

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September 19, 12:20 PM
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Des insectes fossilisés contemporains des dinosaures découverts en Équateur

Des insectes fossilisés contemporains des dinosaures découverts en Équateur | EntomoNews | Scoop.it

La découverte, aux allures de Jurassic Park, dans une carrière en Équateur, d’une grande variété d’insectes – y compris une toile d’araignée – parfaitement préservés dans de l’ambre vieux de cent douze millions d’années offre un aperçu rare des écosystèmes qui peuplait le supercontinent Gondwana.

 

Courrier international
Carole Lembezat
Publié le 19 septembre 2025 à 17h34

 

 

Image : Une mouche de la famille des “Chironomidae” (moucherons non piqueurs) piégée dans un échantillon d’ambre trouvé en Équateur. Photo Mónica Solórzano-Kraemer
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September 17, 2:18 PM
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Quels risques le frelon « asiatique » à pattes jaunes fait-il courir à la santé humaine et aux abeilles ? Comment s’en protéger ?

Quels risques le frelon « asiatique » à pattes jaunes fait-il courir à la santé humaine et aux abeilles ? Comment s’en protéger ? | EntomoNews | Scoop.it
Le frelon à pattes jaunes originaire d’Asie est désormais bien implanté en France hexagonale. On fait le point sur les risques qu’il fait peser sur l’humain comme sur l’abeille domestique.

 

Sandra Sinno-Tellier et Jérémy Hamon

Publié: 16 septembre 2025, 12:31 CEST

 

 

Image : Répartition annuelle des envenimations par des hyménoptères (en bleu) et pourcentage de ces envenimations par rapport à tous les cas enregistrés par les CAP (en orange). 2014-2023. France hexagonale. Source : SICAP.

 

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September 15, 2:25 PM
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Pesticides : une étude d’ampleur vient confirmer la surexposition des riverains des vignes

Pesticides : une étude d’ampleur vient confirmer la surexposition des riverains des vignes | EntomoNews | Scoop.it
Une étude publiée lundi par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail et Santé publique France montre une surexposition des enfants de 3 ans à 6 ans lors de la période des traitements.

 

Par Stéphane Foucart

Publié aujourd’hui à 17h14, modifié à 18h31

 

 

Extraits

 

Au total, 56 pesticides ont été recherchés dans au moins un
échantillon de l’environnement ou de l’organisme humain.

 

Les pesticides sont des substances utilisées pour lutter contre les
insectes, les moisissures/champignons, rongeurs ou les
mauvaises herbes. Ils se regroupent en 3 catégories : les produits
phytopharmaceutiques (PPP) utilisés en protection des plantes,
les biocides utilisés contre les nuisibles (insectes, rongeurs, etc.)
et les antiparasitaires à usage vétérinaire et humain.

 

L’étude PestiRiv s’intéresse spécifiquement à l’exposition aux PPP utilisés en viticulture chez les personnes vivant près de ces cultures.

 

La France hexagonale compte environ 780 000 hectares de vignes, ce qui représente près de 3 % de la surface agricole utile totale du territoire. Ces cultures sont très intriquées avec l’habitat, si bien qu’environ 4 % de la population en France hexagonale vit à moins de 200 mètres d’une parcelle de vigne3. Par ailleurs, la viticulture fait partie des cultures qui recourt le plus aux produits phytopharmaceutiques (PPP), à la fois en termes de fréquences de traitements et de quantités vendues (14 % des dépenses globales en agriculture en 2011).

 

 

Bernadette Cassel's insight:

 

L’étude PestiRiv s’intéresse spécifiquement à l’exposition aux produits phytopharmaceutiques (PPP) utilisés en viticulture chez les personnes vivant près de ces cultures. Au total, 56 pesticides (insecticides, herbicides et fongicides) ont été recherchés dans l’environnement ou l’organisme humain.

 

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September 12, 1:53 PM
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Chikungunya : des foyers plus nombreux et de plus en plus importants en France métropolitaine

Chikungunya : des foyers plus nombreux et de plus en plus importants en France métropolitaine | EntomoNews | Scoop.it
Epidémie à La Réunion, fortes chaleurs, expansion du moustique-tigre vers le nord : l’été 2025 offre des conditions exceptionnelles à la transmission du virus tropical.

 

Par Delphine Roucaute

Publié le 10 septembre 2025 à 16h41, modifié hier à 00h00 "Des foyers de chikungunya plus nombreux et de plus en plus importants : la diffusion de ce virus d’origine tropicale bat tous les records cette année en France métropolitaine. Pas moins de 382 cas répartis dans 38 villes ont été formellement identifiés depuis début mai, y compris dans trois régions (Grand-Est, Nouvelle-Aquitaine et Bourgogne-Franche-Comté) qui n’avaient jusque-là jamais été touchées, selon le bulletin de Santé publique France (SPF) publié mercredi 10 septembre." (...)

 

 

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NDÉ

Illustration

 

Courbe épidémique des cas autochtones de chikungunya et de dengue en France hexagonale, saison 2025, à la date du 08/09/2025

 

via Bilan de la surveillance renforcée des arboviroses, du 1er mai au 8 septembre 2025, France hexagonale - Semaine 37-2025. Date de publication : 10 septembre 2025 https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/752249/4790429?version=1

 

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September 11, 1:41 PM
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Un ornement en insectes unique vieux de 2 500 ans révèle les secrets des rituels funéraires dans la Pologne préhistorique

Un ornement en insectes unique vieux de 2 500 ans révèle les secrets des rituels funéraires dans la Pologne préhistorique | EntomoNews | Scoop.it
Un bijou fait d’insectes retrouvé dans une urne funéraire, révèle un rituel symbolique et saisonnier de l’âge du Fer.

 

Publié le 11 Sep 2025 à 19H00
Laurie Henry

 

 

Image : Pronota of Phyllobius sp. beetles: A) contemporary representative of Phyllobius sp. with pronotum marked; B) pronota of Phyllobius viridicollis strung on a blade of preserved grass; anterior (C), ventral (D) and dorsal (E) side of one of the pronota of P. viridicollis from grave 543, urn no. 1 (figure by J. Józefczuk, J. Kania & A. Hałuszko).

 

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NDÉ

Traduction

 

La découverte d'un ornement fabriqué à partir de coléoptères Phyllobius viridicollis dans une tombe à crémation du cimetière de Domasław met en évidence l'utilisation variée des matières organiques dans les rites funéraires. Associée à du pollen de pissenlit, cette découverte offre un potentiel d'interprétation pour reconstituer la période saisonnière de l'inhumation.

 

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September 9, 1:24 PM
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Quels sont les avantages évolutifs liés aux différentes formes de socialité chez la fourmi ?

Quels sont les avantages évolutifs liés aux différentes formes de socialité chez la fourmi ? | EntomoNews | Scoop.it
Parmi les espèces de fourmis, Myrmecina graminicola. Une étude a trouvé que certaines formes phénotypiques et sociales au sein de cette espèces étaient liées génétiquement.

 

Mardi 9 septembre 2025
La science au labo

 

Avec
  • Claudie Doums, directrice d’étude à l’École pratique des hautes études (EPHE) et chercheuse à l'institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB) du Muséum national d'Histoire naturelle.
 

"Myrmecina graminicola est une espèce de fourmi dont les individus font quelques millimètres et vivent dans de petites colonies allant d'une vingtaine à un peu plus d'une centaine de membres. On peut retrouver cet insecte tant dans la nature que dans les parcs, en ville. Le doctorant Brandon Duquenoy, qui travaille sur cette espèce pour sa thèse à la Sorbonne, va par exemple souvent chercher de nouveaux individus vers la forêt de Fontainebleau.

 

On observe différentes formes tant dans l'organisation sociale des colonies de Myrmecina graminicola que dans le phénotype des reines de cette espèce. Une récente étude, qui sera publié dans le courant du mois de septembre 2025 dans une revue prestigieuse, a trouvé des liens génétiques entre ces différentes formes. Elle s'intéresse ensuite aux avantages évolutifs conférés par ces différentes formes sociales et phénotypiques pour mieux comprendre comment cette diversité peut perdurer. Claudie Doums est directrice d’étude à l’École pratique des hautes études et chercheuse au muséum d’histoire naturelle. C’est l’une des autrices de cet article."

 

------

NDÉ

Précédemment

 

 

Illustration

 

→ Ouvrières et larves de Myrmecina graminicola 

 

via ldvn on X: "Myrmecina graminicola workers and larvae https://t.co/O7jTn3xRDd" https://x.com/mastigusa/status/1644125403571793920

 

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September 5, 1:36 PM
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Cette espèce de fourmi transgresse une loi fondamentale de la biologie

Cette espèce de fourmi transgresse une loi fondamentale de la biologie | EntomoNews | Scoop.it
Pour maintenir la colonie, les reines fourmis de l'espèce Messor ibericus n'ont pas le choix : elles doivent donner naissance à des mâles de leur espèce... mais aussi à ceux d'une autre espèce. Une découverte inédite.

 

Par Anne-Sophie Tassart le 05.09.2025 à 11h41

 

"L'équation est normalement simple : un être vivant d'une espèce donne naissance à une progéniture de la même espèce. Le génome et la morphologie des deux individus présentent des différences, certes, mais pas fondamentales : dans le fond, il s'agit des membres d'un même groupe. Pourtant, une étude française vient de faire voler en éclat ce qui se présentait comme un fait immuable."

(...)

 

Un nouveau mode de reproduction

"Pour définir ce mode de reproduction plus qu'étonnant, les auteurs de cette étude ont inventé un nouveau mot : xénopare. "Il définit plus précisément un système de reproduction où donner naissance à une autre espèce est une composante essentielle du cycle de vie des femelles", précise le chercheur. Pour l'instant, M. ibericus est la première et la seule espèce xénopare connue."

 

 

 

Image : Frères d’espèces différentes. Ces deux mâles sont pondus par la même mère, en dépit de leur différence d’espèce d’origine (gauche : mâle Messor ibericus, droite : mâle Messor structor).

Université de Montpellier
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September 3, 12:48 PM
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Chlorpyrifos et grossesse : cet insecticide perturbe le développement du cerveau

Chlorpyrifos et grossesse : cet insecticide perturbe le développement du cerveau | EntomoNews | Scoop.it
Interdit dans les champs européens depuis 2020, le chlorpyrifos reste l'un des insecticides les plus utilisés dans le monde. Chez des enfants exposés à ce pesticide dans le ventre de leur mère aux États-Unis, des scientifiques ont mis en évidence des altérations à long terme du développement cérébral.

 

Pesticides et grossesse : le chlorpyrifos perturbe le développement du cerveau
 
Par Nastasia Michaels
Publié le 18 août 2025 à 17h00.

 

"Vendu aux agriculteurs sous les noms de Pyristar, Dursban ou encore Kregan, le chlorpyrifos a été interdit en France en 2016, mais a bénéficié d'une exception pour protéger cette plante potagère vis-à-vis des insectes jusqu'en 2020, date de son interdiction à l'échelle européenne."

(...)

 

Personnalité, comportement, langage : les zones du cerveau affectées

Aujourd'hui, les recherches se poursuivent. Alors que cet insecticide reste l'un des plus utilisés dans le monde, l'hôpital pédiatrique de Los Angeles a mesuré les taux de chlorpyrifos d'un peu plus de 500 femmes à l'accouchement, puis a scanné le cerveau de près de 300 de leurs enfants à l'âge de six ans ou plus. Leurs résultats ont été publiés le 18 août dans la revue JAMA Neurology.

 

L'équipe américaine observe qu'une exposition au chlorpyrifos pendant la grossesse s'accompagne de modifications "significatives" au niveau des cortex frontal, temporal et postéro-inférieur – des zones du cerveau respectivement impliquées dans la personnalité et le comportement ; dans l'audition, la mémoire et la compréhension du langage ; et enfin dans la perception spatiale et l'expression des mots.

 

En outre, les auteurs ont constaté que les enfants exposés à l'insecticide présentaient une diminution du volume de substance blanche dans ces zones, ainsi qu'une diminution du flux sanguin cérébral et une diminution de leurs compétences en motricité fine par rapport aux autres enfants."

(...)

 

 

Image : Statistical Maps for Prenatal Chlorpyrifos (CPF) Exposure Associations With Cortical Thickness

Bernadette Cassel's insight:

 

Cette étude apporte des preuves "convaincantes" du fait que l'exposition prénatale au chlorpyrifos a des conséquences neuro-développementales "durables", notamment "sur la substance blanche et l'organisation corticale du cerveau."

 

Dr Rudrarup Bhattacharjee,

chercheur postdoctoral en neurosciences du développement

à l'université d'Adélaïde (Australie)

 

 

Voir aussi

 

 

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Today, 2:15 PM
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Vaccin contre le Chikungunya : Valneva annonce une protection persistante de 4 ans après une seule dose

Vaccin contre le Chikungunya : Valneva annonce une protection persistante de 4 ans après une seule dose | EntomoNews | Scoop.it
Le groupe Valneva a communiqué des résultats concluants sur la protection contre le chikungunya. Il certifie qu'une seule dose de son vaccin Ixchiq assure des anticorps suffisants pendant 4 ans.

 

par Guillaume CROS
Publié le 30 septembre 2025 à 13h59, mis à jour le 30 septembre 2025 à 15h00
[VIDÉO] ▶️
 
"C'est une nouvelle encourageante dans la lutte contre le chikungunya. Le groupe pharmaceutique Valneva a publié un communiqué, ce mardi 30 septembre, affichant des résultats positifs de leur vaccin Ixchiq contre la maladie transmise par le moustique tigre. Il apporterait un niveau d'anticorps efficace pendant 4 ans après une seule dose. À l'appui, le groupe franco-autrichien basé à Nantes a déclaré que "95% des 254 adultes en bonne santé participant encore à un essai sur Ixchiq ont conservé des titres d'anticorps neutralisants supérieurs au seuil de séropositivité quatre ans après une seule injection du vaccin".
 
[...]
 
Des données rassurantes pour le groupe pharmaceutique après de longs mois tumultueux. Les États-Unis ont suspendu la licence du vaccin Ixchiq en août dernier, à la suite d'effets indésirables graves provoqués sur 4 patients. La France et l'Union européenne avaient suspendu le vaccin pour les personnes âgées de plus de 65 ans, étant les cas les plus à risque. En début d'année, au moins une personne est décédée sur l'île de la Réunion en pleine épidémie de chikungunya."
(...)
 
------
Précédemment
 
Chikungunya : le vaccin Ixchiq suspendu aux Etats-Unis après de nouveaux effets indésirables - Le Monde avec AFP - Publié le 25 août 2025 à 10h43, modifié le 25 août 2025 à 11h51  https://www.lemonde.fr/sante/article/2025/08/25/chikungunya-le-vaccin-ixchiq-suspendu-aux-etats-unis-apres-de-nouveaux-effets-indesirables_6634866_1651302.html
 
Image : Le vaccin Ixchiq, développé par le laboratoire franco-autrichien Valneva, a été utilisé dans la lutte contre l’épidémie de chikungunya à La Réunion. RICHARD BOUHET / AFP
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September 28, 1:54 PM
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Les moustiques sont-ils attirés par les buveurs de bière ?

Les moustiques sont-ils attirés par les buveurs de bière ? | EntomoNews | Scoop.it

Des chercheurs se sont intéressés à la façon dont la bière, la crème solaire, l’alimentation et d’autres facteurs sont susceptibles d’attirer les moustiques.

 

De Helen Thompson
Publication 27 sept. 2025, 14:22 CEST

 

"Pour un moustique, un festival est un véritable buffet à volonté. Mais une étude qui vient de paraître indique que certains festivaliers pourraient être plus exposés aux piqûres que d’autres.

 

Cette nouvelle étude publiée le mois dernier sur le site de prépublication d’articles scientifiques bioRxiv parvient à la conclusion suivante : certains comportements, comme le fait de boire de la bière ou de ne pas mettre de crème solaire, peuvent faire de certains de nous des aimants à moustiques. Si l’article n’a pas encore fait l’objet d’une évaluation par des pairs, il s’agit de la plus grande étude à ce jour à se pencher sur l’effet de facteurs tels que l’hygiène et l’ébriété sur les préférences alimentaires des moustiques.

 

Quand les moustiques se mettent en quête d’un repas, leur premier réflexe est de flairer le dioxyde de carbone expiré par les humains. La chaleur corporelle et l’odeur peuvent également attirer. Des études ont suggéré que les personnes les plus susceptibles d’être piquées pourraient avoir une communauté microbienne cutanée moins diverse ou bien une prédisposition génétique à être piquées. D’autres analyses portant sur le groupe sanguin ont produit des résultats mitigés. Mais l’exacte recette qui pousse ces buveurs de sang à cibler de malchanceux humains demeure encore mystérieuse.

 

Le fait de comprendre ce qui attire les moustiques n’est pas seulement important pour éviter leurs piqûres qui démangent. Les moustiques sont les animaux les plus meurtriers de la planète, selon les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC). Responsables de la propagation de maladies comme le paludisme, la dengue et le virus Zika, les moustiques représentent une menace considérable pour la santé humaine dans de nombreuses régions du monde.

 

« Quand vous dites que vous étudiez le paludisme et en particulier les moustiques, on vous demande parfois : “Ah, ouais, je me fais toujours piquer. Comment ça se fait ?” Donc c’est un sujet que nombreuses personnes ont à l’esprit, notamment l’été », illustre Sara Lynn Blanken, biologiste du Centre médical de l’Université Radboud de Nimègue, aux Pays-Bas, et [première autrice] de la nouvelle étude."

(...)

 

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ndé

l'étude

 

 

Sara Lynn Blanken et al.

 

Conclusion L'essai Mosquito Magnet, à notre connaissance la plus grande étude de ce type, a été mené dans un cadre peu contrôlé, avec un biais de sélection en faveur des festivaliers amateurs de science. Cela dit, grâce à notre dispositif expérimental spécialement conçu, nous avons découvert que les moustiques sont attirés par ceux qui évitent la crème solaire, boivent de la bière et partagent leur lit. Ils ont tout simplement un penchant pour les hédonistes parmi nous.

 

Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

 

Image : Schematic overview of study procedures. Participants were invited to fill in an anonymous questionnaire after being briefed about the study purpose and procedures. Alcohol blood concentration was measured using a Breathalyzer test. Mosquito attraction was quantified in a custom designed set-up consisting of an acrylic cubic cage housing 20-35 mosquitoes. Participants pressed their arms against the right side of the cage, where a grid of small perforations was located (highlighted in blue). Perforations were also located on the opposite side of the cage (the left side when facing the cage). Here, a sugar feeder was positioned (highlighted in red). A raspberry pi computer and associated camera were located beneath the transparent cage and recorded mosquito tracks for the duration of the experiment (3 minutes). Afterwards, participants were invited to perform a skin swab on their right forearm for skin microbiome assessments.

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September 26, 2:24 PM
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Camouflage ou couleurs vives: la surprenante stratégie des animaux pour survivre face aux prédateurs

Camouflage ou couleurs vives: la surprenante stratégie des animaux pour survivre face aux prédateurs | EntomoNews | Scoop.it
Dans la nature, certains animaux se cachent grâce au camouflage, tandis que d’autres affichent des couleurs vives pour dissuader leurs prédateurs. Une étude mondiale s'est penchée sur l’efficacité de ces stratégies.

 

Par Chloé Gurdjian
Publié aujourd'hui à 19h13
 

Pour échapper à leurs prédateurs, les animaux déploient des stratégies de défense parfois spectaculaires. Certains misent sur l’invisibilité grâce au camouflage, tandis que d’autres affichent des couleurs éclatantes pour avertir qu’ils sont dangereux. Mais qu’est-ce qui détermine le choix entre se cacher ou se montrer ? Une vaste étude internationale, publiée dans la revue Science, apporte de nouveaux éléments de réponse. En analysant le comportement des prédateurs à l’échelle mondiale, elle démontre que l’efficacité de ces stratégies dépend avant tout du contexte écologique local.

Une expérience planétaire pour comparer les stratégies

Pour mieux comprendre ce phénomène, plus de 50 chercheurs ont mené la même expérience sur six continents. Ils ont disposé 15 018 proies artificielles, fabriquées en papier et ressemblant à des papillons, dans 21 zones géographiques allant des forêts tropicales aux zones tempérées. Ces proies étaient réparties en trois groupes : un modèle brun terne, destiné à se confondre avec la végétation ou le sol, un modèle orange et noir, imitant les motifs de nombreux insectes toxiques comme les guêpes ou certaines coccinelles, et enfin un modèle bleu et noir, une combinaison inhabituelle dans la nature.

 

L’objectif était de mesurer dans quelles conditions ces proies seraient attaquées par des prédateurs, qu’il s’agisse d’oiseaux, de reptiles ou de petits mammifères. Au terme de plusieurs semaines, les chercheurs ont pu comparer le taux d’attaques selon les environnements. "Nos résultats ont montré qu'il n'existe pas de stratégie universelle pour dissuader les prédateurs, le contexte joue un rôle crucial", explique Iliana Medina, biologiste à l’Université de Melbourne et autrice principale de l’étude.

 

 

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ndé

image

 

Credit: Stansislav Harvancik.

 

via Global study finds what influences animals’ antipredator colour strategies - Swansea University, 26.09.2025 https://www.swansea.ac.uk/press-office/news-events/news/2025/09/global-study-finds-what-influences-animals-antipredator-colour-strategies.php

 

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September 23, 11:48 AM
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L'épopée mondiale du moustique tueur

L'épopée mondiale du moustique tueur | EntomoNews | Scoop.it
C'est l'un des insectes les plus dangereux au monde : Aedes aegypti, principal vecteur de la dengue, du chikungunya, de zika et de la fièvre jaune. Une équipe internationale retrace ses origines et son expansion dans une grande étude parue dans la revue Science.

 

Debout la Terre

Camille Crosnier

Mardi 23 septembre 2025

 

"... le nombre de cas de dengue passé en 20 ans de 500 000 à 14 millions et demi, c’est une multiplication par 30, à cause d'Aedes aegypti majoritairement. Cette étude va permettre d’améliorer l’efficacité des outils de lutte et de soin, d’en développer de nouveaux en sachant que les vaccins ne sont pas toujours disponibles."

 

 

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ndé

 

Image : Invasive Aedes aegypti global migration spreads insecticide resistance and increases arboviral risk.
DNA sequence analysis revealed that the origin of invasive Ae. aegypti aegypti occurred after emigration to the Americas and the Caribbean, where the subspecies adapted to new environments. Mutations conferring resistance to common insecticides have emerged independently in multiple locations and spread through recent transcontinental migration, increasing arboviral risk in Africa, among other locations.

 

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September 21, 4:04 AM
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Ces étonnantes araignées tuent leurs proies… en leur vomissant dessus

Ces étonnantes araignées tuent leurs proies… en leur vomissant dessus | EntomoNews | Scoop.it
Une espèce d’araignées fascine les spécialistes en raison de sa technique de chasse qui consiste à vomir sur ses proies pour les tuer.

 

Publié le 12 Sep 2025 à 18H00 / modifié le 12 Sep 2025

Mehdi SMAINI

 

"Les araignées Uloborus plumipes, originaires d'Afrique du Nord, utilisent des fluides naturels pour capturer leurs proies. Ces araignées vomissent sur leurs proies après les avoir enveloppées dans des toiles de soie pour les tuer. Découvrez comment les Uloboridae transforment leurs sucs digestifs en armes redoutables pour la chasse."

 

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ndé

L'étude

 

 

... Ces résultats soutiennent l'hypothèse selon laquelle les araignées Uloboridae ont perdu leur appareil venimeux tout en conservant des gènes de type toxine. La puissante toxicité de leurs fluides digestifs, une caractéristique commune à toutes les araignées, compense probablement l'absence de venin, assurant une immobilisation et une digestion efficaces des proies.

 

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Illustration

 

Sometimes "improvise, adapt, overcome" means puking your way to victory. Image credit: Federico.Crovetto / Shutterstock.com

 

via The Uloboridae Spiders Sick Up Toxic Goo To Kill Their Victims Instead Of Using Venom | IFLScience, 17.06.2025 https://www.iflscience.com/these-spiders-vomit-their-victims-to-death-regurgitating-toxic-goo-until-its-dinner-79644

 

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September 18, 12:59 PM
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Chikungunya : forte hausse des cas autochtones en métropole, Santé publique France appelle à la vigilance face aux moustiques-tigres

L’implantation du moustique tigre dans 81 départements métropolitains inquiète les autorités, qui redoutent une propagation accrue du chikungunya et d’autres maladies vectorielles cet automne.

 

Le Monde avec AFP

Publié hier à 23h45, modifié à 09h52

 

"Face à la hausse inédite des contaminations cet été en métropole par le chikungunya et dans une moindre mesure par la dengue, les autorités sanitaires ont appelé, mercredi 17 septembre, à rester vigilants car « la saison n’est pas terminée » pour les moustiques vecteurs de ces maladies.

 

Au 15 septembre, autour de 480 cas autochtones de chikungunya ont été identifiés en France métropolitaine, selon le bilan hebdomadaire de l’agence sanitaire, contre 382 la semaine précédente.

 

Si plusieurs épisodes sont désormais clos, l’été 2025 est d’une ampleur inédite en métropole pour les cas autochtones de chikungunya, dont le virus se transmet d’un humain à l’autre via des piqûres de moustiques tigres et provoque des fièvres et douleurs articulaires."

(...)

 

 

Image : Carte des foyers de transmission autochtone de chikungunya et de dengue en France hexagonale, saison 2025, à la date du 15/09/2025

Bernadette Cassel's insight:

 

Précédemment

 

 

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September 16, 2:05 PM
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Insectes : une nouvelle étude alarmante révèle un déclin rapide même dans les écosystèmes préservés

Insectes : une nouvelle étude alarmante révèle un déclin rapide même dans les écosystèmes préservés | EntomoNews | Scoop.it

À haute altitude, là où l’impact humain direct est quasi nul, les insectes disparaissent aussi. Leur déclin rapide questionne la capacité des écosystèmes à résister au réchauffement climatique. Cette réalité, désormais mesurée, oblige à reconsidérer l’ampleur du dérèglement global et ses effets sur la biodiversité invisible, mais vitale.

 

Laurie Henry, 10.09.2025

 

"Pollinisateurs, maillons essentiels des chaînes alimentaires : les insectes assurent l’équilibre de presque tous les écosystèmes terrestres. Pourtant, leurs populations s'effondrent, et pas seulement dans les campagnes intensément cultivées ou les zones urbanisées. Une étude dirigée par Keith Sockman, biologiste à l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill, révèle une chute alarmante de 72,4 % des insectes volants sur vingt ans dans une prairie subalpine du Colorado, pourtant peu touchée par les activités humaines.

 

Publiée dans la revue Ecology de la Ecological Society of America, cette recherche interroge directement le rôle du changement climatique dans des zones naturelles jusqu’ici considérées comme des refuges. Alors que les températures estivales nocturnes augmentent régulièrement, même en haute montagne, ce recul massif met en lumière la fragilité des espèces endémiques et la portée globale d’un phénomène jusqu’ici sous-estimé dans les milieux dits « préservés »."

(...)

 

 

Image via "72% of Insects Gone": Scientists Discover Climate Change Annihilating Life in Colorado's Most Remote Wilderness Areas, 11.09.2025 https://www.sustainability-times.com/research/72-of-insects-gone-scientists-discover-climate-change-annihilating-life-in-colorados-most-remote-wilderness-areas/

 

Bernadette Cassel's insight:

 

 

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September 14, 2:03 PM
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Pollutions lumineuses : les communautés de papillons de nuit ont du plomb dans l’aile

Pollutions lumineuses : les communautés de papillons de nuit ont du plomb dans l’aile | EntomoNews | Scoop.it
Au cours de vos balades nocturnes, vous avez certainement remarqué des groupes de papillons de nuit tournoyant autour des lampadaires allumés. Cette pollution lumineuse directe s’ajoute à une pollution diffuse, le « skyglow », causée par la lumière artificielle dispersée dans l’atmosphère. Quels impacts ces deux types de pollutions lumineuses ont-ils sur les communautés de papillons de nuit ?

 

9 septembre 2025
par Laetitia Theunis

 

"Une étude menée par Dr Evert Van de Schoot, sous la direction du Pr Hans Van Dyck et de la Pre Renate Wesselingh à l’UCLouvain, montre qu’au sein des jardins éclairés, tant le nombre d’individus que d’espèces décline fortement."

(...)

 

Des jardins soumis à une pollution lumineuse progressive

 

"En Belgique, la pollution lumineuse diffuse (dite aussi indirecte) est omniprésente : il n’existe plus de véritable nuit noire. Le skyglow est toutefois plus marqué au nord du pays, région davantage urbanisée, qu’au sud du Sillon Sambre-et-Meuse. Pour évaluer son impact sur les papillons de nuit, les chercheurs ont sélectionné 12 jardins dans les Brabants wallon et flamand, ainsi que 12 autres autour de Rochefort.

 

Dans chacune de ces deux zones, la moitié des jardins choisis étaient fortement exposés à l’éclairage public : les pièges y étaient installés à moins de 30 m d’un lampadaire non obstrué par des arbres ou des clôtures. L’autre moitié des jardins étaient considérés comme ‘sombres’, dans le sens où les pièges étaient installés à plus de 30 m d’un lampadaire ou si la lumière artificielle était partiellement masquée par des obstacles.

 

Pour dénombrer et identifier les papillons de nuit, deux méthodes ont été utilisées : des pièges à lumière et des pièges à appât garni d’un doux mélange de vin et de sucre (dénué de lumière). « Si, globalement, le premier système attire davantage d’animaux que le second, leur combinaison permet de capturer des espèces avec un profil écologique différent. Et donc d’avoir une vision plus large de la communauté présente », explique Pr Van Dyck.

 

Déclin du nombre d’individus et d’espèces de papillons de nuit

 

Résultats ? « En ce qui concerne l’abondance, donc le nombre de papillons, la pollution lumineuse diffuse (skyglow) a peu d’effet. En revanche, dans les jardins à moins de 30 m, d’un lampadaire fonctionnel, on constate une baisse de 42 %, toutes espèces confondues », précise Pr Van Dyck.

 

Les lampadaires impactent aussi la richesse spécifique, c’est-à-dire le nombre d’espèces. « Selon les méthodes de piégeage, les résultats varient : le piège lumineux indique une baisse de près d’un tiers (28 %) du nombre d’espèces, tandis que le piège à appât révèle une diminution de 40 % du nombre d’espèces. »

 

La pollinisation nocturne mise à mal

 

Ces déclins sont significatifs et les conséquences sur le fonctionnement des écosystèmes pourraient être lourdes.

Notamment, et trop peu le savent, car les papillons de nuit sont de grands pollinisateurs. « Lorsqu’on évoque les pollinisateurs, on pense immédiatement aux abeilles et à leur rôle diurne dans la pollinisation des plantes qui nous nourrissent — fruits, légumes, céréales. Pourtant, la nuit aussi, de nombreuses plantes, surtout des espèces sauvages, sont visitées par des insectes, en particulier par les papillons de nuit. Dès lors, le déclin global de la pollinisation ne représente pas seulement un enjeu agricole, mais constitue également un problème écologique majeur pour les plantes sauvages et toutes les espèces qui en dépendent », explique le Pr Hans Van Dyck.

 

Une étude a révélé que les plantes exposées à une pollution lumineuse directe recevaient en moyenne 62 % de visites nocturnes en moins que celles situées dans des zones sombres !"

(...) 

 

  

Image : Graphical Abstract
 
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September 12, 1:36 PM
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Quand les insectes visitent-ils les plantes ? Cela dépend de qui, quoi, où... La réponse pour trois différents sites naturels situés en Corse !

Quand les insectes visitent-ils les plantes ? Cela dépend de qui, quoi, où... La réponse pour trois différents sites naturels situés en Corse ! | EntomoNews | Scoop.it
In natural ecosystems, species are interacting with many others constituting complex networks. Analysis of these networks enables us to describe and visualize ecological communities, which can vary greatly depending on the habitat and the season. Here, we have studied insect floral visitors explicitly considering the four main orders Hymenoptera, Coleoptera, Diptera, and Lepidoptera over nine months in 2022 across three sites in South-West Corsica.

 

Pierre-Yves Maestracci, Laurent Plume, Caroline de Zutter & Marc Gibernau

 

Arthropod-Plant Interactions

 

Seasonal and habitat variations of floral visitor networks in a Mediterranean maquis

 

Published: 06 September 2025

 

Image : Number of species per family for insects (left) and plants (right)

 

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NDÉ

Traduction

 

Dans les écosystèmes naturels, les espèces interagissent avec de nombreuses autres, formant ainsi des réseaux complexes. L'analyse de ces réseaux nous permet de décrire et de visualiser les communautés écologiques, qui peuvent varier considérablement en fonction de l'habitat et de la saison.

 

Nous avons étudié les insectes butineurs en nous concentrant spécifiquement sur les quatre principaux ordres que sont les hyménoptères, les coléoptères, les diptères et les lépidoptères, sur une période de neuf mois en 2022, sur trois sites du sud-ouest de la Corse.

 

Nous avons enregistré 2 848 interactions entre insectes et fleurs impliquant 241 espèces morphologiques d'insectes et 54 espèces végétales. Sept espèces végétales représentaient 61 % de toutes les observations d'insectes et 81 % de la diversité des espèces d'insectes enregistrées.

 

Nos résultats ont révélé une dynamique spatiale et temporelle prononcée. Des communautés saisonnières distinctes de visiteurs floraux ont émergé sur chaque site, la plus grande diversité étant observée entre le printemps et l'été.

 

La composition des espèces clés variait considérablement d'une saison à l'autre : Bombus xanthopus, Oedemera spp. et Tropinota squalida au printemps ; Hylaeus spp. et Mordellistena spp. en été ; Apis mellifera et Hylaeus spp. en automne. La diversité végétale locale et l'hétérogénéité du paysage à courte (200 m) et longue (1 km) échelle ont probablement contribué aux différences spatiales entre les sites.

 

Cette étude souligne la nécessité d'intégrer des groupes peu étudiés tels que les coléoptères et d'étendre l'échantillonnage à toutes les saisons afin de saisir pleinement la dynamique des réseaux végétaux et des visiteurs floraux.

 

Cependant, compte tenu de la grande diversité et de la complexité taxonomique des insectes visiteurs de fleurs, la gestion directe est difficile. Au lieu de cela, la priorité accordée à la gestion des communautés végétales offre un moyen pratique de soutenir ces interactions, d'autant plus que les assemblages de visiteurs varient en fonction du microhabitat et de la structure du paysage.

 

Ces informations sont essentielles pour comprendre les processus écologiques et élaborer des stratégies de conservation solides qui tiennent compte de la variabilité de ces interactions dans les écosystèmes méditerranéens.

 

Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

 

Bernadette Cassel's insight:

 

Cette étude souligne la nécessité d'intégrer des groupes peu étudiés tels que les coléoptères et d'étendre l'échantillonnage à toutes les saisons afin de saisir pleinement la dynamique des réseaux plantes-insectes, la composition des espèces clés variant considérablement d'une saison à l'autre.

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September 10, 1:05 PM
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Scientists Find Curvy Answer to Harnessing “Swarm Intelligence”

Scientists Find Curvy Answer to Harnessing “Swarm Intelligence” | EntomoNews | Scoop.it
Breakthrough offers way to develop AI to match flocking birds and schooling fish

 

Sep 8, 2025
James Devitt
Sep 9, 2025

 

Pictured above are robots, used in the Proceedings of the National Academy of Sciences study, that have the potential to advance "artificial swarm intelligence"—a type of AI that mimics flocking birds and schooling fish. Image courtesy of the Department of Artificial Intelligence, the Donders Center for Cognition, Radboud University. Photo Credit: Luco Buise.

 

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NDÉ

Traduction

 

Les oiseaux se regroupent pour se nourrir et se déplacer plus efficacement. Les poissons se rassemblent pour échapper aux prédateurs. Et les abeilles essaiment pour se reproduire.

 

Les progrès récents en matière d'intelligence artificielle ont cherché à imiter ces comportements naturels afin d'améliorer les opérations de recherche et de sauvetage ou d'identifier les zones touchées par des incendies de forêt sur de vastes étendues, principalement grâce à des mouvements coordonnés de drones ou de robots. Cependant, le développement d'un moyen de contrôler et d'utiliser ce type d'IA, ou « intelligence collective », s'est avéré difficile.

 

Dans un article récemment publié, une équipe internationale de scientifiques décrit un cadre conçu pour faire progresser l'intelligence collective, en contrôlant le regroupement et l'essaimage de manière similaire à ce qui se produit dans la nature.

 

Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

 

L'étude

 

 

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September 8, 2:01 PM
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Les abeilles sauvages butinent différentes fleurs pour équilibrer leur alimentation

Les abeilles sauvages butinent différentes fleurs pour équilibrer leur alimentation | EntomoNews | Scoop.it
Researchers say findings show need for conservation efforts to focus on nutritional diversity

 

Wild bees visit different flowers to balance diet, study shows | Bees | The Guardian
 
Svetlana Onye
Wed 27 Aug 2025 08.00 CEST

 

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NDÉ

Traduction

 

Les abeilles sauvages visitent différentes fleurs pour équilibrer leur régime alimentaire, selon une étude

 

Les chercheurs affirment que les résultats montrent que les efforts de conservation doivent se concentrer sur la diversité nutritionnelle

 

Svetlana Onye Wed 27 Aug 2025 08.00 CEST

 

Selon une étude, les abeilles sauvages visitent stratégiquement différentes fleurs pour équilibrer leur consommation de protéines, de graisses et d'hydrates de carbone.

 

Une équipe d'écologistes a observé huit espèces de bourdons sauvages dans les Rocheuses du Colorado pendant huit ans afin de dresser une carte nutritionnelle complète. En se concentrant sur la consommation de pollen, l'équipe dirigée par l'université Northwestern et le jardin botanique de Chicago a suivi les fleurs que chaque espèce d'abeille visitait pour le pollen. Ils ont prélevé des échantillons de pollen sur ces espèces de plantes afin de comprendre leur teneur en nutriments.

 

(...)

 

Image : Selon cette étude, les abeilles butinent différentes fleurs afin d'équilibrer leur apport en protéines, lipides et glucides. Photo : Filip Singer/EPA

 

L'étude

 

 

L'alimentation est à la base de la forme physique et des interactions écologiques, mais la manière dont la disponibilité des nutriments façonne les interactions entre les espèces dans les communautés naturelles reste mal comprise. La plupart des recherches en écologie nutritionnelle se concentrent sur des systèmes de laboratoire ou mono-espèces, ce qui limite la compréhension de la manière dont l'utilisation des nutriments et la dynamique des niches nutritionnelles se produisent dans des assemblages complexes et multispécifiques à l'état sauvage.

 

Nous avons combiné des données à long terme sur les interactions entre les plantes et les pollinisateurs avec des analyses des macronutriments du pollen afin d'examiner comment les bourdons sauvages exploitent les macronutriments et s'ils occupent des niches nutritionnelles distinctes. La composition en macronutriments du pollen variait selon les espèces végétales et au cours de la saison, le pollen riche en protéines atteignant son maximum au printemps et le pollen riche en lipides et en glucides augmentant à la fin de l'été. Dans ce paysage nutritionnel, les espèces de bourdons occupaient deux niches nutritionnelles distinctes : l'une riche en protéines et pauvre en lipides et en glucides, l'autre plus pauvre en protéines mais modérée en lipides et en glucides. La répartition des niches nutritionnelles était associée à des différences dans la morphologie alimentaire et le stade de vie de la colonie (mais pas dans la phénologie).

 

Nous avons trouvé peu de preuves que l'étendue des niches nutritionnelles différait entre les espèces ou pouvait s'expliquer par la morphologie alimentaire ou le stade de vie de la colonie. Nos résultats étendent l'écologie nutritionnelle à un contexte multispécifique, fournissent des preuves du partage des niches nutritionnelles entre les pollinisateurs sauvages et soulignent la nécessité de prendre en compte les besoins nutritionnels spécifiques à chaque espèce dans la conservation des pollinisateurs.

 

Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

 

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September 5, 1:08 PM
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À Taïwan, une araignée transforme des lucioles en appâts vivants

À Taïwan, une araignée transforme des lucioles en appâts vivants | EntomoNews | Scoop.it
Dans la forêt taïwanaise, une araignée nocturne intrigue les chercheurs par un comportement de chasse inhabituel. Son interaction avec les lucioles révèle une ruse écologique que la science commence à décrypter.

 

Par Chloé Gurdjian
Publié le 2 septembre 2025 à 20h22
 

"Dans le règne animal, la survie dépend souvent de stratégies de chasse aussi variées qu’ingénieuses. Les scientifiques observent régulièrement des comportements surprenants qui permettent à certaines espèces de tirer parti de leur environnement ou de détourner les signaux d’autres animaux. Une récente étude menée à Taïwan et publiée dans Journal of Animal Ecology décrit un cas frappant impliquant des araignées et des lucioles, révélant une nouvelle forme de tromperie écologique.

Une mise en scène lumineuse dans la toile

Les araignées de l’espèce Psechrus clavis tissent leurs toiles entre 10 et 70 centimètres du sol, nichées entre les rochers ou au pied des arbres. Dans ces pièges discrets viennent parfois se débattre les mâles d’une luciole, Diaphanes lampyroides."

(...)

 

 

Image via Journal of Animal Ecology on X, 02.09.2025 : "🚨New Research: Prey bioluminescence-mediated visual luring in a sit and wait predator ➡️ https://t.co/E8vLMhSwNO https://t.co/43t5qyJ2uQ" 
https://x.com/AnimalEcology/status/1962863111666274476

 

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September 2, 12:14 PM
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L’été 2025 est le troisième plus chaud jamais enregistré en France

L’été 2025 est le troisième plus chaud jamais enregistré en France | EntomoNews | Scoop.it
Selon le bilan climatique publié par Météo-France, les mois de juin, juillet et août se classent juste derrière les étés 2003 et 2022. La ministre de la transition écologique, Agnès Pannier-Runacher a appelé à sortir de la « cécité collective » face à l’« urgence climatique ».

 

Par Audrey Garric

Publié aujourd’hui à 11h28, modifié à 16h48

 

Extrait :

 

« Aujourd’hui, l’été n’est plus synonyme d’insouciance, mais une saison dangereuse pour les organismes vivants, les activités agricoles, le travail en extérieur », indiquait la climatologue Valérie Masson-Delmotte dans un entretien au Monde fin août, dénonçant également un « déni collectif », de la population et du personnel politique, face à la gravité de la situation.

 

 

Image : Infographie Le Monde. Source : Météo-France

 

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