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March 12, 2013 6:45 AM
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SINGAPORE - Plans to enhance the fighting capabilities of the Singapore Armed Forces (SAF) and tighten training safety were spelt out by the Ministry of Defence (Mindef) in the Budget debate yesterday. Here are some key highlights. New defence machines Mindef is in the "final stages" of evaluating the still-in-development F-35 jet to "modernise" the Republic of Singapore Air Force's fighter fleet, said Defence Minister Ng Eng Hen. He said the jet has "the potential to be the most advanced multi-role fighter aircraft for decades to come". Mindef is also looking to replace its ageing Challenger-class submarines, which were built in the 1960s.
Via Patrick H.
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March 12, 2013 6:03 AM
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24 sous-marins et 54 navires de surface supplémentaires équiperont la Marine russe avant la fin de l'année 2020, a déclaré lundi le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou. "En application du programme national d'armement pour la période de 2011-2020, la Marine recevra huit croiseurs sous-marins lance-missiles, 16 sous-marins polyvalents et 54 navires de surface de différentes classes", a précisé le ministre. Selon lui, le renouvellement du parc de navires de guerre est crucial pour le développement de la Marine. "Toutefois, il impossible de préserver le potentiel de combat de la Marine, si le niveau d'entretien technique n'est pas réalisé au niveau requis", a poursuivi M.Choïgou. Le chef du département militaire a souligné que depuis 2011, l'entretien des bâtiments et navires de guerre russes était régi par un contrat de trois ans conclu avec le Consortium unifié de constructions navales.
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March 12, 2013 5:57 AM
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Washington has expressed an interest in supplying Greece with naval support aircraft just days after discussions between Athens and French officials about a possible deal. Kathimerini understands that the USA is prepared to supply four Lockheed P3-Orion surveillance aircraft for free or a symbolic fee as long as the Hellenic Navy is prepared to agree a refurbishment deal with Lockheed Martin that would cost approximately 250 million dollars (190 million euros), payable over five years. US sources said that it would cost about 150 million dollars each if these aircraft were bought new.
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March 11, 2013 11:26 AM
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Discover the nEUROn program in pictures...
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March 11, 2013 6:08 AM
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Un hélicoptère russe Mi-8 de la compagnie Utair travaillant pour l'Onu s'est écrasé en République démocratique du Congo, le sort de son équipage reste inconnu, a annoncé dimanche à RIA Novosti un porte-parole de l'ambassade russe à Kinshasa. Selon lui, le Mi-8 faisait un vol entre les villes de Shabunda et Bukavu. A dix kilomètres de l'aéroport de Bukavu la liaison avec l'hélicoptère a été interrompue. Dimanche matin, l'appareil a été découvert dans la jungle difficilement accessible des montagnes à l'altitude de 2.700 mètres. "Selon les informations préliminaires, l'équipage de l'hélicoptère se composait de quatre Russes. Il n'y avait pas de passagers ni de cargaisons à son bord. Une opération de sauvetage a été lancée, le sort de l'équipage reste inconnu", a précisé l'interlocuteur de l'agence.
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March 11, 2013 6:06 AM
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Washington has expressed an interest in supplying Greece with naval support aircraft just days after discussions between Athens and French officials about a possible deal. Kathimerini understands that the USA is prepared to supply four Lockheed P3-Orion surveillance aircraft for free or a symbolic fee as long as the Hellenic Navy is prepared to agree a refurbishment deal with Lockheed Martin that would cost approximately 250 million dollars (190 million euros), payable over five years. US sources said that it would cost about 150 million dollars each if these aircraft were bought new.
Via Patrick H.
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March 11, 2013 6:02 AM
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La marine australienne envisage de doter ses sous-marins de la classe Collins de nouvelles technologies japonaises, ce qui permettrait de prolonger de 10 ans leur durée de vie opérationnelle. Cela aurait aussi pour conséquence de retarder d’autant le besoin de construire de nouveaux sous-marins pour remplacer ceux de la classe Collins. Le Japon a assoupli sa constitution interdisant l’exportation de matériels militaires. La marine australienne pourrait ainsi choisir les sous-marins de la classe Soryu — ou plus probablement certaines de leurs technologies — pour remplacer ses 6 sous-marins de la classe Collins. La marine australienne étudie actuellement la possibilité d’équiper chaque sous-marins de la classe Collins d’un système de propulsion anaérobie ultra-moderne, depuis les moteurs diesel et électriques jusqu’à l’hélice. Ces travaux pourraient être effectués en Australie ou au Japon, à l’occasion d’un grand carénage. Des discutions ont commencé entre les 2 pays sur un accord de transfert de technologies, qui pourrait concerner les sous-marins. Ce serait une grande première puisque Tokyo n’a jusqu’à présent jamais partagé de technologies militaires avec un pays autre que les Etats-Unis. Le Japon doit encore prendre une décision sur l’exportation des sous-marins Soryu ou de leurs technologies vers l’Australie, mais des membres importants de la défense à Tokyo sont en sa faveur. En mai dernier, le chef de la marine australienne, Ray Griggs, et d’autres responsables australiens ont visité un sous-marin de la classe Soryu au cours d’une visite au Japon. Ils en sont revenus très impressionnés.
Via Patrick H.
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March 11, 2013 5:11 AM
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Le processus d’achat d’avions de combat Gripen auprès du constructeur suédois Saab lancé par la Suisse en novembre 2011 relève du parcours du combattant. Après les critiques portant sur le choix de cet appareil aux dépens du Rafale et de l’Eurofighter, pourtant mieux notés lors des évaluations, c’est au niveau politique que ça coince. Ainsi, le 5 mars, le Conseil des Etats (l’équivalent du Sénat en France) a refusé d’accorder les 3,1 milliards de francs suisses nécessaires à l’achat des 22 Gripen tout en acceptant, cependant, le principe de renouveler la flotte des F-5 Tiger II que les avions suédois sont censés remplacer. Pourtant, en commission, les conseillers avaient donné leur aval. En séance, Ueli Maurer, le chef du département de la défense, qui est aussi actuellement le président de la Confédération, a fait savoir qu’il n’avait pas lu en détail le contrat signé avec Stokcholm pour la livraison des Gripen. “Ce sont 56 pages en anglais, avec beaucoup de considérations techniques, je fais confiance aux spécialistes de mon service”, a-t-il admis. Reste que, selon le même Ueli Maurer, l’achat des Gripen serait désormais “compromis”, la balle étant désormais dans le camp du Conseil national, qui aura aussi à se prononcer sur le financement en juin prochain. Et le cas échéant, les opposants à cette acquisition pourront jouer leur va-tout lors d’un référendum populaire. Et actuellement, selon les sondages, une majorité de Suisses ne veulent pas de l’avion suédois. “Les chances d’emporter un référendum sont réelles. Car il y a en effet un sentiment de gaspillage financier assez large. Le sort du Gripen me laisse peu de doutes. Il faudra de toute façon revoir notre police du ciel ainsi que toutes les missions de l’armée”, a ainsi déclaré le sénateur écologiste Luc Recordon, dans les colonnes du quotidien Le Matin. “Je crois que nous avons besoin d’avions pour la sécurité aérienne, pour courir après un Piper ou un Boeing en cas d’attaque terroriste. Cela nécessite un intercepteur relativement rapide, mais pas un chasseur de combat. La vitesse des avions civils est de toute façon inférieure à Mach1″, a-t-il aussi expliqué. Seulement, la difficulté serait alors de trouver l’appareil adéquat, lequel pourrait être un avion conçu pour l’entraînement avancé (BAE Hawk, Aermacchi M-346, Aero L-159 Alca tchèque ou encore T-50 Golden Eagle sud-coréen?) Cela étant, la décision suisse aura des conséquences en Suède, où l’exportation de la dernière version du Gripen (E/F), actuellement en cours de développement, est primordiale pour que les forces aériennes suédoises puissent en aquérir un soixantaine d’exemplaires pour 14,2 milliards de dollars. En cas d’un renoncement de Berne, cette commande serait annulée. Et au-delà, c’est l’existence même de Saab qui serait menacée.
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March 8, 2013 5:26 AM
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Russia and NATO in the frame of anti-piracy cooperation in the Gulf of Aden negotiate about fuel resupply of the warships, participating in counter piracy missions as the source in Permanent Delegation of the Russian Federation to NATO told to RIA Novosty.
"We negotiate with NATO about possibility of fuel resupply using relevant Russian and NATO's resources in the water area of the Gulf of Aden", the source said.
Anti-piracy campaign in the Gulf of Aden is hold in the context of military operation undertaken by the European Union Naval Force since 2009 Atalanta and NATO's operation Ocean Shield.
Russian warships perform anti-piracy missions and convoy escorting in the Gulf of Aden since 2008.
Recall, that earlier Russian warships were equipped by Nato's navigation and communicatioins systems.
Via Patrick H.
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March 8, 2013 5:07 AM
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Global Aerospace Logistics (GAL) has signed a new service agreement with Jeppesen, a subsidiary of Boeing Commercial Aviation Services, to help enhance the air mobility and tanker operations of the UAE Air Force and Air Defence (UAEAF). As part of the agreement, GAL will install Jeppesen Operations Solution (JOS) and the MilPlanner military flight planning programme (as the command and control (C2) system) in its International Movements Operations Center (IMOC).
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March 8, 2013 4:52 AM
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Positionnée bien au-delà de la 10e place dans le classement des marines mondiales il y a encore 20 ans, la marine chinoise, forte de plus de 400 bâtiments (plus de 515.000 tonnes) et 255.000 hommes, est en bonne voie pour parvenir à la 2e place, juste derrière l’US Navy, et détrôner la marine russe dans les années à venir si elle maintient son rythme de constructions neuves actuel. Ce dernier avait un peu ralenti entre 2006 et 2008 mais il est reparti de plus belle depuis 2009. Entre fin 2011 et fin 2012, la Chine aura ainsi lancé ou mis en service un porte-avions, 3 sous-marins, 5 destroyers lance-missiles, 5 frégates, 7 corvettes, une vingtaine de patrouilleurs lance-missiles, 4 dragueurs océaniques, 2 transports de chalands de débarquement, 2 pétroliers-ravitailleurs, 2 bâtiments-bases de sous-marins et 2 bâtiments d’expérimentation. Destroyer du type Lujang II (© : APL) Cela démontre s’il en était encore besoin la volonté impérieuse des dirigeants chinois de faire de leur pays une grande puissance navale. Ils ont bien pris conscience d’une part de l’importance de la sécurisation des voies de communication maritimes pour la bonne marche de leur économie, d’autre part de la raréfaction à venir des ressources énergétiques terrestres et donc de la nécessité d’aller les chercher dorénavant au fond des mers où elles se trouvent en quantité. On assiste ainsi à un regain de nationalisme et de tension pour la possession des îlots situés à proximité de la mer Jaune et en mer de Chine méridionale. Si ces îlots ne représentent pas intrinsèquement un intérêt majeur, ils génèrent en revanche chacun, pour l’Etat propriétaire, une zone économique exclusive de 200 nautiques : dans ces eaux se trouvent des ressources halieutiques importantes et le fond de la mer et le sous-sol marin y recèlent des ressources minérales, pétrolières et gazières abondantes. Cela explique les escarmouches toutes récentes, pour le moment limitées aux seules forces de garde-côtes, à proximité de la mer Jaune dans les eaux jouxtant les îles japonaises Senkaku, dont la propriété est contestée par la Chine et Taïwan qui les appellent les Dyaoyu. La problématique est identique en mer de Chine méridionale pour les îles Spratley et Paracel dont la possession est revendiquée à la fois par la Chine, Taïwan, le Viêtnam, la Malaisie, Brunei et les Philippines. Le porte-avions Liaoning (© : APL) Officiellement acheté à l’Ukraine en 2000 par un homme d’affaires de Macao pour être transformé en casino flottant, l’ex-porte-avions russe Varyag a bel et bien été achevé à Dalian comme porte-avions, ce qui était une évidence dès le départ. Baptisé Liaoning et mis en service le 24 septembre 2012 avec faste en présence du président Hu Jintao, ce bâtiment permet à la Chine de conforter son statut de grande puissance, la possession d’un porte-avions étant l’apanage des nations importantes, et notamment celles qui sont membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU. Ce bâtiment va mettre en œuvre des intercepteurs Shenyang J-15, copie chinoise du Flanker Su-33 russe, ce qui a fortement mécontenté la Russie qui en représailles a refusé de livrer les Su-33 que la Chine comptait acquérir pour armer le Liaoning. Toutefois, si la marine chinoise dispose effectivement d’un porte-avions en état de servir, il faudra bien des années encore avant qu’il soit pleinement opérationnel, car elle va devoir acquérir la « culture de l’aviation embarquée » et donc maîtriser les techniques des opérations aéronavales. Un J-15 sur le porte-avions Liaoning (© : NEWS.CN) Un J-15 sur le porte-avions Liaoning (© : NEWS.CN) Un 3e sous-marin nucléaire lanceur d’engins (SNLE) du type Jin pourrait être mis en service en 2013, mais cela doit être confirmé car ces unités (de même que les sous-marins nucléaires d’attaque - SNA) sont toujours en Chine construites dans le plus grand secret, à l’opposé de ce qui se fait en occident et même en Russie. Il en est de même pour le 3e SNA du type Shang. La construction des sous-marins classiques du type Yuan se poursuit à un rythme rapide : au moins 9 sont en service et la série continue. Un nouveau type de sous-marin appelé Qing, doté d’un long massif, est apparu en 2010 ; un seul exemplaire existe pour le moment ; il pourrait s’agir d’un bâtiment conçu pour l’expérimentation des nouveaux missiles balistiques ou de croisière. SNLE du type Jin (© : CHINESE MILITARY FORUM) SNA du type Shang (© : CHINESE MILITARY FORUM) Sous-marin du type Yuan (© : CHINESE MILITARY FORUM) Le sous-marin Qing (© : CHINESE MILITARY FORUM) Après avoir testé pendant 5 ans ses 2 premiers destroyers lance-missiles du type Lujang II de conception nationale, la marine chinoise en a commencé la construction en série : 4 autres ont ainsi été mis en service ou lancés depuis 2008, ainsi que les 2 premières unité du type Lujang III (2 autres étant en construction) qui se différencient des 6 premiers par des lanceurs verticaux pouvant également mettre en oeuvre des missiles antinavires, une tourelle d’artillerie de calibre plus élevé et un radar à faces planes plus puissant. Destroyer du type Lujang II (© : APL) Les frégates du type Jiangkai II ont été construites en grande série ces 5 dernières années puisque 13 sont désormais en service et 5 autres en construction ou achèvement ; c’est le cas également des toutes nouvelles corvettes lance-missiles du type 056 : pas moins de 10 ont été lancées depuis début 2012, la première (Bengbu) étant en service depuis le 24 février 2013. Quatre chantiers différents réalisent ces corvettes, dont 32 au moins seraient prévues au total. Il en est de même pour les patrouilleurs lance-missiles à coque catamaran du type Hubei que l’on estime à 68 exemplaires en service mais ce chiffre pourrait en fait atteindre 83. Frégate du type Jiangkai II (© : APL) Corvette du type 56 (© : CHINESE MILITARY REVIEW ) Patrouilleur du type Hubei (© : CHINESE MILITARY FORUM) Ces adjonctions n’entraînent pas pour autant une disparition des unités très anciennes car si le nombre de destroyers du type Luda (5 Luda I et 4 Luda III) et de frégates du type Jianghu I (10 encore en service) a baissé, les unités désarmées sont parfois transférées aux différentes administrations paramilitaires chargées de la surveillance des côtes, qui sont elles aussi en pleine expansion. Par ailleurs les navires de combat plus récents ont été modernisés, comme par exemple les destroyers du type Luhu (2) et les frégates des types Jiangwei I (4) et Jianghu V (6). Destroyer du type Luda III (© : CHINESE MILITARY FORUM) Frégate du type Jianhu I (© : CHINESE MILITARY FORUM) Destroyer du type Luhu (© : CHINESE MILITARY FORUM) Frégate du type Jianwei I (© : GUILLAUME RUEDA) Frégate du type Jianghu V (© : CHINESE MILITARY FORUM) Les forces anti-mines constituent pour le moment le seul point faible de la Marine chinoise, les nouveaux bâtiments mis en service récemment, types Wozang (2) et Wochi (8) ne semblant pas être très évolués par rapport aux dragueurs océaniques du type T 43 qu’ils remplacent progressivement. En revanche les forces amphibies connaissent toujours une progression importante. Après la mise en service d’une trentaine de bâtiments de débarquement de chars ces 15 dernières années, ce sont maintenant des transports de chalands de débarquement qui font leur apparition : 2 Yuzhao sont en service et un 3e est attendu incessamment. En revanche, l’existence du 4e, annoncée en janvier 2012, n’est pas confirmée. Enfin le lancement de 2 nouveaux pétroliers-ravitailleurs du type Fuchi en 2012 confirme la volonté chinoise de se déployer longtemps et loin de ses bases ; elle le fait notamment en océan Indien où la lutte contre la piraterie lui donne maintenant l’occasion d’être présente en permanence avec 2 bâtiments de combat de surface et un bâtiment de soutien. Chasseur de mines du type Wochi (© : CHINESE MILITARY FORUM) Bâtiment de débarquement de chars du type Yuting II (© : CHINESE MILITARY FORUM) TCD du type Yuzhao (© : CHINESE MILITARY FORUM) Pétrolier-ravitailleur du type Fuchi (© : CHINESE MILITARY FORUM) Les forces maritimes paramilitaires En plus de sa marine, la Chine dispose de cinq corps paramilitaires de garde-côtes qui arment de très nombreux bâtiments de petit ou moyen tonnage : la China Custom dépendant du ministère de l’économie et chargée de la lutte contre les trafics illicites dans les eaux territoriales, la China Coast Guard dépendant du ministère de la sécurité publique et chargée de la police dans les eaux territoriales, la China Maritime Safety Administration dépendant du ministère des transports et chargée de l’application de la réglementation maritime dans les eaux territoriales et la zone économique exclusive, le China Fisheries Law Enforcement Command dépendant du ministère de l’agriculture et chargé de la police des pêches dans les eaux territoriales et la ZEE et enfin la China Marine Surveillance dépendant du ministère des ressources naturelles et chargée de la protection de l’environnement maritime dans les eaux territoriales et la ZEE. Ce dernier corps est en pleine expansion puisqu’il va passer de 10 000 à 15 000 hommes d’ici 2020. Le patrouilleur Haixun II de la CMSA (© : CHINESE MILITARY FORUM) La marine chinoise lui a transféré plusieurs de ses bâtiments le 30 novembre 2012 : ont ainsi été cédés les destroyers 131 Nanjing et 162 Nanning du type Luda, le mouilleur de mines 814 Liaoyang du type Wolei (rebaptisé Zhong Guo Hai Jian 112), le bâtiment collecteur de renseignements 723 du type Yanbing (rebaptisé Zhong Guo Hai Jian 111), le navire hydrographique 852 Qimingxing du type 813 (rebaptisé Zhong Guo Hai Jian 169), le navire hydrographique 411 Nan Diao du type 652C (rebaptisé Zhong Guo Hai Jian 168), le navire hydrographique 226 du type Yanlai, le transport de troupes 830 du type Qiongsha et les trois remorqueurs de haute mer 154, 710 et 830 du type Tuzhong (rebaptisés respectivement Zhong Guo Hai Jian 167, Zhong Guo Hai Jian 110 et Zhong Guo Hai Jian 137). En outre la construction de 36 nouveaux bâtiments de moyen tonnage est prévue d’ici 2016. Le Zhong Guo Hai Jian 83 de la CMS (© : CHINESE MILITARY FORUM) Il faut donc s’attendre a un accroissement sensible des tensions dans les eaux jouxtant les îlots Senkaku/Diaoyu situés en bordure de la mer Jaune dont la Chine conteste au Japon la propriété et plus au sud, en mer de Chine Méridionale, avec les îles Paracel et Spratley revendiquées par la Chine, Taiwan, le Vietnam, la Malaisie, Brunei et les Philippines. Ce sont en effet les navires de la CMS qui sont chargés d’assurer la présence du pavillon chinois dans ces zones maritimes litigieuses.
Le Conseil des États suisse a accepté le crédit pour l’acquisition des 22 avions de combat Saab Gripen par 22 voix contre 20. Mais il n’a pas libéré les 3,126 milliards faute d’une majorité de 24 sénateurs pour lever le frein aux dépenses. Grosse surprise au Conseil des États : Il fallait qu’au moins 24 sénateurs votent « oui ». Or seuls 23 conseillers aux États ont accepté de lever le frein aux dépenses contre 19 et 1 abstention. D’une manière générale, les opposants à l’achat de nouveaux avions destinés à remplacer la flotte des F-5 Tiger ont recruté plus large que prévu. Le Gripen (version JAS39). Les critiques ont surtout été portées par la gauche. D’après ses élus, il y a bien d’autres besoins à couvrir au sein de l’armée avec les 3 milliards en question, comme des avions de transport, a lancé Roberto Zanetti (PS/SO). Son camarade jurassien Claude Hêche a déploré un manque de vision sur l’avenir de la défense aérienne. À droite, tous ont quasiment plaidé la nécessité d’acquérir de nouveaux avions afin que l’armée assure ses missions de surveillance et défense de l’espace aérien. La vieille flotte de 54 Tiger ne sera plus utilisée (les moderniser coûterait trop cher) et les 33 F/A-18 restants ne suffiront pas, selon Hans Hess. Après une analyse détaillée, la commission préparatoire a jugé limités les risques techniques, financiers, politiques et de calendrier liés à l’achat des Gripen. La Suède est un partenaire à qui l’on peut faire confiance, selon le président de la commission préparatoire. Les premiers onze Gripen de type D seraient remis entre mi-2018 et 2019. En attendant la livraison complète, Berne louera de 2016 à 2020 huit Gripen C et trois Gripen D.
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March 8, 2013 4:28 AM
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Les avions d’attaque furtifs F35 JSF de Lockheed Martin sont de nouveau autorisés à reprendre leurs vols. La flotte avait été clouée au sol une semaine plus tôt suite à la découverte d’une crique sur une aube du troisième étage du moteur. Cette défaillance est apparue après un vol extrêmement exigeant pour le propulseur. Il semble qu’une solution ait été trouvée à temps. Il n’empêche ce nouveau souci s’ajoute aux problèmes de logiciel et de fragilité du revêtement lors de manœuvres à haute vitesse et sous fort facteur de charge.
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March 12, 2013 6:44 AM
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A la suite d’accusations de corruption à l’encontre de la compagnie italienne Finmeccanica, le ministère indien de la défense a décidé de suspendre la décision sur l’achat de 100 torpilles Black Shark — qui devaient être achetées à une filiale de Finmeccanica — destinées aux 6 sous-marins Scorpene. Le gouvernement indien n’a pas pris de décision sur l’achat de ces torpilles lourdes à longue portée. Elles sont fabriquées par Whitehead Alenia Sistemi Subacquei, une filiale de Finmeccanica. Pour obtenir un contrat pour des hélicoptères, de hauts responsables de Finmeccanica et de sa filiale britannique AgustaWestland sont soupçonnés de corruption. A la suite de ces allégations, le ministère indien de la défense a bloqué la livraison des hélicoptères et les paiements à la compagnie. A ce stade, on ignore ce que le ministère va faire pour les contrats négociés ou signés avec d’autres filiales du groupe Finmeccanica. Le ministre de la défense, A K Antony, a annoncé que le ministère avait reçu des plaintes sur ce contrat d’un concurrent et de parlementaires. Aucun nom n’a été cité. Un comité technique spécial a été constitué afin de revoir le processus d’évaluation et les plaintes. Référence : Deccan Herald (Inde)
Via Patrick H.
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March 12, 2013 6:03 AM
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he small Congolese Air Force is set to receive an ex-Botswana Defence Force (BDF) CASA CN235 transport aircraft.
CN235M-10 (cn C009, TN-228) was spotted undergoing a test flight at Lanseria International Airport earlier this year, according to the March edition of Air International magazine, which adds that the aircraft will soon be delivered to the Force Aérienne Congolaise (Congolese Air Force).
This is one of two ex-Botswana Defence Force Air Wing CN235s, which were retired after being replaced by new production CN235M-300s from December 2009. Botswana was the second African customer for the CN235 and received its two examples in 1987-88. The older aircraft were subsequently placed in storage at Lanseria. The other aircraft (cn C008, 5V-MBM) was spotted last year in Togolese Air Force markings.
Both CN235s are registered with Fayard Enterprises of Wake Forest, North Carolina. This company primarily provides skydiving operations with aircraft and aircraft maintenance services.
The CN235 is able to carry up to six tonnes of payload. Its two General Electric GE CT7-9C3 turboprop engines, each delivering 1 870 shp, give it a maximum cruise speed of 240 kt (450 km/h). Nearly 280 CN235s have been built for 43 operators in 28 countries around the world. CN235s have accumulated more than a million flight hours.
Congo-Brazzaville has a very small air force geared towards providing transport, especially to the president and government ministers, according to Jane’s Sentinel Security Assessment. Janes adds that since 1997, the air force has “effectively ceased to exist as a viable and effective military organisation. Even before the civil war, most types had been withdrawn from service.”
The Congolese Air Force’s only combat capable aircraft are two ex-South African Air Force Mirage F1s acquired several years ago after being refurbished by the Paramount Group (the Air Force’s dozen MiG-21s are all grounded).
The Congolese Air Force has a motley collection of transport aircraft and helicopters. These include an An-12, five An-24s, one An-26, a Boeing 727, one Fokker F-28 and an N-2501 Noratlas, according to the IISS’s The Military Balance.
Only a few helicopters are in flying condition, including a Mi-26, AS 365 Dauphin, SA 316 Alouette III and SA 318 Alouette II. Other aircraft in the Congo’s inventory include four L-39 Albatros jets. A number of Mi-8/17s may also be in service.
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March 12, 2013 5:55 AM
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The Netherlands and Jordan have struck a €21 million deal that will see 60 surplus Cheetah air defence systems being transferred to the Jordanian armed forces. The agreement also includes the delivery of Cheetah spare parts, some 350,000 rounds of surplus ammunition and technical documentation. In addition, five Leopard 1 armoured recovery vehicles will be handed over to Jordan together with the hulls of 12 non-refurbished PRTL air defence systems and two Leopard 1 main battle tanks (MBT), which will be used for spare parts. Eleven Thales Nederland Flycatcher Mk1 mobile radar fire control systems and 22 40mm Bofors L/70 guns are also included in the deal. The Dutch Ministry of Defence will provide assistance with training and deliveries will commence in 2014. The Cheetah is the Dutch variant of the German Gepard twin 35mm self-propelled anti-aircraft gun (SPAAG) and is based on a slightly-modified Leopard 1 tank chassis. Produced by Krauss-Maffei Wegmann (KMW), the mobile air defence system is equipped with independent search and tracking radars, a search radar (S-band for the German vehicle and X-band for the Netherlands vehicle) installed at the rear of the turret, and a tracking radar (Ku band for the German vehicle and X/Ka band for the Netherlands) on the front of the turret. The Dutch MoD acquired five pre-production and 95 production PRTLs, the last of which was delivered in 1979. In 1995 it was decided to refurbish 60 PRTLs, the first of which was redelivered in 1998. The upgrade programme was a bilateral effort with the German army concurrently refurbishing 147 of their Gepards. The upgraded air defence gun was known as Cheetah in Dutch military service and its service life was planned to continue until 2015. However, due to a realignment of Dutch ground based air defence forces, the Cheetahs were withdrawn from service in 2007 and stored under the auspices of the Dutch Defence Material Organisation. Germany phased out its last Gepards in 2010. Romania received 43 former German army Gepards in 2004 and Chile bought 30 in 2008. The latter deal was later cancelled due to high overhaul costs. In late 2012, another 36 upgraded Gepards were sold to Brazil.
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March 11, 2013 7:41 AM
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Indonesia has confirmed that a joint programme with South Korea to develop the K-FX fighter will be delayed for 18 months. In a statement, Indonesia's ministry of defence says the programme's engineering and manufacturing phase has yet to receive approval from South Korea's parliament. Jakarta was informed about this via a letter from Seoul's Defense Acquisition Program Administration (DAPA). DAPA attributed the delay to the recent elections in South Korea in December 2012. The engineering and manufacturing phase, which will include the production of prototypes, is the second of three phases for the K-FX programme. The programme's first phase focused on technology development and was completed in December 2012. The third and final stage involves joint production and joint marketing of the aircraft. The technology development phase saw the two countries establish a joint research and development centre in South Korea, to which Jakarta contributed 37 engineers. The statement adds that Seoul will not cancel the programme owing to the "huge sums" already spent on K-FX. The entire programme is forecast to cost $5 billion, with Jakarta committed to footing 20% of development costs. The K-FX is envisaged as fighter that will be more advanced than the Lockheed Martin F-16C, yet lacking some of the capabilities of the F-35. Seoul hopes to use offsets garnered from the yet-to-be decided 60 aircraft F-X III competition to help develop the K-FX. Contestants for the F-X III include the F-35, Boeing F-15 Silent Eagle and Eurofighter Typhoon. Sources say Seoul could announce a winner by the middle of 2013.
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March 11, 2013 6:06 AM
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Until the new MA60 MPA enters service, the PLAN will continue to rely on their B-6 bombers for long range patrols over the South China Sea. A role that the Chinese Tu-16 is clearly ill-suited for. Bombers cruising in South China Sea
(Source: China Military Online) 2013-03-07
Recently, a bomber regiment of the aviation force under the South China Sea Fleet of the Navy of the Chinese People’s Liberation Army (PLA) successfully completed the patrolling mission over a sea area of the South China Sea after several hours of continuous flight. It is the first time for the regiment to conduct patrolling and cruising over the sea area. (chinamil.com.cn/Gao Hongwei)
Editor:Zhang Tao
Via Patrick H.
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March 11, 2013 6:03 AM
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Raytheon Co said it successfully tested an upgrade to its SM-3 ballistic missile interceptor to help pave the way for European navies to protect the region against long-range weapons from countries such as Iran. The trial last week showed that a radar used by Dutch, German and Danish navies could provide target information to the interceptor, George Mavko, director of European missile defense at Raytheon, the world’s largest missile maker, said in an interview. “This is a first step to bring those ships into compatibility with the missile defense mission,” he said. The U.S., as part of a wider effort to field a missile shield, is installing SM-3 interceptors on ships and has plans for land-based deployment of the weapon in Romania to give the capability to shoot down long-range missiles outside the atmosphere. The Netherlands is among European countries exploring how to join the U.S. in addressing such attacks. “This is very prudent move by the Dutch,” Mike Elleman senior fellow at the International Institute for Strategic Studies in Bahrain, said in an interview. Sanctions have slowed Iran’s progress, which means a missile capable of threatening Paris or London is unlikely to be ready before 2016, he said. The Dutch frigates the country would use for the protective role are equipped with a Thales SA (HO) radar system that is incompatible with the current SM-3 interceptor. The demonstration at the Den Helder military test range validated a datalink that allows the missile to receive information from the Thales sensor while retaining the ability to communicate with Aegis combat ships used by the U.S. Navy, Mavko said. European Production The trials were partly funded by the Dutch navy, he said, and are a precursor to detailed work to integrate the SM-3 on frigates. The Dutch government hasn’t committed to upgrading its ships, Mavko said, although planning continues to modify vessels due for a major retrofit starting in 2018. The German F124 frigate and Danish ships have the same sensors as the Dutch model and involving those countries in the program would cut costs, he said. A common pool of missiles is also under consideration to save money, Mavko said. “Many European allies already contribute to NATO’s missile defense system,” Anders Fogh Rasmussen, the alliance’s secretary general, said at the Munich Security Conference last month. “But I could see other possible contributions, for instance European navies upgrading their ships with missile defense radars and interceptors so they can deploy alongside U.S. vessels.” To help entice European governments, Waltham, Massachusetts-based Raytheon is promising financial returns to those countries. “We are beginning to have discussions with some of our European industrial partners about possible co- production of some components,” Mavko said. “The opportunities for industry in Europe are significant.”
Via Patrick H.
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Romain
March 11, 2013 5:47 AM
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Beechcraft Corporation today announced that it will formally protest to the U.S. Government Accountability Office (GAO) the U.S. Air Force’s (USAF) recent award of the Light Air Support contract to its Brazilian competitor, Embraer. An estimated 1,400 jobs in Kansas and other states are in jeopardy as a result of the Air Force decision. “We simply don’t understand how the Air Force can justify spending over 40 percent more – over $125 million more – for what we consider to be less capable aircraft,” Bill Boisture, CEO, Beechcraft “Following our debrief with the Air Force earlier this week, we are very perplexed by this decision,” said Bill Boisture, CEO, Beechcraft. “Our belief that we have the best aircraft was confirmed by the Air Force rating our aircraft ‘exceptional’ and the fact that we are the lower cost solution was confirmed by the USAF’s public award announcement.” Last year, an Air Force investigation found evidence of bias toward Brazil-based Embraer and its Nevada-based partner, Sierra Nevada (SNC), which led to the decision to restart the competition. Although SNC later sued the Air Force attempting to enforce the biased decision, U.S. Court of Federal Claims Judge Christine O.C. Miller wrote in her Nov. 1, 2012, opinion that based on the investigation’s evidence of bias “the Air Force’s decision to cancel the contract award to SNC and re-solicit proposals was reasonable and rational and should stand.” “We simply don’t understand how the Air Force can justify spending over 40 percent more – over $125 million more – for what we consider to be less capable aircraft,” Boisture said. “Given our experience of last year and our continued strong concern that there are again significant errors in the process and evaluation in this competition, we are left with no recourse other than to file a protest with the GAO. The Air Force needs to make the right decision for the nation and our future allies.” “In evaluating the competitors, the U.S. Air Force looked at three criteria, in priority order: mission capability, past performance and pricing in order to determine overall best value.” Sierra Nevada Corp. and Embraer commented in a joint statement. Based on these factors the companies said they are expecting rapid Government Accounting Office decision on Beechcraft’s protest, and are confident the Air Force selected the A-29 as the lowest risk solution and overall best value for the U.S. and its partner nations. “In accordance with the RFP, the US Air Force selected the A-29 based on three factors stated above, not just a single factor. The U. S. Air Force determined that the price they are paying for the superior A-29 aircraft was part of the ‘overall best value’.” SNC added that an important aspect about our approach is the “in-sourcing” of jobs to Jacksonville. Overall the program is expected to support more than 1,400 American jobs, reflecting both the large U.S. supplier base – including more than 100 companies that will supply parts and services for the A-29 Super Tucano. “We feel it establishes an exciting future model of bringing high tech aerospace manufacturing jobs back to the United States to stem the recent tide of moving jobs offshore.” the SNC statement added. The AT-6 draws its heritage from the Beechcraft T-6 A/B Texan trainer. It was designed to provide close air support and meet the demands of irregular warfare environment. The AT-6 is outfitted with a more powerful engine, a variety of self-protection mechanisms, multiple secure communication functions and advanced surveillance and reconnaissance capabilities. However, unlike the A-29 that is already used in tactical missions worldwide, the AT-6 has not been selected by any air force yet. Beechcraft Corp. recently celebrated the delivery of the 800th Beechcraft T-6. The aircraft, a T-6B trainer was handed over to the United States Navy’s Training Air Wing 4 based at Naval Air Station Corpus Christi, Texas. Training Air Wing 4 has now received 16 of a total of 98 T-6Bs scheduled to replace an aged fleet of T-34 aircraft for primary flight training. According to Russ Bartlett, president, Beechcraft Defense Company, Military programs around the globe have accumulated more than 2 million flight hours using the T-6 to train pilots, navigators and weapons systems operators.
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Romain
from Newsletter navale
March 8, 2013 5:33 AM
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Raytheon illustrates its unique and flexible approach to protecting Offshore Patrol Vessel missions.
Via Patrick H.
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Romain
from Newsletter navale
March 8, 2013 5:25 AM
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France-Grèce : les ressorts d'une négociation sur la location de FREMM (Hebdo Le Marin)
Les premières discussions sur ce sujet sont été abordées en février lors de la visite du Président François Hollande en Grèce qui a ouvert la voie à un accord de coopération de défense. Les négociations pour en préciser les termes ont ensuite été officiellement entamées au cours du déplacement à Athènes du ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian en fin février. Le "Jane's Defense Weekly" et "le Marin" ont publié les premières informations sur ce dossier. La "Newsletter navale" avait relayé ces publications : http://www.scoop.it/t/defense-news/p/3997572168/la-grece-pourrait-louer-a-la-france-des-fremm-et-des-avions-de-patrouille-maritime http://www.scoop.it/t/newsletter-navale/p/3997726549/la-france-ouvre-des-negociations-avec-la-grece-en-vue-de-lui-louer-des-fregates-fremm L'hebdomadaire "Le Marin", dans son numéro 3426 de ce jour, nous livre des informations complémentaires sur les ressorts de cette négociation : "Les frégates Fremm grecques seraient déployées en Méditerranée orientale où de nouveaux enjeux stratégiques sont apparus, liés à l’existence de ressources en pétrole et en gaz offshore. Côté grec, des prospections ont eu lieu récemment en mer Ionienne et au sud de la Crète. Plongée dans la crise depuis 2010, la Grèce a dû geler son programme d’armement. Celui-ci prévoyait notamment l’acquisition de 6 frégates Fremm construites en transfert de technologie dans un chantier grec dans le cadre d’une coopération avec le groupe français DCNS.
Un autre scénario est aujourd’hui à l’ordre du jour. Et l’annonce faite par Jean-Yves Le Drian à Athènes en cache peut-être une autre, celle de l’étalement des livraisons de frégates Fremm à la Marine nationale. À l’heure actuelle, il est prévu que celle-ci reçoive neuf frégates anti-sous-marines et deux frégates de défense aérienne d’ici 2022. Il paraît logique que les frégates louées à la Grèce seront construites par DCNS à Lorient, si le projet aboutit. Le chantier français a la capacité de monter en rythme de production. Mais, autre option, il est aussi imaginable
que les deux frégates destinées à la Grèce soient prélevées sur le contingent destiné à la Marine nationale. Dans ce cas, deux commandes interviendraient ultérieurement pour que celle-ci reçoive bien la dotation prévue."
Via Patrick H.
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March 8, 2013 4:58 AM
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The Italian Army and French Air Force carried out yesterday a successful intercept of a ballistic missile target, testing a European missile defense architecture based on the European SAMP / T missile defense system. The target was intercepted after flying about 300 km on a ballistic trajectory represented a theater ballistic missile. The SAMP/T is a joint Franco-Italian air and missile defense system based on the MBDA Aster 30 interceptor. The test conducted at DGA Biscarrosse missile tests center was performed by the fourth Artillery regiment of Mantova (Italy) and the French center of military & aviation testing (CELM) of Mont-de-Marsan. The successful test represents another milestone for the SAMP / T system in its capability to counter missile threats under NATO’s future missile defense architecture. It follows two previous tests successfully completed in October 2010 and November 2011 against the same type of threat. In service with Italy and France, the SAMP / T system is the cornerstone of the contribution of these two countries in the NATO program to protect deployed forces against ballistic threat.
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Romain
March 8, 2013 4:50 AM
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Focus sur la composante aérienne franco-qatarienne de l'exercice, engagée dans la manœuvre globale bilatérale et interarmées. ...
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Romain
March 8, 2013 4:34 AM
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Alors que le tout premier A400M destiné à l'armée de l'Air faisait hier son premier vol à Séville, Air & Cosmos volait également en A400M. Nous avons été invités par Airbus Military à un vol de démonstration de deux heures, depuis l’aéroport de Toulouse-Blagnac. C'est la première fois qu'un média français a la possibilité de réaliser un reportage à bord de ce nouveau quadrimoteur de transport.
C'est à bord de l'avion de développement MSN6, indicatif "Grizzly 5", que deux de nos journalistes ont volé. Aux commandes se trouvait le pilote d'essais Michel Gagneux, un "moustachu" de l’armée de l'Air, ancien pilote de Mirage F1CR, qui travaille sur le programme A400M depuis le début des années 2000.
En tant que simple passager, nous avons été étonnés par l'étonnante agilité de l'avion. Vol à basse altitude (300 pieds) aux pieds des Pyrénées, ressource à forte incidence (+40° avec 3g de facteur de charge), virage à très forte inclinaison, rien ne semble faire peur à cet étonnant monstre gris. Le silence à bord est également remarquable. Poussés à plein régime, les quatre moteurs TP400-D6, de 14.000 chevaux chacun, savent se faire discret, même en soute, avec la rampe cargo ouverte.
Ouverture de la rampe au dessus de la campagne (photo : Cyrille Cosmao). Après quelques manœuvres au niveau 100, et après avoir été rejoint en vol par "Grizzly 3" pour quelques photos, il est déjà temps de remettre le cap sur Blagnac. Il est un peu plus de 17 heures lorsque nous remettons les pieds à terre.
"Grizzly 3" nous a rejoint le temps de quelques photos (photo Cyrille Cosmao).
A quelques centaines de kilomètres, un peu plus tôt à Séville, MSN 7, le premier A400M français, rentrait également à bon port, après un vol inaugural de 5 heures et 42 minutes. L’appareil doit être officiellement remis à l’armée de l’Air à la fin du mois de mai. Il mettra alors le cap sur Orléans, où les aviateurs de la MEST (Multinational Entry into Service Team) débuteront sa phase de qualification, en vue d’une mise en service opérationnelle en 2014. Il est prévu qu’Airbus Military livre deux autres A400M à la France en 2013.
La livraison approche pour MSN 7 qui a volé hier (photo Airbus Military).
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La Marine singapourienne possède 4 sous-marins type ex-SS A-12 Sjöormen suédois mis en service en 1968-69 acquis en 1995-97, et modernisés par Kockums en Suède. Ils ont été remis en service opérationnel entre 2000 et 2004.
Elle possède également 2 sous-marins ex-suédois plus modernes type Västergötland, également modernisés chez Kockums entre 2007 et 2012, destinés à remplacer 2 des sous-marins Sjöormen.
Le premier, l'Archer, est arrivé à Singapour en 2010. Le deuxième, le Swordsman, vient d'arriver début janvier 2013 :
http://www.scoop.it/t/newsletter-navale/p/3952880158/le-sous-marin-singapourien-rss-swordsman-de-retour-a-sa-base-apres-une-refonte-en-suede
Un possible appel d'offre singapourien pour l'achat de nouveaux sous-marins a commencé à filtrer à l'été 2012 :
http://www.infosdefense.com/vente-en-vue-de-sous-marins-a-singapour-76590/