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July 11, 12:59 AM
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The Indian Army's delayed procurement of six Boeing AH-64E Apache Guardian attack helicopters on contract is gaining traction with the service now expectin
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July 11, 12:57 AM
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A la veille du 14 juillet, Emmanuel Macron devrait détailler les efforts supplémentaires pour la défense au vu de l'accélération de la menace russe
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July 11, 12:54 AM
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Le fabricant portugais va implanter à Cahors un centre d'excellence pour ses drones dopés à l'intelligence artificielle. Une implantation soutenue par la région Occitanie qui vient d’adopter un plan de 200 millions pour renforcer la défense européenne.
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July 10, 1:05 AM
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The Air Force sees external pylons as key to increasing the B-1's ability to launch standoff strikes ahead of the arrival of the B-21 Raider.
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July 10, 1:05 AM
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The Navy's move comes despite Pentagon insistence that the U.S. industrial base cannot do F/A-XX and the Air Force's F-47 at the same time.
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July 10, 1:04 AM
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Le constructeur allemand de camions Daimler noue un partenariat pour produire des véhicules militaires avec Arquus (ex-Renault Trucks...-Auto
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July 10, 1:03 AM
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Telle qu’elle a été promulguée, le 1er août 2023, la Loi de programmation militaire [LPM] 2024-30 ne prévoit pas le remplacement des quatre E-3F SDCA [Système de Détection et de Commandement Aéroporté, encore appelés AWACS] de l’armée de l’Air & de l’Espace avant 2035… alors que, à cette échéance, l’âge moyen de ces appareils, qui contribuent aussi à la dissuasion nucléaire, sera de quarante-cinq ans. Pour une raison qu’il n’a pas dite explicitement, le ministère des Armées a cependant décidé d’accélérer le renouvellement de cette capacité. Et, à l’occasion de l’édition 2025 du salon de l’aéronautique et de l’espace du Bourget, il a annoncé la signature d’une déclaration d’intention portant sur l’achat, auprès du groupe suédois Saab, de deux avions Bombardier Global 6000/6500 dotés du système GlobalEye. Une option pour deux exemplaires de plus pourrait être levée ultérieurement. Pour rappel, le système GlobalEye repose sur une suite de capteurs résilients au brouillage électronique, un radar à longue portée Erieye ER, un radar à antenne active SeaSpray [fourni par Leonardo] et une boule optronique. Il peut collecter des données dans un rayon de 400 km avant de les fusionner au sein d’un système de commandement et de contrôle [C2] multi-domaines. Cela étant, l’hypothèse d’un achat du système GlobalEye était dans l’air depuis quelque temps, le choix de l’E-7A Wedgetail de Boeing étant exclu, car trop coûteux. Mais il était aussi avancé qu’il pourrait être installé à bord d’un Falcon 10X, le nouvel avion d’affaires en cours de développement chez Dassault Aviation. D’ailleurs, en avril, le PDG de l’avionneur français, Éric Trappier, avait plaidé en faveur d’une telle solution, lors d’une audition à l’Assemblée nationale. « Ça m’embêterait que Saab, qui n’est pas une société particulièrement française mais que j’apprécie, vienne faire du travail sur un Bombardier. Je pense qu’il serait beaucoup plus intelligent de faire travailler les gens qui travaillent déjà sur les Falcon en région Aquitaine et ailleurs plutôt que de travailler sur un avion canadien », avait-il dit. Visiblement, cet argument n’a pas porté… Et, ce 9 juillet, le chef d’état-major de l’armée de l’Air & de l’Espace [CEMAAE], le général Jérôme Bellanger, s’en est expliqué devant les députés de la commission de la Défense. « J’aurais bien voulu avoir un Falcon 10X pour remplacer l’AWACS. La seule difficulté, c’est que les AWACS arrivent en fin de vie en 2029/30. Et là, je n’ai rien. L’AWACS contribue quand même au raid nucléaire. Donc, j’ai besoin de quelque chose sur étagère. Et la seule chose qui existe, à un prix raisonnable, parce que, effectivement, on peut aller voir le E-7 de l’autre côté de l’Atlantique, c’est le GlobalEye », a expliqué le général Bellanger. « D’où l’achat de ces deux GlobalEye au cours de la LPM, plus deux autres ensuite, avec la possibilité de pouvoir les mettre à niveau dans la durée, et donc de les ‘franciser’ comme on le souhaite. Ça, c’était également important. […] Le Falcon 10X aurait été bien, j’en ai parlé par le PDG de Dassault Aviation. Mais il arrive un moment où il me faut quelque chose pour que je puisse mener un raid nucléaire », a conclu le CEMAAE sur ce sujet. Le 25 juin, le Délégué général pour l’armement [DGA], Emmanuel Chiva, avait aussi évoqué l’achat du système GlobalEye lors d’une audition à l’Assemblée nationale. « On est aussi obligé de faire des choix, en considérant le coût et l’efficacité de nos matériels. […] S’agissant du GlobalEye, on pouvait se dire qu’on allait mettre des capacités, notamment les nouveaux radars de Saab, sur un autre avion. Mais ça, ça coûte beaucoup plus cher que de prendre une solution sur étagère qui répond à nos besoins », avait développé M. Chiva Et d’insister : « Je peux assurer que le coût de la ‘francisation’ est très, très, très inférieur au coût d’un développement spécifique qui intégrerait ces capacités-là. J’aurais aimé pouvoir le faire mais compte tenu du délai et du coût/efficacité que nous recherchons, ce n’est juste pas soutenable ».
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July 10, 1:01 AM
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Après la perte d’un Rafale en Inde, le silence de New Delhi face à la désinformation chinoise a fragilisé la position française.
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July 10, 12:59 AM
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The French group Zodiac Milpro, a world leader in inflatable and semi-rigid boats for professional and military use, has announced the extension of its production site in Spain.
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July 10, 12:58 AM
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Après une première sortie de 24 heures devant les côtes morbihannaises fin mai, le Kimon a appareillé de Lorient le 7 juillet pour une nouvelle campagne d’essais en mer. Première des trois FDI commandées par la Grèce, cette frégate doit être livrée à la fin de l’année.
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July 10, 12:58 AM
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Les Houthis n’avaient plus fait parler la poudre en mer Rouge depuis fin 2024. Après des mois d’accalmie, dont le point d’orgue aura été la trêve conclue en mai avec les États-Unis, même si elle excluait les navires liés à Israël, ces rebelles yéménites soutenus par l’Iran viennent de subitement reprendre leurs attaques contre les navires marchands et de raviver les tensions sur cette axe maritime stratégique vers le canal de Suez.
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July 10, 12:58 AM
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Mis à l’eau début avril à Brest, l’Iris a été, comme prévu, livré en ce début d’été. Le prototype de ce programme, l’Ophrys, a été livré en novembre 2022 à Toulon, où la deuxième vedette (et première unité de série), l’Acacia, est arrivée en mars dernier. Toutes les deux servent au profit du Groupe des plongeurs-démineurs (GPD) de la Méditerranée.
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July 10, 12:56 AM
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L’information pourrait largement prêter à sourire sauf qu’elle embarrasse grandement l’US Department of Navy. Depuis son retour à la Maison-Blanche il est récurrent que les médias américains se fassent l’écho que le Président des États-Unis n’apprécierait pas le Sikorsky VH-92A Patriot. À tel point d’ailleurs que l’escadrille HMX-1 de l’US Marines Corps se voit obligée de conserver un peu plus longtemps ses antédiluviens Sikorsky VH-3D Sea King. Caprice ou réalité, toujours est-il que Donald Trump voyage de plus en plus souvent sur ce dernier modèle. Quand l’été dernier Joe Biden a volé dessus certaines voix se sont déjà faites entendre sur le fait que celui qui était encore Président des États-Unis pour quelques semaines avait peu apprécié l’hélicoptère. Beaucoup avaient mis cela sur le fait que l’homme d’état était réputé perdre un peu la boule. Comment expliquer alors que son successeur lui aussi n’apprécie pas plus que ça le VH-92A, lui préférant même le vieux VH-3D. Donald Trump embarquant sur VH-3D… Car sur le papier il n’y a pas photo le nouvel appareil est beaucoup plus insonorisé, dispose d’équipements dernier cri en matière de communication et peut voler de manière nettement plus stable avec moins de turbulences ressenties. Il parait que même le VH-60N Whitehawk à côté parait inconfortable. Alors pourquoi ne pas l’aimer ? La réponse est peut-être physique. Il se dit que Donald Trump, du haut de son mètre quatre-vingt onze ne tiendrait pas forcément debout à bord du VH-92A mais pourrait l’être sur VH-3D. Ça peut paraître débile mais quand vous êtes l’homme le plus puissance de la planète ça a du sens. De surcroit le locataire de la Maison-Blanche est en léger surpoids, pesant à priori entre 110 et 115 kilos ce qui n’est pas peu pour un homme de 79 ans. … et sur VH-92A. Quelque soit la raison l’US Marines Corps, qui arme les Marine One, se doit de tenir compte des désidératas de Donald Trump. Après tout le patron c’est lui. Et donc l’envoi au musée des VH-3D a été repoussé… sans doute aux calendes grecques. Sauf que ces hélicos sont très vieux et doivent faire l’objet d’un entretien le plus courant possible. Autant dire que les vénérables Sea King présidentiels doivent tenir encore au moins trois ans et demi.
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July 11, 12:57 AM
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L'effort de guerre promis lors du sommet de l'Otan n'est pas compatible avec notre modèle social, trop généreux
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July 11, 12:56 AM
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Basé à San Francisco, Loft Orbital a gagné la compétition portant sur un démonstrateur technologique baptisé Désir. En compagnie de Thales Alenia Space et du portugais Tekever, l'entreprise américano-française va participer à la création d'une filière critique, l'imagerie satellitaire radar.
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July 10, 1:05 AM
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Ukraine Situation Report: The unprecedented Russian attack came just hours after Trump announced arms shipments to Ukraine would resume. The unprecedented Russian attack came just hours after Trump announced arms shipments to Ukraine would resume.
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July 10, 1:05 AM
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USS Newport News' visit to Reykjavík is yet another sign of the Cold War-like strategic shift for the island nation.
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July 10, 1:04 AM
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The trainer aircraft recently completed the second round of extreme weather trials after enduring icy, windy and sunny conditions.
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July 10, 1:04 AM
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Alors que la guerre en Ukraine venait de débuter et que les besoins capacitaires en termes de renseignement électromagnétique [ROEM] ne pouvaient que croître, l’armée de l’Air & de l’Espace [AAE] dut se séparer de ses deux avions C-160G Gabriel, alors mis en œuvre par l’Escadron électronique aéroporté 01.054 Dunkerque. Autant dire que la décision de retirer ces appareils fut prise au mauvais moment, d’autant plus que leurs successeurs – trois Falcon ARCHANGE – n’étaient pas attendus avant 2025. Pour autant, alors major général de l’AAE, le général Frédéric Parisot l’avait justifiée lors d’une audition parlementaire, en juillet 2022. « Je suis le responsable de l’arrêt des Transall ‘Gabriel’ et je l’assume : dix Transall nous coûtaient plus de 80 millions d’euros par an, pour une disponibilité de 20 %. Plutôt que de faire des coupes ailleurs, j’ai choisi de les retirer du service », avait-il dit. Certes, l’AAE n’était pas actuellement pas totalement démunie en matière de ROEM, avec notamment les satellites CERES [Capacité d’écoute et de renseignement électromagnétique spatiale], les Avions légers de surveillance et de renseignement [ALSR] « Vador », la suite MSE [Mesures de soutien électronique] des E-3F AWACS, les nacelles ASTAC [Analyseur de Signaux TACtiques] emportés par les Mirage 2000D ou encore les drones MQ-9A Reaper. Cela étant, dans l’attente des Falcon ARCHANGE [pour Avions de Renseignement à CHArge utile de Nouvelle GEnération], l’AAE a notifié le contrat SOLAR à la société CAE Aviation afin de disposer d’un avion Saab 340 équipé du système de missions AGOMS, comprenant un radar de surveillance, des capteurs ROEM ainsi que des boules optroniques. Initialement, les deux premiers Falcon ARCHANGE auraient dû être livrés à partir de 2025. Or, ils ne le seront finalement pas avant 2027. Quant au troisième appareil, il sera remis à l’escadron 01.054 Dunkerque en 2029. Et cela ne fait pas forcément les affaires de l’AAE. « On attend ARCHANGE avec impatience, en 2027 », a dit le général Jérôme Bellanger, le chef d’état-major de l’armée de l’Air & de l’Espace [CEMAAE], lors d’une audition à l’Assemblée nationale, ce 9 juillet. Et cela d’autant plus que, a-t-il souligné, la capacité ROEM est « indispensable », que ce soit en matière de « renseignement stratégique », de « surveillance et de préparation à l’engagement », et « d’appui à nos opérations dans la profondeur et à nos missions tactiques ». « Le programme est relativement complexe mais on est sur le trait », a poursuivi le CEMAAE. Quant au contrat SOLAR, il ne permet pas de compenser le retrait des C-160G « Gabriel ». « On a pris SOLAR en attendant car on avait besoin de pérenniser les ressources humaines en spécialistes ROEM aéroporté parce qu’on ne pouvait pas les laisser de côté et ‘faire balles neuves’ avec l’arrivée d’ARCHANGE. Donc il a fallu maintenir ces compétences et combler le retrait de service du C-160 », a expliqué le général Bellanger. Seulement, il a également admis que les capacités offertes par le contrat SOLAR sont « un cran en-dessous » de celles du Gabriel. Toutefois, a-t-il continué, « on fait quand même énormément de choses. On fait quelque centaines d’heures de vol par an, […] même si on a des problèmes sur le radar SAR MTI, que l’on compense avec les ALSR ». En matière de renseignement, les moyens dits ELINT/COMINT [Electronic Intelligence / Communications Intelligence] sont généralement complétés par des capteurs électro-optiques [EO/IR], qui permettent une reconnaissance précise de jour comme de nuit, ainsi que par des radars, comme le SAR/MTI [Synthetic Aperture Radar / Moving Target Indicator], afin de détecter des cibles mobiles sur des zone étendues, quelles que soient les conditions météorologiques.
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July 10, 1:01 AM
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En mai, la Corée du Sud fit savoir qu’elle renonçait à doter sa marine de son premier porte-avions, dans le cadre du programme CV-X, alors que celui-ci avait été maintenu dans le plan de défense 2024-28, présenté en décembre 2023. Et que, par conséquent, elle annulerait son projet d’acquérir vingt chasseurs-bombardiers F-35B de type STOVL [à décollage court et à atterrissage vertical] auprès du constructeur américain Lockheed Martin. Pour autant, cette décision ne signifiait pas la fin des ambitions sud-coréennes dans le domaine aéronaval dans la mesure où l’annulation du programme CV-X allait permettre de lancer la construction d’un « navire de commandement polyvalent » devant être en mesure de mettre en œuvre des drones de combat, des munitions téléopérées [MTO] ainsi que des hélicoptères. Ce nouveau type de navire doit ainsi permettre à la marine sud-coréenne d’effectuer des frappes contre des objectifs clés, assurer la protection des voies de navigation maritime, mener des opérations amphibies et répondre aux catastrophes naturelles. Et le tout en tenant compte de l’évolution de la guerre navale et de l’apport de l’intelligence artificielle, notamment pour ce qui concerne le développement des drones aériens. Pour rappel, la doctrine militaire sud-coréenne, orientée vers la Corée du Nord, repose sur trois piliers : la mise en réseau des capacités de renseignement avec les moyens de frappe en vue de détruire préventivement les sites de lancement de missiles nord-coréens [« kill chain »], la défense antimissile [KAMD pour Korea Air and Missile Defense System] et l’éventualité de frappes massives de représailles. Ayant déjà un concept de « porte-drones » dans ses tiroirs, avec le « Ghost Commander », Hanwha Ocean a depuis dévoilé le « Ghost Commander II » lors du salon MADEX25 qui, dédié à l’armement naval, s’est tenu à Busan en juin dernier. Ce Ghost Commander II est un porte-drones affichant un déplacement de 42 000 tonnes, pour une longueur de 240 mètres et une largeur de 60 mètres, ce qui correspond, peu ou prou, aux dimensions du porte-avions Charles de Gaulle. Il est prévu de lui intégrer au moins une catapulte électromagnétique ainsi que trois brins d’arrêt. Équipé de systèmes de lancement vertical pour les missiles surface-air, il disposera d’un radier pour mettre en œuvre des péniches de débarquement. Seulement, la question des drones que ce navire mettra en œuvre reste entière. Du moins était-ce le cas récemment. En effet, le 8 juillet, Korea Aerospace Industries [KAI] a levé le voile sur un concept de drone de combat [UCAV] embarqué, issu d’un programme mené pour la force aérienne sud-coréenne [RoKAF – Republic of Korea Air Force]. Dans le détail, d’une masse maximale au décollage inférieure à 6 tonnes, cet UCAV aura une autonomie d’environ 300 nautiques et pourra voler à la vitesse maximale de Mach 0,6 grâce à un moteur à réaction. Il pourra emporter une charge utile de 800 kg. Selon KAI, de conception modulaire, ce drone de combat sera polyvalent, c’est-à-dire qu’il sera en mesure d’effectuer des missions de combat aérien, grâce à des missiles air-air de longue portée Meteor, associés à un radar AESA [à antenne active] et à un IRST [Infra-red search and track], des frappes air-sol ainsi que des vols ISR [renseignement, surveillance, reconnaissance]. Enfin, il pourra également servir de « vaisseau mère » en déployant des mini drones capables d’évoluer en essaim. Doté d’une crosse d’appontage et d’un train renforcé, cet UCAV pourra être mis en œuvre par des « porte-avions équipés de catapultes électromagnétiques », assure KAI. À ce jour, seuls deux pays maîtrisent cette technologie : les États-Unis, avec la classe Ford, et la Chine, avec la classe Fujian. Ce projet de drone embarqué vient s’ajouter à ceux déjà menés ou actuellement au cours aux États-Unis, avec, par exemple, le démonstrateur X-47 de Northrop Grumman [désormais arrêté], le MQ-25 Stingray de Boeing ou encore le Gambit de General Atomics et en Turquie, où Baykar développe le Kızılelma.
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July 10, 1:00 AM
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Les frappes israéliennes et américaines sur l’Iran offrent un retour d’expérience stratégique majeur pour l’armée de l’Air et de l’Espace.
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July 10, 12:59 AM
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Marine robotics company Ocean Infinity has successfully launched its NeedleFish USV at an official event with the Kuwaiti Coast Guard.
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July 10, 12:58 AM
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En provenance de Concarneau, le Vlissingen est arrivé le 3 juillet dans la rade de Lorient et est allé s’amarrer au quai des TCD. Il s’agit du premier des six chasseurs de mines néerlandais du programme rMCM, qui comprend six autres unités, dont la tête de série, l’Oostende, pour la marine belge.
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July 10, 12:58 AM
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Trois mois après la cérémonie de découpe de la première tôle du bâtiment, un premier bloc a été mis sur cale le mardi 8 juillet au chantier Fincantieri de Riva Trigoso, en Ligurie. Cette frégate doit être livrée à la Marina militare en 2029 et sa jumelle en 2030. Toutes les deux ont été commandées en août 2024.
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July 10, 12:58 AM
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Selon l’édition 2024 des « Chiffres clés de la Défense », et après les prélèvements de 24 Rafale effectués pour honorer les contrats signés avec la Grèce et la Croatie, l’armée de l’Air & de l’Espace [AAE] comptait 196 avions de combat au 31 décembre 2023, dont 99 Mirage 2000-5/B/D. En 2024, Dassault Aviation a remis 14 Rafale supplémentaires à la Direction générale de l’armement [DGA], ce qui porte le total d’appareils de ce type en service au sein de l’AAE à 109 [2 ont été perdus après être entrés en collision le 14 août, ndlr]. Au 31 décembre dernier, il restait encore 56 exemplaires à livrer à l’AAE. Et cela alors que la Loi de programmation militaire [LPM] 2024-30 prévoit un format de l’aviation de chasse à 187 avions [dont 50 Mirage 2000D RMV] à l’horizon 2030, puis à 225 en 2035, en tenant compte des 41 Rafale Marine de l’Aéronautique navale. Or, comme l’a admis le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, dans un entretien donné au journal Le Parisien en février, le format de la trame « chasse » est insuffisant pour tenir l’ensemble des contrats opérationnels assignés tant à l’AAE qu’à la Marine nationale. « Pour l’armée de l’Air & de l’Espace, les scénarios de crise montrent que 20 à 30 Rafale en plus nous permettraient de tenir plus solidement sur des théâtres multiples », avait-il en effet affirmé. Seulement, au regard du contexte international et de l’évolution de la conflictualité, ces 20 à 30 Rafale supplémentaires font actuellement défaut. D’ailleurs, c’est ce que soutient l’AAE dans un document publié à l’occasion du dernier salon de l’aéronautique et de l’espace du Bourget. « Pour garantir le maintien des postures permanentes de dissuasion et de protection du territoire et permettre un engagement conventionnel soutenu, un accroissement du format de l’aviation de chasse est nécessaire. Il permettra de conserver une marge de manœuvre politique et militaire ainsi que la capacité à durer », avance l’AAE. Lors d’une audition à l’Assemblée nationale, ce 9 juillet, son chef d’état-major [CEMAAE], le général Jérôme Bellanger, a insisté sur ce point. « Le contexte le démontre : nous avons besoin d’augmenter nos formats. C’est une évidence. Pourquoi ? Parce que polyvalence [de nos avions, comme le Rafale, ndlr] ne rime pas avec ubiquité », a-t-il dit. « Le ministre a parlé de 20 à 30 Rafale supplémentaires. Je pense que c’est le bon chiffre », a continué le général Bellanger. « Comment compenser ces Rafale » qui manquent ? On compense avec une accélération du Maintien en condition opérationnelle [MCO], et donc un vieillissement de Rafale que l’on a », a-t-il poursuivi. Plus précisément, a-t-il dit, « on surutilise les Rafale à hauteur de 15 %, ce qui nous permet d’être au rendez-vous de nos contrats opérationnels ». Les propos du CEMAAE suggèrent que les contrats verticalisés RAVEL et BOLERO, respectivement confiés à Dassault Aviation et à Safran Aircraft Engines par la Direction de la maintenance aéronautique [DMAé], tiennent leurs promesses. Pour rappel, ils doivent permettre à la flotte des Rafale d’atteindre un taux de disponibilité de 80 %. Cela étant, la question est de savoir si cette « surutilisation » du Rafale va durer encore longtemps… D’autant plus qu’il ne suffit pas de commander des avions supplémentaires : il faut aussi mettre les infrastructures aux normes et disposer du personnel nécessaire, ce qui suppose des investissements parfois lourds et un effort en matière de recrutement. « À ce stade, on s’oriente vers un tout Rafale en 2035, année qui sera véritablement clef parce qu’elle marquera une rupture technologique, avec le Rafale F5, le [missile] ASN4G et le missile de suppression des défenses aériennes ennemies RJ-10. Pour nous, elle sera vraiment un jalon décisif. Et, d’ici 2035, on espère, bien sûr, une augmentation du format, comme le ministre a pu l’annoncer en février », a conclu le général Bellanger.
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