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Today, 1:49 AM
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A pop-out launcher for rockets and ballistic missiles inside a shipping container offers extreme flexibility and can hide in plain sight.
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Today, 1:48 AM
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The company’s Defence and Security CEO said that C-390 momentum was strong in the continent, as the manufacturer looks to lock down critical strategic European campaigns, industrial partnerships and ongoing orders.
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Today, 1:47 AM
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Ukrainian spy boss Lt. Gen. Kyrylo Budanov gives us exclusive details about the latest in Ukraine's drone boat offensive.
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Today, 1:43 AM
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Demander beaucoup pour obtenir un peu. Telle aura été la tactique suivie par le ministère norvégien de la Défense pour faire plier le constructeur naval espagnol Navantia, à qui il reprochait de lui avoir livré une frégate – en l’occurrence la KNM Helge Ingstad – avec un vice de fabrication. En effet, venant de participer à l’exercice Trident Juncture, la KNM Helge Ingstad [classe Fridtjof Nansen] entra en collision avec le pétrolier Sola TV, dans les environs du Hjelte Fjord [ouest de la Norvège]. Le navire de 5 000 tonnes sombra peu après le choc, qui fit huit blessés parmi ses 137 marins. Bien que renflouée quelques mois plus tard, cette frégate fut envoyée à la ferraille, le coût des réparations – 1,4 milliard d’euros – pour la remettre en service ayant été jugé beaucoup trop élevé. Une enquête préliminaire mit en cause Navantia en évoquant des problèmes d’étanchéité entre les compartiments de la frégate. Cependant, des « facteurs humains » furent également avancés pour expliquer la collision avec le pétrolier. D’ailleurs, l’officier qui était de quart à ce moment-là en paya les pots cassés, avec une condamnation de 60 jours de prison avec sursis. Plus tard, dans un autre rapport, l’Autorité norvégienne d’enquête de sécurité [Statens Havarikommisjon] souligna que le manque d’expérience de l’équipage était la principale cause de la perte de la KNM Helge Ingstad, ce dernier ayant évacué le navire sans avoir fermé les écoutilles, ce qui aurait maintenu sa flottabilité. Pour autant, le ministère norvégien de la Défense maintint ses griefs à l’égard de l’industriel espagnol en soutenant que les lignes d’arbres creux du système de propulsion de la frégate n’avaient pu que conduire à son naufrage. D’où sa plainte contre Navantia, à qui il demandait 1,1 milliard d’euros en guise de dédommagement. Finalement, cette affaire n’ira pas devant les tribunaux, un accord amiable ayant été trouvé par les deux parties, la semaine passée. En effet, reprenant les conclusions de la Statens Havarikommisjon, Navantia a pu faire valoir son point de vue… Et le ministère norvégien de la Défense s’est incliné, ce dernier n’ayant obtenu que 47,5 millions sur le milliard d’euros qu’il entendait réclamer. Et cela sous la forme d’une remise sur le maintien en condition opérationnelle [MCO] des quatre frégates de type Nansen restantes pour les six prochaines années. Pour rappel, l’entretien de ces navires avait de nouveau été confié à Navantia, dans le cadre d’un contrat notifié en 2022. Cet « accord est le résultat d’une médiation judiciaire menée par le tribunal de district d’Oslo et signifie que toutes les procédures judiciaires entre les parties sont terminées », a précisé le gouvernement norvégien. Quant au ministre de la Défense, Tore O. Sandvik, il s’est dit « heureux » de cette conclusion. « Navantia est et restera pour plusieurs décennies un fournisseur important du secteur de la défense et un soutien aux frégates norvégiennes. Nous espérons désormais renforcer encore cette relation à l’avenir », a-t-il commenté.
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Today, 1:43 AM
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L'ancien président de la commission défense de l'Assemblée Thomas Gassilloud s'apprête à remettre un rapport sur le modèle d'armée à adopter. Plutôt que de trancher entre masse et technologie, il
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Today, 1:41 AM
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La fin de semaine dernière s’annonçait prometteuse en matière d’annonces liées à l’effort de défense en Europe. En effet, à l’issue de la réunion des
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Today, 1:38 AM
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C’est une percée remarquée du groupe émirati EDGE sur le marché international de la construction navale militaire. Il a en effet annoncé le 3 juin avoir remporté un contrat d’un montant de 2.45 milliards de dollars pour fournir des patrouilleurs lance-missiles du type Falaj 3 au Koweït. La commande porterait sur huit bâtiments de ce type.
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Today, 1:37 AM
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Fort de de son invocation de l’Insurrection Act, Donald Trump continue de muscler sa réponse face aux émeutes et aux heurts entre policiers et manifestants à Los Angeles en déployant des militaires du corps des Marines et en appelant 2000 soldats de la Garde nationale supplémentaires. Après plusieurs jours d’affrontement entre les forces de l’ordre et des manifestants opposés aux expulsions massives d’immigrés clandestins, le républicain de 78 ans (bientôt 79 puisque son anniversaire tombe le 14 juin) a pris lundi la décision exceptionnelle de déployer sur le territoire américain 700 militaires d’active de l’USMC. Des Marines du 2e Bataillon, du 7e régiment des Marines (Photo by US NORTHERN COMMAND / AFP) Il a également ordonné l’envoi de 2000 membres supplémentaires de la Garde nationale, qui vont s’ajouter aux quelque 2100 Gardes déjà déployés dans la deuxième plus grande ville américaine. Sur le terrain, 1700 Gardes avaient été effectivement déployés lundi soir, selon le Commandement Nord de l’armée américaine. Ces forces, rassemblées au sein de la nouvelle Task Force 51, seront chargées de la protection des emprises officielles et pas directement du maintien de l’ordre. La Task Force 51 est commandée par le major-général Scott M. Sherman. L’Insurrection Act permet au président de déployer l’armée sur le territoire américain et de l’utiliser contre les Américains, ce qui en fait l’un des leviers les plus puissants du pouvoir exécutif. C’est aussi l’un des plus anciens : l’actuel Insurrection Act remonte au Calling Forth Act de 1792. Au cours des 230 années qui ont suivi sa promulgation, la loi sur l’insurrection a été invoquée en réponse à 30 crises. Un guide présentant chaque incident pour lequel le président en exercice a invoqué la loi, a été rédigé par le Brennan Center for Justice. Comme le montre le guide, l’invocation de la loi sur l’insurrection n’a pas toujours conduit au déploiement effectif de troupes. Parfois, la simple menace d’une intervention militaire a suffi à résoudre une crise. Hasard du calendrier? Cette semaine, le 14 juin (Day of the Flag, par ailleurs, depuis 1916, en mémoire de l’adoption en 1777 de la bannière étoilée), Trump assistera à un défilé militaire à Washington, dans le cadre du 250 anniversaire de l’US Army (et de son 79e anniversaire, qui tombe ce jours-là?). Voir mon post sur ce défilé.
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Today, 1:35 AM
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Les Israéliennes représentent désormais 21 % des unités de combat, mais elles rencontrent encore des difficultés pour obtenir une égalité totale
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Today, 1:33 AM
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Australia has signed a memorandum of understanding (MOU) with the United States for the production, sustainment, and follow-on development of Lockheed Martin'
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Today, 1:33 AM
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SOURCE: AFI The Indian Air Force (IAF) is set to enhance its airborne surveillance capabilities by issuing an open tender for the procurement of six used Embraer EMB-145 aircraft, which will be converted into the advanced Netra Mk1A Airborne Early Warning and Control (AEW&C) systems. This move, part of India’s strategic push to bolster its […]
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Today, 1:31 AM
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SOURCE: AFI Brazilian aerospace giant Embraer is intensifying its bid to secure the Indian Air Force’s (IAF) Medium Transport Aircraft (MTA) contract with a bold proposal to establish a Final Assembly Line (FAL) in India for its C-390 Millennium tactical transport aircraft. Raul Villaron, Embraer Commercial Aviation’s Head of Asia-Pacific, emphasized that the viability of […]
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Today, 1:30 AM
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Le 11 juin, la commission de la Défense examinera un rapport qui, intitulé « Masse et haute technologie : quels équilibres pour les équipements militaires français », lui sera présenté par les députés Thomas Gassilloud et Damien Girard. Avant d’en connaître les détails, l’hebdomadaire Challenges vient d’en dévoiler les grandes lignes. Et nul doute que certaines des trente mesures qu’il avance feront couler de l’encre… Ainsi, les deux députés appellent à une « refonte » du modèle d’armée français, devenu « échantillonnaire » à cause des contraintes budgétaires des années 2000/10. D’où, selon eux, la nécessité de gagner de la masse en trouvant un nouvel équilibre entre les équipements technologiquement avancés et les armements à bas coûts, susceptibles de saturer les défenses adverses. S’agissant de l’armée de Terre, qui a l’objectif d’être en mesure de « projeter » une division [soit deux brigades] avant 2030, le rapport préconise un effort de 5 milliards d’euros pour renforcer les capacités en matière de défense sol-air, de lutte antichar et de feux dans la profondeur. La Loi de programmation militaire [LPM] 2024-30 prévoit de remplacer les neuf Lance-roquettes unitaires [LRU] encore en dotation au sein de l’armée de Terre par au moins vingt-six nouveaux systèmes d’ici 2035. Pour MM. Gassilloud et Girard, cette « cible » devrait être revue significativement à la hausse puisqu’ils préconisent l’achat de quarante-huit Lance-roquettes multiples [LRM], en privilégiant le système « Foudre », que la PME Turgis & Gaillard dévoilera officiellement lors de la prochaine édition du salon de l’aéronautique et de l’espace du Bourget. Par ailleurs, le rapport parle de créer une troisième division au sein de l’armée de Terre. Dotée de véhicules légers, de drones et d’armes antichars, cette unité serait principalement composée de réservistes et aurait pour principale mission d’assurer la défense du territoire. Son coût serait d’environ 1 milliard d’euros par an. Quant à l’armée de l’Air & de l’Espace, les deux députés reprennent à leur compte la proposition faite en février dernier par Sébastien Lecornu, le ministre des Armées, qui avait évoqué la nécessité de renforcer l’aviation de chasse avec une « trentaine » de Rafale supplémentaires. Mais ils estiment qu’il faudrait aller plus loin, avec l’acquisition de chasseurs légers, comme le M346 italien ou le F/A-50 sud-coréen. De tels appareils pourraient être engagés dans la lutte antidrone et / ou effectuer des frappes aériennes dans des environnements permissifs, ce qui permettrait de libérer la flotte de Rafale pour des missions dites du « haut du spectre ». Ce concept de « différenciation des forces » n’est pas nouveau : il avait été avancé par le dernier Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale [LBDSN], publié en 2013. Enfin, pour la Marine, et à l’instar de M. Lecornu, MM. Gassilloud et Girard plaident pour un format à dix-huit frégates de premier rang. Ce qui passera par la commande de trois frégates de défense et d’intervention [FDI] supplémentaires. Seulement, ces ajustements capacitaires doivent être financés, alors que les comptes publics sont dans le rouge et que le ministère des Armées a accumulé un report de charges et des restes à payer élevés [respectivement 8 et 99 milliards d’euros]. Aussi, les deux députés proposent plusieurs mesures pour trouver des marges de manœuvres. L’une d’elles vise à mettre un terme à l’opération intérieure Sentinelle, ce qui permettrait d’économiser 250 millions d’euros par an. Il pourrait en être fait de même avec le Service national universel [pour 150 millions/an]. Mais les deux parlementaires appellent surtout à faire des choix capacitaires. Selon Challenges, le rapport préconise d’abandonner l’EuroDrone, c’est-à-dire le programme de drone MALE [Moyenne Altitude Longue Endurance] européen, dont il est question depuis… 2013. Pour rappel, sa réalisation a été confiée à Airbus Defence & Space, avec Dassault Aviation et Leonardo comme sous-traitants. La France a commandé six systèmes [composés chacun de trois vecteurs et de deux stations au sol] pour plus de 2 milliards d’euros. À la place de l’EuroDrone, jugé trop imposant et dont la mise en service est prévue en 2031, au plus tard, les rapporteurs parlent de commander des drones MALE Aarok, auprès de Turgis & Gaillard. En octobre dernier, M. Lecornu avait semblé remettre en cause l’EuroDrone, lors d’une audition parlementaire. « Il faut s’assurer que l’objet soit toujours conforme aux attentes opérationnelles au moment où il sera livré », avait-il dit. Le 6 juin, à l’antenne de LCI, il a fait savoir qu’il était « en train de faire une revue générale de l’ensemble » des « programmes de drones ». Mais la proposition qui risque de faire du bruit concerne le porte-avions de nouvelle génération [PANG]. En effet, il est question d’ajourner son lancement, alors que le contrat pour sa réalisation doit être notifié aux industriels d’ici la fin de cette année. Pour M. Gassilloud, rapporte Challenges, un report « permettrait de dégager des moyens pour des projets plus urgents. » Seulement, cela voudrait dire que la Marine nationale pourrait se retrouver sans porte-avions pendant plusieurs années après 2038, c’est-à-dire quand le Charles de Gaulle aura été retiré du service. À moins que l’état des cuves de ses deux réacteurs nucléaires K15 soit assez bon pour envisager de le prolonger pour quelques années de plus. Mais on ne pourra le savoir qu’à l’issue de son prochain arrêt technique majeur [ATM], prévu en 2027. L’idée de renvoyer la construction du PANG à plus tard est-elle effectivement dans les tuyaux ? Si tel est le cas, alors cela expliquerait la raison pour laquelle l’amiral Nicolas Vaujour, le chef d’état-major de la Marine nationale [CEMM] s’est livré à un vigoureux plaidoyer en faveur du porte-avions, qu’il appelle « plateforme de supériorité aéromaritime », lors d’une récente audition parlementaire. Un report du PA NG ne serait évidemment pas une bonne nouvelle pour les principaux industriels concernés [Naval Group, Les Chantiers de l’Atlantique et TechnicAtome]. Elle ne le serait pas non plus pour leurs nombreux sous-traitants… D’ailleurs, l’amiral Vaujour avait insisté sur ce point lors de son audition.
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Today, 1:48 AM
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Alongside its official Maritime Patrol study, Embraer is also evaluating further special missions capabilities for its aircraft, including those in the space domain and with drones, CEO Bosco da Costa Junior told Shephard.
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Today, 1:48 AM
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Northrop Grumman Developing Submarine-Launched AARGM-ER and AARGM-XR
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Today, 1:46 AM
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Fin février, la Royal Air Force [RAF] fit savoir qu’elle venait d’entamer une campagne d’essais visant à intégrer le missile air-air à longue portée Meteor à ses chasseurs-bombardiers F-35B [version à décollage court et à atterrissage vertical de l’avion conçu par Lockheed Martin, ndlr]. Et cela avec les concours de l’US Marine Corps [USMC], qui a fourni l’appareil, et de MBDA. À noter qu’il revient à l’Italie d’en faire de même avec le F-35A. Ces premiers essais en vol furent effectués avec un missile Meteor inerte, l’objectif étant de collecter des données pour préparer les suivants. « Cette étape témoigne de l’efficacité des partenariats gouvernementaux et industriels multinationaux que nous avons mis en place. L’intégration du Meteor sur le [F-35B] Lightning II apportera une formidable capacité de combat aérien au Royaume-Uni et à la communauté en plein essor du F-35, améliorant ainsi considérablement la sécurité des alliés », commenta l’air commodore [général de brigade] Al Roberts, le responsable de ce programme au sein de la RAF. Seulement, cette « formidable capacité » ne sera pas disponible de sitôt… alors qu’elle devait l’être en 2027. En effet, dans une réponse à une question écrite posée par un parlementaire, Maria Eagle, la ministre britannique chargée des acquisitions et de l’industrie de la défense, a indiqué que « la mise en service » du couple F-35B/Meteor était désormais prévue pour « le début des années 2030 ». La raison de ce retard n’a pas été explicitement donnée par la ministre, celle-ci ayant seulement rappelé que le « calendrier relevait principalement du Bureau du programme conjoint [Joint Program Office – JPO] » du Pentagone et de Lockheed Martin. Probablement que le retard pris dans le développement de la configuration logicielle TR-3 [Technology Refresh-3] du F-35, laquelle est censée ouvrir la voie à la version Block 4 de cet appareil, en est la cause. Comme le rappelle le site UK Defence Journal, le ministère britannique de la Défense [MoD] avait prévenu, il y a quatre ans, que l’échéance de 2027 risquait de ne pas être tenue, « en raison de défis rencontrés dans le cadre du programme F-35 ». Pour rappel, de type BVRAM [Beyond visual range missile / air to air missile], le Meteor a été mis au point par MBDA, avec des contributions de Saab, Roxel et Thales, dans le cadre d’une coopération impliquant la France, le Royaume-Uni, la Suède, l’Italie, l’Espagne et l’Allemagne. D’une masse de 190 kg pour une longueur de 3,7 mètres et un diamètre de 178 mm, propulsé par un statoréacteur à propergol solide et à poussée régulée [Throttleable Ducted Rocket ou TDR], ce missile utilise un autodirecteur électromagnétique actif. Associé à un radar AESA [antenne active], il permet d’engager des cibles aériennes situées à une centaine de kilomètres de distance. Quoi qu’il en soit, pour la RAF, le problème est que le Meteor n’est pas le seul missile concerné par un tel retard. En mai, le quotidien « The Telegraph » avait en effet rapporté que le F-35B ne pourrait emporter de missile de croisière SPEAR 3 avant « le début des années 2030 ». « Cela remet en cause la pertinence même du F-35. […] Il s’agit du dernier revers en date dans les efforts déployés depuis des années par le ministère de la Défense pour doter les avions F-35B d’un plus large éventail d’armements. De telles modifications doivent être approuvées par Washington », avait commenté le journal.
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Today, 1:43 AM
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Brussels, Belgium (AFP) June 9, 2025 - Ukraine's creativity, including its massive Spider's web drone attack deep inside Russia, holds profound lessons for Western militaries, the top NATO commander overseeing battlefield innovation told AFP.
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Today, 1:43 AM
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Rémy Thannberger et le fonds de capital-risque Accurafy 4 vont mettre sur pied un véhicule d'investissement spécialement dédié aux entreprises européennes de la sécurité et de l'aéronautique promises
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Today, 1:39 AM
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Après avoir conduit fin 2023 des essais avec cet engin conçu pour être déployé et récupéré via un tube lance-torpille, l’USS Delaware a employé cette nouvelle capacité lors d’une mission au profit du commandement américain en Europe. « Il s'agit du tout premier déploiement et récupération via un tube lance-torpille d'un UUV en soutien d'une mission tactique », indique le groupe américain Huntington Ingalls Industries, qui a construit le sous-marin et le drone.
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Today, 1:38 AM
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Deux mois après sa cérémonie de prise d’armement pour essais au chantier Socarenam de Boulogne-sur-Mer, le Rozel, tête de série du programme PCG NG, a rejoint début juin Cherbourg, son port base. Après les essais industriels, le bâtiment a débuté sa période de vérification des caractéristiques militaires (VCM), qui conduira à sa livraison puis sa mise en service, normalement d’ici l’automne.
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Today, 1:36 AM
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Le défilé du 14 juillet sur les Champs-Elysées retrouvera ses habitudes sur la prestigieuse avenue parisienne, après avoir déménagé l’an dernier sur l’avenue Foch voisine en raison de l’organisation à Paris des Jeux Olympiques. L’armée de Terre fera défiler la 7e brigade blindée, non pas « en tenue de défilé (…) mais en bloc opérationnel et en tenue de combat à bord des engins blindés », selon le gouverneur militaire de Paris, le général Loïc Mizon, responsable de l’édition 2025 du défilé. Cette apparition est censée impressionner par son aspect « bonne de guerre » (prête au combat dans le jargon militaire) ainsi que par sa masse: trois blocs de plus de 300 défilants chacun. Le défilé visera particulièrement cette année à « démontrer la crédibilité » de l’armée française, dans un contexte de multiplication des menaces. Plus de 7000 femmes et hommes participeront au défilé, 63 avions ainsi que plusieurs avions étrangers, 33 hélicoptères, 155 véhicules et 200 chevaux de la Garde républicaine. La « patrouille de France » sera exceptionnellement composée de huit appareils et non de neuf, suite à la collision entre deux de ses Alphajet survenue le 26 mars dernier près de Saint-Dizier (est de la France). Des partenaires étrangers seront également représentés. Parmi les troupes à l’honneur cette année figure la force binationale franco-finlandaise, engagée au sein de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (Finul), qui s’évertue à superviser un accord de cessez-le-feu entre l’armée israélienne et le mouvement islamiste pro-iranien Hezbollah. L’Indonésie, où le président français Emmanuel Macron vient d’effectuer une visite, sera la nation étrangère invitée, au son de la fanfare dite « Drumband ».
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Today, 1:33 AM
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L3Harris Technologies has received a new contract through the US DoD for additional VAMPIRE systems to counter UAS threats.
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Today, 1:33 AM
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Indonesia has revealed an intent to upgrade its fleet of Russian BMP-3F amphibious infantry fighting vehicles (IFVs).
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Today, 1:33 AM
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SOURCE: AFI In a recent development surrounding the India-Pakistan aerial skirmish on May 7, 2025, a French analyst with prior experience at Dassault Aviation has provided critical insights into the performance of the Rafale fighter jet and its SPECTRA electronic warfare (EW) system. The analyst’s statements counter Pakistan’s bold claims of downing three Indian Air […]
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Today, 1:31 AM
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SOURCE: AFI Recent tensions along the India-Pakistan border have underscored critical gaps in India’s military capabilities, particularly in the realm of long-range air-to-air missiles (AAMs) and standoff missiles with ranges of 500-800 km. These clashes, marked by heightened aerial engagements and cross-border skirmishes, have highlighted the strategic necessity for India to bolster its arsenal with […]
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