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October 20, 2023 1:31 AM
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Argentine : F-16 danois contre JF-17 chinois

Argentine : F-16 danois contre JF-17 chinois | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Le département d'État américain a autorisé le transfert à l'Argentine des 24 F-16 danois qui ne partiront pas en Ukraine.
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Revue de presse quotidienne des principaux articles concernant le secteur de la Défense, de ses industriels, des armements et technologies.
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Le Haut-commissariat au Plan avance des pistes pour porter le budget des Armées à 3,5 % du PIB d'ici 2030

Le Haut-commissariat au Plan avance des pistes pour porter le budget des Armées à 3,5 % du PIB d'ici 2030 | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Malgré une hausse continue de ses crédits depuis 2018, le ministère des Armées manque de marges de manœuvre budgétaires pour accompagner sa remontée en puissance. Tel est en effet le constat établi par deux récents rapports publiés par la Cour des comptes et la commission sénatoriale des Finances.

Ainsi, l’un et l’autre ont mis en garde contre le niveau trop élevé du report des charges, lequel a atteint le niveau record de 8 milliards d’euros lors de l’exercice 2024. Pour rappel, il s’agit d’une astuce comptable consistant à ne payer les factures que l’année suivante, des intérêts moratoires étant versés aux industriels en compensation.

« Alors que le stock de report de charges de 2022 vers 2023 était de 3,88 milliards d’euros, il s’établirait à environ 8,02 milliards d’euros de 2024 vers 2025. Il a ainsi plus que doublé en deux ans », a ainsi relevé le sénateur Dominique de Legge, dans son rapport rendu au nom de la commission des Finances.

Pour la Cour des comptes, cette « augmentation du report de charges en 2024 » va « bien au-delà de l’objectif fixé au ministère ». Et d’ajouter : « La révision de la trajectoire de report de charges en fin de période sous programmation, interrogent sur la capacité du ministère à en maîtriser le retour à un niveau raisonnable d’ici à 2030 ».

Un autre point d’attention sont les « restes à payer », c’est-à-dire les autorisations d’engagements [AE] non encore couvertes par des crédits de paiement [CP]. Leur niveau est « en très forte augmentation depuis 2019 » note la Cour des comptes, qui précise qu’il s’est élevé à 100 milliards d’euros à la fin de l’exercice 2024 [soit + 2,9 % par rapport 2023].

Or, comme le souligne M. de Legge, « près de 90 % des crédits de paiement prévus en 2025, hors dépenses de personnel, seront ainsi destinés à apurer ce stock, qui continue par ailleurs d’être alimenté par l’engagement d’AE. »

Aussi, les magistrats de la rue Cambon font valoir que, malgré la hausse significative du budget des Armées et l’évolution « très favorable » de la « moindre évolution des coûts de facteurs » [prix du carburant, par exemple], la « nouvelle dégradation des ratios de report de charges et de restes à payer fait peser un risque significatif sur la soutenabilité des dépenses de la mission Défense ».

« Le ministère et le gouvernement, se doivent désormais d’y mettre impérativement de l’ordre, soit en parvenant à couvrir par des ressources additionnelles ses besoins financiers non programmés, soit en faisant des choix capacitaires pour se ramener plus étroitement à la trajectoire financière planifiée par la Loi de programmation militaire », estime la Cour des comptes.

D’autant plus que, la semaine passée, le ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a fait savoir que la France allait souscrire à l’objectif de l’Otan visant à porter les dépenses militaires à 5 % du PIB d’ici 2032.

« L’objectif de 3,5% est le bon montant pour les dépenses de base en matière de défense. Mais cela s’accompagne de dépenses qui vont concourir à l’augmentation de notre capacité de défense, qui ne sont pas des dépenses de défense directes, mais qui doivent être réalisées », comme la cybersécurité ou la mobilité militaire, a expliqué M. Barrot.

Pour rappel, il faut remonter au début des années 1960 pour retrouver un tel niveau de dépenses militaires en France.

Cependant, malgré les plans d’économies, les « réformes » et les promesses faites par les gouvernements successifs à la Commission européenne, les finances publiques continuent de se dégrader, avec une dette publique ayant dépassé les 3 300 milliards d’euros [113 % du PIB] et un déficit public s’étant établi 169,6 milliards d’euros en 2024 [soit 5,8 % du PIB]. Dans ces conditions, comment porter les dépenses militaires, au sens large, à 5 % du PIB, alors que d’autres priorités doivent aussi être financées ?

Le Haut-commissariat au Plan a tenté de répondre à cette question dans une note « flash » qu’il vient de publier. Selon lui, il n’existe que quatre leviers pour financer un tel effort, à savoir : la maîtrise des dépenses publiques, avec des « réduction inédites » dans certains domaines [social, fonction publique, etc.], une « hausse majeure des prélèvements obligatoires », alors que leur niveau, selon l’INSEE, est déjà de 42,8 % [hors cotisations sociales imputées], une « croissance du taux d’emploi », ce qui paraît compliqué à court terme, sauf à prendre des mesures radicales, et le « recours à un financement européen, via un endettement commun », ce qui pose des problèmes politiques et juridiques.

Selon cette note, « financer l’effort en ne recourant qu’à un seul levier – que ce soit la maîtrise de dépenses, des hausses d’impôts ou des réformes visant à accroître le taux d’emploi et grâce à cela les recettes publiques – semble peu crédible tant l’ampleur et la vitesse dans l’usage de chacun d’eux serait conséquente et inédite ». Aussi, « il apparaît donc indispensable de combiner plusieurs leviers, qui relèvent d’un choix politique essentiel », estime-t-elle.

Sans surprise, quand on connaît ses engagements pro-européens, le Haut-commissaire au Plan, Clément Beaune, pense que « la clé du problème » passe par l’Union européenne [UE], tant sur le plan financier qu’industriel.

« Au-delà du projet ‘ReArm Europe’, des solutions plus radicales doivent être envisagées. Un emprunt européen, permettant non seulement des financements communs mais aussi des acquisitions et des programmes industriels conjoints, est une idée qui progresse. Un montant proche de 500 milliards d’euros […] serait près de deux fois inférieur à l’effort consenti pendant la crise du Covid et faciliterait grandement les efforts nationaux, le niveau d’endettement global de l’Union européenne restant modéré », écrit M. Beaune dans son « éditorial ».

S’agissant de l’aspect industriel, le Haut-commissaire au Plan plaide pour une DGA [Direction générale de l’armement] européenne, laquelle serait créée à partir de l’Agence européenne de défense [AED], « sous le contrôle des États ». Une telle structure permettrait « de définir et d’acquérir en commun de nouveaux équipements » à des industriels européens.

« De la prescription à la production, c’est un modèle européen qu’il faut inventer : les erreurs commises dans le secteur spatial notamment, avec un ‘retour géographique’ inefficace, doivent inciter à bâtir un autre schéma, reposant sans doute, en aval, sur une spécialisation industrielle nationale plus assumée », conclut M. Beaune sur ce point.
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Les armées françaises lorgnent sur un missile balistique d'une portée supérieure à 2000 km

Les armées françaises lorgnent sur un missile balistique d'une portée supérieure à 2000 km | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Les armées françaises lorgneraient sur un missile balistique sol-sol d’une portée supérieure à 2000 km, révèle un récent rapport d’information parlementaire. Une capacité absente de l’arsenal français qui pourrait se concrétiser au travers de l’European Long Range Strike Approach (ELSA), cette initiative lancée en juillet 2024 et sur le point d’entrer dans une nouvelle phase industrielle.

Ce trou capacitaire dans l’arsenal des armées – tant françaises qu’européennes – n’aura pas échappé aux députés français. « Aujourd’hui, nous ne disposons pas de capacités de frappe conventionnelle sol-sol dans cette grande profondeur », rappelait Jean-Louis Thiériot, co-auteur d’un rapport remarqué sur l’artillerie à l’aune du nouveau contexte stratégique. Cette situation « fait naître un risque de contournement par le bas de la dissuasion nucléaire », poursuivait le député LR tout en précisant qu’ « il existe une forme de vide dissuasif que ce type de capacité sol-sol à longue portée permettrait de combler avec toute l’utilité du signalement qu’il permettrait ».

Entre le missile balistique et le missile de croisière, les rapporteurs penchent plutôt pour le premier. L’attrition des moyens balistiques s’avère bien moindre en regard des retours d’expérience du conflit russo-ukrainien, expliquent-ils. « Si une seule technologie devait être retenue en raison du contexte budgétaire contraint, nous estimons que développer la technologie balistique terrestre est plus important que celle de développer une technologie de croisière terrestre, l’idéal étant de faire les deux », expliquait Jean-Louis Thiériot.

Plus de 2000 km, c’est aussi la performance recherchée par un objet pour lequel le duo germano-britannique envisage un travail conjoint. Une telle capacité représentera « l’un des systèmes les plus avancés jamais conçus par le Royaume-Uni, visant à protéger la population britannique et à renforcer la dissuasion de l’OTAN, tout en stimulant les secteurs de la défense britannique et européen », a indiqué le ministère de la défense britannique.

Annoncé à l’occasion d’une première réunion bilatérale au format « Trinity House », l’effort se matérialisera, d’après la partie allemande, au sein d’une ELSA à laquelle participent également la France, l’Italie, la Pologne et la Suède. D’avis de parlementaire, l’ELSA semble justement être le cadre idéal pour combler le trou capacitaire français. « Tout est aligné. Il y a une volonté politique, il y a des industriels qui ne rentreront pas dans les mécanismes lourds type Fonds européen de défense », observait Jean-Louis Thiériot.

Organisée sous forme de clusters constituant autant de domaines prioritaires, cette « initiative très intéressante » se concentre aujourd’hui autour de 13 piliers. « C’est à dire les 13 segments qui peuvent permettre d’avoir cette capacité en fonctionnant clairement sur la logique du best athlete », une volonté qui n’est pas sans rappeler celle adoptée pour les programmes SCAF et MGCS. Selon les co-rapporteurs, l’attribution des rôles devrait a priori être actée le mois prochain. La France devrait notamment « jouer un rôle majeur » sur le segment balistique « via Ariane[Group] », soulignait le député républicain.
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Choose France : le conflit en Ukraine dope les investissements dans les drones

Choose France : le conflit en Ukraine dope les investissements dans les drones | DEFENSE NEWS | Scoop.it
H3 Dynamics
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EDGE launches ‘Group AI Accelerator’ to drive excellence in AI-Enhanced solutions

Abu Dhabi, UAE: 19 May 2025 –EDGE, one of the world’s leading advanced technology and defence groups, has officially launched
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Far More Powerful B61-13 Guided Nuclear Bomb Variant Joins U.S. Stockpile

Far More Powerful B61-13 Guided Nuclear Bomb Variant Joins U.S. Stockpile | DEFENSE NEWS | Scoop.it
U.S. officials say adding the B61-13 bomb to America's nuclear arsenal is key to holding certain underground and large area targets at risk.
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L'Australie est sur le point de livrer 49 anciens chars M1A1 Abrams à l'Ukraine

L'Australie est sur le point de livrer 49 anciens chars M1A1 Abrams à l'Ukraine | DEFENSE NEWS | Scoop.it
En septembre 2023, après les avoir longtemps réclamés, l’armée ukrainienne prit possession de trente-et-un chars MA1A1 Abrams SA [Situational Awareness] prélevés dans l’inventaire de l’US Army. Seulement, leur premier engagement au combat, en février 2024, ne permit pas d’éviter la perte de la localité d’Avdiïvka, dans l’oblast de Donetsk.

Depuis, d’après le site Oryx, qui documente les pertes subies par les deux belligérants, vingt-deux M1A1 Abrams ukrainiens ont été détruits, abandonnés ou capturés. Plusieurs raisons ont été avancées pour expliquer ce taux d’attrition, d’environ 70 %.

D’abord, l’omniprésence des munitions téléopérées [MTO] sur la ligne de front. La « transparence » du champ de bataille induite fait que les chars sont susceptibles d’être rapidement détectés… et donc traqués. Aussi, leur vulnérabilité ne peut que croître, surtout s’ils ne disposent pas de contre-mesures appropriées pour « traiter » cette menace.

En outre, en avril 2024, un responsable militaire américain expliqua que, en mettant de côté une approche « interarmes », l’armée ukrainienne n’avait « pas adopté les tactiques » adéquates pour rendre « plus efficaces » ses M1A1 Abrams.

Des soldats ukrainiens firent aussi fait part de leur déception auprès de CNN, ceux-ci ayant déploré des munitions inadaptées et des difficultés pour maintenir les Abrams en bon état de marche, le maintien en condition opérationnelle [MCO] de ce type de char étant compliqué à assurer.

« Ce que nous avons est surtout destiné aux engagements directs de type ‘chars contre chars’, ce qui arrive rarement. Nous agissons plus souvent comme l’artillerie », avait ainsi avancé l’un deux.

Conseiller à la sécurité nationale du président Joe Biden, Jake Sullivan fit preuve d’une certaine franchise lors d’un colloque organisé par la Fondation Ronald Reagan, en décembre dernier. « En ce qui concerne les chars Abrams que nous avons envoyés en Ukraine, ils ne sont pas réellement utilisés par l’armée ukrainienne car ce n’est pas l’équipement le plus utile pour elle dans cette guerre », avait-il en effet admis.

Ces doutes expliquent-ils les réticences des États-Unis à donner leur feu vert au don à l’Ukraine de quarante-neuf M1A1 Abrams ayant servi au sein de l’armée australienne ?

En effet, fin avril, ces chars promis par Canberra n’avaient toujours pas quitté le sol australien, faute d’avoir obtenu l’autorisation nécessaire de Washington.

Si la perspective d’un éventuel cessez-le-feu entre Ukrainiens et Russes a été avancée pour expliquer ce blocage, des responsables de la défense australienne ont émis des doutes sur la pertinence de cette aide militaire.

« Nous commençons à douter que les Ukrainiens veuillent réellement ces char. Le toit est le point le plus faible de l’Abrams alors que l’on parle d’une guerre de drones », a déclaré l’un d’eux, à la chaîne australienne ABC News. « Il y a aussi la crainte qu’avec un éventuel accord de paix à l’horizon, il serait embarrassant d’avoir des chars à bord de navires au milieu de l’océan. On manque aussi du personnel nécessaire pour les surveiller en mer », a-t-il ajouté.

En outre, selon ABC News, les anciens M1A1 Abrams de l’armée australienne ne sont évidemment pas de première jeunesse. Ce qui pose la question de la logistique nécessaire à leur entretien. C’est en particulier ce point qui a été soulevé par les États-Unis.

« L’année dernière, avant même le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, nous avions prévenu les Australiens que l’envoi de ces chars Abrams serait compliqué, et qu’une fois arrivés sur le champ de bataille, les Ukrainiens auraient du mal à les maintenir », a en effet confié un responsable américain.

Quoi qu’il en soit, et malgré ces réserves, ces quarante-neuf M1A1 Abrams promis par Canberra sont sur le point de rejoindre l’Ukraine, l’administration américaine ayant finalement consenti à donner son autorisation pour leur réexportation.

En effet, le 18 mai, après avoir assisté à la messe inaugurale du pape Léon XIV, le Premier ministre australien, Anthony Albanese, a confirmé au président ukrainien, Volodymyr Zelenski, que les M1A1 Abrams étaient « en route » vers l’Ukraine.

« Nous avons travaillé en étroite collaboration avec l’Ukraine et les États-Unis, pour que cette expédition ait lieu et que les chars soient en route », a affirmé Richard Marles, le ministre australien de la Défense, ce 19 mai. « La première tranche est en route depuis un certain temps déjà, mais je ne vais pas entrer dans les détails », a-t-il ajouté.

Reste à voir ce que l’armée ukrainienne fera de ces chars dont l’utilité interroge.. Et cela alors que le gouvernement australien avait motivé son refus de donner à Kiev les hélicoptères NH-90 qu’il venait de retirer du service en affirmant que l’Ukraine aurait du mal à les exploiter et à assurer leur entretien…
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Su-30MKI to Be Equipped with Virupaksha GaN AESA Radar to Hunt Chinese Stealth Fighters at Stand-Off Range

Su-30MKI to Be Equipped with Virupaksha GaN AESA Radar to Hunt Chinese Stealth Fighters at Stand-Off Range | DEFENSE NEWS | Scoop.it
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Ukraine hits Russian spy radar in Black Sea strike

Ukraine hits Russian spy radar in Black Sea strike | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Ukraine’s Security Service (SBU) has carried out a targeted drone strike on Russian radar and supply facilities located on captured gas extraction platforms in the Black Sea. According to Oboronka, the complex attack involved both aerial and maritime drones operated by the 13th Main Directorate of the SBU’s Military Counterintelligence Department. In a statement, the
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Ukrainian Army approves flame-throwing robot

Ukrainian Army approves flame-throwing robot | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The Ukrainian Ministry of Defense has officially approved the use of the domestically developed KRAMPUS mobile flamethrower strike drone by the Armed Forces of Ukraine. The system, designed for frontline operations, combines mobility, autonomy, and firepower in a compact and stealth-capable form. According to a statement from the Ministry, KRAMPUS features a low-profile, tracked chassis
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Mystery buyer in Europe orders Australian ‘drone killer’ systems

Mystery buyer in Europe orders Australian ‘drone killer’ systems | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Electro Optic Systems Holdings (EOS), an Australian defense technology company, announced it has secured a €31 million (approx. A$53 million) order for its Slinger Counter-Drone Remote Weapon Systems (RWS) from a European naval integrator. According to a statement by EOS, the new order represents the largest to date for the Slinger platform and marks the
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Revue Stratégique, Sommet de l'OTAN... : la France entre dans un moment décisif pour sa défense

Revue Stratégique, Sommet de l'OTAN... : la France entre dans un moment décisif pour sa défense | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Entre la publication de la révision de la Revue stratégique 2022, dans un contexte international plus intense que jamais depuis presque quarante ans, un
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Cessez-le-feu en Ukraine : l'Autriche veut que l'UE discute avec les alliés de la Russie

Cessez-le-feu en Ukraine : l'Autriche veut que l'UE discute avec les alliés de la Russie | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Plus de la moitié des États membres de l’UE soutiennent une lettre appelant Bruxelles à intensifier ses efforts diplomatiques auprès des alliés de la Russie afin d’accroître la pression sur Moscou pour qu’elle accepte un cessez-le-feu en Ukraine.
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French Navy tests FPV UAV for self-defense of surface ships

French Navy tests FPV UAV for self-defense of surface ships | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The French Navy tested first person view unmanned aerial vehicles (FPV UAV) as a way to reinforce the self-defence of surface vessels.
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La Marine nationale teste le concept de munition téléopérée défensive pour la protection de ses navires

La Marine nationale teste le concept de munition téléopérée défensive pour la protection de ses navires | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Dans un récent entretien publié par Marine & Océans, le commandant de l’équipage A de la frégate multimissions [FREMM] Provence, le capitaine de vaisseau Pascal Forissier, a estimé que le combat naval allait être « bouleversé » par la généralisation des drones, ceux-ci étant appelés à être encore plus redoutable quand ils « agiront en essaim, de façon à saturer nos forces ».

D’où les exercices de lutte antidrone « Wildfire », dont l’édition 25.1 a été organisée au large de Brest, entre le 29 avril et le 6 mai. Les FREMM Bretagne et Auvergne ainsi que le patrouilleur de haute mer [PHM] « Enseigne de vaisseau Jacoubet » et un hélicoptère NH-90 Caïman NFH y ont pris part.

Selon la Marine nationale, ces unités ont dû « faire face à des assauts et à des essaims de drones, mis en œuvre par la Direction générale de l’armement [DGA] », sans avoir préalablement pris connaissance du scénario et des menaces auxquelles elles allaient être confrontées. Les équipages ont donc dû « faire appel à leur créativité opérationnelle, à leur expertise et à leur réflexion tactique ».

« La mise en œuvre de différentes tactiques et de nombreux équipements de lutte anti-drone ont permis de capitaliser du retour d’expérience qui sera ensuite exploité par le Centre d’expertise de la Force d’action navale [CENTEX FAN] », a précisé la Marine nationale.

Cela étant, certaines menaces sont sans doute plus difficiles à appréhender que d’autres. Tel est le cas des drones de surface.

Comme l’a expliqué le capitaine de vaisseau Forissier, ceux utilisés par les rebelles houthis, en mer Rouge, sont des « skiffs traditionnels », c’est-à-dire des barques en bois utilisés par les pêcheurs [et les contrebandiers] de la région, téléguidés et chargés d’explosifs.

« Les houthis sont allés jusqu’à les doter de mannequins pour laisser croire qu’il s’agissait de barques de pêche inoffensives et non de drones téléguidés armés. D’où le besoin pour nous de disposer de moyens de détection et d’identification suffisamment précis pour faire la distinction », a-t-il raconté dans les pages de Marine & Océans.

Quoi qu’il en soit, l’objectif de la Marine nationale est d’étendre l’arsenal que ces navires sont susceptibles de mettre en œuvre pour contrer de telles menaces.

D’où l’expérimentation qu’elle a récemment menée depuis un porte-hélicoptère amphibie [PHA], dont l’armement se limite à deux systèmes d’autodéfense surface-air à très courte portée SIMBAD, deux canons Narwhal de 20 mm, quatre mitrailleuses de 12,7 mm et à deux miniguns de 7,62 mm.

En effet, via le réseau social X, la Marine nationale a fait savoir qu’elle avait testé des munitions téléopérées [MTO] « défensives » depuis un PHA, contre des « cibles simulant des drones hostiles ».

La vidéo qu’elle a diffusée à cette occasion montre effectivement une embarcation détruite par un drone aérien de type FPV, fonctionnant, a priori, avec un système Combo X2-Air 5.8 MK II, habituellement utilisé pour les drones [chinois] DJI FPV.

La Marine nationale a expliqué, à Naval News, que cette expérimentation de drones FPV pour l’autodéfense était un « nouveau concept » qu’elle était en train d’explorer.

Peu coûteux, éventuellement produits à la demande grâce à un atelier de fabrication additive à bord d’un PHA ou d’une frégate, ces drones FPV pourraient aussi avoir un usage offensif… ou être utilisés pour saturer / leurrer les défenses d’un navire ennemi.
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Today, 1:53 AM
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OPINION. Légèreté et impatience ont tué la loi de programmation militaire

OPINION. Légèreté et impatience ont tué la loi de programmation militaire | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Selon le groupe Vauban, la loi de programmation militaire (LPM), dès sa conception, reposait sur des hypothèses qui, toutes, sont devenues de lourdes hypothèques, à l'exception peut-être de l'évolution du coût des facteurs plus favorable qu'estimé par le ministère des Armées. Par le groupe Vauban.
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L'Otan à 5 % du PIB pour la défense : rêve stratégique ou chimère budgétaire ?

À l’horizon 2032, l’Otan envisage de consacrer 5 % du PIB de ses membres à la défense. Une initiative alliant enjeux géopolitiques et contraintes budgétaires, mais qui révèle les tensions croissantes au sein de l’Alliance atlantique.
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Today, 1:47 AM
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EU, UK agree defense partnership as prelude to tighter cooperation

EU, UK agree defense partnership as prelude to tighter cooperation | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The pact is meant to align London's defense policy more closely with that of mainland Europe, with potential avenues for accessing common financing.
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Today, 1:47 AM
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Russia Testing Shotgun-Armed Yak-52 Trainer Aircraft To Down Ukrainian Drones

Russia Testing Shotgun-Armed Yak-52 Trainer Aircraft To Down Ukrainian Drones | DEFENSE NEWS | Scoop.it
WWI-style air combat tactics applied to the drone problem have been proven by Ukraine and are now being adopted in Russia, but using shotguns is questionable. The World War One-style air combat tactics have already been proven by Ukraine and are now being adopted in Russia.
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"Flotte fantôme" : La Russie arraisonne un navire parti d'Estonie avec une cargaison de pétrole de schiste

"Flotte fantôme" : La Russie arraisonne un navire parti d'Estonie avec une cargaison de pétrole de schiste | DEFENSE NEWS | Scoop.it
La semaine passée, l’Union européenne [UE] a approuvé un dix-septième « paquet » de sanctions contre la Russie, en mettant l’accent sur la « flotte fantôme » de pétroliers auxquels celle-ci a recours pour contourner les restrictions déjà imposées à ses exportations d’hydrocarbures.

Cette « flotte fantôme » se compose de plusieurs centaines de navires [345 selon l’UE, ndlr], qui, pour compliquer leur identification, changent régulièrement de pavillon, de nom et de propriétaires. Généralement non couverts par des assurances alors que leur état laisse souvent à désirer, ils naviguent parfois sans activer leur système AIS [Automatic Identification System], ce qui accroît le risque de collision… et celui d’une marée noire.

Dans une note publiée en 2024, le Centre d’études stratégiques de la Marine [CESM] a souligné les difficultés que posaient ces « flottes fantômes » [la Russie n’est pas la seule à y recourir…], contre lesquelles il n’existe pas, à ce jour, de parade efficace, faute d’un cadre juridique adéquat, celui-ci étant « défavorable lorsque les transactions concernent des pays non occidentaux qui ne participent pas aux sanctions contre » Moscou, a-t-il expliqué.

« Ainsi en 2023 près d’un quart des importations chinoises de pétrole provenaient de Russie, du Venezuela et d’Iran. Ces importations étaient le fait de raffineries de petites tailles, surnommés teapots, qui n’ont que très peu de liens avec le système financier international et sont donc peu vulnérables aux sanctions américaines et européennes », a-t-il poursuivi.

Quoi qu’il en soit, le 11 avril dernier, estimant avoir le droit d’inspecter les navires transitant par sa zone économique exclusive [ZEE] pour des raisons de sécurité, l’Estonie a arraisonné le Kiwala, un pétrolier battant le pavillon de Djibouti [ce que les autorités djiboutiennes ont réfuté], alors qu’il se dirigeait vers le port russe d’Ust-Luga. Les contrôles menés à son bord ont permis de constater pas moins de quarante « déficiences ».

« L’immobilisation du navire a pour but de vérifier ses papiers et son statut juridique », avait alors expliqué la marine estonienne. « Les enquêtes menées ne sont en aucun cas liées à des dommages causés à des infrastructures sensibles », a-t-elle précisé. Finalement, même s’il figurait sur les listes des sanctions de l’UE, du Royaume-Uni et du Canada, le Kiwala a été autorisé à reprendre sa route deux semaines plus tard.

Le 13 mai, un autre pétrolier suspect, le M/T Jaguar, battant pavillon gabonais et lié à la société indienne Gatik Ship Management, a refusé de se plier aux injonctions de la marine estonienne. Mieux, a priori, il a même été protégé par un Su-35 Flanker russe alors que le patrouilleur Raju souhaitait le contrôler.

Plus tard, Tallinn a accusé l’avion de combat russe d’avoir violé son espace aérien, au niveau de la péninsule de Juminda. Le Su-35 « n’avait pas de plan de vol et son transpondeur était éteint. Au moment de l’infraction, il n’était pas non plus en communication avec le contrôle aérien », a ensuite précisé le ministère estonien de la Défense, avant d’évoquer l’intervention de F-16 portugais, basés à Ämari, dans le cadre de la mission Baltic Air Policing de l’Otan.

Cela étant, cet incident est encore loin d’être clos. Le 17 mai, la marine russe a en effet arraisonné le pétrolier Green Admire, qui, battant pavillon du Libéria et appartenant à un armateur grec, transportait du pétrole de schiste estonien en direction de Rotterdam [Pays-Bas].

Après avoir appareillé du port de Sillamae, le Green Admire a emprunté un chenal de navigation traversant les eaux territoriales russes. Chenal qui avait été mis en place grâce à un accord entre l’Estonie, la Finlande et la Russie afin d’éviter les hauts-fonds dans les eaux estoniennes. Selon le site Marine Traffic, le pétrolier se trouvait près de l’île russe de Hogland, le 18 mai.

« C’est la première fois qu’un tel incident se produit. La route empruntée par le Green Admire est un corridor pour la navigation à fort tirant d’eau, qui a été approuvé par la Russie, l’Estonie et la Finlande. À l’avenir, il sera conseillé aux navires marchands estoniens d’emprunter une route différente et un peu plus difficile pour éviter les eaux russes », ont expliqué les autorités estoniennes auprès du radiodiffuseur public ERR.

Cet incident « montre que la Russie continue d’agir de manière imprévisible. C’est pourquoi les navires seront dirigés vers une route alternative à l’avenir », a, de son côté, déclaré Margus Tsahkna, le ministre estonien des Affaires étrangères, via un communiqué.

Cela étant, il n’est pas question pour l’Estonie de renoncer à contrôler les pétroliers suspects. C’est en effet ce qu’a affirmé son Premier ministre, Kristen Michal, dans un entretien accordé à l’agence Reuters. « La question pour nous – pas seulement pour l’Estonie, mais aussi pour l’Europe et les États-Unis – est de savoir comment il se fait que la Russie mène une guerre pour la quatrième année et continue à vendre ses produits sur le marché mondial ? », a-t-il demandé.
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Our First Look At The YFQ-42 ‘Fighter Drone’ Collaborative Combat Aircraft

Our First Look At The YFQ-42 ‘Fighter Drone’ Collaborative Combat Aircraft | DEFENSE NEWS | Scoop.it
General Atomics' YFQ-42A and Anduril's YFQ-44A, the two initial CCA designs for the Air Force, are set to fly for the first time later this year.
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US startup launches turbojet strike drone

US startup launches turbojet strike drone | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Cummings Aerospace, a U.S. defense firm based in Huntsville, Alabama, has introduced a new line of loitering munitions that could reshape battlefield tactics. In a recent episode of The Merge podcast, company founder and CEO Sheila Cummings revealed key details about the Hellhound S3—a lightweight, jet-powered kamikaze drone designed for rapid, precision strikes. According to
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Greece adopts V-BAT drone after Ukrainian combat success

Greece adopts V-BAT drone after Ukrainian combat success | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The Hellenic Armed Forces have officially integrated their first V-BAT unmanned aerial systems. The announcement came during a ceremony on May 14 attended by Prime Minister Kyriakos Mitsotakis and Minister of Defense Nikos Dendias, alongside top military leadership. The V-BAT, manufactured by U.S.-based Shield AI, was handed over to the Supreme Military Command of the
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Today, 1:38 AM
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Dutch order for up to 1,570 trucks highlights surging demand

Dutch order for up to 1,570 trucks highlights surging demand | DEFENSE NEWS | Scoop.it
The past 12 months has seen billions-of-dollars in logistics, support and supply trucks ordered and delivered. The deals range from a US Army $1.5 billion contract with Oshkosh, Italy for $784 million from IDV and Canada’s $1.8 billion order for Mercedes-Benz Zetros trucks to a German order worth $3.5 billion with Rheinmetall.
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Les bâtiments de guerre des mines classe City, prochain succès export de Naval Group

Les bâtiments de guerre des mines classe City, prochain succès export de Naval Group | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Les bâtiments de guerre des mines NGDM classe City, pourraient bien être la révélation surprise des exportations françaises dans les années à venir
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Today, 1:35 AM
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Donald Trump dit que la Russie et l’Ukraine vont « démarrer immédiatement des négociations en vue d’un cessez-le-feu »

Donald Trump dit que la Russie et l’Ukraine vont « démarrer immédiatement des négociations en vue d’un cessez-le-feu » | DEFENSE NEWS | Scoop.it
Donald Trump a affirmé lundi 19 mai que la Russie et l’Ukraine allaient « démarrer immédiatement des négociations en vue d’un cessez-le-feu », après son appel avec Vladimir Poutine, qui « s’est très bien passé » selon lui.
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