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May 13, 8:49 AM
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Trump rightly said only "a stupid person" would turn down the free Qatari jet, but turning it into Air Force One for a few years of service isn't realistic.
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May 13, 8:17 AM
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Raytheon has secured a $2.13 billion contract modification to continue sustaining engineering and product support services for the Standard Missile-3 (SM-3) program, the Pentagon announced. The total value of the contract now stands at $3.33 billion, up from its previous value of $1.19 billion. According to a statement from the Department of Defense, the modification
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May 13, 8:08 AM
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The concept behind NEMESIS represents a proven collaboration between GDELS and KNDS.
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May 13, 8:07 AM
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The declaration was signed during a visit to Mesko, the Polish defence company responsible for manufacturing the Piorun systems.
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May 13, 8:06 AM
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Lockheed Martin announced on Sunday that Saudi Arabia has successfully manufactured its first domestic components for the Terminal High Altitude Area Defense (THAAD) system launcher.
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May 13, 8:05 AM
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Exail has announced its selection to supply the UmiX-40 Inertial Measurement Unit (IMU) for integration into the Airbus SIRTAP tactical unmanned aerial system (UAS).
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May 13, 8:04 AM
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Helsing has unveiled two new cutting-edge innovations aimed at transforming underwater defence.
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May 13, 8:03 AM
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May 13, 8:02 AM
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Ayant l’ambition de se doter de capacités aéronavales, la marine sud-coréenne envisagea d’abord de modifier ses deux porte-hélicoptères de la classe Dokdo afin de leur permettre d’accueillir des chasseurs-bombardiers F-35B de type STOVL [à décollage court et à atterrissage vertical]. Seulement, le tonnage des deux navires étant insuffisant [18 000 tonnes à pleine charge], elle dut revoir ses plans. D’où le programme LPH-II [rebaptisé CV-X par la suite] lancé en 2019 afin de construire un porte-avions léger de 30 000 tonnes pouvant mettre en œuvre jusqu’à vingt F-35B. Ce programme fut confirmé dans le plan de défense 2021-25, avec l’objectif de le voir se concrétiser en 2033. Deux industriels s’étaient alors mis sur les rangs : Daewoo Shipbuilding and Marine Engineering [DSME] et Hyundai Heavy Industries [HHI], l’un et l’autre ayant noué des partenariats avec des entreprises étrangères, dont le britannique Babcock et l’italien Fincantieri. Cependant, le CV-X, par essence coûteux, ne fit pas l’unanimité au sein de la classe politique sud-coréenne. Au-delà du budget nécessaire pour sa construction, son utilité fut interrogée au regard de la doctrine militaire du pays. Pour rappel, orientée vers la Corée du Nord, celle-ci repose sur trois piliers : la mise en réseau des capacités de renseignement avec les moyens de frappe en vue de détruire préventivement les sites de lancements de missiles nord-coréens [« kill chain »], la défense antimissile [KAMD pour Korea Air and Missile Defense System] et, l’éventualité de frappes massives de représailles. Aussi, le programme CV-X fut ballotté au gré des alternances politiques. Et, en 2022, il ne bénéficia d’aucun financement alors que la notification d’un contrat de conception était imminente. Pourtant, il fut maintenu dans le plan de défense 2024-28, présenté par Shin Won-sik, alors ministre de la Défense, en décembre 2023. Finalement, la marine sud-coréenne ne disposera pas de porte-avions léger… Et la commande de vingt F-35B ne sera jamais passée auprès de Lockheed-Martin. En effet, selon l’agence de presse Yonhap, qui évoque un nouveau plan récemment présenté au comité de la Défense du Parlement sud-coréen, Séoul a décidé d’abandonner le programme CV-X [et donc l’achat de F-35B] au profit de la construction d’un « navire de commandement polyvalent » qui devra être en mesure de mettre en œuvre des drones [y compris des munitions téléopérées, ou MTO] et des hélicoptères. Ainsi, la marine sud-coréenne souhaite un navire pouvant être sollicité pour mener des frappes contre des « cibles clés » ainsi que pour des « opérations d’assaut amphibie ». En outre, il devra être également en mesure de « protéger les voies de navigation maritime » tout en étant susceptible de « répondre aux catastrophes naturelles ». Selon les explications données par les responsables sud-coréens, il s’agit de « prendre en compte l’avenir de la guerre navale ainsi que l’apport de l’intelligence artificielle aux systèmes « sans pilote ». En outre, ce nouveau projet permettra de faire des économies conséquentes, ne serait-ce que sur l’achat des F-35B [soit, au moins 2,5 milliards d’euros]. La taille de ce « navire de commandement polyvalent » sera similaire à celle du porte-avions que la marine sud-coréenne voulait se procurer. Il embarquera des « dizaines de drones de combat, de surveillance et de reconnaissance « , ceux-ci devant cohabiter avec des hélicoptères de manœuvre et d’attaque. D’après Yonhap, Hyundai Heavy Industries a d’ores et déjà été chargé de réaliser une étude de conception.
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May 13, 7:59 AM
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Les modèles d’obusiers automoteurs ne manquent pas. Outre le CAESAr français [et le CAESAr de nouvelle génération], on compte, entre autres, le Zuzana 2 slovaque, le 2S22 Bohdana ukrainien, l’Atmos israélien, les Pzh-2000 et RCH155 allemands, le K9 Thunder sud-coréen [et bientôt le K9A3] , l’Archer suédois et l’ARVE, récemment dévoilé par le groupe finlandais Patria. Un nouveau vient de faire son apparition. En effet, ce 12 mai, à l’occasion du salon international de la défense et de la sécurité FEINDEF 25, à Madrid, General Dynamics European Land Systems [GDELS], la filiale européenne du groupe américain General Dynamics Land Systems [GDLS] a présenté le Nemesis, un obusier automoteur équipé d’un canon de 155 mm et monté sur des chenilles. Plus précisément, le Nemesis est un système d’artillerie dont la conception repose sur celle du véhicule de combat d’infanterie ASCOD [Austrian Spanish Cooperation Development]. Il est équipé d’une tourelle automatisée AGM 155 mm/L52 [Artillerie-Geschütz-Modul], fournie par KNDS Deutschland. Pour schématiser, le Nemesis reprend le principe du RCH155, qui repose sur le VCI à roues « Boxer », ainsi que celui du Piranha Heavy Mission Carrier [HMC] 10×10, dévoilé par GDELS lors de l’édition 2024 d’EuroSatory. Selon les explications données par l’industriel, le Nemesis peut être mis en œuvre par seulement deux artilleurs. Cependant, « grâce à son compartiment ergonomique optimisé, il peut en accueillir un troisième si nécessaire. Mais il peut également fonctionner sans personne à son bord. Doté d’une motorisation diesel de 1 100 ch, cet obusier peut être équipé de chenilles en acier ou en caoutchouc composite. Grâce à l’AGM-155, il peut tirer en mouvement, dans toutes les directions. Selon le type des obus utilisés, sa portée est comprise entre 54 et 70 km. « Entièrement développé en Europe, Nemesis contribue à une plus grande autonomie stratégique du continent. Comme les guerres et conflits récents l’ont confirmé de manière spectaculaire, l’appui-feu indirect automoteur demeure un élément majeur et décisif sur le champ de bataille d’aujourd’hui et de demain » et ce « nouvel obusier basé sur l’ASCOD est un remplaçant potentiel pour des systèmes plus anciens, comme le M109, actuellement en service dans l’armée espagnole et chez d’autres utilisateurs », fait valoir GDELS. Le Nemesis pourrait également succéder au PzH2000 [monté sur des chenilles, ndlr] au sein des forces terrestres allemandes. Ces dernières ont l’ambition de créer dix bataillons d’artillerie supplémentaires d’ici 2035 et de mettre en œuvre 289 obusiers automoteurs et 76 lance-roquettes multiples.
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May 13, 7:58 AM
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Le 12 mai, alors que le président Trump s’apprête à effectuer une tournée diplomatique au Moyen-Orient, avec l’intention de sceller des contrats d’armement avec les monarchies de la région [et en particulier avec l’Arabie saoudite], la Defense Security Cooperation Agency [DSCA], chargée des exportations d’équipements militaires américains, a publié un avis pour recommander au Congrès d’accepter la vente potentielle de six hélicoptères de transport lourd CH-47F Block II Chinook aux Émirats arabes unis. Le montant du « devis » est estimé à 1,3 milliard de dollars. Cette vente potentielle « contribuera à la politique étrangère et à la sécurité nationale des États-Unis en permettant de renforcer la sécurité d’un important partenaire régional. Les Émirats arabes unis sont un partenaire essentiel pour la stabilité politique et le développement économique au Moyen-Orient », a justifié la DSCA. « La vente proposée améliorera la capacité des Émirats arabes unis à faire face aux menaces actuelles et futures en élargissant leur champ d’action », a-t-elle encore souligné, avant d’expliquer que les forces émiriennes utiliseront ces CH-47F Block II pour des « opérations de recherche et de sauvetage, de soutien humanitaire et de lutte contre le terrorisme ». « Les Émirats arabes unis n’auront aucune difficulté à intégrer ces équipements et services au sein de leurs forces armées », a conclu la DSCA. Et pour cause : le commandement interarmées émirien dispose déjà de vingt-huit CH-47C/F Chinook, dont douze furent acquis auprès de la Libye en 2003. Construits sous licence par l’italien Elicotteri Meridionali dans les années 1970, ces derniers ont fait l’objet d’une modernisation, dans le cadre de contrats notifiés à AgustaWestland et Piaggio Aero Industries pour un total d’environ 100 millions de dollars. A priori, ces appareils anciens ne seraient plus en service. D’où la commande de six CH-47F Block II qu’envisage de passer Abou Dhabi auprès de Boeing. Récemment entré en service au sein de l’US Army [le premier exemplaire ne lui a été livré qu’en 2024], le CH-47F Block II peut voler à 300 km/h, à une altitude de 20 000 pieds. Doté d’une motorisation plus puissante [+20 % grâce à ses deux Honeywell T55-714C], il a une capacité d’emport plus importante par rapport à ses prédécesseurs. Enfin, il est ravitaillable en vol. Le choix d’acquérir des Chinook supplémentaires enlève sans doute tout espoir à Airbus Helicopters de vendre douze H225M Caracal aux Émirats arabes unis… Pour rappel, un contrat avait pourtant été signé en décembre 2021… avant d’être annulé trois ans plus tard pour des raisons « financières » et « techniques ». Par ailleurs, la DSCA a publié un second avis intéressant les Émirats arabes unis. D’une valeur estimée à 130 millions de dollars, il porte sur l’achat éventuel de pièces de rechange et « d’accessoires supplémentaires » pour les F-16 de la force aérienne émirienne.
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May 13, 3:10 AM
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Fin avril, le ministre saoudien de la défense a brusquement annulé une visite prévue à Osaka et torpillé les efforts de Tokyo pour intégrer l'Arabie saoudite au projet GCAP. L'exécutif japonais avait
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May 11, 9:43 PM
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ST Engineering announced on 7 May 2025 that it has been contracted to deliver unmanned MCM systems for the Republic of Singapore Navy.
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May 13, 8:47 AM
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Lightweight, low cost, and reportedly full of foreign components, Russia's Banderol cruise missile has emerged on the battlefield in Ukraine. Lightweight, low cost, and reportedly full of foreign components, the Banderol missile could put Ukrainian air defenses under even greater strain.
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May 13, 8:09 AM
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Adm. Nicolas Vaujour, the French Navy commander since September 2023, has been seeking to harden the force and strengthen its immediate combat capability.
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May 13, 8:08 AM
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Finnish defence company Patria has secured €45 million in European Union funding to spearhead the development of the Artificial Intelligence Warfare Adaptive Swarm Platform (AI-WASP).
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May 13, 8:06 AM
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Pakistan's air defence successfully intercepted a French-made SCALP cruise missile, according to a recent announcement.
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May 13, 8:05 AM
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These laser rangefinders will be integrated into the Skyranger 30, a short-range air defence system, Lumibird said in a press release.
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May 13, 8:04 AM
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The United States Department of State has approved a potential Foreign Military Sale to the United Arab Emirates (UAE) involving CH-47F Chinook helicopters and related equipment.
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May 13, 8:04 AM
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Raytheon has been awarded a $2.13 billion contract modification to continue providing sustaining engineering and product support services for the Standard Missile-3 (SM-3) program.
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May 13, 8:02 AM
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May 13, 8:01 AM
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Lors de la guerre des Malouines, la 2e Escuadrilla Aeronaval de Caza y Ataque de la marine argentine [ARA – Armada de la República Argentina] s’illustra en coulant deux navires de la Royal Navy grâce à ses avions embarqués Super Étendard, armés de missiles antinavires Exocet. Puis, faute de disposer de suffisamment de pièces détachées pour assurer leur entretien, les onze exemplaires restants sur les quatorze livrés par Dassault Aviation furent le plus souvent cloués au sol. Cependant, en 2018, lors d’une visite en France, Mauricio Macri, alors président de l’Argentine, signa un accord en vue d’acquérir cinq Super Étendard Modernisés [SEM], que la Marine nationale venait de retirer du service après le passage au « tout Rafale ». D’un montant de 14 millions d’euros, le contrat prévoyait également la livraison d’un simulateur de vol et de pièces détachées. Sur le papier, cette acquisition pouvait être considérée comme une bonne affaire au regard de la capacité de ces cinq SEM à mettre en œuvre la nacelle de désignation laser Damoclès ainsi que le transmetteur de flux Vidéo Rover pour la communication avec les troupes en sol. En outre, ils pouvaient emporter des bombes guidées GBU-49 et GBU-58. Seulement, c’était oublier un détail : les cartouches nécessaires à leur siège éjectable…. d’origine britannique. Or, Londres ayant mis un veto sur toute livraison de tels composants à l’Argentine, les Super Étendard Modernisés argentins n’ont depuis jamais pu voler. En 2023, alors que leur achat semblait suspect à l’Office anti-corruption, Jorge Taiana, alors ministre de la Défense, prit la décision de retirer du service les cinq SEM mais aussi les onze Super Étendard d’ancienne génération. Mais c’était aller vite en besogne. Un an plus tard, le chef d’état-major de la marine de la République d’Argentine, l’amiral Carlos María Allievi, fit savoir que la décision annoncée par M. Taiana avait été… annulée. Et d’expliquer que le sort des Super Étendard dépendrait de vols d’essais pour vérifier s’ils pouvaient encore être opérationnels. « Depuis que ces avions [les SEM] sont arrivés en Argentine, ils n’ont jamais pu voler, essentiellement à cause d’une restriction due à un veto des Britanniques sur les sièges éjectables », avait rappelé l’amiral Allievi, lors d’un entretien donné à SA Defensa et diffusé en août 2024. Ainsi, il était question de solliciter la société MBA Argentina SA [pourtant liée à Martin Baker] pour remettre en état les sièges éjectables des cinq SEM. Reste que, les vols d’essais annoncés par l’amiral Allievi n’ont toujours pas eu lieu, faute d’avoir reçu les autorisations nécessaires, censées être délivrées par la Direction générale de la navigabilité militaire interarmées [DIGAMC pour Dirección General de Aeronavegabilidad Militar Conjunta]. Et cela alors que cette dernière a reçu les résultats de tests effectués au sol [démarrage moteur, par exemple]. Or, un avion s’use même quand il ne vole pas… Et, en l’occurrence, les SEM livrés à l’Argentine n’ont plus décollé depuis bientôt dix ans. Et le fait que la DIGAMC n’ait pas encore donné son feu vert est sans doute un mauvais signe. En tout cas, c’est ce qu’avance le site spécialisé argentin Zona Militar. Selon ce dernier, l’ARA envisage le retrait non seulement des cinq SEM mais aussi des onze anciens Super Étendard. En effet, explique-t-il, ayant des ressources contraintes, l’Aviación Naval Argentina « doit prioriser les programmes et projets […] qui ont les meilleures chances de se concrétiser ». Ainsi, « parmi ceux-ci figurent l’intégration des avions [de patrouille maritime] P-3C/N acquis auprès de la Norvège, l’achat urgent d’hélicoptères Sea King pour soutenir la campagne estivale en Antarctique, et les hélicoptères légers AW109 destinés aux patrouilleurs hauturiers ».
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May 13, 7:58 AM
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La République populaire de Chine [RPC] ne fait pas mystère de sa volonté de mettre la main sur Taïwan, qu’elle considère comme étant une île « rebelle », y compris par la force si nécessaire. D’où la pression militaire constante et progressive qu’elle exerce sur Taipei. Quelle forme prendrait une possible action de l’Armée populaire de libération [APL] ? Plusieurs scénarios – susceptibles de se compléter, voire de s’enchaîner, sont évoqués… Il est ainsi question d’un blocus, associé à des actes relevant de la guerre hybride, de frappes massives contre les centres névralgiques de Taïwan [y compris les lieux de pouvoirs] et, éventuellement d’une vaste opération amphibie. La récente apparition, au large de la ville de Zhanjiang [province chinoise de Guangdong], suggère que la dernière option est sérieusement envisagée. Pour se défendre, Taïwan mise sur la stratégie dite du « porc-épic », animal qui, quand il se sent en danger, déploie ses piquants pour dissuader ses prédateurs. « La douleur de marcher sur les piquants de l’animal devient le principal obstacle à son écrasement », a ainsi récemment résumé le Taipei Times. Le système d’artillerie M142 HIMARS [High Mobility Artillery Rocket System] pourrait être l’un de ces « piquants ». En 2020, la première administration du président Trump avait autorisé Taïwan à en acquérir 11 exemplaires auprès de Lockheed Martin. Le montant du devis s’élevait alors à 436 millions de dollars, cette somme comprenant aussi la livraison de roquettes GMLRS-U guidées par GPS et de 64 missiles balistiques tactiques ATACMS [Army Tactical Missile System], d’une portée théorique de 300 km alors que la largeur du détroit de Formose est de 160 km. Ce n’est qu’en novembre dernier que ces 11 M142 HIMARS ont été livrés à l’armée taïwanaise qui, dans l’intervalle, a commandé 18 exemplaires de plus. Quoi qu’il en soit, ce 12 mai, soit six mois après les avoir reçus, l’armée taïwanaise a effectué une démonstration de force avec ses 11 M142 HIMARS, chacun d’entre eux ayant simultanément tiré 3 roquettes de 227 mm. Toutefois, selon la presse locale, elle n’a « fourni aucun détail sur le déroulement » de cet exercice… si ce n’est que le « fournisseur américain » avait « envoyé du personnel sur place pour aider à résoudre tout problème technique éventuel ». A priori, selon un rapport du ministre taïwanais de la Défense, les 18 M142 HIMARS supplémentaires devraient lui être livrés en 2026, soit avec un an d’avance par rapport au calendrier prévu. Cela étant, la hausse des dépenses militaires n’a pas toujours bonne presse au sein de l’opinion publique taïwanaise…. même si la situation tend à évoluer peu à peu. La semaine passé, Focus Taïwan fait état d’un sondage selon lequel 51 % des personnes interrogées ont dit être favorables à une « augmentation du budget de la Défense » et 33 % ont « identifié la menace de la Chine comme la principale préoccupation de sécurité nationale du pays au cours des cinq prochaines années ». « C’est la première fois que le soutien à l’augmentation du budget de la défense dépasse 50 % », a relevé l’INDSR, un groupe de réflexion soutenu par le ministère de la Défense nationale de Taïwan. Photo : Archive
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May 13, 3:11 AM
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Cible d'une offensive de la Cour des comptes belge, le programme franco-belge CaMo prévoit d'importantes contreparties pour Bruxelles. La Lettre publie en exclusivité les chiffres du 'retour
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May 11, 9:45 PM
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Le responsable des avions militaires chez Airbus tire la sonnette d'alarme sur la stratégie du SCAF, le système de combat aérien du futur. Le programme européen pourrait manquer le virage du combat collaboratif s'il reste figé dans sa vision pour 2040.
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