Pour l’Algérie, le département américain de l’Agriculture (USDA) prévoit un rendement moyende 1,32 tonne par hectare au cours de la campagne 2025-2026, soit une augmentation de 0,15 tonne par rapport à la saison passée et de 0,32 tonne par rapport à la campagne 2023-2024. La production algérienne de blé s’annonce légèrement en hausse cette saison, […]
Une étude inédite publiée jeudi 4 décembre par le réseau PAN Europe révèle que les céréales du petit-déjeuner, le pain ou encore les pâtes constituent une importante source d’exposition au plus petit des PFAS.
Le Maroc devrait importer 5,5 millions de tonnes de blé tendre durant la campagne 2025-2026, dont 3,5 millions en provenance de France, selon Intercéréales.
(Réussir - La Dépêche le Petit Meunier) "En Algérie, en Égypte, au Maroc et en Tunisie, la production de blé et d’orge devrait progresser de 12 % en 2025-2026. En revanche, la croissance de la population soutient la demande intérieure de céréales, et les importations sont attendues en hausse de 1 % d’un an sur l’autre."
L’Égypte souhaite améliorer ses rendements en blé. C’est dans le cadre de cette ambition que le Centre de recherche agricole (ARC) du pays a signé le 16 juillet un accord de coopération avec l’Agence italienne pour la coopération au développement (AICS).
(AgriMag) "Alors que les efforts de multiplication des semences de la variété de blé dur Jawahir se poursuivent, les agriculteurs des régions frappées par la sécheresse au Maroc découvrent pour la première fois son potentiel."
Une séance de travail sur la protection des cultures céréalières contre les incendies a été tenue, dimanche, au siège du gouvernorat de Gabès. La séance a permis de passer en revue les moyens de prévention des risques liés à l’incendie dont, notamment, l’élimination des plantes invasives, la collecte des déchets et la mise en place
En quelques décennies, la région du Proche-Orient et de l’Afrique du Nord est devenue totalement dépendante des importations pour nourrir sa population. Une évolution accélérée par les choix faits par les élites du Nord et du Sud. Le pain est au cœur de la vie quotidienne dans l’ensemble du monde arabe. Il est sorti des fours et des échoppes le long des routes, empilé sur la table des repas, et même brandi lors de manifestations, où il symbolise l’incapacité de l’État à répondre aux (…)
En dépit des récentes précipitations, le Maroc prolonge son programme de subvention à l’importation du blé jusqu’au 31 décembre 2025, annonce l’Office national interprofessionnel des céréales et légumineuses (ONICL).
La Russie a renforcé sa position de principal fournisseur en blé de l’Algérie en 2024. En trois ans, les exportations de blé russe vers l’Algérie ont explosé.
Avec 9 millions de tonnes (Mt) de blé produites en 2021, l’Égypte se place régulièrement en première position des producteurs africains, devant l’Éthiopie (5,2 Mt). En parallèle, le pays fait également partie chaque année des plus grands importateurs de blé : en 2023, ce sont 12 Mt qui ont été achetées sur les marchés mondiaux. Depuis les années 1970, l’Égypte est dépendante de l’extérieur pour son alimentation, notamment en blé. Or l’Afrique du Nord est la région du monde où l’on consomme le plus cette céréale, 141,8 kg/an/habitant en moyenne en 2021. Elle revêt donc un aspect stratégique majeur pour l’Égypte, troisième pays le plus peuplé d’Afrique dont 95 % du territoire est désertique et inoccupé.
La récolte céréalière 2025 progresse en Tunisie, mais la dépendance aux importations persiste, malgré une stratégie d’autosuffisance axée sur le blé dur.
Les expéditions françaises de blé tendre à destination du Maroc sont attendues à 3,5 millions de tonnes au cours de la campagne de commercialisation de
Les pays africains vont importer un montant record de blé du fait de l'occidentalisation des habitudes de consommation et de l'urbanisation. La concurrence fait rage entre la Russie, l'Europe et les Etats-Unis. Sans un sursaut agricole, le continent risque de perdre un peu plus son autonomie alimentaire.
Malgré les pluies tardives qui ont redonné espoir au monde rural, la production nationale de céréales reste lourdement affectée par la succession des sécheresses.
Les années se suivent et les records s’enchaînent pour les exportations de blé russe vers l’Afrique du Nord. D’après les dernières données du Département américain de l’agriculture (USDA), l’ex-URSS devrait bientôt représenter 50 % des achats globaux de cette région.
Une étude de chercheurs américains, publiée mercredi 18 juin, évalue les impacts de différents scénarios de réchauffement sur les rendements de six grandes cultures, dont le blé, le maïs ou le soja. Les zones aujourd’hui tempérées et très productives figurent parmi les plus touchées.
Disponible jusqu'au 20/06/2025 Fragilisée par les effets du changement climatique, l’agriculture européenne se voit contrainte de s’adapter à des conditions de plus en plus extrêmes. Focus sur les initiatives pour assurer notre sécurité alimentaire, des plantations exotiques aux avancées du génie génétique.
En Égypte, la filière blé table sur une récolte de 10 millions de tonnes au terme de la campagne agricole de 2024/2025, c’est ce qu’a révélé Alaa Farouk,
Les exportations agricoles russes vers les pays africains ont dépassé les 7 milliards de dollars en 2024, soit une augmentation de 19 % par rapport à l’année précédente, a rapporté le 11 mars 2025 le département des exportations du ministère russe de l’Agriculture.
Premier marché pour le blé en Afrique, l’Égypte s’appuie principalement sur la Russie pour ses importations. Face à la volonté de Moscou de réduire ses exportations en 2024/2025, les autorités égyptiennes cherchent activement à diversifier leurs sources d’approvisionnement.
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