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Today, 4:56 AM
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Un « alignement des planètes » inédit accélère la féminisation du secteur aéronautique, estime Elles bougent - Industrie aéronautique
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Today, 12:10 AM
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Qatar Airways a marqué le Grand Prix du Qatar avec une livrée spéciale Formule 1 sur son Boeing 777-300ER. L’appareil volera dès cet hiver vers Londres, Melbourne, New York et Tokyo.
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December 5, 1:48 AM
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En raison de la découverte de problèmes qualité touchant des panneaux de fuselage de centaines d’A320, Airbus a revu à la baisse ses objectifs de livraisons pour 2025. L’avionneur européen table désormais sur 790 appareils livrés, contre une cible initiale de 820.
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December 5, 1:41 AM
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L'Agence spatiale européenne (ESA) officialise la création d'un consortium industriel européen chargé de développer le module d'atterrissage d'Argonaut. C'est la première fois que l'Europe se dote d'une équipe entièrement dédiée à mettre au point sa propre capacité d’accès à la surface lunaire.
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December 5, 1:35 AM
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Le 4 décembre, alors qu’Emmanuel Macron est en visite officielle en Chine, le constructeur européen a annoncé avoir signé un partenariat stratégique avec le réseau G60 de télécommunications depuis l'orbite basse, soutenu par Shanghai. La signature du protocole d’accord (MoU) a eu lieu à l’occasion de la conférence 2025 de l’écosystème industriel de l’internet par satellite. Le MoU permet à Airbus de compter sur l’opérateur SpaceSail (alias Yunxian), de rejoindre le pool de fournisseurs en connectivité en vol des appareils Airbus. Premier partenaire chinois eu HBCplus Pour apporter une capacité Wi-Fi à haut débit en vol, Airbus équipent les appareils vendus à ses clients de terminaux Thinkom Ka2517. Installée en haut du fuselage, l’antenne plate est proposée comme compatible à différentes constellations satellites de broadband (internet à haut débit), peu importe l’orbite. Ce sont aux opérateurs satellites de s’assurer de la compatibilité de leur service avec le terminal, afin de satisfaire les envies du plus de compagnies aériennes possible. Ainsi, Airbus a introduit le produit Airspace Link HBCplus (High Banwidth Connectivity plus) comme option dans le catalogue SFE, le 15 juillet au Salon du Bourget. Depuis, on compte parmi les partenaires Intelsat, Hugues, Panasonic depuis l’orbite géostationnaire, SES depuis les orbites moyenne (O3b) et géostationnaire, et Telesat, OneWeb (Eutelsat), et Amazon leo (ex Kuiper) en orbite basse. SpaceSail est donc le dernier partenaire à rejoindre la galaxie Airbus de connectivité en vol, forte de sa constellation satellites Qianfan (alias G60), en cours de déploiement. Plus d’une centaine de satellites ont été déployés depuis 2024. Au total, la constellation en comptera 12 000. SpaceSail est aussi le premier partenaire chinois du produit, un deal plus intéressant pour la demande croissante dans les marchés asiatiques, deux mois avant l’ouverture du salon aérien de Singapour, qui se tiendra du 3 au 6 février 2026. C’est aussi un nouveau partenariat pour Airbus, après 40 ans de présence en Chine. Le constructeur pourrait aussi étendre son partenariat avec Landspace, qui projette aussi une constellation de 20 000 satellites, ou encore avec la constellation Guowang du gouvernement. 67 700 avions connectés en 2034 C’est la projection annoncée hier par Novaspace. L’arrivée des constellations de satellites internet en orbite basse comme Starlink permettent désormais un flux puissant à très faible latence, ce qui étend considérablement les applications en vol, et l’agrément des passagers. United, Air France, British Airways (via le groupe AIG), et de nombreuses autres compagnies ont choisi d’équiper leur flotte avec Starlink. Ils ont dernièrement été rejoint par Emirates et Qatar Airways à l’occasion du Dubai Air Show.
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December 5, 1:33 AM
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La Federal Trade Commission (FTC) américaine a donné son feu vert, sous conditions strictes, au rachat de Spirit AeroSystems par Boeing, une opération à 8,3
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December 5, 1:30 AM
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Swiss start-up Jekta plans to begin flight testing a 1:9-scale model of its hydrogen-electric amphibious passenger aircraft next month as it works towards bringing the PHA-ZE 100 to market by 2030.
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December 4, 1:11 AM
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En plein sprint final de livraisons de fin d’année, Airbus est confronté à deux problèmes survenus à quelques jours d’intervalle au niveau de son A320. Faut-il y voir un effet d’emballement de sa production ? Pas si sûr, mais l’avionneur doit veiller à ne pas rompre le lien de confiance avec ses fournisseurs.
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December 4, 1:05 AM
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SpaceX peut encore dormir sur ses deux oreilles ce soir, même si le réveil a failli sonner brutalement dans le désert de Gobi. LandSpace a réussi l'exploit d'envoyer son lanceur Zhuque-3 en orbite ce mercredi, avant de nous offrir un final explosif lors de sa tentative de retour sur Terre.
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December 4, 1:04 AM
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C'est du jamais vu. Huit vaisseaux sont actuellement amarrés à la Station spatiale internationale (ISS), témoignant de l'intense rotation logistique et scientifique à laquelle elle est soumise.
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December 4, 12:57 AM
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Nouveau coup dur pour le constructeur européen après les révélations sur des problèmes de qualité de panneaux de fuselage. Airbus a été contraint de réduire son objectif de livraison pour 2025. Ce 2 décembre, Airbus a annoncé baisser ses livraisons de 820 avions comme initialement prévu à 790. A la fin novembre, 657 appareils ont été livrés, d’après des sources (ce chiffre sera confirmé ou non par Airbus le 5 décembre). En cause, les révélations par Bloomberg et Les Echos d’un problème de qualité dans des panneaux métalliques du fuselage de l’A320. Airbus a confirmé le problème à l’Agence France Presse, en précisant avoir remonté l’origine du problème. Les panneaux sont fournis par un sous-traitant. Airbus garantit que tous les panneaux récemment construits sont désormais conformes au cahier des charges. Selon le constructeur, le nombre de panneaux concernés était limité et seule une partie des 628 avions concernés par ce problème devront faire l’objet de mesures supplémentaires. Ce problème de qualité surgit seulement quelques jours après l’identification d’un risque de corruption de données du calculateur ELAC équipant les avions A320. Près de 6000 appareils avaient été cloués au sol au début du weekend dernier, par précaution, le temps de faire une mise à jour du logiciel. Lundi, Airbus déclarait le retour à la normale sauf pour moins d’une centaine d’avions qui ont besoin d’une intervention physique.
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December 4, 12:55 AM
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Airbus a revu à la baisse son objectif de livraisons pour 2025 en raison d’un problème de qualité sur des panneaux de fuselage de certains derniers avions de
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December 4, 12:53 AM
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Flybondi se prépare à changer d’échelle avec une commande portant sur jusqu’à 35 monocouloirs Airbus et Boeing, pour un investissement estimé à 1,7 milliard
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Today, 12:19 AM
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Le 2 décembre 1995, un lanceur américain plaçait sur orbite l’observatoire Soho pour étudier la structure interne du Soleil, mais aussi son atmosphère et l’origine du vent solaire. Dans le cadre du programme scientifique européen « Horizon 2000 », sous la conduite du physicien français Roger-Maurice Bonnet, l’Agence spatiale européenne adopte pour la période 1985-2000 quatre grands programmes d’étude appelés « pierres angulaires ». Le premier, s’articulant autour des missions Cluster et Soho, s’inscrit à partir de mai 1984 dans un programme international de physique solaire-terrestre (ISTP). Si Cluster doit observer en trois dimensions les interactions entre le vent solaire et la magnétosphère terrestre, Soho étudiera la structure interne du Soleil, son atmosphère externe et l’origine du vent solaire. Le projet Proposé à l’ESA en novembre 1982, le programme Soho (SOlar Heliospheric Observatory) est confié à une équipe scientifique composée de Monique Malinovsky-Arduini, Frank van Beek, Jean-Pierre Delaboudinière, Martin Huber, Philippe Lemaire et Bruce Patchett. En 1983, les Américains se joignent au programme qui prend en 1984 une dimension internationale à travers l’ISTP. En février 1986, le Comité scientifique de l’ESA approuve Soho (et Cluster). Mais se pose le problème du coût prohibitif. L’ESA procède à des économies et des négociations réussissent à convaincre la NASA d’accroître sa participation qui, outre les trois instruments qu’elle fournira, procèdera au lancement et assurera les communications sol-satellite (à l’aide de son réseau d’antennes Deep Space Network). Quant à la construction de l’observatoire, elle est confiée à un consortium d’entreprises européennes placé sous la maîtrise d’œuvre de Matra Marconi. Un satellite truffé d’instruments scientifiques De forme parallélépipédique haut de 4,3 mètres avec une partie de 2,7 sur 3,7 mètres, Soho a une masse totale de 1 850 kg, dont 250 kg d’ergols et 640 kg d’instruments scientifiques devant effectuer trois grandes études. La première se porte sur l’héliosismologie (vibration du Soleil) en utilisant un spectromètre à résonnance (France), des radiomètres à faible résolution (Suisse, Pays-Bas), un interféromètre à grand angle (Etats-Unis). La seconde vise à en savoir plus sur l’atmosphère solaire avec un télescope équipé de plusieurs spectromètres (Royaume-Uni), une caméra opérant en ultraviolet (France), une caméra dotée de trois coronographes (Etats-Unis, Allemagne), un télescope ultraviolet (Allemagne, France), une caméra fournissant des images en extrême ultraviolet (France), un télescope pour l’émission Lyman-Alpha (Finlande, France) et un télescope à occultation associé à des spectromètres à haute résolution (Etats-Unis). Enfin, la troisième étude consiste à prendre des mesures in situ du vent solaire avec trois détecteurs pour identifier la masse et la charge électrique des particules (Suisse), un spectromètre en extrême ultraviolet (Suisse), deux télescopes détecteurs et analyseurs électrostatiques (Allemagne) et un télescope à scintillateur (Finlande). Une mission de haute précision Comme le souligne Jean-François Augereau dans Le Monde du 6 décembre 1995, Soho part « pour “faire la lumière“ sur les profondeurs invisibles de notre étoile, enregistrera des oscillations visibles à sa surface, comme les géologues étudient les séismes pour connaître la structure interne du globe terrestre. De l'étude fine de ces phénomènes, on peut déduire des informations importantes sur la température du centre du Soleil, le comportement étonnant de « particules fantômes » que l'on appelle les neutrinos, la vitesse de rotation de cette boule de gaz (…), [mais aussi] aura la charge d'étudier (…) le vent solaire, ce flux continu de matière électrisée composée de minuscules particules produites par le Soleil et qui baigne l'espace interplanétaire ». Bref, une mission de haute précision au coût total de 5 milliards de francs d’époque. Lancement, frayeur et prolongation de la mission Le 2 décembre 1995, depuis la base de Cape Canaveral, le lanceur américain Atlas 2AS envoie Soho sur une orbite héliosphèrique autour du point de Lagrange L1, à 1,5 million de kilomètres. Sa mise à poste prend quatre mois. Soho fonctionne correctement lorsque, le 24 juin 1998, le contact est perdu au cours d’une opération de maintenance ; les antennes de l'engin spatial ne sont plus pointées vers la Terre… C’est la frayeur pour les opérateurs. Le 23 juillet, une première localisation du satellite est obtenue grâce au radiotélescope d’Arecibo (Puerto Rico) et, le 3 août, le contact avec Soho reprend. Le 6 octobre, les opérateurs annoncent qu’ils ont entièrement repris le contrôle du satellite et, le 4 novembre, les observations reprennent. Seuls un instrument et deux des trois roues de réaction (pour maintenir l’orientation du satellite) ne fonctionnent plus. Mais le 21 décembre suivant, la dernière roue de réaction lâche à son tour, nécessitant désormais l’usage des moteurs-fusées de Soho pour pointer les instruments. Les déboires n’empêchent pas la suite de la mission et même de la prolonger à plusieurs reprises. La dernière en date porte l’extension jusqu’au 31 décembre prochain. Les découvertes Soho a obtenu des millions d’images et de mesures. Parmi les découvertes, Soho révèle en 2004 que le noyau du Soleil tourne comme un solide en une semaine. Cette découverte, obtenue grâce au spectromètre à résonnance français, permet « d’envisager une influence stabilisatrice importante du champ magnétique à l’intérieur de cette immense boule de gaz qu’est le Soleil ». Bien d’autres découvertes ont été obtenues, comme l’origine du vent solaire (qui prend naissance en bordure de la chromosphère) et son accélération, le grand nombre d’éjections de masse coronale (plusieurs par jour), le « chauffage » de la couronne solaire, etc. Soho découvre également des milliers de comètes, livrant même des images spectaculaires de bolides frôlant le Soleil ! Incontestablement, l’observatoire Soho a profondément fait progresser nos connaissances sur notre étoile. Selon l’Allemand Berhard Fleck, responsable scientifique de la mission Soho, il a « changé la vision populaire du Soleil, qui est passée de l'image d'un objet statique et immuable dans le ciel à celle de la bête dynamique qu'il est en réalité ». Soho a également fait naître une nouvelle science, celle de la « météorologie de l’espace », résultant de l’activité magnétique explosive du Soleil. Quelques références - deux articles : « The History of the Soho Mission », M.C.E Huber, R-M. Bonnet, D.C Dale, M. Arduini, C. Fröhlich, V. Domingo et G. Whitcomb, Bulletin de l’ESA n°86, mai 1996. « Le satellite européen Soho va observer les feux du Soleil », J-F. Augereau, in Le Monde, 6 décembre 1995 - le site Le Monde : « La mission spatiale qui a révolutionné notre image du Soleil », Pierre Bathélémy, 2 décembre 2015 - le site du CNES sur la mission Soho, actualisé le 6 février 2025 - un documentaire : Soho – Percer les mystères de notre Soleil, 2 février 2006, ESA. Philippe Varnoteaux est docteur en histoire, spécialiste des débuts de l’exploration spatiale en France et auteur de plusieurs ouvrages de référence
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December 5, 2:20 AM
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Le spécialiste toulousain des bancs d'essais d'équipements aéronautiques a finalisé une acquisition pour renforcer sa présence outre-Atlantique.
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December 5, 1:44 AM
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Sam Altman, P.-D.G d'OpenAI, a tenté de mettre la main sur Stoke Space, une entreprise qui travaille sur une fusée réutilisable. Si le deal est finalement tombé à l'eau, il témoigne des immenses ambitions de l'entrepreneur.
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December 5, 1:41 AM
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Une nouvelle étude démontre l'impact colossal des constellations de satellites sur les télescopes spatiaux. On pensait jusqu'alors ce problème limité aux observatoires au sol.
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December 5, 1:34 AM
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C’est une première dans le spatial chinois. Deux satellites de démonstration technologique ont réalisé des manœuvres de proximité, puis se sont amarrés l’un à l’autre pour réaliser un transfert de carburant. C’est une nouvelle performance pour le spatial chinois qui ouvre plein de perspectives. Le satellite Shijian-21 a décollé en octobre 2021 à destination de l’orbite géostationnaire avec comme mission de déplacer un vieux satellite de navigation Beidou vers une orbite cimetière. Il a été rejoint par Shijian-25, lancé en janvier dernier. Les deux se sont mis alors à danser ensemble. Ils ont d’abord réalisé des manœuvres d’approche et de proximité pendant la première moitié de l’année, puis les observations de surveillance au sol ont permis de conclure que Shijian-21 et 25 se sont dockés (amarrés) fin juin ou début juillet. Ils ont alors réalisé ce transfert de carburant avant de se séparer vers la fin du mois dernier, selon les observations de l’entreprise suisse S2a Systems. Large éventail d’action en orbite déverrouillé Ce n’est pas la première fois que du transfert de carburant est réalisé en orbite. On peut le constater plusieurs fois par an avec le ravitaillement du moteur de la station spatiale internationale par les cargos russes Progress qui décollent depuis Baïkonour. Côté américain, Northrop Grumman a déployé deux démonstrateurs du programme MEV, qui se sont amarrés à des satellites de télécommunications en orbite géostationnaire afin de prolonger leur vie. Plusieurs entreprises se préparent à réaliser cette prouesse et on retrouve également plusieurs projets en France et en Europe. La Chine peut donc miser sur cette expérience avec les satellites Shijian 21 et 25. Les applications sont nombreuses dans le civil : prolongation de la vie d’un satellite stratégique pour réduire les coûts de continuité d’un service spatial (télécommunications, navigation, etc.), ou transfert de carburant pour des gros véhicules qui ont besoin de toutes leurs réservent pour atteindre un objectif lointain, comme le Starship en version lunaire ou le l’atterrisseur lunaire Blue Moon de Blue Origin. Visant aussi la Lune et Mars, l’agence spatiale chinoise pourra désormais compter sur ce savoir-faire. L’expérience en amarrage permettra aussi à la Chine de participer au nettoyage de l’orbite en se débarrassant de débris spatiaux qualifiés comme dangereux pour la durabilité des orbites basse ou géostationnaire. Dualité évidente Les applications militaires sont également là. Depuis plusieurs années, la Chine et les Etats-Unis jouent secrètement au chat et à la souris en orbite géostationnaires, échangeant diverses manœuvres d’intimidation, de proximité, voire de tentative d’espionnage. Après leur séparation, les satellites Shijian-21 et 25 ont été transféré sur un nouveau plan orbital partagé avec des satellites américains. L’arrivée de la Chine dans le clan des acteurs aptes à faire des RPOs (opérations de proximité et de rendez-vous) a accéléré les tensions en orbite, poussant l’US Space Force à changer de doctrine en considérant désormais l’espace comme un champ de bataille. Doctrine partagée par la France et l’Allemagne désormais.
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December 5, 1:32 AM
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TAP Air Portugal va lancer à l’été 2026 sa première véritable cabine Premium Economie sur le long‑courrier, intercalée entre l’économie et la classe affaires
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December 4, 1:44 AM
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Le troisième avionneur français a testé Eyepulse, prototype de drone moyenne altitude longue endurance sur la base d’un avion d’affaires TBM. La DGA salue la rapidité de mise en œuvre du programme.
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December 4, 1:06 AM
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Airbus révise son objectif de livraisons pour l’année - Industrie aéronautique
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December 4, 1:05 AM
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Le cosmonaute Oleg Artemyev, censé se rendre à bord de la Station spatiale internationale (ISS) dans un peu plus de deux mois, a été exclu de l'équipage Crew-12. Si les instances officielles ne se sont pas exprimées, les médias assurent que cette décision est liée au secret défense.
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December 4, 1:00 AM
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Dans la nuit du 2 au 3 décembre, une fusée réutilisable Zhuque-3 de Landspace a décollé depuis le site de Jiuquan. Le vol est un succès à l’exception de la tentative de récupération du premier étage. Ce vol historique montre que le spatial privé chinois a passé la cinquième. Le décollage a eu lieu à 5h02 ce matin heure de Paris (12h02 heure locale) depuis le Jiuquan Space Center. Le second étage, avec une masse inerte en guise de charge utile pour ce vol test, a atteint avec succès l'orbite basse à 300 km d'altitude. Plus tôt, peu après sa séparation, le premier étage a correctement manœuvré pour tenter un atterrissage à la manière de SpaceX sur une zone bétonnée à 390 km du pas de tir dans le désert de Gobi. Tout s'est bien passé jusqu'au moment de la mise à feu d'un des neuf moteurs TQ-12 pour ralentir le premier étage avant d'atterrir. Le moteur a pris feu, ce qui a conduit à un crash à juste quelques mètres de la zone visée. Pas mal du tout pour une première fois ! Appétits d'ogre La Zhuque-3 est la dernière-née de la gamme de fusée Zhuque de la société privée Landspace. A la différence de tous les autres lanceurs privés qui ont décollé de Chine ces dernières années, Zhuque-3 est le premier lourd, aux capacités équivalentes à la Falcon 9 de SpaceX, à savoir 21.3 tonnes de charge utile en orbite basse (à 450 km d’altitude), 18.3 tonnes en version réutilisable. La version qui a décollé aujourd'hui a toutefois une capacité moindre (11 tonnes), en attendant la qualification des moteurs de la version définitive. La différence avec Falcon 9 est que Zhuque-3 utilise du méthane liquide et non du kérosène RP-1 comme carburant mélangé avec l’oxygène liquide. Avec la gamme Zhuque, Landspace enchaîne les premières historiques : · Zhuque-1 (à propulsion solide, aujourd’hui retirée) : premier lanceur privé chinois à tenter son envol en 2018 ; · Zhuque-2 : premier lanceur à propulsion méthane-oxygène liquide à atteindre l’orbite en 2023 ; · Zhuque-3 : premier lanceur privé chinois moyen-lourd à atteindre l’orbite. Fondé en 2015 comme spin-off de l’université de Tsingua, Landspace fait partie de la première vague d’entreprises privées du spatial chinois après l’autorisation de leur existence par le gouvernement en 2014. Aujourd’hui, il existe plus d’une dizaine d’entreprises privées du New Space dédiées au développement de lanceurs, un pari gagnant pour le gouvernement, qui mise sur l’efficacité et l’appétit d’ogre de ces entreprises pour rejoindre le leadership américain. D’ici 2026, on s’attend à l’entrée en scène d’un ou deux autres lanceurs moyen-lourd réutilisable. L’appétit de ces entreprises ne se limite pas à l’accès à l’espace. Suivant le modèle de SpaceX, Landspace est aussi devenu constructeur de satellite et nourrit son propre projet de mégaconstellation de télécommunication depuis l'orbite basse, qui comptera près de 20 000 satellites. Les dimensions de Zhuque-3 sont parfaites pour le début du déploiement, en attendant peut-être des ambitions encore plus grandes. Tremblez SpaceX et Blue Origin, la Chine arrive !
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December 4, 12:55 AM
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Selon les dernières projections 2025‑2044 consacrées à l’Afrique, Boeing estime que la flotte commerciale du continent passera à 1 680 appareils à l’horizon
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December 4, 12:54 AM
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Boeing prévoit d’augmenter sensiblement les livraisons de 737 MAX et de 787 Dreamliner à partir de 2026, misant sur une montée en cadence progressive après
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