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Un incendie d’une batterie externe s'est déclaré sur le vol CZ6850 de China Southern Airlines reliant Hangzhou à Shenzhen en Chine le samedi 31 mai.
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La saison des feux de forêt s’annonce (encore) catastrophique cette année dans l’Ouest canadien. C’est un juste retour des choses diront certains esprits malicieux, puisque la Saskatchewan et l’Alberta, grandes productrices de pétrole et de gaz naturel, sont les provinces les plus opposées aux mesures de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Or, il faut être totalement déconnecté de la réalité pour nier l’existence des changements climatiques et continuer à faire comme si de rien n’était. Face à l’intensification des incendies dans le nord de son territoire, le Gouvernement du Manitoba déclarait l’état d’urgence le 28 mai dernier. Déjà deux personnes piégées par les feux de forêts y sont décédées. Afin d’éviter d’autres drames, plusieurs communautés menacées ont reçu des ordres d’évacuation, dont la municipalité de Flin Flon avec ses 5000 résidents. Le Manitoba a fait appel aux Forces armées canadiennes pour participer aux opérations d’évacuation. L’Aviation royale canadienne (ARC) a dépêché sur place des aéronefs, dont des CC-130H Hercules pouvant se poser sur les courtes pistes des petites communautés visées. Aussi, dépassé par l’ampleur des feux hors-contrôle, le Manitoba fait appel aux autres provinces canadiennes. Il y a un mois, le Premier ministre du Manitoba annonçait la commande de trois appareils DHC-515 Canadair. Une décision qui semble aujourd’hui prémonitoire. Bombardier CL-415 ARC / Lockheed CC-130H Hercules / Évacuation au Manitoba Du côté de la Saskatchewan, la situation n’est guère plus reluisante puisque l’état d’urgence fut également déclaré le 29 mai. Cette province, qui ne compte que 1,2 million d’habitants, peut tout de même compter sur une flotte conséquente, mais vieillissante, d’aéronefs pour combattre les feux de forêt. Sous la gouverne de la Saskatchewan Public Safety Agency (SPSA), cette flotte est actuellement composée de quatre avions citernes Convair CV-580A et de six appareils Canadair CL-215T. Canadair CL-215T Convair CV-580A En 2024, la Saskatchewan annonçait l’acquisition de quatre avions Bombardier Dash 8-400 qui seront convertis en avions-citernes par Conair Aerial Firefighting, une entreprise de la Colombie-Britannique. Ces nouveaux avions remplaceront la flotte actuelle des Convair 580 qui atteindront la fin de leur durée de vie utile en 2027. Le premier des quatre avions-citernes Dash 8 convertis est censé être livré à la fin de l’été 2025, et les autres d’ici 2027. Deux de ces appareils seront de simples avions-citernes connus sous le nom de Dash 8-400AT, tandis que les deux autres seront convertis en avions multi-rôles qui pourront être utilisés pour lutter contre les incendies ainsi que rapidement reconfigurés pour d’autres opérations comme les évacuations sanitaires, ainsi que le transport de personnel et de fret. Ce dernier type est défini par Conair comme le Dash 8-400MRE. Saskatchewan / Bombardier Dash 8-400 En raison des vents violents et des températures élevées qui règnent également en Alberta, des ordres d’évacuation ont été émis dans les régions ravagées par des feux de forêt. Comble d’ironie, un incendie près de Cold Lake menace les activités d’exploitation des sables bitumineux. Le Gouvernement de l’Alberta a également fait appel au Centre inter-services des feux de forêt du Canada pour obtenir l’aide d’autres provinces. En 2023, l’Alberta a octroyé un contrat de dix ans à l’entreprise canadienne Air Spray. Ce contrat porte sur la gestion, l’entretien et l’exploitation de la flotte albertaine de quatre avions Canadair CL-215T, alors que l’entreprise met également à disposition ses propres bombardiers d’eau Lockheed Electra L-188, Convair CV-580 et Airtractor AT-802F Fireboss. Canadair CL-215T Même le nord-ouest de l’Ontario n’échappe pas aux flammes, alors que des communautés autochtones doivent être évacuées. Heureusement, la saison des feux de forêt démarre lentement au Québec, ce qui lui permet de venir en aide aux autres provinces qui en font la demande. Le Premier ministre du Québec a annoncé ce dimanche qu’une équipe de gestion spécialisée sera envoyée en Alberta mardi, ainsi que trois sections de vingt sapeurs-pompiers au Manitoba. Deux bombardiers d’eau CL-415 du Service aérien gouvernemental du Québec sont déjà présents en Saskatchewan, et deux autres en Ontario. Ces derniers s’ajoutent aux 9 appareils CL-415 actuellement en dotation au Gouvernement de l’Ontario. Malgré ces démonstrations de solidarité, tous prient pour la venue de la pluie qui est la meilleure alliée pour maîtriser les flammes.
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June 3, 2:17 AM
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June 2, 12:49 AM
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Le sous-chef 'opérations' de l'état-major des armées va rejoindre dans les semaines qui viennent le groupe aéronautique qui procède également à une nomination importante aux Émirats arabes unis.
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June 2, 12:46 AM
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Les États-Unis ont suspendu certaines ventes de technologies critiques à la Chine, notamment celles liées aux réacteurs CFM LEAP-1C, qui équipent les avions
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June 2, 12:44 AM
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Alors que les secteurs du transport aérien et de l’aéronautique peinent à recruter en France, une étude de la Chaire Pégase (rattachée à MBS School of
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June 2, 12:37 AM
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AeroWeb-fr.net est un magazine aéronautique en ligne disponible gratuitement et fournissant des contenus divers et variés (actualités, fiches techniques, dossiers, biographies, histoire de l'aéronautique, etc.) ainsi qu'un espace communautaire.
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June 2, 12:34 AM
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June 2, 12:23 AM
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Le 30 mai 1975, dix Etats européens signaient une convention créant l’Agence spatiale européenne, prenant la suite des organisations ESRO et ELDO qui avaient permis aux Européens, quelques années auparavant, de faire leurs premiers pas dans l’espace. PARTIE 1 : les débuts prometteurs de l’Europe spatiale Avec l’avènement en 1957-58 des premiers satellites artificiels soviétiques et américains, plusieurs Etats d’Europe de l’ouest, constatant leur retard et le risque de devenir dépendant des Etats-Unis, s’interrogent sur l’opportunité de créer une organisation s’occupant de la science spatiale européenne. Pour la science spatiale européenne : l’ESRO Prenant modèle sur le succès du Conseil Européen pour la Recherche Nucléaire (créé en 1954 pour l’étude de la physique des particules), les délégués de plusieurs gouvernements européens, à l’initiative notamment des physiciens italien Edouardo Amaldi et français Pierre Auger, mettent en place le 28 novembre 1960 à Meyrin (Suisse) la Commission préparatoire européenne pour la recherche spatiale (COPERS) appelée à définir la future organisation européenne de l’espace. Le 24 octobre 1961, la COPERS approuve un premier programme et, le 14 juin 1962, un protocole d’accord est signé à Paris par dix Etats (Belgique, Danemark, France, Italie, Pays-Bas, Espagne, RFA, Royaume-Uni, Suède, Suisse), instituant l’European Space Research Organisation (ESRO ou CERS, Centre européen pour la recherche spatiale), qui entre en activité le 20 mars 1964. Pour une Europe des lanceurs : l’ELDO Parallèlement, les Britanniques proposent en septembre 1960 l’utilisation de leur fusée Blue Streak (issue des études balistiques) pour en faire le principal élément d’un lanceur de satellite. Après négociations et tractations, six Etats acceptent la proposition avec une répartition des tâches spécifique (sans maître d’œuvre) : la Grande-Bretagne fournit des Blue Streak en guise de premier étage ; la France, le deuxième étage Coralie ; l’Allemagne, le troisième étage Astris ; l’Italie, le satellite expérimental, l’équipement électronique et la coiffe ; la Belgique, la station de guidage au sol ; les Pays-Bas, des équipements au sol ; plus l’Australie qui met à disposition sa base de lancement de Woomera. Pour réaliser le lanceur ELDO A ou Europa 1 (capable de satelliser une charge de 1 tonne sur orbite basse), les Etats signent le 29 mars 1962 à Londres la convention créant l’European Launch Development Organisation (ELDO ou CECLES, Centre européen pour la construction de lanceurs d’engins spatiaux), qui devient opérationnelle le 29 février 1964. La CETS, la troisième organisation spatiale européenne A la même époque, les Etats-Unis déploient Intelsat, un système mondial de télécommunications par satellites. L’enjeu étant important, les nations européennes s’emparent de la question et, à l’initiative de la France et du Royaume-Uni, elles instaurent dès mai 1963 la Conférence européenne de télécommunications par satellites (CETS). Ne voulant pas interférer avec l’ESRO et l’ELDO, les Européens préfèrent établir parallèlement une sorte de « forum de discussions ». Par ailleurs, si les Européens souhaitent lancer des satellites de télécommunications, il leur faudra nécessairement un lanceur à capacité géostationnaire, ce que ne pourra faire Europa 1. De ce fait, le 7 juillet 1966, à l’initiative de la France, Europa 2 est décidé. Peu après, en juin 1967, la France et l’Allemagne démarrent en commun le programme expérimental de télécommunications Symphonie. Les premiers programmes scientifiques Le temps de construire les premiers satellites scientifiques, l’ESRO exploite des fusées-sondes que Britanniques et Français mettent à disposition en raison de leur maîtrise depuis quelques années. Ainsi, les premières campagnes scientifiques peuvent commencer à l’été 1964 depuis différents champs de tir : l’île du Levant (France), Salto di Quirra (Sardaigne), Andoya (Norvège), Karistos (Grèce), Kiruna (Suède), Woomera (Australie). Au total, entre 1964 et 1972, l’ESRO emploie 168 fusées-sondes, la moitié étant consacrée à l’ionosphère, l’autre moitié à diverses études astronomiques (solaire, rayonnements cosmiques, X, Ultraviolet, etc.). Quant aux satellites, l’ESRO construit rapidement ESRO 1A / 1B et ESRO 2A / 2B – tous lancés par une fusée américaine, Europa n’étant pas prête. Les ESRO 1 se concentrent sur le rayonnement solaire et cosmique et son interaction avec la Terre, les ESRO 2 sur les rayons X solaires, le rayonnement cosmique et les ceintures de radiation terrestres. De masse similaire (80 à 89 kg), les ESRO emportent 7 à 8 instruments scientifiques. Construits par le britannique Hawker Siddely Dynamics et le français Matra, ESRO 2A et 2B sont réalisés avant ESRO 1. Après l’échec au lancement d’ESRO 2A (29 mai 1967), ESRO 2B (alias Iris) est placé avec succès le 17 mai 1968 sur une orbite de 334 km à 1085 km, devenant le premier satellite artificiel européen. Réalisés sous la maîtrise d’œuvre du Laboratoire Central de Télécommunications (France), ESRO 1A (Aurorae) et 1B (Boreas) sont respectivement lancés les 3 octobre 1968 et 1er octobre 1969. L’ESRO conçoit ensuite un satellite plus ambitieux, le TD 1 (473 kg) qui, le 12 mars 1972, part étudier le rayonnement stellaire (ultraviolet, rayons X et gamma) et mesurer le rayonnement X et gamma du Soleil. Un dernier satellite, ESRO 4 (130 kg), consacré à l’étude de l’ionosphère et de la magnétosphère est lancé le 22 novembre 1972. En 1964, l’ESRO engage la construction de sa première sonde spatiale, HEOS 1 (Highly Eccentric Orbiting Satellite), pour étudier le milieu interplanétaire (champs magnétiques, rayonnements cosmiques, vent solaire). D’une masse de 108 kg, construit sous la maîtrise d’œuvre de l’Allemand Junkers Flugzeug und Motorenwerke, HEOS 1 est envoyé le 5 décembre 1968 par une fusée américaine sur une orbite elliptique (de 424 km à 223 428 km). Un second HEOS suit le 31 janvier 1972. Le succès est tel, que de nouveaux satellites sont envisagés. Tout semble aller pour le mieux à cette jeune Europe spatiale… [A suivre…] Quelques références - Un ouvrage : A History of the European Space Agency 1958-1987, KRIGE John et RUSSO Arturo, volume 1 : The Story of ESRO and ELDO 1958-1973, Publication ESA, SP-1235, avril 2000. - Un ouvrage choral sur les 50 ans de l’Agence spatiale européenne sous la direction de Pierre-François MOURIAUX et de Philippe VARNOTEAUX est en préparation aux éditions Ginkgo, à paraître à la rentrée de 2025 dans la collection Histoires d’espace. Philippe Varnoteaux est docteur en histoire, spécialiste des débuts de l’exploration spatiale en France et auteur de plusieurs ouvrages de référence
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June 2, 12:21 AM
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La Chine a démarré le 28 mai une ambitieuse mission interplanétaire. Mission en deux temps Initialement baptisée Zheng He en l’honneur d’un explorateur naval et amiral chinois du XVe siècle, la mission chinoise Tianwen 2 (Question au ciel 2), s’est élancée le 28 mai à 17 h 31 UTC depuis la base de Xichang, au sud-ouest du pays. Un lanceur Longue Marche 3B était utilisé pour l’occasion. L’objectif est d’aller prélever l’an prochain au moins 100 g de matière sur le petit astéroïde géocroiseur (469219) Kamo'oalewa, découvert en avril 2016 et alors baptisé auparavant 2016 HO3. Ce probable fragment de Lune arraché par un impact météoritique évolue de manière stable à proximité de l'orbite terrestre. Il est prévu d’utiliser des méthodes d'échantillonnage par toucher-décoller et par ancrage-fixation (avec quatre bras robotisés forant sous la surface de l'astéroïde), avant de rapporter les échantillons sur Terre vers 2027-2028. Puis l’engin se dirigera vers 311P/PanSTARRS, un petit corps de type comète découvert en août 2013, qui orbite dans la ceinture principale d'astéroïdes entre Mars et Jupiter. Il sera atteint en 2034, pour effectuer des mesures approfondies de télédétection et in situ. Le déploiement de petits sous-satellites est également prévu. Un nouvel exploit La sonde d’environ 2 t embarque des caméras multispectrales et couleur à grand angle et angle étroit, un spectromètre d'émission thermique, un spectromètre d'imagerie visible/proche infrarouge, un spectromètre de masse, un magnétomètre et un analyseur de particules et de poussières. « Il y aurait beaucoup à dire au sujet de cette mission Tianwen 2, considère Gilles Dawidowicz, géographe de formation et vice-président de la Société Astronomique de France. Ce que l'on retient, c'est que non seulement la Chine entrerait dans le club très fermé des explorateurs d'astéroïdes, mais qu'elle réaliserait un nouvel exploit en réussissant à prélever du sol sur un astéroïde, puis à en visiter un second différent, le tout en une seule et même mission. » A lire dans Air & Cosmos cette semaine (n°2925) : notre dossier sur les grandes ambitions interplanétaires chinoises jusqu’en 2038.
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June 1, 3:00 PM
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INFOGRAPHIES - Ce 747-8i, cadeau de l’émirat gazier pour le président américain, est un véritable palais volant mais semble totalement inadapté aux contraintes de la fonction de son futur occupant.
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June 1, 2:53 PM
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Le constructeur aéronautique américain effectue un retour aux avant-postes qui doit lui permettre de conserver sa position dominante auprès de Royal Air Maroc.
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May 30, 2:22 AM
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Lors du prochain salon aéronautique du Bourget qui se déroulera du 16 au 22 juin 2025, Radia présentera pour la première fois en France le WindRunner, le plus
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Today, 1:28 AM
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Annoncée en septembre 2024, la création du groupe Satys Coatings est désormais effective depuis avril 2025.
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Today, 1:16 AM
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S'adressant aux journalistes en marge de la 81e assemblée générale annuelle des PDG de compagnies aériennes de l'Association du transport aérien international
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June 3, 1:22 AM
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En Grèce voilà bien deux sujets qui fâchent dès lors que l’on parle de la Polemikí Aeroporía. Il s’agit de la flotte des bombardiers d’eau Canadair CL-215GR et des avions de transport tactique Lockheed C-130B/H Hercules. À Athènes des parlementaires ont eu l’idée récemment de proposer que les seconds remplacent en partie les premiers en attendant que les futurs DHC-515 soient livrés du Canada. Bonne initiative ou idée à la… ? Sur le papier disposer d’une flotte intérimaire entre les onze actuels CL-215GR vieillissants à moteurs à pistons et les futurs ultramodernes DHC-515 c’est sans doute une super idée. En effet les premiers sont à bout de souffle et les mécanos de la Polemikí Aeroporía galèrent au quotidien pour pouvoir les garder en état de vol. La cannibalisation n’est pas particulièrement possible aux vues de l’urgence des feux d’espaces naturels dans le pays et les pièces détachées pour de telles pièces de musées se négocient à prix d’or. Le budget de ces avions s’envole régulièrement, et il est pointé chaque année par les parlementaires. C’est sans doute pour cela que certains ont pris le taureau par les cornes et proposer une flotte intérimaire qui prendrait la forme de quatre Lockheed C-130 Hercules, deux en version B et deux en version H, prélevés sur les unités de transport. Les parlementaires en question indiquent qu’une location de deux MAFFS auprès de l’US Air Force est envisagée. On sait qu’outre Atlantique l’Hercules est un avion apprécié pour la lutte anti-feu, grâce à des emplois fréquents et un entraînement tout au long de l’année au sein d’unités principalement des Air National Guards. Qu’en serait-il de son efficacité auprès d’équipages grecs non rompus à une telle pratique et avec des avions eux aussi vieillissants. Car oui les C-130B sont des tacots, ils sont bouffés par la rouille et (théoriquement) bons pour la casse… ou le musée. Engager de tels avions dans des frappes contre le feu revient à jouer à la roulette russe avec les équipages. Et les C-130H dans tout ça ? Ils sont guères mieux, usés eux aussi par cinq décennies d’emploi au-dessus des îles et îlots du pays. L’histoire de l’aviation est jalonnée de mauvaises idées initiées par des concepts intéressants. Nous en avons ici une nouvelle illustration. Affaire à suivre.
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June 2, 12:47 AM
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Boeing pourrait envisager d'augmenter la production de son monocouloir phare, le 737 MAX, à 47 par mois d'ici la fin de l'année, a déclaré Kelly
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June 2, 12:45 AM
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Singapour et la France renforceront leur coopération dans le domaine de l'aviation civile afin d'améliorer la connectivité entre les deux pays, véritables
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June 2, 12:42 AM
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Lors d'une conférence organisée devant les employés de SpaceX, Elon Musk a étayé les plans futurs de l'entreprise spatiale. Starlink, Starship, Mars, le milliardaire a détaillé des initiatives dignes de films de science-fiction… Comme à son habitude ?
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June 2, 12:35 AM
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June 2, 12:32 AM
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Airbus a prévenu des compagnies aériennes que les retards de livraisons persisteront pendant encore trois ans, le temps de résoudre les...-Aéro - Spatial
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June 2, 12:21 AM
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Chaque fin de semaine, une image qui a fait l’actualité ou retenu notre attention. Le 28 mai, la Nasa a partagé une image composite d’un des objets cosmiques les plus étranges jamais observés : l’étoile ASKAP J1832−0911. Des étoiles au comportement inédit Située dans la Voie lactée, à environ 15 000 années-lumière de la Terre, l’étoile ASKAP J1832−0911 est l'un des objets cosmiques les plus étranges jamais observés. Elle appartient en effet à une classe d'objets transitoires radio à longue période découverts en 2022, dont l'intensité des ondes radio varie régulièrement sur plusieurs dizaines de minutes – une durée qui s’avère des milliers de fois supérieure à celle des variations répétées observées chez les pulsars (des étoiles à neutrons en rotation rapide dont l'intensité des ondes radio varie plusieurs fois par seconde). Vue du sol et du ciel L'objet mystérieux a été observé simultanément par un observatoire terrestre et par un observatoire spatial : le radiotélescope australien ASKAP (Australian Square Kilometer Array Pathfinder) et le télescope à rayons X américain Chandra. Le premier fait partie de l'observatoire de radioastronomie Murchison installé au cœur du désert d'Australie occidentale. Le second a été lancé en juillet 1999 à l’occasion de la mission STS-93 de la navette Columbia, à laquelle participait l’astronaute français Michel Tognini), et évolue depuis sur une orbite haute elliptique de 16 000 × 133 000 km qui permet de longues périodes d'observation continues. Données combinées C’est la première fois qu’une étoile de ce type était observée en lumière X de haute énergie et en lumière radio de basse énergie. Les données combinées des observations ont notamment permis de mesurer l'intensité des ondes radio d'ASKAP J1832, qui varie toutes les 44 minutes pendant une période de deux minutes. Sur l’image composite présentés ici, les rayons X observés par Chandra apparaissent en bleu. En rouge apparaissent des données radio fournies par le radiotélescope LOFAR (LOw Frequency ARray), un interféromètre constitué de plus de 50 000 antennes réparties à travers l’Europe. Ont enfin été ajoutées des données infrarouges (en cyan, bleu clair, bleu sarcelle et orange) provenant d’un autre télescope spatial de la Nasa, Spitzer. Ce dernier avait été placé en août 2003 sur une orbite héliocentrique parallèle à celle de la Terre, parcourue en 372 jours, et sa mission s’est achevée en janvier 2020.
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June 1, 3:27 PM
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IndiGo will be doubling its orders for Airbus A350-900s, as it looks to convert the purchase rights for 30 widebodies into firm orders
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June 1, 2:59 PM
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(CercleFinance.com) - Airbus Defence and Space annonce que, conjointement avec le CNES (Centre national d'études spatiales) et l'Académie des sciences et des technologies du Vietnam (VAST), une déclaration d'intention a été signée à Hanoï pour renforcer leur coopération
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May 30, 2:23 AM
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Désormais, les clients d’Air France bénéficiant du service SkyPriority disposent d’une zone d’enregistrement entièrement revue au terminal 2E de Paris-Charles
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