Veille Éducative - L'actualité de l'éducation en continu

"« L’imagier des dix mots » vise à illustrer la richesse de la langue, sa poésie, son inventivité.

Le concours s’adresse aux élèves de l’école élémentaire. Chaque année, dix mots sont choisis pour permettre de libérer l’imaginaire de ceux qui s’en emparent afin qu’ils s’expriment sur tous les modes : dix mots à dire, à écrire, à représenter, dix mots pour jouer, pour découvrir...

Les dix mots choisis pour l’édition 2015-2016, nous invitent ainsi à la découverte du français parlé dans les différents territoires de la Francophonies : en France « chafouin »et « fada », au Québec « poudrerie » et « dépanneur », en Belgique « lumerotte » et « dracher », en Suisse « ristrette » et « vigousse », en Haïti « tap-tap » et au Congo « champagné »..."

"Les participations au concours Poésie en liberté 2016 s'effectuent exclusivement sur notre site du 1erjanvier au 5 avril. Le Comité de lecture et le Jury se réunissent en mai pour établir un palmarès.

Participation au concours : du 1er janvier au 5 avril 2016

Poésie en liberté est un concours international de poésie en langue française. Il est ouvert du 1er janvier au 5 avril 2016 à toute personne scolarisée de 15 à 25 ans de tout parcours, de tout pays.

La participation consiste en l’envoi d’un poème inédit, en vers ou en prose de 30 vers ou lignes maximum. Le sujet et la forme sont libres."

Comment vivifier une séquence sur la poésie, autour du mythe d’Icare, avec le numérique ?

Niveau(x) : première

Objectifs :

• répondre à la problématique : « Que ressent l’homme qui tombe ? »
• montrer la musicalité expressive de la poésie, à la fois par l’écoute des adaptations musicales et par l’oralisation des poèmes
• comparer différentes réécritures poétiques et tableaux consacrés au mythe d’Icare
• montrer les ruptures et les continuités entre la représentation poétique de la figure de l’artiste à l’époque de Baudelaire et à l’époque de Houellebecq
• créer des poèmes sur le thème de la chute

"Durant l’année scolaire 2014-2015, Marie Agnès Devys, professeure à l’école primaire Saint Bernard   de Besançon, a entrepris avec sa classe de CM1 un projet pédagogique alliant poésie et  numérique : la création d’un recueil de poésie multimédia. Concrètement, à travers une série d’ateliers par visioconférence, en partenariat avec les artistes canadiens Sylvain Dodier et Luc Pallegoix, co-créateurs du site sylvainetlulu.com, les élèves ont été amenés à créer un livre illustré pour tablette iPad ayant pour thème : leur histoire personnelle."

"« J’ai un chien qui voit mal de loin. Je l’ai amené chez l’OPTICIEN.
- Moi aussi, j’ai besoin de lunettes, a protesté mon chat.
Pour ne pas faire de jaloux, on est allés chez l’OPTICHAT. »

Voici un exemple de la manière humoristique dont chaque double page s’approprie du point de vue sonore et/ou sémantique divers mots du quotidien, afin de les détourner et les transformer dans les pages suivantes. Passés au prisme de l’humour et de l’imaginaire du texte de François David et des illustrations de Henri Galeron, les termes de « plafond », « lunettes », « muguet » évoluent ainsi en « fondpas », « lufloues » ou « mutriste ».
L’on tourne ainsi, avec force curiosité et sourire, les pages de cet album insolite au format carré et portatif qui ne demande qu’à être complété par le lecteur.
A la manière d’enfants qui découvrent et manipulent le langage, on touche ici à l’essence même de la poésie, tant le texte de François David réinvente de manière tellement naturelle, spontanée et métaphorique un langage qui nous est commun."

Album à partir de 7 ans.

"Les éditions du mercredi sortent, depuis près d’un an, la collection Philoménale qui permet aux enfants, à partir de 6 ans, d’être initiés à une réflexion philosophique et citoyenne.

Le catalogue compte actuellement six livres qui proposent de suivre une petite fille rousse, s’appelant Philoméne, ainsi que son chat, dans leurs promenades à travers les bois, où ils vont rencontrer différents arbres curieux d’en savoir plus sur le monde des hommes.
Par le biais de ces histoires, où les dialogues, entre l’enfant et les arbres, sont empreints de beaucoup de poésie et d’humour, il s’agit d’inviter les enfants, mais également les parents, à réfléchir aux grandes valeurs du monde : l’existence, la liberté, le travail, la beauté, l’altérité, le bonheur, et ce, en mettant en parallèle les arbres et les humains."

Une chasse au haïku organisée dans un lycée des Yvelines : une façon ludique pour découvrir des poèmes et se familiariser avec la poésie japonaise.

"Pour l'épreuve écrite à la session 2016, le programme limitatif se compose d'une œuvre obligatoire pour chaque genre (théâtre, roman, poésie) parmi les trois œuvres proposées :

- Drama : Aphra Behn, The Rover; G.B. Shaw, Saint Joan ; Harold Pinter, The Homecoming ;

- Prose fiction : George Eliot, Adam Bede ; Pat Barker, Regeneration ; W.G. Sebald, Austerlitz ;

- Poetry : Alexander Pope, The Rape of the Lock ; W. H. Auden, Selected Poems ; John Donne, Selected Poems.

Pour la session 2016 de l'épreuve orale, le programme limitatif se compose :

- d'une pièce de théâtre de Shakespeare obligatoire parmi les trois œuvres au choix..."

BO  n° 14 du 2 avril 2015

"Lorsque l’on parle d’oral en cours de Lettres au lycée, on pense tout de suite à l’oral des EAF qui correspond à un oral de restitution de connaissances. Cependant, c’est aussi une vision restrictive de l’oral en cours de Littérature.

L’oral se situe à la source de la littérature depuis Orphée et Homère, source de la poésie. La frontière entre sphère musicale et sphère littéraire peut être d’ailleurs très ténue et nos élèves ont davantage les écouteurs sur les oreilles qu’un livre en main. L’oral peut donc être ainsi une porte d’entrée vers la littérature, une entrée connue pour les emmener vers l’inconnu..."

Classe de 2de

Ce colloque international se tient le 4 mars 2015 à Bruxelles

"Le Centenaire de la Grande Guerre est l’occasion de redécouvrir un gigantesque corpus littéraire consacré à la Première Guerre mondiale. Au sein de celui-ci, la littérature combattante occupe une place particulière. Dans la plupart des pays belligérants, les auteurs du front qui faisaient, ou avaient fait, l’expérience des tranchées et des grandes batailles, étaient en effet considérés comme particulièrement légitimes à « raconter la guerre ». Bien après le conflit, dans les années vingt et les années trente, la littérature de guerre joua encore un rôle considérable dans la construction de mémoires parfois concurrentes du conflit..."

"Incitation à la lecture, éducation aux médias, concours d’écriture, de poésie, actions croisées avec d’autres domaines - patrimoine, culture scientifique : la plupart des dispositifs lecture-écriture identifiées dans l’académie de Dijon sont disponibles dans un document synthétique régulièrement mis à jour."

"Ce projet s’adresse à une classe de 5ème et porte sur le thème du voyage qui est un des axes autour duquel s’articule ma progression annuelle. Il sert de point d’ancrage pour répondre à deux entrées du programme principalement :

• La poésie, comme jeux de langage
• Les récits d’aventure

La finalité est de construire un carnet de voyage numérique qui permettra de faire résonner également les autres entrées du programme, avec des lectures menées comme autant de sources d’enrichissement possible des pages de ce carnet."

"Séquence en classe d'espagnol, pour le lycée, en littérature sur le thème "La rencontre avec l'autre, l'amour, l'amitié". Parcours qui débute avec l'amour courtois, passe par le théâtre romantique, la poésie intimiste, la narrative actuelle et finit par un dessin humoristique."

Création collective de la compagnie XY
n° 216 - octobre 2015

"Ce dossier permet aux professeurs de préparer la venue au spectacle et offre des pistes d’exploitations pédagogiques en classe.

Un dossier réalisé par Rafaëlle Pignon et édité par Canopé, académie de Créteil."

"Seul, on va plus vite ; ensemble, on va plus loin, telle est la devise de cette compagnie d’acrobates qui revendique le collectif comme mode de vie, de pensée et d’écriture scénique... Avec Il n’est pas encore minuit, la compagnie XY signe son troisième spectacle qui a remporté un immense succès à la Biennale de Lyon en 2014 et que les élèves vont pouvoir découvrir dès le mois de novembre à La Villette. ils sont vingt-deux et proposent un spectacle époustouflant de virtuosité technique et de joyeuse poésie rythmée dans l’espace. Le jour où le lindy hop, cette danse d’origine afro-américaine qui prend son essor dans le Harlem des années 20, rencontre une jeune troupe dynamique qui la prend à bras le corps, c’est une composition haute en couleurs, aux allures d’utopie, qui se construit et se déconstruit sous nos yeux."

"[...] D’histoires racontées, d’histoires échangées, inventées entre mère et fille sur fond d’attente : attente de la nuit, attente du retour du père. Quelques débuts d’histoire s’ébauchent, libre à nous de les continuer. Le récit laisse place au chant de la berceuse et de l’amour filial, la poésie prend le relais. Bougie éteinte, le temps avance, heureux, à pas feutrés ; le père arrive heureux, d’un pas décidé..."

 
Auteur : Carl Norac
Illustrateur : Emmanuelle Eeckhout
Editeur : Ecole des Loisirs (L')
Mars 2015 - 13 Euros
Album à partir de 5 ans

"Des élèves de 6e ont réalisé une anthologie poétique collective, électronique et sonore, à l'aide du logiciel Didapage. La poésie est d'abord un plaisir des oreilles, l'objectif de cette séquence était donc de les sensibiliser au doux frou-frou de la rime et des rythmes, avec les brutales ruptures des moments d'émotion qui scandent eux aussi le poème."

Français - Classe de 6ème

"La banlieue de Paris est un espace protéiforme et en constante mutation. Aux charmes des pique-niques, du canotage et des baignades ont succédé l’âpre décor des banlieues ouvrières et de la « zone », la déshumanisation des grands ensembles d’après-guerre et, aujourd’hui, la ghettoïsation des cités.

Ces réalités si diverses n’ont pas manqué d’inspirer aux écrivains, notamment aux poètes et auteurs de chansons, des textes d’une sombre mélancolie, d’un naturalisme cru, d’une rage revendicative, mais aussi parfois emprunts de légèreté, d’humour, voire d’une certaine gaieté."

"Cette séance s'inscrit dans un chapitre dédié à la poésie
engagée, au programme des 3èmes et plus largement dans le dispositif École du spectateur. Le spectacle auquel assisteront les élèves cette année est en effet ALI 74, le combat du siècle de Nicolas Bonneau, spectacle qui s’affirme comme étant
du théâtre documentaire et engagé."

L'Éducation nationale propose aux collégiens des listes d'ouvrages pour enrichir leur expérience de lecteurs et susciter leur curiosité : récits, romans, contes, pièces de théâtre, poésie, bandes dessinées, documentaires. Une sélection spéciale à l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale et des soixante-dix ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale sont également disponibles.

Travail théâtral et poétique avec un intervenant (comédien-metteur en scène) dans un groupe de seconde (20 élèves impliqués directement)

• Point de départ : la rencontre entre un écrivain de langue allemande et un sculpteur français avant la Première Guerre, dont on commémore le centenaire
• Aboutissement : présentation d’un spectacle dans un lieu de création devenu musée
• Cadre : Projet d’Education Artistique et Culturelle et Partenariat avec un musée

"Lancement du concours Poésie en liberté 2015 au lycée Charles-Péguy d'Orléans (45), le 29 janvier 2015."

"Pour sa dix-septième édition, le Printemps des Poètes donne la parole à celles et ceux qui auront dix-sept ans en 2015, en écho au premier vers de "Roman" d’Arthur Rimbaud.

Les jeunes âgés de 17 ans sont invités à lire puis à voter en ligne pour leur poème préféré parmi les onze poèmes sélectionnés par des comités de lecteurs d’Île-de-France.

Le résultat du vote et les participants de l’opération seront mis en avant lors du Printemps des Poètes 2015.

Pour en savoir plus, cliquez sur le lien « On n’est pas sérieux quand on a dix-sept ans »."

"Fils spirituel de Roger Blin, il débute au théâtre en faisant tous les petits métiers. Son premier grand rôle lui est confié par Jean-Marie Serreau en 1952, dans Tous contre tous d'Adamov. Il débute au cinéma dans Les Tricheurs de Marcel Carné (1958). Il tournera avec Bunuel, Clouzot, Godard et Pasolini, mais c'est le théâtre qui reste sa vraie grande passion. Il fonde la Compagnie qui porte son nom en 1961, et monte, dans de petits théâtres privés (le Lutèce, La Bruyère, le Lucernaire), des pièces d'auteurs contemporains méconnus : Andreiev (La Pensée, 1961), Mrozek (Tango, 1967), Milosz, James Saunders, Murray Schisgal (Le Tigre et Les Dactylos, 1963), Edward Albee (Zoo Story, 1965). Amoureux de poésie, il crée de nombreux spectacles autour de Rilke, Brecht et Milosz..."