 Your new post is loading...
La nécessité de réduire les émissions de gaz à effet de serre entraîne régulièrement des débats houleux. Le point sur les secteurs polluants en France.
Oui, l'agroécologie pourrait nourrir tous les Européens d'ici 2050, affirme dans une étude l'Iddri. Suppression des pesticides de synthèse, moins de production animale, plus de légumineuses... La production baisserait en moyenne de 35 %, mais aurait des bienfaits indéniables sur la biodiversité, l'environnement et la qualité de l'alimentation. Reste aux Européens de suivre les recommandations nutritionnelles en mangeant moins et mieux, clé de cette transition agricole.
L'agriculture biologique comme les circuits courts sont de nouvelles pratiques créatrices d'emplois et vecteurs de développement pour les territoires ruraux.
C'est qui le patron", la marque dont les consommateurs fixent le prix des produits pour mieux rémunérer les producteurs, va prochainement certifier des produits de grands distributeurs s'ils correspondent à son cahier des charges. Une manière de responsabiliser à plus grande ampleur le monde de l'alimentation et de vérifier si, derrière les coups de communication, les producteurs sentent vraiment la différence.
En discussion depuis le 22 mai à l’Assemblée, le projet de loi agriculture et alimentation a fait l’objet de vifs débats ce week-end dans l’hémicycle, qui a adopté et rejeté de nombreuses mesures.
Additifs, sucres cachés, aliments ultra-transformés… dans un hors-série, sorti ce jeudi, le magazine 60 millions de consommateurs dresse la liste des produits "qui nous empoisonnent". Au total, une centaine de produits est épinglée.
Emmanuel Macron se déplace ce mercredi 11 octobre à Rungis dans le cadre des États généraux de l’alimentation. Le président doit en clôturer la première partie, consacrée à la répartition de la valeur entre agriculteurs et distributeurs. L'occasion de faire le point sur ce que touchent vraiment les producteurs sur les produits de notre quotidien. Sur le lait, les fruits ou encore la viande, ils passent toujours après les distributeurs.
Annoncés par le Président de la République en juin dernier, les États généraux de l’alimentation visent à relancer la création de valeur et en assurer l’équitable répartition, permettre aux agriculteurs de vivre dignement de leur travail par le paiement de prix justes, accompagner la transformation des modèles de production afin de répondre davantage aux attentes et aux besoins des consommateurs, et enfin promouvoir les choix de consommation privilégiant une alimentation saine, sûre et durable.
La Condition publique de Roubaix a reçu un prix au Salon de l’agriculture, ce mercredi. Ses projets de marché bio et de potager participatif lui valent d’être l’un des lauréats de l’appel à projet du Programme national pour l’alimentation.
Faut-il vraiment proscrire le beurre de cacahuète, manger cru ses légumes et acheter des crèmes haut de gamme ? Dans son dernier livre intitulé "Vivez mieux et plus longtemps", le médecin et animateur Michel Cymes isole le vrai du faux en matière d'habitudes alimentaires et d'hygiène.
La Région aide les restaurants scolaires des lycées des Hauts-de-France pour proposer des produits locaux, dont des produits bio. Servir des repas de qualité aux lycéens, tout en offrant une réelle opportunité aux agriculteurs qui connaissent des difficultés dans leurs filières, c’est l’objectif de la stratégie de développement de l’approvisionnement local, votée le 13 octobre par la Région.
Promouvoir une alimentation "bio et locale". C’est le sens de l’action des agriculteurs bio, mobilisés jusqu’au 25 septembre autour de la Fédération nationale d’agriculture biologique (FNAB). Les industriels sont de plus en plus nombreux à surfer sur cette tendance. Après les rayons dédiés, qui ne cessent de s’étendre, Carrefour et Auchan ont lancé leurs propres magasins spécialisés. Une démarche commerciale logique au vu de l’explosion de la demande ces dernières années. De quoi poser les jalons d’une agriculture plus raisonnée ? Ou s’oriente-t-on plutôt vers une filière à plusieurs vitesses ? Éléments de réponses.
C'est dans un contexte de crise agricole aigüe que s'ouvre ce week-end le Salon de l’agriculture. Certains professionnels parviennent néanmoins à tirer leur épingle du jeu : ceux qui ont fait le choix du bio. La filière attire de plus en plus d’agriculteurs et séduit même au sein des géants de l’industrie comme Danone. Il y a dix ans, le groupe créait sa filiale 100% bio, Les 2 vaches, qui se lance aujourd'hui à l'assaut du marché espagnol. Récit d’une success story !
|
Moins de surfaces et d'énergie nécessaires, moins d'émissions de gaz à effet de serre. Un régime majoritairement bio a un impact moindre sur ces indicateurs environnementaux qu'un régime conventionnel. Solagro aboutit à cette conclusion grâce à son étude Bionutrinet.
Depuis 2011, six jardins d’autoproduction potagère créés en pied d’immeuble sur 1 000 m2 à 2 500 m2 permettent à 170 familles d’y produire une partie de leur alimentation sur des parcelles familiales.
La lutte contre le gaspillage alimentaire est le premier levier de maîtrise des coûts. Les résultats de l’Observatoire national de la restauration collective bio et durable, publiés le 7 novembre, ont le mérite de démontrer qu’« il est possible de servir du bio, d’origine majoritairement locale, sans que ça coûte plus cher », résume Gilles Pérole, président de l’association et adjoint à l’éducation de Mouans-Sartoux (Alpes-Maritimes, 9 500 hab.)
Peut-on concilier goût des produits « exotiques » et développement durable ? L’avocat, aliment tendance dont la consommation n’a cessé de s’intensifier, est un cas d’école.
La loi de 2016 applicable aux grands supermarchés a accéléré les dons aux associations, réduit le gâchis à la source et généré de nouvelles activités.
Lancés officiellement fin juillet dernier, les Etats généraux de l’alimentation en viennent à leur conclusion. Après les deux chantiers – sur le développement économique et sur la durabilité de l’agriculture – les ateliers régionaux et la consultation publique, le gouvernement annonce notamment l’élaboration d’une feuille de route pour 2018.
Voir des microfermes, des espaces de production agricole en ville, ce n’est plus une utopie. Roubaix veut être pionnière avec son projet de ville nourricière. Des sites existent et des volontaires se sont manifestés pour produire des fruits et légumes de manière rentable.
Via Hubert MESSMER
ÉCLAIRAGE - Nicolas Hulot, le ministre de la Transition écologique, a présenté ce jeudi 6 juillet son "plan climat" qui doit dessiner la stratégie de la France en matière d'environnement.
Via Hubert MESSMER
Le développement durable en famille a le vent en poupe à Roubaix. Après le Zéro déchet, soutenu par la ville, voici l’alimentation positive, initiée par l’Université populaire et citoyenne. Seize familles de Roubaix s’engagent à manger bio, local et pour pas cher, ainsi qu’à échanger conseils et bons plans.
Auteur : Philippe Fontaine Crédit photo : © Inra, Olivier Réchauchère (Jardins familiaux de la ville des Ulis.)
Rétablir le lien social dans la ville, offrir une alimentation de qualité, lutter contre l’exclusion… voilà quelques-unes des promesses des systèmes alimentaires urbains.
Via agrodoc_ouest, Michel Briand
Les Grands Chefs français de la restauration, étoilés ou non, ne digèrent pas le rachat de Monsanto par Bayer. Et près de deux cents d'entre eux, dont Cyril Lignac, Yannick Alléno, Yves Camdeborde, Christophe Michalak, Thierry Marx, Michel Guérard, Philippe Mille, Patrick Bertron, Olivier Roellinger,... viennent de le faire savoir en signant une lettre ouverte, et en lançant une pétition, publiée le 20 septembre 2016 sur le site Atabula, spécialisé sur l'actualité gastronomique.
Depuis 2010, les magasins E. Leclerc de Lille Fives, Templeuve et Wattrelos (59) mènent des actions de lutte contre le gaspillage alimentaire, dans le cadre du projet européen Greencook pour la zone Europe du Nord-Ouest notamment et avec l’aide de leur agence Greentag.
|