La couverture de l'ouvrage, qui devrait sortir fin octobre début novembre.
Un droniste basé à Toulouse (Haute-Garonne) sort prochainement un ouvrage de photos des plus beaux endroits de la ville vues du ciel. Un projet pensé depuis un an, qui va offrir un panorama unique de plus de 140 photos.
Le drone est devenu plus qu'un hobby pour François Reboul. Depuis 2015, ce Toulousain d'adoption arpente les territoires de France et surtout ceux d'Occitanie équipé de son drone pour filmer des paysages ou des infrastructures vus d'en haut. Il fournit de nombreuses rédactions en images depuis le ciel, qui permettent d'illustrer un reportage différemment.
"C'est une fierté, un plaisir"
Une activité qui a tapé dans l'œil de l'éditeur Cairn, basé à Pau (Pyrénées-Atlantiques), qui a déjà publié un ouvrage sur les paysages palois. Il y a un an, cet éditeur propose à François Reboul de fabriquer un ouvrage de ses meilleurs clichés de "Toulouse, vue d'en haut" (le titre du livre). "On a dû choisir parmi des milliers de photos que j'ai en archives. On a sélectionné des clichés insolites" admet François Reboul.
Parmi les plus de 140 images à retrouver dans l'ouvrage, les monuments principaux comme la Place du Capitole, l'Église Saint-Aubin, la Basilique Saint-Sernin ou encore la Cathédrale Saint-Étienne. Il a notamment profité du blocage de certaines rues à cause des travaux pour faire décoller son appareil d'endroits normalement impossibles à l'usage. Il le promet : les photos proposent "un point de vue différent", avec "pas mal de surprises" comme des couchers de soleil.
Pour mener à bien ce projet, François Reboul a même tourné 50% des images du livres exprès, hors des tournages commandés par les rédactions. L'écriture des légendes de chaque photo est assurée par l'écrivain Serge Nicolo, qui œuvre notamment au Musée Dupuy.
Le vidéaste n'est pas peu fier de cet ouvrage qui verra le jour fin octobre, début novembre. "J'ai de suite adhéré à l'idée. C'est une fierté, un aboutissement de près de 10 ans de drone. C'est un plaisir, et ça me permet aussi de me faire un peu plus connaître" développe-t-il.
L'ouvrage, actuellement en impressions, devrait être distribué dans de nombreuses librairies de Haute-Garonne. Déjà une première idée d'un cadeau de Noël ?
L'information a été confirmée. Emmanuel Macron, le président de la République, sera en visite à Toulouse ce lundi 11 décembre 2023. Voici de quoi il s'agit.
L’information a été dévoilée par plusieurs médias locaux. Emmanuel Macron sera en visite à Toulouse ce lundi 11 décembre 2023. Information qu’Actu Toulouse a pu confirmer auprès de plusieurs sources.
Ce plan d’investissement ambitieux, à hauteur de 54 milliards d’euros déployés sur cinq ans, avait été dévoilé en octobre 2021. Son objectif ? Rattraper le retard industriel français, investir massivement dans les technologies innovantes ou encore soutenir la transition écologique. Il vise également à créer de nouvelles filières industrielles et technologiques.
Start-up, PME, grand groupe industriel ou encore établissement supérieur sont invités à candidater pour faire partie de ce programme. Plusieurs appels à projets sont consultables en ligne portant sur différents secteurs en soif d’innovations : l’eau, l’agriculture, la culture, l’énergie ou encore la santé et les technologies.
Des lauréats du programme en Haute-Garonne
Plusieurs lauréats sont dévoilés sur le site du gouvernement. En Haute-Garonne, on en répertorie 185, portant sur des thématiques diverses : « Maîtriser les technologies numériques souveraines et sûres » ; « Produire en France, à l’horizon 2030, près de 2 millions de véhicules électriques et hybrides » ou encore « Innover pour une alimentation saine, durable et traçable ».
Des lauréats que le président de la République pourrait saluer ce lundi.
La dernière visite d’Emmanuel Macron à Toulouse
La dernière visite d’Emmanuel Macron à Toulouse remonte à mars 2022. Le chef de l’État, alors en campagne durant l’entre-deux-tours, était venu commémorer les dix ans des attentats à Toulouse et à Montauban perpétré par Mohammed Merah.
Les jours de collecte des déchets vont changer à Toulouse à partir du 16 octobre. Les emballages ne seront ramassés qu’une fois par semaine. Et dans l’hyper-centre, il n’y aura désormais qu’une seule collecte quotidienne, pour toutes les ordures. Voici les changements.
La ville de Toulouse a annoncé une réorganisation de la collecte des déchets pour s’adapter à l’évolution du territoire et améliorer la qualité du service rendu aux habitants. À compter du 16 octobre, les ordures ménagères seront ramassées deux ou trois fois par semaine, selon les secteurs, du lundi au vendredi. Pour les emballages et papiers, un passage par semaine sera organisé.
Une collecte unique dans l’hyper-centre
Dans l’hyper-centre de Toulouse, la collecte effectuée en soirée dans le quartier du Capitole sera remplacée par une collecte unique à partir de 5 heures du matin, sept jours sur sept. Cette mesure vise à assurer plus de tranquillité et plus de sécurité aux riverains. Il en sera de même pour les quartiers Arnaud Bernard et Carmes, qui bénéficieront aussi d’une collecte quotidienne.
Les commerçants du quartier des Carmes pourront profiter de la collecte des cartons, qui leur était jusqu’alors inaccessible. Les habitants de Toulouse sont invités à consulter le nouveau calendrier de collecte sur le site de la municipalité.
La collecte des déchets dans le reste de Toulouse
Les premiers quartiers autour de l’hyper-centre auront une collecte des ordures ménagères les lundis, mercredis et vendredis. Ce sera le cas de Saint-Cyprien, Compans, ou encore Saint-Aubin. Les quartiers de la zone Est et de la première couronne, verront une collecte les mardis et vendredis. Les autres, notamment à l’Ouest et au Nord, en auront les lundis et jeudis.
Un panneau indiquant l’entrée dans la ZFE à Toulouse.
Le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, a annoncé qu’il pourrait assouplir le dispositif des zones à faible émission (ZFE) mi-juillet, après avoir reçu deux rapports sur le sujet. L’un d’eux sera rédigé par le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, qui doit faire des propositions d’amélioration du dispositif, vu des métropoles qui appliquent la ZFE.
Le président de Toulouse Métropole et maire de la Ville rose, Jean-Luc Moudenc, travaille à la rédaction d’un rapport sur l’application de la zone à faible émission (ZFE), qui vise à interdire progressivement la circulation des véhicules les plus polluants dans les métropoles. Ce document est écrit en collaboration avec la vice-présidente de l’Eurométropole de Strasbourg, Anne-Marie Jean. Il sera remis au début du mois de juillet au ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, Christophe Béchu, quelques jours après un rapport sénatorial portant sur le même sujet.
« Le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, et la vice-présidente de l’Eurométropole de Strasbourg, Anne-Marie Jean, sont chargés de me rendre un rapport au début du mois de juillet, sur, vu des métropoles qui appliquent la ZFE, qu’est-ce qu’il faut changer, qu’est-ce qu’il faut assouplir, quels sont les éléments que nous pourrions bouger. L’enjeu sera de pouvoir annoncer des assouplissements en fonction de ces deux rapports », a indiqué le ministre sur franceinfo, lundi 19 juin. Il n’a cependant pas précisé quels seraient les critères susceptibles d’être modifiés.
Le ministre de la Transition écologique prêt à des « assouplissements » mi-juillet
Face aux critiques des sénateurs de droite qui demandent un report du calendrier des zones à faible émission (ZFE), le ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, Christophe Béchu, a ouvert la porte à des « assouplissements » mi-juillet. Mais il a aussi défendu le dispositif.
« Les ZFE, c’est fait pour éviter les deux ans de perte moyenne d’espérance de vie de chaque Français lié à cette pollution atmosphérique », a-t-il rappelé, en déplorant « on a parfois tendance à faire comme si c’était quelque chose qui était fait pour emmerder les gens ». Il a reconnu une certaine « confusion » dans l’application des ZFE au niveau local, et a annoncé qu’il attendait le rapport sénatorial, et celui des métropoles de Toulouse et Strasbourg, pour ajuster le dispositif.
La mairie de Toulouse a décidé d'augmenter les tarifs d'entrée des musées. Le plein tarif du Muséum augmente ainsi de 2 euros pour les collections permanentes. La gratuité du premier dimanche du mois est supprimée durant l'été.
La mairie de Toulouse a décidé de modifier la grille tarifaire des entrées des musées. Une décision qui sera actée lors du conseil municipal du 30 juin mais qui a fait l'objet d'une annonce ce mardi par les élus en charge de la culture Francis Grass et Pierre Esplugas, compte tenu de la sensibilité du sujet.
Pour la catégorie des grands musées qui comprend Les Augustins et le Muséum d'histoire naturelle, le tarif plein passera le 1er septembre à 9 euros pour les collections permanentes (+2 euros par rapport à aujourd'hui), à 12 euros pour les collections permanentes et l'exposition temporaire (+3 euros). Le tarif réduit passe respectivement à 5 euros (pas de changement) et 8 euros (+1 euro).
Pour les autres musées (Paul-Dupuy, Georges-Labit, château d'eau, Saint-Raymond, cloître des Jacobins), l'entrée passe à 5 euros pour les collections permanentes (inchangé) et à 9 euros avec l'expo temporaire (+1 euro). Le tarif réduit sera respectivement de 3 et 5 euros.
"Lisibilité"
Les élus ont justifié ces mesures par la nécessité d'une "lisibilité" des tarifs. Mais surtout par des investissements conséquents de restaurations de divers musées de l'ordre de 85 millions d'euros de 2014 à 2022 ainsi que par les coûts des grandes expos (800 000 euros Niki de Saint Phalle par exemple). Pour Francis Grass, il ne s'agit pas de "toucher à l'accès à la culture mais au contraire de se préoccuper de la pérennité de l'offre et de sa qualité. Nos investissements vont créer de l'activité culturelle nouvelle." Pierre Esplugas a insisté sur le caractère "raisonnable " des augmentations en citant les exemples d'autres grandes villes.
Les musées scientifiques Aeroscopia, la Cité de l'espace et l'Envol des pionniers, qui ont leur propre tarification, ne sont pas concernés par cette mesure.
Les Abattoirs, gérés par la ville et la Région, devraient adopter la nouvelle grille.
Par ailleurs, la mairie a également décidé de supprimer à partir de l'été 2024 la gratuité du premier dimanche du mois durant les mois de mai, juin, juillet et août c'est-à-dire pendant la période touristique.
Les hausses et la fin de la gratuité du dimanche ont déjà été dénoncées par l'opposition par la voix d'Agathe Roby (LFI), une opposition qui devrait à nouveau monter au créneau à la suite de ces annonces.
Public allant assister à la finale du tournoi olympique de football.
Après la victoire du Toulouse FC le 26 mai 1957 en finale de Coupe de France, le vice-président de l'Assemblée algérienne est la cible d'un attentat de la part d'un membre du FLN.
Alors qu’ils sont sur un nuage après leur victoire en Coupe de France face au SCO d’Angers (6-3), les Toulousains sont vite rattrapés par la réalité. Un attentat est commis par le FLN sur un ancien vice-président de l’Assemblée algérienne.
Contexte politique tendu
Le jour de la finale de la Coupe de France, le 26 mai 1957, la France n’a plus de gouvernement depuis cinq jours. Un contexte politique tendu sous fond de guerre d’Algérie. Cette même année, la bataille d’Alger opposant les membres du FLN aux militaires français s’engage.
Présent dans le stade, le président de la République René Coty assiste au match, en compagnie d’Ali Chekkal, ancien vice-président de l’Assemblée algérienne.
Alors que le match est terminé et que les supporters quittent le stade de Colombes (Hauts-de-Seine), une détonation retentit. Une rumeur court comme quoi René Coty serait mort.
Mais c’est Ali Chekkal qui est la cible et qui baigne dans une mare de sang. L’ancien vice-président de l’Assemblée algérienne a été touché d’une balle dans le dos. Il décédera à l’hôpital de Nanterre.
Membre du FLN
L’auteur de l’attaque est Mohamed Ben Sadok, un membre du FLN. « Il est calme et assume son acte. Il affirme avoir choisi de tuer Ali Chekkal pour mettre fin à la vie d’un musulman trop proche des Français, un adversaire de l’Algérie. Selon lui, l’homme faisait partie de cette élite corrompue qui voulait maintenir le pays sous le joug colonial », raconte l’historien Denis Baud.
Cette attaque reste l’un des premiers attentats commis sur le sol métropolitain et témoigne du climat tendu qui règne dans le pays sur la question algérienne.
Une victoire oubliée ?
Cet événement tragique a-t-il occulté la victoire toulousaine ? C’est en tout cas ce que les journaux retiennent. Le parcours flamboyant des hommes de Jules Bigot est entaché d’un drame et prive les joueurs d’une célébration digne de ce nom.
Mais cette victoire est loin d’avoir été oubliée. 66 ans plus tard, les supporters restent fiers de ce moment historique pour le club.
Une association a déposé un recours en justice contre la ZFE.
Les "Templars on the road" ont déposé un recours en justice contre la ZFE à Toulouse. C'est la seule association qui réclame en justice plus d'égalité sur ce dispositif.
Ils réclament justice. Les motards de l’association « Templars on the road », avec le soutien de la Fédération des Bikers de France, ont déposé un recours le 20 avril 2022 devant le tribunal administratif de Toulouse contre la Zone à Faibles Emissions (ZFE).
L’association demande le retrait « pur et simple » de la ZFE.
Un dispositif « disproportionné »
La métropole de Toulouse a délivré un arrêté en 2022 sur la ZFE, s’en est suivi un délai de deux mois de recours. C’est à ce moment-là que l’association toulousaine et l’avocat Cabrol s’emparent du dossier et dépose un recours.
« Ce qui motive premièrement cette association, ce sont évidemment les restrictions des deux roues. Alors que les mesures sont totalement disproportionnées, on sait qu’ils fluidifient le trafic et émettent moins de pollution », assure l’avocat.
Mais pas seulement. « On demande le retrait pour tout le monde. Cette ZFE creuse la fracture entre les riches et les pauvres », soutien un des membres de l’association. « Ce n’est plus une ZFE, mais une zone à forte exclusion, ajoute maître Cabrol. 412 000 véhicules sont concernés à Toulouse dont 260 000 sont impactés négativement, c’est 60% de véhicules ».
Ce que regrette l’avocat, c’est la « non-consultation des motards » dans la mise en place de ce dispositif. « On a été surpris de voir l’instauration de cette ZFE sans réelle concertation en amont. Cet arrêté n’est pas complet et pertinent », soutien l’avocat.
« La ZFE à Toulouse est l’une des plus radicales. On demande l’annulation de cet arrêté illégal et qu’ils ouvrent une nouvelle concertation », soutien l’avocat toulousain. À Toulouse, c’est l’unique association qui dépose un recours.
Alors que Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse, a été chargé par le gouvernement de mener un groupe de travail sur les zones à faibles émissions, l’association et l’avocat seraient ouverts à des solutions : « La mise en place de plages horaires, des mesures d’accompagnement comme des aides à l’achat d’une voiture électrique. Mais pas seulement au niveau national, aussi au niveau local ! », soutien maître Cabrol.
Toulouse Métropole avait deux mois pour répondre au recours en justice. « Ils ont largement dépassé le délai, s’insurge l’avocat. Je ne sais pas pourquoi ils prennent le temps ».
Sollicitée par Actu Toulouse, Toulouse Métropole confirme avoir pris connaissance du recours en justice.
L’association et maître Cabrol attendent une réponse et une date de procès. « Nous allons demander au tribunal de les mettre en demeure pour ne pas avoir présenté leur dossier », conclut l’avocat.
Il espère un dénouement de cette affaire en 2024, une longue procédure.
A compter de ce mercredi 25 janvier 2023, le pass ZFE est en vigueur à Toulouse. (
Nouvelle date charnière pour la Zone à faibles émissions (ZFE) de Toulouse. Entrée en vigueur le 1er mars 2022, elle dégaine, ce mercredi 25 janvier 2023, un pass faisant office de dérogation pour les petits rouleurs.
Une forte demande
C’est à l’occasion d’un comité de suivi de Toulouse Métropole en date du 25 novembre 2022 que l’annonce de ce pass ZFE a été faite. Vice-président de la métropole, François Chollet déclarait qu’il s’agissait là « d’une demande qui est souvent revenue. Beaucoup de petits rouleurs nous ont sollicités en ce sens, notamment des personnes âgées qui ne se voyaient pas souscrire un crédit pour acheter un nouveau véhicule conforme à la ZFE », ajoutait-il.
"Le Pass ZFE autorise les véhicules concernés par les restrictions à circuler et stationner dans la ZFE 52 jours maximum par an (du 1er janvier au 31 décembre) : court séjour, voyage, rendez-vous médical, etc. Il permet de stationner son véhicule sur l’espace public dans la ZFE, uniquement les jours d’utilisation du Pass. En dehors des jours d’utilisation du Pass, les véhicules interdits ne peuvent être stationnés que sur un espace privé (garage ou parking privé) ou à l’extérieur de la ZFE."
Mairie de Toulouse
Comment se le procurer ?
Pour pouvoir se procurer le pass ZFE, il y a, d’abord, un timing à respecter. « La demande doit être faite au plus tard la veille du jour du déplacement envisagé. Elle est annulable et modifiable jusqu’à la veille », explique la mairie de la quatrième ville de France.
Pour réaliser la demande, l’automobiliste doit créer un compte sur le site de Toulouse Métropole et renseigner les informations demandées. Tous les particuliers et professionnels ainsi que tous les types de véhicules peuvent bénéficier de ce pass. Rendez-vous sur ce lien.
Pour rappel, au tout début du mois, Jean-Luc Moudenc avait interpellé l’Etat. « Nous sommes parfaitement conscients du fait qu’aujourd’hui, même avec le cumul des aides, le reste à charge est encore bien trop important pour nos concitoyens les plus modestes », déclarait le maire de Toulouse, qui demandait alors au gouvernement de « doubler les aides, notamment du bonus écologique ».
Le Capitole, majestueuse Mairie de Toulouse, est une icône emblématique au cœur de la ville rose. Cet édifice imposant, mêlant architecture Renaissance et néo-classique, est le siège de l'hôtel de ville et abrite également le théâtre du Capitole. Ornée d'une façade élégante, la place du Capitole accueille les visiteurs avec son vaste espace, ses arcades et son sol en galets caractéristique.
À l'intérieur, la Salle des Illustres expose des chefs-d'œuvre artistiques, tandis que la cour Henri-IV offre un havre de paix au milieu de l'effervescence urbaine. Le Capitole incarne l'histoire, la culture et le dynamisme de Toulouse, faisant de cette place un lieu incontournable pour les habitants et les voyageurs.
Qu’on se le dise : Toulouse, c’est la dolce vita… la politesse en plus !
Selon une étude publiée par une plateforme, Toulouse et ses habitants caracolent en tête des villes… les plus polies de France. Pour la générosité en revanche, on repassera !
C’est la plateforme de cours de langue Preply qui l’annonce. Et son classement est sans équivoque : fiers détenteurs du Bouclier de Brennus (le 22ᵉ des Rouge et Noir, record national, s’il vous plaît !), les Toulousains sont aussi champions de France… de la politesse, devançant Strasbourg, Rennes, Bordeaux et Dijon.
Lyon, ville la plus impolie de France
A contrario, Lyon serait la ville la plus impolie de France. Ce que l’on reproche aux Gones ? Être absorbé par son téléphone en public, ne pas ramasser les excréments de ses chiens, être bruyant en public, ou encore « ne pas dire ‘merci’ au conducteur à la sortie des transports en commun ». Un domaine dans lequel se distingue Toulouse, qui devrait aussi griller la politesse à Lyon, en raflant prochainement le titre de troisième ville de France à la capitale des Gaules.
Mais les Toulousains ne sont pas les plus généreux
Selon cette même plateforme, Toulouse n’est en revanche pas la ville la plus généreuse de France. Loin de là ! À ce petit jeu, c’est Rennes qui écope du bonnet d’âne, devant Bordeaux, les Auvergnats de Clermont, et au pied du podium, Toulouse. D’après Preply, seuls 49 % des habitants laisseraient un pourboire au restaurant dans la Ville rose.
Comment a été menée cette étude ?
Si cette analyse ne relève pas de la fiabilité d’un institut de sondage, Preply a tout de même interrogé pour cette étude, du 26 octobre au 1ᵉʳ novembre 2023, 1 510 habitants des 15 plus grandes villes de France, qui y vivaient depuis au moins un an.
La plateforme indique leur avoir « demandé de préciser la fréquence à laquelle ils étaient témoins de 27 comportements irrespectueux communs dans leur ville », mais aussi ce qu’ils pensaient du stéréotype selon lequel les Français seraient malpolis. Un cliché corroboré par 68 % des sondés, qui considèrent notamment que leurs compatriotes… jurent beaucoup !
l'association propose une formule visite au cœur de Toulouse
Pas de besoin de partir bien loin pour faire du kayak à Toulouse, l'association Canoë-Kayak Toulousain propose de sortir les rames pour découvrir le centre-ville depuis la Garonne, le tout dans une formule afterwork.
À vos kayaks, près, partez à la découverte des bords de la Garonne au cœur de Toulouse ! L'association Canoë-Kayak Toulousain (CKT) propose les mardis et jeudis jusqu'à mi-septembre des sorties afterwork.
La visite au fil de l'eau part de l'île du Ramier, du côté du Casino Barrière avant de se diriger vers la Daurade. " C'est notre activité phare de l'été. Pour accompagner la visite, un moniteur guide explique également l'histoire du centre-ville, ses anecdotes et ses secrets. On s'intéresse évidemment à la Garonne et à l'histoire de ses crues. Vous pourrez ainsi en apprendre plus sur la crue de 1875 ou d'autres plus récentes qui ont causé quelques frayeurs aux Toulousains", détaille Thibaut, éducateur sportif au CKT en charge de la période estivale.
À partir de 18 h 45, les pagayeurs en herbe mettent le cap vers les quais de la Daurade pour y observer le coucher du soleil et se remplir le ventre. L’association propose une dégustation de Tapas préparé par la petite guinguette “Les Pêcheurs de Sable”. Juste le temps de prendre des forces, le groupe remonte dans les kayaks pour retourner vers les locaux de l’association. " Il faut compter environ 3 heures de navigation, c'est vraiment une balade ouverte aux plus grands nombres.
Pas besoin d'être Tony Estanguet" rigole, l'éducateur sportif.
Au-delà de ses balades nocturnes, le club propose également la location de matériels. Et surtout des descentes au cœur de la nature tous les samedis. L’association donne rendez-vous dans ses locaux pour fournir les équipements et transporte ensuite les participants vers Lacroix-Falgarde. Une fois sur place, les groupes sont en totale autonomie et peuvent naviguer dans la réserve naturelle régionale Confluence Garonne-Ariege comme bon leur semble. Il est même possible d’embarquer un pique-nique avec soi pour profiter d’un repas dans un cadre exceptionnel.
Faire vivre l'association
L’association, qui compte près de 200 adhérents est le seul club de Kayak de Toulouse. Les activités estivales permettent de financer la vie de l'association sur le reste de l'année : " On n'est pas une entreprise, on ne cherche pas à faire des bénéfices. Quand on explique aux touristes qu'on est une association, ils sont toujours très heureux d'avoir participé sous une forme au bon fonctionnement de notre association” argumente Thibaut. Et si le CKT est en capacité de proposer des activités et faire découvrir le centre-ville de Toulouse et ses alentours, c'est grâce à l'aide de ses adhérents. " On est seulement deux à être salariés de l'association. Pour fonctionner, on a la chance d'avoir de formidables bénévoles qui nous aident pour organiser les afterworks ou transporter les touristes”, poursuit-il.
L'association se situe 16 chemin de la Loge, 31400 Toulouse. Comptez 38 euros par personne pour participer à la balade afterwork.
Les quatre trophées aux extrémités du Monuments seront restaurés.
Quatre trophées ont été retirés du Monument aux Morts, lundi 24 avril 2023, en prévision du déplacement de la structure dans le cadre des travaux pour la future ligne C du métro.
Pour les besoins de la future ligne C du métro, le Monument aux Morts, situé à François Verdier sera déplacé à l’été 2023, et sera repositionné au même endroit, à la fin des travaux en 2027.
Trophées retirés
Ils font septtonnes chacun, et doivent être retirés « parce qu’ils n’étaient pas bien accrochés et qu’il y avait un risque de mouvement lors du déplacement du Monument », confie Rémi Desalbres, architecte du patrimoine et en charge de la maîtrise d’œuvre avec sa société Arc&Sites.
Ces quatre trophées représentent un aviateur, un marin et deux fantassins, dont un chasseur alpin. Ils ont été sciés avant d’être posés au pied du Monument.
« C’est un travail minutieux », poursuit-il, « mais nécessaire pour déplacer le Monument ». Ces quatre statues seront ensuite restaurées avant d’être remontées sur le Monument. « Les statues seront maintenues sur la zone de chantier et les ateliers de restauration se dérouleront directement sur site », glisse Rémi Desalbres.
Le Monument aux Morts est également en train d’être protégé par des panneaux de bois, au niveau de la partie intérieure de la structure.
Prochaine étape, une cage métallique entourera la structure. « Cet exosquelette », comme défini par Michael Massaad, ingénieur responsable du projet, « protégera le Monument aux Morts au moment où il sera déplacé ». Cette étape « d’empaquetage » débutera fin mai et se terminera un mois plus tard.
Déplacé sur une plateforme roulante
Pour être déplacé, le Monument sera soulevé à 2,5 mètres du sol pour être posé une plateforme roulante, entièrement pilotée par informatique. Lors de l’opération, le monument de 1 700 tonnes fera une rotation de 180° et sera décalé de 35 mètres, sur les allées François-Verdier.
Rémi Desalbres se veut rassurant sur cette opération : « Nous sommes sereins sur la bonne réussite de cette opération, (…) on envoie bien des robots sur Mars, on peut déplacer un monument », rigole-t-il.
Cette opération intervient pour ne pas couper totalement plusieurs des platanes de l’esplanade. C’est suite à une mobilisation des Toulousains que Tisséo a fait le choix de déplacer le Monument aux Morts.
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