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![]() Un panneau indiquant l’entrée dans la ZFE à Toulouse.
Le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, a annoncé qu’il pourrait assouplir le dispositif des zones à faible émission (ZFE) mi-juillet, après avoir reçu deux rapports sur le sujet. L’un d’eux sera rédigé par le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, qui doit faire des propositions d’amélioration du dispositif, vu des métropoles qui appliquent la ZFE.
Le président de Toulouse Métropole et maire de la Ville rose, Jean-Luc Moudenc, travaille à la rédaction d’un rapport sur l’application de la zone à faible émission (ZFE), qui vise à interdire progressivement la circulation des véhicules les plus polluants dans les métropoles. Ce document est écrit en collaboration avec la vice-présidente de l’Eurométropole de Strasbourg, Anne-Marie Jean. Il sera remis au début du mois de juillet au ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, Christophe Béchu, quelques jours après un rapport sénatorial portant sur le même sujet. « Le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, et la vice-présidente de l’Eurométropole de Strasbourg, Anne-Marie Jean, sont chargés de me rendre un rapport au début du mois de juillet, sur, vu des métropoles qui appliquent la ZFE, qu’est-ce qu’il faut changer, qu’est-ce qu’il faut assouplir, quels sont les éléments que nous pourrions bouger. L’enjeu sera de pouvoir annoncer des assouplissements en fonction de ces deux rapports », a indiqué le ministre sur franceinfo, lundi 19 juin. Il n’a cependant pas précisé quels seraient les critères susceptibles d’être modifiés. Le ministre de la Transition écologique prêt à des « assouplissements » mi-juilletFace aux critiques des sénateurs de droite qui demandent un report du calendrier des zones à faible émission (ZFE), le ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, Christophe Béchu, a ouvert la porte à des « assouplissements » mi-juillet. Mais il a aussi défendu le dispositif. « Les ZFE, c’est fait pour éviter les deux ans de perte moyenne d’espérance de vie de chaque Français lié à cette pollution atmosphérique », a-t-il rappelé, en déplorant « on a parfois tendance à faire comme si c’était quelque chose qui était fait pour emmerder les gens ». Il a reconnu une certaine « confusion » dans l’application des ZFE au niveau local, et a annoncé qu’il attendait le rapport sénatorial, et celui des métropoles de Toulouse et Strasbourg, pour ajuster le dispositif.
20 juin 2023
![]() Le musée des Augustins à Toulouse.
La mairie de Toulouse a décidé d'augmenter les tarifs d'entrée des musées. Le plein tarif du Muséum augmente ainsi de 2 euros pour les collections permanentes. La gratuité du premier dimanche du mois est supprimée durant l'été. La mairie de Toulouse a décidé de modifier la grille tarifaire des entrées des musées. Une décision qui sera actée lors du conseil municipal du 30 juin mais qui a fait l'objet d'une annonce ce mardi par les élus en charge de la culture Francis Grass et Pierre Esplugas, compte tenu de la sensibilité du sujet.
Pour la catégorie des grands musées qui comprend Les Augustins et le Muséum d'histoire naturelle, le tarif plein passera le 1er septembre à 9 euros pour les collections permanentes (+2 euros par rapport à aujourd'hui), à 12 euros pour les collections permanentes et l'exposition temporaire (+3 euros). Le tarif réduit passe respectivement à 5 euros (pas de changement) et 8 euros (+1 euro). Pour les autres musées (Paul-Dupuy, Georges-Labit, château d'eau, Saint-Raymond, cloître des Jacobins), l'entrée passe à 5 euros pour les collections permanentes (inchangé) et à 9 euros avec l'expo temporaire (+1 euro). Le tarif réduit sera respectivement de 3 et 5 euros.
"Lisibilité"
Les élus ont justifié ces mesures par la nécessité d'une "lisibilité" des tarifs. Mais surtout par des investissements conséquents de restaurations de divers musées de l'ordre de 85 millions d'euros de 2014 à 2022 ainsi que par les coûts des grandes expos (800 000 euros Niki de Saint Phalle par exemple). Pour Francis Grass, il ne s'agit pas de "toucher à l'accès à la culture mais au contraire de se préoccuper de la pérennité de l'offre et de sa qualité. Nos investissements vont créer de l'activité culturelle nouvelle." Pierre Esplugas a insisté sur le caractère "raisonnable " des augmentations en citant les exemples d'autres grandes villes. Les musées scientifiques Aeroscopia, la Cité de l'espace et l'Envol des pionniers, qui ont leur propre tarification, ne sont pas concernés par cette mesure. Les Abattoirs, gérés par la ville et la Région, devraient adopter la nouvelle grille. Par ailleurs, la mairie a également décidé de supprimer à partir de l'été 2024 la gratuité du premier dimanche du mois durant les mois de mai, juin, juillet et août c'est-à-dire pendant la période touristique. Les hausses et la fin de la gratuité du dimanche ont déjà été dénoncées par l'opposition par la voix d'Agathe Roby (LFI), une opposition qui devrait à nouveau monter au créneau à la suite de ces annonces.
Publié le 13/06/2023
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actu
Stade de Colombes en 1924. Public allant assister à la finale du tournoi olympique de football.
Après la victoire du Toulouse FC le 26 mai 1957 en finale de Coupe de France, le vice-président de l'Assemblée algérienne est la cible d'un attentat de la part d'un membre du FLN.
Alors qu’ils sont sur un nuage après leur victoire en Coupe de France face au SCO d’Angers (6-3), les Toulousains sont vite rattrapés par la réalité. Un attentat est commis par le FLN sur un ancien vice-président de l’Assemblée algérienne. Contexte politique tenduLe jour de la finale de la Coupe de France, le 26 mai 1957, la France n’a plus de gouvernement depuis cinq jours. Un contexte politique tendu sous fond de guerre d’Algérie. Cette même année, la bataille d’Alger opposant les membres du FLN aux militaires français s’engage. Présent dans le stade, le président de la République René Coty assiste au match, en compagnie d’Ali Chekkal, ancien vice-président de l’Assemblée algérienne.
À lire aussi Attentat à la sortie du stadeAlors que le match est terminé et que les supporters quittent le stade de Colombes (Hauts-de-Seine), une détonation retentit. Une rumeur court comme quoi René Coty serait mort. Mais c’est Ali Chekkal qui est la cible et qui baigne dans une mare de sang. L’ancien vice-président de l’Assemblée algérienne a été touché d’une balle dans le dos. Il décédera à l’hôpital de Nanterre. Membre du FLNL’auteur de l’attaque est Mohamed Ben Sadok, un membre du FLN. « Il est calme et assume son acte. Il affirme avoir choisi de tuer Ali Chekkal pour mettre fin à la vie d’un musulman trop proche des Français, un adversaire de l’Algérie. Selon lui, l’homme faisait partie de cette élite corrompue qui voulait maintenir le pays sous le joug colonial », raconte l’historien Denis Baud.
À lire aussi
Cette attaque reste l’un des premiers attentats commis sur le sol métropolitain et témoigne du climat tendu qui règne dans le pays sur la question algérienne. Une victoire oubliée ?Cet événement tragique a-t-il occulté la victoire toulousaine ? C’est en tout cas ce que les journaux retiennent. Le parcours flamboyant des hommes de Jules Bigot est entaché d’un drame et prive les joueurs d’une célébration digne de ce nom. Mais cette victoire est loin d’avoir été oubliée. 66 ans plus tard, les supporters restent fiers de ce moment historique pour le club.
Par Hugo Hancewicz
Publié le 28 Avr 23
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actu
Une association a déposé un recours en justice contre la ZFE.
Les "Templars on the road" ont déposé un recours en justice contre la ZFE à Toulouse. C'est la seule association qui réclame en justice plus d'égalité sur ce dispositif.
Ils réclament justice. Les motards de l’association « Templars on the road », avec le soutien de la Fédération des Bikers de France, ont déposé un recours le 20 avril 2022 devant le tribunal administratif de Toulouse contre la Zone à Faibles Emissions (ZFE). L’association demande le retrait « pur et simple » de la ZFE. Un dispositif « disproportionné »La métropole de Toulouse a délivré un arrêté en 2022 sur la ZFE, s’en est suivi un délai de deux mois de recours. C’est à ce moment-là que l’association toulousaine et l’avocat Cabrol s’emparent du dossier et dépose un recours. « Ce qui motive premièrement cette association, ce sont évidemment les restrictions des deux roues. Alors que les mesures sont totalement disproportionnées, on sait qu’ils fluidifient le trafic et émettent moins de pollution », assure l’avocat. Mais pas seulement. « On demande le retrait pour tout le monde. Cette ZFE creuse la fracture entre les riches et les pauvres », soutien un des membres de l’association. « Ce n’est plus une ZFE, mais une zone à forte exclusion, ajoute maître Cabrol. 412 000 véhicules sont concernés à Toulouse dont 260 000 sont impactés négativement, c’est 60% de véhicules ».
À lire aussi Un manque de « consultation »Ce que regrette l’avocat, c’est la « non-consultation des motards » dans la mise en place de ce dispositif. « On a été surpris de voir l’instauration de cette ZFE sans réelle concertation en amont. Cet arrêté n’est pas complet et pertinent », soutien l’avocat. « La ZFE à Toulouse est l’une des plus radicales. On demande l’annulation de cet arrêté illégal et qu’ils ouvrent une nouvelle concertation », soutien l’avocat toulousain. À Toulouse, c’est l’unique association qui dépose un recours.
Alors que Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse, a été chargé par le gouvernement de mener un groupe de travail sur les zones à faibles émissions, l’association et l’avocat seraient ouverts à des solutions : « La mise en place de plages horaires, des mesures d’accompagnement comme des aides à l’achat d’une voiture électrique. Mais pas seulement au niveau national, aussi au niveau local ! », soutien maître Cabrol.
À lire aussi Un recours… sans réponseToulouse Métropole avait deux mois pour répondre au recours en justice. « Ils ont largement dépassé le délai, s’insurge l’avocat. Je ne sais pas pourquoi ils prennent le temps ». Sollicitée par Actu Toulouse, Toulouse Métropole confirme avoir pris connaissance du recours en justice. L’association et maître Cabrol attendent une réponse et une date de procès. « Nous allons demander au tribunal de les mettre en demeure pour ne pas avoir présenté leur dossier », conclut l’avocat. Il espère un dénouement de cette affaire en 2024, une longue procédure.
Par Mélina Le Corre Publié le 14 Avr 23
![]() Premier épisode de notre série "Toulouse vue du ciel" Rangueil - Saouzelong - Pech-David - Pouvourville En partenariat avec © Studio Conti
![]() Huitième épisode de notre série "Toulouse vue du ciel". Les Amidonniers - Compans Caffarelli. En partenariat avec © Studio Conti
![]() Sixième épisode de notre série "Toulouse vue du ciel". Pont des Demoiselles – Ormeau – Montaudran – La Terrasse - Malepère En partenariat avec © Studio Conti
![]() Découvrez le quatrième épisode de notre série "Toulouse vue du ciel" : Jolimont - Soupetard - Roseraie - Gloire - Gramont. En partenariat avec © Studio Conti
![]() Second épisode de notre série "Toulouse vue du ciel" Sept Deniers-Lalande-Ginestous En partenariat avec © Studio Conti
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actu
A compter de ce mercredi 25 janvier 2023, le pass ZFE est en vigueur à Toulouse. (
Nouvelle date charnière pour la Zone à faibles émissions (ZFE) de Toulouse. Entrée en vigueur le 1er mars 2022, elle dégaine, ce mercredi 25 janvier 2023, un pass faisant office de dérogation pour les petits rouleurs.
Une forte demandeC’est à l’occasion d’un comité de suivi de Toulouse Métropole en date du 25 novembre 2022 que l’annonce de ce pass ZFE a été faite. Vice-président de la métropole, François Chollet déclarait qu’il s’agissait là « d’une demande qui est souvent revenue. Beaucoup de petits rouleurs nous ont sollicités en ce sens, notamment des personnes âgées qui ne se voyaient pas souscrire un crédit pour acheter un nouveau véhicule conforme à la ZFE », ajoutait-il.
À lire aussi Que permet ce pass ?Concrètement, qu’est ce que permet ce pass ? Il se trouve que depuis le 1er janvier 2023, les véhicules motorisés certifiés Crit’Air 4 et 5 n’ont plus le droit de circuler dans la Zone à faibles émissions. Mais ce pass permet, à l’image d’une dérogation, de pouvoir circuler 52 jours par an. La mairie de Toulouse précise et complète :
Comment se le procurer ?Pour pouvoir se procurer le pass ZFE, il y a, d’abord, un timing à respecter. « La demande doit être faite au plus tard la veille du jour du déplacement envisagé. Elle est annulable et modifiable jusqu’à la veille », explique la mairie de la quatrième ville de France. Pour réaliser la demande, l’automobiliste doit créer un compte sur le site de Toulouse Métropole et renseigner les informations demandées. Tous les particuliers et professionnels ainsi que tous les types de véhicules peuvent bénéficier de ce pass. Rendez-vous sur ce lien.
Jean-Luc Moudenc a interpellé l’EtatPour rappel, au tout début du mois, Jean-Luc Moudenc avait interpellé l’Etat. « Nous sommes parfaitement conscients du fait qu’aujourd’hui, même avec le cumul des aides, le reste à charge est encore bien trop important pour nos concitoyens les plus modestes », déclarait le maire de Toulouse, qui demandait alors au gouvernement de « doubler les aides, notamment du bonus écologique ».
Par Quentin Marais Publié le 25 Jan 23
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Le soleil s’est paisiblement installé à Toulouse en 2022. Une année historique, selon Météo France.
Alors que la fin de l'été 2022 avait permis de dresser des bilans quasiment historiques sur la période estivale à Toulouse, les 12 derniers mois entrent, eux, dans l'histoire.
A Toulouse comme dans toute la France, la météo a réservé des scénarios atypiques en 2022. L’été a frôlé des records datant de 2003, la sécheresse s’est montrée omniprésente. Les derniers jours de décembre ont offert des températures loin d’être hivernales. Résultat des courses : les 12 derniers mois ont été historiques.
16,3°C de moyenneAu moment de dresser le bilan, Météo France ne laisse aucun suspense. Interrogé par Actu Toulouse sur les conclusions à tirer de 2022 à Toulouse, il répond : « c’est l’année la plus chaude jamais observée. Et de loin ». De loin, car la température moyenne enregistrée sur ces 12 derniers mois est de 16,3°C. « Elle affiche une anomalie de +2,1°C par rapport à la normale calculée de 1991 à 2020, et est loin devant les 15,3°C de 2020, qui tenaient la première place jusqu’alors », ajoute Météo France. Des jours chauds… et très chaudsEn 2022, les météorologues ont compté, à Toulouse, 137 jours chauds, au lieu de 78 habituellement. Autrement dit, des jours durant lesquels le thermomètre a affiché 25 degrés ou plus. Et parmi ces 137 journées, 71 ont été « très chaudes », soit une température supérieure à 30°C. 71 au lieu de… 31 en temps normal. La première alerte rouge canicule de l’histoire, à Toulouse, a d’ailleurs été déclenchée le 16 juin 2022.
Sans surprise, les heures d’ensoleillement ont été bien plus nombreuses cette année. « 2022 se classe en deuxième position avec 2316 heures 32 minutes, derrière les 2418 heures 18 minutes de 1955. » La moyenne sur les 30 derniers années est très largement dépassée. Cette moyenne sur 30 ans atteint désormais 2075 heures...
À lire aussi Une sécheresse historique ?Si le soleil s’est montré plus que ponctuel, la pluie a, en revanche, cumulé les absences. « 2022 a été la deuxième année la moins arrosée à Toulouse, avec 398mm d’eau, au lieu des 627 habituels », dresse Météo France. Le record absolu est détenu par l’année 1967, avec 378mm. 1953 complète le podium, avec 400mm. Les météorologues ont compté « 60 jours de pluie au lieu des 96 habituellement, avec un seul jour de précipitations en mai en juillet ». Au rayon de la sécheresse agricole cette fois-ci, Météo France se base sur l’indicateur d’humidité des sols : le SWI (Soil Soil Wetness Index). Cela concerne les sols dits superficiels (jusqu’à deux mètres de profondeur). Là aussi, les données sont formelles.
Et pourtant, le gel s’est invitéSi la chaleur a été le maître mot de l’année 2022, celle-ci a pourtant composé avec un autre invité : le gel ! « A Toulouse, il y a eu 28 jours de gel, au lieu des 26,6 de la norme », commente Météo France.
Et pour la deuxième année consécutive, la Ville rose a fait face à « trois jours de gel tardif en avril ». Avant que le soleil n’impose un rythme… record.
Par Quentin Marais Publié le 2 Jan 23
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Les repas des cantines de Toulouse vont-ils bientôt être servis lors des conseils municipaux ?
Jeudi 8 décembre, la conseillère municipale d'opposition (AMC) Agathe Roby a fait la demande de servir les repas des cantines de Toulouse lors des prochains conseils municipaux.
C’est une drôle de requête qui vient d’être faite par Agathe Roby. Jeudi 8 décembre 2022, la conseillère municipale d’opposition (AMC) a envoyé un courrier à deux adjoints à la mairie de Toulouse pour demander de manger, lors des prochains conseils municipaux, les mêmes repas que ceux servis dans les cantines scolaires.
À lire aussi « Chaque conseiller pourra se glisser à la place des enfants »Cette lettre a été adressée à Marion Lalanne de Laubadère, l’adjointe en charge des actions pour Bien grandir, et Jean Jacques Bolzan, l’adjoint en charge du Bien manger à la mairie de Toulouse.
La polémique enfle depuis plusieurs joursDepuis plusieurs jours, l’élue d’opposition compare les plats servis dans les écoles et ceux postés par Jean-Jacques Bolzan sur ses réseaux sociaux suite à un repas au restaurant.
Le 5 décembre, Agathe Roby expliquait :
Elle plaide pour que « nos enfants mangent mieux » et demande à « veiller à la présentation des repas, car l’envie de manger un plat passe souvent d’abord par son apparence ». La candidate malheureuse lors des dernières Législatives propose aussi de « construire une deuxième cuisine centrale et installer une légumerie pour améliorer la qualité gustative et nutritive des plats » et « construire dans toutes les nouvelles écoles une cuisine qui permette de préparer une partie des repas sur place ».
À lire aussi Les menus validés par une commissionInterrogé par Actu Toulouse, Jean-Jacques Bolzan rétorquait : « On peut discuter du ressenti des enfants par rapport à tel ou tel plat mais depuis la réforme de 2021, quand les repas sont passés de 5 à 4 composantes, nous n’avons pas eu forcément de retours négatifs ».
S’il admet que les plats servis ne sont pas dignes d’une « restauration quatre étoiles », l’adjoint au Bien manger a rappelé que la composition des assiettes servies était décidée par une commission. « Autour de la table, il y a la responsable qualité, une diététicienne, la directrice de la cuisine centrale… Des parents peuvent aussi être présents. Cette réunion nous permet de réajuster les menus s’il y a lieu. On regarde ce qui a bien marché, ce qui a moins marché et à partir de cette analyse, on valide les menus à venir, qui répondent à des normes nationales, aussi bien sur la quantité et la variété des produits servis », avait détaillé l’élu. Pour rappel, le prochain conseil municipal se tiendra le 16 décembre prochain. Reste à savoir ce que les élus trouveront dans leur assiette…
Publié le 8 Déc 22
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![]() l'association propose une formule visite au cœur de Toulouse
Pas de besoin de partir bien loin pour faire du kayak à Toulouse, l'association Canoë-Kayak Toulousain propose de sortir les rames pour découvrir le centre-ville depuis la Garonne, le tout dans une formule afterwork.
À vos kayaks, près, partez à la découverte des bords de la Garonne au cœur de Toulouse ! L'association Canoë-Kayak Toulousain (CKT) propose les mardis et jeudis jusqu'à mi-septembre des sorties afterwork.
La visite au fil de l'eau part de l'île du Ramier, du côté du Casino Barrière avant de se diriger vers la Daurade. " C'est notre activité phare de l'été. Pour accompagner la visite, un moniteur guide explique également l'histoire du centre-ville, ses anecdotes et ses secrets. On s'intéresse évidemment à la Garonne et à l'histoire de ses crues. Vous pourrez ainsi en apprendre plus sur la crue de 1875 ou d'autres plus récentes qui ont causé quelques frayeurs aux Toulousains", détaille Thibaut, éducateur sportif au CKT en charge de la période estivale. À partir de 18 h 45, les pagayeurs en herbe mettent le cap vers les quais de la Daurade pour y observer le coucher du soleil et se remplir le ventre. L’association propose une dégustation de Tapas préparé par la petite guinguette “Les Pêcheurs de Sable”. Juste le temps de prendre des forces, le groupe remonte dans les kayaks pour retourner vers les locaux de l’association. " Il faut compter environ 3 heures de navigation, c'est vraiment une balade ouverte aux plus grands nombres.
Pas besoin d'être Tony Estanguet" rigole, l'éducateur sportif.
Au-delà de ses balades nocturnes, le club propose également la location de matériels. Et surtout des descentes au cœur de la nature tous les samedis. L’association donne rendez-vous dans ses locaux pour fournir les équipements et transporte ensuite les participants vers Lacroix-Falgarde. Une fois sur place, les groupes sont en totale autonomie et peuvent naviguer dans la réserve naturelle régionale Confluence Garonne-Ariege comme bon leur semble. Il est même possible d’embarquer un pique-nique avec soi pour profiter d’un repas dans un cadre exceptionnel.
Faire vivre l'associationL’association, qui compte près de 200 adhérents est le seul club de Kayak de Toulouse. Les activités estivales permettent de financer la vie de l'association sur le reste de l'année : " On n'est pas une entreprise, on ne cherche pas à faire des bénéfices. Quand on explique aux touristes qu'on est une association, ils sont toujours très heureux d'avoir participé sous une forme au bon fonctionnement de notre association” argumente Thibaut. Et si le CKT est en capacité de proposer des activités et faire découvrir le centre-ville de Toulouse et ses alentours, c'est grâce à l'aide de ses adhérents. " On est seulement deux à être salariés de l'association. Pour fonctionner, on a la chance d'avoir de formidables bénévoles qui nous aident pour organiser les afterworks ou transporter les touristes”, poursuit-il. L'association se situe 16 chemin de la Loge, 31400 Toulouse. Comptez 38 euros par personne pour participer à la balade afterwork. Les enfants peuvent participer à partir de 7 ans. Nécessité de savoir nager en cas de chavirage.
Descente nature le samedi, tarif: 28 euros adulte; 14 euros enfant.
Plus de renseignements sur le site internet de l'association.
Publié le 22/08/2023
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Les quatre trophées aux extrémités du Monuments seront restaurés.
Quatre trophées ont été retirés du Monument aux Morts, lundi 24 avril 2023, en prévision du déplacement de la structure dans le cadre des travaux pour la future ligne C du métro.
Nouvelle étape pour le Monument à la Gloire des Combattants. Lundi 24 avril 2023, les quatre trophées aux extrémités de la structure ont été retirés. Il y avait un risque qu’ils bougent quand le Monument aux Morts sera déplacé. Ces statues seront également restaurées.
Pour les besoins de la future ligne C du métro, le Monument aux Morts, situé à François Verdier sera déplacé à l’été 2023, et sera repositionné au même endroit, à la fin des travaux en 2027. Trophées retirésIls font sept tonnes chacun, et doivent être retirés « parce qu’ils n’étaient pas bien accrochés et qu’il y avait un risque de mouvement lors du déplacement du Monument », confie Rémi Desalbres, architecte du patrimoine et en charge de la maîtrise d’œuvre avec sa société Arc&Sites. Ces quatre trophées représentent un aviateur, un marin et deux fantassins, dont un chasseur alpin. Ils ont été sciés avant d’être posés au pied du Monument.
« C’est un travail minutieux », poursuit-il, « mais nécessaire pour déplacer le Monument ». Ces quatre statues seront ensuite restaurées avant d’être remontées sur le Monument. « Les statues seront maintenues sur la zone de chantier et les ateliers de restauration se dérouleront directement sur site », glisse Rémi Desalbres.
À lire aussi Un exosquelette pour protéger le MonumentLe Monument aux Morts est également en train d’être protégé par des panneaux de bois, au niveau de la partie intérieure de la structure. Prochaine étape, une cage métallique entourera la structure. « Cet exosquelette », comme défini par Michael Massaad, ingénieur responsable du projet, « protégera le Monument aux Morts au moment où il sera déplacé ». Cette étape « d’empaquetage » débutera fin mai et se terminera un mois plus tard.
Déplacé sur une plateforme roulantePour être déplacé, le Monument sera soulevé à 2,5 mètres du sol pour être posé une plateforme roulante, entièrement pilotée par informatique. Lors de l’opération, le monument de 1 700 tonnes fera une rotation de 180° et sera décalé de 35 mètres, sur les allées François-Verdier. Rémi Desalbres se veut rassurant sur cette opération : « Nous sommes sereins sur la bonne réussite de cette opération, (…) on envoie bien des robots sur Mars, on peut déplacer un monument », rigole-t-il.
À lire aussi
Cette opération intervient pour ne pas couper totalement plusieurs des platanes de l’esplanade. C’est suite à une mobilisation des Toulousains que Tisséo a fait le choix de déplacer le Monument aux Morts.
Par Hugo Hancewicz
Publié le 24 Avr 23
![]() Onzième épisode de notre série "Toulouse vue du ciel" Saint Michel-Saint Agne - Île du Ramier - Busca. En partenariat avec © Studio Conti
![]() Neuvième épisode de notre série "Toulouse vue du ciel" Les Chalets - Bayard - Belfort - Saint Aubin - Dupuy En partenariat avec © Studio Conti
![]() Septième épisode de notre série "Toulouse vue du ciel". Capitole - Arnaud Bernard - Carmes En partenariat avec © Studio Conti
![]() Cinquième épisode de notre série Toulouse vue du ciel Bonhoure - Guilhemery - Château de Lhers, Limayrac - Côte Pavée. En partenariat avec © Studio Conti
![]() Deuxième épisode de notre série "Toulouse vue du ciel" Minimes - Barrière de Paris - Ponts Jumeaux En partenariat avec © Studio Conti
![]() Premier épisode de notre série "Toulouse vue du ciel" Trois Cocus - Borderouge - Croix Daurade - Paleficat - Grand Selve En partenariat avec © Studio Conti
![]() L’an dernier, le 11, janvier, le pic de crue de la Garonne avait atteint 4,31 m au Pont neuf.
Un an après les inondations qui avaient ravagé l’île du Ramier et les abords des Sept-Deniers, à Toulouse, la prévention des risques a été renforcée à l’échelle de la grande agglomération dans 94 communes.
C’est le paradoxe de saison ! La Garonne n’a jamais été aussi basse au cœur de l’hiver et pourtant il faut encore se prévenir de ses accès de colère. À Toulouse, le fleuve pyrénéen peut très vite devenir un torrent et déborder une plaine desséchée par la canicule. Un scénario cauchemardesque qui avait marqué l’an dernier le mois de janvier avec une crue exceptionnelle courant de la confluence avec l’Ariège jusqu’à Verdun-sur- Garonne. Maisons et caves inondées, voitures emportées, routes coupées, entreprises sinistrées, restaurants dévastés sur l’île du Ramier ou dans le quartier de Septs-Deniers… Les dégâts chiffrés en millions d’euros ont été importants. Au point de déclencher la procédure d’état de catastrophe naturelle. Et pourtant.
Un nouveau programme d'action contre les inondationsMême spectaculaires avec un pic de crue qui a atteint, le 11 janvier, la hauteur de 4,31 m à l’échelle de référence du Pont Neuf, à Toulouse, ces inondations sont encore loin des niveaux attendus pour une crue centennale qui pourrait atteindre 5,60 m. Autre comparaison, celle historique de juin 1875 avait atteint 7,60 m à l’échelle du Pont-Neuf. Un record. Depuis, Toulouse n’a jamais cessé de soigner ses défenses contre la Garonne. Un important programme de rénovation des digues, des vannes et des puits de pompage a été mené entre 2010 et 2020 pour un investissement global de 44 millions d’euros. Et un Plan de prévention des risques inondation (PPRi) régulièrement mis à jour, piloté par les services de l’Etat, réglemente l’aménagement, l’urbanisme et les usages du sol en zone inondable. Quant aux plans communaux de sauvegarde, ils doivent assurer la gestion des phénomènes naturels et technologiques à risque à l’échelle de chaque municipalité. Mais la meilleure arme reste l’action. L’amélioration continue de la surveillance des principaux cours d’eau par le service de prévision des crues s’accompagne, aujourd’hui, d’un programme d’actions de prévention des Inondations (« PAPI ») engagé en 2021 par Toulouse Métropole, en collaboration avec le Muretain Agglo, le Sicoval et la Communauté de Communes du Grand Ouest Toulousain, à l’échelle de 94 communes de l’agglomération.
Piéger l'eau avant qu’elle ne nous piège...« Il s’agit, et c’est la nouveauté, d’acquérir de nouvelles connaissances, notamment sur les phénomènes d’inondations par ruissellement, encore mal connus », explique-t-on au Capitole. C’est justement une des missions de la Société Générale d’évaluation des territoires (SGEVT), qui a développé avec le Cnes et Météo-France un système d’observation satellitaire qui permet de comprendre comment « fonctionnent » les inondations pour mieux les contrer. « Tout compte, assure Arnaud André, le président de la SGEVT. Les haies, le sens des cultures, la nature des terrains. Il faut agir et bâtir des défenses en amont avant que l’eau n’arrive dans la plaine toulousaine ». L’idée est de sensibiliser le grand public, les élus, entreprises, aménageurs, agriculteurs pour faire évoluer les pratiques et les comportements. Pour piéger l’eau avant qu’elle ne nous piège…
Un nouveau site internet pour la prévention des risquesToulouse Métropole vient de mettre en ligne un nouveau site internet afin de comprendre, de s’informer et de se préparer au risque d’inondation sur le territoire : www.inondations-agglo-toulousaine.fr
Gilles-R. Souillés
Jacques Le Bris's insight:
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