S’il devait retenir une image pour traduire le véritable rôle des bibliothèques dans la science ouverte, Clément Pieyre évoquerait les anneaux olympiques. La bibliothèque universitaire sert en effet de point d’ancrage, au sein d’un écosystème défini par de nombreux acteurs essentiels et interdépendants. Pour le directeur de la bibliothèque Diderot de Lyon (Service commun de la documentation de l’ENS de Lyon) : « Les bibliothèques universitaires forment l’un des maillons essentiels à la mise en œuvre d’une politique publique de science ouverte, en lien avec les impulsions ministérielles, les gouvernances académiques, les équipes de recherche et les publics qui bénéficient d’un accès libre à la connaissance. »

À l’heure où Recherche Data Gouv se prépare à franchir une nouvelle étape dans son développement, en s’inscrivant durablement dans le paysage de la recherche en France et en Europe, ce document se veut à la fois la mémoire d’un chemin parcouru et le socle sur lequel s’appuyer pour construire, ensemble, les prochaines avancées.

Pierre Cantelaube, ingénieur d’études à INRAE est dans le top 3 des déposants les plus actifs de l’entrepôt Recherche Data Gouv avec 254 jeux de données déposés depuis l’inauguration en juillet 2022. Un nombre vertigineux qui va sans doute fondre pour mieux correspondre aux besoins de la communauté scientifique. Rencontre

Vous souhaitez savoir où stocker vos données, partager vos fichiers avec les membres de votre équipe, pouvoir exécuter du code et plus encore ? Vous travaillez au sein d’un projet à l’échelle européenne et peinez à trouver des outils souverains accessibles facilement à l’ensemble des partenaires ? Ou tout simplement vous cherchez une alternative aux outils commerciaux car votre établissement n’est pas doté d’une offre de services numériques qui réponde à vos besoins ? Consultez la plateforme EOSC EU Node qui référence 405 services (https://open-science-cloud.ec.europa.eu/services onglet « Resources Hub ») accessibles aux personnels scientifiques et d’appui en Europe. 

Le service DMP OPIDoR propose deux nouvelles fonctionnalités : la description des logiciels de recherche et le partage automatisé avec l’ANR.

Les principes FAIR (que nous vous expliquions ici) peuvent être utilisés comme un guide de bonnes pratiques pour améliorer la découverte et la réutilisation des données. Pour répondre à une grande partie de ces principes, le plus simple est de déposer ses données dans un entrepôt de données.Il est donc indispensable de choisir un entrepôt qui permet d’atteindre un niveau suffisant de « FAIRisation » des données.

Retrouvez dès à présent la nouvelle fiche pratique des Essentiels de HAL qui vous présente de façon synthétique les apports concrets du lien entre ORCID et HAL !

Gain de temps, Identification fiable des auteur·es, diffusion renforcée des dépôts grâce aux interconnexions d’ORCID avec d’autres plateformes de la recherche… Une ressource en français et en anglais pour accompagner chercheur·es et personnels d’appui dans une meilleure gestion de l’identité numérique scientifique.

GopenDoRe est un jeu pédagogique sous forme de quiz portant sur toutes les thématiques de DoRANum (plan de gestion, stockage des données, métadonnées …). Son extension « Faut pas s’en FAIR » vous permet également de tester vos connaissances liées aux principes FAIR. Une partie se déroule en 3 manches de 5 questions, le but étant de récolter un maximum de points pour atteindre le niveau d’expert du partage et de la gestion des données de recherche !

Qu'est-ce que le programme LabEco ? De quelle manière les sciences humaines et sociales (SHS) peuvent interroger l'empreinte écologique de leurs propres pratiques ? Est-ce qu'il y a des « résistances » au changement ? Comment installer des dynamiques collectives sur ce sujet ? Comment concilier activité de recherche, action administrative et questionnement écologique ? Quelle est l'empreinte carbone de l'instrumentation et des publications en SHS ? Est-ce qu'il y a une mutualisation « vertueuse » de la gestion des données, du stockage, de la sauvegarde ? Quelles sont les contraintes et/ou facilitations administratives sur l'instrumentation ? Est-ce qu'il existe véritablement des « entraves administratives » à la recherche ? Quelles sont les données administratives d'une unité de recherche SHS ? Quels sont les avantages et inconvénients de la dématérialisation des activités ? Est-ce qu'il faut en faire moins (moins de recherche, moins de publications, moins d'activités) ? Est-ce qu'il y a un avant et un après COVID-19 (nature et portée de nos activités) ? Quels publics devons-nous sensibiliser et de quelle manière ? Est-ce que les indicateurs sensibilisent les individus ou pilotent le changement ?

Le troisième épisode du podcast C'est pas donné laisse la parole à Steve Hagimont, Maître de conférences en histoire contemporaine à Sciences Po Toulouse, et Laura Faucher, gestionnaire administrative du Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines (CHCSC).

La science ouverte rend les connaissances scientifiques accessibles à tous, favorisant la transparence et l'intégrité. Elle améliore la reproductibilité des résultats et renforce la confiance dans la recherche. Cependant, elle comporte des risques, comme la diffusion de résultats non validés ou la publication par des éditeurs peu scrupuleux. Cette note propose des recommandations pour préserver l'intégrité scientifique dans ce contexte.