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Le spectateur de Belleville
October 13, 2012 1:22 PM
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Après Anna Politkovskaïa, non rééducable, monologue unanimement salué par le public et la presse en 2011, Mireille Perrier revient à la Maison des métallos pour y créer une pièce pour quatre acteurs d’après La Haine de l’Occident de Jean Ziegler. Commissaire à l’alimentation au sein de l’Organisation des Nations Unies, le sociologue, Jean Ziegler met, dans son action auprès des populations du Sud comme dans ses livres adressés aux publics occidentaux, sa connaissance du terrain et des institutions internationales au service du combat pour la dignité des hommes et des femmes sacrifiées par l’ordre financier et militaire mondial.
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Le spectateur de Belleville
October 6, 2012 7:19 AM
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Il est 20h30. Six femmes passent parmi le public et cela entièrement nues. Elles ne se rhabilleront que lors des saluts. Elles sont vibrantes, vivantes, belles : elles respirent. Elles rejoignent la scène et Untitled Feminist Show, conçu et réalisé par Young Jean Lee, débute. Il s’agit d’un spectacle de nu féminin. Tout est dit. Alban Orsini pour le blog Culturopoing CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE
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Le spectateur de Belleville
September 9, 2012 6:38 PM
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"Contractions du théâtre enceint. Les battements de coeur comme une machine à moudre en boucle, en boucle, en boucle, résonnent dans tous les murs." Auteure et metteure en scène, Anna Nozière, 39 ans, a brusquement surgi l’an dernier dans le paysage théâtral avec un spectacle absolument singulier, burlesque et intime, Les Fidèles, Histoire d’Annie Rozier. Sa nouvelle pièce a pour cadre un théâtre. Une des actrices, la Petite, apprend d’une échographie que le foetus qu’elle porte depuis cinq mois a cessé de se développer. Elle s’enferme dans ce lieu où elle joue soir après soir. Des mois durant, son enfant, pourtant en pleine santé, ne grandit pas. À l’extérieur, le monde médical et médiatique se déchaîne. La Petite, d’abord hantée par d’invisibles présences, commence à voir des scènes comme on hallucinerait. En représentation, les acteurs deviennent les passeurs de ses conversations avec les fantômes. Car ce théâtre dont elle ne sort plus, la Petite y est née : sa mère y est morte en couches... Anna Nozière achèvera sa pièce en la répétant : l’écriture et le jeu sont pour elle deux manières indissociables d’écouter “l’écho de ce qui émerge”, de faire surgir de l’obscurité les pièces d’un puzzle intérieur. Du 27 septembre au 27 octobre au Théâtre national de la Colline, petite salle (création)
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Le spectateur de Belleville
June 18, 2012 10:52 AM
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d’après les démarches d’Edouard Levé, Robert Mapplethorpe, Cindy Sherman, Francesca Woodman... Ce projet est le fruit d’une réflexion sur la représentation au théâtre, et d’une passion pour la photographie. Il est également un questionnement sur la place de l’individu, sur son enfermement dans une identité unique et moyenne, sur le nivellement des personnalités par le développement des médias de masse, dont la fonction principale est de favoriser la société de consommation. Nous cherchons à réfléchir sur ce qui pousse l’individu à s’asservir lui-même à une identité définie, reconnaissable, et les troubles de la personnalité qu’un tel quadrillage implique. Ce questionnement ne peut s’extraire des progrès techniques que nous vivons ces dernières années, et qui sont particulières à notre génération et à celles qui viennent après nous, comme elle ne peut s’extraire des gestes qui ont influencé l’histoire de l’art. Artistiquement, il nous importe également de ne pas partir d’un texte préalable et de son adaptation pour le plateau, mais de partir de photographies; que l’écriture soit en premier lieu celle du plateau. Clara Chabalier Site du Théâtre Studio d'Alfortville : http://www.theatre-studio.com/fr/spectacle-10/Autoportrait.html Critique parue lors de la création d'"Autoportrait" dans le blog "Les Trois coups" : : http://www.lestroiscoups.com/article-autoportrait-d-apres-autoportrait-d-edouard-leve-et-les-demarches-photographiques-d-edouard-leve-fra-86697056.html Du 20 au 23 juin au Théâtre-Studio d'Alfortville
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Le spectateur de Belleville
April 23, 2012 6:03 PM
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La danse comme alternative à la reproductibilité de l’art, dernier bastion de l’éphémère, du contemporain, souffle encore le chaud du dévergondage. « Soupape de l’âme » dit bellement Hervé Guibert. Sur ces terres de liberté conquise, Pina Bausch, décédée subitement en 2009, est passée maître. Conceptrice d’un théâtre‑dansé, elle invite sur scène des comédiens-danseurs avec leurs histoires, leurs intonations, leurs improvisations et leurs aspérités. Dans 1980, elle les propulse sur un immense gazon anglais encore parcouru de moucherons, odorant et terreux. Un chevreuil empaillé dans un coin au loin, une caméra à l’opposé, qui épie. Qui épie quoi ? La mascarade d’une ribambelle de danseurs vêtus aux couleurs de la bonne société, des conventions, aux couleurs des endimanchés et des eaux‑tièdes, des gênés-aux‑entournures et autres mal‑engoncés, enfants trop vite vieillis. Nous tous. Cédric Enjalbert Critique du blog "Les Trois Coups" CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE Critique de Marie-Christine Vernay dans Libération : http://www.liberation.fr/culture/2012/04/29/c-est-beau-c-est-bausch_815177 Le blog de Judith Sibony pour Le Monde : http://theatre.blog.lemonde.fr/2012/04/25/le-vert-paradis-de-pina-bausch/ Extrait vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=kl6vFSJxQbE Annonce parue dans le blog sceneweb : http://www.sceneweb.fr/2012/04/1980-de-pina-bausch/ Théâtre de la Ville, Paris 20 avril - 04 mai 2012 Archi complet, mais qui sait si vous tentez de racheter une place à revendre...
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Le spectateur de Belleville
April 14, 2012 6:32 PM
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Le spectateur de Belleville
March 19, 2012 8:48 PM
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"L'intelligence de l’adaptation de Pauline Bureau, c'est de couper court à tout ce qui faisait la faiblesse du roman. Quatre personnages sont au centre de cette histoire d'amour, d'amitié, de trahisons, de haine, qui débute dans les années 1980 pour s'achever dans les années 2000. En gros, de l'élection de François Mitterrand à celle de Nicolas Sarkozy, même si ce n'est pas vraiment important, sauf en ce qui concerne le parcours de l'extrême gauche à la droite conservatrice de l'intellectuel du groupe, Jean-Michel Leibowitz (Zbigniew Horoks) le professeur, l'intello, le plus âgé, l'amant de sa jeune étudiante, Valentine, Val, (Marie Nicolle) qui deviendra journaliste à Libération. Elle est si fine, si juste, si émouvante qu'on souhaiterait la voir plus." Martine Silber pour son blog Marsupilamima CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE. Au Théâtre de la Tempête, Cartoucherie, jusqu'au 7 avril.
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Le spectateur de Belleville
February 27, 2012 3:25 PM
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"Gisèle Vienne joue à la poupée depuis son enfance. A 10 ans, elle les fabriquait dans de la pâte à fibre, les habillait en punk ou en pop star. Aujourd'hui, l'ancienne étudiante en philosophie, diplômée de l'Institut international de la marionnette de Charleville-Mézières - elle a largement contribué à remettre la marionnette sur le devant de la scène depuis dix ans - consacre des heures à modeler les têtes de ses mannequins. Elle aime aussi les peindre - cinq à huit couches de couleurs sur les visages curieusement roses, griffés ou meurtris -, les coiffer et les maquiller. Paupières baissées toujours. "Les poupées font plus vivantes comme ça, précise-t-elle. Je ne les manipule quasiment jamais. Leur présence suffit généralement à semer le trouble. Je m'amuse beaucoup à les concevoir, même si j'ai un rapport très détaché avec elles. C'est en les fabriquant que peu à peu se révèlent un caractère, un personnage, une histoire." Rosita Boisseau, le Monde du 24/02 CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE
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Le spectateur de Belleville
December 9, 2011 8:46 PM
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Le spectateur de Belleville
October 7, 2012 3:00 PM
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Joëlle Gayot reçoit deux invités, tous deux sous le feu d’une actualité dont ils seraient sans doute passés étant donné la façon dont elle se manifeste. Une artiste, Isabelle Lafon, qui reprend son adaptation tchekhovienne de "La Mouette", créée la saison passé, et un directeur, Patrick Gufflet qui accueille ce spectacle dans ses murs, le théâtre Paris Villette au nord de Paris, théâtre que la Ville de Paris, qui est son principal subventionneur, a décidé, après de longues tergiversations, de ne plus financer. Emission de 30' à écouter en suivant le lien : cliquer sur le titre ou la photo.
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Le spectateur de Belleville
September 18, 2012 4:09 AM
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Dans son studio de la Friche Belle de Mai, mêlant sa troupe à celle du Théâtre national alsacien, elle imagine un prometteur «Sallinger». Et se projette dans un futur «pôle» avec salle in situ. «Inaugurer notre studio avec Bernard-Marie Koltès et les comédiens du Théâtre national de Strasbourg, c’est évidemment quelque chose de très fort pour nous». Durant deux semaines, dans d’incessants aller-retours entre table et plateau, Catherine Marnas a joué les alchimistes dans cet espace investi par sa compagnie au début de l’été: «il y avait une certaine appréhension, un enjeu à "mêler" 5 comédiens du TNS, leurs parcours, leurs désirs, avec les comédiens "maison", qui pour la plupart "parlent" le Marnas et le Koltès comme une langue maternelle...», sourit-elle. Denis Bonneville pour La Marseillaise CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE
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Le spectateur de Belleville
August 24, 2012 4:05 AM
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Fidèle à ses utopies, Chantal Morel a monté "Don Quichotte" dans un quartier sensible, avec une douzaine d'habitants. Ainsi, en prenant son temps pour ne rien brusquer, Chantal Morel a réuni des habitants du quartier, avec lesquels ses quatre comédiens professionnels et elle ont commencé par faire des ateliers autour de Godot. Mais la pièce résistait : elle ne correspondait pas à ce qui s'était joué et se jouait à la Villeneuve. Il lui manquait la dimension utopique, que l'Equipe de création théâtrale a trouvée dans L'Ingénieux Hidalgo Don Quichotte de la Manche, de Cervantès, rebaptisé Pauvre fou !. Pour monter la production du spectacle, Chantal Morel s'est servie des deniers de sa compagnie, sans demander d'aide financière particulière à la mairie. "Les subventions sont faites pour déplacer de l'argent là où il n'y en a pas", dit la Grenobloise, qui va toujours jusqu'au bout de ses démarches, sans transiger. Brigitte Salino, Le Monde 23. 08. 2012 CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE Extrait vidéo : https://www.facebook.com/photo.php?v=256345017802611 Critique dans Le Petit bulletin :http://www.petit-bulletin.fr/grenoble/theatre-danse-article-43471-Dessine-moi+un+spectacle.html A Grenoble, Théâtre Prémol, jusqu'au 29 août
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Le spectateur de Belleville
April 27, 2012 5:18 AM
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Comme dans une fête entre amis, la scène accueille spectateurs et comédiens autour d’une même table. Il Convivio est une joyeuse traversée au fil des œuvres fondatrices de la littérature. Piochant dans la grande malle du théâtre, il convie à sa table des personnages mythiques du répertoire, au pouvoir évocateur, qui nous parlent de l’amour, de la vie, du pouvoir. Invitation à l’imaginaire, au rêve, au rire… Mise en scène Catherine Marnas. A Forcalquier les 4 et 5 mai.
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Le spectateur de Belleville
April 18, 2012 5:31 PM
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Rencontre avec Phia Ménard qui nous parle de ses nouvelles créations : "L’après-midi d’un foehn" et "Vortex". Vidéo de présentation de ces deux créations en cliquant sur le titre ou la photo. Grande Halle de la Villette, Festival Hautes Tensions jusqu'au 22 avril
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Le spectateur de Belleville
April 8, 2012 7:32 PM
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"Afin de percer à jour la poésie et la violence du texte, les adolescents-marionnettes sont manipulés par les comédiens. Un labyrinthe de jeu se forme entre les regards chargés des êtres vivants qui jouent la pièce et les visages inexpressifs des poupées. Les comédiens forment un carcan, emprisonnent ces grands corps pantelants; ils les guident, contrôlent leurs expressions, leurs états d’âme… A moins que parfois ce ne soit l’inverse… ! On bascule très vite dans l’ambiguïté et dans le surnaturel. Le malaise se crée, nous perdons tout repère tranquillisant pour s’engouffrer dans leur complexité à vivre. C’est bien le destin de ces adolescents qui se joue devant nous; une lutte dans laquelle se mêlent l’urgence et l’inertie. Emprisonnés par l’arrière goût encore présent de l’enfance et la peur de grandir, d’être au monde, ces marionnettes semblent parfois se débattre de ces mains qui les guident pour s’échapper. Les comédiens vêtus de noir sont parfois cachés, volontairement inexistants puis ils quittent leur « simple » rôle de manipulateur pour participer au jeu, pour vivre avec leurs marionnettes. Un va et vient de visible et d’invisible, de conscient et d’inconscient, de réel et de fantasme, à chacun de voir ce qu’il a envie de voir !" Critique parue dans le blog "Un fauteuil pour l'Orchestre" CLIQUER SUR LE TITRE OU LA PHOTO POUR LIRE L'ARTICLE ENTIER DANS SON SITE D'ORIGINE Au TGP de Saint Denis jusqu'au 15 avril
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Le spectateur de Belleville
March 6, 2012 1:02 PM
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En remontant le temps du Festival d’Avignon, Olivia Grandville propose, en compagnie de sa propre mère, Léone Nogarède, qui joua, en 1947, dans la Cour d’honneur sous la direction de Jean Vilar, et de la danseuse Catherine Legrand, une réponse faite d’anecdotes, de titres fameux et de gestes parfois oubliés. Dans le prolongement du spectacle, chaque soir, une conversation, animée par Jack Ralite, avec différents invités, est proposée autour d’extraits d’archives, dont ceux du film "Être Libre", tourné en 1968 à Avignon. Pour débattre de questions politiques : le théâtre possède-t-il une véritable puissance critique ? Peut-il être politique ? Doit-il être engagé ?... Critique du blog Danzine, Nicolas Villodre : http://www.danzine.fr/Olivia-Grandville-la-vicomtesse Et Jean Pierre Thibaudat pour son blog "Balagan" : http://blogs.rue89.com/balagan/2012/03/15/une-histoire-de-mere-et-de-fille-dans-les-nuits-du-festival-davignon-226927 Du 15/03/2012 au 20/03/2012 20h30 : lundi, mardi, jeudi, vendredi, samedi Relâche dimanche Durée : 2h00 Spectacle suivi d’une conversation avec différents invités
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Le spectateur de Belleville
January 9, 2012 3:55 PM
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