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Les grandes agglomérations ont-elles vocation à concentrer toujours plus de richesses ? Depuis quelques décennies, l’attractivité des grandes villes ne fait que s’intensifier, parfois au détriment des villes de plus petite taille. Ce phénomène porte un nom : la métropolisation

La Ville de Nancy va lancer des aménagements verts dans les années à venir et a pris 100 engagements dans le cadre du plan arbres et nature en ville. Voici ce qu'il faut retenir

Sylvain Grisot est souvent décrit comme l'urbaniste du futur, et ce n'est pas son nouvel ouvrage qui va démentir cette information. Avec "Redirection urbaine. Sur les chantiers de l’adaptation de nos territoires" (éd. Apogée), il appelle à repenser les villes pour demain

Les travaux de rénovation et de construction peuvent menacer la nature en ville. Si les initiatives ponctuelles pour sa protection sont bienvenues, grâce aux documents d’urbanisme, les architectes possèdent les clés d’une action plus systématique et efficace.

Végétaliser les pieds d’arbre en ville permet d’assurer de nombreuses fonctions environnementales complémentaires à celles apportées par la strate arborée.

La Ville d’Epinal, le Département, la CAE, l’Etat et ses partenaires ont signé le prolongement du programme « Epinal au cœur » et la poursuite de l’Opération d’Amélioration de l’Habitat dite de Renouvellement Urbain (OPAH-RU) pour les cinq années à venir (2024-2028)

Dispositif gouvernemental rassemblant les zones urbaines les plus pauvres, nécessitant une intervention des pouvoirs publics, les QPV regroupent des zones comme le quartiers de Rives à Tours, la Cité de la fosse Seesevalle à Somain ou encore le centre-ville de Béziers

Ce sont des images devenues de plus en plus fréquentes en Europe : celles de villes inondées, de maisons sinistrées par la montée des eaux, de populations désemparées par ces épisodes

Architecte des paysages, Bas Smets est le lauréat du concours de la Ville de Paris pour le réaménagement du parvis de Notre-Dame, suite à l'incendie de 2019. Il nous invite à repenser la relation entre la ville et l'environnement, à partir de cette question : qu'est-ce que la nature aurait fait ?

On entend tous parler des villes du futur comme The Line, développée par Neom, en Arabie Saoudite. Pourtant, ces villes n’ont pas encore vu le jour. Quels seront les enjeux sanitaires et architecturaux ? Comment seront-elles conçues ?

"Le Meilleur des mondes" s'intéresse au concept de smart-city et à la réalité du numérique dans nos villes. Cette notion questionne notre dépendance technologique et la problématique de la résilience.

Les communes s'engagent davantage à verdir leurs espaces publics, en plantant plus d'arbres, en végétalisant les façades et les toits ou en accordant des permis spéciaux. Zoom sur cette tendance durable.

Les 7 et 8 septembre derniers se sont tenues, à Nantes, les premières Assises portant sur les projets de fruitiers comestibles en ville. Elles ont rassemblé près de 230 participants autour de tables rondes, ateliers et visites de terrain animés par de nombreux intervenants : gestionnaires publics et privés, membres d’associations, spécialistes arboricoles, pépiniéristes, enseignants et chercheurs.

Action cœur de ville, Petite Villes de demain, Avenir montagnes, Territoires d’industrie... La famille des grands programmes nationaux de revitalisation est au complet ou presque. Tournés vers des territoires longtemps "orphelins" des politiques publiques, ces programmes, réunis sous le toit de la toute jeune ANCT, marquent un tournant face à la métropolisation qui a longtemps prévalu. L’aîné de la famille, Action cœur de ville, destiné aux centres de 234 villes moyennes, se voit prolongé jusqu’en 2026.

Et si c’était la marche à suivre ? Les piétons doivent se retrouver au centre de la nouvelle mobilité urbaine. Mais la marche à pied demeure un angle mort des politiques publiques de mobilité

Les besoins en logement en France, très importants dans certaines zones géographiques attractives, conjugués à la loi ZAN qui prévoit un objectif « zéro artificialisation nette » des espaces naturels, agricoles et forestiers à l’horizon de 2050, amènent les villes à se densifier

Il y a quelques mois, la ville de Montpellier a dévoilé une initiative exigeant que toutes les nouvelles constructions sur son territoire intègrent une œuvre artistique.
Un dispositif qui fait écho à celui du gouvernement : l’obligation de décoration des constructions publiques, exigeant que 1% du budget alloué à la construction d’un édifice public soit dédié à une œuvre artistique.
Depuis 1951, ce dispositif a donné lieu à plus de 12 000 projets se déployant sur l’ensemble du territoire français, mais comment se concrétise-t-il dans nos espaces publics ? Quel type d’œuvre contribue à relever ce défi de l’art en ville ?
Le 1% artistique, 1% culturel, 1% décoratif : mais quésaco ?

Prolongé pour trois ans, le dispositif des zones de revitalisation des centres-villes a vu son zonage fortement élargi par un arrêté du 22 décembre. Pourtant, cette possibilité offerte aux communes d'utiliser le levier des exonérations pour soutenir leurs commerces de proximité est mal connue. Vesoul en a fait bon usage pendant la crise du covid. Un outil parmi d'autres d'une politique de revitalisation tous azimuts

À travers l’étude des politiques publiques menées à Foix, Pamiers, Auch et Figeac, quatre chercheuses analysent comment se fabrique la notion de « bien vivre » dans ces agglomérations de petite taille.

Avec 14 000 associations et 900 000 parcelles cultivées, l’Allemagne fait la part belle au jardinage. Pourtant, dans les grandes villes où se loger devient de plus en plus difficile, les investisseurs lorgnent sur le moindre lopin de terre pour construire de nouveaux logements. Certains jardiniers n'entendent pas se laisser faire et organisent l

Les projets autour des écoles, qu'il s'agisse des cours, de leurs abords ou des bâtiments, se multiplient. A travers ces projets, l'école est de plus en plus perçue comme étant reliée à la ville.
Organisée le 19 octobre 2023 à Aix-en-Provence par le Cerema, cette conférence technique territoriale a mis en avant des retours d'expérience illustrant les différentes actions menées au niveau local, depuis le changement de comportement jusqu'à la renaturation, en passant par la performance énergétique, qui font de l'école un terrain privilégié pour accélérer la transformation des villes.

Au-delà de la dimension environnementale et climatique (protection de la biodiversité, lutte contre les îlots de chaleur et la pollution), la plantation d’arbres en ville répond à des enjeux sociaux, sanitaires et esthétiques. Un nombre croissant d’études scientifiques constate ainsi l’influence des arbres sur le bien-être des citadins. Rencontre avec Frédéric Ségur, ancien responsable du service “Arbres et paysages” du Grand Lyon qui a instauré une charte de l’arbre en ville.