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May 5, 2011 12:28 AM
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Henri Lefebvre, renaissance de la pensée critique, d’Armand Ajzenberg, Hugues Lethierry, Léonore Bazinek, préface de Michael Löwy. L’Harmattan, 2011, 220 pages, 21 euros.
Le précédent ouvrage d’Hugues Lethierry avait été salué par Edgar Morin comme donnant au philosophe Henri Lefebvre « une nouvelle jeunesse » pour résoudre les problèmes de ce début de troisième millénaire. Maintenant Henri Lefebvre se présente d’emblée comme une « renaissance de la pensée critique » d’un intellectuel qui commença son existence avec le groupe surréaliste sous les auspices de Tristan Tzara, fondateur du mouvement Dada, et la termina à Navarrenx en 1991, après avoir traversé l’éphémère Internationale situationniste de Guy Debord (et réadhéré au PCF dans les années 1980). Au final, il aura été la colonne vertébrale d’un marxisme français qui renaît aujourd’hui, élargi comme jamais. La bien nommée conclusion de cet ouvrage collectif, « Lefebvre énorme, hors norme », souligne qu’auteur d’une centaine de livres, il peut être appréhendé, sans aucune nostalgie, comme une des anticipations des nombreuses postérités actuelles de Marx.
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May 3, 2011 4:03 PM
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Andrea Falcon, spécialiste de la philosophie d’Aristote, professeur associé à la Concordia University de Montréal, sera tout le mois de mai professeur invité par l’université Paris Diderot et le laboratoire SPHERE (UMR 7219, CNRS/ Paris 1/ Paris 7). Il consacrera quatre conférences à exposer certaines lignes de force de sa reconstruction de la physique d’Aristote.
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May 2, 2011 4:13 PM
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"Peut-on résoudre une dispute ontologique de façon satisfaisante en se fondant sur des raisons pratiques ? C’est la question que je me propose d’examiner dans ce texte, en l’appliquant au problème du statut ontologique des propriétés esthétiques. La question de savoir si ces propriétés sont effectivement présentes dans les choses auxquelles elles sont correctement attribuées est importante : en fonction de la réponse qu’on lui apporte, on aura notamment une conception différente de ce en quoi consiste l’expérience esthétique et de ce qui constitue la valeur de l’art. Malheureusement, nous ne pouvons pas nous permettre d’être dogmatiques dans ce domaine : aucun des arguments épistémiques proposés jusqu’à présent n’est parvenu à démontrer la réalité ou l’irréalité des propriétés esthétiques. Dans ce cas, l’évaluation des bénéfices pratiques du réalisme, de l’antiréalisme ou du quasi-réalisme en esthétique constitue-t-elle une façon appropriée de résoudre cette question ? Je défendrai la thèse selon laquelle c’est effectivement le cas et qu’au regard de critères pratiques, le réalisme esthétique constitue la meilleure option disponible." (...)
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May 2, 2011 3:59 PM
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"Rien n’est plus pacifique, pourrait-on penser, que la philosophie à l’adresse des enfants. Tout le monde semble s’accorder : l’enfant est naturellement philosophe et se pose des questions dès le plus jeune âge sur l’origine du monde, la vérité, la mort, l’amour. Contrairement à l’adulte, le petit humain s’étonne de tout et questionne les évidences, démarche philosophique par excellence.
Depuis quelques années, la philosophie par ou pour les enfants fait un carton. L’épithète «philosophique» est accolée aussi bien à des pratiques scolaires qu’à des goûters ou à des petites conférences extrascolaires. Si le terme change de sens selon les usages qu’on en fait, les enfants concernés sont eux aussi très divers : de la lisière du langage en classe de maternelle, jusqu’à l’adolescent ou au jeune adulte. Etrangement, dans le cadre scolaire, ces expériences dites philosophiques sont accueillies plus aisément dans les petites classes que dans les collèges." (...)
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May 2, 2011 1:30 AM
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Dans cet ouvrage, publié pour la première fois en 1987 aux États-Unis, Judith Butler propose une vaste enquête sur la réception de Hegel en France au XXe siècle. En prenant comme fil rouge de cette enquête la thématique hégélienne du désir telle qu'elle apparaît dans la Phénoménologie de l'Esprit, elle soumet à l'examen ses réappropriations successives chez Kojève, Hyppolite et Sartre mais aussi chez Derrida, Lacan, Deleuze et Foucault. L'enjeu d'une telle généalogie est alors d'interroger la prétention totalisante et la plénitude supposée du «sujet» hégélien, contre lesquelles a pu s'affirmer la volonté d'«échapper à Hegel». Or, que vaut ce mot d'ordre si, comme le fait apparaître la lecture de Kojève, d'Hyppolite et même de Sartre, la quête de satisfaction qui nourrit le désir du sujet révèle que ce sujet désirant est en réalité un sujet en proie au désir, un sujet marqué avant tout par une précarité ontologique que le jeu spéculaire de la reconnaissance ne parvient pas à effacer ? En proposant des analyses sans concession des pensées de Deleuze et de Foucault notamment, Judith Butler montre alors de quelle ambiguïté est porteur le programme d'une pensée explicitement «anti-» ou «post-» hégélienne qui, sous couvert d'affranchir le désir de la négativité et du sujet, reconduit en réalité le projet de sa satisfaction.
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May 1, 2011 1:59 PM
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Par Laurent Dartigues Texte de la communication faite à Lyon le 16 avril 2011 dans le cadre de la rencontre organisée par Françoise Bressat.
"En guise d’introduction : je ne pense pas qu’on puisse penser politiquement les UP sans penser la question de la fonction intellectuelle, la question du discours de la science en général, de la science sociale en particulier. Je vais essayer de traiter ceci par un petit bout, plus aisé pour mes compétences. Je vous propose donc des éléments pour discuter certaines formules que l’on attache couramment au concept d’université populaire dans la littérature peu abondante d’ailleurs : laboratoire civique de formation d’une opinion éclairée ? lieu d’émancipation intellectuelle ? lieu d’exposition des savoirs critiques ? " (...)
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May 1, 2011 12:23 PM
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Journées organisées par Alain Milon et Marc Perelman, professeurs à l’université de Paris Ouest-Nanterre La Défense Jeudi 24 et vendredi 25 juin 2010
C’est ici l’identité immédiate que nous propose Husserl entre deux termes en apparence éloignés. Plus tard, Emmanuel Levinas énoncera que le livre est « une modalité de notre être » qui se fonde précisément sur la présence du livre comme « référence “ontologique” de l’humain ».
Qu’est-ce qu’un livre en effet sinon l’occasion de poser la question de son rapport au corps ?
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April 30, 2011 1:53 AM
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Les années 1960 furent le théâtre de l'un des épisodes les plus brillants de l'histoire de la pensée philosophique en France. Elles s'ouvrirent sur le triomphe public du structuralisme, avec La Pensée sauvage de Lévi-Strauss, se continuèrent par le renouvellement du marxisme proposé par Althusser et de la psychanalyse par Lacan, et s'achevèrent avec une série d'oeuvres comme celles de Foucault, Deleuze, Derrida et Lyotard, qui ont décidé du visage de la philosophie contemporaine.
L'héritage de cette période a néanmoins été difficile, suscitant tantôt une fascination mimétique, tantôt un rejet caricatural. Depuis quelques années, les auteurs qui l'ont marquée font individuellement l'objet d'une réception savante plus mesurée et plus profonde, au risque cependant de perdre la dimension collective et transversale qui la caractérisait. Le but de cet ouvrage est de réunir certains des meilleurs spécialistes pour prendre toute la mesure de ce qui a constitué, par son intensité et son ampleur, un «moment philosophique» exceptionnel.
Il offre à la fois une traversée de quatre dimensions transversales (épistémologique, politique, esthétique et philosophique) et une relecture de quatre livres singuliers : La Pensée sauvage de Lévi-Strauss (1962), Lire Le Capital et Pour Marx d'Althusser (1965), les livres de Derrida autour de De la grammatologie (1967), et Discours, Figure de Lyotard (1971). Traversant aussi bien les mathématiques de Bourbaki que la linguistique structurale, l'anthropologie de Lévi-Strauss que la psychanalyse freudienne, le marxisme d'Althusser que celui d'Adorno, le théâtre de Brecht que le cinéma de Godard, ce livre invite à redécouvrir ce moment non pas comme un objet historique à circonscrire, mais comme un mouvement ouvert où se sont décidées certaines des tâches qui nous incombent encore, aujourd'hui.
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May 1, 2011 1:26 PM
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Jean-Jacques Delfour, Télé, bagnole et autres prothèses du sujet moderne, Erès, 280p. 25€
Compte-rendu par Robert Redeker (Cet article est paru dans Marianne, daté du 30 avril au 5 mai 2011. ) Quels sont les effets anthropologiques et politiques des deux machines emblématiques du monde contemporain, « la bagnole » et « la télé » ? (...)
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April 30, 2011 1:49 AM
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sous la direction de Marie-Laurence Desclos. Sandrine Alexandre, Anna Beltrametti, Marie-Laure Benzoni et al.
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April 29, 2011 5:19 PM
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Raison publique, dans son numéro 14, consacre tout un dossier à l'art de l'intime. Sylvie Servoise présente ce dossier qu'elle a aussi dirigé. L’intime serait-il insaisissable ? Relativement récente – la première apparition du terme dans un dictionnaire, sous forme adjectivale, remonte en effet au début du XVIIe siècle [1] –, la notion s’est chargée au fil des siècles de multiples et diverses acceptions. Alors qu’évoluait la manière de penser et de se rapporter à l’intime, se transformaient aussi ses usages sociaux, ses représentations. Aujourd’hui, sa forte présence dans l’espace médiatique et culturel semble aller de pair avec sa valorisation. L’intime s’expose, se dévoile, et mobilise bien des curiosités et des convoitises, bénéficiant du crédit attribué aux valeurs d’authenticité, de vérité et d’émotion avec lesquelles on tend souvent à le confondre [2]. (...)
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April 29, 2011 5:07 PM
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La libre concurrence d’approches théoriques logiquement non-réfutables devrait être la norme et devrait s’exprimer également dans les discussions scientifiques. Pourtant, comme le déplore Passeron, l’interaction entre scientifiques s’effectue pour une grande part sur le mode de la réfutation catégorique, attribuant aux preuves en sciences sociales la forme rhétorique, à défaut de forme logique, des sciences nomologiques. Ceci est le reflet d’une « illusion nomologique », trace d’un naturalisme latent qui perdure dans l’appréhension générale des sciences sociales.
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April 28, 2011 5:18 PM
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Mai 2011 – Les nouvelles impressions – 24 €
En s’accordant aux multiplicités transversales de l’écriture et des opérations réflexives qui lui sont liées, le présent recueil pose le problème du style chez Deleuze suivant trois découpes connexes : entre philosophie et histoire de la philosophie, logique et esthétique, clinique et politique. L’ensemble des études ici réunies ont en commun de référer chaque fois la stylistique deleuzienne à un concept ou un cas d’analyse précis, susceptibles d’en cerner les présupposés théoriques et le mode de fonctionnement. La multiplication des perspectives devrait ainsi permettre de dégager les jalons de ce qui, dans cette pensée en acte, s’offre précisément comme méthode et pratique singulière du style, consignant par là un style de pensée spécifique : le style-Deleuze.
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May 3, 2011 4:05 PM
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lundi 23 mai 2011, 17h-20h TABLE RONDE
Michel Foucault, Leçons sur la volonté de savoir. Cours au Collège de France (1970-1971)
introduite par Daniel Defert (Université Paris 8) et modérée par Arnold I. Davidson (University of Chicago)
avec J.-F. Braunstein (Université Paris 1), M. Potte-Bonneville (CIPh), J. Revel (Université Paris 1)
Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne: 17, rue de la Sorbonne, 75005 Paris - Salle Cavaillès
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May 2, 2011 11:44 PM
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5ème FESTIVAL PHILOSOPHIA : 27, 28 et 29 Mai 2011
Pour le plaisir d'apprendre et de comprendre, Saint-Émilion devient, pendant un week-end, une vaste agora où chacun trouve, quelque soit sa formation et son âge (dès 7 ans), des sujets de réflexion et de découverte.
Un format volontairement festif pour susciter la curiosité et sensibiliser à la philosophie tous les publics. Des conférences sont également proposées pour des publics plus avertis
Les conférenciers, philosophes, mais aussi scientifiques, architectes, géographes ou artistes suggèrent des pistes et répondent aux questions du public au cours d'une vingtaine de conférences, de rencontres, d'ateliers et de débats. Autant d'approches qui viennent soutenir et enrichir le propos philosophique.
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May 2, 2011 4:05 PM
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À propos de : F. Lordon, Capitalisme, désir et servitude. Marx et Spinoza, La Fabrique.
En quoi Marx et Spinoza peuvent-ils encore nous servir à penser la servitude dans le capitalisme actuel ? En injectant les logiques affectives dans l’analyse du travail salarié, répond Frédéric Lordon, qui entend ainsi renouveler, voire contester, le concept d’aliénation.
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May 2, 2011 3:21 PM
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Poésie et philosophie entretiennent dès l'origine des rapports quelque peu ambigus ; il s'agit d'une relation de couple difficile fondée sur une dissension radicale, préservant malgré tout une sorte de perspective commune, voire un secret désir d'unité. Si, historiquement, la philosophie se définit semble-t-il contre la poésie, il n’en reste pas moins qu’elle commence avec elle, et qu’elle ne s’en dégage que progressivement et jamais totalement. (...)
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May 1, 2011 1:54 PM
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Le formel face à l’histoire, la technologie et la matérialité.
Atelier des 22èmes Journées Francophone d’Ingénierie des Connaissances, 2 demi-journées, 16 mai 2011, Chambéry (infos pratiques) Appel à communication (...)
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May 1, 2011 1:19 PM
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Discussion sur les épistémès africaines…
Rendez-vous le 21 mai à partir de 14h
Lieu : Ageca 177 rue de Charonne 75011 Paris Métro : Charonne, Philippe Auguste ou Alexandre Dumas
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May 1, 2011 12:27 AM
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L'Italienne Andrea Bellantone souligne la difficile relation entre intellectuels français et allemands.
La relation compliquée - entre fascination et méfiance - des intellectuels français à l'égard de la philosophie allemande a une longue histoire. Le cas de la réception de Hegel est, à cet égard, exemplaire, comme le montre le livre d'Andrea Bellantone, Hegel en France.
Dans les premières années du XIXe siècle, alors que Hegel s'impose sur la scène philosophique allemande qu'il dominera jusqu'à sa mort en 1831, la philosophie française, longtemps influencée par la philosophie anglaise qui a été l'une des principales sources d'inspiration des Lumières, se cherche de nouvelles références et se tourne vers l'Allemagne.
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April 30, 2011 1:51 AM
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De 1970 à 1974, Jean-Paul Sartre, qui s'y était jusqu'alors toujours refusé, accepta de se confier en vue d'une biographie. Celle-ci ne vit jamais le jour, mais donna lieu à une extraordinaire série d'entretiens entre le philosophe au faîte de sa gloire et John Gerassi, fils d'un couple d'amis de longue date.
C'est un homme âgé et malade qui parle, mais ses capacités d'analyse, sa franchise, ses convictions, et surtout son humour, sont intacts. Sartre, saisi dans la vérité et le grain inimitable de sa voix, se montre tour à tour facétieux, percutant, catégorique ou rongé de doutes, enthousiaste ou mélancolique, toujours brillant. Il s'y révèle sans tabou, par-delà la légende, et aborde tous les sujets : l'enfance, la mère, la guerre, le « pacte » avec Simone de Beauvoir et les « amours contingentes », l'écriture, la drogue, l'engagement.
Demeuré inédit pendant près de quarante ans, ce document unique - plusieurs dizaines d'heures de conversation, retranscrites sur plus de 2 000 pages, dont John Gerassi a tiré les moments les plus forts - esquisse ainsi, en filigrane, l'autobiographie que Sartre n'écrivit jamais. Bilan d'un destin d'exception, c'est aussi la radiographie d'un siècle dont il fut l'un des acteurs et témoins majeurs.
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April 30, 2011 1:50 AM
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Prendre « comme point de départ de notre recherche et de la définition de l'esthétique le fait fondamental de la rencontre ou de la communion entre l'artiste ou l'observateur et un certain objet, en particulier une oeuvre d'art », tel est le parti-pris de l'esthétique phénoménologique développée par Roman Ingarden.
Philosophe polonais et disciple d'Edmund Husserl, Ingarden envisage la relation à l'oeuvre d'art comme une expérience menée dans un échange réciproque et continu avec l'objet. Il défend ainsi une esthétique qui n'est ni purement subjectiviste en ce qu'elle n'est en rien réductible aux sentiments émotionnels d'un sujet, ni purement objectiviste en ce que les déterminations réelles et matérielles de l'oeuvre donnée exigent la participation intentionnelle du spectateur pour s'accomplir en manifestation intuitive concrète.
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April 30, 2011 12:25 AM
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Comme tout savoir, l’historiographie s’organise autour de concepts constituants, permettant un jeu de différenciations et de comparaisons qui déterminent des possibilités d’interprétation. La mise en jeu de ces concepts, qui renvoient aux réseaux de concepts des théories contemporaines et dans une certaine mesure aussi aux convictions personnelles des historiens, reconfigure le passé en fonction de notre actualité et doit faire l’objet d’une enquête épistémologique spécifique. L’Institut Historique Allemand de Paris envisage de mettre en place une telle plate-forme d’échanges et de rencontres entre l’historiographie, la philosophie et les sciences sociales.
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April 29, 2011 5:10 PM
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Lucas Thorpe donnera à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne d'une part un séminaire doctoral (deux séances) "Constructivist Readings of Kant’s Ethics" et d'autre part une conférence publique sur le sujet suivant : "The Skeptical Challenge of Experimental Philosophy, Williamson's Expertise Defence, and the Epistemic Value of the History of Philosophy"...
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April 29, 2011 12:47 AM
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Séminaire transdisciplinaire Organisation : Julien Labia (Philosophie, Paris IV) et Charlotte Loriot (Musicologie, Paris IV), avec le soutien de Jacqueline Lichtenstein et de Jean-Pierre Bartoli
Vendredi 29 avril Angelos TRIANTAFYLLOU (Versailles), « Alain Badiou : " La musique m’intimide " ». François BALANCHE (Montréal / EHESS), « Du langage au langage musical : Boucourechliev lecteur de Barthes ». Bruno MOYSAN (IEP), « La musicologie devant la philosophie ou comment ne pas faire de la confrontation seulement de… l’esthétique ».
Vendredi 6 mai Rémy STRICKER (CNSMDP), « Interprétation et pensée complexe (Edgar Morin) ». Alessandro BERTINETTO (Università di Udine), « Musical ontology and improvisation ». Julien SEGOL (EHESS / CNSMDP), « Oedipus Rex de Stravinsky à la Krolloper de Berlin : une réception allemande ».
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