Ces nouveaux services, qui parfois laissent perplexes les clients quant à la nature du lien entre banque et téléphonie, semblent cependant jouer un effet positif sur la banque. Par cette activité, ces établissements se construisent une nouvelle image : plus moderne, plus innovatrice et donc plus jeune !
Cela a pour effet de séduire une clientèle plus jeune, celle-là même qui est consommatrice de Smartphones, dont l’essor impact directement le développement du m-commerce. De plus, alors qu’il est très complexe de débaucher les clients d’un établissement concurrent, la téléphonie répond à l’objectif numéro 1 des banques : attirer de nouveaux consommateurs.
Des consommateurs qui n’ont pas encore choisi la banque avec laquelle ils vont réaliser des placements, des emprunts : des consommateurs jeunes. Ainsi, tout finit par se rejoindre et s’assembler dans une stratégie parfaitement efficace et bien rodée où l’avenir semble lier notre mobile à notre porte-monnaie..
M-Commerce is a multi-billion dollar business, and businesses recently realize that to stay competitive and enjoy record earnings M-Commerce is vital to their success. The ability to utilize all that mobile processing offers, including the ability to turn a cell phone into a mobile processing billing system, allows businesses to generate record earnings, even in today's economy. In fact, Gwenn Bezard of the Aite Group recently stated, "We expect the point-of-sale mobile payments market in the U.S. to grow to $55 billion by 2015, up from an estimated $1B in 2010."
CellCharge, Inc. (http://www.cellcharge.com), a leader in merchant account processing by phone, is proud to make that even easier with the recent release of CellCharge 2.0. CellCharge 2.0 is a mobile processing system that enables businesses to turn their cell phone into a mobile payment device, and features not only the ability to accept credit card payments over the phone, but also the ability to swipe those cards on certain smart phones.
Business - Le leader mondial du e-commerce consolide ses actifs sur le m-commerce en rachetant un service de la géolocalisation de commerces et de publicité sur mobile.
Quelques jours après le rachat de GSI Commerce pour 2,4 milliards de dollars, eBay renforce sa position sur le m-commerce avec l'acquisition de Where, une société qui propose un service de géolocalisation (de restaurants, bars, ,etc) et de publicité locale sur téléphones mobiles. Le montant de la transaction n'est pas communiqué.
Créé en 2004, basée à Boston, Where a levé 19 millions de dollars pour son développement et annonce 120 000 clients (boutiques, marques, etc) pour son service disponible pour Android, Blackberry, iPhone, Palm et Windoxs Phone. Côté publicité, elle revendique 2 milliards d'impressions mensuelles délivrées à une audience de 4 millions d'utilisateurs actifs par mois en Amérique du nord.
PayPal, le célèbre service de paiement en ligne, semble être très optimiste quant à ses chiffres d’affaires vis-à-vis de l’essor du paiement via les téléphones portables. Alors que le volume des achats via PayPal sur mobile au niveau mondial était de 140 millions de dollars en 2009 et de 750 millions de dollars en 2010, la société a tout récemment laissé entendre que le chiffre d’affaires de cette année devrait atteindre les 2 milliards de dollars, soit une croissance de 167 %.
| Le Blog de l'Agence Like Interactive : ” En quelques années, le téléphone mobile s’est imposé comme un élément indispensable de la vie quotidienne. Il accompagne chaque utilisateur à tout moment. Et cette tendance n’est pas finie : sous l’impulsion du développement conjugué des réseaux 3G et des Smartohones, l’usage de l’internet mobile continue de s’accélérer.
Ce succès d’usage répond à un besoin d’instantanéité, d’information, de loisirs, de communication et d’utilité. Il permet le développement de nouvelles offres de contenu spécialement adaptées à l’écran du mobile. ” (Source : Médiamétrie / NetRatings )
Alors quelles sont les cinq étapes pour réussir dans le m-commerce ?
Ainsi, Burberry devient la première maison de luxe à se lancer dans le m-commerce, shopping sur mobile. Avec cette application pour iPhone et Android, Burberry présente sa collection printemps/été de prêt-à-porter Homme, Femme et Enfant, au sein de laquelle on peut naviguer. Chaque article fait l’objet d’une fiche détaillée et précise qui permet aussi de partager ses coups de coeur avec ses amis sur Facebook, Twitter et par e-Mail. Et après avoir rempli votre panier, un petit clic et votre séance shopping a été très efficace !
Quelles seront les marques qui vont suivre cette innovation Burberry sur iPhone et Android ? les paris sont ouverts…
La marque de sportswear s'appuie sur la plate-forme de commerce Demandware pour offrir aux consommateurs une interface cohérente sur le Web et sur les mobiles
Demandware, Inc., l’un des premiers acteurs mondiaux du e-commerce dans le Cloud, annonce que la marque de sportswear Tory Burch a officiellement relancé son site www.toryburch.com en s’appuyant sur la plate-forme de commerce Demandware®. Combinant le e-commerce avec son contenu éditorial et les médias sociaux, le nouveau site reflète le style et la personnalité de la directrice et fondatrice éponyme de la marque, tout en optimisant le service proposé à la clientèle. Parallèlement au lancement de son nouveau site de e-commerce, Tory Burch a dévoilé un site pour mobiles riche en fonctionnalités, exploitant l’application de e-commerce mobile de Demandware. L’unification de l’environnement entre la boutique mobile et la boutique Web offre aux consommateurs une interface transparente et cohérente dans leur parcours d’achat. (...)
Les fans de la marque ne tarissent pas d’éloges à propos du nouveau site sur les pages Facebook et Twitter de Tory Burch, soulignant la rapidité des transactions et la facilité de navigation. (...)
98% des e-commerçants devraient être pérsents sur Facebook d'ici à la fin de l'année, selon une étude de CCM-Benchmark. Mais très peu prévoient un site transactionnel.
98% des marchands en ligne seront présents sur le réseau social Facebook cette année, mais très peu d'entre eux y réaliseront des ventes, selon une étude publiée jeudi par CCM Benchmark Etudes. "A ce jour, la quasi-totalité des initiatives e-commerce sur Facebook se limitent à la publication de produits sur la page du distributeur avant de rediriger l'internaute vers le site d'e-commerce. Facebook est donc pour le moment surtout un pourvoyeur de trafic", indique l'étude.
Elle signale deux exceptions en France, Pixmania et la Redoute, qui "ont intégré le paiement sur le réseau social". Sur Facebook, 77% des sites n'ont pas prévu l'utilisation de dispositifs transactionnels.
En ce qui concerne le m-commerce (sur mobile), le nombre de sites devrait doubler cette année: 22% disposent d'un site ou d'une application transactionels et 22% l'ont prévu pour 2011. "Pour les acteurs qui le proposent, le m-commerce ne représente encore qu'une part infime du total des ventes: entre 0,2 et 1,1% du chiffre d'affaires internet. Seuls quelques acteurs comme Vente-privee.com ou eBay réalisent une part substantielle de leur chiffre d'affaires sur mobile", ajoute l'étude.
Cette étude a été réalisée en janvier et février avec les responsables de 57 sites de e-commerce, et trois plateformes fédérant 10 000 e-commerçants.
Google vient de publier une étude qui affirme que les tablettes remplacent non seulement les ordinateurs, mais aussi les téléviseurs, et autres supports multimédias.
Ce qui est intéressant, c’est que le sondage montre aussi que depuis l’obtention d’une ardoise, l’usage d’un livre papier, de la radio, d’un smartphone et même de la télévision est délaissé au profit de la tablette, probablement parce qu’elle peut unifier tous ces usages.
L’iPad n’a qu’un an. Néanmoins, Google estime que c’est une étude importante qui montre que la publicité sur tablette est une priorité.
Avec le développement des smartphones, le mobile ne doit plus être considéré uniquement comme un canal de communication client. Il s’impose effectivement de plus en plus comme un canal de vente efficace. Renforcer le lien entre les canaux existants tels que les magasins physiques, en ligne, et désormais le mobile, permet aux clients de commencer leur shopping en utilisant leurs smartphones et de finaliser leurs achats en ligne, via un centre d’appel, dans un magasin ou bien sur le terminal lui-même.
Voici donc cinq étapes clés pour mettre en œuvre un M-commerce efficace.
- Créer des sites mobiles conviviaux et assurer la compatibilité des applications mobiles - Utiliser des fonctionnalités avancées de recherche et de navigation - Personnaliser l’expérience consommateur avec votre entreprise - Capitaliser sur les services basés sur la localisation - Générer et autoriser les codes barres mobiles
- La Tribune.fr L'usage de l'Internet mobile n'est plus l'apanage de quelques privilégiés ou technophiles, comme le montre la troisième édition de l'Observatoire des usages mobiles réalisée par GroupM (WPP) pour SFR Régie. Un possesseur de téléphone portable sur deux en France s'est déjà connecté à l'Internet depuis son mobile (51 % contre 40 % il y a un an), notamment parce que les abonnements le permettant se généralisent (50 % contre 45 %), y compris en accès illimité (26 % contre 10 % seulement il y a deux ans).
Selon cette enquête, réalisée en ligne fin janvier auprès d'un millier de personnes de 16 à 65 ans, le nombre de « mobinautes » assidus explose : désormais 11,4 millions de Français surfent au moins une fois par semaine depuis leur téléphone, soit un sur trois contre moins d'un sur quatre en 2010. Les moins de 24 ans sont les plus gros consommateurs d'Internet mobile : ils sont un tiers à se connecter tous les jours. La fréquence d'usage a doublé, passant en moyenne de 3,4 connexions par jour contre 1,6 un an plus tôt. Les mobinautes visitent 4,8 sites par jour et utilisent 4,1 applications. Le nombre d'applications possédées a également doublé en un an, pour atteindre en moyenne 20,6 gratuites et 3,2 payantes.
Parmi les cinq applications les plus utilisées, celles de médias sont plébiscitées (17 %), juste devant celles fournissant des informations pratiques, météo et trafic (16 %). Celles des réseaux sociaux arrivent en bonne place (13 %), de même que les utilitaires (11 %) et les jeux (9 %), loin devant les cartes (6 %) ou les comptes bancaires (4 %).
Dans 2 mois, voila ce que nous réserve une directive sur le droit des consommateurs du Parlement européen du 24 mars 2011 sur une augmentation du délai de rétractation et sur l’obligation de remboursement :
- Une augmentation du délai de rétractation est prévue par cette directive européenne : De 7 jours, il passera à 14, à cette première période s’ajoutent 14 autres jours pour renvoyer sa commande pour l’acheteur. - la prise en charge du remboursement des frais de port d’origines par le commerçant en cas de retour pour des commandes au delà de 40€. A cette somme s’ajoute les frais de réexpédition de la marchandise.
- Marketing Professionnel Avec Thank you Charlie, vous pouvez vous trouver à l’autre bout de la planète et offrir un vrai cadeau à quelqu’un de façon instantanée et simple, par SMS. Précisions sur cette application relevant du m-commerce avec Olivier Chanut, directeur général de Dakota. Comment Thank you Charlie fonctionne-t-il « côté utilisateur » ? (...) Comment les marques peuvent-elles l’utiliser : promo, conquête, fidélisation… ? (...)
Le fameux label « Vu à la télé » ne suffirait-il plus ? D’après un sondage réalisé par la régie publicitaire de TF1 (1ère chaine TV privée française), 77% des téléspectateurs sont prêts à aller sur un site web pour obtenir plus d’informations sur les produits « vus à la télé ». Comme si les chiffres satisfaisants de la e-publicité ne suffisaient plus (cf. notre article ici), TF1 Publicité propose donc dorénavant à ses annonceurs de tagger certains spots avec un petit pictogramme qui renvoie sur leur plateforme web, TF1conso.fr.
Comme chaque trimestre, Médiamétrie NetRatings et la Fevad viennent de publier le classement d’audience des quinze premiers sites d’e-commerce, tous secteurs confondus.
Au 4ème trimestre 2010, plus de 2 internautes sur 3 (67,6%) ont consulté, en moyenne chaque mois, au moins un des sites du Top 15 e-commerce. Au total, ce sont près de 28 millions d’internautes qui ont consulté un de ces sites au cours de cette période (27 726 000). L’audience des sites du classement progresse de 7% par rapport au 4ème trimestre 2009.
- Les SMS marketing proposant des offres promotionnelles
- La géo localisation : indique s’il y a des promos quand on passe près du magasin
- Les réseaux sociaux
les réseaux sociaux peuvent être un bon moyen de faire connaitre votre société notamment sur Facebook, qui est l’application la plus utilisée sur les mobiles, ou Twitter.
Certaines enseignes comme Starbucks Coffe, a lancée une opération de fidélisation via une l’application mobile Facebook Place: Chaque personne obtient des points en faisant un tag de la boutique via leur mobile. La personne ayant obtenu le plus de points bénéféciera de remises sur les différents produits starbucks proposés.
Le marketing via SMS n’est pas en reste, car 40% des personnes interrogées aiment l’idée d’être informé des bons plans à proximité, d’où l’importance de la géo localisation et du SMS Marketing !
Variez donc vos canaux de diffusion ! Pensez Mobile !
| Le Blog de l'Agence Like Interactive : ” A l’heure où la téléphonie mobile poursuit donc sa progression, les entreprises doivent passer d’actions ponctuelles en matière de marketing mobile à une approche plus stratégique et plus intégrée. Malgré certaines difficultés apparentes, le marketing mobile représente une opportunité de taille pour créer des dialogues interactifs avec les clients. Bien maîtrisé et adapté, le marketing mobile peut facilement devenir un canal de communication privilégié. ” (Source : Marketing professionnel)
Alors, voici quelques conseils pour réussir dans le marketing mobile : (...)
« Pour simplifier la vie de nos clients, nous avons intégré la reconnaissance des photos du catalogue qui permet à un utilisateur de smartphone de se retrouver directement sur la fiche du produit afin de passer commande » se réjouit Emilie Dédès, responsable pôle projets e&m-commerce à La Redoute.
La Redoute est une entreprise vieille de 80 ans et née à Roubaix, dans le Nord de la France, spécialisée dans la vente à distance. Après avoir été précurseur de l'e-commerce, La Redoute se lance dans le m-commerce, spécialement sur smartphones. Une application iPhone est sortie en mars 2010. Pour plus facilement trouver un article qu'avec un moteur de recherche multi-critères où la saisie reste délicate, La Redoute a mis en place une reconnaissance des photos du catalogue papier afin d'accéder directement à la fiche des produits à commander.
D'autres projets sont encore en attente pour faciliter la vie des utilisateurs.
L’année 2011 du e-commerce sera marquée par la montée en puissance du référencement et des réseaux sociaux, selon le cabinet d’étude Benchmark, qui s’attend à voir le marché atteindre les 29,8 milliards d’euros en 2015, contre 18,1 l’an passé.
Réalisée auprès de 57 sites et 3 plateformes, l’étude souligne que si 42% des sites ont un chiffre d’affaires compris entre 15 000 et 100 000 euros, les sites dépassant les 15 millions de chiffre d’affaires représentent 96% des gains générés par le secteur. "Sur les petits sites, la croissance tourne autour des 100%", explique ainsi Nicolas Garmy, analyste senior de Benchmark. "La part de marché des gros sites a tendance à baisser face à eux, mais de manière infime au regard de leur forte activité".
Le poids de l’achat en ligne de textile dans la consommation des Français a atteint le niveau record de 6% en 2010, bien que le chiffre d’affaires du secteur soit en retrait. Et si l’étude ne montre pas d’évolution criante des leviers publicitaires utilisés entre 2010 et 2011, elle souligne l’intérêt croissant pour les prestations de référencement, utilisées cette année par 72% des sites contre 57 l’an passé. "Plus on avance, et plus les sites ont recours à des prestataires externes pour acquérir du trafic à moindre coût, et être moins dépendant de l’inflation touchant l’achat de mots clés".
Les m-commerce et f-commerce restent embryonnaires Les annonces via Facebook se multiplient elles aussi, la part des sites y ayant recours passant de 42 à 51% en un an. En 2011, quelque 98% des sites seront présents sur Facebook, contre 89% l’an passé. Et près de 73% seront sur Twitter, dont le taux de pénétration est pourtant bien moindre. Quant aux transactions via Facebook, elles restent pour l’heure limitées à 3% d’acteurs clés, tandis que 77% des sites n’envisagent même pas de s’y convertir.
Quant à la présence des marques sur les téléphones, elle pourrait bien voir les applications être délaissées au profit des sites dédiés au mobile. Les applications étant soumises aux systèmes d’exploitation des téléphones, les sites mobiles permettent en effet de contourner le coûteux développement de multiples applications. Pour l’heure, quelque 42% des marques ont une application Iphone, contre 8% pour Android, qui devient cependant le système d’exploitation le plus courtisé. Quant au m-commerce, si 22% des sites s’y sont déjà convertis, 35% des acteurs interrogés n’ont pas encore prévu de s’y frotter.
Le monde de la distribution vu par I-COM Software:
Les outils sont aujourd’hui nombreux pour se lancer dans le e-commerce… certains diront que c’est même un peu (beaucoup ?) la jungle. Et que dire dans le cas où l’entrepreneur répugne à se plonger dans la technique mais qu’au contraire il préfère consacrer l’essentiel de son temps aux aspects marketing et stratégiques !
Nous parlerons peu de technique dans ce billet mais davantage des sujets qu’il faut traiter lors du lancement d’un site e-commerce. Nous aborderons ces points au travers de l’expérience de la société Yodatek dirigée par M. Laurent Mairet, qui a choisi de s’appuyer sur l’outil Channel-Portal.
Dans 2 mois, voila ce que nous réserve une directive sur le droit des consommateurs du Parlement européen du 24 mars 2011 sur une augmentation du délai de rétractation et sur l'obligation de remboursement :
- Une augmentation du délai de rétractation est prévue par cette directive européenne : De 7 jours, il passera à 14, à cette première période s'ajoutent 14 autres jours pour renvoyer sa commande pour l'acheteur. - la prise en charge du remboursement des frais de port d'origine par le commerçant en cas de retour pour des commandes au delà de 40€. A cette somme s'ajoutent les frais de réexpédition de la marchandise.
- QUELS SONT LES RISQUES POUR LES ECOMMERCANTS ? Un client pourra donc commander 10 produits, voire plus, dans une même commande et en renvoyer 9 au frais du ecommerçant sans que celui-ci puisse contrôler l'état de la marchandise retournée puisqu'il aura obligation de procéder au remboursement dès que le client l'aura informé de sa rétractation, c'est-à-dire dans le premier délai de 14 jours.
- A défaut d'informer le consommateur de ces délais lors de la finalisation de la vente, le délai sera porté à 1 an.
En Allemagne où l'on pratique déjà ces délais de rétractation, les retours de marchandise ont augmenté de 30%. Les consommateurs seront encouragés à commander plusieurs produits à la fois "sans réelle intention d'acheter".
- Les enchères faites sur les sites de ventes aux enchères pour des produits vendus par un vendeur professionnel pourront être annulées. - Il est aussi question de rendre obligatoire le double-clic pour recueillir le consentement du client lors de la finalisation de la vente et de rendre obligatoire la livraison de marchandise vers tous les pays membres de l'Union Européenne...
- Journal du Net e-Business : La société commune des opérateurs mobile français devient un établissement de paiement.
Créée à parts égales par Orange, SFR, Bouygues Télécom et Atos, Buyster vient d'obtenir un agrément définitif de la part de la Banque de France en tant qu'établissement de paiement. Cet agrément permettra à la société de gérer des ordres de paiement pour le compte de marchands en ligne, sur le Web fxe et mobile.
La solution devrait voir le jour cet été et nourrit notamment de fortes ambitions dans le m-commerce. Lors de son inscription au service, le consommateur devra associer son numéro de téléphone portable à son numéro de carte bancaire. Au moment d'acheter en ligne, il devra entrer son numéro de téléphone avec un mot de passe pour recevoir par SMS un code valable une seule fois. Depuis un mobile, l'opération est simplifiée puisque l'opérateur connaît le numéro. Ce service n'est d'ailleurs pas limité aux clients directs des trois opérateurs et sera aussi ouvert à ceux des MVNO.
- TAHITI INFOS PARIS, 9 avril 2011 (AFP) - L'opposition entre le commerce traditionnel et le commerce en ligne ne reflète plus la réalité d'un commerce qui devient de plus en plus multiple, avec des usages émergents induits par les nouvelles technologies.
Les néologismes dérivés du e-commerce témoignent de cette mutation: m-commerce (sur mobile), social commerce (sur les réseaux sociaux), f-commerce (sur Facebook), t-commerce (sur tablette, type iPad), l-commerce (local)...
"Effectivement, tous les trois-quatre mois, on sort un nouveau terme", confie Yann Franc, consultant à Kurt Salmon. Derrière ces mots, "il y a de nouvelles choses qui se développent, un réel business, des enjeux pour les entreprises".
Il faut donc "définir clairement le rôle de chaque canal de vente et le mode de consommation, les schémas de prescription commerciale, qui vont évoluer mécaniquement avec tous ces nouveaux modèles de commerce", indique-t-il.
Certes, aucun de ces nouveaux modes de consommation n'arrive à la cheville du e-commerce, qui a généré l'année dernière des ventes pour 31 milliards d'euros en France (+24% sur un an), selon les chiffres de la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad).
Mais avec plus de 10 millions de Français équipés de "smartphones", le m-commerce commence à devenir une réalité économique: le site venteprivee.com réalise par exemple 6% de son chiffre d'affaires via le mobile et gagne un demi-point par mois, selon Xavier Court, cofondateur, en charge du développement.
Dans le "social commerce", de premières initiatives apparaissent: La Redoute, par exemple, a lancé une boutique marchande directement sur Facebook.
"Jusqu'à présent, le site internet d'un marchand était un site de destination, avec plein de liens qui pointaient vers lui afin d'y attirer du trafic", explique Catherine Barba, présidente de l'agence de conseil internet Malinea.
"Ce que les réseaux sociaux bouleversent, c'est que le e-commerce devient très fragmenté", ajoute-t-elle: "les marchands, en plus de leur site, peuvent avoir un corner sur un blog, une page Facebook..". Ils doivent désormais "multiplier les points d'ancrage sur la Toile pour exister et être à des endroits de rencontre avec les internautes".
Quel est le chiffre d'affaires des 50 premiers e-marchands français ? Le JDN a analysé le Top 300 Europe d'Internet Retailer.
De son Top 300 des plus gros e-commerçants d'Europe en chiffre d'affaires, "Internet Retailer" extrait le classement des acteurs français, que nous reproduisons ici. La publication américaine estime que les acteurs français de l'e-commerce totalisent 10,972 millions d'euros de ventes en ligne en 2010 contre 9,703 millions en 2009, en croissance de 13,07 %.
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