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November 16, 5:19 PM
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Le concours International Genetic Engineering Machine (iGEM) est le plus grand concours mondial de biologie synthétique. L’Exposition mondiale de biologie synthétique s’est déroulée cette année du 28 au 31 octobre 2025 à Paris. Au cours de ce jamboree iGEM 2025, Anchita Sharma a remporté le Best In-Person Rookie Judge Award. Ce prix récompense les juges novices qui font preuve d’un engagement exceptionnel pendant le concours. Plus de 400 juges ont participé et évalué les équipes et les projets du monde entier! Anchita, doctorante boursière Eiffel au sein de l’équipe de Cellular Computing de l’Institut Micalis (INRAE/AgroParisTech/UPSaclay, Jouy-en-Josas), travaille sur l’interférence CRISPR pour réguler la communication basée sur l’ADN dans les circuits synthétiques multicellulaires, sous la co-supervision de Manish Kushwaha (Micalis) et Guillermo Rodrigo (I2SysBio, Valence). De plus, Manish Kushwaha a animé une table ronde sur les « Systèmes sans cellules pour une innovation rapide » lors du jamboree, et plusieurs membres de l’équipe de Cellular Computing ont participé en tant que juges et bénévoles. -> Contact : anchita.sharma@inrae.fr
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November 16, 4:23 PM
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Basée aux États-Unis, la Prostate Cancer Foundation figure parmi les organismes les plus influents au monde dans la recherche sur le cancer de la prostate. Elle a remis à la Dr Alice Bernard-Tessier, oncologue à Gustave Roussy et actuellement aux États-Unis dans le cadre d’un partenariat avec le Dana Farber Cancer Institute, un Young Investigator Award. Ce prix, attribué pour la première fois à un chercheur français, distingue son projet de recherche visant à mieux comprendre les mécanismes de résistance à une thérapie ciblée afin de développer de nouvelles stratégies thérapeutiques. Lire la suite de l’Actu Gustave Roussy -> Contact : alice.bernard-tessier@gustaveroussy.fr
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November 12, 4:35 PM
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Bernard Maillère, élu membre correspondant de l’Académie Nationale de Pharmacie
Bernard Maillère du Département Médicaments et Technologies pour la Santé - DMTS (UPSaclay/CEA-Joliot/DMTS/SIMoS, Gif-sur-Yvette) a été élu membre correspondant de la troisième section (Sciences biologiques appliquées à la santé humaine) de l’Académie nationale de Pharmacie lors de l’assemblée générale du 24 septembre dernier Entré au CEA en 1992, Bernard Maillère a obtenu son diplôme d’ingénieur de l’AgroParisTech en 1987, son doctorat de l’AgroParisTech en Immunologie en 1992 et son habilitation de l’université de Paris-Saclay en 2000. Spécialiste du système HLA et de la réponse des lymphocytes T chez l’homme, il a focalisé ses travaux depuis 2008 sur le problème des réponses immunitaires non désirées contre les biomédicaments (anticorps, protéines et nanobodies thérapeutiques) afin de mieux les maitriser. Depuis 2016, son laboratoire d’Immunologie Cellulaire et Biotechnologie a également intégré des activités de recherche en ingénierie des anticorps et des cellules immunitaires. Bernard Maillère est responsable du pôle immunologie/biothérapie de l’école doctorale Innovation thérapeutique : du fondamental à l'appliqué de l’Université de Paris Saclay. Il coordonne plusieurs projets dont le projet ACCREDIA sur la dévelopabilité des anticorps thérapeutiques dans le cadre du PEPR Biothérapies et Bioproduction de Thérapies Innovantes des investissements d’avenir France 2030 -> Contact : bernard.maillere@cea.fr
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November 5, 4:35 PM
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La Pr Nathalie Chaput-Gras et le Dr David Castel, tous deux chercheurs à Gustave Roussy, figurent parmi les lauréats du 14e appel à projets de la Fondation Bristol Myers Squibb pour la recherche en immuno-oncologie. Depuis 2015, la Fondation Bristol Myers Squibb soutient la recherche en immuno-oncologie en France afin d’améliorer la prise en charge des patients traités par immunothérapie et de développer de nouvelles connaissances. Un comité scientifique indépendant sélectionne chaque année une dizaine de projets en recherche fondamentale, recherche clinique et translationnelle, recherche en oncologie pédiatrique et recherche en santé publique et parcours de soins. Parmi les lauréats de cette année figurent deux chercheurs de Gustave Roussy, qui vont ainsi voir leur projet soutenu financièrement par la Fondation BMS : - Pr Nathalie Chaput-Gras - Ciblage des lymphocytes T sénescents (Tsen) pour améliorer l’efficacité de l’immunothérapie en oncologie ; Axe recherche clinique et translationnelle
- Dr David Castel - Syngenic-DMG : une plateforme d’étude pour analyser les interactions longitudinales entre la tumeur et le microenvironnement immunitaire dans les gliomes diffus de la ligne médiane pédiatriques ; Axe recherche en oncologie pédiatrique
Lire la suite de l'Actu Gustave Roussy -> Contact : nathalie.chaput@gustaveroussy.fr / david.castel@gustaveroussy.fr
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November 5, 9:55 AM
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Pour se défendre des insectes, certaines plantes ont concocté des toxines qu'elles sécrètent, mais l'aleurode du tabac, un petit hémiptère, a réussi à voler le matériel génétique qui code pour l'antidote. Ce larcin lui permet aujourd'hui de se nourrir de plus de 900 plantes différentes. Avec En l'état actuel de nos connaissances, l'aleurode du tabac est la championne du monde animal pour voler des gènes aux plantes. On a retrouvé dans son matériel génétique 49 gènes qui proviennent de différentes plantes et ont été acquis par transfert horizontal de gènes — un mécanisme biologique permettant des échanges génétiques entre des individus qui ne sont pas parents, qui est très courant dans le monde bactérien, mais joue aussi un rôle dans le monde animal et végétal. Le portrait de notre cleptomane à six pattes est le suivant : hémiptère, c'est-à-dire insecte de la même famille que les punaises ; corps vert et ailes blanches ; long d'environ un millimètre ; polyphages, c'est-à-dire capable de manger des aliments très variés (l'aleurode du tabac peut se nourrir de plusieurs centaines de plantes, dont certaines plantes de culture et ornementale, et il est ainsi considéré comme l'un des plus grands ravageurs du monde). Le larcin génétique commis par cet insecte n'est pas sans intérêt. Certains des gènes dérobés aux plantes permettent à l'aleurode du tabac d'être immunisé contre les toxines de défenses sécrétées par les végétaux dont il se nourrit. Ecouter ou réécouter le podcast -> Contact : clement.gilbert1@universite-paris-saclay.fr
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October 22, 12:57 PM
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Avec ses 38 hôpitaux, ses six groupes hospitalo-universitaires (GHU), ses 80 départements médico-universitaires (DMU) et ses 778 services, l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP) assure chaque année la prise en charge continue de près de 8 millions de patients. Pour récompenser les hommes et les femmes qui s’engagent au quotidien auprès de leurs patients, la Fondation de l’AP-HP a décerné, vendredi 17 octobre, ses trois prix scientifiques à deux professeur·es et une infirmière, dont le professeur Marc Humbert. Doyen de la Faculté de médecine de l’Université Paris-Saclay, directeur de l’unité Hypertension pulmonaire : physiopathologie et innovation thérapeutique (HPPIT – Univ. Paris-Saclay/Inserm), chef du service de pneumologie et soins intensifs respiratoires de l’hôpital Bicêtre AP-HP, ancien Président de la Société européenne des maladies respiratoires (ERS), Marc Humbert a reçu le Grand Prix de la Fondation de l’AP-HP pour l’ensemble de sa carrière. Formé à l’Université Paris-Sud (aujourd’hui Université Paris-Saclay), Marc Humbert s’est spécialisé en pneumologie et en soins intensifs respiratoires sous la direction des Professeurs Pierre Duroux et Gérald Simonneau à l’hôpital Antoine-Béclère AP-HP. Après l’obtention de son Diplôme d’Études Spécialisées en pneumologie et d’un doctorat en immunologie, il a poursuivi sa formation par un post-doctorat dans l’équipe du Professeur Barry Kay à l’Imperial College de Londres (1993-1995), une expérience déterminante qui a orienté ses recherches vers les bases cellulaires et moléculaires des maladies pulmonaires chroniques sévères. Depuis 2010, il dirige l’unité Hypertension pulmonaire : physiopathologie et innovation thérapeutique (HPPIT – Univ. Paris-Saclay/Inserm), spécialisée dans l’innovation thérapeutique en hypertension pulmonaire. Ses responsabilités s’étendent au niveau national et international : vice-président recherche du directoire de l’AP-HP, coordonnateur de la filière des maladies respiratoires rares (RespiFIL), ou encore président de la Société européenne de pneumologie et éditeur en chef de l’European Respiratory Journal. L’excellence de ses travaux a été reconnue par de nombreuses distinctions, parmi lesquelles le Grand Prix de la Société européenne des maladies respiratoires (2024), le Prix André Cournand (Société Européenne de Pneumologie, 2006), le Prix Descartes-Huygens (Académie Royale Néerlandaise des Arts et Sciences, 2009) et le Prix Eliane et Gérard Pauthier pour la recherche sur les maladies rares (Fondation des Maladies Rares sous l’égide de la Fondation de France, 2016). Depuis plus de 30 ans, ses recherches visent à élucider les mécanismes de l’hypertension pulmonaire sévère, avec un accent particulier sur le rôle de l’inflammation et de la famille du TGF-beta dans le remodelage vasculaire pulmonaire. Ses travaux, traduits en plus de 1 000 publications et huit brevets, ont contribué de manière significative à l’évolution des recommandations thérapeutiques internationales. Le Grand Prix de la Fondation de l’AP-HP salue une carrière exceptionnelle dans l’institution et confirme une reconnaissance déjà solidement établie sur le plan national et international. -> Contact : marc.humbert@universite-paris-saclay.fr
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October 22, 12:39 PM
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Anaïs Pitto-Barry dans « brève de science » : soigner avec précision
En octobre, tous se mobilisent contre le cancer du sein. La lutte contre les cancers repose sur la prévention et des traitements de plus en plus efficaces. Anaïs Pitto-Barry, chimiste au CNRS à l’Institut Galien Paris-Saclay (IGPS, CNRS/UPSaclay, Orsay), y participe en réalisant des recherches sur de futurs médicaments, mieux ciblés grâce à l’utilisation des nanotechnologies médicales, à l’échelle de l’infiniment petit. L’interview en vidéo en résumé - Anaïs Pitto-Barry, chimiste au CNRS à l'Institut Galien Paris-Saclay, développe de nouveaux médicaments pour le traitement de maladies graves et notamment du cancer.
- Elle développe des principes actifs avec comme objectif de les transporter au bon endroit dans le corps grâce à des « véhicules » à échelle nanométrique (un nanomètre équivaut à 0,000000001 mètre).
- Un tiers des personnes atteintes de cancers subissent des chimiothérapies qui ont des effets néfastes pour le corps entier, et pas seulement pour les cellules cancéreuses. Le travail de Anaïs Pitto-Barry consiste à emmener les principes actifs sur les cellules cancéreuses, ce qui limitera les effets secondaires.
- Elle a développé des principes actifs intéressants sur le plan biologique. Aujourd’hui elle cherche à conserver leur efficacité en les greffant à des « nano-véhicules ».
Voir la vidéo -> Contact : anais.pitto-barry@universite-paris-saclay.fr
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October 18, 5:23 PM
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October 13, 3:42 PM
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Le terme “biodiversité” a été forgé en 1985 seulement. En quelques décennies il est devenu omniprésent médiatiquement, mais son sens scientifique s’est-il perdu dans cette popularisation ? Avec - Philippe Grandcolas, directeur de recherche au CNRS, directeur adjoint scientifique national pour l'écologie et l'environnement au CNRS
- Marine Fauché, professeure junior en philosophie et épistémologie de la nature au Laboratoire Ecologie Société Evolution - ESE (CNRS/UPSaclay/AgroParisTech, Gif-sur-Yvette) à l’Université Paris-Saclay
Le concept de biodiversité fait aujourd’hui partie du langage courant pourtant il n’a pas toujours existé. Il a fallu attendre 1985 pour qu’il soit forgé sous la plume d’un biologiste américain. A quels besoins répondait la fabrication de ce néologisme ? Pourquoi ce concept a-t-il connu un succès aussi important dans les médias et les discours politiques ? Et ce faisant, sa dimension scientifique s’est-elle diluée ? “Sciences Chrono” se demande aujourd’hui ce que la biodiversité a changé ou pas dans nos représentations du monde vivant et dans les pratiques de protection de la nature. Ecouter ou réécouter le podcast -> Contact : marine.fauche@universite-paris-saclay.fr
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October 9, 3:38 PM
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Il n'y a plus un endroit en France qui n’est pas investi par les vélos : vélo sur route en campagne, VTT en montagne et vélos électriques dans nos villes. Alors que les pratiques se sont largement diversifiées ces dernières décennies, le vélo s’est imposé comme un objet d’étude pour la sociologie. Avec Ecouter l’émission -> Contact : david.sayagh@universite-paris-saclay.fr
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October 9, 6:02 AM
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Cécile Courret, lauréate ATIP-Avenir, rejoint l'I2BC pour y créer son équipe
Cécile Courret, chargée de recherche CNRS et boursière ATIP-Avenir, a rejoint le Département de Biologie des Génomes de l’I2BC (CNRS/CEA/UPSaclay, Gif-sur-Yvette) pour créer son équipe « Conflits Intragénomiques et Évolution ». Les recherches de Cécile portent sur les conflits génétiques et leur impact sur l'évolution des génomes. Les principes fondamentaux de l'hérédité mendélienne stipulent que chez les individus hétérozygotes, deux allèles ont des chances égales d'être transmis à la génération suivante. Cependant, certains éléments génétiques ne suivent pas ces règles. Ces éléments génétiques dits égoïstes, tels que les transposons ou les moteurs méiotiques, biaisent l'hérédité en leur faveur, souvent au détriment de l'organisme. Parce qu'ils perturbent des processus essentiels comme la méiose, la régulation de l'hétérochromatine et la division cellulaire, les éléments égoïstes créent un conflit persistant avec le génome de l'hôte. Ce conflit déclenche une « course aux armements » évolutive, au cours de laquelle les génomes développent des mécanismes de défense pour contrebalancer les effets néfastes de ces éléments. Loin d'être des exceptions rares, ces conflits sont désormais reconnus comme une force majeure qui façonne la structure et la fonction des génomes. Les recherches de Cécile s'appuient sur le modèle de la drosophile et combinent des approches génomiques, moléculaires et cytologiques pour étudier comment les éléments égoïstes perturbent les processus biologiques fondamentaux et comment les organismes réagissent pour atténuer ces perturbations. En étudiant les systèmes où ces conflits sont encore actifs dans les populations naturelles, ainsi que les signatures génomiques laissées par les événements passés, l'équipe de Cécile vise à mieux comprendre comment les conflits stimulent l'innovation évolutive et à éclairer les bases moléculaires des mécanismes biologiques essentiels. -> Contact : cecile.courret@i2bc.paris-saclay.fr
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September 29, 11:37 AM
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À l’occasion de la journée mondiale du cœur qui se tient ce 29 septembre, nous parlons des pathologies cardiovasculaires. Ensemble de troubles affectant le cœur et les vaisseaux sanguins, les maladies cardiovasculaires représentent la principale cause de décès au niveau mondial. Or, la plupart de ces maladies pourraient être évitées en modifiant certains comportements à risque tels que le tabagisme, la mauvaise alimentation, la sédentarité... Deux cardiologues répondent à toutes les questions des auditeurs, dont Emmanuelle Berthelot. Praticienne hospitalière en cardiologie à l'Hôpital Bicêtre – AP-HP, Université Paris-Saclay, elle est autrice de l’ouvrage « 3 milliards de battements » aux éditions du Rocher. Ecouter le podcast de l’émission -> Contact : emmanuelle.berthelot@aphp.fr
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September 27, 4:03 AM
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Décerné par l'European Radiation Society, le prix Bacq et Alexander 2025 récompense Laure Sabatier, directrice de recherche au CEA, pour ses travaux remarquables dans le domaine de la radiobiologie. Laure Sabatier reçoit le prix Bacq et Alexander 2025 de l'European Radiation Research Society. Il vient récompenser une carrière scientifique significative au service de la recherche en radiobiologie. Ses principaux centres d'intérêt portent sur la transmission des dommages chromosomiques à la descendance des cellules irradiées, l'étude du maintien des télomères et le rôle de l'instabilité chromosomique dans la cancérogenèse multi-étapes. Récemment, Laure Sabatier s'est intéressée aux effets génotoxiques induits par une exposition répétée à l'IRM et a coordonné les études de génotoxicité après exposition à l'IRM la plus puissante au monde, 11,7 T. Laure Sabatier est co-auteure de plus de 170 articles scientifiques. Elle a été partenaire et coordinatrice de nombreux projets européens depuis 1992. Elle a dirigé le Laboratoire de radiobiologie et d'oncologie (LRO) de 1996 à 2015 au CEA. Elle a occupé la responsabilité du Département de biologie et de santé au ministère de la Recherche de 2010 à 2013. Nommée directrice du programme transversal de toxicologie du CEA (2013-2016), elle est aujourd'hui coordinatrice des infrastructures biologie et santé du CEA. Créé en 1996, le prix Bacq et Alexander est décerné chaque année à un chercheur européen exceptionnel afin de récompenser ses réalisations dans le domaine de la recherche sur les rayonnements. Il témoigne de l'importance de la recherche sur les rayonnements et de son impact sur notre compréhension du monde qui nous entoure. C'est la première fois qu'il est décerné à un français. -> Contact : laure.sabatier@cea.fr
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November 16, 4:38 PM
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Cette nomination intervient après 11 années de service d’Alexandre Péry, qui a exercé successivement les fonctions de directeur puis de directeur adjoint de l’école doctorale. Le professeur Rajjou reprend le périmètre des unités dont Alexandre était correspondant, notamment le suivi pédagogique et scientifiques des doctorantes et doctorants, ainsi que la coordination opérationnelle de l’école doctorale. Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, il contribuera activement au développement de l’offre de formation doctorale et participera pleinement au fonctionnement de la direction de l’école doctorales ABIES. Professeur de biologie végétale à AgroParisTech, le professeur Rajjou conduit ses activités de recherche au sein de l’Institut Jean-Pierre Bourgin - Sciences du Végétal - IJPB (INRAE/AgroParisTech/UPSaclay, Versailles). Ses travaux scientifiques portent principalement sur les mécanismes moléculaires et cellulaires qui déterminent la qualité des semences. Il développe également des solutions innovantes de biocontrôle et de biostimulant destinées à promouvoir une agriculture durable et résiliente face aux défis climatiques et environnementaux. Il coordonne et participe à de nombreux projets de recherche d’envergure nationale et européenne, démontrant sa capacité à fédérer des équipes scientifiques autour d’objectifs communs. Il a co-fondé SEED IN TECH, une start-up issue de ses travaux de recherche sur l’optimisation des semences. Il possède une expérience approfondie du monde doctoral. Il a dirigé et co-encadré de nombreuses thèses, développant ainsi une connaissance fine des enjeux liés à l’accompagnement des jeunes chercheurs. Cette nomination renforce l’engagement de l’école doctorale ABIES dans l’accompagnement d’excellence de ses doctorantes et doctorants ainsi que dans le développement d’une formation doctorale innovante et adaptée aux défis scientifiques et sociétaux contemporains. -> Contact : loic.rajjou@agroparistech.fr
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November 13, 5:56 AM
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Un vaccin conçu contre un virus pourrait-il aider le système immunitaire à combattre le cancer ? Une nouvelle étude montre que les patients traités par immunothérapie vivent plus longtemps quand ils ont été vaccinés contre la COVID-19. Un résultat prometteur mais qui comporte des limites. Avec - Caroline Robert, médecin et chercheuse, cheffe de l’unité de dermatologie de l’Institut Gustave-Roussy
Réveiller le système immunitaire pour qu’il attaque les cellules tumorales, c’est le principe des immunothérapies. Elles sont devenues à présent le quatrième pilier du traitement du cancer aux côtés de la chirurgie, la radiothérapie et la chimiothérapie. Mais tous les patients ne répondent pas. L’un des enjeux actuels est donc d’améliorer l’efficacité de ces traitements, souvent en personnalisant la réponse immunitaire contre les mutations spécifiques de chaque cancer. Ecouter ou réécouter le podcast -> Contact : caroline.robert@gustaveroussy.fr
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November 12, 4:20 PM
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Olivier Namy, lauréat de l'AAP Synergy Grant 2025 de l'ERC
Le projet "3Stops2Go - Three stop codons to get over to flourish" qui vient d'être financé par une ERC Synergy Grant 2025 a pour objectif de cibler les mutations de type « codon stop prématuré » (PTC) qui interrompent prématurément la traduction des protéines et sont impliquées dans environ 11% des maladies génétiques humaines. En combinant des expertises en biologie de protistes, biologie de l’ARN et thérapie génique, le consortium de 4 chercheurs (Leoš Valášek, Institute of Microbiology, Czech Academy of Sciences, Czech Republic ; Julius Lukeš, Biology Centre, Czech Academy of Sciences, Czech Republic ; Olivier Namy, Institut de Biologie Intégrative de la Cellule - I2BC CNRS/CEA/UPSaclay, Gif-sur-Yvette ; Mark Osborn, Université du Minnesota, USA), entend tirer parti de mécanismes naturels de contournement des codons stop pour développer des outils thérapeutiques (ARNt modifiés, inducteurs de translecture), les tester sur des cellules de patients et des modèles animaux, puis ouvrir la voie à des applications cliniques. -> Contact : olivier.namy@i2bc.paris-saclay.fr
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November 5, 4:24 PM
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Le 3 novembre 2025, la Chancellerie des universités de Paris a annoncé les lauréates et lauréats des prix solennels de thèse 2025. Pour cette nouvelle édition, ce sont 53 prix qui ont été décernés par la Chancellerie. Huit ont récompensé des docteures et docteurs de l’Université Paris-Saclay, parmi lesquels Céline Chevaleyre a obtenu le Prix Pharmacie « toutes spécialités ». Docteure de l’Université Paris-Saclay, elle est récompensée pour sa thèse « Intégration de la modélisation pharmacocinétique dans l'étude par imagerie immunoTEP de la réponse du glioblastome à l’immunothérapie combinée aux ultrasons thérapeutiques » effectuée au laboratoire d'imagerie Biomédicale multimodale Paris-Saclay (Biomaps – Univ. Paris-Saclay/Inserm/CEA/CNRS), sous la direction de Charles Truillet, chercheur spécialiste d’immunoTEP et directeur de l’équipe Imagerie en oncologie du laboratoire Biomaps. -> Contact : celine.chevaleyre@universite-paris-saclay.fr
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November 5, 9:46 AM
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Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la biodiversité sans jamais oser le demander, c’est ce que nous vous proposons avec l’écologue Franck Courchamp qui vient de réaliser sa leçon inaugurale au Collège de France. (Rediffusion du 03/04/25) Mais pourquoi s'intéresser à la biodiversité ? Ce ne sont que des plantes et des animaux ? Et bien pas uniquement, il y a des organismes vivants extraordinaires que nous ne voyons pas mais surtout la biodiversité est essentielle aux processus qui soutiennent toute la vie sur Terre, y compris celle des humains. Nous faisons partie de cette grande toile du vivant. Par exemple, nous abritons dans et sur notre corps des champignons, des bactéries et des virus qui sont directement reliés à ceux qui nous entourent. Donc si les organismes qui vivent autour de nous sont malades, il y a des risques que nous le soyons aussi... Avec l'écologue Franck Courchamp, directeur de recherche 1re classe au CNRS, à l’Institut national d’écologie et environnement. Il dirige à l’Université Paris-Saclay, une équipe de recherche sur la dynamique de la biodiversité et les impacts des activités humaines sur les écosystèmes et les espèces (Laboratoire Ecologie Société Evolution - ESE, CNRS/UPSaclay/AgroParisTech, Gif-sur-Yvette). Il est professeur au Collège de France sur la Chaire Biodiversité et écosystèmes. -> Contact : franck.courchamp@cnrs.fr
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October 22, 12:49 PM
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Conférence animée par Eric Solary, Professeur émérite d’hématologie à la faculté de médecine de l’université de Paris-Saclay, vice président du conseil d’administration de la fondation ARC, auteur de plus de 350 publications dans des revues scientifiques internationales. La médecine tente de soigner le cancer depuis le milieu du XIXème siècle. Et elle a évolué depuis au rythme d’une découverte de rupture tous les 50 ans, chacune d’entre elles s’appuyant sur une nouvelle technologie : le microscope, la maîtrise des radiations, la chimie de synthèse. La dernière date du début du XXIème siècle : les progrès de la biologie cellulaire et moléculaire ont permis l’émergence des thérapeutiques ciblées et des immunothérapies. Ces dernières révolutionnent le traitement de certains cancers dont le taux de guérison progresse rapidement. Néanmoins, d’autres formes de cancer opposent toujours une résistance importante à toutes les approches thérapeutiques existantes. Ces récents progrès suffiront-ils à "vaincre" toutes les formes de cancer ? Faut-il espérer de nouvelles découvertes de rupture ? Retrouvez la chaîne youtube de l’afis la vidéo de la conférence. -> Contact : eric.solary@gustaveroussy.fr
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October 21, 4:53 AM
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Dans un entretien au « Monde », le président du congrès européen de cancérologie qui se tient à Berlin jusqu’au 21 octobre confie ses espoirs sur les avancées médicales concernant cette maladie qui touche 20 millions de personnes chaque année dans le monde, et en tue près de 10 millions. Le congrès annuel de la Société européenne d’oncologie médicale (ESMO) se tient jusqu’au 21 octobre, à Berlin. Réunissant près de 30 000 participants, il fait désormais jeu égal avec son équivalent américain, le congrès de la Société américaine d’oncologie clinique, qui se tient en juin, à Chicago. Le professeur Fabrice André, oncologue médical, président de l’ESMO et directeur de la recherche de l’Institut Gustave-Roussy, à Villejuif (Val-de-Marne), fait le point sur les dernières innovations en matière de traitement des cancers. Que retenez-vous de ce congrès à Berlin ? Un progrès majeur concerne des cancers de stade précoce. Trois essais cliniques internationaux, présentés samedi 18 octobre, donnent l’espoir de parvenir à guérir plus de patients atteints de cancers encore localisés, dans le sein ou la vessie. Cela grâce à une classe de médicaments récente, les « anticorps conjugués », qui étaient jusqu’ici indiqués dans des cancers déjà métastasés. Fruits de l’ingénierie biotechnologique, ces médicaments innovants sont formés d’un anticorps, couplé à un composé toxique pour les cellules (une chimiothérapie). L’anticorps, missile à tête chercheuse, ira cibler les cellules tumorales ; il se fixera sur une molécule-récepteur présente en excès à leur surface, puis sera internalisé dans ces cellules, où il délivrera le composé cytotoxique. Lire la suite de l’article dans Le Monde (sur abonnement) -> Contact : fabrice.andre@gustaveroussy.fr
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October 15, 12:14 PM
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Selon l’étude Mentalo (Réalisée par l’Inserm et l’université Paris-Cité, sur 15 000 jeunes de 11 à 24 ans), dont les résultats ont été rendus publics ce 10 octobre, la santé mentale des jeunes Français continue de se dégrader. Comment l’expliquer ? Le point de vue du Pr Olivier Bonnot, pédopsychiatre, chef de service à l’hôpital Barthélémy-Durand (Essonne), professeur à l’université Paris-Saclay, et auteur du « Manuel du pédopsy à l’usage des parents désorientés » (Marabout, 2025). Lire l’entretien dans le Figaro -> Contact : olivier.bonnot@universite-paris-saclay.fr
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October 12, 3:41 PM
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Laurent Le, docteur de l’Université Paris-Saclay ayant effectué sa thèse à l’Institut des sciences moléculaires d’Orsay (Ismo – Univ. Paris-Saclay/CNRS), sous la direction de Sandrine Levêque-Fort et Guillaume Dupuis, a reçu le prix Treefrog 2024 pour ses contributions innovantes à la microscopie de fluorescence de précision pour le vivant. Ses observations réalisées au-delà de la limite de diffraction ont ouvert de nouveaux pans d’observations à l’échelle nanométrique pour différentes questions biologiques. Ces dernières années, le domaine émergent de la protéomique spatiale s’est emparé de ces avancées afin de mieux comprendre, entre autres, l’impact de nouveaux médicaments à des échelles jusque-là inaccessibles. Afin d’enrichir ces observations il paraissait essentiel de pouvoir visualiser simultanément plusieurs protéines afin de comprendre leurs organisations, mais aussi de pouvoir bénéficier de nouvelles informations à l’échelle de la molécule unique telles que la durée de vie de fluorescence ou leur brillance. Laurent Le a alors entrepris de relever ce défi au cours de sa thèse. Il a développé et optimisé différentes approches pour améliorer la détection de la durée de vie de fluorescence (FLIM), avec l’ambition d’intégrer cette mesure originale à la microscopie de localisation de molécules individuelles (SMLM). En parallèle, il a conçu de nouvelles stratégies d’imagerie permettant l’observation simultanée de plusieurs protéines en SMLM. L’essentiel de son travail a ainsi consisté à bâtir les fondements théoriques et expérimentaux de ces concepts innovants en microscopie de fluorescence, tout en démontrant leur potentiel à travers des applications biologiques concrètes. Le prix Treefrog est un prix de thèse décerné par le division Physique & Vivant de la SFP, en partenariat avec l’entreprise Treefrog. -> Contact : laurent.le@universite-paris-saclay.fr
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October 9, 3:26 PM
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Il touche chaque année 61000 femmes et provoque a provoqué 12 757 décès en 2022 en France, le cancer du sein est le plus fréquent et le plus meurtrier chez la femme. Mais heureusement, grâce à une recherche active, les traitements évoluent et offrent ainsi une meilleure prise en charge de la maladie et de la patiente. Pour en parler, Noham Huclin reçoit dans cette émission deux invités engagés : - Ludivine a 38 ans. Il y a 4 ans, le diagnostic tombe, elle est atteinte d’un cancer du sein triple négatif. Après une première phase de traitement, Ludivine est en rémission et décide de participer à un programme de recherche avec l’Institut Curie.
- Eric Solary, Professeur d'hématologie à l'Université Paris-Saclay, chercheur à Gustave Roussy et Vice-Président de la Fondation ARC.
Voir ou revoir la vidéo -> Contact : eric.solary@gustaveroussy.fr
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October 6, 3:55 PM
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Le prix écologique et sanitaire de la consommation bon marché est payé, au bout du compte, par tous les citoyens, alerte Samuel Rebulard, ingénieur agronome et professeur agrégé à l’Université Paris-Saclay. Lire la suite de ’article dans Libération Samuel Rebulard est enseignant en écologie, botanique et agronomie à l’université Paris-Saclay. Il est co-responsable de la préparation à l’agrégation en sciences de la vie, sciences de la Terre et de l’univers (université Paris-Saclay, ENS, ENS Paris-Saclay, MNHN). Il est ingénieur agronome (1997) et agrégé de SVT (2005). En dehors de ses enseignements (principalement sur le terrain), il est très impliqué dans la formation continue des enseignants en particulier via le Muséum national d’histoire naturelle et la Maison pour la science de Paris. Il est souvent sollicité pour des conférences grand public sur les thématiques de l’alimentation et de l’agriculture et leurs liens avec les enjeux environnementaux contemporains. Il est membre du conseil de la Société botanique de France pour laquelle il organise des colloques pour le grand public. Il est l’auteur du Défi alimentaire, écologie, agronomie, avenir, paru aux éditions Belin Éducation en 2018 ainsi que du livre Dans un carré de Terre, paru aux éditions L'Iconoclaste en 2021. -> Contact : samuel.rebulard@universite-paris-saclay.fr
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Life Sciences UPSaclay
September 27, 5:52 AM
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