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Bernadette Cassel
October 20, 2021 1:15 PM
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Association Francophone d'Informatique en Agriculture : "Le futur tel qu'il a été vu dans le passé..." Une collection proposée par Alain FRAVAL Châtenay-Malabry, 24 décembre 2019 Quelques trésors d’Alain Fraval publié le 16 juillet 2020 par waksman Gazette AFIA, Gazette EFITA [Image] The Gentle Art of Making Guinness (Guiness calendar 1981) Source
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Bernadette Cassel
May 29, 2021 1:07 PM
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Le Portrait de l'Armada est un tableau allégorique représentant la reine Élisabeth Ire entourée des attributs du pouvoir royal, les regalia, notamment la couronne et le globe, sur un fond représentant la défaite de l'Invincible Armada en 1588.
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Bernadette Cassel
May 5, 2021 10:55 AM
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Rubriques et auteurs en séries dans Insectes, depuis le n° 100 par Bruno Didier - sauf mention contraire (2001...) Phares d'auto, etc. (d'Edouard Martinet) ; Louis-Michel de Vaulchier ; Alexis Nouailhat... l'humour au service de l'environnement ! (par Hervé Guyot) ; les insectes dans la peinture du siècle d’or hollandais, ou la réponse de l’Arlequin (par Jean-Claude Bocquillon) ; Jonathan Chaillou, de fil en insectes ; Marc Poty ; Étranges insectes (par Christian Lepère) ; Insectitude (par Delphine Sarrazin) ; TeSS : de civils insectes ; Jean-Louis Verdier ; François Chapelain-Midy ; Catherine Bouyx, ou les délices du décalage ; Un week-end à la Cour Roland ; Orso l'exploratrice ; Les ailes du désir ou la vie rêvée des papillons ; La Pièce de viande et la vermine (par Alain Fraval et Ingrid Wydler) Nicole Guibert, le geste et la passion (par Jean-Louis Verdier) ; Totemooo... sculptures vivantes (par Bruno Didier) ; « Bonjour, monsieur Séguy ! » ; Knuth en fait baver aux mouches (par Alain Fraval) ; Un bijou de collection (par Charlotte Cottereau) ; Des insectes cousus main (par Alain Fraval) ; Helena et Harriet Scott (par Jean-Yves Meunier) ; Les insectes en papier (par Alain Fraval) 191 ; Les insectes du globe (Alain Fraval) 192 ; Mues : les murmures de l'infime 193 ; Ze života hmyzu : la comédie méconnue (par Bruno Didier) 194 ; [Image] Alexis Nouailhat (1966 - 2021), participant à la revue Insectes via Insectes n°126 - 2002 (3) http://www7.inra.fr/opie-insectes/pdf/i126-guyot.pdf
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Bernadette Cassel
from Variétés entomologiques
February 15, 2021 12:06 PM
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Disparaître, se travestir, jouer des tours, attirer ou effaroucher, leurrer ou être leurré... Ce numéro, explore les pratiques du leurre entre les vivants, aussi bien sur le temps long de l’évolution, comme le mimétisme ou le camouflage, qu’à l’échelle des interactions individuelles et collectives. Billebaude n°16 - L'art du leurre "L’iconographie de ce numéro cherche à tisser des liens et des points de contact entre la nature, l’art et l’artifice en remettant en question la séparation moderne entre nature et culture." (...) [Image] Goniurellia tridens - Sophie Fernandez 2020, gouache via FEUILLETER QUELQUES PAGES CHOISIES
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Bernadette Cassel
January 17, 2021 5:49 AM
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“Quoi que vous fassiez, prévient Tomáš Libertíny, n’énervez pas les abeilles.” Nous sommes à Skanzen, en Slovaquie, face à une rangée de ruches – et à la toute dernière œuvre de Libertiny, 32 ans. Courrier international / The Guardian - Londres Publié le 13/08/2012 "Le travail de Libertíny avec les abeilles a commencé il y a cinq ans. A cette époque, il laissait ces insectes essaimer autour de vases recouverts de cire d’abeille dans son studio à Rotterdam. Les formes qu’elles créaient étaient beaucoup plus belles et naturelles que ce qu’il avait pu imaginer. “Dans nos sociétés, le consommateur aime le design épuré. Je voulais m’éloigner de cette tendance. J’ai donc commencé à travailler avec un matériau fragile et éphémère : la cire d’abeille. Elle provient des fleurs, se transforme en vase et finit par accueillir des fleurs pour leur dernier voyage.” En 2009, à la foire d’art contemporain de Bâle, il expose Unbearable Lightness [Insoutenable légèreté]. Cette œuvre représente un Christ en croix, sur lequel 40 000 abeilles sont venues construire un corps en cire. Chaque alvéole a été rempli de miel. En outre, Libertíny a mis un colorant dans la nourriture des abeilles, si bien que sa sculpture était colorée en rouge. C’est la seule couleur que les abeilles ne peuvent pas voir ; elle représente aussi, sans doute, le sang du Christ martyr. Cette œuvre a valu à son auteur le prix du designer du futur, décerné par la foire de Bâle, et des musées comme le Museum of Modern Art (MoMA) de New York ont commencé à acquérir ses créations. Libertíny n’est pas le premier à travailler avec les abeilles : l’Américain Garnett Puett, élevé dans une famille d’apiculteurs, s’est également servi de ces insectes pour créer des sculptures de cire représentant des formes humaines. Mais Libertíny n’est pas arrivé à l‘ “art apicole” par le même chemin. Avant d’installer le Studio Libertíny à Rotterdam, il se forme au design industriel à Bratislava, Seattle et Eindhoven. Il trouve son inspiration dans le design néerlandais, plus particulièrement dans le travail novateur de l’agence Droog design. Puis il commence à voir dans la cire d’abeille un matériau qui peut aller à l’encontre de la futilité et de la froideur du design industriel moderne. Aujourd’hui, son œuvre se situe aux confins de l’art et du design. Lorsque j’ai demandé à Libertíny s’il y avait des parallèles entre son travail et celui de Damien Hirst, il m’a répondu que non. Hirst, qui travaille aussi avec des insectes, enferme des mouches dans des vitrines contenant des carcasses en décomposition et expose en ce moment à la Tate Modern, des papillons dans des “vanités” lugubres. « Quand il travaille avec des insectes, m’explique Libertíny, il a une vision destructrice, alors que la mienne est constructive.»" (...) Stuart Jeffries [Image] Sculpture en cire d'abeille de Tomáš Libertíny.
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Bernadette Cassel
from EntomoScience
October 7, 2020 1:56 PM
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Peur, indifférence, dégoût... Notre rapport aux insectes nous éclaire sur notre relation à l'autre. Plongée dans cet univers parallèle, minuscule et grouillant avec l'anthropologue Hugh Raffles. Télérama (abonnés) Weronika Zarachowicz Amélie Fontaine Publié le 28/04/16 mis à jour le 08/12/20 "Comment penser notre relation avec les « autres » ? Et comment parler des manières dont nos mondes, et les leurs, s'entrelacent ou s'ignorent ? Ces questions sont au cœur de l'anthropologie contemporaine, à l'instar des travaux des Français Philippe Descola et Bruno Latour ou du Brésilien Eduardo Viveiros de Castro. Tous apportent la preuve que d'autres façons d'habiter le monde sont possibles, aussi improbables paraissent-elles. Hugh Raffles, lui, a choisi de pousser la porte du minuscule, en partant d'un paradoxe : les insectes ont beau être les plus nombreux sur Terre, ce sont les êtres auxquels nous accordons le moins d'attention, au point qu'ils sont quasi oubliés des chercheurs — excepté « le volume colossal d'études génomiques menées sur la mouche du vinaigre ». Mais aussi parce que Hugh Raffles a été frappé par cette définition de l'écrivain Elias Canetti : « Les insectes sont hors-la-loi. » Autrement dit, ils ne comptent pas. Les tuer ne provoque rien en nous. Ni honte ni culpabilité. Comme l'écrivait Canetti, nous n'avons jamais intégré ces minuscules créatures dans notre conception occidentale de l'humanité. C'est la preuve, pour Raffles, que non seulement la plupart des insectes n'entrent pas dans notre univers moral, mais que nous autres humains vivons complètement en dehors de leur monde. « Ce sont les êtres les plus éloignés de nous, expliquait-il lors d'un passage à Paris, ceux qui nous semblent les plus impénétrables — à la fois puissants, dangereux, sublimes, mystérieux, matières à rêves et à cauchemars. » Entre eux et nous ? Une distance radicale. Pis encore que l'indifférence. « Les insectes ne répondent pas en termes de remords, d'amour ou de gratitude. Nous ne savons pas ce qu'ils pensent ou ressentent. Ni même s'ils pensent et ressentent ! » L'étude du minuscule nous révèle l'ampleur du désastre écologique Pour franchir cette porte du minuscule, encore fallait-il une méthode. Celle choisie par l'anthropologue est à la mesure de son sujet : une expérimentation follement libre, qui enjambe les frontières et oblige à regarder et à penser autrement. Une provocation aussi, vis-à-vis des conventions universitaires, que Raffles bouscule joyeusement, ce qui résonne avec son parcours éclectique (Raffles fut ambulancier, DJ, régisseur de théâtre, avant de bifurquer vers le prestigieux département d'anthropologie de l'université de Californie). Parce que « la vitalité de la vie elle-même fait exploser les barrières bien nettes des catégories scientifiques », il convoque l'histoire, la peinture, la musique, la biologie, la philosophie, l'économie, la psychanalyse, l'entomologie... Le résultat — une encyclopédie foisonnante (et une réussite littéraire), composée de vingt-six récits classés en abécédaire — fait penser à ces cabinets de curiosités qui, « en incitant à l'émerveillement (...) menaient à la réflexion philosophique et de là, à la connaissance vraie ». Prenons la lettre C, comme « Créatures de Tchernobyl » et comme « Cornelia Hesse-Honegger ». Cette singulière peintre-scientifique suisse a découvert l'impact de la catastrophe sur les punaises, indicateurs biologiques exceptionnels car particulièrement sensibles aux polluants absorbés par les plantes sur lesquelles elles vivent. Depuis, elle se consacre à l'étude et à la peinture des insectes vivant près des sites nucléaires, inventant sa propre méthodologie, déroutant les critiques d'art autant que les scientifiques. « Ses peintures, souligne l'anthropologue, nous rappellent que l'art et la science sont complémentaires et interdépendants, que leur séparation, comme le montrent bien les merveilleux lavis de Galilée, est le résultat d'une évolution des savoirs, ayant abouti à une ultra-spécialisation de disciplines toujours moins ambitieuses. » Symptômes du réchauffement Pour Cornelia, peindre est « une discipline qui s'apparente à une école de la vue, et nous enseigne comment voir en profondeur ». L'étude du minuscule aussi. Elle nous révèle notamment l'ampleur du désastre écologique, souvent invisible à nos yeux. Ainsi, le réchauffement climatique apparaît-il dans toute sa brutalité dès qu'on se penche sur les microscopiques « scolytes » qui déciment les pins à pignons par millions, les sécheresses à répétition faisant converger affaiblissement des arbres et suractivité des insectes. Les scolytes ne sont pas seulement des symptômes du réchauffement : ils l'accélèrent, en contribuant à la déforestation et à la libération du carbone stocké par les arbres... La lettre G nous entraîne en Chine, dans le monde fascinant et immémorial des combats de grillons. Un certain maître Fang, directeur d'un musée de Shanghaï dédié... aux grillons de combat, et lui-même dresseur de grillons, y communique avec ses insectes comme d'autres le font avec un chien ou un cheval. Et le « Livre du grillon », traité fondateur datant du XIIIe siècle et sans doute premier ouvrage d'entomologie au monde, décrit aussi les Cinq Vertus, « cinq qualités humaines que l'on trouve chez les meilleurs grillons, cinq qualités que grillons et humains partagent ». La lettre J, comme « Juifs », renvoie aux ténèbres. Hugh Raffles part d'un discours de Himmler — « l'antisémitisme, c'est exactement la même chose que l'épouillage » — pour rappeler que le génocide des Juifs coïncida avec une politique hygiéniste d'éradication des poux. « C'est l'effondrement définitif du clivage entre l'humain et l'insecte, l'effondrement qui donne le feu vert à l'extermination », avec le Zyklon B, développé pour lutter contre les poux et utilisé dans les chambres à gaz. La lettre Y, elle, nous raconte les « konchu-sonen », ces « garçons-aux-insectes » japonais, dont le cinéaste Hayao Miyazaki se revendique. Passionnés par l'étude des insectes, ils développent des capacités extraordinaires, des « yeux mushi » (des yeux d'insecte) dont l'attention au détail est inégalée, et forment un captivant phénomène culturel, symptôme de l'amour des Japonais pour les grillons, lucioles et scarabées. « Le phénomène a infiltré des pans entiers de la culture quotidienne, des magazines de luxe où des coléoptères glamour s'étalent sur double page jusqu'aux innombrables insectariums et papillonariums dispersés dans tout le pays », explique Hugh Raffles. Sans oublier l'ancien nom du Japon, Akitsu-shima, soit « l'île des libellules »... Autant de personnages, autant d'insectes, autant de tours et de détours que l'anthropologue emprunte pour nous faire découvrir un monde plus riche, plus vaste, qui remet en question l'exception humaine. Car jamais Hugh Raffles ne lâche son cap anthropologique : « J'ai voulu au départ écrire sur le monde vu par les insectes. Mais ils sont indéchiffrables. C'est devenu un livre sur les insectes et nous, guidé par ces individus qui entretiennent des relations particulièrement intenses avec eux. » Que faisons-nous d'eux, que font-ils de nous ? Interrogations auxquelles Hugh Raffles cherche à répondre pour « un grand public, et pas uniquement les universitaires. Utiliser un langage théorique ne m'intéresse pas. J'aime les détails concrets, pas les systèmes ». Comme l'intellectuel Yoro Takeshi et ses « yeux mushi », qui voient tout du point de vue des insectes. « Ces derniers lui ont appris que les appellations générales, comme "arbres", "feuilles" et surtout "nature" détruisent notre sensibilité pour les détails. Elles nous rendent violents, conceptuellement autant que physiquement. "Oh ! un insecte", nous exclamons-nous, ne percevant que la catégorie et non l'être lui-même. » Nous interroger sur la difficulté de construire une véritable maison commune Parler de notre relation aux insectes, c'est nous renvoyer en miroir aux relations que nous entretenons avec tant d'« autres », semblables et différents, humains et non humains. C'est nous interroger sur la difficulté de construire une véritable maison commune, à l'heure où l'Europe chasse les « autres », où la xénophobie du candidat Donald Trump triomphe aux Etats-Unis, où la « crise » environnementale se déploie à une échelle globale, exposant hommes, animaux, plantes, océans à ses conséquences. Alors, pourquoi ne pas essayer avec Hugh Raffles de comprendre ce que les insectes nous disent : « Apprends à vivre avec l'imperfection. Nous sommes tous dans le même bateau » ?" - À lire Insectopedia, de Hugh Raffles, éd. Wildproject
Illustrations Amélie Fontaine
Via Bernadette Cassel
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Bernadette Cassel
September 23, 2020 1:14 PM
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Ephippigère des vignes et Ephippigère catalane : deux ambiances de chants d'insectes dans les Pyrénées-Orientales. Frénésie d'éphippigères dans les Pyrénées catalanes - Chants Insectes, 30.07.2012 [Image] Ephippigère des vignes (Ephippiger diurnus diurnus) Sauterelle assez répandue en France bien qu'en régression du fait de l'emploi massif de pesticides, aux couleurs variables, aux ailes atrophiées et au pronotum (1er segment thoracique) en forme typique de selle de cheval, l'Ephippigère des vignes a une particularité sonore remarquable. Sa stridulation grinçante est couramment composée de simples diplosyllabes « Ti-zit » espacées de pauses. Cependant « en Languedoc-Roussillon les phrases polysyllabiques (3, 5 et occasionnellement jusqu'à 8 syllabes) deviennent une caractéristique normale de son chant, si bien que dans les départements de l'Aude et des Pyrénées-Orientales il devient rare de l'entendre émettre une syllabe isolée. » [d'après Ragge (D.R.) & Reynolds (W. J.), 1998 .- The songs of Grasshoppers and Criquets of Western Europe. Harley Book]. Les femelles réceptives stridulent également en réponse aux mâles.
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Bernadette Cassel
June 12, 2020 1:40 PM
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Le toilettage chez les insectes (par Bruno Didier) ; Metcalfa pruinosa, une cicadelle envahissante à surveiller en Europe (par Frédéric Darriet) ; Le Plan national pour les papillons de jour (par Xavier Houard et Stéphane Jaulin) ; La boîte à insectes ; Les insectes ingénieurs. 2. (par Alain Fraval) ; Une luciole exotique nouvelle pour la science introduite en Catalogne (par Claire Villemant et Narcís Vicens Perpinyà) ; Les insectes fossiles de La Brea Tar Pits (par Pierre-Olivier Maquart, Denis Richard et Bruno Didier) ; Art et insectes - Les insectes du globe (par Alain Fraval) ; Rituels de cour - La Punaise Zeus, épouse porteuse (par Alain Fraval) ; Leurs faits et méfaits (par Alain Fraval) ; Le portfolio d’Insectes - Je te mange, tu me manges. ; La Boîte à insectes [Image] En couverture : Grand Fourmilion, Palpares libelluloides (Neur. Myrméléontidé). Cliché Christian Corraze
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Bernadette Cassel
July 19, 2021 1:20 PM
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Les illustrations entomologiques - Rémi Coutin, Alain Fraval, Jacques D'Aguilar, Robert Guilbot, Claire Villemant (EAN13 : 9782759213177) Librairie Quae : des livres au coeur des sciences - 1996 "Entre science et art, ce livre expose une centaine de dessins d'insectes choisis essentiellement parmi les œuvres des dessinateurs de l'Inra. Sur chaque planche figure le nom scientifique de l'insecte représenté ; en fin d'ouvrage, une légende plus complète renseigne sur l'identité du spécimen, la technique de dessin, l'auteur. Quelques conseils pratiques permettent au lecteur de s'initier au dessin d'insectes et, par conséquent, à leur science. Véritables pièces de collection, ces insectes peuplent un album destiné aux amateurs de belles choses, aux savants (entomologistes, zoologistes et naturalistes) mais aussi aux simples curieux."
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May 25, 2021 11:08 AM
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Rubriques et auteurs en séries dans Insectes, depuis le n° 100 OPIE-Insectes, séries d'articles via Revue Insectes OPIE sur Twitter, 24.05.2021 https://twitter.com/af_insectes/status/1396859051263340547 "La page des "séries" publiées dans Insectes est à jour. Sont actives : Art et insectes - La Boîte à insectes - Un insecte à la page - Insectes de la Belle Époque - Pages entomologiques - Leurs faits et méfaits - Disparus. https://t.co/2sR8pyWOxe #insectes" [Image] La Boîte à insectes du n° 196 de la revue Insectes (mars 2020)
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February 27, 2021 1:30 PM
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Ladislas Starewitch était un étudiant curieux qui s’investit dans différentes disciplines tout particulièrement celle de l’entomologie. De cette passion scientifique va naître une rencontre curieuse avec le cinéma. Par KAMINSKI Lucienne, 26.02.2021 "Même si ce fut la première expérience en animation de Starewitch, le film était parfaitement animé. On croit qu’il avait découvert les secrets de la prise de vue image par image en assistant à une projection du film "Allumettes animées" d’Emile Cohl. Il faut croire que cette technique d’animation devint sienne rapidement, puisque 6 mois après environ, en juin 1910, il était en mesure de terminer "La belle Lucanide" film de 230 m qui racontait à la manière d’un conte et avec beaucoup d’humour la lutte des scarabées pour la conquête de la belle et scarabée Hélène. Présenté en janvier 1911, le film reçu un énorme succès partout dans le monde. Comme quoi Art et Science savent faire bon ménage !" En savoir et voir plus sur www.lescinephilesdedenain.blog.
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Bernadette Cassel
January 19, 2021 6:03 AM
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"L'ouvrage français de référence sur le steampunk est celui écrit par Arthur Morgan et Étienne Barillier : Le guide steampunk." Le Guichet du Savoir, par gds_db, le 04/01/2021 "Les auteurs donnent une définition du steampunk dans l'introduction de leur livre partiellement consultable sur Google Livres :
" D’un point de vue littéraire, le steampunk est généralement classé comme un sous-genre de la science-fiction. Il est présenté comme une histoire alternative où, pour reprendre la formule célèbre de Douglas Fetherling : « Le steampunk s’efforce d’imaginer jusqu’à quel point le passé aurait pu être différent si le futur était arrivé plus tôt. » Il a pour cadre une époque victorienne qui ressemble à bien des égards à celle que nos ancêtres ont connue. Mais un léger pas de côté a été fait avec l’histoire : la science a pris un tour différent, concevant les ordinateurs et les robots bien plus tôt ! La révolution industrielle a bel et bien eu lieu, mais la vapeur propulse dorénavant des machines différentes, au service de sociétés forcément autres… Ainsi pour définir provisoirement le steampunk, on peut dire qu’il tient de la science-fiction pour le travail sur la technologie, les procédés narratifs et de l’uchronie pour le jeu avec l’Histoire et ses embranchements. Le steampunk a désigné des fictions victoriennes pour être ensuite utilisé aussi bien en littérature qu’en musique, mode, arts plastiques, performances artistiques, graphisme."
Les origines du steampunk sont présentées sur Noosfere par Daniel RICHE (...)" Le Guichet du Savoir est un service gratuit de Questions-Réponses de la Bibliothèque municipale de Lyon. Réponse garantie en 72h max. [Image] https://www.google.com/search?tbm=isch&q=steampunk+insecte
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Bernadette Cassel
December 30, 2020 12:29 PM
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À l’occasion de la rétrospective du sculpteur français Hubert Duprat au Musée d’Art Moderne de Paris, les éditions MF publient le premier ouvrage anthologique sur l’artiste. Couvrant peu ou prou l’ensemble de la période d’activité de l’artiste, cet ouvrage rassemble dix-neuf textes écrits entre 1986 et 2019. Si tous portent sur la démarche de l’artiste, chaque auteur – historien, écrivain, poète, critique ou théoricien, commissaire d’exposition – l’aborde sous un angle spécifique. L’œuvre de Duprat recèle en effet une épaisseur sémantique rare, qui répond à la nature très diversifiée de ses intérêts. Le lecteur pourra ainsi (re)découvrir les liens qu’entretient son travail avec différentes périodes de l’histoire des arts, des sciences et des techniques. de Hubert Duprat (contributions) Maison d'édition : éditions MF Collection : Hors collection août 2020 "Il appréciera sa dimension simultanément savante et sensible, bricolée et spirituelle, méditative et fulgurante, archéologique et anthropologique. Qui connaît Hubert Duprat ne s’étonnera pas que ce soit l’artiste lui-même qui ait souhaité réunir cette matière qui, autrement, serait restée éparse. D’une part, son inclination intellectuelle, son désir d’embrasser tous les champs du savoir et tous les types d’approches a suscité en retour une variété d’analyse certaine, qu’il s’agit ici d’actualiser. D’autre part, les idées développées par les auteurs, nécessairement fragmentaires, composent dans la forme anthologique une totalité des plus éclairantes et solides. Le parallèle est tentant avec les réalisations de Duprat, dont la cohésion se constitue par agrégation, à la manière des mosaïques ou des marqueteries." (...)
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September 24, 2020 2:10 PM
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Les bourdons et leur élevage (par Jean Harbay et Jean-Luc Renneson) ; Nom d'un chien ! (par Alain Fraval) ; Les insectes de la Belle Époque - Les mœurs des Coléoptères coprophages de la Plata (par L. Laloy) ; Quelques mouches familières (par Bruno Didier) ; Les punaises boiteuses... (par Claude Galand ) ; La Chrysope verte (par André Lequet ) ; Leurs faits et méfaits (par Alain Fraval) ; Le H-Trap, un piège pour les taons (par Gérard Duvallet ) ; Art et insectes - Mues : les murmures de l'infime ; Les insectes ingénieurs. 3. (par Alain Fraval) ; La boîte à insectes ; Les activités de l'OPIE - Explorateurs du minuscule (par Sébastien Legrand et Alice Giraudon) ; Le portfolio d’Insectes - Accouplements . Insectes n° 193 2e trimestre 2019 En couverture : accouplement de Gazé (Aporia crataegi, Lép. Piéridé) - Cliché Catherine Michels
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Bernadette Cassel
September 4, 2020 2:41 AM
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Observer et admirer la nature, un premier pas pour la respecter ? Frédéric Labaune, professeur de SVT au lycée Jean-Marc Boivin de Chevigny Saint-Sauveur, (21) pratique l’art de la photographie avec talent. Son projet Macro Micro World regorge de ressources utilisables en classe. Insectes, pollens, vaisseau de sève ou lame mince de roches, les clichés de l’enseignant passionné impressionnent dès le premier regard. Adepte de la technique du stacking, il contribue aussi depuis des années à banque de schémas de SVT de l’académie de Dijon. Il préconise de « laisser du temps à l’observation » et regrette « la virtualisation de la nature avec des programmes » qu’il qualifie « de plus en plus hors-sol ». Par fjarraud, le mardi 30 juin 2020
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